vendredi 22 avril 2016

Confidence

Cohabiter en société, quel mystère fascinant! Les gens sont incapables de gérer les différences, n'ont pas de tolérance envers les autres et, souvent, ne pensent qu'à eux-mêmes. Comme j'en ai parlé hier, ils sont souvent bien ancrés dans le moment présent. Au coeur de l'action quotidienne, rien ne sert de paniquer. Par contre, il faudrait user d'un peu plus de diligence envers ses pairs. Je ne dis pas que c'est tout le monde, mais j'observe vraiment beaucoup les gens et leurs moeurs. Je m'arrête souvent pour les regarder, ensuite j'analyse un peu leur comportement, leurs réactions. J'essaie de comprendre leurs agissements, saisir la source de leur comportement. Et, je ressens tellement leur énergie. Je ne sais pas pourquoi, c'est un don que j'ai. Je ne sais pas vraiment quoi faire avec ce don, si ce n'est de pouvoir rediriger un flux sanguin. Je ressens le magnétisme de la chose et je peux, sans trop d'efforts, modifier ce champ d'énergie. Des fois, je ne suis pas tout en contrôle et ça me demande beaucoup d'énergie; il en résulte une baisse soudaine de mon humeur, un sentiment de faiblesse difficile à contrer. Même si je suis conscient d'avoir ce don depuis longtemps, je ne l'ai pas vraiment développé plus que ça. La vie nous mettant tellement de pression, la routine quotidienne, il sert à l'occasion, lorsque quelqu'un se coupe, se brûle ou autre chose que je réussis à sentir. J'ai aussi remarqué qu'il faut que j'éprouve quelque chose pour la personne que j'aide. Peu importe le niveau, on dirait qu'il faut que j'aie de la sympathie pour la personne. Et c'est cette sympathie qui me gruge autant d'énergie. Cela m'amène à vous dire que je ne veux pas vraiment développer plus que ça ce don. Ce cadeau. Imaginez, dans notre société, incroyante et laïque, un type comme moi qui prêche l'Amour, qui soigne les gens. Je ne veux vraiment pas devenir autre chose que moi-même. Alors je garde ça enfoui au fond de moi.

jeudi 21 avril 2016

Savoir être conséquent

Comme le dit un adage, ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais qu'on te fasse. Difficile à imaginer dans notre société! Les gens bourrassent tout, jettent tout, se foutent pas mal des autres. Mais ce sont des moments précis dans une journée. Toutes ces actions se passent au présent. Il se peut que deux heures après que ton voisin t'ait coupé le chemin en auto et qu'il t'ait fait un doigt d'honneur, qu'il réalise que c'est avec toi, tous les vendredis, qu'il ventile sa semaine devant une titte frette! Comprenez-vous le côté éphémère et égocentrique de la chose? AU moment même où quelqu'un vous envoie chier, pour lui, vous êtes au mauvais endroit au mauvais moment. Car il agit toujours comme ça, sans y penser plus que ça. Et dans notre société chacun pour soi, c'est bien le seul moyen de se sentir «libre». Car on ne peut rien faire d'autre. Sans plonger dans la paranoïa, je sais que tout le monde nous observe, chacun de nos gestes en général est épié. Mais il y a aussi les réseaux sociaux, où certaines personnes, ayant longtemps été silencieuses, se sont trouvées une tribune pour y étendre leur fumier. Il y a bien ceux qui parlent et publient des photos et des vidéos de leur animaux, mais ils sont inoffensifs. Il nous partagent leur bonheur. Et si toutefois, ça vous irrite, il est toujours possible d'arrêter tout ça. Mais ceux qui pensent que ces réseaux sont un tuyau pour y vider leur égout, là vous faite fausse route! Je ne peux imaginer en train de cracher sur quelqu'un sans jamais avoir de conséquences. Il faut prendre conscience de ses actes, en saisir le côté moral et s'assumer en cas de panique. Car les réseaux sociaux sont internationaux, très rapides, voir instatanés. Un peu la réplique d'une foule en délire. Tout devient possible. Sous l'effet d'entraînement, quelqu'un qui passait par là peut se retrouver à l'hôpital ou pire. En y repensant, c'est bien triste. Alors avant de répandre du fiel sur tout ce qui vous irrite, pensez-y! Et puis, faites l'exercice; imaginez que ce que vous publiez sur quelqu'un, ce quelqu'un, ce serait vous. Allez, faites-le!

mercredi 20 avril 2016

Savoir se vider l'esprit avant de commencer la journée!

