Coupable d’aimer ça.

Bon matin! Un genre de neuf degrés ce matin. Il pleut et c’est très gris! Difficile de se lever. Et comme certains matins, depuis quelques temps, je suis un peu marabout. On dirait que je me sens moins stimulé. C’est sûr que souper trois soirs de file tout seul, c’est assez pour vous changer l’humeur. Ça va faire trente et un an que je suis père. Trente années à toujours être sur mes gardes, à veiller au grain! Tellement que, une fois seul, je me sens coupable d’aimer ça! Une sorte d’insécurité qui s’installe... Je trouve ça aussi dur que lorsque j’ai rencontré Joanne! Je me sentais tellement étrange dans ce bonheur! Nom de dieu, peut-on vivre des moments si durs, que lorsque c’est moins dur, on se sent mal? L’être humain est fait fort, très fort. Et il peut s’habituer à toutes sortes de choses! Je me sens pas mal prêt pour cette nouvelle semaine! Hier, La Puce est venue faire un tour avec son partenaire Moka! J’ai fait un peu de peinture sur le toit de sa voiture, et j’ai installé une protection sur le pare-chocs arrière. Nous avons jasé un brin, regardé le jardin, discuté de tout et de rien. J’ai bien de la difficulté à oublier la façon dont elle est partie. La façon qu’elle nous a manqué de respect suite à son départ. Qu’il est difficile d’être un bon parent. Pourtant les miens ont réussi du mieux qu’ils le pouvaient, je devrais en penser autant de moi! Je crois que je devrais me raisonner de temps en temps, me donner un peu de mérite. Mais le plus important, c’est que je continue à vivre, à travailler, à partager!  Je me sens un peu seul, dans ce monde déchiré par une histoire inventée par nos dirigeants pour nous enlever encore un peu plus de liberté! Une chose est sûre, je m’en souviendrai. Bonne semaine.

De l’amour à donner!

Hier matin, il faisait vraiment froid. Mais ce fut une superbe journée! Je suis allé chez mon père, pour dîner! J’en ai profité pour passer prendre ma Soeur! Une bonne occasion pour discuter un peu. Puis, une fois arrivés à St-Georges, nous avons accueilli mon frère, pour la première fois depuis 17 mois... Oui! 17 mois! Je pense qu’il était content. Il n’est pas du genre à sauter de joie, exprimer des émotions n’est pas son genre tellement. Nous avons pris un verre pour souligner ses retrouvailles! Mon père nous concocté tout un dîner! C’était vraiment plaisant, énergisant! Revoir les membres de ma famille originale, il ne manquait que maman. Mais je crois que depuis le début de cette folie, elle est beaucoup mieux là-haut, en sécurité et au chaud! Nous avons beaucoup parlé. Et nous sommes allés marcher! Mon père nous a montré un gros arbre centenaire! Je me suis fait poser un fois grimpé dedans! La route du retour fut très agréable. Ma sœur allait fêter avec David leur anniversaire de fréquentation, dix ans! Je suis content pour eux! Un point a été soulevé hier, alors que nous discutions du passé, celui du fait que je prenais beaucoup de place. Cela soulignait que mon comportement faisait en sorte que mes parents s’occupaient plus de moi que des autres. Cela cadre bien avec la thérapie que je fais actuellement. Ma vie est un thérapie, un apprentissage constant. Moi je m’accroche à la beauté que la vie me donne. Je m’attache à ce que j’ai, aux choses qui me sont chères! Mais je m’attache aussi aux personnes qui me respectent et en qui j’ai confiance. Ça fait sept jours déjà que ma Bibi est partie, souper seul un vendredi et un samedi soir, c’est vraiment étrange. Je sais apprécier les doux moments que la vie me laisse découvrir, mais je dois aussi réussir à arrêter pour les savourer! Faire en sorte que je puisse ralentir pour vrai! Ralentir mon groupe de hamsters qui continue de s’amuser, encore et toujours! Ayant de l’intérêt pour tout, de l’Amour à donner, du temps à partager, et des nouvelles choses à découvrir! Le beau temps m’inspire beaucoup! Au diable la mascarade, je veux vivre! On s’en reparle!

C’est vraiment moi qui me fais mal?

