Une petite pause.

Ne pas avoir d’attentes, c’est vraiment la clé pour réussir à être heureux. Hier soir, je me demandais comment je réussirais à aimer ma soirée, puis je me suis dit que je devrais suivre le cour des événements et laisser le tout venir à moi. Et ce fut une belle soirée! J’ai pu créer de nouveaux souvenirs avec Bernard en soupant avec lui avant les quilles. Ensuite nous sommes allés nous amuser avec JP, sa blonde et les filles! De véritables machines! Une belle petite soirée de financement pour le Yosekan Budo. Et c’est toujours quelque chose de partager du temps avec Jean Mercure. Il est le pro au golf de Loretteville. Il est le sensei au Yosekan, mais il est aussi un survivant du cancer de la prostate! Sa bonne humeur, sa force de vivre, sont des exemples inspirants. L’avant-midi d’hier ne fut pas piqué des vers non plus avec Martin. Nous avons changer le plancher de l’entrée clients. Ça donne un look vraiment intéressant! Et ça rajeunit les lieux! Ça change aussi le mal de place de faire quelque chose pour soi-même. D’accord, ça ne rapporte pas d’argent, mais ça va me rester! Et puis, encore une fois, passer du temps avec Martin, c’est un privilège à découvrir. Et en ce dimanche matin, me voilà tranquille, en train de prendre un bon café. Dernière journée avant une autre semaine qui sera très bien remplie! Alors je vais tenter de me reposer un peu, ne pas trop en faire. Ça va faire du bien! Bon dimanche!

Samedi matin tranquille.

Après un vendredi soir écourté par les enfants, me revoici devant mon blogue. Des fois je trouve que ça fait bien de pouvoir écrire tout ce qui trotte dans ma tête. À force de vivre, les histoires s’accumulent, les aventures aussi, et il fait bon de vider le «disque dur» pour se sentir plus libre! Et puis j’en profite parce que je suis levé, seul pendant que les jeunes dorment. Je peux «vacher» un peu en sirotant un bon café. Comme je m’étais choisi hier soir, j’étais en bonne compagnie avec Patrick, nous étions bien installés avec Betty devant le film de l’heure : The DIRT! Mais le téléphone a sonné et j’ai dû remettre mon chapeau de père et partir à la rescousse de mon plus jeune. Bref, après trois quart d’heure d’écoute, ce fut comme un coït interrompu... Mais ce n’est que partie remise! Me suis couché rassuré pour mon enfant, brûlé d’une semaine de marde, mais au moins je me sens bien avec moi-même. Beau soleil ce matin, un peu timide, mais au moins il ne neige pas. Pourtant ça faisait deux jours qu’on nous battait les oreilles qu’il allait neiger! Plus ça retarde, mieux c’est! Et comme ça réchauffe, peut-être qu’il va seulement mouiller! Bref je dois trouver du temps pour me reposer aujourd’hui. Je suis levé, mais je me sens un peu ramolli. Mon chien pleurait au pied du lit pour se lever, alors je me suis empressé d’aller le faire sortir! Puis j’ai pu parler à ma chérie qui partait travailler! Elle semblait pas si mal ce matin avec ses douleurs chroniques à l’épaule et au cou. Donc je me dis que ce sera une journée prise à la minute près. Comme ça, pas d’attentes, pas de déception et l’esprit ouvert aux surprises de la vie! Wow! Je me trouve excellent! Bon samedi!

Il ne faut pas lâcher!

Encore une autre semaine qui vient de se sauver! Je dis ça parce que je trouve que le temps m’échappe, car c’est quand même très bien d’avoir réussi à compléter une autre semaine de travail. Malgré un moral à zéro, toujours en train de faire des deuils sur quelque chose, j’y suis arrivé. Et je veux me reposer plus que tout. Si je commence mes études en septembre aussi épuisé, je crois que ça pourrait devenir problématique. Donc le fait de savoir que c’est vendredi, d’en être conscient, je pense que c’est pas si pire. Combien de choses ne suis-je pas capable de me rappeler à cause de la fatigue? Combien de samedi entier? Chose du passé, mais tout de même, la fatigue, c’est pas mieux que l’ivresse. J’irais même jusqu’à dire que l’ivresse c’est parfois plus joyeux! Mais toute cette peine que j’ai vécue cette semaine, m’a assomé. Comme si, après autant d’années à prendre soin de mes enfants, je n’arrivais pas à accepter certains de leurs choix. Bin oui! Une histoire d’amour qui chavire, qui se cherche. Je ne pensais jamais m’ennuyer autant de mes enfants. Que Joanne parte pour le travail, j’ai assumé. Qu’on m’enlève mon fils parce que j’étais trop fatigué, j’ai réussi à l’accepter. Et là, ma plus vieille qui nous impose son absence, ça commence à être dur. Souper seul plus qu’une fois par semaine, ça aussi c’est dur! Reste à savoir où tout ça nous guidera. J’essaie de me remonter le moral du mieux que je le peux. Et ce n’est pas en regardant mon compte de banque que je vais réussir, du moins pas pour le moment! Donc un bon vendredi à tous!

