Allez faire vos besoins!

Il n'est que 9:30 et j'ai déjà parlé à ma soeur deux fois, à mon père et à mon frère! La grogne est commencée, le délire se poursuit. Monsieur legros, vous pouvez aller faire vos besoins! Votre manque de respect, votre incompétence, votre incohérence décisionnelle sont incommensurablement vos plus fortes actions depuis que vous avez été élu! Pour le reste, la destruction de toute notre économie sous prétexte que vous voulez sauver votre (le vôtre) système de santé à un milliard par semaine, n'est qu'une immense supercherie. J'en suis à me dire que vous n'avez plus le contrôle de votre navire, que même si vous tentiez de vous sauver, ça ne marcherait pas! Une chose est sûre, même si je le voudrais, je ne serai pas capable d'oublier tout ce que vous m'avez fait subir! Depuis tellement trop longtemps, les politiciens furent de véritables bourreaux pour moi; leurs décisions ont démoli ma vie, de différentes façons, et je suis encore en train de me relever! Mais je dois vous le donner, monsieur legros, vous êtes le pire de tous ceux que vous ont précédé! Et de loin! QUand le temps sera venu, je ne voterai pas pour vous! Profitez-en pour retourner faire vos besoins!

Un cercle vicieux.

Dernière journée de l'année! Il fait moins trois degrés. Dans mon coeur, l'heure est grave; legros vient tout juste de nous remettre un «couche-tôt», il a refermé les restaurants, étiré les congés des fêtes des enfants jusqu'au dix-sept janvier, et il a dit au gens qu'il ne pouvaient plus se rassembler! Peu importe le rassemblement, si c'est à l'intérieur, c'est proscrit! Il a ressorti le terme «essentiel», en parlant de métiers et\ou de commerces et il ferme les commerces le dimanche! Depuis quand est-ce qu'on gouvernement décide ce que les gens doivent faire? Et puis, parmi les choses qui en arrachent depuis trop longtemps, ce sont les entreprises dont le responsable est legros! Nous sommes pris dans un cercle vicieux. Hier, nous sommes allés souper chez Danielle et Alain. En arrivant, la première chose discutée fut les nouvelles mesures de la supercherie... J'ai déclaré que nous n'en parlerions plus, si nous voulions rester amis! Franchement, je ne comprends pas le rapport entre les hôpitaux et toutes les mesures en place! Où est le lien? Que se passe-t-il avec les gens? L'applaventrisme doit cessé au plus vite! Qu'est-ce qui arrive avec la démocratie? Depuis le début de tout ça, il n'y a rien qui justifie une telle loi martiale! Il y a des «plus» sur un variant, mais pas plus de gens qui sont malades, ni décédés. Il n'y a rien qui fait du sens dans tout ça! Et je ne comprends pas pourquoi il faut une troisième dose et une quatrième dose! Le délire, ça commence à faire. Mais comme les gens semblent avoir peur de quelque chose, je ne comprends plus depuis bien longtemps! D'ailleurs, je ne vois plus la nécessité d'en parler, puisqu'il n'y a rien à discuter. À plus!

Partager du bonheur avec les autres!

Il fait moins huit degrés, pas vraiment ensoleillé, mais je me suis levé à neuf heures! Donc c'est une journée mémorable! Après une belle soirée chez Laurent et Tatie, nous sommes rentrés à une heure du matin. Notre soirée la plus tard du temps des fêtes! Nous avons jasé comme nous savons si bien le faire! Laurent et moi avons parlé de voitures, de technologies motopropulsives, et de vélo! Nous avons mangé de la raclette, un classique avec eux! Nous avons même échangé des cadeaux! Et nous avons reçu le fameux wok que j'avais vu au Costco! De la part de Maïté et Cameron! Bin oui, Maïté était en persmission spéciale, car son père hallucine solide sur la supercherie! Il tombe quelques flocons, ici et là, c'est vraiment beau! J'ai l'intention de faire un feu, aujourd'hui. Celui du vingt-quatre m'a grandement inspiré. Et puis, j'adore passer du temps dehors! Il me reste des retouches dans mon pelletage, ce que je ferai tantôt. C'est bien de pouvoir relaxer, de n'avoir rien d'autre à me soucier que moi, ma Bibi et ce qu'on va manger. Merci pour ça! Le dernière année fut bien mieux que celle d'avant, au niveau business, mais aussi au niveau santé! L'an dernier à pareille date, je ne pouvais pratiquement rien faire, car je venais de me faire opérer pour l'hernie qui sévissait dans mon quotidien depuis neuf mois. Et je constatais que mon année financière était un véritable désastre! Je ne pouvais me sentir bien, sauf si je me recroquevillais un peu, et que je m'accrochais aux petits bonheurs qui se trouvaient en moi! Cette année, je me sens honoré de pouvoir partager du bonheur avec les autres, ceux que j'aime! Et côté forme physique, je me sens au maximum de mes moyens, dans la mesure de ce qu'il me faut pour travailler et faire du vélo! Parlant de vélo, j'ai bien hâte de ressortir le gros Surly! On s'en reparle!

Dix-huit ans de sa vie.

Nous sommes allés souper avec René Therrien, dans son appartement. Son premier endroit personnel depuis sa libération. Il aura purgé dix-huit années en prison pour double meurtre. Il s'est trouvé un petit demi sous-sol, à cinq minutes à pied de chez nous. Il voulait nous recevoir dans son humble endroit, qui, ma foi, est vraiment excellent. Il nous avait cuisiné des côtes levées, avec des patates pilées, des légumes vapeurs, c'était vraiment très bon! Il avait même fait un dessert, une tarte au sucre, genre sirop d'érable, vraiment délicieuse. Nous avons passé un bon moment. Il était content. Il en est à reconstruire sa vie en entier, alors qu'il vient d'avoir cinquante ans. Il est en forme, il travaille dans le construction, et ne demande qu'à aider les autres. Il veut vivre ce qui lui reste de temps sur cette terre, de la façon la plus libre possible. Pour lui, les mesures «legros» ne sont pas si pire, puisqu'il a vécu dans une cellule pendant presque vingt ans! Nous avons joué au train mexicain et aussi au dés. Petite soirée très tranquille, sans alcool, qui m'a fait du bien. Les gens de son passé se demandent encore s'il a vraiment attenté sur la vie de deux personnes. Moi je n'ai pas connu vraiment René, avant tous ces événements, mais le peu de temps que j'ai eu le privilège de passer avec lui, me montrait une personne très gentille, honnête, travaillante et hospitalière. Alors pour moi, peu importe ce qu'il a pu faire, là-bas, en Colombie Britannique, il a payé de dix-huit ans de sa vie, et il devra continuer de veiller sur lui et ceux qui lui sont chers, pour ce qui lui reste de temps à vivre! Alors s'il veut bien partager quelques moments avec moi, je les accepte avec joie. Je ne sais pas ce que la vie me réserve, mais je m'efforce de profiter des petits bonheurs quand ils passent. Et puis, il n'a pas l'air d'un homme qui a passé autant de temps en prison. Aucun tatouage, pas trop de cicatrices apparentes, un langage approprié, bref, quelqu'un de bien. Il s'est acheté une voiture, il parle de l'avenir qu'il aimerait avoir, il a beaucoup de chose à dire, et je sens qu'il a aussi des confessions à faire. Mais tout ça le regarde. Moi je fais confiance aux gens jusqu'à preuve du contraire. Et pour ce qui est du passé, je ne peux rien y changer, alors aussi bien profiter du moment présent!