Enfin vendredi! Zéro degré! Hier, j’ai passé pas mal de temps à bien abrier mon jardin et aussi les différentes plantes et petits arbres que nous cultivons. Trois nuits consécutives avec du gel, pour tourner vers le mois de juin! Ça fait très «par chez nous». Mais le soleil est là, bien dégagé, nous offrant plus de sourire, nous aidant à mieux digérer les insolences du gouvernement. Ceux qui m’ont traité de nom sur Twitter ont raison de me dire que nous ne sommes pas en dictature, mais pour un endroit «libre», l’aspect totalitaire imposé par le LeGros ne nous laisse aucun choix. Il invite même les gens à se «stooler» entre eux! Et tout ça dure depuis plus d’un an! Les masques, une mesures complètement farfelue et très gênante, continuent de sévir à la grandeur de la province! Ma blonde est à Blanc Sablon, endroit où il n’y a eu qu’un seul cas, sans symptôme, presque tout le monde a eu ses deux doses de vaccins, mais ils doivent porter un masque! Voyons! Sacrament que je suis tanné! La vie me tire du jus, apparemment, c’est moi qui me fait mal, c’est moi qui laisse toutes ces mesures me démolir! Pour moi, il existe une façon autre de s’en sortir, et on dirait que ça continue d’interférer dans ma tête! Si j’essaie de comprendre ce qu’on me dit, lorsque je rentre dans un commerce, que je dois mettre un masque, c’est moi qui me fais mal? Et quand je fais la file dehors, devant un commerce, parce que le gouvernement a réglementé le nombre de personne qui peut être à l’intérieur, c’est aussi moi qui me fais mal? Et me faire vacciner de force, en solidarité pour ma Bibi, c’est moi qui me fais mal? Je ne sais plus quoi penser, je me sens persécuté, je me sens comme un paria, quelqu’un qui n’appartient à ce monde! SI je réussis à mettre un peu d’argent de côté., les profits que je pourrais réaliser sont imposables! C’est moi qui me fais mal? Le prix de l’essence, trop cher depuis nombres d’années, c’est moi qui me fais mal? Quand j’abîme mon camion en roulant dans nos routes du tiers monde, c’est moi qui me fais mal? Quand j’ouvre la radio pour écouter un peu de musique, la musique poche subventionnée, les informations convergeantes, les publicités convergeantes, c’est moi qui me fais mal? J’en ai mon esti de voyage! Et entendre un discours incohérent à longueur de journée, en le lisant partout, en voyant les prix à la consommation monter en flèche, franchement, je suis tanné de me faire mal! Je suis aussi tanné de sentir qu’on me prend pour un cave! Je veux foutre mon camp d’ici! Malheureusement depuis un moment, je n’ai plus le goût de prendre un verre. Alors le vendredi soir, ça ne m’amuse plus de «m’assommer» pour sentir que la semaine est terminée! Et les dernières semaines furent très remplies. Je paie mes dépenses, mais je paie surtout les dettes accumulées! Comme il y en avait avant le délire de LeGros, il y en a encore aujourd’hui! Ce matin, j’ai plus de difficultés à me «sourire». On dirait que j’ai le goût de me faire mal! J’ai le goût de décrocher! Mais je vais continuer, ravaler ma rage, me discipliner. Je connais ça, c’est ce que je fais depuis tellement d’années... Mais ça commence à être très pesant! Bon vendredi!

Foncer tête baissée.

Un petit neuf degrés degrés très venteux ce matin! Très différent d’hier! Quel climat, ici, dans l’ancienne belle province! Pédaler contre le vent! Mais le soleil est présent, l’essentiel pour continuer de sourire! J’ai du travail plein la cour! Quelqu’un a ouvert la valve quelque part, et l’ouvrage arrive sans demander la permission! Dans cette semaine de cinq jours et demi en quatre, je me sens effervescent! Oui j’ai du travail, mais j’ai aussi hâte d’arriver à la fin de semaine! Je sais qu’une fin de semaine sans ma Bibi, c’est plus plate, mais ça sera merveilleux quand même! Il faut que je trouve des moyens de ralentir, de me reposer, de me changer les idées! J’ai l’intention d’aller voir mon père, de prendre du bon temps. Quelle folie vient nous hanter depuis des mois! Il y a un onde de protestation qui s’amplifie, partout autour! Et le fait de travailler autant, ça aide à me sortir des retards, et c’est rassurant. Je dois continuer de m’entraîner, de foncer, tête baissée! Car je dois être en forme le plus possible! Histoire de poursuivre à relever mon entreprise! J’aimerais pouvoir réussir à être «even» un jour! Mais on s’en reparle!

Fabriquer mon bonheur.

Seize degrés! Malgré un sol passablement mouillé, je suis allé pédaler! C’était merveilleux! Le fait de pouvoir sortir dehors, avec le bruit des oiseaux, une solitude apaisante, chaque matin, ça aide le moral. Vivre une paix de tout ce qui me tracasse, respirer loin des masques et des contraintes... Ça me fait du bien. Nous fumes vaccinés dimanche matin, et depuis, je ressens différentes choses comme de la fatigue, des maux de tête, une sécheresse buccale et quelques autres effets secondaires. Dire que je fais ça pour avoir la paix, et pour être solidaire à ma Bibi. Elle était tanné d’être pointé du doigt, de se sentir comme quelqu’un qui ne pense pas aux autres. C’est vraiment pas drôle quand tu te rends compte que le gouvernement a réussi à inverser les choses! Premièrement, porter un masque protège ceux qui sont autour de toi, mais ne me protège pas. Donc ceux qui portent un masque, seul dans leur voiture ou en prenant une marche, je ne vous comprends pas. Mais vous faites ce que vous voulez! Maintenant pour le vaccin, mon corps, mon choix! Le gouvernement menace de nous laisser confiner si nous ne nous faisons pas vacciner! Ridicule! Gouverner à coup de menaces, d’amendes et de mensonges! Franchement, vous êtes pathétiques. Je vais tellement me souvenir de ce que vous avez fait! Je pensais que la Castafiore était le pire acteur dans la destruction de la belle province, mais vous, monsieur LeGros, vous avez démoli nos vies, et maintenant, nous habitons l’ancienne belle province! Vous massacrez la démocratie, vous imposez des baillons aux médecins, vous distribuez notre argent aux médias pour nous laver le cerveau! Depuis plus d’un an, je me sens comme une vache dans un troupeau, gérée par un tyran qui décide quand est-ce qu’on peut respirer, qui on peut voir, etc. Alors je préfère pédaler seul et fabriquer mon bonheur pour ceux que j’aime. Partager, oui, mais avec des conditions! À bon entendeur!

Récolter!