Je suis bien tanné de me faire dire comment respirer. Que le gouvernement décide à ma place! Y aurait-il un moyen d'avoir la paix? De pouvoir décider moi-même de ce que je veux faire avec mon argent? Je ne veux pas payer pour l'installation de bornes de recharge sur les maisons neuves, je ne veux pas payer pour la taxe du carbone, je ne veux pas payer pour un système de santé inefficace comme celui en place. Je veux rester de bonne humeur, je veux pouvoir planifier mon avenir avec ceux que j'aime et non payer l'avenir de personnes que je ne connais pas! Je suis irrité quand je constate que je paie plus de taxes que partout ailleurs dans le monde. Je me sens mal de savoir que certaines personnes au Québec, aiment mieux passer du temps à salir les autres pour mieux paraître, que de prendre du temps pour s'améliorer. Ça fait des années que je le dis : les changements viendront par le bas. Laissez les gens respirer. Laissez les gens vivre. Du plus loin que je souvienne, les gens ont toujours trouvé que l'état nous enlevait trop de liberté, trop d'argent. À force de vouloir faire plaisir aux amis, de ne pas vouloir déranger, la vie est devenue tellement compliquée. Un simple changement comme se stationner à une autre place devient périlleux. Avoir besoin d'une clé USB est long et ennuyant. À force de créer des sous postes aux «amis», faire bouger la machine est rendu tellement dur... Une décision entraîne tellement de changements, ça devient presqu'impossible de faire des changements. Et si changements il y a, ça va prendre du temps et beaucoup d'argent. Je continue de dire à mes enfants que s'ils ont une opportunité de travailler en dehors du Québec ou du Canada, d'y aller. De ne pas s'en faire avec nous. Nous les «X», sommes habitués de tout sacrifier. Ça fait du bien d'en parler!

mardi 19 avril 2016

Tout vient à point à qui sait attendre

De voir hier, dans le journal, un regroupement de propriétaires de restaurants de Québec, qui veulent sonner les cloches de la ville, ça m'a ému. Enfin des gens qui donnent signe de vie. Des gens qui sont tannés de payer des taxes. Des taxes à outrance. Beaucoup de commerçants ont fermé leurs portes depuis que le Maîîttrrre est là. Ils ont vu leur compte de taxes doubler, tripler! En seulement cinq ans, leur bâtisse n'a pas tout à fait doublé de valeur, selon le rôle d'évaluation, mais les taxes ont atteint des sommets inégalés. Ce qui est triste, c'est qu'au début, ces commerçants refilaient la note à leurs clients. Mais actuellement, ils ne peuvent plus le faire. Car leurs prix de vente deviennent indécents. La clientèle va non seulement disparaître, mais va aussi détruire le nom de l'entreprise en véhiculant que c'est trop cher. Devant cette impasse, certains propriétaires ont décidé de se faire entendre. Bien sûr, ces gens sont à cours d'idées, ils ne savent pas comment faire pour rentabiliser leur commerce. On dirait que l'administration de la ville veut les faire quitter la ville. Ces hausses de taxes, complètement inacceptables, font parti des irritants qui nous font revenir sur la terre ferme quand il fait beau comme en fin de semaine. Et ces gens sont passionnés par leur entreprise, ils veulent ouvrir la machine, offrir plein de choses à leurs clients, aux touristes. Mais leur initiative n'est qu'un début. Ouvrir un commerce à Québec requiert une patience de moine, des reins de fer et une certaine harmonie avec divers secteurs ouvriers sur le territoire urbain de la ville. Et il faut être prudent pour opérer un commerce à Québec, on dirait toujours que quelqu'un, quelque part, se cache pour t'épier. Si les recettes sont bonnes, mieux vaut ne pas le montrer. Garder tout très discret. Car la jalousie a tôt fait de venir vous hanter et même, briser vos rêves.

lundi 18 avril 2016

Apprécier ce qu'on a.

