lundi 30 septembre 2019

Un peu plus simple, s'il-vous-plaît...

Si on m'avait dit un jour, ta vie sera un long voyage difficile, pendant lequel tu chercheras en vain qui tu es et ce que tu veux, je pense que je me serais enterré pour voir si je peux survivre en dehors ce ce monde. Ça peut sembler un peu débile comme réflexion, mais travailler autant pour me rendre compte que finalement, j'ai tellement fait autre chose, autre chose que de me concentrer vraiment sur ce que je devais faire! Bien sûr, depuis des années, je me dis que ce que j'ai accompli, c'est merveilleux! J'ai même fait des thérapies qui m'ont aussi convaincu de la même chose: ce que j'ai fait, je l'ai fait de mon mieux. Peu importe quel chemin j'ai emprunté, j'ai toujours avancé. Et je peux vous assurer que j'ai bel et bien avancé! Par contre, où suis-je rendu? Je suis rendu à cinquante ans, toujours en train de me demander ce qui serait le mieux pour moi, pour ma famille. Et en bonus, j'ai peur de changer quoi que ce soit, car ce n'est pas si mal. Mais ce mal à l'intérieur, ce besoin d'en faire plus, de donner, de partager; ce je ne sais quoi qui bouillonne quelque part. Je n'ai plus la fougue de mes vingt ans. Et les chemins que j'ai «choisis» m'ont laissé des cicatrices, m'ont «volé» bien de l'énergie, essentielle pour continuer. Et ça, je dois composer avec. Tout cet entêtement à me dire que j'étais capable de me débrouiller tout seul! Aujourd'hui, après des années à remplir le rôle d'un tas de personnes, je ne peux que faire le constat suivant: j'ai perdu mon temps. Perdu à faire tout moi-même, perdu à sauver de l'argent au lieu d'en faire! Et d'en prendre conscience ne change rien pour le moment. Depuis mon départ de CodeBoxx, je cherche comment faire. Comment sortir de cette roue qui, avec le temps, tourne plus vite que moi! Même si je suis résilient, je ne suis pas inconscient. La résilience, c'est se résoudre à continuer malgré tout. Oh oui! Je le connais bien ce «mot»!!! Mais malgré cette volonté que j'ai, il m'arrive de vouloir en faire encore plus, je dirais de vouloir faire autrement. Suis-je un peu timbré? Est-ce sain de vouloir remuer ciel et terre pour comprendre, pour atteindre ses objectifs? Quand je regarde mes enfants, ceux des autres, je me demande bien ce qu'ils feront pour s'en sortir. Bien sûr, personne n'a le même parcours, mais il y a toujours de grosses vagues, des tempêtes, des temps de crise. Devrais-je aller travailler pour quelqu'un? Devrais-je au contraire continuer de faire ce que j'aime, mais arrêter de m'en faire avec ce qui se passe autour? Arrêter de me dire que c'est trop long, que ça n'avance pas! Le temps passe, mais il n'y a pas grand chose qui évolue. À force de vouloir changer les choses, de vouloir ramener des valeurs comme le respect, l'hospitalité, l'Amour, est-ce que ça sera assez?

On démarre la semaine en grand!

Quelle belle fin de semaine malgré la pluie et le froid. Samedi, nous avons participé au tournoi de Freebees golf qui se tenait au camping! Il mouillait, tout était détrempé! Avec un bon imperméable et des bottes étanches, ce fut une bonne journée. Ma Bibi commençait à être très dégourdie en fin de soirée. Mais cet événement venait avec un souper et aussi une soirée avec un band du nom d’Ocarina. Pour vingt-cinq dollars, je dois avouer que ça valait le coup. Hier matin, il faisait seulement six degrés, nous ne sommes même pas allés en vélo! Mais nous avons fait de petits travaux, comme déplacer une partie de notre entrée, chose qui se devait d’être faite depuis le nouveau patio. Nous avons aussi fait un feu, pour se réchauffer, mais aussi pour brûler ce qui ne «rentrait» pas sous l’abri à bois. Avant d’allumer ce feu, nous avons fait le constat que notre pot à feu était trop étanche et que, depuis que nous l’avions vidé du trop plein de cendres, il se remplissait d’eau. ALors nous l’avons «sorti» de son trou, rempli le «lac» qui lui servait d’assise, et nous l’avons réinstallé! Le résultat est excellent. Par contre, ça sentait la fin en mautadine au camping. Chaque année, c’est la même chose, ce froid, le fait de réaliser que le manteau blanc arrive... Isshh! Ce matin, à trois degrés, c’était frisquet en vélo, mais tout de même praticable. Il faut chauffer ce matin, et si ce n’était que nous sommes encore en septembre, je crois que j’aurais parti le chauffage central. Le scénario ressemble à celui de l’an dernier. Froid très tôt, soleil timide, rien de très «annonceur» pour un automne doux. Ça fait vraiment chier. Plus je vieillis, plus j’ai de la misère avec la saison froide. Et depuis le fameux hiver 2007-2008, il semblerait que nous sommes vers une pente descendante avec le mercure. Peu importe ce que les «green» trouveront à nous dire, j’ai tellement d’écrits qui peuvent venir confirmer ce que je dis; ça se refroidit de plus en plus. Même si les moyennes ne semblent pas trop affectées, le fait est que les journées sont plus froides, alors que les nuits le sont un peu moins. Donc les moyennes se ressemblent, mais on se gèle le cul! Comme ce fut le cas l’hiver dernier. Pas vraiment de records de froid, mais des journées tellement froides... On se calme, il reste encore du temps avant la visite du grand manteau blanc. Il reste aussi un peu de temps avant les élections... Encore une supercherie incroyable! Le plus important, ce serait d’arrêter le déficit, qui semble à bord d’un CF-18, en pleine montée vers des plafonds encore jamais atteints! Ensuite redonner aux citoyens plus de «liberté» avec l’argent qu’ils gagnent. Mais on s’en reparle plus tard!

vendredi 27 septembre 2019

Pas facile d’être triste.