Sept degrés en vélo, je ressentais une énorme fatigue en pédalant, comme si ma balade d’hier m’avait un peu brûlé. Mais bon, je ferai mieux demain. Je me demande si quelqu’un d’important, qui a une tribune, commence à trouver que cette masacarade, cet arrêt de notre économie, devient de plus en plus catastrophique! Je n’arrive pas à suivre; je ne suis vraiment pas un expert en chiffres, mais je commence à avoir de l’expérience beaucoup en «hockey de rattrapage», et aussi, je remarque beaucoup et j’ai beaucoup de mémoire! Et ce qui se passe, ça va finir par créer des tas de déséquilibres sur les marchés. L’offre et la demande sont débalancés, il y a beaucoup d’opportunistes qui profitent de ce déséquilibre, qui profitent de la peur que LeGros nous a imposée. Rien à faire, je me ferai un cabanon plus tard. Je ne sais comment me sortir de ce marasme, je veux que ça aille plus vite, mais en même temps, je sens que le temps qu’il me reste passe vraiment trop vite. J’aimerais pouvoir en faire plus, mais je me fatigue trop vite. Peut-être que je m’en fais trop, mais je me sens vieillir, je me sens devenir un peu plus lent. Je me cherche, je m’ennuie de voir du monde! Hier, ma Bibi est partie pour un bon 10 jours. J’en ai profité pour «nettoyer» les chars. Tellement de trucs qui sont tombés des arbres! Et bien du lavage à refaire! Et j’ai enfin fait les retouches de peinture sur mon camion! Il était temps! Le Honda de Titi est parti au paradis des Civic! Puis, j’ai réussi à aller faire un tour de vélo de montagne! Je me suis gâté pas mal! Et j’ai même fait une chute! Pas de blessures, mais je dois me surveiller! Bon, je dois y aller, l’ouvrage s’est accumulée pendant ce congé! Alors j’ai bien hâte de passer au travers et récolter le fruit de mon labeur. À plus!

À court de moyens...

Congé aujourd’hui! Joanne part ce matin pour dix jours. Il fait cinq degrés, beau soleil! Très frais, mais tout de même très beau! Idéalement, je devrais me reposer, me laisser un peu de temps pour souffler! Toute la fin de semaine, il a venté, les arbres ont laissé tomber des tas de trucs, si bien que je dois faire un grand ménage de plus que celui déjà fait! Et comme ma Bibi vient de partir, je me sens enclin à devoir en faire le plus possible! Hier, nous nous sommes faits vacciner; tout un bataillon déployé, à grand frais, par notre argent! Des gens qui travaillent pour administrer des vaccins qui ne nous accordent aucun privilège! Plus le temps avance, plus leur manque de discernement, mais aussi leur manque de respect, deviennent de plus en plus difficile à supporter! Exemple, le MTQ doit remplacer la membrane du tablier du pont de Quebec. Cette membrane, installée il y a quelque années, est de mauvaise qualité et/ou a été mal entretenue? Ils vont la changer, avec notre argent, mais aussi, ils vont devoir «réduire» la capacité du pont du 2/3 !! Simonac, pendant trois semaines avant les vacances, et quatre semaines après les vacances! Autre exemple, tout le temps «perdu» à cause des inconvénients, liés à la mascarade. Ce temps n’est pas remboursable, nous ne pourrons jamais le récupérer! Autre exemple, à voir les choses aller, aucune modification, ni refonte ne seront faites dans le système de santé! Pourtant, nous avons payé en temps, en argent, et en liberté, la survie de ce système désuet, disfonctionnel et complètement inadéquat! Et comme je le fais depuis des années, je pourrais en donner pendant des pages et des pages, des exemples semblables, mais j’ai constaté aussi, malheureusement, que ça n’a servi à absolument rien! Pour moi, c’est un moyen d’en parler, de ventiler toute cette merde! Vivre dans l’incohérence, jour après jour, ça finit par devenir «pesant». Et comme cette folie continue de s’installer, alors je commence à être à court de moyens. Dans ma tête, dans mon coeur, les choses se sont attristées. Le manque de respect entre les gens, la course à la richesse monétaire, peu importe les moyens, le manque d’hospitalité chronique qui s’impose partout! Il semble que les valeurs ont disparues, comme si elles n’avaient jamais existé... Vivre dans cette fumée toxique ne fait que détruire l’humain! Quand même, je suis en congé, je veux faire des choses pour moi. Mais après une bonne toast, je vais faire la vaisselle et je vais laisser mon intuition me guider un peu.

Un havre de paix.

Seize degrés ce matin! Enfin vendredi! Après quatre jours de travail à l’extérieur, c’est vraiment fabuleux de constater qu’il ne reste qu’à facturer et constater que demain, c’est l’heure du break! Et puis, dans ma thérapie, il y a cette facette de réussir à arrêter un peu, de temps en temps. Mettre sa vie active et très (trop) remplie sur pause. Parce que c’est dans ces moments-là que la panique me prend parfois; j’ai l’impression de perdre mon temps, de ne pas en avoir fait assez. Bâtir du stress au lieu de se reposer! C’est ça être adulte et parent dans l’ancienne belle province... Et puis, nous payons tellement de choses, à croire que nous sommes des sujets de l’état, des employés «obligés» qui donnent leur salaire au roi en place, et s’il en reste, alors on peut en prendre un peu. C’est un peu l’histoire de ma vie. S’il me reste un peu d’argent, alors je continue de vivre, et si je n’en ai pas, alors je survis en attendant! Voilà mon histoire avec l’argent, cette chose qui mène le monde! Avoir une impression de pouvoir, de contrôle et l’argent! Voilà les choses convoitées par l’homme! Décidément je ne comprendrai jamais ce mystère! Si je réussis à me ramasser une vie, petit à petit, je crois que je peux être fier de moi! Je n’ai pas d’ambitions comme d’avoir un véhicule dispendieux, je ne veux d’un chalet, un bateau, ça ne me dit rien. Des bébelles, comme un Spyder, une moto, un VTT, une motoneige ou encore un côte à côte, je n’en ai pas vraiment envie! Trop cher, trop d’entretien, et il faut du temps! Depuis que nous avons vendu notre attirail de camping, nous travaillons très fort pour faire de notre chez nous un havre de paix. Il y a des choses extraordinaires, très simple, mais très près de chez nous! Alors je continue de me dire que ma vie sera ici, au Capitolin. DOnc bon vendredi!