Ouf...!

Ce matin est un rare matin où le mercure est plus que moins dix degrés. Ce matin, je me sens comme si j’avais pris une brosse hier; pourtant je n’ai que travaillé, puis j’ai regardé un peu la télé. J’ai dû me fouetter pas mal pour arriver à me lever et aller m’entraîner. Et je dois faire ma journée! Depuis deux semaines, nous écoutons tous les matins la radio, pour savoir si nous serons finaliste au concours de la «Bucket list». Beau concours, mais jusqu’à maintenant, pas encore finaliste. Le tirage se fait demain. Après nous reviendrons aux bonnes vieilles habitudes. Je dois dire que ce poste de radio fait de gros efforts pour essayer d’être le plus positif possible. Difficile parfois de «décorer» l’actualité avec tout ce qui arrive, mais il fait bon parfois de se laisser porter par la vague. Donc jeudi, la semaine va bon train, si les chèques peuvent rentrer, ça ira mieux. Disons que ce ne n’est pas une semaine facile dans ma tête et dans mon cœur. SI ma douce était là... Mais je ne sais pas, elle est à Jonquière! Je ne sais pas pourquoi le chien se lève aussi tôt depuis quelques temps, mais ça me dérange royalement! Mais c’est sûrement un concours de circonstances, car une fois que le soleil se lèvera plus tôt, je crois que tout ça ne sera qu’un vieux souvenir! En attendant, je continue ma course, c’est vendredi demain. Pour être heureux, il faut choisir d’être heureux. On se reparle!

Bon matin.

Finalement j’ai passé au travers de ma journée d’hier. Et ce matin, il semble que mon clavier externe refuse de fonctionner. Bah! Je ne vais pas en mourir! Mais ça fait toujours drôle de taper sur un écran! Et ce n’est pas super ergonomique. Ah...sortir de ses petites habitudes, c’est parfois déroutant! J’aimerais vous dire que je vais mieux ce matin, que je me sens très énergique et peuplé d’un sourire magique! À force de me dire que je suis le meilleur, que je suis une force de la nature, mais je dois recharger mes batteries à un moment donné! Une histoire d’Amour pour moi, cette vie que je vis! Aimer me garde en vie, conserve mon sourire et je le partage autour de moi. Ces jours-ci, j’ai de la difficulté à rassembler mon énergie, de la difficulté à me reconnaître. On dirait que je suis tellement vidé, que tout est un prétexte pour m’arrêter, me reposer un peu. Comme si j’avais perdu le goût de me battre, le goût d’aimer. J’ai resserré mon cercle amoureux, prenant soin de préserver les plus proches, dont moi, de cette léthargie qui m’assaille. Aujourd’hui je tourne une autre page dans ma vie. Notre vieille Toyota partira pour se faire recycler après seize ans de bons services familiaux. Merci! Chaque partie de vie que cette voiture nous a permis de traverser représente des étapes importantes. Je suis sentimental, oui, et aussi amoureux. J’ai hâte de me sentir rempli de gratitude et heureux de partager mon sourire! Et le mois d’avril sonnera mes vingt années de travail autonome. Fatigué, désillusionné de cette société de cartel, je navigue seul dans cette jungle où je ne me sens pas bien. Une guerre de prix vers le bas alors que les coûts d’acquisition ne font qu’augmenter... j’ai choisi de faire du changement, ça commence tranquillement. Car si je ne fais rien, le système nous aura. Cette société n’a rien à faire des amoureux, au delà de faire des affaires, plane un fantôme cupide qui continue d’absorber ceux qui sont en quête de pouvoir! Et ça, je veux m’en soustraire, alors j’essaie de prendre un grand virage dans ma vie, un virage qui me soustraira de ce merdier dans lequel je ne réussis pas à être heureux!

Pas facile à matin...

