Faut bien réfléchir un peu...

Dernière journée de mars! Ce fut un mois occupé, agrémenté d'un très long redoux. Ce dernier nous a presque convaincus que l'hiver était fini. Mais la nature est revenue nous rappeler qu'au Québec, c'est l'hiver! Et ce soir, ce qui va nous réchauffer, ce n'est pas le mercure, mais bien l'alcool que nous prendrons pour oublier le budget fédéral! Une semaine super remplie, avec un vendredi qui le sera tout autant. Après m'être occupé de ma Bibi, je m'en vais à Donnacona pour un presqu'enveloppement de véhicule. Je vais sûrement finir aux alentours de 17:00. Et la fin de semaine sera au rendez-vous par la suite! Ces fins de semaine, où l'on essaie de trouver du repos. Souvent on doit rattraper ce qu'on n'a pas eu le temps de faire pendant la semaine. Des fois ça coûte cher, et c'est imprévu! Je ne suis pas comptable, mais je sais que si je dépense en dehors des heures de bureau, je ne travaillerai pas pour récupérer cet argent la semaine qui suit. Et comme nous sommes suivis beaucoup plus que nous le pensons, alors il faut être prudent. Prudent dans nos «posts» sur Facebook, sur Twitter, Instagram et autres. Des fois je me demande si je n'exagère pas un peu quand j'écris sur ce blog. Beaucoup utilisent un blog comme site internet. Les possibilités sont quand même intéressantes et ça ne coûte rien ou presque! Bien sûr, il faut se donner la peine de l'entretenir. J'écris beaucoup, mais je ne publie jamais des choses en rapport avec mon entreprise. Je préfère utiliser Facebook. Même que j'ai une réflexion d'amorcée sur le fait d'avoir un «.com». Est-ce vraiment nécessaire? Est-ce une dépense valable, étant donné que je ne fais aucune vente en ligne. Je ne communique pas non plus par le biais de ce dernier avec les clients. Je trouve que ça ne me sert pas vraiment à grand chose. Mais j'ai encore quelques mois avant de prendre ma décision, je dois mûrir le tout de façon constructive. J'ai des préoccupations autres comme de fournir aux commandes qui rentrent. Prendre le temps de répondre aux clients adéquatement. Et aussi, de me reposer! Mais écrire sur ce blog, depuis environ six ans, est un bon exhutoire. Je dessine encore un peu, mais je suis coincé entre le digital et le papier. Je crois que j'aurais besoin d'une fin de semaine artistique. Une pause de la vie. Je pourrais y faire de l'aquarelle, du fusain, sur grand format. Je vois des canevas de 36 pouces par 60 pouces, du bon whiskey, de la musique, etc. Mais bon, il faut tout de même aller travailler! Bon vendredi! 

Foutaises!

Comme il faut parfois se montrer plus calme que nous le sommes vraiment, cette semaine est l'hôte de ce genre de chose : le budget 2017 de notre trou d'eau national! Encore une fabulation pour essayer de gagner des votes! 55$ dans nos poches! Bin oui! Et combien ça nous coûte de plus que l'an passé? 55$ de plus pas année! C'est même pas un dollar par jour! Et si je regarde ce que je paye d'impôt, je suis pas mal sous zéro avec leur budget! 55$ de moins à payer! Faut-il aller sabrer le champagne? Vraiment pas assez pour acheter une Veuve Cliquot! Plus j'y pense et plus je trouve que c'est une farce! Même que c'est une insulte! Les surplus dont vous parlez, ils proviennent de la péréquation? Vous voulez nous faire croire que c'est de l'économie? Vous nous prenez vraiment pour des valises! Et depuis le temps que vous nous rejouez ce numéro, il devient de plus en plus dur d'en rire! Vite de même, on peut toujours vous rire au visage, mais les gagnants, c'est vous! Et ça, c'est plutôt triste! Et, alors que vous avez fait croire aux citoyens que c'était l'austérité, vous vous présentez à nous avec un sourire sauveur... Vous me faites pitié! Franchement, comme si j'arrivais à vous croire. Comme si votre sourire allait effacer votre abérration! Je ne dis pas que vous êtes menteurs, je dis que vous manipulez les chiffres, comme les médias traditionnels manipulent l'information. Et, pour vous remontez, vous souriez en brassant de vieilles choses! Des fois je pense que tout ça est un rêve, que je vais me réveiller et enfin profiter de ce que j'ai gagné à la sueur de mon front! Non seulement il est difficile de faire des gains, mais il est difficile d'en montrer! Vous avez des «espions» partout, qui cherchent où sévir. Vous devriez encourager les gens qui ont du succès, les gens qui réussissent! Vous devriez les citer en exemple et promouvoir l'aspect gagnant de la chose. Il faut comprendre qu'avec votre budget, rien ne change, rien n'évolue, impossible d'avancer, impossible de reculer! Au lieu de démontrer une certaine ambition, vous préférez le statu quo. Que dis-je, vous préférez augmenter la dette! Quand un entrepreneur s'endette pour améliorer son entreprise, c'est lui qui met sa tête sur la bûche. Et c'est lui qui gère son succès. Et il n'aura que lui à blâmer en cas de difficultés. Vous, vous augmentez la dette, avec nos têtes, parlant de milliards comme si c'était des chips. Vous parlez que tout ça est en prévision du futur! Vous nous mettez en danger financièrement, avec des prédictions à long terme, comme si vous étiez sûr que tout ça se passera comme prévu! Vous nous traitez comme si nous étions vos employés, alors que c'est le contraire! Je dois arrêter, je perds mon calme...

Intolérance, quand tu nous tiens...

Encore une grosse journée hier qui s'est terminée vers vingt heures. La semaine s'annonce comme sa précédente. Alors je ne lâche pas l'entraînement! Mais j'ai besoin de soleil, de chaleur, pour recharger mes batteries. J'ai besoin de continuer de prendre soin de moi. Mine de rien, le temps passe et nous accumulons du kilomètrage! Une bonne nouvelle au niveau des connaissances, de l'expérience et l'acquisition d'une certaine sagesse. Par contre, je me dois de maintenir mes oeillères bien en place. Je dois aussi «masquer» la pensée de certains qui, par leur énergie, remplissent l'air ambiant d'intolérance! Curieusement, les gens intolérants sont souvent ceux qui la créent. Car avec la tolérance vient le respect. Depuis que notre société a mis de côté la religion, les valeurs se sont «diluées» ici et là. Elles sont toutes mèlées. Les gens veulent être respectés, mais sans toutefois respecter les autres. Le bon sens, une façon de penser universelle, semble avoir disparu. Notre société aseptisée, remplie de fausses informations, de pensées convergentes, annonce une ère inconnue, ou l'hospitalité, l'amour, le respect et la confiance devront refaire surface. Actuellement, les gens qui nous dirigent ne nous représentent pas, ne nous écoutent pas, et, ne sont pas rassembleurs. Ils sont, par leur façon de faire, diviseurs. Donc c'est chacun pour soi. Et la force des médias sociaux exerce une pression sans précédent sur différentes couches de la société. Alors les gens ont en quelque sorte perdu leur «liberté». Mais la liberté commence où celle des autres se termine. D'où l'importance de se respecter, de s'entraider, de développer la confiance mutuelle. Ensemble, nous pouvons accomplir de grandes choses. Seul, bof... C'est là que je m'arrête souvent. Depuis très longtemps, j'ai des idées de changement, mais seul dans une majorité, les changements ne sont possibles que rarement. Et l'on doit les considérer comme un privilège. Depuis l'apparition d'une certaine charte des droits, les gens se sont imaginés, se sont laissés convaincre qu'ils avaient le droit. Laissant de côté le fait que, pour avoir ces «droits», ils avaient des comptes à rendre. Ces comptes à rendre s'appellent des devoirs. Des devoirs de citoyens. Mais il semble que ce soit aussi une chose qui se soit diluée avec la disparition de la religion. À revoir.