Je ne sais pas pour vous, mais je me sens triste ce matin. Vraiment triste. Je pleurerais tellement ça me tiraille. Et je cherche qu’est-ce qui fait déborder le vase d’émotions. Des fois, mon humeur ne tient qu’à un cheveux. Quand j’étais adolescent, les gens disaient que je faisais des crises d’angoisse. Moi je me sentais tellement mal, j’aurais voulu disparaître de cette vie. Ne pas avoir exister serait plus précis. Car une fois installé dans cette vie, il y a des tas de choses qui font que tu aimes ça. Il y a des gens auxquels tu t’attaches, avec qui tu veux passer du temps, évoluer, discuter. Alors il faudrait que je n’aie jamais existé pour disparaître, sinon je serais malheureux de quitter ce que j’aime, les gens avec qui j’ai établi des liens. Depuis mon adolescence, j’écris; je prends du temps pour moi en écrivant ce que je ressens. Je dessine aussi, des fois que ça me permettrait aussi d’évoluer! Je ne dis pas que de m’exprimer arrange tout, mais ça aide à poursuivre, à m’inspirer de nouvelles avenues, de nouvelles idées. Récemment j’ai essayé de passer à autre chose, de changer ce moule dans lequel je suis. Mais je n’arrivais pas à m’en détacher; on aurait dit que ça me faisait de la peine. Comme une peine d’Amour. Alors je suis revenu. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je crois que de vivre en harmonie avec son entourage est essentiel pour évoluer. Et je crois sincèrement que les choses qui nous irritent, on doit les éliminer, les enlever de notre vie. Pas de façon radicale, mais tranquillement, en apprenant de nouvelles façons de faire. Je suis allé chez mon père dimanche dernier pour l’aider avec une réparation sur sa maison; je l’ai trouvé en bonne forme, rempli d’une volonté incroyable, mais j’ai senti aussi qu’il commençait à s’essouffler, à vouloir ralentir. J’ai aussi trouvé qu’il avait une certaine crainte devant le fait de devoir déménager. Après autant d’années en maison, retourner en appartement... Je suis de tout cœur avec lui. Il est vingt-sept ans en avant de moi, ça passe vite le temps. Heureusement nous sommes vendredi.

jeudi 26 septembre 2019

Comment faire?

Ce fut une journée dure en émotions. En bonus, Joanne n’a pas tellement dormi cette nuit. Et cette fraîcheur qui s’installe beaucoup trop tôt ne m’enchante guère. Finalement de longues heures passées à l’hôpital pour ne pas en savoir beaucoup plus. Avoir un enfant aussi instable, ce n’est pas facile. Mais mon épouse est ébranlée pas mal et je ne trouve pas ça drôle du tout. Très gris et mouillé ce matin, il semble que ce sera une journée pluvieuse, le genre qui vous mine le sourire rapidement. J’ai décidé de mettre des dessins sur Instagram, histoire de faire connaître au monde ce que j’ai à dire en illustration. Pour vrai, je veux m’exprimer au maximum, extérioriser toute cette hargne, ce je suis «en troisième esti», la vie est trop courte pour que je sois marabout avec ceux que j’aime. Alors j’écris tous les jours, je dessine tous les jours, pour passer au travers de ce monde de taxes. Dans ce monde de crosseurs qui cherchent à nous «avaler» tout rond. Et comme certains nous rentrent dans la gorge une certaine crise climatique, je sens que la chaîne va débarquer quelque part... J'ai tellement de peine pour mon enfant, mais aussi pour mon épouse. Voir ceux que j’aime, déchirés, m’empêche vraiment de sourire sincèrement. J’ai le goût de m’encabaner pour les six prochains mois, laisser passer le temps un peu et prendre le temps de revoir tout ça. Et si le temps frais perdure encore, je devrai partir le chauffage central très tôt. Encore des sous qui r’volent! Impossible de s’en sortir. Tout ça taxé au goût du jour. Que fera-t-on? Je suis en pleine analyse, je veux trouver une façon de tirer les bonnes ficelles. Je continue ma journée, on s’en reparle.

mercredi 25 septembre 2019

Dur matin.

Comment ça va? Je me demande comment on fait pour survivre à notre climat! Tellement de contraste, pas facile de s’adapter le sourire. Mais il y a bien d’autre chose auquel il faudrait s’adapter. Comme l’augmentation des taxes partout, une sorte de marasme incroyable qui vient changer notre quotidien bien plus que les soubresauts du climat. L’homme est nocif pour lui-même, bien plus que pour le climat. Loin de moi l’idée de vouloir donner des leçons à qui que ce soit, bien au contraire, juste un brin de réalité! Les gens ne semblent pas se rendre compte que beaucoup de personnes en profitent, pendant que les médias nous abreuvent de toutes sortes d’histoires mirobolantes! Et comme si ce n’était pas assez, mon plus jeune déraille. Impossible de savoir ce qu’il a vraiment. Mais une chose est sûre, nous sommes assez impuissant devant sa détresse. J’aimerais pouvoir en faire plus, j’aimerais comprendre plus, mais je n’ai pas de référence. Je pense que je dois y aller, à plus.

mardi 24 septembre 2019

On continue!