L’oppression se poursuit.

Onze degrés, un vrai miracle! Je fais du vélo dehors depuis la fin du mois d’avril! Autant en profiter, car une vague de froid est si vite arrivée! Et puis, je suis tellement bien avec ma façon de penser, ici, sur mon blogue. La vie va vite et je ne sais pas comment faire pour en profiter un peu plus. Quand ce n’est pas ma blonde qui me demande quelque chose, c’est moi qui part... Mais le concept de se reposer, très abstrait! J’ai mal aux mains, mais j’ai terminé les modifications au visuel des trois succursales Desjardins! À moi de facturer tout ça. Et puis, j’ai encore pas mal de pain sur la planche. Et j’ai besoin de ce pain pour continuer de payer les comptes et aussi les dettes qui se sont accumulées depuis quelques mois. Heureusement que je m’entraîne, sinon je ne sais pas comment j’y arriverais. Nous sommes jeudi, et ma foi, il me faudrait ma fin de semaine, car je suis fatigué énormément ces jours-ci. Je fais de grosses semaines, mais aussi des grosses fins de semaine! Ce n’est pas normal de me sentir aussi mou. Par contre, cette sensation ne m’est pas inconnue; je me suis souvent senti au bord d’une dépression, sur le bord de m’endormir un peu partout. Mais les chose changent, mes idées évoluent, et surtout, je commence à accumuler des années d’expérience! Et c’est le résultat! Ça fait trois journées de file que je travaille très physiquement, encore une autre aujourd’hui. Je dois continuer de m’entraîner, si je veux me rendre à destination. Déjà le 20 mai, les journées continuent de rallonger, et j’ai hâte de voir du monde! Joanne part lundi prochain pour dix jours. Dernière clinique en vue avant les vacances. J’ai bien hâte de voir ce que seront nos vacances, avec toutes les règles imposées par LeGros. L’oppression se poursuit, comme si c’était naturel! Depuis l’annonce du «déconfinement», j’ai de la misère avec mon humeur. Je suis toxique pour ceux que j’aime... Une histoire qui se répète. J’ai beau mettre du temps, me concentrer sur ce que j’ai à faire, je trouve difficile en sacrament de faire mes journées sans «rager». Mais la furie en moi semble éternelle, et je n’arrive pas à me calmer! On s’en reparle.

Faire renaître l’Amour.

Treize degrés ce matin! Extraordinaire ce beau temps! Ça aide à passer au travers de cette folie! Car j’ai tellement de peine à constater que je me fais traiter comme de la merde sur Twitter, parce que j’ai dit que c’était de la dictature. Pourtant, c’est exactement ce qui se passe ici, dans l’ancienne belle province. Une place où le respect est disparu. Un endroit où l’Amour s’absente de plus en plus souvent. Un restant de communauté qui a oublié ce que c’est que l’hospitalité... Je me souviendrai à quel point vous vous êtes foutus de nous, de quelle façon vous avez «dirigé» l’endroit où nous vivons, nous les amants de la vie. Et ce qu’il restera de vos élans mesquins, vous vous organiserez avec! Moi je suis fatigué dans ma tête, je me demande ce que je fais encore ici, dans ce lieu où les gens se divisent de plus en plus. Où les citoyens, séparés de différentes façons, se déchirent entre eux. Je veux ravoir ma vie! Et je veux faire renaître l’Amour, l’entraide! Je veux vivre une histoire d’Amour avec la vie! Il n’y a plus d’histoire, juste de la tristesse, des mensonges, des intérêts autres. Pour le reste, bien il faudrait que je réussisse à passer à autre chose. Je viens d’essuyer une année financière désastreuse, remplie de stress! Je veux ravoir ma vie! Je veux pouvoir parler, écrire, donner mon opinion, respirer sans manquer de souffle! Et ceux qui ne sont pas d’accord, restez chez vous, là où vous êtes bien! Moi je me bâtissais chaque jour un bonheur à moi, alors je vais continuer, malgré que c’est plus difficile qu’avant; même si des fois, je dois creuser longtemps avant de trouver les ingrédients clés! On s’en reparle!

La tyrannie n’a pas sa place.

Wow! Quelle journée ce fut hier, alors que j’ai terminé la succursale de L’Ancienne-Lorette! Un contrat que j’ai eu avec Desjardins en décembre! Comme ça doit se faire dehors, j’ai passé l’après-midi au grand air! Quatorze degrés ce matin, vraiment très confortable en vélo. Bien sûr, je me sens fatigué, mais j’apprécie de pouvoir pédaler dehors, me sentir bien, seul avec le chant des oiseaux! J’aime me savoir en santé; je travaille fort pour me garder en forme. Et puis je me demande ce que le dictateur LeGros va nous «chier» aujourd’hui, avec son plan de déconfinement! Toujours facile de nous «fermer», mais pas si facile de nous redonner la permission de vivre! Chaque jour je constate une nouvelle contradiction dans leur discours, une nouvelle incohérence qui vient faire dissipation dans la matrice! Et puis je me souviens de tous ces derniers mois, où il n’a pas ménagé ses moyens de nous faire souffrir, de nous punir pour pouvoir passer ses projets de loi! Eh bien il pourra aller chier en temps et lieux! La tyrannie n’a pas sa place dans ma vie! Beau soleil ce matin, je pense bien continuer de travailler dehors. Une partie chez Roulottes Chaudière, et une autre chez Desjardins, succursale Val-Bélair. Et pour les vacances, il y a bien une journée de congé qui s’en vient, lundi prochain; Joanne s’en va à Blanc Sablon en clinique. Donc ce ne sera pas tant que ça un congé. Mais bon, à moi de voir. Pour l’instant, profitons de cette belle journée qui s’amorce!