L’année se termine…

Moins sept degrés, nuageux avec un peu de neige. Hier nous sommes allés chez Mamour, lui porter les choses qu'elles avaient oubliées chez nous, le vingt-cinq. Nous en avons profité pour dîner avec elle. Nous avions amener le dîner, car nous avons tellement de bouffe d'accumuler. Ouf! Elle garde le gros Wilson, un golden de plus de cent livres! Ça fait partie des choses qui m'auront fait capoter pendant le temps des fêtes! La belle-mère est malade, affaiblie par différents problèmes reliés à son âge. Elle a donné sa vie pour ses enfants, ses petits enfants, et là, alors qu'il lui faudrait un peu de repos, certains continuent de lui en demander! Je ne sais pas trop quoi dire. Cela m'attriste. Nous avons fait de notre possible, en recevant les gens qu'elle devait recevoir le vingt-cinq, nous sommes à l'écoute de ses besoins, mais je n'arrive pas à comprendre les autres, qui ont amplement les moyens de faire garder leur chien, imposer cette tâche à Mamour. Mautadite course vers une sorte d'escalade quelconque, un train de vie très élevé, où les limites n'attendent qu'à être dépasser(dépenser?)... Mais assez perdu de temps, l'année se termine dans trois jours, et dans un mois, ça fera vingt-cinq ans que nous sommes mariés! Depuis quelques années, nous discutions de partir dans le sud pour reprononcer nos voeux; il était aussi question d'acheter un jonc semi éternité. Mais la supercherie est venue brouiller les cartes. Pour l'instant, nous discutons d'aller passer du temps dans une auberge, ici, dans l'ancienne belle province. Mais commme les différentes mesures de la loi martiale de legros ne font que changer, difficile de se faire une idée! Payer le gros prix pour se voir prisonnier d'un masque, des mesures de distanciement, etc, très peu pour moi! Comme si nous étions des criminels sans scrupule qui chercheraient à profiter de la vie au détriment des autres! Franchement, c'est vraiment trop! Donc nous ne sommes pas fixés du tout. Et fêter un événement aussi majeur, en ayant un sentiment d'oppression, bof! La neige s'amplifie, j'ai vraiment bien fait de rentrer la voiture à Joanne dans le garage, et de fermer les toiles du gazebo. Parlant de gazebo, je m'ennuie de déjeuner à cet endroit. Ils sont doux les moments passés sous son toit, à écouter les oiseaux se lever, à profiter de la lumière du jour qui se lève doucement. Et puis, j'ai une sorte de sentiment, un je ne sais quoi, qui se demande pourquoi personne ne vient nous rendre visite, personne n'aime vraiment être dehors! Je sais que je divague un peu, mais nous sommes une classe à part, ceux qui aiment rester dehors le plus longtemps possible. Faire du camping, du vélo, prendre des marches. Prendre des marches sans que personne nous le dise! Bref, nous sommes devant des décisions à prendre, mais les entraves au bonheur se font nombreuses...J'essaie d'écouter mon coeur, tout en restant les pieds bien ancrés dans mes valeurs.

Cela avait son charme.

Lundi matin, je suis en congé. Il fait moins onze degrés. Le soleil semble vouloir enfin montrer le bout de son nez! Ah! Ce fut un moment extraordinaire, celui d'aller faire du fat bike avec ma Bibi, hier. Plus de neuf kilomètres en sentier plus ou moins excellents, mais pour moi, c'était excellent! La température plus douce que celle du 24 décembre nous a fait du bien. Et puis, la vie, c'est dehors. J'ai vu l'état des vélos tout à l'heure, ouf! Après s'être amusés, nous avons rentré les vélos, puis nous avons pris un SPA! Cela a fait le plus grand bien! Nous avions un souper chez des amis, Sandra et Régis; Alain et Ginette se joignaient à nous. Régis cuisinait. Nous avons très bien mangé. Des entrées fondue parmesan très garnies, puis des tartares de boeuf et de saumon. C'était un vrai délice! Sans oublier notre performance «Uptown fond d'culottes». Une belle soirée! Mais comme toute bonne chose a une fin, la fatigue est venue me chercher. J'ai pu constater à quel point mes amis réussissent à relaxer. Alain disait qu'il était heureux avec sa petite famille pour le réveillon, Régis en disait autant. C'est merveilleux de constater que mes amis sont heureux. Je suis content pour eux! Et moi aussi, j'étais heureux au réveillon, avec ma petite famille. Et puis, l'idée de faire un feu, jaser doucement au son du crépitement, cela avait son charme. Et ça me reposait de la veille, où j'ai eu beaucoup de misère avec les circonstances. Hier mon fils Cameron m'a rappelé de façon très cavalière, que pour lui, il n'y a pas de hierarchie entre lui et ses parent et\ou grand-parents. Et qu'il trouve ça dur que des personnes de plus de soixante-dix ans aient de la difficulté avec les changements qu'il a fait dans sa vie. Pourtant, toutes ces personnes l'aiment, et ne veulent que son bonheur, peu importe son genre, le nom qu'il porte, etc. Ce sont des notes un peu déchirantes, mais qui, une fois écrites, me permettent de pouvoir les mettre de côté. Merci soleil pour ta présence.

Prendre du temps avec ceux que j’aime.

La journée d'hier fut une sorte de bonne action envers des gens de notre famille. Nous recevions les esseulés, ceux qui se sont retrouvés «seuls», la moitié de la famille étant partie en Floride. Nous fumes témoins de «nouveaux» parents, des jeunes qui sont accros à leur téléphone, laissant leurs enfants aux bons soins des autres, ceux qui sont sur place. Et quelle bonne idée d'amener des enfants enrhumés, quand l'arrière grand-mère est sur place, affaiblie par les derniers mois. Et que dire de l'orgie de cadeaux... Les enfants ne voyaient plus clair! Cela me rendait triste. Sans compter que nous avons des restants pour plusieurs jours! Mais comme il faut se créer de nouveaux souvenirs, des souvenirs sans supercherie, c'est ça la vraie vie! J'ai tellement fait de vaisselle, de ménage... Mais c'est chose du passé! Je regarde pour continuer de me reposer, de prendre du bon temps avec ceux que j'aime, qui font partie de ma vie, de mon quotidien! Et puis, avec la supercherie qui se poursuit, comme si c'était une sorte de dictature... plus de temps à perdre avec les choses qui ne me rendent pas heureux! Je veux vivre heureux, et j'ai vraiment le goût de partager mon bonheur avec ceux qui le veulent, ceux qui m'inspirent! Plus de temps à perdre avec des gens artificiels, des gens qui aiment mieux paraître que d'être. Le «wokisme» obstrue ma vision des choses et je ferai tout pour passer au travers par mes propres moyens! Ceux qui m'aiment me suivent!

Fêter Noël.

Nous venons de fêter Noël avec mon père, Nicole, ma soeur et David, Mamour, Vicky et Steve, Cameron et nous-nous! Il faisait froid dehors, alors que nous avions allumé un bon feu! Nous avons réussi à créer de nouveaux souvenirs! Malgré toute la pression envahissante de la supercherie, rien ne réussira à nous briser! La famille, c'est sacré! Mon père voulait prendre un SPA ce matin, alors nous sommes allés nous saucer! C'était merveilleux! Il faut beau et plus chaud qu'hier! Nous avons eu un excellent souper, très généreux! Et puis, il y avait beaucoup à boire! C'était comme un rêve! Et puis, Joanne a eu la bonne idée de faire laver la voiture de mon père! Comme il restait à coucher, son auto a pu sécher comme il faut dans le garage! Je vois bien que le temps passe vite, que l'année se termine. Moi qui croyait que l'année 2013 était une année horrible, et je m'étais toujours dit que ce serait impossible de vivre une autre année aussi dure! Malheureusement, nous terminons une deuxième année de misère, une supercherie dont même les principaux acteurs n'ont plus le contrôle! Il faut se sentir choyé de pouvoir être ensemble, comme une seule famille! Prendre le temps de vivre chaque seconde, comme si c'était la dernière.

Créer de nouveaux souvenirs!

