mardi 28 février 2017

Oui!

Se rendre compte que le mois de février se termine aujourd'hui, c'est aussi réaliser que trois jours, c'est pas mal de temps! Mais c'est aussi réaliser que l'hiver tire à sa fin. Et ça, c'est une bonne nouvelle! Je me souviens avoir lu, en décembre, des gens qui semblaient paniqués de ne pas avoir de neige à Noël... Moi ça ne m'aurait pas dérangé le moins du monde. Mais ce ne fut pas le cas. Et heureusement, le grand redoux que nous vivons aura aidé à passer au travers ces montagnes blanches. Mais il reste encore beaucoup de temps avant de pouvoir se dire que c'est derrière nous. Alors il faut se concentrer sur les choses essentielles comme notre bonheur. Ces jours-ci, période d'impôts et de REER, l'énergie ressentie est particulièrement étrange. Et, au lieu de prendre des REER, j'ai acheté une nouvelle imprimante! De quoi gonfler mes défis! Cela me garde les idées bien en place, prêt à continuer de parcourir le merveilleux monde de l'impression sur vinyle et aussi l'installation de celui-ci! Mais c'est aussi le seul temps de l'année où j'aurais du temps pour aller rencontrer le soleil et les plages du sud. Mais encore une fois, cette année, nous avons organisé notre temps autrement. Et j'ai le goût de payer rapidement ma nouvelle acquisition. Il ne sert à rien de vivre au dessus de ses moyens en se la pètant, mais le sommeil est plus réparateur quand le montant dans le compte est plus proche du zéro, ou au dessus! Et d'avoir près de moi mon épouse adorée, il me semble que les journées sont plus belles, plus ensoleillées! Alors prenons le temps de vivre chaque heure, chaque demi-journée, comme si nous étions en train de développer un cadeau. Avec ce sentiment d'être privilégié, de savoir que quelqu'un a pensé à nous. Et puis, concentrez-vous sur le beau qui émerge de vos journées, ces choses qui vous font sourire, qui vous font grandir! Bonne journée!

lundi 27 février 2017

Bon lundi!

Des fois je me demande pourquoi nous travaillons autant? Pourquoi est-ce que nous nous sommes compliqués la vie autant? Je me souviens être allé en République Dominicaine, voir des gens qui étaient heureux. Heureux d'une vie simple. Heureux d'une vie plus calme. Remarquez que je dis ça, mais certaines personnes que je regarde progresser pourraient avoir une vie plus simple, plus calme. Mais ils préfèrent se la compliquer avec toutes sortes de choses. Tout ça pour arriver au même résultat, nous allons tous mourir! Mais je regarde aussi mon fils, qui refuse intégralement de travailler. Peu importe ce qu'on lui propose, il refuse systématiquement! Il n'est pas prêt à faire tous les efforts possibles pour arriver à quelque chose. Ce n'est pas mon interprétation, il me le dit clairement. Il préfère sa situation actuelle, soit être pauvre et faire pitié. Il a vingt-six ans. Ça rappelle vaguement sa mère. C'était un de ses moyens préféré d'attirer de la sympathie des autres. Mais dans la vie, il faut sortir de ce marasme, se retrousser les manches et travailler! Ne serait-ce que pour survivre! Se laisser vivre par les autres, c'est manquer de respect envers soi-même. Je ne parle pas de ceux qui sont incapables de travailler pour des raisons physiques et\ou mentales, je parle de mon fils. Quand il a commencé le CEGEP, il avait un travail et trois cours. Il réussissait bien. Maintenant, il a deux cours, peine à faire ses devoirs et chiaule sans arrêt sur sa condition. De plus, il vient d'échouer les trois dernières sessions. Alors je ne comprends pas. Ce n'est pourtant pas la mère à boire! Si Alain Gaudet, affublé de dystrophie musculaire depuis plus de trente ans, réussit à survivre en engageant des gens pour s'occuper de lui, par le biais de sa fondation, bien des gens le peuvent. Ce gars dont je vous parle, Al Rider, il n'est pas capable de se lever, ne bouge presque pas. Il a besoin de quelqu'un tous les jours pour aller aux toilettes, pour se laver, pour se lever, pour s'habiller, pour manger, etc. Ce qu'il publie sur les médias sociaux, ce sont des messages d'espoir. Ce sont des campagnes de financement. Vouloir, c'est pouvoir! Bon lundi!

vendredi 24 février 2017

Constat d'attente.