Une belle soirée.

Hier soir, j'ai eu le plaisir, pour une septième fois, d'assister à l'assemblée générale annuelle des gens d'affaires de Val-Bélair. Encore une fois, beaucoup d'efforts furent déployés pour préparer cette soirée. Pas tellement de gens, comme souvent par le passé, mais de gens intéressés. Nous avons eu droit à une présentation d'une nouvelle façon de faire du commerce avec les gens de Mobilisaction. Il y avait quelques ratés à la fin, mais somme toute, le concept est intéressant! Et, j'ai constaté qu'il y avait encore de l'intérêt pour notre association. Nous avons recruté deux nouvelles personnes dans notre CA. Après dix mois de travail avec un déficit humain de deux personnes, ça fait plaisir. Mais un de nos membres nous a aussi quitté, pour des raisons évidentes. Merci quand même pour les bons services! Tout au long de la soirée, j'ai senti aussi que nous étions, au sein du CA, une équipe! Nous étions à l'aise de discuter avec les gens, d'expliquer des choses. Et surtout, nous étions fiers de pouvoir dire que notre association se portait bien. Ce bénévolat me fait du bien, me permet d'apprendre encore plein de choses. Il me permet aussi de pouvoir arrêter un peu, prendre une pause dans mon travail, me permettre se sortir un peu de mon cocon. Car travailler seul n'a pas que des bons côtés. Quand je suis très longtemps seul, je finis par être un peu bougonneux. J'en perds mes point de repères, je perds aussi le goût de voir le monde. Alors je continue de m'impliquer au niveau de la chambre de commerce pour une autre année! Longue vie à l'AGAVB!

J'ai hâte au printemps!

Un peu en retard sur mon horaire ce matin, mais je considère que la journée d'hier fut vraiment longue et stressante. Mais ça s'est bien passé. Quelques longueurs et quelques oublis, mais je vais survivre. D'ailleurs ces oublis ne m'ont pas mis autant dans l'eau chaude que celui de la semaine dernière. Il faut essayer de ne pas répéter les mêmes choses qui nous ont donné du fil à retordre, car ça augmente la fatigue et ça rallonge les semaines. Alors que nous avons eu dix jours de beau temps, je fais le constat que ce n'était qu'une pause à cet hiver pour le moins verglaçant. Ça fait au moins quatre fois que nous avons du verglas depuis le mois de novembre. Mais c'est peut-être plus. Chaque fois, c'est dur de ne pas s'impatienter en déglaçant la voiture! Mais c'est aussi dangereux de marcher, de glisser en conduisant. Et puis, le poids de cette glace, collée absolument partout, apporte encore plus d'usure aux infrastructures, à nos abris de toile, à notre équipement de déneigement. On pourra dire qu'il a plu énormément cet hiver. On pourra dire qu'il a neigé énormément aussi, cet hiver. VOus allez me dire que l'hiver, il se doit de neiger, certes, mais plus de trois cents centimètres, c'est toujours trop. Bravo à ceux qui savoure l'hiver en s'amusant. Pour ma part, je prends le temps des fois d'aller en raquettes, de prendre des marches pour admirer les paysages. Mais je trouve ça long. Déneiger les allées, les toitures, les garages, le patio! Ça laisse beaucoup moins de temps pour profiter des sports de glisse! Cet hiver, je me suis amusé à dire que je prenais ma vieille Toyota pour pratiquer les sports de glisse, alors que je me suis contenté de m'en servir pour me rendre du point «A» au point «B». Je n'ai pas lâché l'entraînement, pédalant chaque matin, mais j'ai très hâte de déménager dehors pour pratiquer ce sport que j'aime tant! Depuis des années, je travaille à faire de mes journées une sorte de loisir. C'est un grand mot, disons que je ne veux pas que mes journées deviennent des corvées. Et depuis deux semaines, l'ouvrage ne manque pas et il me faut être résistant physiquement pour accomplir les dites journées. Et je ne me plains pas, au contraire, je remercie Dieu pour chacune d'elles! Disons que je ne dois pas ralentir trop la cadence en plein milieu d'une semaine, j'aurais peur de ne pas pouvoir continuer. Alors j'y vais! Bonne journée!

Bon lundi!

Pour la première fois depuis que je suis travailleur autonome, je paie de l'impôt au Fédéral. J'ai déjà donné un montant, mais rien de comparable à cette année. Il semble que la magie de notre PM commence à agir! Malgré un déficit annoncé et très corsé, je dois donner plus! Et, comme c'est coutume, je ne saurai jamais pourquoi je donne tout cet argent! Ce que je sais, c'est que je peux cotiser pour pas mal dans des REERs, mais je n'ai pas l'argent. Voilà ce qui me gruge! Pourquoi puis-je cotiser à un REER, alors que je n'ai pas l'argent? Pourquoi certains conseillers financiers nous parlent de d'épargne, alors qu'on doit se battre pour finir l'année? Y a-t-il une raison pour, depuis avant que mon fils naisse, il a 26 ans, des gens me proposent d'épargner, alors que je n'ai jamais pu me rapprocher de ce qu'il me proposent. Je pourrais cotiser pour 2017 un montant de 51039 dollars. Formidable! Quand est-ce qu'on commence? L'an passé, je n'avais pas encore réussi à penser de remettre mes papiers au comptable! Et là, j'ai déjà les résultats. C'est sûr que ça me fait un printemps plus facile à réfléchir. Moins de pression, moins de casse-têtes à la fin avril. Vraiment génial! Finalement, je réussis à voir le beau dans tout ça. Et, si je paie de l'impôt, c'est que j'ai réussi à faire de l'argent. Et ce soir, à l'assemblée générale annuelle de la chambre de commerce, personne ne pourra dire que je suis un OBNL. Elle était bien bonne! J'aimerais faire le bilan de la dernière année, mesurer en quelque sorte si j'ai réussi à être un bon président. Si j'ai encore appris plein de choses. Si les gens avec lesquels j'ai travaillé m'ont apporté du positif. Car dans notre ère actuelle, il faut beaucoup de positif! En résumé, les gens négatifs auront tendance à se retrouver tout seul. Parce que la vie est trop courte, qu'elle requiert trop de temps à faire autre chose que d'être heureux. ALors en ce lundi matin, il faut se crinquer à fond pour continuer et aussi pour accueillir le mois d'avril qui arrive avec la fonte des neiges, la sortie de notre décapotable, le démantèlement des garages de toile, le repos de la souffleuse, etc. Bon lundi!