Mercredi matin, il fait moins huit! La noirceur est incroyable! Je ne vois même pas de l'autre côté de la rue! Ce matin, je vais travailler sur un cube. Un habillage en règle, ce cube sera vraiment plus personnalisé que jamais! Ma blonde va passer du temps avec sa mère, il faut bien que quelqu'un le fasse! Quand je pense qu'elle doit garder le chien d'une de ses filles! Wilson pèse plus de cent livres! Ces gens sont sans pitié! Mais qui suis-je pour juger? Et ce dossier n'est pas de mes affaires, même si je me sens concerné! Moi j'ai pris soin de son chien, de son auto, et avoir eu plus de temps et d'argent, j'en aurais profité pour faire un traitement de faveur sur son auto. Mais bon, laissons tomber les choses sur lesquelles je n'ai pas de contrôle. Aujourd'hui c'est ma dernière journée de travail avant Noël, et j'entends bien donner mon maximum! Je me sens un peu fatigué, mais aussi un peu effervescent, étant donné que ma Bibi est là, avec moi! Le reste, je dois m'en câlisser! Car je me sens offusqué, berné par une équipe de gens très incompétents, qui se foutent complètement de notre santé. Ce qui est important, c'est leur image, leur électorat! Pour ma part, je n'écouterai pas le point de presse de ce soir, comme je le fais depuis plus d'un an. Car ces gens me font chier tellement, ils ont détruit l'économie, achevé le peu de confiance que nous avions envers les politiciens! Je suis tanné d'en parler, mes doigt sont usés de taper sur mon clavier, pour écrire à propos de cette supercherie! Je me rends bien compte que la vie n'est plus comme avant; je suis en mal de devoir continuer comme ça! La vie ne doit pas être comme ça. J'écoute de la musique de Noël, pour me détendre, pour laisser l'ambiance des fêtes me dorloter! Je me sens prêt à me détendre, à laisser le temps me dégourdir. J'ai le goût de voir les gens que j'aime; je veux passer du temps à aimer, à me sentir bien, l'esprit vide, en train de créer de nouveaux souvenirs!

Un peu de respect pour l'être humain!

Nom de dieu que j'ai du ressentiment! Je me dois d'écrire pour exprimer ma rage, mon sentiment d'impuissance devant autant d'adversité! Je discute avec un collègue de la chmbre de commerce. Il me dit que les gens vont se faire tester parce qu'ils ont des symptômes! Avant, non, avant la grande supercherie, est-ce que les gens allaient se faire tester? En 2015, alors que le vaccin contre l'influenza s'avérait être un échec, il mourait plus de trente personnes par jour, en début d'année! Est-ce que les gens allaient se faire tester? Est-ce que les restaurants étaient fermés? Les urgences débordent à l'année, mais encore plus en saison de grippe! C'est comme ça. ici, dans l'ancienn belle province! Est-ce que les gens ont oublié? Je suis dans un cauchemar, un cauchemar qui ne veut pas se terminer! Sortez-moi de cet endroit qui m'intoxique! Malgré que je sois talentueux dans la dérision, je crois que je devrai devenir un véritable professionnel en la matière! Simonac, un peu de respect pour l'être humain! Legros est un menteur, un profiteur, un opportuniste, mais surtout un lâche! Je ne sais plus comment exprimer ma douleur, on dirait qu'il ne me reste que moi, ma Bibi et notre petit bonheur. Le reste est devenu une option de luxe que nous ne pouvons pas nous payer! Ces restrictions, de plus en plus punissantes, sont vraiment une véritable plaie; même les animaux sont mieux traiter que ça. À un milliard de dollars par semaine pour ce système de santé complètement inutilisable, nous serions supposés avoir un service digne d'une royauté! Ouch! Je le dis, pis ça me fait mal!

Tanné de me sentir puni!

Je me suis levé à moins six degrés, présentement il fait moins trois. Il est tombé dix centimètres, c'est la première journée de l'hiver. Je suis sorti pelleter, juste après mon entraînement. Il faisait bon de respirer dehors, de me créer une réserve de bonheur pour ma journée! La grande supercherie continue de nous enlever des façons de vivre! Tabarnak, la vie est tellement courte, peut-on vivre comme des êtres humains? Je ne comprends rien à ce que legros nous dicte. Il y a des politicos qui testent positif, et aussi plein de monde. Mais aucun sympômes, rien pour déranger. Une maladie qui sévit entre les deux oreilles! Ma blonde revient de la Floride, là-bas, tout ce cirque n'existe pas! Les cinémas sont fermés! C'était mon cadeau de Noël, d'aller voir ce film! Comme ce fut compliqué en fin de semaine, je n'ai pas réussi à y aller! des nouvelles mesures entraient en vigueur hier, mais ils en ont rajouté d'autres, qui débutaient à dix-sept heures! Je suis tanné de me sentir comme un criminel, de me sentir puni! Ma Bibi est revenue, mais la majorité des choses que nous pourrions faire, mis à part rester à la maison, sont devenues proscrites et\ou réduites! Franchement, j'ai pitié pour ce gouvernement, le pire que nous avons eu! À force de tourner en rond, de reprendre la même recette qui ne fonctionne pas, ça finit par me rendre fou! L'incohérence en continue, ça détruit tout! La volonté, la confiance et le bonheur! Allez ailleurs, voir si j'y suis, monsieur legros!

Premier bilan 2021

Comme l'heure est aux bilans, j'aimerais souligner que l'an passé, mon texte se titrait de cette façon : «Oublier complètement 2020!» Et comme l'année 2021 se termine très bientôt, que dois-je retenir de positif de cette dernière année? Je ne veux pas terminer l'année sur une note aussi triste que l'an dernier. Je commencerais par mes démarches personnelles pour m'aider à me comprendre. J'ai fini l'année 2020 par une chirurgie, mais aussi en thérapie. Thérapie qui s'est continuée en 2021. Comme j'ai eu droit à 20 rencontres au lieu de 10, la personne en charge de mon dossier m'a référé en thérapie de groupe. Tout ça a débuté en octobre. J'étais un homme de 52 ans, avec quatre jeunes femmes, agées entre 19 et 21 ans. L'expérience fut tout de même intéressante. J'ai appris des choses, qui pourraient m'aider avec mes propres enfants... Et puis, J'ai eu l'impression que mon discours a pu servir de «guide» à au moins une personne. Mais ces jeunes personnes étaient vraiment coincées; parler semblait difficile et gènant. Mais chemin faisant, nous sommes passés au travers. J'ai aimé me rendre au CLSC en vélo plusieurs fois. Et puis, les travaux que nous avions à faire m'ont permis de continuer de prendre du recul sur moi, sur ma situation. Bien content. Et d'avoir participé à ce groupe m'a ouvert les portes vers une autre thérapie de groupe, la mentalisation; ce sera seize rencontre de groupe, une évaluation individuelle à chaque deux rencontres. Les intervenants m'ont dit qu'ils avaient l'impression que je ne faisais qu'effleurer ma souffrance lorsque j'en parlais. Je ne sais pas si je fais bien de m'embarquer dans cette aventure, mais je serai là! Tout reste avoir! J'entends bien préparer mes rencontres, pour bien démèler ce que je vais dire. Tant qu'à fouiller dans le passé, mais aussi dans le présent, j'irai au fond des choses. On s'en reparlera!

Un écran de fumée.

Lundi matin, il fait moins seize! Si l'hiver pourrait être pas plus froid que l'automne ne l'a été, ça ferait du bien. Parce que ça donne un break à la supercherie. Et puis, rien ne sert de s'énerver avec la météo, je n'y peux rien. Une heure et demie avec Nicolas et Catherine hier, mieux que rien, mais aussi un petit cadeau en avance. Cameron, lui, est rentré vers 22:00. Rubis a eu le temps de me déranger en masse! Pourtant j'ai mis certains efforts pour la fatiguée, comme prendre deux grandes marches dans la journée; mais on dirait un jeune chien de neuf mois, qui n'a jamais rien vu, qui est émerveillé par tout ce qui bouge, tout ce qui lumine...Mais c'est un peu ça aussi, car chez mamour, sa vie est assez tranquille. Vivre dans la maison, se battre avec le chat, sortir un peu sur la patio et écouter la télévision. Mais la chose la plus importante, c'est que ma Bibi revient aujourd'hui! Simonac, ça fait dix jours qu'elle est partie! Et dix jours de chien, de ramassage de marde, de nettoyage de pipi. Je l'ai gagné mon temps des fêtes! Et je me sens un peu effervescent, prêt à gravir les montagnes qu'il faudra. Mais ça ne me sert à rien de m'énerver outre mesure, parce que je me suis dis que j'allais travailler aujourd'hui, jusqu'à son retour. Je ne sais pas non plus dans quel état va être Mamour. Va-t-on devoir aller la porter chez elle, ramener son auto, et surtout son chien...! AUjourd'hui, des tests rapides seront disponibles à nos frais, dans les pharmacies (gratuit avec mon impôt). Une autre façon de diviser les gens. Dans ma coeur, tout ce brouhaha n'est qu'un écran de fumée. Dans quel but? Protéger un système de santé qui est déjà détruit? Honorer un pacte avec les groupes pharmaceutiques? Je ne sais pas. Mais je peux vous dire que dans ma tête, il se dessine une cassure, quelque chose qui ne pourra être réparé...