Alors que j'ai attendu trois semaines que mon imprimante fonctionne, c'est maintenant après ma Douce que j'attends. Privée d'avion hier soir, elle n'arrivera que cet après-midi! Comme quoi tout vient à point à qui sait attendre! Mais dans certains cas, attendre n'est plus le bon terme. Si vous avez besoin d'aller à l'urgence pour une blessure ou peu importe, il n'y a plus rien de drôle. Comme si, une fois décidé et convaincu que c'est urgent, vite à l'hôpital! Une fois sur place, on dirait que plus rien n'est pressant. La vie devient un cauchemar! Des douze heures d'attente, c'est chose fréquente! Comme si, malgré tout l'argent que nous, les travailleurs, injectons dans ce système, n'avait servi à rien! Même que c'est pire que ça! Et c'est pareil pour les routes. À se demander pourquoi nous continuons de payer? Parce que nous n'avons pas le choix...N'empêche que l'état des routes est lamentable! Alors il faut être patient, indulgent et surtout se chercher des petits bonheurs dans d'autre chose. Quoi d'autre? À vous de trouver! Il faut apprendre à voir le beau dans chaque chose. Faire de nos journées du bonheur. Ça ne veut pas dire que c'est le party, mais parfois, un sourire bien placé, une action tellement bénéfique, que tout devient merveilleux. Il faut choisir de mettre des lunettes sélectives, qui nous montreront les belles choses et feront de l'ombre sur le reste. À inclure dans vos routine. Bref, nous sommes vendredi et je vais en profiter pour avoir du fun! À plus!

jeudi 23 février 2017

Il faut travailler!

C'est ce soir que ma douce et tendre épouse revient. C'est tellement une bonne nouvelle. Tout vient à point à qui sait attendre! Et puis, le fait qu'elle sera là en fin de semaine aidera peut-être à me calmer. La fin de semaine dernière, j'ai tellement fait de choses que j'aurais pu me donner un trophée! Mais en même temps, j'aurais pu me reposer un petit peu. Mais il ne faut pas regretter, ni revenir en arrière. Ce que j'ai réussi à faire est fait! Et il me restera plus de temps pour être avec ma Bibi. Quand je pense qu'il y a un party ce samedi, pour mon ami le Baron de St-Nicolas, ça devra passer, du repos avant tout. Il y a tellement de choses auxquelles nous adhérons, qui font que nous sommes occupés. Occupés tout le temps, sans jamais prendre de pause! Et, plus le temps passe, plus il me semble que ça coûte cher. Peu importe ce que nous faisons, il en coûte toujours plus cher. Que ce soit au niveau des taxes municipales, au niveau des permis, à l'épicerie, à la station service, à la pharmacie, chez le dentiste, au camping, partout! Alors que les achats en ligne commencent à émerger au Québec, dix ans en retard, les taxes et le taux de change viennent alourdir les prix et, contrairement au reste de la planète, les économies escomptées sont moins grandes! Difficile de tirer son épingle du jeu. Il faut être patient, ne pas avoir peur des livraisons souvent très longues et des surprises! Il faut aussi comprendre l'anglais et aussi le parler, sinon il faut passer par des intermédiaires qui, inévitablement, viennent prendre un peu des économies potentielles. Avoir vécu quarante ans et plus ici, nous a enchaîné avec le RRQ. Car chaque année, il nous en coûte un pourcentage pour remplir les coffres de nos retraites. Mais je ne suis vraiment pas sûr que ce soit la mienne que je paie. Si je me fie à ce que je vois actuellement, je devrai travailler encore vingt-cinq ou trente ans. Alors je ne prends pas de chance, je m'entraîne chaque jour pour être capable de vivre de façon décente avec moi-même! Car en vieillissant, il est doublement important d'aimer ce qu'on fait, et d'être capable de le faire. D'ici là, on verra bien!

mercredi 22 février 2017

Les changement arrivent.

Comme bien des fois, les médias exercent des pressions dans toutes sortes de dossiers. Et ils vont en faire dans le dossier de l'attentat, perpétré par l'étudiant de l'université Laval. Comme ils en font dans le dossier du troisième lien. Comme ils en font avec le canadiens de Montréal. Quelle façon extraordinaire (mais démodée) de faire passer des idées! Pour ma part, je suis né avec une opinion sur tout et en vieillissant, argumenter ne m'intéresse plus tellement. Mais j'en profite chaque matin pour écrire un peu. Laisser sortir certains irritants qui pourraient éventuellement changer de façon négative le fonctionnement de ma journée. Mais les temps changent, les médias sociaux remplacent les médias écrits, les médias télés et les médias radios. Un exemple, mes enfants. Écoutent-ils la radio? Non. Lorsque nous sommes en auto, que j'écoute la radio, elles sont les premières à me demander quand est-ce qu'on met de la musique! Est-ce qu'elles écoutent la télé? Oui. Des trucs sur Netflix et You Tube. Lisent-elles les journaux? Jamais! Trop gros, peu écologique et salissant! Et puis, elles parlent entre elles en anglais de façon naturelle. Elles me disent que c'est plus facile et plus drôle! Et moi, j'aime mieux demander les nouvelles à ALEXA. Elles sont en anglais, peu biaisées et ça me fait pratiquer l'autre langue! Tant qu'à démèler ce qu'on entend, aussi bien démèler la langue en même temps. Et ça m'aide à me concentrer! Voilà! Et puis, dans la vie, on ne peut jamais reprendre la chance de faire une première bonne impression. Alors votre discours, vos agissements et vos idées vous mèneront vers ça. À vous de décider!

mardi 21 février 2017

Ma façon.

