mardi 30 juin 2015

Que du feu!

Ouf! Quelle journée hier! Commencer à 8:00 et terminer à 22:00; je suis un peu raqué. Mais je suis heureux. Quand tu donnes la claque pour passer au travers, le plus dur, c'est de ne pas s'oublier. Ne pas ressentir son corps qui crie à l'intérieur. Ils  y en a d'autres qui n'attendent pas que leur corps parle, qui abandonnent avant. Après avoir profité de crédits d'impôts pendant des années, ils doivent fermer leurs portes. Incroyable! La preuve que ce n'était pas rentable. L'existence de cette compagnie était dépendante des crédits d'impôts, de notre argent. Ça ne me fait pas de peine, j'aime mieux que mon argent aille ailleurs, pour payer de vraies choses. Si pour eux, ce qu'ils ont réalisé pendant des années, ne valait pas plus la peine que ça, alors ils ont bien fait de mettre la clé dans la porte. Pour avoir quelque chose dans la vie, il faut le gagner, mettre sa volonté et ses avoirs au bat! Pleurnicher au gouvernement n'est pas la solution. Autrefois, certaines gens allaient voir leur député pour les aider à se trouver un travail. Ce dernier pouvait user de son réseau de contacts pour les aider. Mais ce temps est révolu. Les gens attendent après le gouvernement, ils attendent après l'État. Plus l'État est sollicité, plus il engagera du monde. Plus il aura de personnel à son service, plus il sera engorgé. Une fois engorgé, le peuple sera mécontent d'attendre, une attente qu'il aura créé avec ses propres demandes! Arrêtez de penser que tout se fera tout seul. Bottez-vous le derrière! Cette stratégie politique, la fermeture de sa compagnie, n'est que du feu pour crinquer les québécois contre les libéraux. Il s'agit d'une supercherie pour s'attirer du capital de sympathie et des votes!

lundi 29 juin 2015

Lundi matin

Après une fin de semaine de camping très arrosée, le retour au travail se veut un peu plus nuageux. Lundi matin, la pluie, le temps sombre. Je me dis, beau temps pour travailler, mais pas vraiment dehors. Donc se crinquer pour une semaine de 4 jours qui devra être performante en tous points. Car chaque fois que je prends un congé, cela compacte mes horaires et je me retrouve à la merci de moi-même. Je suis mon propre patron et je m'exige vraiment beaucoup. Des fois, même, j'exagère et je regrette. Pourtant, ce n'est pas une question d'argent, mais bien un routine établie à laquelle je m'accroche pour bien performer. Mais ça fait du bien de vivre intensément, ne pas négliger une seule minute. La vie est si courte, il faut la saisir. Samedi matin, nous nous sommes entraînés en vue du cyclo-défi Enbridge, contre le cancer. C'était vraiment super. Après cet événement, le reste de l'été passera en trombe, véritable cyclone! Alors il faut profiter du soleil, des jours sans pluie, du peu de chaleur que nous avons. Et puis, bonne semaine!

vendredi 26 juin 2015

Petit constat

Ne pas dormir à la maison a ses avantages. Comme décrocher plus facilement du bureau. Mais ça laisse moins de temps pour écrire. Mais j'adore être en camping. Obligé de relaxer. Pas complètement, car le téléphone reste en fonction, mais quand même! Et puis, ça me tient loin des irritants majeurs de l'actualité. Ça c'est un réel bienfait. J'ai hâte de terminer ma journée, aller rejoindre ma douce au camping. Un  mois à la même place, vraiment cool. Ensuite nous voyageons. Cette année sera marquante avec notre séjour à Myrtle Beach. Dire qu'avant tout ça, j'aurai déjà pédaler le cyclo-défi. Ma deuxième année! Normalement, c'est aussi ma dernière. Ramasser tout cet argent, véritable corvée. Mais je trouve que cette année fut moins stressante que l'an dernier. À deux doigts de mes objectifs, je me sens bien et j'ai hâte de pédaler. Ne pas dormir à la maison enlève aussi pas mal de vélo. Ça, c'est un peu dommage. Mais ça fait partie de la stratégie relaxante. Car, pour moi, décrocher de la job, ça me prend trop de temps. Et j'ai l'impression de gâcher un brin mes vacances. Donc, la roulotte est installée pas trop loin, juste assez pour me dépayser un peu. Alors en pleine semaine, une fois ma journée terminée, je m'en vais au camping pour déguster une bière ou deux. Bonne fin de semaine!