Ce fut vraiment agréable.

Un autre matin à sept degrés. Il fait clair, le ciel est dégagé! Balade en vélo tout à fait agréable! Et puis, après une fin de semaine si bien remplie, il faut bien partager un peu ces moments vécus! Vendredi soir, nous sommes partis en décapotable faire une promenade jusqu’au Mont-St-Sacrement! Ce fut vraiment agréable, malgré une certaine fraîcheur. Samedi nous avons continué de picosser dans la cour, dans le but d’un été enviable! Le soir venu, promenade en décapotable sur la rive sud. Arrivés à la Spirale, une file de trente personnes, avec 4 personnes à la fois à l’intérieur...Nous avons changé nos plans. Un autre bar laitier, plus petit, mais avec beaucoup moins de monde. De belles balançoires à l’extérieur, mais impossible de s’y asseoir, apparemment, les risques de contagion sont trop élevés! Il y a des claques sur la yeule qui se perdre! Hier, nous avons reçu la visite de René, notre ami qui est en liberté contrôlée. Il est en réhabilitation! Il est venu faire un tour en vélo! Il était content, nous aussi! Une belle journée où Vicky est venue avec Steve pour échanger son auto! Il reste à se débarrasser du Honda. Elle m’avait l’air heureuse. C’est au moins ça. Puis nous sommes allés à la poutine chez Micheline! Même chose, les tables estérieures sont empilées, nous devons manger dans l’auto. Mais ce fut vraiment un bon moment! Puis nous sommes arrêtés voir Laurent, qui se remet de son accident de vélo. Isshh! Il est chanceux de s’en tirer aussi bien. Bref, une fin de semaine merveilleuse! Et j’en oublie beaucoup!

Vendredi est arrivé!

Six degrés ce matin! Enfin vendredi! Des casse-têtes, il y en a pour tout le monde, mais quand arrive le vendredi, on dirait que je baisse les armes. Que je me dis au fond de moi que je ferai de mon mieux, pis après la fin de semaine, on verra! Car ici, de toute façon, il semble que ce soit à coup de décrets que nous sommes dirigés! Un homme et ses larbins qui, par manque de convictions ou je ne sais trop quelle confiance, nous prennent en otage pour prendre leurs décisions, faire comme bon leur semblent, au détriment de ce que les citoyens veulent! Ils sont là comme des tyrans, faisant semblant que tout va bien, et ils s’autoglorifient sur les réseaux sociaux, mais aussi par le biais de point de presse répétitifs et ennuyants! Chose que je n’ai plus le coeur d’écouter, d’ailleurs. Par contre, je sais que ça peut arriver que je me fasse passer un sapin à un moment donné, mais que voulez-vous, je ne suis plus capable de vivre ainsi. L’Allemagne de l’est, c’est passé de mode! Sérieusement, il faudrait se rebeller, se tenir ensemble et revirer le gouvernement! Ça suffit les conneries, les arcs-en-ciel et tout le baratin! Je veux vivre, je veux simplement voir les gens que j’aime! Les pubs sur les vaccins, les selfies de vaccins, les photos de profil avec une mention de vacciné, pu capable! Mais heureusement, vendredi est arrivé! J’ai un nouveau véhicule à m’occuper! Hier nous sommes devenus acquéreurs d’une Nissan Versa. QUi l’eut cru? La voiture roule bien, elle a besoin de roues pour mettre les pneus d’été, pour le reste, un peu d’amour comme un cire et un traitement antirouille. Il lui reste encore quelque années à servir! J’espère régler tout ça en fin de semaine! Avantage parmi tout ce bordel, passer au bureau des véhicules fut très rapide! Quand c’est bien, il faut aussi en parler! Prendre rendez-vous à la SAAQ, c’est une idée de génie. Et ça démontre qu’il est possible d’améliorer certaines choses! Mais j’ai vraiment hâte de sortir de cette torpeur, une ère de tyrannie, où les gens sont divisés par manque d’informations! Un endroit où les gens sont fatigués, écœurés, et un gouvernement qui arrive avec ses grands chevaux, en proposant plus de restrictions et surtout, en essayant de nous faire croire qu’il est bon! Assez, c’est assez!

Ça devrait être plus facile à un moment donné...

Six degrés ce matin, un bon temps pour aller pédaler! Le soleil se lève doucement, j’ai déjà hâte de retourner dehors! Hier soir, nous sommes allés voir une auto pour Vicky. Une Nissan Versa 2010. La carrosserie moyenne, mécanique tout de même paspire. J’ai eu des basous pas mal plus maganés que ça. Donc nous allons encore financer le projet. Même que nous serons propriétaires du véhicule, histoire d’avoir un contrôle sur l’état du dit véhicule, mais aussi pour sauver des frais d’assurances. Je sens l’étau se resserrer tranquillement sur nous; le coût de la vie augmente, bientôt nous allons crier famine. Et nous ne ferons pas de sorties autres que celles nécessaires! Et nous allons continuer à surveiller les spéciaux! Il semble que nous soyons de cette génération de sacrifiés qui, pour l’entièreté de leur vie, devront faire avec les mauvais choix des dirigeants! Pour une fois que nous gagnions nos élections, la personne et l’équipe en qui nous avions confiance, s’avèrent à être un véritable cauchemar! Une esti de beurrée de marde! SImonac! Il n’y a rien de drôle dans tout ça! Se sentir toujours en train de recommencer, de se sécuriser! Pour en revenir à l’auto, on dirait bien que ce sera une façon d’être moins inquiet, avoir moins de soucis. Si tout ça peut aider Titi dans sa vie, c’est le mieux qu’on puisse faire pour l’instant. Mais je continue de croire que ça devrait être plus facile de vivre! Mes enfants ont bien de la misère à se secouer les méninges! La volonté semble être une option modulable! Pour moi, le mystère demeure entier! Où est passé cette volonté qui fait de moi l’homme que je suis? Je n’ai rien transmis de ça à mes enfants?Vraiment dur à accepter, mais aussi à vivre! Chaque matin je me dis que ce sera une belle journée, que je trouverai des solutions à tous mes soucis! Voilà! Bonne journée!