On se calme!

Ce matin, je crois que je vais devoir user de toutes mes forces pour ne pas faire de gaffes. À force de contrariétés, on finit pas s'impatienter! Cette semaine, j'avais à recouvrir une remorque en entier. Une fois le projet bien avancé, je me rends compte que je me suis trompé dans les quantités. J'ai manqué de matériel! Cela m'a mis dans la merde. J'ai commandé d'urgence ce qu'il me manquait. J'ai dû sortir la remorque de l'endroit où j'avais loué pour la journée. Et le lendemain, louer de nouveau et rentrer de nouveau la remorque! Tout s'est bien passé. Mais cela m'a retardé beaucoup, une demi-journée de moins dans ma semaine! Mais dans mon horaire, il y a ce matin. J'ai commandé du matériel mercredi matin à 8:00. Car il me le fallait pour ce matin. Mais il ne fut pas livré hier. Pourtant, celui que j'ai commandé en catastrophe plus tard, ce même mercredi, lui, est arrivé hier matin. Vingt heures plus tard, j'avais mon matériel et j'ai pu organiser mon horaire à la demi-journée près. Mais depuis quelques années, ce qui se fait livrer par Purolator est à fiabilité variable. Curieux quand on y pense, cette compagnie appartient à une autre compagnie, régit par le gouvernement du Canada! Hormis ces détails, Avec quoi vais-je aller faire ma job ce matin? Comment j'explique à mon client que ma livraison est en retard? Qui, chaque fois, passe pour celui qui n'est pas à son affaire? Vraiment tanné de toutes ces conneries! Pourtant, je paye des frais de livraison à chaque commande pour m'assurer que tout arrive au bureau, le lendemain! Sans compter la surcharge de carburant, refilée aux clients! Et pour en rajouter, hier j'étais crevé et je me serais couché pas trop tard. Mais le destin a voulu que ma femme soit victime d'une panne pendant son retour de l'Abitibi! Elle est revenue à 22:00. Plus de quatre heures plus tard que prévu. Je suis allé la chercher au garage de l'institut, super content de la revoir après douze jours, mais j'avais l'air bougonneux. En ce vendredi, je vais devoir respirer, respirer doucement et souvent...

On continue!

Incroyable! Plusieurs personnes m'ont parlé de notre PM hier! Relatant ses exploits dans le budget. Tout le monde a remarqué son culot de nous raconter ça avec un sourire! 28,5 milliards en déficit! De quoi partir sur une chire de six mois! Non seulement il respecte ses promesses de déficit (avec lesquelles il a été élu!), mais le déficit est plus gros qu'annoncé! Mais il sied là, comme un sauveur, avec son sourire d'ange... En quoi cela nous aide-t-il collectivement? Et nos dirigeants provinciaux qui en profitent pour tout mettre leurs dossiers «croches» sur son dos! Quel gâchis! Pour se sortir de la marde, il faut se retrousser les manches et lui faire face! Quand on dirige un pays, on doit quand même se retrousser les manches et expliquer aux citoyens ce qui se passe, pourquoi nous sommes autant endettés. Et, par le biais de décisions difficiles à prendre, appliquer des solutions qui vont redresser la situation. Et ce, même aux dépends de son poste de premier ministre! C'est la moindre des choses. Personne n'est canonisé de son vivant! Continuez de vous prendre en photos et de suivre les médias! Pour ma part, vous ressemblez à des gens qui sont trop payés pour ce qu'ils font; vous êtes déconnectés, complètement à côté de la «track»! 28,5 milliards! Si je commence ce matin, à vous donner une piasse à chaque seconde, je devrai vous en donner pendant trente-sept ans pour me rendre à un milliard! 28,5 milliards! Comme si de rien n'était, avec un sourire! Tabarnak!

Constat malheureux!

Quand tu vois le visage insignifiant et souriant de notre PM partout, c'est qu'il fait vraiment parler de lui. EN bien ou en mal, il demeure insignifiant! Sourire autant après avoir annoncé encore des déficits, je ne comprends rien et je ne veux vraiment pas le croiser dans la rue. Je me ferais un plaisir de lui faire savoir ma façon de penser. Je comprends qu'il soit incompétent, étant donné son CV; ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi il est rendu là, premier ministre du Canada! Depuis qu'il est là, rien ne va plus. On dirait que tout s'est arrêté. La dette a recommencé à monter. Les décisions ne se prennent plus. Le chaos sévit! Je ne dis pas que c'était parfait avant, mais c'était beaucoup mieux. La seule chose qu'il fait bien, c'est sa présentation. Mais il ne doit pas parler! Pendant ce temps, nous, ces fidèles, nous faisons face à différentes situations, incapables de s'en sortir, parce que trop coincés par des lois et des règles! Et quand on est au Québec, c'est encore pire! En bonus, nous avons un gouvernement libéral, comme notre pays. Il ne semble pas y avoir de communication entre les deux personnes. Ici, dans la belle province, on taxe par dessus la taxe, on impose par dessus l'impôt, on instaure des lois sans arrêt; on essaie d'empêcher par tous les moyens, les gens de s'en aller ailleurs. Pourtant, à force d'écœurer les gens comme vous le faites, ça va finir par sauter! Remarquez, j'avais le même discours à seize ans. Ça fait trente et un an, et ça n'a fait que rempirer encore plus! C'est maintenant beaucoup plus dur , voire impossible de trouver des solutions à moyen terme. Il y a tellement de conventions collectives, de lois, de prix planchers, de pensions indexées... Un cauchemar. Comment faire pour s'en sortir? En bonus, la majorité de ceux qui ont créé ce marasme nous quitteront sous peu. Nous, les «X», continuerons de vieillir prématurément à force de travailler, de chercher des solutions à cet héritage malsain et destructeur. Qu'advientra-t-il de nos enfants? Bon j'arrête, je dois aller travailler!

Tout le monde s'en fout!