Au programme cette semaine, finir le plus de choses possible. Tenter de ne travailler que quatre jours. Finalement, essayer de relaxer avant de partir samedi matin. Nous sommes lundi matin, je me demande où est passé l'énergie pour faire ma semaine. Pourtant, il y a eu recharge des batteries en fin de semaine avec ce beau temps. Alors je vais tenter de conserver ma bonne humeur, comme je le fais depuis vendredi. La journée de samedi fut extraordinaire. Bien des choses d'avancées pour faire face à l'été et la visite de ma cousine Mi! Des moments privilégiés qu'il faut savourer doucement. Nous avons sorti la décapotable! Des moments qui nous permettent de mettre de côté le stress de nos semaines, oublier l'actualité politique et économique. J'ai beau chercher des moyens de relaxer, il semble difficile en tous points d'y arriver sans y injecter de l'alcool. Non mais pensez-y! Pour se mettre l'esprit au neutre, ça prend du houblon! Wow! QUi a dit qu'il fallait quitter le Québec? Moi? Des weekends inoubliables comme celui que nous venons de passer, ça aide à vouloir en faire plus. Ça aide à comprendre pourquoi nous sommes si attachés à nos racines. Car vivre au Québec amène bien des aventures, des aventures à raconter. Des fois je me dis que ces aventures nous forment en secret. Elle nous forme à cette vie, ce quotidien québécois dans lequel il faut trimer dur. Donner tout ce qu'on a. Quand je dis tout, c'est vraiment tout. Notre énergie, nos idées, notre argent, mais pas notre honneur. Cet honneur, nous le gardons pour ces journées où dame nature nous gâte. Quand il fait beau et chaud, tout devient plus facile. Dehors en train de laver la voiture, une petite bière. S'asseoir et regarder la neige fondre. Oui-oui! Prendre une pause. Chose que je n'ose pas souvent me permettre, parce que souvent, on gèle dehors et\ou il ne fait pas beau. Alors j'enregistre au fond de moi ces deux derniers jours. Ils sont la référence à battre cet été. Bonne semaine!

vendredi 15 avril 2016

On change!

Encore cette semaine, nous avons eu la preuve que même notre premier ministre canadien est corrompu. Qui ne l'est pas? Comme je l'ai déjà dit, des enveloppes brunes, il y en a toujours eues; le problème, c'est que depuis un bout, ça parait un peu trop. Et comme nos politiciens s'amusent à descendre les autres pour tenter de paraître mieux, les choses ne s'améliorent pas. Et, comme notre société est du genre que personne n'est jamais coupable, alors, que pouvons-nous faire? Ça fait des années que je me casse la tête à chercher des solutions, mais en fin compte, ça ne sert jamais à rien, car on ne peut pas les appliquer. Pas de tribune pour en parler, pas de contacts pour en discuter et, surtout, personne qui serait prêt à essayer. Pourquoi? Parce qu'on ne peut enlever à quelqu'un ce qu'on lui a donné. Ça peut paraître un peu n'importe quoi, mais parlez-en pour le fun avec vos proches, vous pourriez rester surpris. Je propose de changer pour soi. Changer ses habitudes, changer pour une vie plus heureuse. Faire des choix différents. Ne pas travailler essentiellement pour l'argent; travailler aussi pour récolter du bonheur. Du bonheur, c'est quoi? C'est d'apprécier ce qu'on a. C'est d'être entouré de gens qu'on aime et qui nous font sentir aimé. Le bonheur, c'est un sentiment de joie qui dure, qui alimente nos journées, nos semaines. Et ça, ça ne s'achète pas, ça ne se négocie pas. Peu importe ce que vous vivez, recherchez les sourires, gardez du temps pour ceux que vous aimez. Il faut lâcher prise devant l'adversité des décisions économiques et politiques de nos dirigeants. Je ne dis pas de les applaudir, mais je suggère de les suivre discrètement. Comme ça, il reste possible de suivre leur parcours et demeurer éveiller en cas d'abus suprême. Car si vous vivez des jours plus sombres, dites-vous que c'est pour mieux briller. Que cette ombre qui bouleverse vos journées est une période d'apprentissage. Si vous avez la chance de sourire, faites-le! SI vous avez une opportunité, saississez-la! Et continuez d'aimer les autres et de les respecter. Bon vendredi!

jeudi 14 avril 2016

Ça s'en vient.