Nous sommes déjà le 22 février. Il me semble que le temps passe beaucoup trop vite. C'est sûr que je n'arrête pas souvent, mais tout de même, un petit ralentissement serait bienvenu. J'ai beau y mettre tout mon coeur, tout mon courage, je ne fournis pas. J'espère avoir plus d'énergie aujourd'hui. Commencer par une installation, ça remet son homme. Et puis, voir un peu de monde, ça fait du bien. Un lundi comme hier, je trouve ça dur; déjà que ma douce est à l'extérieur, quand les filles partent pour l'école, on s'ennuie vite, la maison et mon bureau deviennent très grands et très échos! Hier, le temps passé au téléphone pour régler le paiement final de mon imprimante m'a épuisé. Déjà trois semaines à stresser, à me demander si mon achat était vraiment une bonne idée. Mais je vais m'en remettre, quand ma fidèle SP300 quittera mon bureau, que j'aurai apprivoisé la nouvelle venue, que je sentirai à nouveau que c'est moi qui a le contrôle... N'empêche que ça fait déjà plus de Neuf ans que je travaillais avec l'autre imprimante. Je suis du genre à conserver mes choses, voire même à m'y attacher! J'adore être en symbiose avec mon entourage. Des fois je me dis que c'est ça la vie, ma façon à moi d'être heureux. Pouvoir m'exprimer au travers de ce qui m'entoure! Relancer chaque jour l'étincelle de vie avec un sourire de satisfaction! Y a tellement de choses qui nous irritent dans une journée, des choses qui sont en dehors de notre volonté. Alors quand on peut maîtriser certaines choses, ça devient rassurant. 

lundi 20 février 2017

Une autre semaine

EN ce lundi matin, quoi de mieux que de préparer sa semaine. Anticiper vers où on s'en va. Mais les lundis viennent souvent tout changer. Quelques téléphones et hop! La semaine change de direction! Étant donné que je suis seul opérateur, il n'en faut pas gros pour que je soie très occupé! Même en ouvrant les «valves» au maximum, je ne peux faire de miracles. Et chaque semaine à son lot de surprises. Des fois ce sont d'excellentes nouvelles, des fois, c'est l'arrivée d'une nouvelle ère! Chaque jour est un apprentissage dans lequel je me garoche. Je veux vivre chaque journée comme si c'était la dernière, car demain est une autre journée. Non pas que je vois la vie de façon pessimiste, au contraire, je veux sentir que j'ai accompli quelque chose. Que chaque fois que je me lève, j'aille envie d'une autre journée! Que cette journée soit une source de bonheur. DU plus loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu aider les autres. Et j'entends continuer encore longtemps. Donc il me faut continuer à voir le beau dans chaque chose. Prendre du temps chaque jour pour sourire. Et, à la fin de chaque journée, se sentir confortable avec soi-même.

dimanche 19 février 2017

L'autisme.