Maudite anxiété, quand tu nous tiens... Des fois je me dis que c’est comme un test, une façon de me mettre à l’épreuve... Juste pour vérifier si je suis encore capable de me revirer sur un dix cents... Mais des fois je pleure, sentant que l’énergie n’est pas là, que le cœur non plus... Là j’essaie de trouver, d’inventer une joke que je connais pas, des fois que ça me donnerait un sourire! Puis je repars, faire avancer ma vie, mes objectifs. Que dire de plus? Parler de notre PM canadien? Parler de notre PM Provincial? Bof... Pas sûr que ça me le tente. Je peine à garder le cap, à suivre mon horaire. Hier j’ai reçu une contravention de la ville! L’Echo fut remorquée! Bin oui, cette voiture que je «prêtais» à ma plus vieille! Un soir de ramassage de neige, la ville a dû remorquer le véhicule! Mais comme personne ne m’a avisé, c’est plate de l’apprendre comme ça! C’est vraiment dur de regarnir le panier où j’accumule mes sourires. C’est dur aussi de regarnir mon porte-feuilles. Je commence à avoir très hâte au beau temps, à sentir la chaleur et le soleil recharger mes batteries! Je commence à croire que je suis un véritable battant, une personne de volonté extrême qui peine à suivre le côté mesquin des hommes. Une sorte de missionnaire qui prêche en son pays. Loin de moi l’idée de vouloir m’imposer, ou encore de vouloir faire croire au monde entier que je détiens la vérité. Mais je crois que je dois continuer à me battre pour ce que je crois; continuer de vouloir sourire, de choisir d’être heureux! La journée d’hier fut tellement froide, glaciale avec son vent qui faisait frissonner mes garages de toiles. Vraiment écoeuré de cette saison blanche qui nous a «secoué» depuis le mois de novembre. J’ai le goût de faire partir ma tondeuse, de tondre le gazon et de me sentir bien dehors! À bientôt!

La neige fond.

Mis à part le fait que la neige fond très bien, les autres choses qui disparaissent ne me font pas aussi plaisir. À commencer par le respect. Que ce soit sur la route, dans une file au magasin ou à l’hôpital, les gens sont perdus. Ils s’en vont quelque part, en marchant comme des aveugles! Pas grave si on accroche les autres, l’important c’est de se rendre le plus vite possible pour le moins cher possible. Dommage, il serait plus facile de s’entraider, de partager! Je ne me suis jamais senti comme les autres, mais je suis un être humain. Nous sommes tous des humains, nous allons tous mourir! Pourquoi manquer de respect envers les autres quand vous pourriez profiter de ce qu’ils pourraient vous enseigner! Des fois je me sens comme un prédateur qui pourrait venir «voler» des méthodes de travail, ou encore des clients! Pourtant je suis là pour aider! Des fois, si je suis un peu distrait, je me retrouve dernier dans une file, ou dernier à être servi. Pourtant il serait facile aussi de simplement dire à l’autre que c’est son tour, que l’aide apportée est bienvenue! Au lieu de prendre les gens pour du bétail, en les taxant, pourquoi ne pas investir sur leurs aptitudes, sur leurs capacités? Pourquoi faire croire au monde que les minorités sont la norme? Pourquoi alimenter les médias avec des scandales pour mieux agir par derrière? Ceux qui travaillent tous les jours, à la sueur de leur capacité, ceux-là doivent payer! Au diable si on les épuise, on en prendra d’autres! Je pourrais continuer encore, mais je veux avoir une belle semaine. D’autant plus que ma Douce repart ce matin pour une semaine encore, je dois me concentrer sur les objectifs à atteindre! Regarder la neige qui font et sourire! Bonne semaine!

Vendredi!

