vendredi 18 juillet 2014

Enfin les vacances!

Ça y est! Peu importe ce que j'aurai le temps d'accomplir aujourd'hui, ça se termine quand même! J'ai bien des choses à faire, mais moins de préparation qu'hier! Finir à 23 hreures, ce n'est pas ce que je préfère, mais ce n'est pas tous les jours. Il faut se botter le derrière et s'accrocher! L'ouvrage ne passe pas tous les jours! Certains de mes clients dans la construction me disaient qu'ils allaient travailler pendant les vacances justement parce qu'il y avait du travail. Quand tu travailles pour toi, ce sont des choses qui arrivent. Mais peu importe ton travail, c'est toujours un privilège de pouvoir travailler chaque jour que Dieu nous donne. C'est même un privilège de se lever chaque jour! À nous d'honorer ce fait et de nous aimer! S'entraîner, se garder en santé, histoire de voir combien la vie est belle plus longtemps. Hier, Bernard est venu, il m'a donné un coup de main pour terminer la confection d'un projet. Lorsqu'il est parti, vers 22h45, ce fut un brin émotif. Il m'a dit :«ça me fait du bien de te parler» et il est parti. Moi j'étais très heureux d'avoir quelqu'un avec qui jaser, quelqu'un pour m'accompagner dans ce blitz incroyable avant les vacances. Avoir le souci de ses clients, de me dire que c'est important, peu importe la somme d'argent que ça rapporte. Mais je dois commencer à travailler vers 7:00 si je veux espérer être dans les temps. Le problème d'aujourd'hui, toute la route que j'ai à faire. Cela se veut un frein naturel à mes élans. Pourquoi? Parce que je ne peux aller plus vite que les limites. Être cohérent. J'aime mieux prendre mon temps que de payer des tickets! Bonne journée!

jeudi 17 juillet 2014

Elles arrivent, les vacances!

Incroyable que tout ce temps soit passé déjà! Il y a un an, au bord de l'épuisement, j'arrivais enfin à mes vacances. Et le reste, j'en ai tellement parlé. Je pourrais faire une conférence là-dessus. Car ce que j'ai vécu a remodelé ma façon de voir les choses, mais a aussi affecté tout l'aspect quotidien de mon travail. Bien sûr, il aurait été facile sur le coup, de dire à tout le monde j'ai un billet du médecin et je prends une pause dans ma vie. Mais après un mois? Trois mois? Six mois? C'est là que je veux en venir. En novembre 1991, j'ai reçu un semblable billet. Une prescription avec des antidépresseurs et la consigne de repos complet. À cette époque, la seule pensée de demander de l'aide m'apparaissait une solution de lâche. Alors, sans toutefois prendre les pillules, j'ai commencé à consulter les gens du groupe AutoHommie. Ils m'ont proposé des solutions. Moi j'ai fait à ma tête, en commençant à travailler temps plein de nuit, tout en continuant mon Baccalauréat à plein temps, à Laval. Avoir su pour la réforme scolaire, j'aurais pu faire un autre choix. Mais j'étais jeune et entêté, pas question d'abandonner les études en cours ou encore de changer de programme. Je crois que j'aurais fait un bon professeur de français. Mais bon, tout ça pour dire qu'il y a un peu plus d'un an, j'ai reçu la même prescription. Évidemment, je n'ai pas arrêté de travailler. Les événements se sont bousculés, puis le temps s'est mis à aller très vite et nous y voici. Fatigué, mais en vie. Je ne sens pas en dépression, je suis heureux. Toujours sans pillule, excepté le concerta. Machin qui me permet de dormir plus dur un peu. Qui me permet de terminer mes journées sans trop en oublier. Qui me donne la chance de conduire sans être trop distrait, sans m'endormir. Je sais que si je suis trop exigeant, la fatigue fera tout de même son oeuvre, mais pour l'instant, pas de grand voyage d'annoncé. Celui prévu à Wildwood est annulé. Donc peinard au camping Domaine de la Chute. En attendant, j'ai une grosse journée qui m'attend. alors j'y vais! À plus!

mercredi 16 juillet 2014

Ça s'en vient!