Terni par la mascarade.

Un dimanche matin à moins huit. Un doux manteau blanc, recouvrant la glace des deux dernières semaines, pose présentement dehors. Quand je déneigeais le patio, les couleurs, blanc sur bois, c'était magnifique! Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, ça valait la peine d'être vu. Mais quand je suis descendu pour aller dans le garage, l'odeur de marde m'a un peu secoué; Rubis avait fait des besoins à deux places différentes, c'était dégueulasse! J'ai tout ramassé, en me disant que ce n'était pas grave, que cette période de sacrifices achevait. Bien content d'ailleurs. En ces temps de réjouissance, il faut admettre que je m'ennuie vraiment beaucoup de mon épouse et meilleure amie! Tout en pelletant, je repensais à Cameron; tous les mensonges, toutes les histoires inventées, cette façon qu'il a de nous manipuler... Je ne trouve plus de qualificatifs pour exprimer ce que je ressens. Sans compter qu'il dépense sans arrêt, pour tout et pour rien. Je ne sais plus quoi penser, je ne sais plus quoi dire, et de ne rien faire, le laisser comme ça, vivre une vie «empruntée», j'ai de la misère à accepter ce fait. Il n'est pas capable de faire face à la musique, il aime mieux tout cacher, exagérer ses émotions en temps et lieux, profiter de ce qui passe, car il prend rarement des initiatives. Mais que puis-je faire d'autre? Sans compter que je demeure inquiet par rapport à notre avenir; les taux d'intérêts, l'inflation, l'humeur des gens, les contraintes de la supercherie, etc. Il reste une semaine avant Noël; l'an passé, je disais que je croyais au père noël, car tout le reste m'apparait faux, terni par la grande mascarade...

Un amour inconditionnel.

Un samedi qui m'a donné de la lumière. Suite à une soirée avec des amis, je suis revenu à la maison, je suis allé promener Rubis. On aurait dit qu'une certaine paix entrait en moi. Et puis, ce matin, j'avais comme mission d'aller aider Bernard avec des meubles, mais aussi d'aller magasiner des voitures. Ce fut vraiment relaxant. Faire autre chose que stresser, être avec un bon ami, un véritable frère. Nous avons jasé comme nous l'avons toujours fait. J'ai apprécié chacune des minutes. En revenant à la maison, j'avais ce sentiment d'accomplissement, mais aussi une sorte de lumière qui m'habitait. Un sentiment de pure joie, un amour inconditionnel pour la vie, ma vie. Puis ce sentiment s'est amplifié, je trouve maintenant que Rubis n'est pas si mal, Stephane est venu me saluer, et il est venu me porter mon niveau que j'avais oublié chez lui, mercredi. Lui serrer la main, l'entendre me souhaiter de bonne vacances, ça m'a touché profondément. Et puis, alors que Nicolas était supposé venir me rendre visite, il fut pris par une histoire de supercherie. Il a remis sa visite à demain. Cameron est étrangement calme. Je ne sais jamais qui penser, est-ce qu'il me cache quelque chose, est-ce qu'il me dit la vérité? Pourquoi est-ce ainsi? Mais ce phénomène ne réussit pas à troubler ma paix, alors j'ai décidé de l'écrire, pour ne pas oublier ce moment allégresse que la vie m'a donné. À plus!

Mes limites

Ce matin, je me sentais déchiré dans ce que je voulais dire à mon plus vieux, qui se lance dans une transition. Comment dire ce que je ressens. Tous les deuils que j’ai faits depuis sa naissance. Les 22 derniers mois furent très durs pour moi. Je considère que j’ai manqué d’informations sur ce qui se passait dans sa vie. Je trouve même qu’une grande distance s’est créée, un canyon qui m’apparait insurmontable. Je suis content pour lui, si il peut trouver la meilleure version de lui-même en devenant une femme. Pour moi, l’essentiel, c’est qu'il soit heureux. Ce sont ses choix, en tant qu'adulte responsable de 31 ans, et je suis fier de ce qu'il a accompli jusqu’à maintenant. Rendu à cet âge, les décisions qu'il prend, déménager à Trois-Rivières, recommencer à vivre avec sa mère, changer de milieu, avoir d’autres plans de vie, moi je n’y peux rien. Mais comme j’ai bien de la misère à sourire depuis un bon moment, que les moments heureux se font très rares, j’aimerais que la trève se poursuive pour le temps des fêtes. Je ne veux pas «brasser» le passé, et je ne veux pas sacrifier le petit peu de bonheur que je fabrique tous les jours, à cause des différents que nous avons souvent lorsque nous discutons. Et je n'ai pas le coeur à discuter de changement de genre, de nom, de statut. J'en ai déjà plein les bras, ici, avec Cameron. Je voudrais qu'il prenne du temps, pour parler de sa vie à son grand père. Moi je n’en ai pas parlé, parce que je trouvais qu’il en avait déjà assez avec sa santé, avec la peine qu’il a, de ne jamais avoir de nouvelles de ses petits enfants (les trois). Je comprends pourquoi il (mon père)s’est fabriqué une muraille imparable, pour se protéger des tempêtes émotionnelles. Alors je préférerais qu’on ne se voit pas cette année. Pour le 30 décembre, peut-être une petite visite pour récupérer des choses, mais pas plus. Désolé, j’ai tellement de peine, tellement de difficultés à surmonter mes émotions! Et je dois me respecter, identifier mes limites et les communiquer. Voilà, c’est ce que je lui demande, en tout respect. Je l’aime de tout mon être, et ce depuis que je j'ai senti bouger dans le ventre de sa mère!

Encore un osti de beurrée de marde…!

Un matin à quatre degrés! Bin beau tout ça, mais il fera moins dix ce soir! Température de merde! Mais comme je ne peux rien y changer... Hier, le glas a sonné sur l'ancienne belle province, alors que legros a encore cru qu,il était le bon dieu. Une chose est sûre, il ne va pas s'en tirer comme ça. Quand je dis que je veux ravoir ma vie, c'est vrai. Et je vais continuer de me débattre jusqu'à ce que ça arrive! Je suis un battant, je vais me tenir debout devant l'adversité. Mais je ne peux passer sous le silence les appels multipliés de mon fils Samuel. La dernière fois que je l'ai vu, c'était à sa fête. Il m'annonçait qu'il voulait devenir une fille! Et aussi qu'il déménageait à Trois-Rivières avec sa mère. Ouin, pour quelqu,un qui ne voulait pas voir personne, il en avait rencontré beaucoup! Peiné, les yeux gonflés de tristesse, je n'ai pas dormi durant deux jours. Je me sentais trahi, je me sentais encore une fois bafoué. Il fera bien ce qu'il veut avec sa vie, je ne suis plus dans sa vie depuis bien longtemps. Mais soudainement, il veut nous voir, pendant le temps des fêtes! Je peux tu vous dire que je ne suis pas intéressé. Mais suis-je obligé? S'il vient nous voir, ça sent le conflit, ça sent la supercherie! Surtout qu'il habite avec sa mère. Une personne qui m'a toujours traité comme d'la marde! Et comme je ne partage absolument rien avec cette personne depuis plus de trente ans, je préfère me tenir loin de cette personne, et je ne la souhaite à personne! Elle aussi, m'a appelé au moins trois fois, et une autre fois avec un autre numéro. Pourquoi ces personnes viennent-elles gâcher ma vie? Je pensais que j'étais déjà au plancher depuis un bon moment! Et puis, j'ai tellement fait de deuil depuis la naissance de cet enfant... Certains me disent qu'il vaut mieux en rire, que de se prendre au sérieux, c'est la fin. Je comprends, mais je n'ai pas réussi à tourner tout ça en dérision! J'ai besoin d'aide, j'ai besoin de conseils... Tout reste à voir!