Onze degrés ce matin, il pleut tellement. Pourtant, il pleut depuis hier! Très sombre et il semble que les températures «normales» nous aient quitté pour de bon. J’ai pédalé à l’intérieur, avec de la bonne musique. Je ne peux pas me plaindre de ma saison extérieure de vélo, car je crois que je me suis retiré à l’intérieur seulement trois fois en tout. Et ce n’est pas fini, il me reste sûrement un mois encore à pédaler! L’automne dernier, malgré un manteau blanc qui est venu s’installer un mois trop tôt, je me suis rendu au mois de novembre. Alors je suis optimiste devant le mois qui s’en vient. Je veux vraiment amener du changement dans ma façon de travailler. À croire que je n’y peux rien. Et puis, trouver une façon de faire de l’argent, et non d’en sauver. Mon expérience avec CodeBoxx m’a fait réaliser que je suis vraiment bien à travailler de la maison. Elle m’a aussi montré que je devais ralentir un peu. CE que j’ai commencé vendredi dernier, en prenant congé. Et j’entends continuer comme ça. Et puis je trouve que le gouvernement nous «mange» tellement trop de cet argent que nous gagnons. Chaque jour que nous travaillons, à faire de notre quotidien une réussite, à essayer d’améliorer nos façons de faire. Comment faire pour voir le bout? Tirer les bonnes ficelles? Je n’arrive pas à comprendre comment faire. Même si j’améliore ma façon de facturer, je vais quand même devoir remettre un chèque à la fin de chaque trimestre. J’isole un problème assez vite: une fois en business, nous devenons percepteur de taxes. Et pour nous remercier, le gouvernement nous en fait payer! Ce n’est pas normal de percevoir des taxes pour le gouvernement et d’en payer! La seule façon de s’en sortir, c’est de dépenser autant qu’on facture! Donc ne pas faire vraiment d’argent. Alors je veux trouver une ou des façons de faire pour reprendre le dessus! Voir autre chose qu’une marge de crédit qui stagne. Alors j’attaque ça du mieux que je peux! Et nous verrons bien ce que je réussirai à faire! On se reparle.

lundi 23 septembre 2019

Heureux!

Hier nous sommes allés chez mon père, à Ste-Rose, pour souper (la pizza de mon père était tellement bonne!) et aussi l’aider pour replacer une tôle de fascia qui s’était détachée de la maison cette hiver. L’hiver dernier fut une saison difficile à oublier, avec son froid, son verglas et tous ses soubresauts! Il faisait chaud avec un fort vent! Ça faisait drôle après trois semaines de froid un peu trop tôt pour la saison, de sentir un fond d’air plus doux. En passant, mon père a vendu sa maison, un souci de moins. À soixante-dix-sept ans dans un mois et demi, il est grand temps qu’il aille plus de temps pour lui, et moins de soucis d’argent.

 Ce matin, avec un vingt-et-un degrés, malgré la pluie, je suis allé pédaler un peu. Le vent me tirait presque au sol. J’étais content de revenir. Mais c’était le matin de vélo le plus chaud de l’année! Vendredi, ma douce et moi, nous avons pris congé pour pouvoir profiter de la température. Nous nous sommes rendus au camping. Aussitôt arrivés, nous avons enfilé nos vélos et nous sommes partis pour le camping Lac Georges, à Val-Alain. Martin nous attendait. Ce fut un bon moment! Puis nous sommes revenus, moyenant quatre-vingt-quinze kilomètres. Quelle belle journée! Nous avions des amis qui nous attendaient au terrain trois cent soixante-douze. Difficile de ne pas prendre un verre, mais j’ai réussi. La journée de samedi fut merveilleuse avec sa belle température et le quiz musical de Sylvain Germain! C’est ce genre de moments qui devront prôner dans les années à venir, parce que je veux prendre la vie un peu plus doucement, un peu moins stressante. Mais j’ai vu aussi que mon fils, le plus jeune, n’allait pas bien dans son cœur, ni dans sa tête... Ça c’est plus dur à gérer quand tu prends un verre avec des amis. ALors je repars ma semaine avec la ferme intention d’accomplir de merveilleuses choses! Le reste viendra, il suffit d’y croire! 

Mais je serais bizarre de ne pas mentionner qu’aujourd’hui, c’est la fête à ma tendre et douce épouse, Joanne Lajeunesse! J’aimerais vous dire à quel point partager ma vie avec elle est une expérience extraordinaire. QUe malgré toutes les tempêtes, rien n’a jamais fait «craquer» ou encore «ébranler» notre Amour. Comme si nos cœurs, mariés depuis 1997, étaient scellés, imperméables aux aléas de la vie. Elle a quarante-six ans aujourd’hui. Je vais aller la réveiller dans quelques minutes. Vous savez, je pense qu’aimer et se sentir aimé, ça vaut plus cher que toutes les fortunes du monde réunies. Peu importe la vie, il y toujours cet Amour pour nous garder! Vive l’Amour!

jeudi 19 septembre 2019

Libre?