Le temps passe et je me rends bien compte que nous sommes le 16 juillet déjà. Je serai en vacances dès vendredi soir. Et si tout va bien, j'entends bien me reposer, ne rien faire. Comme ça, si à mon retour, je suis encore fatigué, ce sera de ma faute! Tout est dans la façon de le percevoir. L'an passé, nous nous sommes promenés à l'hôpital, passés nos journées bien contrariées. J'avais hâte que mes vacances finissent, car c'était plus dur que mes semaines normales. Donc je dois me préparer adéquatement à être en congé. La vie nous réserve bien des surprises, parfois dans le but de nous faire apprendre de nouvelles choses, des choses qui nous seront utiles. Et puis, je veux arrêter de courir, d'avoir un horaire! Je veux juste être moi. L'entraînement de ce matin m'a fait le plus grand bien. Même si la pluie aide ma pelouse à verdir, moi je pédale à l'intérieur. Et je ne lasse jamais de me garder en forme. Je veux traverser les années et pouvoir en profiter sans me sentir en pente descendante. Du moins pas trop vite! Ça fait plaisir de voir ses enfants pousser sans se sentir diminuer. Et puis je me suis remis de l'événement d'hier, ayant retiré en entier la pellicule qui blanchissait l'auto de ma cliente. Comme quoi il n'y a que les fous qui ne change pas d'idée! Et puis, malgré un retard accumulé, je vais partir la tête en paix vendredi. Car j'aurai le sentiment d'avoir fait mon possible!

mardi 15 juillet 2014

Wow!

Hier j'ai vécu un moment vraiment spécial alors qu'une de mes clientes m'a dit qu'elle ne voulait plus du travail pour lequel elle venait de me payer! J'y ai mis 32 heures! Elle m'a dit : «J'ai changé d'idée» Je suis venu tout mou. J'avais l'impression d'être ailleurs, dans un monde triste. Mais en la voyant, en réalisant que c'était comme s'adonner à une discipline ou encore un loisir et, arrêter! Il n'y a que les fous qui ne change pas d'idées! J'ai appris des tas de choses dans ce dossier. Wrapper une vieille voiture, ça demande une patience de moine, mais aussi de la prudence. Et puis, il faut bien évaluer la voiture, pas seulement l'état de la carrosserie, aussi celui des joints, des caoutchoucs. Il faut voir au-delà des interrogations habituelles. Elle ne m'a pas dit je veux être rembourser, elle m'a juste dit, je n'en veux plus. Incroyable! J'ai aussi appris avec elle. Il faut être sur de ces décisions, être capable de vivre avec et surtout se foutre des autres. Bien entendu, dans un contexte précis. Puis, ce matin, j'arrive mieux à saisir le message. La portée de ses mots. Comme un chemin rendu trop cahoteux. Comme une route que ton GPS t'a proposée, et qui, finalement, n'a aucun sens. Je serai plus convaincu dans une semaine, mais quand même, c'est quelque chose! Certaines gens me diront, oui mais on s'en fout, elle t'a payée! Pour ma part, je vois ça autrement. Je vois un tout autre contexte. Chaque fois que je travaille pour quelqu'un, j'ai l'impression de l'aider, de lui faire du bien. Et là, je ne sais pas trop. À moi de comprendre le message. Les énergies que je reçois, celles qui me traversent. Tout ça est un ensemble! Et je dois continuer ma semaine, avant les vacances, me concentrer sur les tâches à accomplir. Bonne journée!

lundi 14 juillet 2014

Une semaine avant.