J’ai hâte de revoir ma Bibi!

Il fait moins trois. Il tombe du verglas. Hier soir, il semblait parti pour neiger toute la nuit, mais ce matin, il y a peut-être deux pouces de tomber. Et il se dépose une couche de glace par dessus. Hier, j'ai fini ma journée avec Stephane; nous avons installé les grandes images dans son garage, et quelques logos. Ensuite, nous sommes allés souper au Mikes. Dommage, le restaurant était vide. Mais c'était bon! La production est repartie au fond! Hier, j'ai commencé à imprimer du matériel pour quatre camions différents! Moi qui pensait finir la semaine en douceur. Donc ça se poursuit aujourd'hui, des impressions et de la découpe! Pendant ce temps, ma Bibi se la coule douce, en Floride! Donc tout va bien. Je suis sorti pelleter un peu et constater que je devrais attendre un peu avant de tout vider; sinon, je pense que ce serait encore une glace omniprésente, et ça, j'en ai plein mon cass! Mais le refroidissement qui suivra m'écoeure tout autant! Donc on reste calme avec le déneigement! J'ai tellement hâte que Joanne revienne, ça se dit pas! Il se forme une sorte d'énergie négative, tout autour de moi. Les merdias tentent de faire peur au monde, les faire sentir coupables de voyager, de s'amuser! Alors restons sourds à toute cette propagande de merde! Les gens ont droits au bonheur, moi aussi! Maintenant, au travail, le bonheur m'attend!

Je suis dégoûté

J'aimerais me permettre de pogner des nerfs, de vomir ce qui me met hors de moi! La grande supercherie semble éternelle! Pourtant, ailleurs, les choses vont bien, les gens ont repris leur vie. Et chacun s'affaire à relever l'économie, à rebâtir leur vie, leur quotidien. Moi je me demande encore si je fais bien de continuer, de m'acharner à passer au travers. Je me sens fini, tellement fatigué dans ma vie. Cameron ne me donne pas tellement de répis. Il fuit sa vie, et tout ce que ça peut inclure. Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi faire; je manque de ressources. Avant la supercherie, c'était déjà trop long pour avoir accès à des services, mais depuis plus d'un an et demi, c'est devenu un luxe. Un luxe innaccessible, même si ça nous coûte près d'un milliard par semaine! Juste pour le réseau de la santé! À ce prix-là, nous devrions avoir un service digne d'une royauté! Où sommes-nous? Les choses se sont empirées avec les années, et, avec la supercherie, tout ça est devenu une véritable calamité, l'épreuve d'une vie! Je suis continuellement en questionnement, perdu dans cette jungle, où tout le monde essaie de tirer la couverte de son bord! Et quand je dis la couverte, c'est la couverte en entier! J'en ai des frissons! Il faudrait que je disparaisse de l'ancienne belle province pour un temps, le temps que je me fasse une idée claire. Encore là, suis-je capable de m'en faire une? Suis-je capable de me sortir cette torpeur? Pour l'instant, je n'ai pas encore de solution concrète, mais dans ma tête, je suis convaincu que nous pouvons faire quelque chose. Je n'ai pas peur de voyager. mais je n'en ai pas le goût; je suis dégoûté, perdu, mes intérêts ont diminué, je ne sais pas quoi faire. Il est facile de remettre tout à plus tard. À peu près tout ce qui se passe en dehors de la maison, m'écoeure! Je voudrais me soustraire de ce merdier, le plus possible.

Le narratif s’implante comme un parasite…

Ce matin il fait moins treize. Content tout de même qu'il ne fasse pas aussi froid qu'en 2013! J'ai des tas de souvenirs de cette fin d'année, alors que ma mêre nous quittait trop rapidement... Mais ce matin, en revenant de m'entraîner, de voir les étrons sur le plancher de la cuisine, je peux dire que ça m'a fait de la peine. Hier soir, je n'ai pas eu le courage de laisser le chien seul, me disant que c'était triste pour lui! Simonac, c'est comme ça que je suis remercié...J'ai l'impression que je suis content de ne plus avoir de chien. Et c'est parce que je sais que tout ça se termine lundi prochain; je ne pourrais continuer comme ça. Et ce chien est tellement mou, on dirait qu'il est fait en caoutchouc! Pourtant, je l'ai sorti deux fois après le souper, hier, et aussi deux ou trois autres fois dans la journée. Mais je pense que ce chien s'ennuie; il a hâte de revoir sa maîtresse. Moi j'ai hâte de revoir ma Bibi. Oh que oui! Elle semble se reposer un peu, là-bas, en terre libre. Ici, la diktat continue de faire du chemin; le narratif s'implante comme un parasite, intoxicant les gens de diverses façons, par le biais des médias. Ma blonde m'a dit que sa mère écoute TVA là-bas, en Floride! Tabarnak! Il faudrait que la dictature se taise, une fois sortie du dôme! Mautadite maladie mentale, comme une sorte de «slim», qui s'infiltre partout! Dire que j'en ai ma claque, serait un euphémisme. Mais dites-vous une chose, je veux ravoir ma vie, ma vie à moi! L'entroutecutage de mouche, ça suffit! Laissez-nous tranquille! Vous répétez la même chose que l'an dernier, ce qui n'a rien changé! Je suis tanné de la soumission, tanné de votre discours à sens unique. Votre vie à vous, legros, n'a pas changée, mais la mienne, oui! Vous me l'avez volée, vous m'avez bafoué, vous m'avez manqué de respect au plus haut point! Vous ne méritez pas d'être un premier ministre! Arrêtez de tester des gens vaccinés, arrêtez de faire peur au monde! Et surtout, redonnez-moi ma vie!

Un jour à la fois!

Il fait moins un, la journée d'hier fut plus étrange que je ne l'aurais cru. Il faut dire que Cameron me tire du jus, et du temps, comme autant le fait Rubis! Simonac! Mais des bonnes nouvelles, comme un camion à lettrer en janvier! Je me demande où la folie ira, cette fois-ci, avec la supercherie. Il ne faut pas se faire d'idée, ni écouter les merdias! Nous sommes dirigés par une gang d'incompétents! Et c'est vraiment lamentable! Des tests, des masques, des mesures inutiles, mais surtout, toujours en décret, pour museler la population en entier! C'est vraiment de la marde! Oui! De la grosse marde! Je ne me plains pas trop, mais c'est sûr que d'avoir à m'occuper d'un chien, c'est vraiment trop. Aussi tôt que Cameron disparaît, je me retrouve avec un pot de colle. Pot de colle qui a pissé sur du matériel dispendieux, hier. Je ne suis pas trop faché, mais je commence à en avoir mon voyage! Mais il reste encore sept jours avant son départ... AUjourd'hui, je vais porter mon camion pour le «tune up» d'hiver; changement d'huile, vérifier antigel, huile à transmission, etc. Sinon, j'essaie de rester concentré sur les objectifs fixés. Il faut savoir que je n'ai pas tant de travail que ça, cette semaine, mais que je ne me discipline pas moins, au contraire, je me tiens occupé! Autour du SPA, que de la glace, comme le passage du côté de la maison; pas tellement d'autres solutions, à part mettre du sel. Comme il n'y a pas tellement de circulation, j'attends de voir, le mercure va monter, demain et jeudi, ensuite, je prendrai une décision. Sinon, je trouve que je ne peux pas avancer les choses autant que je le voudrais. Mais bon, un jour à la fois!

Terminer un tas de chose.