Zéro degré ce matin, il neige vraiment beaucoup! Je dois me rendre à Donnacona pour travailler sur un ProMaster. Donc pas de temps à perdre dans mes préparations tantôt! Surtout qu’ils annoncent ça jusqu’à demain matin. Ma blonde est revenue, mais tellement souffrante dans le cou et autour de l’omoplate gauche! Ça me fait de la peine. Malgré tout ça, nous sommes vendredi, et j’ai bien l’intention de me reposer en fin de semaine. Mon père va bien, il guérit vraiment vite. Ça aide à garder le sourire! Hier soir, nous avons fait remorquer la voiture qui a le plus marqué notre vie, j’ai nommé l’Echo. Après seize ans de loyaux services, elle nous a quitté. Impossible de la déplacer, car le système d’embrayage est cassé. Et en la montant sur la plate-forme hier soir, j’ai vu que le réservoir d’essence «pendait» sous l’habitacle. Appuyé sur la ligne du silencieux, il tient bon. Bref, elle ira faire un tour dans une cour à scrap, pour se faire recycler. Malgré que ce ne soit qu’un bout de tôle, ça me fait quelque chose. La voir dans un état aussi délabré... Mais nous sommes vendredi, et ça commence à sentir le Jack! Car l’heure n’a pas été au Jack depuis deux semaines. Et nous sommes le lendemain du budget provincial, les prêtres du vert sont très excités par cet événement qui semble leur monter à la tête. Pour eux, il y a une crise climatique, la terre tire à sa fin. Je ne sais pas pour vous, mais à part que mon porte-feuilles tire à sa fin, le reste continue! Que d’inventions pour se rendre intéressant, essayer de soulever le monde et ainsi augmenter une fois de plus ce qu’on donne au gouvernement! Le budget ne fait pas nécessairement mon affaire, mais il est mieux que ce que je m’attendais. Reste à attendre; attendre que ça porte fruit! Pour les autres, qu’ils prennent leur gaz égal, la terre est là pour rester! Deux budgets dans la même semaine, incroyable! Un qui ne respecte en rien ce qui était prévu (promis), l’autre qui suscite des tas de réactions! C’est déjà ça! Je suis vraiment à bout de tout ça, il n’en manque pas tellement pour me faire sauter. Ma femme et moi, on surveille plus les prix qu’au début de notre vie ensemble, il y a vingt-cinq ans! Puis-je augmenter autant mes tarifs? Je devrai le faire quoi qu’il en coûtera. Lorsque je serai aux études, je ferai de mon mieux pour trouver de nouvelles solutions. En attendant, passons au travers de ce vendredi bien rempli, le reste viendra bien assez vite!

On se crinque 2.0

Inutile de vous dire que je suis fier de moi. Quelle journée hier. J’ai réussi à tout faire, même si à la fin de l’enveloppement du camion, j’étais vraiment claqué. Je commençais à trouver que c’était vraiment trop. Et la soirée s’est poursuivie avec l’assemblée générale annuelle, où nous étions neuf personnes. Mais nous avons tout de même recruté un nouveau membre sur le CA, madame Vicky Boucher, notaire. Je trouve ça génial. Ce fut une soirée très protocolaire, mais tout de même amusante. Et comme chaque association qui se respecte doit absolument tenir cette assemblée, alors c’est fait! Bien content. Alors j’entame ma quatrième année comme président, objectif atteint aussi de ce côté-là : Quand j’ai pris la place de Marc Rondeau, il m’a dit qu’il espérait que je sois président au moins aussi longtemps que lui. Mission accomplie! Ça fait déjà neuf ans que je travaille bénévolement pour cette association. Les premières années furent plus dures, mais je dois avouer que les quatre dernières furent un beau succès auquel je suis fier d’avoir participer! Avec une équipe aussi dynamique, organiser des événements est amusant, mais aussi intéressant! Et puis, de côtoyer d’autres entrepreneurs, des gens en affaires qui me ressemblent, ça fait du bien. Et tant que j’aurai l’impression d’en apprendre et aussi de partager, je serai là. Mais pour revenir sur la terre, ce matin, je sens que je vais avoir cinquante ans cette année. Donc je dois prendre ça vraiment plus relax aujourd’hui, car une autre journée comme hier m’attend demain. Donc continuer à croire en moi et me garder en forme le plus possible. Si je veux continuer à faire ce que j’aime, sans y laisser ma santé, je dois réussir à trouver du repos quelque part. Ma douce Joanne revient aujourd’hui après sept jours passés à Jonquière. On dirait que je n’ai pas eu le temps de m’en rendre compte tellement j’ai eu de choses à faire. Et il aurait fallu que j’en fasse plus, mais bon. Alors je me lance dans cette journée, en saisissant le privilège de pouvoir encore vivre une vie merveilleuse!

On se concentre sur le possible!