Jeudi matin, il fait cinq degrés, très froid en vélo. Mais il semble qu’il fera beau. Nos grands penseurs ont pris soin de monter le prix de l’essence sous prétexte que ce sont les événements de dimanche dernier qui font une différence! C’est vraiment plate de vivre sous un régime dictatorial où les gens sont comme «lobotomisés», insensibles à tout ce qui arrive. Ou bien ils sont mal renseignés, peut-être aussi trop prisonniers de ce qu’ils ont l’air, prisonniers de leurs performances personnelles. Bref il est facile de déblatérer à l’infini, car le rire est réparateur, mais rien ne change. Je me dis que c’est difficile d’être un tyran, dans un monde où ceux qui nous dirigent le sont déjà. Je me dis que c’est peine perdue, dans ce monde étrange, cette société chacun pour soi. J’aime mieux faire une différence dans ma propre vie, sourire à ceux à qui ça fait du bien! Pour les autres, bien arrêtez un peu pour voir, pour ressentir l’énergie autour de vous. Je ne suis pas un donneur de leçons, je suis un amoureux de la vie, qui veut le partager avec les autres! Mais ceux qui sont «aveugles» devant mes sourires, à vous de faire fleurir votre quotidien. Le respect commence par soi-même. Et on ne peut aimer quelqu’un qui ne s’aime pas. Alors vivez autant que vous le pouvez, les autres qui en font autant seront heureux de voir qu’ils ne sont pas seuls. Au diable les contraintes, faisons place à l’Amour et au respect! Si mes valeurs sont «vintages», pour moi, elles sont honnêtes et me servent de phare dans cette tourmente. Et puis je suis content de ne pas être en avant, pour devenir la «piñata» du jour; le tribunal publique est tellement ravageur! Avant il fallait que ça se sache, maintenant les réseaux sociaux ont trop tôt fait de démolir quiconque «déplaît» à une certaine clique. Et cette clique sait comment enflammer ces réseaux et faire la peau à quelqu’un! Alors quand vous lisez quelque chose, pensez-y avant de «liker»... Ceux qui pensent que facebook, c’est privé... Ceux qui pensent qu’ils sont libres... Je vous souhaite une belle journée!

mercredi 18 septembre 2019

Je commence à bouillir.

C’est vraiment froid ce matin! Cinq degrés pour pédaler, rien ne sert de s’énerver! Après la journée sombre d’hier, j’espère que nous aurons un peu de soleil aujourd’hui et que le mercure dépassera les quinze degrés. Par contre, j’ai bien travaillé; encore sous le choc de mon départ de CodeBoxx, je n’arrête pas de me dire que c’est correct. Mais après s’être préparé aussi longtemps pour ça, ça fait quand même bizarre de tout mettre ça de côté et de continuer comme si de rien n’était. En fait, ce n’est pas du tout comme si rien ne s’était passé : je me sens à la croisée des chemins, me demandant quelles sont les améliorations qui seraient profitables pour moi? Pour aider LADO à progresser et faire un peu plus d’argent.Une chose est sûre, je dois fournir les prix d’avance, tenir mon client informé de ce qu’il va payer. Faire un suivi encore plus serré sur les comptes recevables. Mettre ma comptabilité en ligne, pour gagner en souplesse et aussi en vitesse. Je dois aussi me débarrasser de certains clients qui, pour toutes sortes de raisons, me font perdre mon temps et mon argent. Il y a des élections qui s’en viennent, ça commence à se faire sentir. Et comme nous n’avons qu’un seul vote, c’est vraiment pas beaucoup pour espérer du changement. Ça fait longtemps que je n’ai pas parlé de ce qui me tracasse dans cette avenir politique. Eh bien, sans vouloir être alarmiste, je crois que les gens ne sont pas conscients qu’ils se font manipuler par les médias. Je crois aussi que les médias sont de mèche avec les lobbies. Je crois aussi que les changements viendront par le bas. Le système québécois, bâti par des gens très intelligents, continue de garder trop de gens unilingues afin de leur cacher ce qui se passe ailleurs. De là s’est créé une tare; un retard sur le reste de l’économie mondiale, mais aussi sur les mœurs. Pris dans un marasme qui semble vraiment n’avoir aucune porte de sortie, il y a fort à parier que le trou d’eau continuera de sévir pendant encore un bon moment. Cela m’inquiète, car depuis son arrivée, il s’amuse à distraire les gens pendant que les cartels se consolident. Et que dire du structurant lourd dont personne ne veut? En plus, de nous être fait fourrer aux élections, le nain de jardin en place en rajoute dans son comte de fée qui commence à coûter vraiment trop cher. Alors il faut des solutions, et ça presse!