Tu parles d’une place de dangereux...!

Mercredi matin, il fait trois degrés. Encore pas mal frisquet dans l’ancienne belle province! Je ne me souviens pas m’être senti ainsi. Un peu perdu dans ma tête, mais aussi inquiet, sans point de repère. Je travaille beaucoup, cela m’aide à passer au traver du temps; un temps qui nous arrache le coeur... La façon dont nous traite les dirigeants, c’est bien plus qu’une insulte! Leur manque de respect, leur manque d’écoute, l’amas de conneries qu’ils nous racontent, les mensonges qu’ils essaient de nous refiler! Je suis au ralenti dans mes intentions, ayant peur d’une soudaine impulsivité, ayant peur de me rapprocher de certaines périodes de mon passé. Je ne suis pas meilleur que les autres, bien au contraire, je me sens souvent moins chanceux, moins heureux. Mais ce ne sont que des interprétations personnelles; si je faisais ma petite enquête, peut-être que je découvrirais des choses incroyables. Mais malgré tout, je me sens tout de même heureux avec ma Bibi; comblé, écouté et respecté! Et je me sens aimé! Oui! Aimé! À mesure que le temps passe, je commence à voir des choses qui, en temps «normal», se seraient faufilées discrètement! Mais cette ère d’oppression m’a enseigné à regarder encore plus loin, à écouter plus longtemps! Malgré mon inquiétude-omètre qui frétille, je sens que ces nouvelles connaissances me seront très utiles dans ce monde de tarés. Un monde où les habitants se rebiffent devant le changement, l’évolution. Des habitants qui sont prêts à sacrifier leur liberté à défaut d’évoluer! Tu parles d’une place de dangereux, j’aime mieux rester en parallèle de ces derniers...!

Il y a toujours des limites!

Chaque jour qui passe, je tente de m’éloigner de la mascarade. On dirait que certaines personnes trouvent ça merveilleux, cette situation de marde! Et parmi ceux qui font plus d’argent, eh bien, on ne veut pas que ça se termine! Plusieur en ferait autant! Vendre 2 à 3 fois plus cher, pour le même coût d’opération...! Sept degrés ce matin, en vélo juste avant la pluie! C’était merveilleux! Le chant des oiseaux, l’air pur, une respiration non obstruée, un délice pour l’être intérieur! J’ai même pris mon temps. Malgré les nuages, il y avait un soleil qui se pointait timidement; excellent! Cette nuit, en allant aux toilettes, je me suis «pété» un orteil; ayoye! Ce matin, pas si pire, mais pas capable de faire des push ups, ni des planches. Mon ongle a «éclaté» un peu, et ça tire un brin. Pour le reste, j’ai quand même mieux dormi que la nuit d’avant! Difficile de continuer à avancer, quand on se demande quand. Quand est-ce que tout ça va s’arrêter? Un gouvernement tyran, qui mêne à court de décrets! Pour moi, ce sont des lâches qui n’ont pas confiance en eux, ni aux citoyens! Partant de cette théorie, il est facile de comprendre pourquoi les choses vont si mal! Et l’auto-glorification se poursuit sur les réseaux sociaux. Mais je m’éloigne de plus en plus de ces derniers, comme j’ai fait avec la télévision il y a bien des années. Je sais bien qu’il faut se tenir au courant, mais il y a toujours des limites à se faire laver le cerveau! Voilà pourquoi je me réfugie dans mes écrits et/ou mes dessins. À plus! 

S’éloigner de la mascarade...

Un beau sept degrés ce matin! Très bonne occasion d’aller pédaler dehors! Et quelle belle fin de semaine ce fut! Malgré une fraîcheur peu désirée, nous avons travaillé d’arrache-pied, ma Bibi et moi, pour continuer de se faire une vie! Samedi nous sommes allés chercher trois cèdres adultes. Nous les avons déterrés de chez leurs anciens propriétaires, ensuite nous les avons installés derrière la maison, pour se fabriquer une «barrière» avec le bassin. Ils étaient beaux à voir, dans le petit traileur! Et nous avons aussi transplanté l’érable qui avait poussé à côté de la maison, près de la cheminée. Il commençait à prendre de la hauteur et ses racines, s’amusaient du long du solage... Bref ce fut une énorme journée! Hier, fêtes des mères, nous sommes allés se chercher de la terre de jardin pour se faire un petit carré à cultiver cet été. Nous avons aussi transplanté un autre érable et deux petits cormiers. Et pour couronner le tout, nous sommes lléa en vélo! Nous en avons profité pour aller saluer nos parents, à Place de la Souvenance. Joanne a fait une crevaison! Cela a mis du piquant dans notre journée. Un bon SPA et bien des amis pour souper, Cameron avait des collègues à secourir. Bref, vive le lundi pour se remettre dans le bain, et surtout, gagner sa vie! Je commence tôt ce matin, un mustang a besoin d’attention. Ça fait du bien de s’éloigner de la mascarade, de faire semblant que ça n’existe plus... Ma Bibi nous a pris un rendez-vous pour un vaccin, elle souffre de ne pouvoir faire autre chose pour aider la cause, notre cause! J’en ai mon voyage, mais aussi je suis fatigué dans ma tête, de sentir la pression des médias, des gouvernements, concernant une «malheur inventé», créé de toutes pièces! Oui il y a un virus, mais il fait partie de nos vies! Ça fait longtemps qu’ici, nous combattons autre chose que ce dernier...! Bonne semaine!