mardi 23 juin 2015

Ralentissement

Quel drôle de matin que ce matin! J'ai dormi au camping et je suis venu travailler à la maison. On appelle ça début de relaxation avant les vacances! L'an passé, j'ai vu une différence dans mon niveau de fatigue. Cela m'a beaucoup plu. Alors je me lance à coeur perdu dans cette théorie. Force est d'admettre que c'est absolument merveilleux. J'ai besoin de ce repos, un répit dans ma routine. Pas trop désorganisé, mais un break dans ma routine, cela appaise mon âme. Je trouve ça génial! Et demain, c'est la Saint-Jean, alors dernière journée avant ce congé. C'est comme l'horaire de ma femme, un congé le mercredi. Ensuite, deux petits jours et hop! Camping! Bonne journée!

lundi 22 juin 2015

La Saint-Jean

Comme discuté depuis quelques années, la fête de la Saint-Jean pose un problème. D'avoir un congé, soit, fêter la naissance de sa province, c'est cool. D'ailleurs, il y a toujours place à fêter quelque chose. Mais que cette fête soit toujours le 24 juin, cela amène un sérieux problème. Des problèmes de livraison. Des problèmes de délai. Et puis, où est le plaisir de fêter en pleine semaine? Finir de travailler le mardi soir. Quuelques bières et un feu. Une pose en pleine semaine et le 25, on repart pour deux jours, pas tellement le temps d'entreprendre grand chose et c'est la fin de semaine. Si cette fête était le dernier vendredi de juin, alors ce serait toujours cool. On s'en fout que ça tombe la veille de la confédération! Ceux qui tiennent à leur congé payé l'auront et ceux qui veulent en profiter pour voyager et faire durer le plaisir seront aussi heureux. Voilà qui est très cool. Je ne sais pas pourquoi cela n'arrive pas. C'est un peu comme nos idées pour régler certains problèmes de société. On y pense, mais c'est tout! Bon je dois y aller, travail oblige.

vendredi 19 juin 2015

Le climat du Québec

Vive le climat du Québec. Tout en contrastes. À  lui seul, il fait rouler l'économie. Mais heureusement nous pouvons résister, nous adapter. Avec les années, nous nous sommes endurcis. Tellement que même la politique semble être un climat. L'économie aussi! Car comme avec la météo de tous les jours, il semble que nous ne pouvons rien changer à ce régime (modèle?) dictatorial. Se faire une vie en parallèle et oublier le reste. Réussir à être heureux malgré les voleurs, les crosseurs et les vautours qui nous entourent. Ils n'ont qu'une raison pour vivre, l'argent, l'appât du gain et le pouvoir. Côté pouvoir, on repassera. Si monter les taxes, établir un cartel sur le prix de l'essence et gérer des prix à la consommation sont vos armes, alors vous êtes loin. Mais ça fait quand même chier en criss! J'aimerais qu'il en soit différent, mais les seules choses qui peuvent nous rendre heureux sont les suivantes: notre attitude personnelle, les gens qui nous entourent. Pour le reste, souriez à la vie et remerciez Dieu chaque jour de vous avoir donner la vie. Amusez-vous le plus possible, car la vie passe vite et notre société de sacrifices, celle des «X», n'aura pas beaucoup de répit. Bon vendredi!