mardi 17 septembre 2019

Constat

Premier matin de ma nouvelle vie! Quelle grande affirmation! Hier j’étais sur le choc de me séparer de CodeBoxx. Alors je reprends à temps complet LADO Lettrage. Bien sûr, je compte bien y mettre du cœur et quelques changements. Mais pour l’instant, je me sens épuisé. Donc je vais me remettre tranquillement de mes émotions, ensuite je continuerai ma route. Je me rends compte qu’en vieillissant, je deviens moins «résistant» à cacher mes émotions. Je me demande pourquoi. Je veux bien continuer ma route, remplir mes journées de bonheur, mais aussi de nouveautés. Si je ne le fais pas, alors je serai prisonnier d’un marasme qui me rendra un peu trop aigri. Ce n’est pas ce que je veux pour mes vieux jours. Je veux dessiner encore plus. Je veux écrire toutes ces choses qui me trottent dans la tête. Et je veux travailler en m’amusant, comme je sais si bien le faire. Y a-t-il d’autres recettes pour y arriver? Et puis je veux partager, à qui veut bien, toutes ces connaissances qui vivent en moi. Leur permettre de continuer à servir, leur donner une perrénité! À quoi bon apprendre autant de choses si c’est pour mourir avec? J’ai compris que mon erreur fut de sauver de l’argent au lieu de faire de l’argent. Je veux me concentrer sur ce fait et essayer de changer ça. À cause de mon impulsivité, à cause de mes peurs, j’ai dû battre en retraite trop souvent. Et j’ai passé ma vie à essayer de rattraper ce qui m’était passé devant pendant sans que j’en sois conscient. Trop occupé à chercher qui je suis, ou encore à être un père complétement désorienté devant les aléas de la vie. Aujourd’hui je sais qui je suis, ce que je vaux; je veux être heureux et profiter au maximum du temps qu’il me reste. Je veux aussi dire au monde que je suis là, je suis Donald, une personne aimante qui veut exprimer des choses, partager des connaissances, et, surtout, être heureux! À plus!

lundi 16 septembre 2019

Jour 9

Dix degrés en ce lundi matin, il semble que la journée sera plus belle qu’hier. Ce ne sera pas difficile de faire mieux. Mais c’est aussi jour de remise de résultats chez CodeBoxx! Je me rends sur place ce matin, avec la conviction de m’être trompé; Je n’aime pas ce que j’ai fait les deux dernières semaines. Il n’y a que les fous qui ne se trompent pas. Après avoir discuté avec mon coach, je me rends bien compte que je ne suis pas à ma place. Le trafic tous les matins, les maux de dos, la fatigue visuelle sont des irritants auxquels je pourrais éventuellement trouver des solutions, mais le côté abstrait de ce travail, les longues recherches pour trouver des solutions me rendent amorphe. Je me suis rappelé ces années du secondaire, alors que je m’interrogeais sur la nécessité d’apprendre la trigonométrie et tous ces concepts abstraits. Peut-être que je ne vois pas le concret, les vrais besoins des entreprises. Je crois que la robotisation, l’automatisation et le développement de l’intelligence artificielle seront partie intégrante de notre quotidien, et qu’il faudra des gens pour programmer tout ça. Et puis, j’ai des faiblesses au niveau de ma mémoire courte. Et puis ça demande une concentration constante, chose que j’ai vraiment de la difficulté à faire. Et puis je m’ennuie beaucoup, étant donné que cette discipline ne demande pas vraiment de travail manuel, ou encore physique. Et puis le contact humain est quand même limité. Je veux bien croire que mon corps est fatigué de ses grosses journées, mais rester assis une bonne partie de la journée ne rend pas vraiment heureux et cela n’améliore en rien le bas de mon dos. Tout ce temps passé à essayer de trouver comment ça marche, m’irrite et j’ai l’impression que je vais manquer de temps! Sûrement que mon age fait partie de l'équation; je vois bien je n'ai pas encore beaucoup d'années pour assimiler et devenir excellent dans un truc qui ne me passionne pas vraiment. Sans oublier que je dois continuer à payer des factures, avec ma femme, assure le bien être de la famille. Par contre, il est facile de développer du travail en équipe, d’établir des liens avec les gens autour. Mais je me suis rendu compte que mon travail pour LADO depuis les dix-neuf dernières années, était une réussite à laquelle je m’étais attaché. Toutes ces années à chercher comment être heureux en travaillant m’ont dicté une façon de faire que je n’ai pas rencontrée les deux dernières semaines. Et je me sens prisonnier, à l’intérieur de quatre murs, cherchant des solutions de programmation, toutes mes neurones qui tentent de converger vers l’ultime solution. Je comprends encore mieux que ce métier est en demande, mais je comprends aussi que ce n’est pas pour moi. Mais je continue de dire à mes enfants qu’ils devraient apprendre ce travail. Et je vais le conseiller à certaines de mes connaissances, car ils pourraient trouver chaussures à leurs pieds dans ce créneau en plein développement. Un secteur très en retard, ici, dans la belle province...

vendredi 13 septembre 2019

Petite pause.

Un peu de répit sur le codage en ce vendredi de travail. Finalement j’ai appris à programmer beaucoup plus que de coder. S’il y a une similitude, il y a sûrement une différence entre les deux. Hier fut une dure journée pour l’orgueil, alors que j’ai passé au travers du livrable sans toutefois faire trop de zèle. Puis je suis parti pour la maison, dans le but d’accueillir l’auto d’un client. Auto qui sera enveloppée en entier demain soir. Nous sommes allés souper et faire un peu de commissions. En revenant, j’ai travaillé un peu. Et je me suis couché complètement vidé. Ça fait deux matins que mon cadran me réveille, chose plutôt rare. Ça veut dire que la fatigue commence à prendre du terrain. Ce matin, six degrés, il fera beau. C’était frisquet en vélo, je dirais même que c’était froid! AUssitôt que possible, j’attaquerai le wrap de ce véhicule, chose que j’aime faire! Je dois aussi imprimer des trucs, ce sera une journée typique de LADO Lettrage. Et comme le temps est très compté, je vais commencer tout de suite. À plus!