Incroyable, il fait deux degrés! La journée d'hier ne fut qu'un énorme coup de vent! Mais voici une nouvelle semaine. Il n'y a pas tellement de travail sur la liste, mais tout de même, je sens qu'il y aura des imprévus, comme c'est toujours la cas. Et si jamais il n'y en a pas, je vais survivre avec plaisir. De toute façon, je n'en suis pas à mon premier temps des fêtes. Je me souviens d'avoir eu bien du travail pendant le temps des fêtes, comme aussi, pas du tout. L'an dernier, je me faisais opérer, le 21 décembre. J'avais du travail, mais je trouvais que je manquais de temps, et d'énergie. Affaibli par cette blessure, qui me stressait, l'inquiétude qui me tenait en haleine, plus la date de la chirurgie avançait. Donc un lundi avec des choses à terminer, je sais que je vais en profiter pour terminer un tas de choses, d'ici Noël. Et je ne vous cache pas que de passer une fin de semaine sans ma Bibi, c'est vraiment long. Donc je reviens dans ma routine de semaine, histoire de réussir à finir tout avant les fêtes. Ça c'est vraiment le véritable défi. Pour changer de sujet, ma chérie se la coule doucement en Floride, là où la supercherie n'existe plus. D'ailleurs, elle n'existe qu'ici, par le biais des médias. Je suis content pour elle, pour sa mère aussi; ça leur fera une trève, une pause dans leur tête et dans leur coeur. Vivre ici, dans l'ancienne belle province, relève d'une autre mentalité sociale, à laquelle je n'ai jamais appartenu. Et il me coûte de sortir faire des commissions, de sortir pour quelque raison que ce soit, car je me sens vraiment pas à ma place, dans cette supercherie collective. Alors me voilà à l'aube d'une autre semaine, où je m'efforcerai de donner mon 100%. Tout reste à voir. À plus!

Tellement de vent!

Drôle de dimanche matin. Il a tellement venté cette nuit! je me suis couché vers vingt-deux heures, il pleuvait, avec un vent pas si pire. Mais ce matin, il fait moins un, le vent a réussi à tirer au sol mon excellent sapin de Noël, celui qui est dans la cour. Incroyable, le vent a tellement soufflé, il l'a soulevé de sa base, malgré les trois points d'attache, et il est tombé sur le sol! Je viens de le relever! J'ai fait des modifications à la base, comme deux trous pour y introduire des vis. Comme ça,le tronc devrait rester bien emprisonné! J'ai aussi fait des modifications sur les attaches de mon gros garage de toile, car il se soulevait d'un coin! J'ai aussi déglacé l'entrée et les marches; après deux semaines de misère, enfin il a fait assez soleil! Et dire que ma douce est en Floride! J'ai enlevé de la cendre dans le foyer estérieur, pour être sûr que nous pourrons l'utiliser tout l'hiver! J'ai aussi installé un projecteur pour éclairer mes raquettes, celles que j'ai fait comme décorations extérieures, à l'avant de la maison. Tout ça me rend bien heureux. Je ne peux pas en dire autant de Cameron, qui m'avait offert son aide, mais qui a préféré écouter un film, ensuite s'évacher avec les deux parasites restants. Quand ils sont partis, vers quatorze heures, je lui ai demandé pour qu'il vienne m'aider, mais il est allé se coucher! En tous cas, j'ai vraiment profité du soleil, et je pense même aller prendre une autre marche, avant que la noirceur tombe! Vicky est venue déjeuner, ensuite elle est allée chez sa marraine pour refaire sa teinture, et se faire couper les cheveux! C'est vraiment tranquille, quand ma Bibi n'est pas là.

Je dois m’amuser de temps en temps.

Moins trois degrés en ce samedi matin. Ma Bibi est rendue en Floride. Elle m'a dit que son fameux test à cinquante dollars, son passeport vaginal canadien, elle n'en a pas eu besoin à la douane! Comme quoi notre gouvernement est un méchant menteur! AU retour, j'ai bien hâte de revoir quelles seront les embûches. Heureusement, elle revient avant Noël, peut-être que ce sera mieux. Je dis ça comme ça, car je ne suis pas un devin. Mais une chose que je peux dire, c'est que legros est menteur, comme le Maîttrrre l'était, comme le trou d'eau. Tous des menteurs, sans scrupule, qui ne pensent qu'à leur propres intérêts! Mais si je veux me calmer, je peux parler de ma semaine, qui s'est terminée hier. Très fier de moi. J'ai réussi à livrer les glacières en temps, et j'ai réussi à faire des heureux chez mes amis de Thibodo! Et ça, c'est merveilleux! J'ai aussi continuer de travailler sur le projet du garage à Stephane. Je pense finir ça la semaine prochaine. Car une fois vendredi le 17 décembre passé, je crois que je vais fermer mes bureaux pour une pause des fêtes, pour un repos mérité! Tout seul avec mon café, de la musique de Noël et mon clavier, je suis content de me retrouver avec moi-même, en train d'écrire toutes ces choses qui hantent, toutes ces idées qui vont et qui viennent! Pour moi, c'est une façon de m'amuser, de passer du bon temps; comme dessiner, aller faire un tour en vélo, ou simplement écouter un film. Je n'ai pas de grands desseins par rapport à mes loisirs, mais plus le temps passent, plus j'en ai besoin! Une chose que j'ai apprise, à force de rencontrer des tempêtes, c'est que j'ai des limites; je ne suis pas superman, et je dois m'amuser de temps en temps! Et quand je dis m'amuser, c'est prendre du temps pour moi, faire des choses qui me permettent de décrocher, de me sentir heureux, de sentir que je suis aussi un humain, pas seulement un père, un travailleur. Et ça, c'est tout un défi! Au delà de la routine, il y a aussi une vie! Et je choisis d'être heureux! L'année tire à sa fin, et l'heure est aux bilans; j'aimerais bien prendre le temps d'en faire quelques uns. L'an dernier, j'ai eu une chirurgie pour réparer l'hernie qui prenait de plus en plus de place dans mon quotidien. Je peux dire que je vais bien, que je suis guéri complètement. Je peux dire aussi que j'ai réussi à pédaler deux milles sept cent kilomètres dehors, avec mon SIlverback! Tout ça sans crevaison! Quel accoomplissement! Et je n'ai jamais eu de douleur au niveau de la cicatrice, même pas un petit soubresaut! Je suis bien content! À plus tard!

Ce fut une belle soirée

Moins treize degrés. Le congélateur nous quittera aujourd'hui, pour laisser place à de la neige. Ce fut une belle soirée, hier, au 737. Un beau party pour mon entreprise; ça fait tellement longtemps que c'est arrivé! Il a fallu attendre un peu avant d'avoir accès au site, cela nous a permis de se les geler un peu... À l'entrée, passeport vaginal et pièce d'identité. Pourtant, nous serons dehors toute la soirée. Une fois sur le site, nous pouvons constater qu'il y a quelques feux d'allumés, mais ça ne faisait vraiment pas longtemps. Après avoir sélectionné un pot à feu, nous voilà prêts pour un belle soirée! Nous avons des coupons pour nous restaurer; deux consommations, un bouillon, un repas, un dessert. Il y avait un kiosque de Jack Daniel's, avoir su plus tôt. Mais ce n'est pas grave, la poutine à la dinde, accompagné d'un pogo maison, c'était vraiment bon! Après quelques recherches et demandes, des gens viennent nous porter du bois. Notre feu était vraiment parfait. Nous avons des amis qui se sont greffés à nous, les gens de la distillerie Stadaconé. À un moment donné, l'écran derrière le stage s'allume, et un membre du band vient nous expliquer que la supercherie leur empêchera de venir nous divertir. Puis, le spectacle commence avec un band de remplacement. Très bon band! Nous avons dansé tout le reste de la soirée! J'ai payé une tournée de Apple Jack, je pense qu'en tant que patron, j'ai bien fait ça! Que de bons souvenirs il me reste, de cette charmante soirée. EN bonus. je crois avoir réussi à établir un bon contact de business avec les patrons de Stadaconé! Vivement le retour à la maison, il a fait moins quinze! Puis je me suis levé tôt, pour aller porter Joanne à l'aéroport, son séjour en Floride commence aujourd'hui. J'aurai à m'occuper du chien de la belle-mère, et de son auto. Cameron s'est levé pour prendre le toutou en charge, le temps que je revienne à la maison. J'ai une bonne journée à faire, ensuite, ce sera la fin de semaine! On s'en reparle.

Allez au diable!