Chaque fois que je m'asseoies pour écrire, des tas de sujets me viennent à l'esprit. Souvent j'ai de la difficulté à bien rassembler quelque chose pour en faire des phrases. Simplement pour être capable d'écrire quelque chose de compréhensible. Une chose est sûre, un cerveau humain est une merveille. Bien des gens n'en sont pas conscients, mais le simple fait de pouvoir apprendre, pendant une vie entière, est un miracle! Par contre, je remarque certaines choses. Bien que très intelligent, mon fils est né avec des troubles du spectre de l'autisme. À l'âge de dix-sept ans, il a reçu un diagnostique du syndrôme d'Asperger. Très efficace en mathématique, muni d'une mémoire à faire vieillir un éléphant prématurément, il ne finit jamais de me surprendre! Par contre, je remarque qu'en vieillissant, il est incapable de suivre la cadence. Déjà au primaire, il était différent. Très sélectif dans ses amis, très possessif avec ses choses, il avait de bonnes aptitudes dans presque toutes les matières. Je pensais que sa différence provenait du traumatisme quasi-quotidien de vivre auprès de sa mère. Je tente de décrire le tout de façon objective. À l'âge de huit ans, se lever seul, préparer son lunch, et dire à sa mère de se réveiller n'est pas commun. Avoir sa clé dans le cou parce que personne ne sera là au retour ne forme pas tellement la jeunesse. Mais restons dans le sujet. Au sortir de cette époque passée, rempli de traumatismes, tout aussi complexes que surréalistes, je me disais qu'il allait en souffrir toute sa vie. Étonnamment, il a développé une résistance face aux événements qui, souvent mineurs, peuvent briser une journée. Je donne comme exemple une crevaison. Une fois cet incident réglé, la journée décalé vite et nous sommes plus irritables! Mais cette résistance ne s'opère que sur un certains contrôle émotif. À son âge, je me serais emporté, lâchant des jurons, et, j'aurais probablement été un peu détestable pour le reste de la journée. Mais c'est à force de vivre qu'on apprend à vivre. Aujourd'hui, je continue d'apprendre et j'en redemande toujours. Les situations surprises me dérangent moins et j'y apprends beaucoup. Par contre, mon fils, lui, semble s'isoler de plus en plus dans ce que j'appelle une sorte de cercle d'activités. Avec les années, il met de côté les choses qui ne l'intéressent pas. Il ne veut même plus en parler ou y penser. Comme par le passé, il «évolue» dans une certaines «sphère» propre à lui. Cette sphère contient un certain nombre de choses avec lesquelles il forme son quotidien. Dans mes observations, j'ai cru remarquer que chaque fois qu'il «apprenait» à maîtriser quelque chose de nouveau, il «oubliait» quelque chose qu'il maîtrisait depuis déjà longtemps. Comme si, pour une raison donnée, il n'y avait plus de place dans ses actions quotidiennes pour quelque chose de plus. J'illustre ça comme un ordinateur. Il possède un immense disque dur, parmi les plus grand de notre époque. Il peut y avoir accès, mais cet accès devient de plus en plus difficile avec le temps. Comme si ce dernier avait besoin d'être défragmenté. Le chemin pour accéder à l'information devient de plus en plus rempli d'obstacles. Ensuite, un ordinateur à besoin de mémoire «vive» pour accomplir un certain nombre de tâches. Au delà de cette mémoire, il ralentit et devient moins performant. On dirait que mon fils est comme ça. Mais contrairement à un ordinateur, je ne peux l'améliorer en défragmentant les informations enregistrées dans son cerveau. Je ne peux pas non plus augmenter sa «mémoire vive». Il semble qu'il ait atteint sa limite. Au quotidien, cela le retarde de plus en plus. Et ça le fatigue aussi énormément. Mais ça commence à m'inquiéter. On s'en reparle.

samedi 18 février 2017

Méchante chire de samedi matin!

Après une semaine pour le moins stressante, ça fait du bien de prendre un peu de temps pour décanter. La soirée d'hier aurait pu être un peu moins animée. Prendre une petite marche avant d'aller au lit, ça fait toujours du bien! Le temps passe à une vitesse folle et je sens que je suis un peu dépassé par tout ça. Je dois me ressaisir et foncer! Je sais qu'il y a bien des jours où je pourrais en faire plus, mais les circonstances font souvent une différence. Alors je tente de me rattraper autrement. Conjuguer le travail et la famille dans le même endroit a les avantages de ses inconvénients. Alors il faut souvent faire des pirouettes pour arriver aux objectifs prévus. C'est un fait que tous les entrepreneurs peuvent confirmer. Par contre, au niveau de la fonction publique, peu importe ce qui arrive, rien n'est vraiment urgent. Les échéanciers sont plus une décoration qu'une obligation. Quand le quart de travail est terminé, alors on s'en va. Tout est latent. Et de toute façon, la paye sera là quand même, et ce, jusqu'à leur retraite. Mais récemment, j'ai cru constater qu'il y avait beaucoup de remaniements du côté du CIUSSS. Une des branches du système de la santé. Une refonte complète! Mais les gens qui y travaillent ne sont pas tellement heureux. Après avoir été «congédiés» virtuellement, ils furent catapultés vers un autre emploi, en quelque sorte connexe à celui qu'il avait. Mais parfois ailleurs, dans d'autres lieux, avec d'autres attributs, de la formation, des nouveaux budgets, etc. Là où ça fait mal, c'est que ça fonctionne moins bien qu'avant. Depuis deux ans, c'est la confusion dans les dossiers, que ce soit ceux des patients ou ceux des employés. L'administration est tout mèlée, la logistique des rendez-vous, la logistique de la réception des patients, la distribution des marchandises (vaccins et autres), l'aménagement des bureaux, l'équipement de travail, autant bureautique que scientifique, tout est compliqué et surtout peu efficace. Des gens de mon âge qui travaillent depuis plus de 25 ans dans ce milieu vont quitter parce qu'ils ne sont plus capables de suivre. Ce n'est pas une question d'évolution, mais bien de suite logique! Fond de pension ou non, trop, c'est toujours trop! À suivre.

vendredi 17 février 2017

On repart!