Donc le temps continue de soigner les maux de tous et chacun. Hier, j’ai encore pleuré, cherchant un endroit dans mon cœur où me réfugier... De voir que mon père prend du mieux, de savoir que mon plus vieux est enfin en stage, avec rénumération, ça aide dans mes recherches du bonheur. Et puis je vais envelopper un camion aujourd’hui, c’est ce que j’aime. Oui il y a l’Assemblée Générale Annuelle des gens d’affaires ce soir, mais bon, l’arrivée du printemps amène toujours un surplus de travail qu’on se doit de saluer! Moins quatorze degrés pour donner le ton à cette nouvelle saison qui s’amorce! Et nous avons eu un «cadeau» hier avec un budget fédéral qui continue de nous endetter, une plaie qui continue son ravage, telle une maladie incurable! Comme je l’ai précédemment illustré, un trou d’eau c’est toujours embêtant; ça peut être très creux, pis peut-être que son contenu n’est pas vraiment de l’eau pure... Méchante arnaque pour tous ceux qui ont mal au cœur de ce gouvernement! Et comme il est impossible de faire quoi que ce soit, je me replie avec un retour aux études à l’automne. COmme si je n’étais pas tanné d’être cassé. Mais d’ici un an, je serai capable de vous dire si j’ai bien fait. ALors on s’accroche, les changements viendront de par le bas, car il est impossible de donner un coup de roue à partir du siège du gouvernement. Il doit y avoir un moyen de trouver une formule qui ferait un effet domino, mais je ne l’ai pas encore trouvé. Et comme je dois être vraiment performant aujourd’hui, je m’arrête ici pour commencer cette formidable journée! Et si je réussis à trouver encore de la force dans mon corps, j’irai changer la batterie dans notre Echo, qui dort présentement dans le stationnement du Super C. À plus!

Peiné...

Déçu, avec bien de la peine, je me suis couché hier en pensant à ma fille. Elle a réussi à «passer au travers» de notre éternelle petite Toyota en un an et demi. Et elle continue d’agir comme si nous l’avions «bousculée» ou quelque chose comme ça. Elle semble avoir perdu l’intérêt dans tout. Elle évite vraiment de venir à la maison, ne donne pratiquement aucune nouvelle. Et si on s’informe, on dirait qu’on vient de pénétrer en zone ennemie... En même pas trois mois, il est difficile de croire qu’elle a autant changé... Les bras m’en tombent, je suis atterré de voir, de constater comme elle semble se foutre complètement de nous. Refusant simplement de nous parler, de nous aider; Ça fait déjà tellement mal, est-elle consciente de tout ça? Je suis blessé. Hier, elle avait une entrevue à la commission scolaire des premières seigneuries. Je lui ai offert de venir prendre mon camion, puisque l’auto est «paralysée» dans le parking du Super C. Elle m’a dit qu’elle préférait que j’aille lui porter les papiers, qu’elle m’a fait imprimer, à l’appartement d’Orsainville. Elle irait en autobus, ça serait plus simple pour elle. Alors, après ma réunion, j’ai imprimé les dits papiers et je suis allé lui porter. Mais par la suite, alors que je lui demandais comment ça s’était passé son entrevue, elle ne m’a pas répondu. Je me suis dit que ça irait à plus tard. Mais en constatant qu’elle avait déjà «défoncée» sa part de données avec son cellulaire (que je paye), je lui demande comment elle fait pour en prendre autant? Elle me répond un peu n’importe quoi. Je reviens alors avec l’entrevue... Elle me dit qu’elle ne s’est pas rendue sur place, qu’elle s’est perdue dans  les autobus... Pourtant, quand je suis allé lui porter les papiers, elle m’a dit qu’elle était en train de planifier son trajet. Comment tu fais pour te perdre en autobus? Tu prends le bus, puis ton transfert; peut-être débarquer un arrêt trop loin, mais se perdre? Bizarre! En tous cas, je ne comprends tellement rien. Et je suis allé voir l’auto immobilisée dans le stationnement du Super C... Je ne comprends pas comment elle a fait pour se rendre au travail avec dimanche. Elle démarre, mais la transmission ne fonctionne pas. Pas d’embrayage, le moteur vibre étrangement, on dirait que la voiture a participé au tournage d’une poursuite pour un film d’action. À l’intérieur, rien n’a été ramassé, un véritable dépotoir! Ça m’a fait beaucoup de peine... Mais j’ai une grosse journée à accomplir, alors je vais y aller, à plus!

On repart!