jeudi 18 juin 2015

Tissu de conneries

Ça  tient du délire que Gilles Duceppe revienne en politique active. Et que personne n'ait encore bloqué tous les grands artères routiers du Québec. Personne ne veut avoir de compte à rendre. Personne ne tient vraiment à ce qu'il y ait du changement. Alors il faut vivre avec ce nuage malveillant. Se dire qu'une fois de plus la dictature règne au Québec. Mais ce n'est pas ce personnage qui changera quoi que ce soit. Mais il va coûter cher. Il nous coûte déjà cher! C'est vraiment lamentable. J'ai mal au coeur d'en parler, j'arrête. À plus!

mercredi 17 juin 2015

Du temps pour moi

Et comme une histoire sans fin, j'écris chaque matin. Cet exutoire me calme. C'est un moment privilégié avec moi-même où je profite du temps jalousement. Je passe mes semaines à m'investir dans ma famille, dans mon travail. Certains vont s'acheter un VTT ou un bateau ou je ne sais trop quoi encore. C'est leur façon de s'évader. Moii j'aime apprivoiser mes pensées. J'aime leur donner une place qui a du sens. Le fait d'écrire tous ces mots me permet de jauger mes émotions. Des fois, je peux presque les prévoir. Ça tient du miracle pour moi. Plus jeune, si explosif... Même si je regrette certaines choses, je m'ennuie de l'énergie que j'avais à cette époque. Toujours du gaz, toujours prêt à bondir dans la vie. Je n'attendais que l'imprévu pour me garocher dedans! J'en ai bavé un coup! Quand j'écris, je me repose. Je dis des fois, que la vie, je l'ai essayé. En réalité, c'est moi que j'ai essayé. C'est à moi que j'ai imposé cet ouragan. Mais je me disais que je ressentais quelque chose. Jamais je ne me droguais. Au final, j'ai plein de souvenirs, pas juste des blancs de mémoire. Mais en fin de semaine, j'ai constaté quelque chose. À voir les autres se «défoncer» en vélo, je me disais, moi, je n'ai plus cette énergie. Quand même que je voudrais, je n'en suis pas capable. J'ai réussi à quitter ma zone de confort, ça oui! Et ça m'a fait une bonne pratique pour le Cyclo-Défi qui arrive à grand pas. Mais je ne referai plus ce genre d'événement. La vie est trop courte, et le temps qu'il m'est alloué sur cette terre diminue vraiment vite. Alors je vais me concentrer sur mes affaires. Ramasser tout cet argent. Ouf!

mardi 16 juin 2015

Prendre sa place.

Enccore un matin sombre. Pourtant, hier, le soleil était déjà fort à cette heure. Bah! Comme on dit, on ne peut rien changer à la météo, mais on peut changer celle de notre coeur. C'est ce que je me disais la semaine dernière. N'empêche que je m'amuse bien avec mon travail, ma famille. Il y en a qui sont plus malheureux. Ils ont même besoin de faire des sorties publiques pour raconter leur vie. Je trouve que le discours de Joël Legendre était pas mal difficile à comprendre. Si ce qu'il raconte est vrai, alors il a vécu sur une autre terre que la mienne. Je ne le juge pas, qui sommes-nous pour juger? Mais son allocution n'était pas claire. Et ça ne me tente pas d'en parler plus longtemps. Il faut se coucher le soir et avoir cette satisfaction, ce sourire intérieur qui nous rappelle la bonne journée qu'on vient de passer. J'aime travailler, j'ai le sentiment d'être quelqu'un, d'être important. La vie, trop courte, est trop belle pour être mis à l'écart. Alors il faut prendre sa place.