Curieusement, j'ai lu hier un fait qui, ma foi, nous dérange depuis plus de dix ans! Les médias étaient contents de nous annoncer que le nombre d'automobilistes avait augmenté, et que ça créait du trafic aux heures de pointes! S'attendent-ils à avoir un trophée? Ça doit faire cinq ans qu'on en parle! Même qu'on est tanné d'en parler. Mais ça sent l'arnaque... Une sorte de fake news pour essayer de nous passer un projet dispendieux. Et ce matin, un autre son de cloche : L'endettement de gens. Le taux d'insolvabilité. Les médias nous disent qu'une très légère augmentation des taux d'intérêts en indisposerait plusieurs! Encore une fois, s'attendent-ils à avoir un trophée? Ça doit faire une dizaine d'année qu'on en parle, que je suis inquiet à ce sujet. Coudonc, étais-je seul à m'en rendre compte? Quel est ce soudain éveil des médias? Viennent-ils de se rendre compte que si les gens ne lisent plus leurs journaux, que s'ils n'écoutent plus leur bulletin de nouvelles, leur emploi est compromis? Se décideraient-ils enfin à parler des vraies choses? Je suis scandalisé! Depuis le plus loin que je me souvienne, c'est vous faites converger les nouvelles d'économie et de politique, allez-vous réaliser un jour que les gens sont tannés de payer? Que les changements viendront du peuple lui-même, et non de vous? D'ailleurs, ceux qui croient encore vos sornettes seront les premiers à vous en vouloir lorsqu'ils se rendront compte qu'ils ne peuvent plus payer! Que la fin du mois ne sera plus un fantôme menaçant! Car elle sera l'arrivée du chèque! Et si la majorité ont un chèque sans travailler, eh bien, qui va payer pour les chèques? Depuis des années que je tape sur le clou avec notre économie et les politiques socialistes de nos dirigeants! Arrêtez de nous refiler toutes les factures! Arrêtez de nous prendre pour un troupeau de moutons qui n'a pas le choix de suivre! J'ai trois enfants et l'un d'eux me parle de sa future carrière en dehors du Québec. Peut-être même en dehors du pays! Mes trois enfants sont bilingues et, en tant qu'adolescents, ils ne s'intéressent vraiment pas à vos politiques destructrices, à vos journaux et à vos nouvelles télévisées et\ou radiodiffusées! Ils veulent des résultats vite, des résultats efficaces, ils vivent dans l'instantanéité! Et ici, dans la belle province, nous avons dix ans de retard! Alors ils sont déçus! Que ferez-vous quand vos disciples «boomers» ne seront plus là? Ah oui! Je sais, vous allez vous en foutre, car vous ne serez plus là vous non plus!

Attention

Souvent, je ne suis pas d'accord avec les gens qui m'entourent. La plupart du temps, par contre, je laisse couler. Je n'ai pas de temps à perdre avec leurs arguments, et surtout, je pense qu' argumenter n'est pas mon loisir préféré! Mais quand j'écris, je trouve que j'argumente souvent. Mais je demeure concentré, je prends le temps de rassembler mes idées, pour éviter de m'étendre sur n'importe lequel sujet, comme je le fais souvent lorsque je parle aux gens. Mais dans notre société, il est difficile d'oublier ce qu'elle coûte. Chaque jour demeure un défi, une recherche, afin d'élargir nos horizons, et de trouver de nouveaux moyens de faire fructifier le fruit de nos labeurs. Car il est impératif de se rappeller que si vous faites du profit avec votre entreprise, le gouvernement en voudra une part. Et cette part ne cesse de grossir chaque année. Pourquoi? D'abord il y a le coût de la vie qui grimpe de plus en plus. Les salaires! Payer les gens de façon respectueuse en rapport avec ce que coûte la vie... Ouin. Ensuite, les gens en redemandent sans cesse au gouvernement! Plus le gouvernement prend en charge des dossiers, plus il engage du monde pour s'occuper de ces dossiers. Donc encore plus de frais! TOut ce beau monde coûte de plus en plus cher, et ainsi tourne la roue! Cette roue, devenue un cercle vicieux, est comme un trou noir en croissance qui aspire tout sur son passage. Elle prend le pain, le beurre, celui qui fabrique le beurre, les vaches qui fournissent le lait pour le beurre, le foin que les vaches mangent, les gens qui entretiennent les vaches, etc. Une fois le rapport d'impôt complété, il ne reste à peu près rien. Il y a tellement de choses à surveiller, tellement de lois à respecter, il arrive aussi qu'on en perde des bouts! Et si quelqu'un s'en aperçoit, il va nous en coûter encore! Voilà ce qui se passe! Ou on révise très rapidement, sinon l'élastique du crédit va finir par casser! Bonne journée!

J'ai bien fait d'écrire ça un lundi!

Plus jeune, je parlais souvent d'autos, de motorisation. Tout ce qui avait attrait à l'automobile me fascinait! La mécanique me passionnait. Plus le temps passe et moins ça m'intéresse. L'arrivée des voitures électriques, les grandes théories écologiques, c'est très loin de ce que représente la voiture pour moi. ALors que les constructeurs font des avancées extraordinaires avec le moteur à explosion, les pressions et les lois les poussent à se peinturer en trucs écolos. Je n'ai rien contre la voiture électrique, bien au contraire. Mais ici, au Québec, notre climat ne permet pas beaucoup à tout ce qui est rechargeable. Et puis, il y a des choses pas mal plus pressantes à régler dans notre belle province, que la pollution automobile. Le prix du transport en commun est astronomique! De plus en plus de véhicule «allongés», toujours aussi peu remplis et peu pratiques! Et que dire des urgences, l'accès au réseau de la santé! Demandez à quelqu'un qui attend depuis plusieurs heures à l'urgence, ce qu'il pense du concept des véhicules «verts»? A-t-on besoin absolument de toutes ces sornettes? On ne parle pas tellement des déboires que les gens ont vécu avec leur véhicules électriques. On ne parle pas non plus des économies réelles que les gens font avec leurs véhicules, peu importe le type de motorisation! Car acheter un véhicule hybride ou électrique demande pas mal de sous! Et, le gouvernement, voulant se donner bonne conscience, offre un crédit à l'achat. Ce crédit est payé par le travailleur moyen, celui qui s'arrache le coeur pour payer toutes ces embûches vertes! Et il est rare qu'un véhicule devient un investissement! Voilà pourquoi je me désintéresse de plus en plus de l'automobile. Comme presque partout autour de moi, je ressens les effets de la «gouvernementalisation». Et plus le gouvernement prend de place, plus c'est long et plus ça coûte cher! Je me demande combien de temps il nous reste encore avant de trouver ça trop.

Petite réflexion dominicale.

Alors que nous sommes dimanche, que j'ai eu hâte à la fin de semaine depuis mercredi dernier, je suis encore en train de me demander ce que je pourrais faire de plus, au lieu de relaxer! La journée d'hier a passé tellement vite, que ce matin, je me rends compte que j'en ai trop fait. Pourtant, je ne suis pas mal intentionné. Je veux seulement aider, les autres, mais aussi moi-même! Car lorsque la semaine recommence, impossible de revenir en arrière pour essayer de se reposer. Souvent, les lundis sont pour moi une journée de repos. Car les dimanches sont pour le moins tiraillés dans mon esprit. Perdu entre une certaine paix d'esprit et une semaine de travail qui se prépare! Il s'en vient le beau temps! La chaleur et le soleil sont pour moi, la meilleure cure! La journée d'hier fut l'hôte d'une toiture qui s'est vidée! Soleil et plus chaud : environ 2 degrés! Je me suis permis de gratter un peu. Je suis même allé au camping vérifier que tout est correct. Il a tellement venté, la housse que j'attache à chaque automne sur l'air climatisé s'est soulevée et est prise dans la glace, à côté du module climatiseur. Je n'ai pas réussi à la récupérer. Beau soleil encore ce matin, je vais en profiter un peu. En commençant par libérer les marches d'en avant de la neige qui est tombée de la toiture. Et puis, la fin de semaine est parfois un moment plus facile pour faire avancer des choses que la semaine, nous apparaissent difficiles. Je m'explique, la semaine, souvent, il y a trop d'action, impossible de régler certains petits dossiers! Des fois, c'est le téléphone qui sonne trop souvent et qui m'empêche de me concentrer vraiment sur certaines choses! Bref il ne reste que deux semaines de travail au mois de mars. Après, il y aura tellement de travail que ça va me réveiller la nuit! Alors aussi bien me préparer mentalement à toutes les solutions. Chaque année, cette période entre le mois de février et mars, période où j'ai l'impression que je fournis à la tâche, se veut la période «morte» de mon entreprise. Moins de travail, des clients qui prennent plus temps pour payer, des factures qui n'arrêtent pas de rentrer, une certaine inquiétude au niveau des finances; bref, une autre sorte de fatigue! C'est là que je suis tenté de me laisser aller, de mettre de côté certaines bonnes habitudes alimentaires, l'exercice physique, etc. Quel piège! Je dois redoubler de patience, évaluer de nouveau la situation, trouver de nouvelles solutions et améliorer le tout. Aussi, si l'occasion se présente, travailler sur des dossiers plus abstraits comme l'administration de mon entreprise, l'état de mes installations, etc. Mais bon, si je veux vraiment faire avancer tout ça, je dois arrêter de jaser! À plus!