Déjà lundi matin. Une fin de semaine passée à Ste-Rose, pour aider mon père dans sa convalescence. C’est dur de voir son père aussi ralenti. L’aider à mettre ses bottes, aller laver son plancher et passer la balayeuse. L’aider à faire les repas, lui qui adore cuisiner et nous recevoir. Mais j’ai pris conscience d’une chose; une chance qu’il a Nicole pour l’accompagner. ALors que mes enfants sont beaucoup moins présents dans mon quotidien, que je m’ennuie, je me demande comment mes parents ont fait pour surmonter ça. Et une fois ma mère partie, comment mon père fait-il pour survivre au fait qu’il s’ennuie? Je veux bien croire que sa vie est quand même belle, qu’il passe du bon temps avec sa blonde, mais il est souvent seul. Moi je soupe seul un samedi soir et j’en ai les larmes aux yeux! Je trouve difficile de devoir me séparer tranquillement de mes enfants. Pourtant, rien n’a été facile, mais c’est ça qui m’a soudé à eux. D’accord, j’ai ma Bibi qui m’accompagne, et ça, c’est précieux. S’il fallait qu’elle parte, je crois que je devrais hypothéquer âme pour fabriquer du courage! Vraiment pas facile à imaginer, alors aussi bien ne pas perdre trop de temps là-dessus! J’ai essayé, le temps d’une fin de semaine, de lui montrer que, malgré le fait que je ne lui rends pas souvent visite, je suis là, je tiens à lui et à son bonheur. Mais de réaliser qu’il pourrait s’ennuyer autant, ça m’a fessé comme un camion. Ça m’a fait ressentir une énorme tristesse! J’ai hâte que ma douce et tendre épouse revienne, que je lui partage ce sentiment. C’est important d’avoir quelqu’un avec qui partager ses émotions, ses bons coups, comme les moins bons. La vie ne fait jamais de cadeaux, car la vie, c’est le cadeau! Comme mon grand-père Lachance me disait parfois, on se doit de manger au moins deux chars de marde pendant notre vie! Et un de mes patrons, monsieur Gros-Louis, m’a aussi dit la même chose, mais il a rajouté : «à part ceux que tu placeras toi-même sur ton chemin». Et je continue de me fier à cet adage, prenant soin de bien peser certaines décisions, certains de mes choix. En ce lundi matin, moins dix degrés, je débute une nouvelle semaine avec beaucoup de travail à accomplir, alors je me concentre et j’essaie de me coucher tôt, car le corps sera très utile! Bonne semaine!

Petit mot de samedi matin.

Finalement mon vendredi fut une réussite! Beaucoup de dossiers réglés, production en hausse et surtout, mon pied va beaucoup mieux! Et j’ai passé mon vendredi soir avec mon garçon! Ma Bibi est partie travailler à Jonquière pour une semaine et moi, je pars pour Ste-Rose dans environ une heure trente. Je vais assister mon père dans sa convalescence. Mon nouvel iPhone va bien, toujours aussi «transparent» de passer d’un à l’autre, comme quand je change un iMac pour un autre. Merci quand même, Apple, mais je m’ennuie de M. Jobs; je ne suis pas sûr qu’il serait fier de ce que cette compagnie est devenue. Mais on ne le saura jamais, alors? Et puis je recycle mon fantastique SE en le donnant à mon père, il aura une deuxième vie! C’est merveilleux, jusqu’à maintenant, j’ai réussi à faire revivre tous mes appareils! Dans un autre ordre d’idées, les jeunes qui ont manifesté hier n’ont pas fait trop de casse. Par contre, que le premier ministre les salue sur Twitter, ça me dépasse un peu. Ces jeunes ont manqué l’école pour faire une manif sur une «crise climatique» inexistante. Le climat est en constant changement et le sera toujours. Si jamais le climat devient égal, alors la terre sera morte, où trop artificielle pour l’homme. Et puis, manifester pour nous taxer encore plus, ça ressemble à du communisme, pas à une pensée environnementale... J’ai plus de peine pour les gens qui souffrent en Nouvelle-Zélande. Encore des victimes, encore une tuerie, quand est-ce que l’homme cessera de se prendre pour quelque chose qu’il n’est pas? Incohérence vous me direz, bien sûr! Si l’homme réfléchissait un peu plus avant d’agir... Un rassemblement de personne qui respirent, dans les rues, ça pollue! Et puis, tuer des gens au nom de croyances, ou de religions, quelle mauvaise façon d’en parler! Personne ne peut juger, mais il est difficile de ne pas le faire. Dans notre société «trop» renseignée, ou les réseaux sociaux sont devenus le tribunal de tout, respirer n’est pas prudent! Alors soyez vous-mêmes et profitez de la vie, celle que vous aimez. Du temps de qualité avec ceux que vous aimez pendant qu’il en est encore temps. Votre liberté de vivre se termine lorsque les autres viennent vous dire comment vivre, comment respirer! Il faut s’aimer, ouvrir son cœur à l’autre, car c’est encore possible! Pour le reste, on verra; amusez-vous!