lundi 15 juin 2015

La Boucle

Wow! Quelle aventure de faire La Boucle! Tellement de gens, tellement de vélos! Vraiment différent du Cyclo-Défi Enbridge! Plus de crinqués qui se lançaient à vive allure, plus de vélos haute performance. Mais il fallait le vivre! Ah oui! Il m'a fallu ralentir la cadence, alors que j'ai rencontré un membre de mon équipe qui éprouvait des difficultés. Dans mes objectifs, j'allais attendre le reste de mon équipe avec Pat au dernier pitstop. Ce ne fut point le cas. Mon «copain» vacillait, avait des crampes, respirait étrangement, il lui fallait du repos. En même temps, je me disais, si j'appelle des secours, ils vont le ramasser et il ne sera pas fier de sa performance. Alors je l'ai accompagné pendant environ 35 km. Le vent de face était fort et nous l'avions au moins pendant 70 km de temps. J'aurais aimé allé plus vite, mais bon, au final, ma moyenne fut de 21,5 km\h. Si je compare à mon beau-frère Pat, lui a réussi sans entrave à faire 23,5 km\h. Bon. Étant donné le vent, mon «accompagnement», j'estime que ça s'est très bien passé. Et  puis, je n'allais pas là pour des performances, mais bien pour remplir mon mandat, soit «échanger La Boucle contre une adhésion au Cyclo-Défi. Chose faite!
Et puis quelle fierté à l'arrivée! Nous avons bu une lait au chocolat, une bouteille d'eau et trois bières. On ne les a jamais senties! J'ai hâte de voir le parcours de l'an prochain. Et puis, j'ai encore utilisé mon hybride performance!

vendredi 12 juin 2015

Vision

Comme j'ai pu le constater, j'ai bénificié du crédit d'impôt Logi-Rénov. Un crédit d'impôt, c'est donc bien merveilleux? Il faut comprendre que je n'en ai jamais eu. Une fois le rapport d'impôt terminé, on soustrait le crédit. Ça, c'est de la vraie argent! Il y a de quoi fêter! Chaque année, je me bats pour payer mes choses, je fais une série de chèques pour payer mon dû au gouvernement. Quel beau cadeau! Je ne dis pas que c'est gratuit, notre toiture a coûté 33 000$ dollars, mais c'est quand même génial. Hierr nous parlions de notre avenir financier. Encore des dettes pour dix ans. Encore une bonne raison de se garder en forme, car après les dettes, on respire! Oui nous avons acheté une maison grande, tout à fait géniale, mais nous l'avons travaillée! Les travaux que nous avons faits sont pour le moins grandioses. Je suis tellement fier. Et puis, nous ne voulons pas en rajouter sur le tas. Juste vivre ensemble et être heureux. Faire de notre vie un bon moment à vivre.

jeudi 11 juin 2015

Il viendra

Loin de me douter que tout serait ainsi au fil des années, je me considère chanceux d'être en bonne santé mentale, en bonne forme physique et de garder le sourire. Les doutes que j'avais à 16 ans sur l'évolution de la société se sont avérés être pas mal véridiques. À une petite évaluation près, soit que c'est pire encore que je ne le croyais à l'époque. Alors je me dis que je dois continuer. La technologie est plus lente que je ne le croyais. La société plus au ralentie aussi. Les gens ne veulent pas évoluer. Ils préfèrent rester dans une routine et bâtir leur propre petit monde parallèle. Bizarre tout de même. Cela crée une individualité qui va à l'encontre des principes fondamentaux d'une société. Ce phénomène, quelque peu narcissique, nuit à une bonne croissance spirituelle. De ce fait, les moeurs, les habitudes en sont directement influencés. Que faire alors? Rien. Commme les dirigeants sont les premiers à manifester et revendiquer cette attitude, rien ne sert de paniquer. La société évolue en sous-couche. Et, comme je l'ai souvent dit, le changement arrivera par le bas. Voilà où je m'étais trompé. Je croyais fermement à l'arrivée d'un gouvernement qui replacerait les choses. Mais il est impossible de redresser quoi que ce soit dans les hauts palliers. Trop de joueurs, trop de copinage, trop de corruption. Mais le changement viendra.

mercredi 10 juin 2015

Mautadite marde!