J'essaie de me reposer depuis plus d'un an déjà, cherchant à briser le roulement de cette roue, véritable cercle vicieux dans lequel je me suis enlisé depuis des années. Je me rend compte que dormir n'est pas la solution complète. Il y a aussi les habitudes. Celles comme s'inquiéter, l'autre comme travailler la nuit, en préparant les journées, les semaines d'avance. Aussi le pression du quotidien, alimentée par le travail, omniprésent. Avoir son travail à la maison, rien de plus merveilleux, mais quel couteau à double tranchant! De plus, j'adore mon travail. alors facile pour moi de toujours travailler un peu. C'est en cherchant tous ces indices que je vais trouver une façon de me reposer. En attendant, il me reste une semaine pleine avant mes vacances. Une semaine de repos mérité, puisque celles de l'an passé sont passées comme un coup de vent, allant du camping à l'hôpital, inquiétudes et anxiété alimentant notre quotidien! Il sera facile de se rappeler le fil des événements. Je ne veux pas faire de comparaisons, je veux juste me reposer, avec ma femme. La semaine passée, je me suis permis d'aller dormir au camping 2 soirs! J'ai trouvé ça super! Ça brise la routine! Les prochaines semaines seront importantes, pour me redonner un bon boost pour se rendre aux fêtes. Eh oui! Le temps passe tellement vite, impossible de l'arrêter! Donc je vais voir à quel point je peux parcourir cette semaine de travail qui. depuis des années, se veut une course remplie de toutes sortes de choses, tous plus ou moins réalistes aux prédictions que je m'étais faites!

vendredi 11 juillet 2014

Prendre le temps de vivre

Les vacances approchent à grand pas et je dois me débarrasser de ce boulet qui m'incomble. Mon souhait, terminer ce dossier avant les vacances, ensuite ne plus collaborer avec ce client. Ce dossier me pourrit la vie. Il m'empêche d'être heureux. Il y a des tas de petits dossiers qui me restent à fermer avant de partir pour deux semaines hautement désirées, méritées! Comme la vie change sans préavis. Les jours se suivent, nous y mettons notre routine, histoire de pouvoir en oublier des bouts. Ces bouts, toujours pareils, est-ce bien de les oublier? Doit-on les mettre de côté? Plus jeune, je me faisais un devoir de faire de chaque journée un événement unique. Maintenant que je traverse la quarantaine, je vois les choses avec plus de recul. Je me dis que c'est bien d'avoir sa routine, pas toute la journée, pas toute la semaine, mais d'avoir des bouts plus faciles, qui nous libèrent au quotidien. Des parties de journées sur «le pilote automatique», pour nous faire arriver à bon port, sans trop de bris, sans trop d'anicroches. Puis, le vendredi soir, décrocher, oublier tout ça, prendre un verre, jaser, aimer, vivre! La vie est tellement courte, je n'en reviens jamais. Je me suis inscris au cyclo-défi 2015. Une soudaine urgence de vivre, de poursuivre la vie, ma vie. Je veux rendre la collecte de fond amusante, intéressante! Et ainsi profiter de ce défi au maximum. Avec l'intention de ne pas étirer la chose, ne pas stresser avec le montant à atteindre. Juste m'amuser en donnant l'exemple. Me garder en forme et faire peur aux maladies de notre société! Car la vie nous offre de si belles choses en peu de temps, il serait dommage d'emprunter sur notre temps pour se guérir ou encore être malade!

jeudi 10 juillet 2014

Du repos

Ça fait du bien de voir des chèques arriver. Travailler chaque jour qu'il nous est donné et, récolter le fruit de ce labeur. Je me rends compte que j'oublie souvent ce fait. Tu travailles, tu récoltes! Pour ma part, depuis que je suis petit, je me suis dit : Si je pouvais dessiner tous les jours et réussir à bien vivre, ce serait merveilleux! Je n'en suis pas si loin, sauf que la portion entre travail et récolte se doit d'être améliorée. Facturer adéquatement. Je suis gèné de charger au client, mais aussi toujours réticent quand le temps est venu de facturer. On dirait qu'il y a un blocage! Je vis bien, mais si j'étais plus assidû, cela serait encore beaucoup mieux! Je suis chanceux d'avoir de formidables clients. Des gens qui vivent plein d'autres choses, qui ont le culot d'en partager avec moi. C'est très apprécié! J'apprends des autres, de leur vie. J'adore ça. J'ai aussi perfectionné mon métier en travaillant avec diverses personnes ayant différentes manières. Tellement beau la vie. Dire que des fois, comme ça, je tombe dans la déprime, laissant la mélancolie s'emparer de moi. Les sentiments refoulés, les peines du passé, les histoires non-réglées... Je pense qu'il faut que ça sorte. Et surtout ne pas oublier de prendre le concerta, des fois que cette journée serait spéciale, différente. Cela pourrait être très difficile, entraînant de l'anxiété extrême. Je n'ai pas besoin de forcer ce sentiment, il est facilement endossable dans mon quotidien. Je me dis que je dois quand même vivre, même au travers cet horaire serré. Accomplir des trucs formidables comme le cyclo-défi. Ça aussi, c'est du dépassement. Aller chercher les limites de soi. Pourtant, malgré une certaine faiblesse, je suis passé au travers comme un vrai champion et j'en suis fier! Déjà deux jours à dormir au camping, revenir le matin pour travailler, ça fait différent! Je pense que ça fait du bien. Je suis heureux ce matin. Demain je reprends le vélo, juste avant une fin de semaine bien méritée! Bonne journée!