Quelle semaine entrecoupée de toutes sortes d'événements autres qui m'a paru difficile et tellement fatigante! Des vacances, ça ferait vraiment du bien! Aujourd'hui j'aimerais prendre ça un peu plus «easy», mais même quand je me promène pour aller faire des livraisons, en profiter pour jaser avec le client, le simple fait d'être dans la jungle des frustrés qui conduisent, c'est très dur à endurer! On dirait que je vieillis, que j'en perds à certains niveaux de ma patience. Pourtant, il aura fallu trois semaines pour que mon imprimante fonctionne enfin! Trois semaines avec de l'incertitude, deux imprimantes dans mon bureau! Je dois régler la balance du paiement aujourd'hui. Ce ne sera pas agréable, car ce fut une épopée mémorable. Mais je suis déçu! Car au lieu d'être heureux de travailler sur une nouvelle machine, je n'ai vu que des mauvais côtés. Un logiciel neuf qui n'est pas complet; une machine qui est défaillante sur toute la ligne! Un vendeur qui l'a échappé complètement! Mais la semaine prochaine, je pourrai enfin me dire que tout va bien, que je peux imprimer de grandes choses! Car ce fut un peu traumatisant de voir toutes ces pièces se faire changer; de voir un technicien se prendre la tête devant les obstacles. Cela créait en moi de l'incertitude, je me demandais si je faisais vraiment une bonne affaire! Mais la journée d'hier, si épuisante fut-elle, m'a redonné espoir! Alors à moi de faire des essais, d'apprendre cette nouvelle machine et de m'amuser! En plus, nous sommes vendredi, il faut en profiter pour répandre de la joie autour de nous! Alors la vie continue, on avance dans les projets, ce sera une belle année!

jeudi 16 février 2017

Constat

HIer soir, j'étais invité à un 5 à 7 pour rencontrer d'autres cyclistes qui font ou qui seraient intéressés par le Cyclo-Défi. Incroyable de constater que nous étions deux, Gary et moi et l'organisatrice! Bien sûr, nous avons échanger des témoignages au sujet de la cause pour laquelle nous pédalons. Mais de constater un manque d'intérêt, un manque d'information auprès des gens, c'est du déjà vu. Il faudrait en parler au moins trois mois à l'avance, rappeler les gens deux fois au moins avant l'événement, avoir quelque chose pour les attirer. De par mon expérience auprès de la chambre de commerce, rien de facile auprès de commerçants qui mettent toutes leurs énergies pour faire avancer leur entreprise. Encore un 5 à 7, encore une activité bénéfice... Il faut réussir à toucher les gens, leur démontrer qu'on a besoin d'eux, qu'ils peuvent être utiles! Mais il faut aussi leur prouver que tout ça peut être amusant, enrichissant. Je vais rappeler Marlyne à ce sujet. Je crois vraiment en la recherche, mais je crois aussi au changement. Depuis des années que je dis que le changement viendra par le bas. Ce ne sont pas nos dirigeants qui seront instigateurs, mais les citoyens! Car du financement, ça ne tombe pas du ciel! Ceux qui investissent dans une cause, s'attendent à des résultats. Que ce soit des résultats en argent pour la recherche contre le cancer ou des résultats positifs dans le prochain trimestre parce que la visibilité de l'entreprise fut bonne, il faut des résultats! Donc ça prend des gens. Des gens pour y croire, des gens pour y travailler, des gens pour pédaler, des gens pour aider. Rien de facile, mais rien d'impossible! Je vais y repenser.

mercredi 15 février 2017

Go!

Quelle grosse journée hier! Lorsqu'elle fut terminée, j'ai tenté d'écouter une émission de 49 minutes, mais je n'ai pas réussi! Alors je me suis couché. N'empêche que le soleil devra se montrer bientôt avec de la chaleur! Car cet hiver, pas vraiment de grands froids, mais pas de redoux non plus! Impossible de changer l'eau du SPA! Les toitures de tôle, comme la mienne, ne se vident pas! Mais nous sommes à la mi-février, j'ai vraiment hâte au camping! Me réfugier loin des soucis, laisser le Q.I. À la maison! Dormir le matin, faire du vélo au grand air! Wow! J'ai tellement hâte! Et puis, les activités politiques et économiques demeurent assez neutres pendant la belle saison. Et c'est tant mieux. Au moins neuf mois par année à se demander ce qui serait possible de faire face à cette dictature douce, un petit break, ça fait du bien! Je me sens un peu dans les nuages ce matin. Comme hier d'ailleurs. Mais je réussis tout de même à faire mes journées. Plus difficile d'être productif au bureau, mais quand même satisfait de mes accomplissements. Et puis, mon implication dans diverses choses, de façon bénévole, m'amène à rencontrer plein de gens, à apprendre plein de choses. Alors je vois le beau dans tout ça. Il y a sept ans, je remettais d'une multiple fracture au pied droit. Il y a trois ans, je me remettais d'une année 2013 vraiment trop dure. Et je suis là, ce matin, pétant de santé, prêt à accomplir de grandes choses! Alors j'écris pour alléger mes tourments, je dessine, je pédale (à l'intérieur), mais je tente d'évacuer le plus possible! Cela me laisse plus de temps dans la journée pour voir le beau, le bon. Alors en selle! Une autre belle journée commence!

mardi 14 février 2017

Un marasme qui fait peur!