Certaines gens en redemandent...

Vendredi enfin! Un beau zéro degré ce matin, le ciel est clair! La chauffage continue de dilapider mon porte-feuilles... Bien avant la mascarade, je trouvais que tout coutait trop cher ici! Et ça continue! Je dois m’y faire ou fermer ma gueule pour l’éternité? Je pense aussi à m’en aller, foutre mon camp loin de la ville, des grands centres qui polluent nos vies de toutes les façons possible! Polluent avec du bruit, polluent avec de la politique, avec trop de magasins, trop de maisons, trop de monde, trop d’énergies négatives! Voilà! Je cherche comment je pourrais m’éloigner de la masse. M’éloigner de tout ce cirque médiatique. Me tenir loin de cette rengaine éternelle, où nous sommes privés du respect, de l’amour et de l’hospitalité! Société chacun pour soi, où la vie s’est recroquevillée sur elle-même, en attendant le retour de l’être humain! Ici, le troupeau suit la mode, les diktats, etc. Rien ne va plus dans cette province, manipulée par des êtres mesquins qui nous empêchent d’être qui on est! Je me sens loin de chez moi, même dans ma propre maison! Ils mettent leur nez dans toute notre vie, s’infiltrent partout! Et certaines gens en redemandent! Moi j’en ai eu assez, je veux que ça arrête! Ma vie, c’est ma vie; mon corps m’appartient encore, alors c’est moi qui décide! Laissez-moi vivre comme je suis venu au monde! J’ai signé pour les dons d’organes, alors vous n’aurez qu’à vous servir une fois que je serai mort! EN attendant, pouvez-vous me laisser tranquille?

Rendez-moi ma vie!

Bon matin! Il fait sept degrés, faible pluie. Ça fait plus de vingt-quatre heures qu’il pleut! Et pour couronner le tout, il annonce du gel pour cette nuit. Climat, quand tu nous tiens... Mais ce n’est pas suffisant pour me distraire de la réalité, le cirque Barnum, la mascarade sans fin! Couvre-feu depuis le 9 janvier; je veux un crédit sur mes droits d’immatriculation auto, sur mes assurances auto et sur mon permis de conduire! J’ai déjà payé pour utiliser tout ça 24 heures sur 24! Et ça presse! Ensuite, hier, je suis allé chez le comptable, j’ai attendu une demi-heure dehors sous la pluie glaciale! Ensuite, ce fut mon tour, dans le garage...Avant j’attendais mon tour au chaud, avec un café offert par la maison, avec le Wi-Fi! Et quand je suis parti, j’ai payé plus cher que l’an dernier... Chez Costco, plus personne n’emballe mes achats, mais la carte de membre n’a pas baissé de coût! Les articles non plus! Et il faut se plier aux règles totalement atroces, comme se laver les mains en sortant notre carte, avoir chacun notre carte, mettre un masque et ne pas trop se rapprocher des autres...! Et c’est comme ça partout! J’en ai moins pour mon argent qu’avant, mais en plus, les prix ont monté! Frappez-moi, je commence à ne vraiment plus vouloir de cette société individualiste! De cette société qui veut du communisme, mais qui est hypercapitaliste! Pouvez-vous me rendre ma vie? D’ailleurs, je ne vous l’ai pas confiée! Je veux la vivre! AU prix que ça coûte pour avoir le droit d’y être, je veux et j’exige de pouvoir respirer librement, de voir les gens que j’aime, et surtout, en avoir pour le peu d’argent qu’il me reste, une fois que vous vous êtes servis! Mesquins, c’est ce que vous êtes! Des êtres sans scrupules, qui se foutent complètement de moi et de mes semblables! Je suis un des animaux de votre troupeau; dans votre bétail, je ne suis qu’un autre animal qui vous cause des problèmes! Incroyable comme en très peu de temps, vous avez réussi à me démolir, mais aussi à détruire ce que je pensais de vous! Monsieur LeGros, je vous ai fait confiance, mais vous m’avez trompé, comme les autres pour lequel je n’avais pas réussi à avoir confiance! Je n’oublierai jamais le manque de respect que vous avez eu, ni votre humeur morne, ni votre ton condescendant!

On tourne en rond.

Ce matin, très gris et pluvieux, il fait six degrés. Je pense que j’aimerais mieux me porter pâle, abandonner. Ça ne dit plus rien cette vie de faire semblant! Cette vie de ne plus voir personne, de porter un masque, de ressentir l’irritation et la division. Parler au monde, c’est oser se lancer dans une zone hasardeuse, où il est vraiment dur de se sentir bien! Quel merdier! Je suis tanné, épuisé, complètement démotivé... J’en ai tellement mon esti de tas! Je ne sais plus si je veux écrire, si je veux dénoncer... Mon coeur est fatigué de mettre de l’énergie dans ça. Mon âme souffre. Mon fils rechigne d’aller travailler. Le gouvernement leur a montré depuis des mois que c’était mieux de rester à la maison! Quelle folie, quelle mautadite bullshit! Je ne trouve plus de mots, je m’épuise juste à endurer cette mascarade! Je n’adhère plus à rien, et je ne peux rendre les armes! Mon fils hallucine bin net, il fait une crise encore ce matin, il ne veut pas aller travailler. Il ne veut pas prendre le dessus sur son angoisse! Peu importe la médication, rien ne fait. Chaque fois qu’il commence un nouveau travail, c’est la même chose! Juste du maudit niaisage! On tourne en rond! Nous sommes vraiment au bout du rouleau, tout ça est au delà de nos compétences! Pffuitt!!!