Enfin vendredi!

Je me demande ce matin où j’en suis dans ma vie. Je me sens perdu, un peu loin dans ma tête par rapport à ce que j’ai à faire. On dirait que je manque de concentration. Une chose est sûre, ma volonté dépasse de loin ce que mon corps peut accomplir. Et je me suis souvent retrouvé devant ce fait; incapable de faire autrement, rempli de bonnes intentions, mais surtout de solutions pour améliorer la vie de ceux que j’aime, en m’incluant. Chaque fois que ça m’arrive, il s’en suit d’une baisse d’énergie énorme. Première bonne nouvelle ce matin, la condition de mon pied continue de s’améliorer! Se lever et voir qu’il fait 2 degrés, ça fait du bien. Bien sûr, beaucoup d’eau à prévoir. Et notre nouvelle vue dans le salon, celle d’un bouchon de neige et de glace, car la toiture s’est vidée hier. QUel dégât les amis! Pas trop de bris matériel apparemment, c’est un minimum. Donc on peut savourer ce décor hivernal encore de plus près... Ma Douce chérie part ce midi pour une semaine, moi je pars demain matin pour Ste-Rose, pour prendre soin de mon père qui se remet de cinq pontages. Bien des gens ont passé par là, mais c’est vraiment une grosse opération. Je crois qu’il va bien, mais il doit prendre le temps de guérir. Je veux avoir un vendredi soir relax, le temps de faire un petit bilan sur ma semaine qui se termine et aussi celle qui s’en vient. Comme je suis en constat d’une baisse d’énergie, j’entends en profiter pour chercher encore des solutions. Des solutions réalisables, car souvent, je tourne en rond dans ma tête, comme un chient errant qui se cherche à manger. Pas tellement politique depuis un moment, mais je crois que je suis plus près de ma route que de celles des autres et, je crois aussi que ça va m’aider à me rendre à l’automne et les études. N’empêche que de voir le prix du litre d’essence qui «chire» au dessus de 1,25$, ça fait chier quelque part! Mais rien ne peut gâcher un vendredi, alors serons-nous du radar et du pilote automatique pour se rendre au bout de cette journée. À bientôt.

Ouin...

Quelle journée hier alors que mon pied droit semble affecté par une quelconque chose machin truc binouche... Difficile à dire, douleur constante, un peu d’enflure... Ce fut une longue journée! Ma journée d’installation prévue vendredi a changé d’orientation. Moins deux degrés ce matin, la noirceur est très dense. Mon pied me semble un peu mieux, moins de difficultés à marcher. Installation sur la rive sud ce matin, je me souhaite que ça aille bien. Ensuite j’irai peut-être faire le parre-pierres sur le camion Hino et le petit lettrage qui va dessus. Ça va dépendre de mon pied. Pour l’instant, je me sens un peu enrhumé. Joanne vient de partir pour son spinning, je vais la revoir ce soir; elle quitte pour le travail dès demain midi. Une semaine entière. De mon côté, j’ai beaucoup de travail à accomplir d’ici là. Je me demande où je vais réussir à trouver tout l’énergie pour y arriver. Honnêtement, j’en arrache un peu trop. Je ne me sens pas à la hauteur de quoi que ce soit. Alors ça sera une heure à la fois. Je ne peux faire mieux. Et puis, aller à Ste-Rose me casse en deux; mais quand il faut y aller, il faut y aller. Je me sens vraiment frappé. Un peu mal partout, je me sens pas tellement d’attaque. Donc la fin de semaine sera vendredi soir. Je ne sais pas trop comment je vais livrer ma journée, mais je me concentre présentement pour la traverser, en ayant l’impression que je vais devoir séparer les eaux du fleuve pour y arriver! Mais on s’en reparle!