J'écris encore ce matin, même si je vais écrire encore tantôt, lors de notre CA mensuel à la chambre de commerce. Et nous parlerons du délicat sujet, qui je l'espère, sera terminé bientôt. Au début de l'année 2014, alors que je souffrais du récent décès de ma mère, les autres membres du CA avaient engagé une nouvelle coordinatrice. Non seulement je n'étais pas d'accord, mais on discutait déjà de l'achat d'un ordinateur. J'étais scandalisé. Puis le temps a passé, l'efficacité de cette dernière laissant quelque peu à désirer. Je n'en avais rien à foutre, étant encore choqué de son embauche. Mais, à un moment donné, il y a eu confusion dans certains compte-rendus, confusion dans la réception des appels. Bref, il a fallu la congédier. Bref, il était temps.
Mais pendant son court mandat, cette dernière tomba enceinte. Elle nous l'a appris à un moment donné. Alors, suite à son congédiement, elle a porté plainte aux normes du travail et  Services Canada. Prétextant que nous l'avons congédié parce qu"elle était enceinte! Ce dossier s'étire depuis bientôt un an. Nous en sommes à une citation à comparaître, le 23 juin. Imaginez : cette personne nous actionne, nous, un organisme bénévole, sans but lucratif, non reconnu par la ville de Québec! J'ai vraiment des crottes sur le coeur dans ce dossier. À suivre.

mardi 9 juin 2015

Toujours des constats

Donc, les gens sont tannés des libéraux, ils sont tannés des péquiste et veulent du changement? Alors expliquez-moi ce qui s'est passé hier aux élections partielles? Les libéraux sont vainqueurs. À quoi ça sert d'essayer de comprendre? Les gens votent pour n'importe qui. On dirait un film d'humour, mais qui coûte beaucoup trop cher à long terme. Je ne dis pas que je ferais mieux, mais je sais que nous, les «X», ne pourront rien faire contre cette vague «boomer». Nos parents vont vivre encore trop longtemps et ils ont ont eu le temps de fausser les idéaux politiques et économiques. Nous sommes coincés dans un marasme économique qui ne fait que s'aggraver. Il n'y aura pas de changement, pas d'explication, juste du mécontentement. Comme ça, nous sommes une ruche qui fait le miel. Le miel est pour la reine. Mais la reine pond pas d'oeufs. Elle engraisse à vue d'oeil. Je ne comprends pas qu'elle n'ait pas encore éclaté.
Après une visite chez le comptable, force est d'admettre que tout est relatif à notre interprétation des choses. Comme je le dis souvent, pour être heureux, il faut choisir d'être heureux. Pas de place pour la tristesse. Les journées sont trop courtes, il faut profiter en souriant de ces moments qui nous sont donnés. Pas évident, mais essentiel.

lundi 8 juin 2015

Lundi matin

Ce matin, au risque de me répéter, je serais parti à l'aventure, sur mon vélo, un petit lunch... Eh oui! des fois ça m'arrive. C'est comme si je me cherchais encore. Comme si je n'avais pas trouvé le fond des choses. Tout ça pour une quête de simplicité. Un désir d'en faire moins. Un peu moins. La vie est si précieuse, si courte, comment faire autrement. Certains pensent qu'il faut en faire le plus possible, ne pas rater un seconde, garder son horaire occupé. Moi je commence à trouver qu'il faudrait que mon horaire s'allège; que j'aie plus de temps pour moi. Plus de temps pour apprécier ce que j'ai. La vie nous donne des exemples, que nous interprétons chacun à notre façon. Pour le reste, il s'agit de composer avec tout ça. Si je ne prends pas d'initiative, quelqu'un s'en chargera pour moi. Il ne viendra pas s'imposer, mais ses décisions influenceront les miennes. Ainsi va la vie. Je ne dis pas que j'arrête tout, bien au contraire, mais que je veux savourer chaque moment. Bonne semaine!

vendredi 5 juin 2015

Vendredi!!