Moins onze, avec une fine neige. Ça se poursuit pour la supercherie! Retour des masques au primaire dans la région de Quebec, il y a eu un cas (pas de malades) dans quelque écoles... Pas sûr que je veux en parler. Le fait que la gouvernance par décret continue de sévir parmi nous, malgré nous! Vraiment difficile à accepter, un gouvernement qui fait tout ce qu'il veut, sans appel d'offres, sans consultation, juste ce qu'il veut! Ça, c'est vraiment inquiétant! Mais une chose est sûre, mon fils semble aller mieux. Hier soir, il est allé à l'Accès, un endroit qui semble lui faire du bien. Ce matin il a sa rencontre bilan, suite à sa thérapie de groupe. Ce sera une journée bien remplie, car Joanne doit s'affairer à finaliser les préparations pour son voyage en Floride. Je n'arrive pas à croire que tout ça se concrétise! Parmi ses préparatifs, il y a un test anti-génique, au coût de cinquante dollars! Bin oui! Le gouvernement oblige des tests par dessus des tests, des passeports vaginaux, etc; mais il faut déplier encore! Je dirais bien que je trouve que c'est vraiment trop, mais ça, je l'ai déjà dit, il y a déjà longtemps! Donc je le répète, ça doit arrêter, personne ne veut de cette grande supercherie! Le lavage de cerveau est très dommageable! Je vois les ravages autour de moi. Des gens avec un masque, seul dans leur voiture; des gens qui vont se faire tester malgré deux doses de vaccin; toutes les simagrées, à l'entrée des commerces, différentes parfois, d'un endroit à l'autre! Sans parler de l'esti de masque! Je me sens brimé, oppressé, quelle dictature! Vous ne vous en sortirez pas comme ça, on dirait que des gens vous vénèrent! Je ne fais pas partie de ceux-là. Allez au diable! Pour ma part, aujourd'hui, j'ai dix glacière à habiller, à l'image de mes amis de Thibodo et père. Je vais m'arranger pour être heureux!

J'aimerais que ce soit plus simple.

Mon fils vient de faire une grosse crise, désorganisé complètement. Il est rentré tard, hier soir, il ne voulait pas revenir.Là, il est couché. Il a discuté, un bon moment, au téléphone avec une personne au centre de crise. C'est toujours pareil, il commence un nouveau travail, s'il ne l'aime pas, il arrête après une journée; si, au contraire, il aime ça, il finit par «craquer», il ne rentre plus, et nous revoilà à la case départ. Pourtant, quand c'est pour s'amuser, voir des amis, tout va bien! On dirait que lorsque le moment est venu de faire face à la vraie vie, rien ne va plus. J'aimerais en faire plus pour lui, mais je ne sais pas quoi. Je ne peux pas aller travailler pour lui, je ne peux me botter le cul pour lui! Il a de la facilité à se faire engager, il est bilingue. Mais ça vire toujours en marde! Je commence à vaciller, en tant que père, je ne me sens vraiment pas à la hauteur. Ma Bibi est désemparée. En plus, elle part dans deux jours pour la Floride, elle se demande si elle a fait le bon choix; aller profiter d'un moment avec sa mère qui vieillit très vite, ou rester à la maison, des fois que... Pour ma part, je ne sais plus quoi penser, j'ai la tête dans une sorte de nuage très opaque. Je voudrais travailler un peu, mais j'ai comme un blocage. Mal au coeur, stressé avec tout ça. J'aimerais que ce soit plus simple.

Invivable!

Moins dix-huit, le congélateur se poursuit, après une véritable dégelée! Que dire de plus? le dossier de la météo est impossible à prédire, et personne n'y peut rien! Mais j'aime mieux de la neige que de la pluie suivie de grand froid. Mais parlons plutôt de la grande supercherie, cette pièce de théâtre qui perdure! Je veux en parler, mais je ne sais pas trop quoi vous dire. Une histoire désolante, une arnaque pour nous, un casse-tête à gérer quotidiennement. Je ne sais plus quoi penser. Masques toujours aussi inutiles. Bien des commerces ont relâché les règles, laissant de plus en plus les gens décider par eux-mêmes! Je ne sais plus si je dois me rebeller face à cette éternelle mesure. Et je passe vite sur la vaccination, puisque le jupon dépasse vraiment trop; leur entêtement sur le passport vaginal, sur des pourcentages très élevés de la population qui doit être vaccinée, bref, ça commence à faire! Je ne sais pas quand est-ce que ça va s'arrêter! Hier j'ai terminé ma session de groupe (thérapie), toujours le protocole à l'entrée, la loi martiale, jesus christ... Mais je continue de travailler sur moi. En 2022, je participerai à une nouvelle thérapie, la mentalisation. Ce sera seize rencontres, et suivi plus serré individuellement. Sinon, je trouve qu'il y a beaucoup trop de micro-brasseries. Je suis un amateur de bière qui goûte, mais il y a toujours des limites! Mais bon, c'est peut-être une façon de s'en sortir. Et puis, les gens qui en produisent, semblent s'amuser, et ça, c'est essentiel! Et je veux aussi souligner le fait que, en continuant de «règner» par décrets, legros fait la pluie et le beau temps avec des projets, dépensant ici et là, notre argent! Innacceptable, invivable, anti-démocratique, il faut se sortir de ce marasme, pour récupérer notre vie.

Continuer à être heureux avant tout.

Je suis en pleine réflexion, oui, encore une autre fois, sur mon avenir! Je me demande si je fais bien de continuer de faire ce que j'aime, même si pour ce faire, je dois me rationner un peu côté monétaire. Et toutes les fois que j'en parle, la discussion revient souvent autour de faire plus d'argent. Comme si l'argent allait me rendre plus heureux, plus fier de moi. Pourtant, j'ai de quoi être fier de moi, plus de vingt ans à être travailleur autonome! Ça me rend vraiment le cerveau ennuagé de penser autant au futur. Ce n'est pas dans mes habitudes. J'aime mieux vivre au jour le jour, un jour à la fois. Si j'ai un peu d'argent, je peux faire des achats, et si les temps sont plus durs, alors je fais attention. J'ai passé par des moments très durs, très difficiles à gérer. Et je me considère chanceux de ne pas y être rester, de ne pas avoir développer de dépendances quelconques. ALors je remercie tous les jours pour la volonté que j'ai, pour la force qui habite en moi. J'aime m'occuper de mon petit monde, faire plaisir aux gens. J'aime leur donner espoir, et aussi leur donné mon opinion, s'ils veulent bien l'entendre! L'an passé, je vivais des moments d'angoisse par rapport à ma situation financière; et je me faisais opérer le 21 décembre. Je me sens vraiment mieux ces jours-ci, que l'an passé à pareille date. Et puis, je ne suis pas capricieux, je ne suis pas non plus si exigeant, sauf peut-être envers moi-même. Des choses sur lesquelles je travaille quotidiennement. Pour l'instant, je crois en moi, en mon potentiel pour continuer à être heureux avant tout. Et je me fie à mon instinct pour me rappeler que j'ai des limites! Et que si je ne me sens pas bien devant telle ou telle chose, j'essaie d'écouter un peu! Je reviendrai avec un bilan, car j'aurai du temps pendant les dix jours d'absence de ma Bibi.

Le temps des fêtes est commencé.

Ouf! Moins cinq degrés en ce moment. Quand je me suis couché, il faisait zéro, il pleuvait depuis l'heure du dîner! Et avant, il était tombé un genre de quinze centimètres! Et ce matin, le vent est tellement déchainé... C'est vraiment le type de météo typique du Québec, remplie de contrastes. Je déteste qu'il pleuve à moins cinq degrés, et qu'ensuite le froid s'installe...Ish! Mais bon, il faut passer au dessus de tout ça, car je ne peux rien y changer! C'était vraiment dur de sourire hier, alors que le soleil continuait de s'absenter... Si la tendance se maintient, ma Bibi partira pour la Floride le 10 décembre. Cela implique que je devrai m'occuper de l'auto de la belle-mère, mais aussi son chien! Nom de dieu que ça ne me le dit pas! J'ai besoin de repos, mais je n'ai pas le goût non plus de m'attacher à un petit être... Tabarnouche! Me semble que je serais bien en vacances, me permettre de rester couché, de sentir mon corps relaxer. Simonac, je me fous bien de ce que legros nous imposera pour les fêtes. Ici, le temps des fêtes est commencé, et il se terminera au début janvier! Pour le reste, j'ai écouté le vent, tantôt, pendant que je déglaçais le patio. Étrange de constater que le dessus était gelé, et le fond, en eau! Difficile à pelleter, un sac à merde! Mais ça m'a permis de bien m'entraîner musculairement! J'ai pelleté vendredi matin, hier matin et ce matin! Nous sommes en descente de mercure, en route vers un moins seize...! J'ai déjà une bonne semaine à rencontré à cause d'imprévus. Je ne m'en plains pas du tout! Et je dois profiter de ma Bibi, car à partir de vendredi, la vie change du tout au tout! On verra bien. Anyway, quand ma douce reviendra, ce sera Noël! À bientôt!