jeudi 12 septembre 2019

Jour 8

Une journée qui commence dans l’humidité, mais qui sera ensoleillée. Dix degrés sous une brume, j’ai pédalé en me demandant où est-ce que j’en étais dans mon aventure CodeBoxx. Chaque fois que j’entre dans le local, la plupart étant plutôt des lève-tard, alors que moi, je me sens prêt pour un marathon... Hier, je me sentais prisonnier dans un formulaire qui me faisait sentir comme un attardé. Je voulais avancer, donner vie à ce projet. Mais comme il faut apprendre sur le tas, il faut aussi se plier aux désagréments des plate-formes et de leur implémentation. J’ai tellement l’impression de perdre mon temps. C’est une sensation qui me fait angoisser, me donne des problèmes de digestion et m’empêche de dormir. Ce matin, je veux essayer d’arriver plus tôt, pour tenter de finir le déploiement de mon travail, et qu’il soit enfin en ligne. Le trafic me rend fou, surtout le soir, parce que je suis en «descente» de concerta. Mais aussi hier soir, vers 18:50, alors que je devais traverser le pont... Dix minutes de parking...Ça m’a pris une heure et cinq me rendre chez mon client. Comment être capable de réussir à bien travailler ensuite? Je sens une sorte de rage au dedans de moi et je n’aime pas ça! Mais comme c’est la dernière journée de Genesis, demain sera une énorme journée! Et je dois absolument travailler ce soir. Le retard me crie après. Me revoici en pleine après-midi! Je crois avoir passé au travers de la grande majorité des exigences du programme Genesis. Difficile de dire si je vais faire la coupure, mais une chose est sûre, j'ai vraiment le cerveau en compote. On termine ce soir. Il va falloir remettre nos travaux demain. Je vais devoir conjuguer avec tout ça au travers de ma journée de travail. Les gens dans mon équipe sont vraiment sympathiques. Et je crois avoir établi certains liens avec deux personnes. Anyway, je dois céder ma place, je ne suis pas à ma place... J'aime avoir accès à certaines de mes applications pour assurer un certain suivi sur mes choses. Mais je ne peux continuer comme ça. Chaque jour me rapproche d'une fatigue que je ne pourrai controller.

mercredi 11 septembre 2019

Jour 7

Bon matin! Dehors, il fait douze degrés, il pleut beaucoup. C’est très sombre depuis l’heure du souper hier. À bord de la cohorte de CodeBoxx depuis mardi dernier. Je n’arrive pas à y trouver ma place. Je suis comme un mécanicien démodé qui comprend à sa façon; mais cette façon ne convient pas. Je me sens dépassé et hier, on peut dire que je commençais à avoir une certaine panique. Inutile de dire que j’ai dû prendre sur moi pour continuer ma journée! Je suis déçu de mes capacités par rapport à cette méthode d’enseignement. Et ma mémoire courte me fait défaut. Il faut faire des liens d’abstraction, chose que j’arrive difficilement à faire. Par contre, les gens sont sympathiques et il est facile de mettre un peu d’ambiance. Mais je crois qu’il ne faut pas trop déroger des sentiers prévus. J’en arrive à la conclusion que je n’ai pas ce qu’il faut. Et puis, donner autant de temps par semaine, mettre ma famille de côté, je ne peux m’y résoudre. Alors je vais reprendre la route avec LADO Lettrage, en pensant plus à moi, en apportant des méthodes plus efficaces pour gérer mon temps et aussi la comptabilité! J’ai vu une opportunité que plusieurs devraient saisir. Mais j’ai trop besoin de travailler pour me permettre quatorze autres semaines et une promesse de paiement pour mes apprentissage dans l’année qui suit, en travaillant dans ce domaine. J’y retourne aujourd’hui, car je ne suis pas un lâcheur, mais bien un battant. Je me suis engagé pour les deux semaines que représentent «Genesis», alors j’irai jusqu’au bout. Ceux qui se cherchent devraient opter pour une solution d’avenir. Surtout si votre avenir sur le marché du travail représente encore au moins trente ans. AU dedans de moi, je suis secoué comme un arbre par un fort vent. D’un côté je me sens «égoîste» envers ma famille, de l’autre, je trouve que je ne réussis pas à rencontrer les objectifs d’évaluation de CodeBoxx. Pas facile de faire ce constat! Tout reste à voir! On se reparle.

mardi 10 septembre 2019

Jour 6

Il semble bien que je n’ai pas réussi à écrire hier matin. ALors que c’était la cinquième journée à CodeBoxx, je me rends bien compte que je ne suis pas à ma place dans ce milieu. Les gens sont gentils, mais me casser la tête pour en faire aussi peu, c’est difficile à accepter. Et puis, je crois que beaucoup d’irritants comme le trafic, les contraintes reliées au fait que je suis «pris» sur place sont difficiles à gérer! Je crois que je ne suis pas à ma place dans ce milieu. Je ne sais pas si c’est la façon de faire, mais je ne me sens pas prêt à faire ce genre de «travail» pour le reste de ma vie. Pour l’instant, il y a deux mille dollars en jeu, mais si je continue, il y a quatorze mille de plus qui s’ajouteront! Ça commence à m’être très inconfortable. Je vais devoir en parler aujourd’hui. Et puis, alors que je pensais trouver une façon de me sentir moins coincé, présentement je suis doublement coincé avec le fait que je passe au moins huit heures par jour là-bas, et que je dois travailler un peu tous les jours pour réussir à faire rentrer un peu d’argent et continuer à vivre. Comme on dit, il n’y a que les fous qui ne se trompent pas! De toute façon, fou ou non, je crois bien que je dois revenir dans le chemin que je forge depuis vingt ans et l’améliorer. J’aurai appris à voir les choses autrement. Voir la chance que je me suis donné en restant près de ma famille. Je sais qu’il y a des tas d’irritants, mais il y a aussi de l’Amour, et ça, ça passe avant tout. Je vous en reparle.

samedi 7 septembre 2019

Je prends du temps pour réfléchir.