Cette semaine, je suis allé à une formation de vélo. Incroyable tout le contenu qu'il y avait. Le gars, Sylvain Potvin, nous a amené avec lui dans son monde du vélo. Il était extraordinaire. Rempli de connaissances, en maîtrise de son sport, il a été champion du Québec en 1990. Une machine à vélo, mais aussi un connaisseur de vélo. Il m'a aidé à me rappeler certains principes de base, mais aussi, il m'a donné des conseils pour améliorer ma coordination. Évidemment, je suis le seul qui pédale sans clips. J'ai avoué mon déficit d'attention et le reste du cours s'est écoulé, parfois avec humour, mais surtout en acquisition de connaissances. Bref, j'entends bien le rappeler pour d'autres conseils. CE matin, comme à chaque matin de la semaine, j'ai pédalé consciencieusement, me remémorant certains choses que j'ai retenues. Après tant d'années sans aucun enseignement, sans conseil, on peut dire que j'ai des mauvais plis. Il m'a dit de me racheter un compteur, ce dernier m'aiderait à conserver une vitesse stable. Aussi il serait pratique pour compliler mes balades. J'ai délaissé les compteurs il y a bien des années, trouvant cela inutile. La majorité du temps, je fais du vélo seul, la compétition ne s'installe pas tellement et je dois compter sur ma volonté pour me stimuler et continuer. Comme chaque jour de la semaine, je dois m'autostimuler. Aujourd'hui est un jour spécial, comme tous les vendredis! Amusez-vous!

jeudi 4 juin 2015

À moi de faire la différence

Alors après une visite chez le comptable, je suis ressorti enjoué. Oui-oui! Enjoué de voir que je ne payais pas d'impôt cette année. Mes REER ont servi à quelque chose. Ça mérite d'être fêté. Je  vais m'acheter une bonne bouteille de Jack. Et, ce dernier, le comptable, m'a dit d'arrêter de m'en faire. Plutôt penser à ma famille, à moi. Ça m'a fait du bien. Pour une fois, j'ai senti qu'il m'écoutait. J'ai aussi senti qu'il me regardait depuis des années. Je me disais que je devais passé moins de temps à analyser et agir plus constructivement. Sachant sciemment que toute cette écono-politique est un leurre dans lequel nous vivons. À  bien y penser, nous sommes comme des abeilles qui butinent pour la reine. Sauf que nous vivons plus longtemps qu'une abeille et que la reine ne pense pas aux abeilles, ni au future de la ruche. Elle ne pense qu'à son futur.
Ceci dit, à moi de continuer à travailler, saisir ce privilège de pouvoir vivre et trouver le bonheur dans mon quotidien. Je pense qu'à date, presqu'à mi-année, les choses vont bien. Je sais dire non, je suis meilleur qu'avant pour reconnaître certaines situations dans lesquelles je ne serais pas confortable. Voilà. Bonne journée!

mercredi 3 juin 2015

Constat plate!

DE  ce que je lis ou vois sur Facebook, les gens sont toujours tannés des coupures, mais personnes ne doit être coupé! Comment couper alors? Vous vous doutez qu'il y a sûrement quelques employés de trop dans la fonction publique? Et puis, certaines gens devraient être surveillés dans cette même fonction publique. Car la vente d'une turbine qui servait à la centrale de Gentilly n'a pas fait jaser autant que le décès de Jacques Parizeau. Pourtant, il y a une marge entre 79 millions et 75 mille. Mais tout ça semble un peu bizarre. C'est la castafiore qui a ordonné la fermeture de la centrale Gentilly. Les médias se sont empressés de faire passer très vite la nouvelle. Et, étrangement, la vente de cette turbine pour de peanuts... Les médias ont encore étouffé l'affaire au profit du retour des Nordiques, des derniers événements qui auront lieu au Colisée Pepsi et le décès de Jacques Parizeau.
J'en viens à la conclusion que les médias, en laissant les gens émotifs, réussissent à étouffer n'importe lequel des scandales. Si quelqu'un ou quelque chose devient la piniata pendant plus de 36 heures, alors c'est une vengeance. Bref, nous ne sommes pas du bon côté de la justice. Dommage.
Pis à bien y penser, qu'est-ce qu'il y a à Québec de si hot pour qu'on y reste? Climat de marde, ville de fonctionnaires ennuyante, routes plus maganées qu'à Cuba, aucun droit d'affichage pour les nouvelles business, essence trop chère, lait trop cher, ça prend un permis pour tout. Bref, je pourrais en dire pendant une demi journée, mais j'en ai déjà mal au coeur. Alors je cherche encore, mais en me donnant pour ma famille, mon travail, mes choses. (Sont-elles vraiment à moi?)