Nous avons décoré le sapin!

Moins huit ce matin, il neige mouillé! Il y a un dix centimètres de tombé. J'ai finalement parti le chauffage dans le garage! Je suis content que le thermostat fonctionne encore. Je vais devoir le changer, car c'est vraiment un irritant, d'avoir des bateries dans un appareil de ce genre! En après-midi vendredi, je suis allé donner du sang, c'est merveilleux de faire ce don de soi. Vendredi soir, j'ai finalisé ma semaine en installant des haut-parleurs supplémentaires dans mon camion. Il trônent su centre du tableau de bord! Reste à savoir si je vais m'acclimater au son de ces derniers. Samedi matin, nous avons rentré le sapin du salon! Il est énorme, et il mesure dix pieds! Samedi soir, nous sommes allés avec Laurent et Tatie, marcher dans le vieux québec, visiter aussi le marché allemand. Nous avons soupé au Jaja. Juste pour dire que c'était un des restos les plus anonymes dans lequel je suis allé depuis depuis un bon moment. Mais bon, la vraie soirée se déroulait dehors, alors que nous étions réunis, entre amis, pour partager du bonheur! Hier, nous avons décoré le sapin! Vicky est venue participer, avec Moka. Mon père est venu dîner; il m'a dit qu'il s'ennuyait. Il ne va pas très bien ces jours-ci. Je trouve que le système de santé le traite vraiment comme de la marde! À croire qu'il va passer le temps de fêtes dans cet état! Tabarnak! Cela m'attriste. La neige continue de tomber, ce sera une journée d'écoles fermées! Joanne a rendez-vous à Pont-Rouge ce matin. Bien hâte de voir si elle va se rendre là. Selon moi, si elle se rend sur place, ça va lui prendre au moins une heure. Il vente, il neige, le temps se réchauffe, ça sent les sports de glisse! Samedi soir, nous avons baptisé le mot pand... autrement; maintenant il s'agit de la supercherie! Oui! Tout le monde en a plein son cass de ces conneries! Reste à savoir comment les choses évolueront d'ici l'arrivée de 2022.

Objectif sourire!

Bon matin! QUelle journée hier! Il a neigé pas mal, mais tout ça s'est transformé en pluie! Quand je suis allé passer la souffleuse, il était vraiment le temps! Ce matin, la voirie avait laissé des mautadits motons de slush bien compactés au bout de l'entrée. Je suis allé les enlever. Et la couverture s'était aussi vidée; j'ai tout pelleté ça! Ça m'a fait une petite demi-heure de musculation, dehors, seul, alors que la température était vraiment agréable! Et je suis content d'avoir pris le temps de passer la souffleuse hier, sur l'heure du souper. Maintenant, le mercure va descendre, comme nous le subissons trop souvent, ici, dans l'ancienne belle province! Et une chance que j'ai vidé les garages, car tout ça était pesant. Nous nous dirigeons vers une fin de semaine de type «congélateur». Ce matin, je vais chez ProColor pour installer un kit de stripe. Ensuite, j'ai certaines choses à régler. Et je vais donner du sang à 13:50. Ensuite, j'ai comme projet d'installer des haut-parleurs supplémentaires dans mon camion. J'ai profité du black Friday pour m'acheter des unités «imperméables», pour agrémenter l'intérieur un peu trop sobre de mon petit frigo! Parmi les objectifs d'hier, je m'étais fixé de sourire toute la journée et aussi, de partager ce sourire! Je pense avoir réussi. Maintenant, en ce vendredi, l'objectif demeure le même, sourire! Tout ça me rend heureux! L'ouvrage continue de rentrer, et je suis capable de fournir! Bref, ce sera une merveilleuse journée! Bon vendredi!

Ça me rend heureux!

Curieusement, il faisait moins huit quand je me suis levé, mais il fait déjà moins six! Je trouve ma semaine dure, mais j'y arrive! Encore du boulot aujourd'hui. Et comme il y a des petits imprévus, je m'organise pour tout faire. Le temps des fêtes commence officiellement en fin de semaine, alors que nous installerons le sapin dans le salon! Puis, le reste suivra, avec le party de LADO Lettrage, le neuf décembre, au 737. Un party dehors! En espérant une température douce. Mais de voir le sourire de ma Soeur, hier, lorsqu'elle m'a dit qu'elle avait hâte, c'est merveilleux! Dehors, comme un Jack Fest! Je suis, avec ma Bibi, l'initiateur du Jack Fest, la façon de ramasser des fonds pour la recherche contre le cancer, la plus efficace que j'ai trouvée! Que de souvenirs! Que d'efforts! Mais les contrariétés gouvernementales ont démoli toute ma bonne volonté, mis au tapis ma bonne foi. Inutile d'en rajouter, juste d'y penser, ça me rend triste. En ce jeudi, je veux me remplir de joie, et si possible, la partager avec ceux que j'aime! Ça, ça me rend heureux! Après deux semaines de combat, je crois avoir passé au travers de mon rhume; il m'a donné un otite, puis deux conjonctivites! Mais tout se termine aujourd'hui! Bin oui! J'ai du travail pour toute la journée, et demain aussi! Sans compter que je vais donner du sang en après-midi! Enfin du vrai bénévolat! Malgré toutes les sornettes que je dois subir pour me rendre au don, je m'engage jusqu'au bout! Je reviendrai avec d'autre chose à dire, je me sens un peu tiraillé... à plus!

Du réconfort.

Moins onze degrés! Hier, avant de me coucher, la météo annoçait un réchauffement avec de la neige! Ce matin, pas de neige et plus froid! Combien de fois ça arrive? C'est une chose à laquelle on n'y peut rien! Par contre, je sens toujours que je peux changer quelque chose concernant la mascarade. Je ne sais pas trop, mes recherches pour trouver une solution s'avèrent toujours infructueuses! Et le gouvernement continue de faire absolument ce qu'il veut. Hier il a annoncé rien de moins que 3.9 milliards de dollars, pour subventionner les études de ses futurs employés! Pas de votes, pas de consultation, juste des décisions, comme ça. Notre argent! Il dilapide tout nos efforts, jour après jour! Un mecréant qui veut passer à l'histoire pour ses réalisations! Mais jusqu'à maintenant, il est plutôt actif pour ses démolitions! Hier, j'ai eu beaucoup de misère à démarrer ma journée de travail. Le questionnement concernant le temps qu'il me reste à travailler, et quel travail je ferai! On dirait vraiment que je suis à la croisée des chemins. Je me rends compte que j'ai besoin de valorisation, de réconfort. Dans toute mes levées de fonds, mon implication dans la chambre de commerce, cela m'aidait à me sentir apprécié pour ce que je faisais. Comme mon travail est plus artistique pour moi, que je n'ai pas réussi à comprendre comment faire de l'argent, les gens font affaire avec moi parce que c'est plaisant. Parce que je suis gentil; mais cela ne paye pas l'épicerie! Bref, toujours la même interrogation, suis-je à la bonne place? Il y a des points positifs, comme les conjonctivites sont pas mal guéries! Je cultive mon propre bonheur, jour après jour, comme un jardin dont on prend soin. Des fois, la récolte est bonne, des fois, moins. Comme si mon bonheur était aléatoire, selon différents facteurs. Alors je dois m'y concentrer chaque jour, pour m'assurer de mon bonheur.