Ces jours-ci, la fatigue m'accâble et je n'en vois pas la fin. On dirait que je suis rendu au bout. Mais je souris, je me dis que je vais y arriver. Le repos arrive, demain c'est vendredi. Et puis il y a les vacances, dans une semaine. Mais le temps passe tellement vite. Pas beaucoup de temps d'arrêt, pas beaucoup de façons de réussir à arrêter. Et quand des fois, je m'asseois, je constate que les choses alentour ne tournent pas si bien. Que mon environnement va bien. Mais je me sens complètement dépassé; les finances, la facturation, les rénovations, tout ça ne m'atteint plus. Je suis en veille, prenant soin de terminer ce qui est en cours. Le reste, je verrai au fur et à mesure. Mais je ne veux pas non plus oublier trop de choses. Je ne veux surtout pas me retrouver avec trop d'erreurs, trop d'oublis. Comme une cité, devenue trop grande, avec trop de palliers administratifs, je ne sais plus ce qui se passe dans une journée. Je ne réussis plus à faire le tour. On dirait que je suis comme la ville de Québec, il y a une demande, mais rien ne bouge. Trop d'étapes à franchir pour arriver au fait. Alors je m'applique plus, mais je n'en fais pas plus. J'ai beau évaluer mon temps, l'analyser, essayer d'ouvrir mes plages horaire, je n'ai pas plus de temps. Mais, je veux rester de bonne humeur, avec le sourire. Continuer de répandre la bonne humeur autour de moi. Bref, je dois y mettre beaucoup de moi. 
Dehors, le soleil semble vouloir montrer son nez. Il amène avec lui un peu de chaleur. J'ai hâte de sortir mon vélo! Ce sentiment de liberté, seul, dans les rues, à cinq heures du matin... À plus.

mercredi 13 avril 2016

Équilibre

Alors que nos dirigeants continuent d'avoir des projets, suivis par des études coûteuses, nous, les citoyens, commençons à trouver le temps long. Leurs idées, complètement déconnectées, coûtent déjà une fortune, sans même les réaliser et elles ne nous intéressent pas! Et, rien ne sert de vouloir dépenser l'argent des contribuables, la moyenne des ours n'a plus d'argent. Nous sommes allés renouveler notre hypothèque hier; si toutefois il devait arriver un grave imprévu, il serait facile d'étirer la sauce, mais des projets, il ne doit pas en avoir d'autres. Pourquoi, avec les chiffres que nous avons, une ville doit continuer de dépenser? Même chose pour notre province, assez de ces folies. Non seulement vous nous prenez pour des imbéciles, mais vous faites à votre tête. Juste à regarder un peu vos décisions, il est difficile de cerner quels sont vos objectifs pour améliorer l'économie. Chaque jour se veut une abérration, un manque de respect pour nous, les travailleurs. Je fais mes journées, me dit que c'est pour le mieux; À chaque trimestre, j'ai peur. Car si j'ai fait quelques dollars, je dois les remettre. Par contre, si je n'ai pas réussi vraiment à arriver «even», bien je n'ai rien! Alors je ne donne rien. Donc il est difficile de progresser, de sentir les affaires avancer. J'en reviens encore à la même rengaine, soit celle de s'amuser chaque jour, choisir d'être heureux. Et puis, si les décisions de nos dirigeants ne nous accommodent pas le moins du monde, alors nous allons nous organiser nous-mêmes! Dire qu'il y en a qui attendent après le gouvernement. D'autres qui attendent, mais ne savent pas pourquoi. Alors il faut s'aider soi-même. Avoir de l'ambition, mais aussi de la volonté. Aller au bout des idées, se permettre d'être heureux. Ça ne signifie pas de s'endetter et de regretter. Même si vous vous acheter des cossins, une grosse maison, une voiture neuve, ne pas être capable de payer sa vie, ce n'est pas ce que j'appelle être heureux. Alors il faut trouver l'équilibre entre ne rien faire et s'emmerder, ou vivre au dessus de ses moyens.

mardi 12 avril 2016

Ça s'en vient !