mardi 2 juin 2015

Insatisfaction

Et ça continue! L'ascension du prix de l'essence. Ça commencé il ya trois semaines avec un 14 cents le litre. Après avoir baissé de dix, un autre 14 cents le litre. Donc 18 cents. Pis là, après l'avoir baissé de 14 cents, pouf! 17 cents! Donc 21 cents le litre! Alors que le litre d'essence devrait être sous les un dollar, ici, au Québec, en plus de geler à l'année, l'essence est chère. Pourquoi faut-il toujours payer? Y a juste quand je fais du vélo que j'ai l'impression de ne pas me faire fourrer! Quand je conduis, l'essence, le prix des plaques, le prix de mon permis de conduire et l'état des routes m'horriplilent! Où va donc cet argent? Sur la route, je vois des autobus du RTC. Presque toujours vides ou très peu remplis, nous payons un immense garage pour l'entretien et aussi les employés. Quand j'entre à l'épicerie, le prix du lait, du fromage, les formats qui rapetissent, le prix de la bière, du boeuf, des fruits et légumes, c'est tellement trop! Quand je travaille dans mon bureau, le prix des taxes, de l'électricité, de l'huile à chauffage, le service de collecte des vidanges, l'entretien de nos rues; c'est trop cher payé pour si peu. J'étais très sérieux quand j'ai parlé de déménager. Oui ça semble obscur, déstabilisant, mais ici, ça commence à être lourd toutes ces taxes, tous ces paiements. À quand un petit break? Nous, génération «X», génération de sacrifices! Je ne veux plus payer pour les autres. D'ailleurs, si c'était raisonnable, je n'aurais pas un mot à dire. Mais ssi c'était raisonnable, ça se saurait! Bref, à 1,31$ le litre, le baril à 58 cents... Bonne journée.

lundi 1 juin 2015

Le temps passe...

C'est long 6 jours sans ma chérie. Bien sûr il y a plus dur que ça à traverser dans la vie, mais l'Amour n'a pas frontière, ni de condition. Mais jusqu'à maintenant, j'ai su bien remplir mon temps. Pas tellement ensoleillé ce matin. Et dire qu'hier, pas tellement chaud et cette neige... de pissenlit! En 9 ans de vie, à cet endroit présent, je n'ai jamais vu une telle merde. Toute la journée, il tombait des moussons de pissenlits. Est-ce que ce tapis blanc viendra ruiner nos efforts d'avoir une pelouse un tant soit peu jolie? Et si c'est le cas, encore un irritant qui s'ajoutera dans la liste de ceux qui nous écoeurent déjà. Hier, alors que nous circulions pour le spectacle de danse de ma plus jeune, force est d'admettre que beaucoup ont perdu le contrôle avec leur terrain. La pelouse longue de 6 à 12 pouces, semant au vent des pissenlits dans tout le voisinage. Moi qui trouve que je manque de temps pour m'occuper de mon terrain! Pourtant, ce printemps, nous étions assidûs, remplis d'espoir. Au mois trois journées de travail pour rehausser ce terrain! Mais hier, c'était déprimant. Pourtant, le gens se plaignaient du froid, avaient hâte au printemps! Qu'attendez-vous pour bouger? Pourtant, je vois plein de gens courir, pour se garder en forme. Tondre son gazon est un moyen parmi plein d'autres pour bouger, se garder vivant! Et puis, quel plaisir y a-t-il à passer une fin de semaine dans la scnoutt des pissenlits? Pis vos voisins?! Ils doivent vraiment vous aimer ce matin! 
Pour en revenir à la course, ce phénomène est formidable! On dirait une nouvelle mode! Les gens courent. Moi je suis bien d'accord! Prendre du temps pour soi! Est-ce que garder sa propriété propre, c'est prendre du temps pour soi? Est-ce se respecter? Est-ce respecter les autres? À coup sûr!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...