Alors que personne ne veut le truc appelé SRB, les travaux s'amorcent. Un groupe de lobby se charge de pousser le projet. C'est tellement frustrant de ne pouvoir rien faire. Encore une fois, ceux qui nous dirigent prennent notre argent, et il n'y a rien à faire! Depuis plusieurs années, ça n'arrête plus. Projets par dessus projets, études coûteuses et dépenses outrageuses! Les taxes continuent de monter. Pourtant, connaissez-vous des gens qui en ont pour leur argent? Des gens qui travaillent au privé; des gens qui ont une entreprise? Pourtant, ce sont ces gens qui permettent de payer les salaires des fonctionnaires, des cols blancs, des cols bleus. Ce sont ces mêmes gens qui paient leur retraite! Mais les services, eux? Les hôpitaux désuets, malpropres; les routes désuètes, mal entretenues; les écoles publiques, laissées à l'abandon; les personnes âgées, en institution, ne finissent pas tous leur vie dans la dignité... Et je pourrais encore en rajouter pendant au moins quinze minutes! Mais ça ne règle rien. Pourquoi s'acharner sur un système qui ne fonctionne pas? Certains disent que c'est trop dur. Il faut quand même faire quelque chose! Ça fait des années que le «projet» du ticket modérateur se fait chuchoter dans les corridors des hôpitaux. Cela aiderait à désembourber les urgences. Les conventions collectives, qu'il faut toujours renouveler, y-a-t-il un moyen d'arrêter l'hémorragie? Si les syndicats en veulent plus, alors faites de l'échange! Au lieu d'en rajouter, échangez des choses! Et les subventions, pourrait-on fermer la valve de moitié? Quelle distributrice de dettes! Ouf! J'ai tellement des choses qui me trottent dans la tête, je ne sais plus comment faire pour les écrire sans me mèler! Chaque secteur où l'argent publique est le principal financement est une catastrophe! Les gens sont-ils vraiment conscients des coûts? Mais plus tu en as, plus tu veux en avoir! À nous tenir autant par les couilles, nos dirigeants nous rendent «affamés». Donc aussitôt qu'il y a un «écoulement» d'argent, les gens se servent, se servent, même quand il n'en reste plus! 

lundi 13 février 2017

Pas facile!

Des fois, on dirait que plus on essaie, plus c'est dur. Mais c'est en persévérant que ça viendra! Sinon, il faut changer de façon de faire. Alors pourquoi, ici, à Québec, on ne change pas de façon de faire les routes? Chaque hiver détruit nos routes, c'est toujours à recommencer! Pourtant, nous fournissons pas mal d'argent de nos poches pour que ce soit bien fait! Nous sommes en février, déjà les nids de poules décorent nos rues. Une fois le printemps arrivé, ça va être super! Et puis, le déneigement de cet hiver est vraiment lamentable! Dans ma rue, ça ne circule pas bien. C'est gênant de recevoir des gens.
Il faut contourner la neige en faisant un «S». On dirait que c'est voulu tellement ça ressemble à une «track» de rallye! Amusant? Peut-être, mais impossible de rencontrer un autre véhicule! Chaque fois que je sors, je constate et je trouve ça aberrant! Et je vous dirait bien que c'est vraiment beau toute cette neige, mais je commence à être pas mal tanné. Vivement la chaleur du soleil, le vélo dehors, le camping et travailler au grand air!