mercredi 9 juillet 2014

Analyse

Les vacances approchent et c'est comme un rêve. L'an passé, les vacances furent démantibulées par la rentrée du beau-père à l'hôpital. Ce fut vraiment le début de notre descente. La fatigue s'est emprée de nous et nous cherchons encore du repos. En fin de semaine, alors que je pédalais, par moments seul, je me disais que c'était bizarre, toutes ces façons de se sentir fatigué. J'ai pédalé plus de 200 km en 2 jours. Je ne m'entraîne pas spécifiquement pour ce genre d'activité. Pourtant, tout s'est bien passé, je n'ai jamais senti mon corps faiblir. Je n'ai jamais eu l'impression que je poussais trop! Au contraire, mon corps en redemande! Pourtant, hier soir, vers dix-sept heures, je me sentais crevé, un peu essoufflé. Je n'étais en train de courir, je travaillais sur une remorque, m'évertuant à coller les graphiques dessus, la chaleur faisant plié littérallement le vinyle. Je me sentais vidé de cette énergie, celle qui nous tient en vie. Est-ce un signe que je suis un peu déphasé? Que j'en fais trop? Que certaines choses dans mon travail devraient disparaître? Je m'arrête sur le sujet. Et puis, n'est-ce pas ça vivre?  Je me sens bien ce matin, après une nuit très insomniaque avec ma bibi qui avait peur du vent. Nous étions au camping. Pour la première fois, j'allais coucher là sur semaine, histoire de me reposer différemment. J'y retourne ce soir, nous verrons.

mardi 8 juillet 2014

Petit résumé du cyclo-défi

Ouf! Le retour hier à la réalité après un weekend particulièrement extraordinaire à pédaler fut très dur! Non mais, quel défi magnifique! Il me semble que le temps s'est arrêté. Je n'avais que moi à m'occuper. Rien d'autre à faire que de pédaler! J'ai partager du temps avec des gens qui, eux aussi, vivaient cet événement, ce défi! 250 km à vélo. Quellle magie! Je me suis impressionné moi-même! Jamais je ne me suis senti totalement vidé ou épuisé. Les arrêts nous faisaient le plus grand bien, les heures de repas étaient géniales. L'organisation en entier était bien rodée. La sécurité ne manquait pas, les sentinelles à vélos non plus. Les policiers de la SQ en moto et l'ambulance se promenaient en permanence. Il est difficile de dire que je ne voudrait pas le refaire. Je vais étudier la question avec Patrice, des fois que nous trouverions un moyen de financement plus l'fun que de solliciter directement! N'empêche qu'hier, j'en ai arraché à me concentrer à l'ouvrage. Et le simple fait de m'occuper des enfants me semblait une corvée! Mais bon, quel bel événement, quelle magie! Je vous le souhaite à tous!

jeudi 3 juillet 2014

Il faut vouloir!