Heureusement, c'est vendredi!

Eh bien! On pourra dire que la semaine a passé vite! Car je n'ai rien vu aller vraiment. J'ai suivi mon horaire du mieux que j'ai pu et nous voilà vendredi! Et pendant que nos dirigeants s'accusent à tour de rôle pour les événements tristes et tragiques survenus pendant la tempête, personne ne se rend compte que ce n'est pas la faute de personne en particulier. N'allez pas penser que nos élus et\ou les différents ministères auraient pu faire mieux, ils ne font rien d'efficace, ni de sensé en temps normal! Ne vous illusionnez pas que ce sera mieux avec une tempête aussi sournoise! Imaginez s'il y avait eu un tremblement de terre! J'ai un projet en cours avec la ville. Nous sommes en attente du réglement pour continuer. Ça va faire deux ans dans deux semaines que nous attendons après ça. Tous les dossiers qui atterrissent sur un bureau régit par des fonctionnaires, ou des personnes qui travaillent en partenariat avec des trucs gouvernementaux, deviennent latents. On dirait que la somme de nos efforts vient de «geler» dans le temps. Seuls certains dossiers s'en sortent plus vite que d'autres, allez savoir pourquoi! Et comme nos dirigeants se veulent «diviseurs» par leur façon de faire, alors rien ne bouge. Le système est embourbé dans la paperasse. Les gens qui y travaillent sont en majorité trop payés, alors peu enclin à en faire plus que demandé. Et la grogne des citoyens ne fait qu'empirer les choses. Chacun tire la couverture de son bord, pensant ainsi faire avancer son propre dossier plus vite que les autres. Pourtant, il serait plus facile et plus rapide de s'entraider. Mais ça aussi, c'est contrôlé par le gouvernement! Rappelez-vous les parents qui ont voulu repeindre les murs dans une école sur une base volontaire et bénévole... N'allez pas essayer de me faire croire que nos dirigeant sont près du peuple. Ils n'en ont aucune idée! Ils devraient venir passer en voiture dans notre minuscule rue de huit maisons ce matin. Deux jours après la tempête, peut-être qu'ils comprendraient certaines de nos irritations en restant pris dans les roulières...

Je m'interroge.

Ces jours-ci, mon propre fils, qui souffre du spectre de l'autisme, réussit à m'exaspérer avec sa ligne de pensée, avec son oisivité. Il est le champion pour remettre à plus tard. Lorsqu'il s'arrête pour évaluer une situation, et qu'il déduit qu'il va manquer de temps, alors il ne fait rien. Après une semaine ou deux, vous pouvez vous imaginer qu'il a déjà du retard dans ses études. Mais depuis plus d'un an, il n'a plus de travail. Il a choisi tout de même de continuer ses études collégiales. Comme il en est à sa septième année de CEGEP, il n'est plus admissible au programme de prêts et bourses du MESS. Mais il est allé «emprunter» de l'argent auprès d'une institution financière, il appelle ça une marge de crédit étudiante. Il a vingt-six ans. Toujours sans travail, il vient tous les samedis. Il nous partage sa situation, en ne manquant pas de nous faire la morale sur l'environnement, la politique, l'économie et il chiaule contre la terre entière. Mais quand vient le temps d'un effort de sa part, il arrive vite au même discours : «c'est d'la marde!» La session dernière, je lui ai payé ses frais scolaires. Il m'a dit que la session suivante il aurait le temps de se trouver un job, que ça irait mieux. Maintenant, la réalité est tout autre, il a deux mois de loyer en retard, seulement deux cours au CEGEP, aucun argent pour payer la prochaine session! Je lui ai dit qu'il n'était pas pressé de se trouver du travail. Il m'a dit qu'il avait abandonné l'idée parce que ses cours lui demandaient trop de temps, que ça l'empêchait de dormir assez, qu'il était trop fatigué. Pourtant, quand il avait un travail, il avait trois cours et travaillait une journée complète! Et il ne se plaignait pas d'être tatou jours fatigué, de ne pas manger à sa faim, etc. Actuellement, il a pris du poids, est acculé au pied du mur dans ses finances, et semble attendre que j'intervienne. Depuis le mois de septembre qu'il est supposé s'occuper de son financement. Malgré les gens du CLSC et du CRDI qui veulent l'aider, il réussit à ne pas les rappeler, à rouspéter contre toutes les solutions que nous lui proposons. Quand je lui redit que la solution, c'est de travailler, il me dit que lorsqu'il aura finit ses études, il aura tout le temps de se trouver un travail! Encore faut-il qu'il en trouve un. Et, depuis une semaine, il est très volubile sur Facebook, se plaignant de tout et de rien, j'en ai presque honte. Je suis bien embêté dans cette situation. Et, comme il me l'a toujours dit, il n'est pas prêt à faire tous les efforts possibles pour s'en sortir! Pour un gars comme moi, qui fonce tête première dans les problèmes pour les régler....Ouin!

Hier

Finalement nous avons eu quarante centimètres de neige. Après avoir passer la souffleuse, force est d'admettre que ce fut la plus grosse chute de neige de l'hiver. Hiver qui, nous a pourtant impressionné par ses quantités généreuse de neige! Mais il en reste moins long, le printemps arrive dans une semaine. Une fois la chaleur installée, ça va fondre! Mais quelle journée, hier, avec toutes les écoles fermées! C'était mieux ainsi, laissant plus de place aux déneigeurs pour travailler. J'ai même aidé mon voisin d'en face, qui était encore une fois pris. Pris à cause de son colocataire! Cet excellent personnage qui n'a pas déblayé son entrée de l'hiver, préférant laisser son auto dans la rue. Grâce à lui, nous avons eu un piêtre déneigement tout l'hiver! Car la voirie a contourné son char tout l'hiver! Des fois j'aurais le goût d'aller le lui dire, avec un peu de punch! Mais cela ne ferait qu'aggraver les choses. Et comme Franky, mon voisin, me l'a dit, il va bientôt déménager. Quelle bonne nouvelle! Ce n'est qu'un exemple de bêtise humaine, qui, nous ruine la vie par moment. C'est pourquoi il faut vivre un jour à la fois, sinon une heure à la fois. Car ce genre de contaminant peut vous détruire une journée... Quand tu te donnes la peine d'entretenir tes affaires, d'aider les autres qui ont de la misère, pis que tu te rends compte que d'autres, s'en foutent complètement... Même que leur oisivité nuit à ta propre action, Isshh!! Vivement la fin de semaine! Je tenterai de me reposer.