vendredi 10 février 2017

Incroyable

Il me semble que j'ai vu passer un article qui parlait d'un projet de loi concernant nos assurances médicaments. En quelque sorte, le gouvernement voudrait récupérer une partie de ce qui nous revient, grâce à nos assurances. Imaginez, une pillule coûte deux dollars. L'assurance couvre 80%. Donc je paye vingt cents. Par contre, comme je viens «d'épargner» 1,80$, le gouvernement veut récupérer un montant de ce 1,80$, car il considère que c'est un gain. COmme quand nous réussissons à mettre un peu d'argent de côté. Les intérêts que nous retirons du fruit de notre labeur, de cet argent qui reste après avoir payé l'impôt, est, lui aussi, considéré comme un gain; donc imposable! SI un telle idée vient à devenir réalité, il faudrait vraiment songer à s'en aller... Pour moi, savoir qu'il est impossible de faire de l'argent, à moins de travailler pour l'état, c'est inacceptable ! Trop d'état, trop de dépenses, trop de délais! Assez de ces conneries! Pourtant, quand je parle de ces choses autour de moi, d'autres personnes aussi sont d'accord avec moi! Je suis convaincu que tout ça n'est pas comme le météo, qu'on peut faire quelque chose! Peut-être ne verrons-nous jamais de changements, mais au moins le processus sera amorcé! Alors il faut continuer de frapper sur le clou. Pour l'instant, il n'y a rien à faire de plus. Les gens voient certaines personnes comme celles qui pourraient orchestrer ces changements, mais le choix leur revient. Moi je suis pour une économie forte, autonome et durable. Alors serrons-nous les coudes, ça devrait brasser!

jeudi 9 février 2017

Ouf!

Je n'en ai pas tellement parlé, car j'ai eu tellement de peine, mais je trouve qu'il y a un simonac de dérapage sur les réseaux sociaux concernant les radios de Québec. Premièrement, ceux qui se lancent dans une session de «chiaulage», avez-vous déjà écouté une de ces radios? D'ailleurs, c'est toujours des bouts de phrases hors contexte qui sont utilisés pour servir d'exemple. Toute cette hargne, «garochée» dans tous les sens, quelle énergie négative. Au lieu de dénoncer les autres, chercher à les salir pour paraître plus propre, à quoi ça sert? Comme tous ceux qui s'opposent au nouveau président de nos voisins, allez-vous en revenir un jour? Concentrons-nous sur le coupable de la tragédie du 29 janvier, le seul coupable. Il y en a un et il est emprisonné. Les gens cherchent toujours à faire des liens douteux pour faire passer leurs idées. Ils éveillent en nous des soupçons innatendus. Il faut arrêter de tirer des conclusions hâtives, cesser de lancer des opinions et\ou des hypothèses en l'air sans avoir de preuves! La vieille recette des rumeurs, qui consiste à «alarmer» les gens, à leur faire peur, à les rendre nerveux. À force de cracher en l'air, ça finit par retomber! Vivement la fin de semaine, qu'on se repose un peu!

mercredi 8 février 2017

Encore de la neige!

Encore pas mal de centimètres ce matin! Je rentre de gratter, phase un! Et c'est froid dehors, moins dix degrés. Le vent pousse encore pas mal, mais le gros du mauvais temps est passé. Nous allons retourner à l'ère glaciaire dès cette nuit. Hier matin, moins vingt-trois, un vent qui vous glace les entrailles, ce matin, vingt centimètres qui vous éreintent et demain, le retour de la Sibérie! Quel climat! Dire qu'il y a plein de gens qui aimeraient venir rester ici! Oh il y a sûrement pire, mais pour l'instant, je m'en irais dans le sud, plus bas que la Floride! Ce sera une journée de pelletage. Heureusement que je travaille de chez moi! C'est ce que j'ai réussi à faire avec les années. Devenir mon propre patron! Beaucoup d'efforts pour démarrer, beaucoup d'investissements et une bonne dose de courage, mais je ne regrette rien! Comme certains me disent parfois, je suis chanceux, je suis à mon compte! Pour tout de suite, je me sens vraiment crevé d'avoir pelleté, mais ce sera une belle journée, remplie de nouveaux défis, de nouveaux projets! Et il me reste du ménage à faire...

mardi 7 février 2017

Un mardi matin frette!

Ouf! La journée d'hier fut bien remplie! Beaucoup de téléphones, beaucoup de projets! C'est bien d'avoir des projets, mais c'est bien aussi de pouvoir les réaliser. Depuis les événements du 29 janvier dernier, je sens une pression autour de moi. Comme il est tôt pour que ce soit le stress que les gens ont avec l'impôt, et que je perçois, encore, une présence quasi continuelle, je suis inquiet. J'ai des craintes par rapport à la suite des événements. Ëtre témoin sans pouvoir ne rien faire, c'est difficile. J'aimerais mieux être coupé de tout ça. Mais il semble que je n'y peux rien. Alors je continue mon chemin, en m'assurant que si toutefois quelqu'un se manifeste, je pourrai aider. Discours abstrait, mais nécessaire. Je dois me libérer de cette pression, de ces visions. D'ailleurs, je dois faire un blitz musique, car le silence favorise les visites impromptues. Mais pour revenir au Jack Fest, quelle sensation extraordinaire que de sentir la générosité des gens! Sentir leur écoute par rapport à la douleur des autres. Par contre, je veux m'assurer de ne pas tomber dans le côté «téléthon», en invitant des gens qui mettre une certaine pression pour recueillir des dons. Cela doit rester sur une base humanitaire. Ce qui est dur, c'est de continuer la vie, comme avant, travail, comptes, dépenses, etc. J'aurais aimé pouvoir décanter ça autrement. Avoir plus de temps pour finir de compiler, remplir les formulaire de dons, aller déposer l'argent, etc. Mais on n'a qu'une vie à vivre, et si on veut la partager, alors des sacrifices s'imposent. On s'en reparle.

lundi 6 février 2017

Une fin de semaine bien remplie!