Après une grosse journée de vendredi, je me suis dit que je devais dormir un peu plus ce matin. Alors mon chien m’a «soufflé» à l’oreille que je pourrais me lever à six heures trente! Ce que j’ai fait. J’ai comme projet d’aller au camping pour ériger une autre section de rampes autour du patio. J’en suis encore à m’interroger sur quelle façon je vais fixer chaque madrier qui servira d’ancrage. La première section est ancrée directement sur le patio; mais pour celle-ci, le gazebo prend toute la place. Je veux fixer le tout par les côtés. Mais je ne sais pas de quelle façon. Je pense me rendre sur place pour étudier le tout et découvrir comment faire. Ceci dit, j’ai passé au travers de ma semaine, allant tous les jours «faire» du code chez CodeBoxx. Discussion avec Nicolas Genest, une sévère constatation par rapport à mes sentiments. Il m’a affirmé que je n’avais pas à chercher comment, pourquoi et de quelle façon. Je suis là pour que ça fonctionne, peu importe le moyen; comme dans le temps, lorsque je me compliquais la vie avec la trigonométrie! Mon prof refusait de corriger mes travaux parce que je trouvais une autre façon d’arriver à la réponse. Il fallait utiliser sa façon, aucune autre! Chez CodeBoxx, c’est tout le contraire. Et il n’y pas de place pour les défaites! La cohorte, c’est une sorte de confrérie qui s’attaque à un problème, en partant sur des bases existantes, mais pour arriver à de nouvelles solutions. C’est plus important de faire que de comprendre comment faire. En tous cas, je commence à être inquiet sur le fait d’être accepté et continuer encore quatorze semaines après le bootcamp. Pourquoi? Parce qu’en une semaine, j’ai déjà accumulé beaucoup de retard dans ma business et c’est elle qui me fait vivre pendant que je suis occupé à coder! Et puis, travailler plusieurs soirs semaine est tout le contraire des vingt dernières années. Alors c’est une méchante claque que de m’imposer tout ça. Et puis, au fond de moi, je veux dessiner un peu, mettre quelques sentiments sur papier, ou sur digital, mais le quotidien m’appelle avec ses responsabilités. Et l’arrivée d’une période vraiment froide pour un début septembre ralentit vraiment mes ardeurs. Comme il n’y a pas de place aux défaites dans ma vie, je me concentre du mieux que je peux pour arriver à tenir le coup. N’empêche que j’aimerais pouvoir exprimer un tas de choses, comme pour mettre un baume sur tout ce que je ressens. L’exprimer tout haut, d’une façon qui changerait la façon dont les gens me perçoivent. Je voudrais que ça fasse une différence dans mon quotidien. Encore un peu sur la vague d’énergie créée par le rassemblement de gens que ma tendre épouse m’a offert pour mon anniversaire, je me sens encore prêt à décrocher une planète pour arriver à mes objectifs, mais inspiration commence à s’effriter. Il y a aussi le défi de vélo de demain, cent kilomètres à pédaler pour la recherche sur les maladies du cœur. Je prends de l’expérience dans ce genre d’événements, mais je sens que ma volonté pour ce genre d’accomplissements commence aussi à s’estomper. Alors je vais me refaire un café et penser un peu à tout ça; pas trop longtemps, car je dois aussi réviser nos vélos pour demain, m’assurer que tout est en ordre pour un cent kilomètres! Alors à plus!

vendredi 6 septembre 2019

Jour 4.

Plus la semaine avance et plus je me rends compte que je n’arrive pas à rencontrer mes objectifs! Déjà vendredi dans cette semaine de quatre jours, dernière journée de la semaine à CodeBoxx. Une journée productive hier, en autant que je puisse m’habituer au fait de rester assis une grande partie de la journée! Et en sortant, je me suis rendu compte que j’avais les yeux fatigués. Ouf! Difficile de passer au travers des objectifs, de ne rien oublier. Je pense que la semaine prochaine sera vraiment déterminante pour moi. Je suis vraiment incertain par rapport à mes idées, à mes goûts. Et je m’ennuie de travailler! Être dans mes affaires. Si je devais décider aujourd’hui de mon avenir, je crois que je retournerais travailler pour moi, dans mes petites affaires. Je ne me sens pas tellement utile, je me demande à quoi ça peut ressembler de passer des semaines entières à «pitonner» pour accomplir des prouesses en programmation. Et puis, c’est beaucoup demandant pour les méninges! Et je dois vraiment y aller, car j’ai une autre journée entière à me «tremper» dans le code, sans compter que je devrai travailler ce soir et souper seul! Alors bon vendredi!