Ouf!

Après 40 minutes de pelletage, je suis rentré pour me reposer un peu. Avec la coupe d'arbres d'avant les fêtes, le vent est vraiment plus fort que jamais autour de la maison. J'ai hâte que les feuilles poussent! Facilement 30 centimètres de tombés. Après le vélo, on sort gratter! Scénario récurent cet hiver. Mais je remercie pour les beaux jours que nous avons eus, car je ne savais plus où mettre la neige! Mais ce matin, c'est quand même impressionnant la quantité de neige qui est tombée! C'est dommage, l'entrée était sur l'asphalte! Là je dois vider tout ça. Je chiaule un peu, mais il y a pire. La neige recommence à tomber, je vérifie si les écoles sont fermées, car le répondeur de la commission n'a pas été mis à jour. Le site internet ne fonctionne pas non plus. Sur la page Facebook, il semble que les écoles soient fermées! Alors je dois rester à l'écoute, les enfants sont très bien dans leur lit. À la radio, on dit que toutes les écoles sont fermées. Même l'Université Laval est fermée pour au moins l'avant-midi. Donc les services de gardes aussi! C'est la troisième fois cet hiver! Une chance que Dame Nature avait pris au moins 2 pieds de banc de neige... Les principales autoroutes sont aussi fermées! Donc la Rive-Sud est isolée, car les routes ne permettent pas de circuler. Incroyable! Il y a le rendez-vous à Chloé chez l'orthodontiste qui est à 13:30! On s'en reparle!

Chiche!

Hier j'étais parti sur les taxes avec aucune idée assez enjouée pour m'arrêter! Essayons de faire mieux ce matin. À date, pas trop souffert du changement d'heure. Et je me sens pas si pire. Pour un lève-tôt, j'ai perdu une heure de clarté le matin, mais au moins il fait clair quand je réveille les enfants. C'est déjà ça! Quand il fait clair au lever, c'est plus facile! Oh je sais, tout est une question d'interprétation, mais c'est mon avis. Sous la lumière du jour, les «batteries» se rechargent mieux et plus vite. Tout de même un peu lourd à supporter ce quotidien dans la belle province. À moins de rester déconnecté le plus possible, et de choisir d'être heureux, difficile de sourire toute une journée! L'an dernier, je suis allé passer une semaine en Floride, au condo de mon beau-frère. J'ai souri toute la semaine, sans forcer. Le climat est fantastique, les gens sont capables de faire autre chose que survivre avec leur salaire. L'énergie est bonne et sourire fait partie du quotidien. Toutefois, ce quotidien à un prix. Prendre l'avion à Québec, acheter avec un déficit du dollar, et surtout, ne pas travailler! Difficile d'y arriver sous la barre des mille dollars. Mais je crois que c'est peu pour se faire autant de bien! Car avec le même montant autour de chez moi, je dois me creuser les méninges. C'est sûr que le billet d'avion réduit rapidement le budget! Pour le reste, rien de plus facile! Pour vrai, c'est triste de le réaliser. Dans un endroit inconnu, où nous n'avons pas de citoyenneté, pas d'amis, pas vraiment de point de repère, et s'en sortir aussi bien. Et se trouver un travail serait facile. Mais quand c'est le temps de payer les comptes, c'est autre chose. Notre gouvernement nous enchaîne très bien avec le RRQ et l'assurance-maladie. C'est un peu comme une dictature. Partir n'est pas interdit, mais tu dois te débarrasser de tes chaînes. Pourquoi pensez-vous qu'il y a autant de gens qui passent l'hiver en Floride depuis des années? Parce que c'est plus facile! Imaginez ça : c'est plus facile de payer ses «droits» pour la belle province et vivre ailleurs! Pensez-y! Même si nous payons tout en double et en triple, c'est plus facile de passer la moitié d'un an ailleurs! Ouin... Je vais y aller moi.

Pas trop souvent, s.v.p.!

Ah les lundis qui suivent les changements d'heure! On dirait qu'on commence une nouvelle vie. Mais on a tôt fait de comprendre que ce n'est qu'un effet de «décalage», car la réalité nous rattrape assez vite. Toujours autant de taxes à payer, toujours aussi cher pour pouvoir respirer ici, au Québec. Je pourrais aller passer une semaine en Floride d'ici un mois. J'adorerais y aller. EN même temps, y aller, c'est réaliser à quel point on paie cher notre chez nous. Alors que certaines personnes commencent à réaliser ce fait, moi je suis sans ressource depuis plus de quinze ans. Sans ressource parce que j'ai trouvé des solutions, mais je n'ai aucun moyen d'en parler, aucun moyen de pouvoir les mettre en pratique! Tout ce que j'ai comme choix, c'est d'aller voter! Et comme nous votons pour le moins pire depuis trop longtemps, il n'y a pas grand chose qui change. Le peu de changement observable continue de d'isoler notre économie. Et nos dirigeants se tire une patate chaude, tout en pelletant par avant les autres problèmes! Dans la liste de ce qu'ils pourraient encore taxer, nos crédits d'impôts, l'air qu'on respire, nos pensées et, peut-être notre droit à la vie. J'exagère à peine. Si je veux un endroit pour demeurer, je dois payer un loyer, une hypothèque, une pension. Peu importe, ce montant sert à payer ma demeure, mais aussi des taxes municipales. Ensuite je dois manger. Presque tout est taxé, puisque les prix sont régis par le gouvernement. Qui implique le gouvernement, implique des salaires à payer, donc une surcharge sur le prix au détail. Maintenant, si je veux un chien, il y une taxe pour ça, payable chaque année. Si je veux refaire mon terrain, je dois demander un permis. Et sur ce permis, il y a des taxes. Si je veux me déplacer, alors il y a le transport en commun ou un véhicule immatriculé loué ou acheté. Peu importe, le prix du transport en commun est une honte! Et avoir un véhicule à soi oblige des taxes à l'achat, des taxes sur l'immatriculation annuelle, des taxes sur le permis de conduire, des taxes sur les assurances de ce véhicule, des taxes sur l'entretien requis de ce véhicule, des taxes sur le combustible que nécessite ce véhicule. Et des taxes sur les stationnements que parfois il faut utiliser avec ce véhicule. Imaginez si je décide de m'amuser. Toutes ces taxes reviennent si vous vous achetez un VR, un bateau, une motoneige, une motocyclette, etc. Il y a encore le vélo, mais pas pour ceux qui doivent transporter des enfants ou du matériel. À l'achat de votre vélo, vous paierez des taxes, et aussi sur tout accessoire inhérent à l'utilisation de ce dernier! Ah! Et si vous allez à une soirée, au restaurant, dans un hôtel, dans une salle réservée, vous paierez encore des taxes! Pour vos consommations, pour votre stationnement, votre nourriture, etc. Et, j'en oublie beaucoup! Mais malgré tout ça, le gouvernement en cherche chaque jour, des moyens de nous taxer!