C'est ce qu'on appelle une fin de semaine bien remplie! Après une semaine pour le moins palpitante avec des revirements incroyables, il fallait que le Jack Fest soit un succès! Et le ramassage du lendemain a occupé les deux tiers de ce beau dimanche! Et comme le temps n'arrête jamais, nous sommes rendus lundi matin, le six février! Il y a un an, jour pour jour, c'était le Jack Fest 2016. Wow! Et j'ai adoré le Superbowl d'hier soir! Pour quelqu'un qui ne connaît pas ce sport beaucoup, j'ai été fasciné pas cette remontée! Bref, objectifs atteints! Le Jack Fest 2017 fut un succès! J'ai adoré rencontrer tous ces gens qui, sont venus déguster avec nous pour la cause. La cause étant la recherche contre le cancer. Malgré les pas de géant qui se font en recherches, ça ne diminue en rien les coûts des traitements, ni les souffrances de ceux qui combattent le cancer. Sans oublier tous ceux qui, étant les aidants naturels de ceux qui luttent, vivent...
Le Jack Fest, une façon de ramasser de l'argent tout en s'amusant. Avec du recul, je me rends compte que cet événement, mais aussi mon exemple, réussissent à sensibiliser des gens, à les toucher droit au coeur! Certains prennent conscience que leur santé, c'est un bien qu'il faut entretenir; d'autres veulent en faire plus. Cela est très valorisant! Merci à tous ceux qui ont fait de cet évévnement une réussite!

vendredi 3 février 2017

Pour la cause!

C'est demain le grand jour! Le Jack Fest 2017! Jusqu'à maintenant, les prévisions sont bonnes. 25 personnes se sont manifestées pour venir! Beaucoup d'amis. À moi de jouer! J'ai tellement de choses à dire! Se dévouer pour une cause doit être amusant. Déjà que c'est triste de savoir que le cancer tue, que de nos proches seront brimés, décimés par cette maladie. Je prône la bonne santé, la bonne forme physique! Ce n'est pas tous les jours que l'occasion se présente pour sensibiliser les gens. Il y a bien des messages répétitifs qui sont diffusés à la radio, à la télé et sur internet, mais capter l'attention, saisir la chance de parler aux gens. Un privilège! Je vous en reparle plus tard.

jeudi 2 février 2017

Se laisser porter.

Hier nous sommes allés au restaurant pour nos 20 ans. Ensuite nous sommes allés voir un film. La-la-land. Pour ma part, un film sans contrainte de texte. Un moment agréable à passer en bonne compagnie. On dirait un journal personnel, étalé sur plusieurs années. Les deux personnages principaux semblent évoluer au milieu d'un monde arrêté. Il faut prendre le temps d'écouter, de se laisser porter. Ceux qui aiment les suspenses ou les films d'action où ça tire et où ça explose, oubliez ça! C'est en quelque sorte une pièce de théâtre adaptée pour le grand écran. Une histoire de passion, une histoire d'amour. Et la fin, ne finit pas à l'américaine. Mais elle est tout de même belle! Oui, ce film est beau, ses images aussi! Il faut prendre le temps d'être là, devant une fiction. La trame sonore est vraiment bonne, les acteurs aussi. Pour un moment de romantisme avec ma Bibi, quel bon choix! Et cette petite soirée a su mettre un baume sur la tristesse qui m'habitait depuis les événements de dimanche dernier. À plus!

mercredi 1 février 2017

20 ans

Jusqu'à maintenant la semaine va bon train. Il y a certains impondérables très irritants, mais il faut faire avec. Comme la vie passe très vite, pas le choix de composer avec ses aléas! Et comme je n'ai aucun contrôle sur ces événements, alors je n'ai pas à mettre d'énergie là-dessus! Je dois me concentrer sur la production, le Jack Fest qui arrive très vite (dans trois jours!) et la famille! Mais je suis fier de célébrer vingt ans de mariage avec ma tendre et douce épouse! Ça n'arrive qu'une fois, c'est un fait, un accomplissement qu'il faut souligner! Longue vie à notre couple! Nous avons prévu d'aller au resto et au cinéma ce soir. DOnc pas de temps à perdre aujourd'hui! Ça va bien aller! Et comme le temps continue de passer, je dois y aller, mes responsabilités de père m'appellent! À plus!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...