Et voilà, le décompte est commencé! Dans dix jours, je serai en vacances. Après un hiver plus ou moins poche, qui s'est manifesté surtout vers la fin, ma Bibi et moi iront prendre un peu de soleil en Floride. Ce sera la première fois que j'irai en Floride. Depuis que je suis tout petit que j'entends parler de la Floride. Au point que je m'en étais fait une image «kétaine». Mais avec le temps, avec l'Internet, avec mes connaissances, et aussi grâce à tous ceux qui y sont allés, j'ai vraiment hâte de voir ça! COmme quand nous sommes allés à Old Orchard, les gens m'avaient tellement mis en garde sur la température de l'eau, sur le côté vétuste des lieux. Une fois sur place, j'ai tellement aimé ça! Voilà ce que je dis! Être amoureux de la vie, de ce qu'elle nous présente. Être témoin de sa beauté! Il existe sûrement d'autres façons d'être heureux, mais je m'efforce de voir le beau en toute chose. Avec du recul, avec de la bière, avec des traits de crayon. L'important, c'est d'y arriver. Voir la beauté du monde. Ces jours-ci plus spécialement, avec un certain lâché prise sur la fatigue, je rêve éveillé de jours heureux, ensoleillés. Je dessine aussitôt que j'en ai la chance. Je chante pour célébrer la joie de vivre, en me déhanchant un petit peu. Et je prie pour ceux qui ont plus de difficultés, qui peinent à se relever devant les obstacles. Car la vie, si fragile soit-elle, doit se vivre heureuse! Voilà ce que j'en pense!

lundi 11 avril 2016

Démarrer la semaine.

Encore une fin de semaine où le temps s'est écoulé comme jamais. Ces jours-ci, je me sens nostalgique, beaucoup trop sensible. Il me faudrait essayer le repos. Un peu de repos, un peu de paix. Loin des tracas, loin de ma routine. Pourtant, plus jeune, je ne voulais rien savoir de cette routine. AUjourd'hui, une chance que je l'entretiens. Elle me permet de libérer un maximum de temps pour faire mes journées. Du temps si précieux, si joyeux. Chaque matin de la semaine, je prends le temps de récapituler ce qui s'est passé. Je m'arrête pour écrire ce que j'en pense, pour comprendre mes sentiments, ventiler mes émotions par rapport à certaines situations. Rien de mieux pour me donner le temps de réfléchir. Car les coups de tête furent légion dans ma vie, et, irréversibles! Je préfère m'assurer d'être heureux, m'assurer que je peux profiter des jours qui me restent pour aider les gens. Partager mon énergie, mon sourire avec ceux que j'aime. Voilà ce que je veux. Et bientôt, le beau temps sera des nôtres, avec sa chaleur. Il fera bon de ressentir son soutien. Car il faut croire en soi, croire en la vie. Et se laisser aller à nos rêves, les vouloir au plus profond de nous-mêmes. Comme ça les rêves deviennent des objectifs, et les objectifs sont là pour être atteints. Alors bonne semaine et amusez-vous!

vendredi 8 avril 2016

Souvenirs du vendredi

Enfin vendredi! Plus les semaines passent et plus elles m'apparaissent enrichissantes. Des fois je cherche à clarifier mes idées en écrivant sur ce blog, car je n'ai plus de ressources, plus de jus. Mais je veux du jus, du power! À une certaine époque, alors que j'avais 17 ans, il fallait non seulement réussir à me suivre, mais ensuite, essayer de m'arrêter pour pouvoir me faire part de vos idées! Mais ces souvenirs me servent de stimulant lorsque soudain, dans ma journée, l'énergie me manque. Et puis il y a eu cette découverte, un vieux bulletin de sixième année. À l'époque où j'allais au pensionnat. Ce bout de papier, datant de 1980 a mis bien des sourires dans ma tête et mon coeur dans les derniers 7 jours. On a bien rit de voir à quel point il y avait une différence entre mes résultats en éducation physique et les autres. Premier partout, et, en général, dernier en sports. Cela m'a rappelé bien des souvenirs. À quel point j'ai lutté pour me faire respecter. Quand tu fais rire de toi parce que tu es gros, parce que tu as les meilleures notes! Pourtant les choses ont bien changé! Après mon entrée au secondaire, je n'ai plus jamais été gros. Et je n'ai plus jamais été le dernier en éducation physique! Même dans une école privée, surveillés par des sœurs, quand c'était ton tour d'être la piniata, bien tu y passais! Mais j'ai survécu. Même que j'ai appris tellement de choses! Être moi-même et personne d'autre. J'ai appris à aimer, à être aimé. Mais j'ai appris aussi à me pardonner. Me pardonner pour mes erreurs de parcours. À cette époque, nous avions des sports tous les midis. Nous faisions partie d'une équipe et nous avions un tableau dans la grande salle qui nous indiquait le classement général et aussi, contre qui nous allions jouer. Aucune raison n'était valable pour ne pas jouer. Il n'y avait jamais de discussion, on jouait. 4 midis sur 5. Un midi de libre, pour glisser, ou faire autre chose, selon la saison. J'y retournerais sans hésiter. Il y avait de la discipline, des règles à suivre et surtout, du respect et de l'honneur à gagner! Merci mes parents de m'avoir offert ce cadeau.

jeudi 7 avril 2016

On continue!