jeudi 5 septembre 2019

Jour 3

Huit degrés ce matin, j’ai senti par mes doigts que c’était froid! Ça ressemble à l’an passé, un mois de septembre qui s’annonce froid et pas trop ensoleillé. Ça reste à voir! Quelle pluie nous avons eue hier! Et quel vent pour terminer la journée! Portrait de notre climat, tout est possible dans la même journée : geler, être détrempé, prendre un coup de chaleur ou être très confortable! Malgré tout ce que les médias peuvent nous raconter, le climat change continuellement et l’humain n’y peut pas grand chose malgré tout! Ma journée d’hier à CodeBoxx fut meilleure que celle de mardi. Je suis vraiment plus encouragé. De là à dire que je sais coder, nous sommes loin, mais au moins j’ai eu l’impression que je faisais partie de la classe! Je me demande où tout ça va me mener. Et malgré tout ce que je peux me dire, je dois demeurer sans attentes, car la vie est remplie d’imprévus et d’aventures. Alors on garde l’œil ouvert et on fonce! Rien ne vaut un peu de temps pour soi-même, comme celui où j’écris tous les matins. Les élucubrations de nos politiciens m’apparaissent moins fortes, une fois isolé de la réalité, dans le local de CodeBoxx. Je dois travailler un peu ce matin, facturation et mise à jour du travail qu’il reste à faire. Ce soir, épicerie et commissions avec ma Bibi. Tradition qui dure depuis plus de vingt-cinq ans. J’aime encore ça, même si aller au Costco est plus plate qu’avant. Bon faut que j’y aille, à plus!

mercredi 4 septembre 2019

Jour 2

Hier je me suis senti vraiment mal. En pleine confusion devant une classe qui cherchait des solutions, parcourait le web pour trouver des façons de faire... Pour m’aider, mon ordinateur ne démarrait pas, ensuite il refusait de se connecter au réseau. Puis, c’est là que j’ai commencé à me demander ce que je faisais là. Mais il était trop tard, je m’étais engagé. Et puis, un peu plus tard, j’ai commencé à croire que je pourrais y arriver. Mais quelle introduction en la matière! J’avais de la difficulté à comprendre les instructions, difficulté à saisir comment ça marche. Ouf! Ce n’était pas agréable. Puis ce fut l’heure de rentrer. Je suis monté dans mon camion, j’ai conduit jusqu’à la maison, enfin j’ai vu ma tendre épouse. Petit souper entrecoupé d’un client. On aurait dit que je retombais sur terre. Difficile à croire. J’y retourne aujourd’hui pour essayer de faire mieux. Pour y voir plus clair. Voilà un bon résumé de ce que j’ai vécu hier. Et il y a plein de gens qui m’ont appelé pour savoir comment ça s’était passé. Des gens qui ont confiance en moi. Ça m’a fait chaud au cœur! Peu importe ce que je réussirai à faire, je crois que je suis sur la bonne voie. Une voie d’apprentissage, une voie qui me dicte tout bas ce que je cherche. De ce que je comprends, il n’y a pas de maths dans le code, plutôt de la logique, beaucoup de recherches, beaucoup d’essais erreurs et bien de la persévérance. Alors je vais redoubler d’attention, ce qui n’est pas mon fort, et travailler plus intuitivement. Une chance que je peux écrire sur mon blogue, je ne sais pas à qui je pourrais dire tout ça. Autant j’étais convaincu avant d’y être vraiment plongé, autant je ne le suis plus. Mais je me suis couché hier, moins épuisé que d’habitude, ce matin, je me sens moins stressé que d’habitude. Alors je me dis que ce sera ça. Et puis, le gros travail, celui de refaire le site internet par le biais de code, commence aujourd’hui et se termine vendredi prochain. Eh oui! C’est aussi vite que ça! J’ai lu les exigences de ce travail, j’en suis tout retourné! Quel commande! Hier, j’ai compris à quel point je suis bien dans mes affaires, dans ma petite vie tranquille. Alors je continue et on se reparle.

mardi 3 septembre 2019

Bonne semaine!

Mardi matin! Une semaine de quatre jours, c’est vraiment plus difficile à assumer, parce qu’il faut travailler quand même les cinq jours! Mais cette semaine je commence ma formation chez CodeBoxx. Accueil ce matin et enfin je vais mettre des visages quelque part dans ma tête! COmme je ne sais encore rien, je n’ai pas grand chose à dire là-dessus. Mais ça ne tardera pas tellement. Incroyable comme les températures ont chutées en fin de semaine! Onze degrés ce matin, avec un maximum annoncé sous les vingt degrés, à croire que l’automne s’installe déjà! Quand même confortable en vélo et plus stimulant quand vient le temps de faire des corvées à l’extérieur. Et puis je pense que nous aurons encore un peu de beau temps. Ça ne sert à rien de se remémorer l’an passé, alors que le mois de septembre fut très frais, et que nous avons eu un manteau blanc très hâtif! Je suis sans mot ce matin, ayant un brin de nervosité qui me chicote quelque part... Retourner apprendre un nouveau métier pour mes cinquante ans... J’ai tellement hâte de voir ce que ça sera! Le prix de l’essence revient tranquillement où il était jeudi matin, alors que les cartels se sont amusés encore une fois avec nous pour la fin de semaine de la fête du travail! Incroyable! Plus personne n’en parle anyway, les gens ont passé à autre chose et je dois me concentrer sur autre chose sur lequel réfléchir et analyser. Comme je le dis depuis longtemps, le changement viendra par les différentes couches de la société. Les politiciens ne peuvent rien faire (lire veulent), et nous, comme citoyen, n’avons aucun pouvoir décisionnel, ni actif! Donc il faut revoir notre avenir avec un œil optimiste, sinon ça risque d’être long. On se reparle bientôt.

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...