Bon vendredi!

Ouf! La journée de travail s'est terminée tard hier! Après un CA qui débuta vers 7:00, j'ai terminé les préparatifs pour la remorque d'un client. Ensuite je suis parti pour Donnacona, là où se trouvait la remorque. Prenant mon heure de dîner pour m'y rendre, j'ai sauvé un peu de temps. Et cette remorque de seize pieds m'a occupé pendant sept heures! Une petite journée de treize heure! Va falloir que j'en discute avec mon patron! Mais comme cette remorque était supposée d'être faite depuis 2 semaines, et que la disponibilité d'un endroit au chaud se présentait, il fallait procéder! CE matin, je me sens un peu fatigué, mais vraiment heureux et fier de moi. C'est important d'avoir ce sentiment de réussite, d'accomplissement! Avoir le privilège de se sentir bien au travers des autres. Et comme nous sommes vendredi, c'est merveilleux! ALors on ne lâche pas, on continue! Être son propre patron comporte son lot d'avantages, mais ça demande aussi, bien de la volonté. J'en reparlerai plus tard de cette  volonté!

Réagir

Y a rien comme rencontrer des obstacles pour apprendre à les surmonter! Bien sûr, des fois il nous semble en avoir trop à la fois. Mais c'est une gymnastique intéressante! Voilà pourquoi il ne faut jamais baisser sa garde. Rester au courant de ce qui se passe autour de nous. Ne pas attendre que les choses se corsent avant d'agir. Pendant des années, j'ai vécu sans jamais m'en faire outre mesure avec la vie. Je me disais que tous ces problèmes allaient passer. Que le temps arrangeait bien les choses! Chemin faisant, je me suis rendu compte, pas mal tard, que j'étais dans la marde. À force de contourner des problèmes sans les régler, on finit par manquer d'espace vital. Car peu importe le chemin que nous prendrons, à un moment donné, il n'y en aura plus qui seront sans problème! Comme j'ai déjà expliqué en métaphore, les problèmes, c'est comme un chien qui te coure après. Pendant un temps, tu cours devant, derrière, à côté! Mais tu finis par être fatigué. Alors s'ajoute un autre chien! Et là, tu cours encore, la course devient plus hardue! Et tant que tu ne trouveras pas une solution, les chiens seront toujours là. Alors il faut agir! Et plus on prend du temps pour le faire, plus il en sera difficile. Ici, dans notre belle province, on cultive les problèmes. Au lieu de les régler, on en crée d'autres! Nous combattons le feu par un autre feu. Et on dirait que chaque fois, le nouveau feu provoque des dommages collatéraux. ALors on allume d'autres feux! Voilà! Au lieu de se comparer au moins bons, comparons-nous aux meilleurs! Essayer de caler les autres pour paraître mieux, ça finit par se savoir! Bien imaginez-vous donc que cela allume encore d'autres feux! Et ainsi de suite! Bonne journée!

Garder les choses simples

HIer soir, je suis allé souper avec ma douce moitié et nous sommes ensuite allés au cinéma. La température était vraiment irritante! Il pleuvait du verglas, marcher était une tâche hardue. Mais ce fut un bon moment, pendant lequel j'ai oublié le train-train quotidien. L'ambiance au resto était bonne, malgré le fait que nous étions un mardi soir «pluvieux». Je regardais la clientèle et je me disais que nous étions les plus «âgés» sur les lieux. Ça veut sûrement dire que le temps continue son œuvre! Les restos-lounge-bar-mixologie-etc sont vraiment à la mode, et c'est rafraîchissant d'y aller. La déco me plaisait beaucoup. Les matériaux recyclés, faire le maximum avec le minimum. Mais il faut du courage pour garder ces endroits en vie et, surtout, avoir de bonnes idées. Une ambiance agréable, ça vaut de l'or! Mais un menu divertissant, sans être trop dispendieux, ni trop compliqué, c'est aussi un solide défi pour les restaurateurs! Et, en payant, je me disais que le prix était sûrement dans la moyenne. Ce fut bref, mais bon! Et nous nous sommes dirigés vers le cinéma. Mardi soir oblige, il y avait tellement de monde! Sans oublier que c'est la relâche scolaire. Nous avons trouvé un stationnement vraiment loin. Avec la pluie, nous étions trempés. Une fois dans nos sièges, il a fallu faire sécher nos manteaux. Mais le fait d'avoir imprimé nos billets à la maison nous a épargné la file. Comme nous venions juste de manger, pas besoin d'acheter quoi que ce soit. Ultra AVX. Écran plus grand, courbé. Sièges réservés. Un son digne de ce nom. Pas de 3D, génial. Plus de deux heures ont passé sans que je me demande si ça finissait bientôt. Voilà une soirée pas trop chère! Et puis, c'est souvent comme ça qu'on s'en sort, car tout est compliqué dans notre belle province!

Bof...

Ces jours-ci, je me demande pourquoi je dois encore me poser autant de questions! Aimer est le seule règle qui compte, mais des fois, on dirait qu'il y a des accrocs... Des petits pics qui se font sentir au travers d'une caresse... Du velcro quand ce n'est pas nécessaire! Pourtant, j'essaie de tout mon être. Mais de recevoir un message à 5:55 de son fils concernant la livraison d'un jeu vidéo... Alors qu'il est en période d'examens! Bof! Il y a pire. Mais les préoccupations d'un père, comme le bien-être de sa famille, l'entretien de leur foyer sont pour moi une priorité. Je n'aime pas me sentir pris dans mes pensées. Coincé quelque part, dans un recoin de mon cerveau, errant comme un homme perdu dans le désert. Je me demande quand est-ce que je trouverai de l'eau, ensuite la sortie. Je sens que nous perdons notre liberté de penser, d'avoir des choses à dire. Car à quoi bon aimer, si les autres ne comprennent pas. Si les autres ne s'en rendent pas compte? AU delà de cette pensée, si même tes enfants suivent cette tendance, en faire le moins possible et en vouloir le plus possible. Avoir cette attitude communiste. Souvent j'ai l'impression de travailler pour les autres, même si je suis mon propre patron! Car les autres, ce ne sont pas un patron ou des employés; les autres, ce sont mes enfants, les retraites grasses des boomers, les subventions, le salaire des autres! Ça m'arrive de penser comme ça quand je manque de soleil, quand j'ai le goût de faire du changement, quand je me sens étouffé par le système. Tanné de me faire dire où prendre mon air pour respirer! Pays libre... Dans ma tête!

Lundi matin, on se crinque!