Wow, plus les jours passent et, plus je ressens une fatigue omniprésente. Je me rends compte que bien des choses passent tout droit. Que je ne suis plus tout à fait responsable du temps que j'utilise. Je me sens un peu déphasé. J'aimerais savoir combien de temps je vais continuer. Impôts la semaine prochaine, rencontre avec mon nouveau médecin et renouvellement de notre hypothèque. Bref, vraiment tout pour me distraire de mes objectifs. Avec le bris de mon imprimante, j'ai perdu pas mal de temps à essayer de m'en sortir. Mais je n'ai pas réussi encore à recréer du temps. Alors je m'exécute du mieux que je peux. Histoire de rencontrer le plus possible mes objectifs. Et je trouve que ça va quand même bien. Mais je trouve difficile de ne pas être capable de me reposer un peu plus. Et cette petite neige ce matin me laisse un arrière-goût un peu triste. Quand je pense aux conneries que les médias tentent de nous refiler ces jours-ci, je suis content d'avoir l'esprit un peu embrumé. Rien n'est drôle dans ce monde où tous tentent de se couilloner, et qu'il n'en reste qu'un. Ils devraient se forcer à s'encourager, à devenir meilleur! Se jauger et performer! Salir son adversaire, ternir sa réputation, ne vous rend pas meilleur! Une sorte de nivelage par le bas. Il faut innover, montrer au reste du monde que nous sommes forts, brillants, et efficaces. Au lieu de négocier des tarés comme des prix planchers, laissez le gouvernement de côté et faites vos propres stratégies. Et si toutefois, le chemin s'avérerait trop dur, eh bien il n'est jamais trop tard pour faire autre chose.

mercredi 6 avril 2016

Foncer quand même!

Comme ça, sans prévenir, mon imprimante m'a déclaré la guerre hier. Presqu'une journée entière à recommencer, recalibrer. Les choses ne tournaient pas rond. J'en suis au stade où je me demande quelle sera la date pour rajeunir cet équipement. Des journées comme hier, ça fait des journées longues, full pression, difficile à gérer avec le reste. Heureusement je n'ai que moi et mes appareils à gérer. Je n'ai pas dix employés et leurs outils. Je ne suis pas maire de la ville. Je ne suis pas premier ministre! Et je ne le désire pas non plus. Le simple fait que, parfois, terni par la fatigue, je n'ose plus répondre au téléphone, en dit long sur mon degré de compréhension de la situation. Qu'à cela ne tienne, j'aime faire ce que je fais, mais il faut parfois ralentir ou encore arrêter. SInon, je ne pourrai aimer ça encore bien longtemps. Et, contrairement à ce que je pensais, ne pas être aller dans le sud en février fait une grosse différence. Le manque de luminosité, de soleil, ça mine l'humeur et ralentit les ardeurs. Bref, il faut redoubler de prudence devant la fatigue en place. Les erreurs arrivent vite et, en affaires, ça ne paye pas souvent. Mais il faut apprendre de ses erreurs, les voir comme un apprentissage, une nouvelle façon «gagnante» de travailler! Parlant de nouvelles façons de travailler, je vais présider mon premier CA ce matin. Un peu nerveux, bien que je sais exactement ce que je dois faire. Ma crainte est au niveau de la réponse des autres. Aussi, je me demande si je serai à la hauteur de ce nouveau défi. Encore un nouvel apprentissage. Alors je dois y aller, à plus!