Ce constat me bloque

Présentement, je suis comme en transe, incapable de travailler! Je me sens paralysé par quelque chose qui m'est inconnu... Chaque fois que ça m'arrive, je recherche la cause, je me dis que je dois faire mieux. Et aussi, je me dis que je suis obligé! Si je ne fais rien, alors je n'aurai rien! Donc je dois accepter le fait de travailler, même si je dois donner une partie de ce que je gagne pour payer la retraite des autres! Je dois donner une autre partie pour payer un système obsolète, qui ne m'apporte que des frustrations! Maudite cochonnerie! Et quand j'entends LeGros me dire qu'il veut rapatrier de la richesse en augmentant les salaires des gens! C'est les salaires trop élevés et les syndicats qui ont fait «muter» les entreprises vers d'autres pays, ou encore engager du personnel qui vient d'ailleurs. Moi, en temps que travailleur autonome, je me trouve dans une sorte de craque du «système», un endroit qui fait partie des exceptions. Et souvent, ce constat me bloque, il me laisse un vide, une bizarre de pensée, laquelle serait sur les raisons que j'ai de travailler autant. Donc je dois essayer de me «secouer», de me sentir plus vivant! Mais cet élan, il vient du fond de moi-même!

Je ne demande qu’à vivre!

Un beau matin à 5 degrés. Je me suis levé avec bin du chien en dedans! On dirait que j’étais frustré par tout ce merdier! Juste de la rancoeur, de la douleur par rapport à tout ça! Je me sens perdu, sans objectifs précis. Pas de date de retour à la vie, pas de moment de choisi... Juste une face d’air bête qui fait son tyran, qui semble prendre plaisir à nous faire croire que c’est dangereux de vivre ici. Pas moyen de planifier notre été, ni la fête des mères! Prisonniers d’un parti politique que nous avons élu! Mais je vais m’en souvenir! Et aussi, je n’oublierai jamais tout ce mal qu’ils m’ont fait! Politiciens de marde! Depuis des lustres, les gouvernements élus ne font que penser à notre place! Ils dépensent notre argent, il nous tiennent prisonniers de leurs idées communistes. J’ai beau écrire, me dire que c’est temporaire, au fond de moi, il y a un petit être qui se débat, qui crie! Un sentiment qui persiste, qui me laisse croire que je pourrais changer quelque chose! Est-ce une maladie mentale? Suis-je en train de quitter ce monde par mes pensées utopiques? Je suis un survivant de ma vie, une personne éprouvée qui ne demande qu’à vivre! Une fois privé du droit de respirer, du droit de circuler où bon me semble, avec qui je veux, on dirait que je deviens une sorte de bête sauvage, que personne ne peut dompter! Je suis farouche! Je me sens mal au fond de moi, j’ai beaucoup de mal à rester de bonne humeur, Il faut comprendre que je souffre d’être un extraterrestre, une créature qui ne trouve pas sa place ici, dans l’ancienne belle province! Je me sens presque banni, emprisonné et relâché, devenu un paria! Pourtant je suis vivant, plein d’énergie! Je ne demande qu’à vivre, qu’à être heureux! Vivre simplement, avec peu de chose, mais comprendre que je suis un être humain! Une personne bien vivante, remplie d’amour!

Tanné de faire semblant.

Moins un degré! C’est fou comme le temps s’est refroidi en une semaine! Comme si ce n’était pas assez, les réchauffistes ont déjà recommencé à nous écoeurer avec leur «climat etc»! Je suis vraiment tanné de me faire dire quoi faire, comment faire! Pouvez-vous nous laisser tranquilles? J’ai eu droit à la vie, comme vous, alors vivez la vôtre et laissez-moi vivre la mienne! Franchement, je trouve que vous commencez à me pourrir la vie! J’aimerais tellement être ailleurs! Dans l’ancienne belle province! Dans un endroit où il fait bon de vivre, où il est facile de parler aux gens, où je me sens le bienvenu! Je suis épuisé de cette crise politico-sanitaire. Je ne nie pas la présence d’un virus, mais je constate depuis un an que je me suis fait avoir dans beaucoup de sphères de ma vie! Redonnez-moi ma vie, et tout ce que ça comprend! Je ne veux plus de cette vie! Je préfère mourir immédiatement que de continuer à faire semblant que la vie, aujourd’hui, c’est porter un masque, avoir un couvre-feu, ne pas avoir de restaurants ouvert, ne pas pouvoir se rassembler, etc. J’en ai ma claque, je suis épuisé! Je me sens vraiment oppressé, écrasé par un régime communiste et totalitaire! Ouf! Pour commencer la semaine, ça tire pas mal fort!

Je trouve ça merveilleux!

Dimanche matin. Après un mois d’avril frais, sans neige ou presque, mai commence très frais et très venteux! Nous avons passé la journée d’hier dehors, à finir de déménager le cabanon, mais aussi à prendre du bon temps avec des amis. Dehors sous le gazébo, à l’abri de ce vent! Déménager le cabanon parce que les circonstances reliées à la mascarade ne finissent plus! Les prix du bois continuent de monter vers des sommets inespérés... Loin d’être drôle! Puis, comme j’ai été, jusqu’ici, très éprouvé par cette période masquée, je ne me lance pas dans les grosses dépenses! Je dirais plutôt que je m’oblige une certaine austérité. Comment faire autrement? Je viens de compléter une quatrième semaine de travail extraordinaire. Et je trouve ça merveilleux! C’est sûr, je me sens vraiment fatigué physiquement, mais combien satisfait de moi! À force de subir les affres de cette crise, je commence à reprendre confiance en moi; je me sens prêt à continuer! Voilà pourquoi les semaines sont bien remplies, et pour le moins palpitantes! Je vais continuer du mieux que je le peux, et je verrai bien!