Encore une fin de semaine glaciale où prendre une marche, malgré un beau soleil, relevait d'une certaine volonté et d'être bien habillé! Mais ce fut aussi un temps d'arrêt dans la course folle qui s'entame vers un printemps qui arrivera bientôt. Mais il ne faut pas prendre à la légère notre climat, car il est plein de rebondissements! Pour ma part, j'ai bien hâte au dégel, le vrai. Car ces dix belles journées ont eu comme effet de réveiller la construction et aussi le téléphone! Fantastique! Je vais la payer cette imprimante! Je n'ai pas à demander de subventions, je vais moi-même accomplir mes objectifs. Avoir un sentiment de devoir quelque chose à quelqu'un, c'est bien tannant. Et puis, ça finit par être stressant! Découvrir soudainement que tu dois des sous depuis longtemps, que des intérêts ont couru, ouash! Aussi bien vider le compte, mais dormir en paix. De toute façon, au dessus, en dessous, et\ou à zéro, qu'est-ce que ça change? J'aime bien travailler, et travailler pour moi me donne des ailes! Pourquoi en donner aux autres? Nous en donnons assez comme ça! Après avoir jasé avec le comptable, je reste travailleur autonome aussi longtemps que possible. J'ai une petite PME, mais c'est moi. Alors on ne s'énerve pas, mais on vit! Une vie intéressante, remplie de découvertes, de rencontres profitables! Comme c'est merveilleux de pouvoir gérer son horaire! Décider où et quand. Des fois, c'est tout un défi! Mais c'est une des facettes enivrante de la vie! Alors bonne semaine, travaillez-bien!

Ça passe ou ça casse!

Hier j'écrivais qu'il fallait apprécier ce qu'on a. Et, quand j'ai reçu ce texto, tout à l'heure, à 4:53, je me disais que certains ont bien de la difficulté à apprécier tout court! C'est sûr que je vais en reparler! Ça fait des années que je lui dit que la vie est un privilège. Qu'il faut vivre le moment présent, accepter ce qu'on est et apprécier ce qu'on a! La semaine dernière, caché derrière ses textos, mon fils me disait qu'il n'avait pas d'argent pour payer les frais de sa prochaine session au CEGEP, que son loyer n'était pas payé encore, Parce qu'il n'avait pas eu le temps de s'occuper de sa marge de crédit étudiante. Wow! Et ce matin, à 4:53, il me dit que nous allons recevoir le nouveau Zelda? Wow! Justement, hier soir, j'abondais vers une conversation avec lui ce samedi! COmme quoi certains aiment nous donner des arguments... Quel merdier! Je fais quoi avec tout ça? Il a deux cours cette session, il ne veut pas travailler. C'est de la mauvaise volonté! TSA ou non, il m'a prouvé par le passé qu'il pouvait faire beaucoup mieux! J'ai l'intention de lui parler fermement, mais sans jamais être déplacé. Qu'il comprenne ou non, j'ai un message clair à lui livrer. Tu dois travailler ou demander l'aide sociale. Le reste, je vais m'organiser. Mais je ne suis pas un organisme publique, ni gouvernemental. S'il a besoin de subventions ou encore de prêts étudiants, qu'il fasse ses demandes à temps! Sinon, qu'il s'inspire de ceux qui réussissent! Comme nous le faisons tous! Ce n'est pas au monde à s'adapter à lui, mais à lui de s'adapter au monde! À suivre!

Apprécier ce qu'on a.

Hier, il a plu toute la journée sans arrêt! Je dirais même qu'il a plu toute la nuit. Ce n'est que vers 5:15 que la pluie est devenue de la neige. Si vous le voulez bien, nous allons forcer les choses pour que le mercure ne descende pas trop la nuit prochaine... N'empêche que vivre au Québec est un défi sans cesse renouvelé! Que ce soit pour la température ou pour les contrariétés gouvernementales, il faut toujours être inventif! Choisir où mettre ses énergies, bien choisir ses combats! Car s'il fallait avoir des attentes, alors il faut «s'attendre» à être déçu. Nous avons le pire climat de la planète et le plus haut taux de taxation et aussi d'imposition! Peu importe ce que le premier venu vous trouvera concernant les statistiques, ne perdez pas de temps avec ça, donnez-lui raison et dépêchez-vous d'être heureux! Rien n'est plus frustrant que se faire dire «Je te l'avais dit!» ou encore qu'il y a pire ailleurs! Il faut se baser sur les meilleurs! Ne pas se faire d'attentes et agir! À quoi bon attendre des résultats de l'au-delà ou un signe du destin? Aide-toi et le ciel t'aidera! Si les choses tournent mal, inversez la vapeur! Et, essayez de ne pas remettre ce qui doit être fait à plus tard. Y a rien comme empiler des choses et ensuite courir. On coure assez comme ça! Mais bon, il ne faut pas oublier, après tout ça, de relaxer un peu. Car certains moments plus durs peuvent nous entraîner dans des pensées plus sombres et ruiner nos journées! Donc il faut avoir des moments pour apprécier ce qu'on a! Et ceux qui aiment mieux pleurer dans une Mercedes pas payée que dans un vieux Tercel bien à eux, à vous de continuer!

Une pause

Après un dîner très lourd en diverses informations, je me suis contenté de retourner travailler. J'ai le privilège d'avoir mon petit monde à moi. C'est moi qui décide mon horaire, les jobs que je fais. Donc aujourd'hui en ce 1er mars, il pleut. Je ne ferai aucune installation qui ira dehors par la suite, car il annonce un refroidissement dès demain. Ça serait faire exprès pour avoir du trouble. Alors j'en profite pour faire avancer d'autres dossiers qui, ne demandent pas tant, mais qui tomberont dans l'oubli si le téléphone commence à sonner. Comme à tous les printemps, le téléphone se met à sonner, l'ouvrage reprend et, en deux semaines, je prends un mois de délai de livraison. Mais je suis heureux de tout ça. Car je peux établir des contacts avec des gens extraordinaires. Des gens qui, comme moi, paient des taxes et des impôts. Des gens qui veulent être heureux. Je ne demande pas mieux. Plus jeune, je voulais devenir missionnaire, partir en mission humanitaire, parcourir le monde pour aider! Aujourd'hui je suis content d'aider les gens dans mon secteur. Pourquoi aider des gens d'un autre pays, alors qu'il y a des tas de gens, autour de moi qui ont besoin? Des fois je suis un peu fatigué, mais j'essaie de voir le beau dans tout ça. De toute façon, j'aurai tout le temps de dormir quand mon tour sera venu! Quelle pluie ce matin! Un redoux qui dure depuis une dizaine de jours. C'est sûr, ça fait du bien, mais j'ai tout de même hâte au printemps! Le soleil et sa chaleur, le chant des oiseaux et mon vélo! J'ai l'intention de pédaler encore pas mal cette année. Le défi que nous nous sommes lancés, mon beau-frère et moi, s'avère plus grand que les dernières années. Je vais devoir rallonger mes randonnées. Parlant de randonnées, j'ai hâte de pouvoir aller au camping. J'y ai fait du vélo l'été dernier, les rangs sont vraiment propice pour se balader, se mettre en forme pour le Cyclo-Défi Enbridge. Ah! C'est merveilleux de rêver, de pouvoir s'imaginer au grand air! Bonne journée!