Alors? Content du beau temps? Moi je suis tanné d'entendre du monde chialer qu'il fait chaud. Nous sommes entourés d'éternels insatisfaits! Pour garder la forme et être en santé, premièrement, ta yeule! J'entends ces mêmes insatisfaits dire qu'ils manquent de temps, qu'ils sont trop fatigués, qu'ils n'ont pas d'argent pour s'inscrire au gym, etc. Que des classiques!!! Mais pour vrai, ces personnes sont en détresse, elles voudraient, mais ne sont pas capables de transférer leurs énergies à la bonne place! Et puis, on ne peut rien faire à leur place. Hier, j'avais un CA avec la chambre de commerce et, tout en jasant, je me disais que nous étions des bénévoles. Et que si nous n'étions pas là, rien de cette association n'existerait! Il faut le vouloir! Ce matin, il m'a fallu plus d'un coup de pied pour me lever. Paspire, imaginez la journée ensuite! Hier, j'avais, il me semble, bien de la difficulté à fonctionner. Et puis, je suis déjà trempé de sueur! J'ai plein de choses à terminer, car demain, à part les imprévus, je dois me préparer pour mon cyclo-défi. J'ai bien hâte que ce soit passé. Non pas que je doute de mes capacités, mais bien que cette campagne de financement m'a vraiment incommodé! Qui risque rien, n'a rien. Qui ne fait rien, n'obtient rien. J'ai appris, encore une fois, que pour financer un projet pour une cause, c'était pas comme s'organiser tout seul. Tu as besoin des autres. Et si les autres ne veulent pas, tu es dans la misère. Mais, mes objectifs sont enfin atteints! Maintenant, passons au vélo. J'ai bien hâte. Alors arrêtez de chialer et bonne journée!

mercredi 2 juillet 2014

Apprécier ce qu'on a.

Wow! Cinq journées de file avec le mercure au dessus de 25 degrés! Savourez, ça n'arrive pas souvent! C'est le genre de «timing» qui aident les gens à sourire, à leur faire oublier l'hiver horrible que nous venons d'essuyer! Amusez-vous! Si vous pouvez prendre congé, faites-le! Y a rien comme du beau temps pour recharger les batteries! L'hiver dernier fut taché aussi par des élections très merdeuses! Voilà qui augmenta le degré d'endurance! Qui sait, peut-être qu'à force de tourner en rond, nous allons apprendre! Pour ma part, j'en ai plein mon cass de voter dans le vide. Mais je vais voter et je garde mon droit de chiauler! Car celui qui ne va pas voter doit se taire. Son devoir premier, aller voter. Son avis compte autant que celui des autres! Et s'il ne vote, il nous signifie à tous son manque d'intérêt. Il nous dit que ça ne l'intéresse pas! Alors ceux qui n'ont pas voter, taisez-vous! Dans la vie, qui risque rien, n'a rien! Et puis, si tu n'aimes pas ta vie, que tu n'apprécies pas chaque journée qu'il t'est donné de vivre, alors agis! Change de travail, change de maison, localise au quotidien ce qui t'irrite et botte-toi les fesses! Il faut apprécier ce qu'on a. C'est un privilège, comme vivre chaque jour! D'ailleurs, c'est ça la vie, ce qu'on apprécie!

mardi 1 juillet 2014

voir la beauté

Des fois je regarde autoue de moi et j'oublie de voir la beauté qui ressort de chacun. Je suis peut-être dur avec moi, mais que voulez-vous, c'est ainsi! J'ai souvent dit que j'étais au service de Dieu et j'entends le rester. Non pas que je soies soumis ou bien rangé dans mes prières, mais j'aime respecter les valeurs de Jésus et user de prières. Des fois, la vie se charge de nous rappeler que Superman n'est pas de ce monde, mais il y a des jours où il y a du bon d'y croire! Comme il y a du bon en chaque être! Ce matin, en vélo, je me demaindais ce que ça serait, samedi et dimanche prochain, à vélo. Pas en camping en train de prendre un frette, en vélo! Partir de Montréal et revenir à Québec! Fantastique non? En deux semaines, j'ai ramassé plus de dons qu'en 5 mois! De plus, ces jours-ci, l'ouvrage est bonne et le temps pour appeler les gens se fait rare! Et, pour une rare fois, l'été nous offre sa chaleur, son soleil! Tout ça me fait oublier la politique, l'économie. Je sais que l'été, c'est au tour des travailleurs de jouer, les fonctionnaire sont en vacances, mais tout de même! Ce sont des choses à lesquelles j'essaie de ne pas penser! Voir la beauté en chacun!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...