mardi 5 avril 2016

Aimer

Moins dix-sept ce matin, ça me rappelle l'an dernier. Sauf que l'an dernier, ce fut tout le mois d'avril qui fut froid. Mais comme l'hiver fut dans l'ensemble très doux, ce froid printanier est très agressant ce matin. Et il semble que ce sera encore comme ça demain. Mais c'est bien de pouvoir constater que ça achève, qu'il y aura bientôt moins de froid. Que bientôt je pourrai partir en vélo. Partir seul avec le bruit des oiseaux. Seul avec l'aube qui arrive. Ce grand besoin de vivre, de réfléchir. Prendre du recul, ne pas prendre de décisions sur un coup de tête. Ne pas laisser les émotions prendre le dessus. Lorsqu'on observe ce qui se passe avec nos dirigeants, plus rien ne semble important, sinon de s'enrichir le plus vite possible avant de perdre sa place. J'aime mieux gagner ma place chaque jour, véhiculer des valeurs qui me servent, qui m'aident à me sentir moi-même. Je ne veux pas non plus provoquer les gens avec mes idées d'amour, de bonheur. J'ai le goût d'être moi. Et si pour être moi, je dois faire des sacrifices, alors je les ferai. N'y a-t-il donc pas des gens qui, pour un sourire, échangeraient un service, si minime soit-il? Je ne parle pas de ségrégation, ni de pélérinage, juste saisir le moment présent pour saluer quelqu'un, lui dire qu'il est beau. Féliciter quelqu'un, souligner sa bonne action, lui dire merci. Ne pas avoir peur de se faire juger, répandre du bien autour de soi.

lundi 4 avril 2016

Lundi matin.

Eh bien! Il en aurait fallu une autre journée dans cette fin de semaine! Ça s'est bien passé, mais j'accuse vraiment des signes de fatigue et je dois ralentir un petit brin. Samedi, nous sommes allés rendre visite à notre ami qui a changé de pénitencier. La route est vraiment plus agréable! Et puis, une grande trotte en camion, c'est toujours mieux! Je ne dis pas que ce fut reposant, mais moins dur qu'aller à Cowansville. L'établissement est à Laval. Y entrer n'est jamais agréable. Il y règne une autre ambiance, mais dans l'ensemble, ce fut bien. Et hier, je me sentais tellement vidé! Mais la nuit de vendredi à samedi fut l'hôte d'une désagréable surprise... Un bout de fascia et la gouttière étaient tombés avec les glaces. Alors, hier matin, j'ai tout mis en œuvre pour pallier à ce problème qui serait vite devenu pénible aux prochaines pluies! Pour le reste, une suite de petits travaux, la visite de mon fils, et une soirée en famille devant la télé. Chose qui n'arrive pas souvent, surtout quand la température se réchauffe! J'ai bien essayé de m'asseoir au soleil, mais le vent glacial m'a achevé. J'ai quand même absorbé quelques vitamines. Ce matin, avec un moins seize, rien ne pousse vraiment à aller jouer dehors. Mais j'ai très hâte d'aller faire mon vélo dehors. Et j'ai hâte d'être au camping! Ce terrain que nous avons choisi à la fin de l'été dernier. Un but ultime de repos, de se soustraire du travail. Mais la réalité est là ce matin, il faut travailler un peu si on veut que les sous rentrent. Bonne semaine!

vendredi 1 avril 2016

Ouf...

Quelle semaine! Seulement quatre jours de travail, mais quatre grosses journées! Très content de ce donne. Ça fait vingt-quatre heures qu'il pleut sans arrêt, la neige fond, mais pas autant que si c'était le soleil. Et puis, quatre degrés, un bon vent, c'est très humide et frais. Bref, c'est dur sur les barre-joints! Mais c'est typique du printemps. Au moins, on sait que ça va passer. Mais les dettes que le petit trou d'eau est en train de nous faire avaler de force, y a sûrement un moyen de contrer ça. Mais il semble que ce moyen n'existe pas encore, car je ne vois personne s'y opposer de façon officielle. Personne ne peut faire de miracles, mais il me semble que ce serait facile de faire mieux. COmme les choses ne font qu'empirer, je me dis qu'ils sont tous de mèche ensemble. SInon, il y aurait retournement. En même pas six mois de mandat, il aura défait ce que ses prédécesseurs ont pris douze ans à redresser! Quel gâchis! Est-ce si valorisant de vivre au crochet de son pays? De dépendre du reste du pays pour avoir une job? Franchement, je suis vraiment déçu. Je me fais dire bien des choses, mais j'ai une très bonne mémoire. J'ai aussi une bonne compréhension, mais des fois j'aimerais mieux en comprendre moins, ça m'aiderait à être heureux plus facilement. Car je déteste me faire dire quoi faire, surtout quand je suis capable de me débrouiller seul. Et puis, payer pour les autres, ça me le dit moins. Car je ne vois que déficits, subventions douteuses et taxes. Rien qui me permet de me réjouir, qui me permet de me valoriser avec ce que mon argent a fait. Alors, jusqu'à maintenant, le meilleur remède à tous ces maux, c'est le vendredi. Et nous sommes vendredi! Amusez-vous!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...