Matin difficile

Un peu secoué ce matin, on dirait que j’ai plus de difficulté à surmonter mes émotions, toute cette énergie négative qui navigue autour de moi. Comme un train, fonçant avec beaucoup d’inertie, impossible d’arrêter cet océan d’émotions... Je me vois en train de lutter, de remonter à la surface pour prendre mon air. Je ne veux pas me laisser submerger pour de bon. Il semble bien que mon père sortira de l’hôpital aujourd’hui; cela inclut d’aller le reconduire à Ste-Rose, mais aussi d’aller passer la fin de semaine avec lui, histoire de lui faciliter la tâche. Il ne peut pas tellement forcer, se faire scier la cage thoracique n’est pas une petite chose! Il n’est pas le premier à subir ce genre de chirurgie, mais ça reste tout de même une grosse intervention! Je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai un écœurement profond de l’hiver; je commence à avoir des problèmes de toutes sortes, comme de concentration, des douleurs un peu partout et une tristesse bien ancrée. Je me sens un peu fripé, et surtout trop fatigué. Mais je pense que je vais passer au travers, comme j’ai toujours réussi à le faire. Ma journée est très remplie, je crois que ça me fera du bien. J’ai une douleur au pied droit, je me demande bien comment c’est arrivé. Hier soir, alors que j’étais à pharmacie, je me suis dit que c’était mes semelles, alors je m’en suis acheté d’autres, il reste à laisser le temps faire son oeuvre. On se reparle bientôt.

Allez on fonce!

Moins huit degrés ce matin. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai reçu mon compte de cellulaire hier! 700,58$. Ça, c’est innattendu! Et en vingt ans de téléphonie cellulaire, on peut dire que j’ai pogné quelque chose! Inutile de dire que j’ai appelé pour savoir ce qui s’était passé. Donc un de mes enfants avait dépassé les données. Donc rendu à cinquante dollars de frais, le compte est bloqué. Mais quelqu’un a débloqué le compte! Qui? Personne chez mon fournisseur n’a réussi à me dire c’est qui. Donc l’enquête est commencée. J’ai perdu du temps hier, en ligne pour tenter d’élucider ce mystère. À croire qu’avec une technologie numérique aussi avancée, personne ne peut me dire, à partir d’une adresse IP, qui ou quelle machine (ordinateur, téléphone ou tablette) a authorisé cette manoeuvre! Donc je dois continuer de perdre mon temps à chercher... Ça ne sert à rien de se choquer, mais je dois essayer de résoudre le plus possible ce problème. Franchement je n’ai pas le moyen de tolérer ce genre d’ingérence; et puis, à ce prix-là, c’est six mois de cellulaire à payer en un seul! Bref, ça me chicote. Mais la journée d’hier fut vraiment dure! En commençant par ma job sur la rive-sud. En arrivant chez le client, la cour n’était pas finie de gratter. J’ai dû attendre près d’une demi-heure! Par la suite, un employé, en «vidangeant» une roulotte, a détrempé mon matériel, rallongeant ma tâche d’une heure! Tout ce niaisage a fait que je n’ai plus eu de temps pour aller voir mon père... En passant, il va de mieux en mieux. Pas mal de pelletage en cours, je finirai peut-être tout ça aujourd’hui, mais je ne suis pas sûr du tout. Mon excellent déneigeur n’est pas repassé, l’entrée est pleine de la neige qui tombée du garage de toile! Et cette neige, lourde du temps plus doux, est très difficile à déplacer! Et puis je me sens fripé, mal à peu près partout. Je me dis que ça pourrait être vraiment pire. Donc il me reste à garder le focus sur ce que j’ai à faire. La semaine est encore jeune, je me dois de demeurer en grande forme, autant physiquement que mentalement! Alors on fonce!!

Retour à la réalité!

Le froid semble s’être éloigné un peu depuis samedi en après-midi. Ce matin, avec moins un degré, je crois constater que nous avons hérité d’un tout nouveau 30 centimètres de neige, et ça tombe toujours! Avec le changement d’heure, se lever ce matin relevait d’une volonté particulière! Et puis, quelle fin de semaine bien remplie. À commencer par le rétablissement de mon père, qui s’effectue à vitesse grand G! Vendredi soir, nous sommes allés voir «Captain Marvel» au cinéma! Ça, ça commence bien la fin de semaine! Ensuite, un souper samedi avec des amis qui étaient vraiment contents de nous voir! Dimanche matin, nous sommes allés donner nos condoléances à M. Richard, sa femme est décédée lundi dernier... Et nous avons commencé à écouter «Umbrella Academy». Mais le retour à la réalité ce matin est comme un peu une bonne claque au visage! Toute cette neige à pelleter! Le «congé» de pelletage que nous venions d’avoir aurait pu être plus long! Mais comme on n’y peut rien... Je me sens un peu raqué ce matin, le carnet de travail est plein. J’ai même un rendez-vous sur la rive-sud aujourd’hui. Ça va dépendre des routes. Je sais que certaines écoles sont fermées pour une fin de relâche, mais d’autres sont supposées d’être ouvertes, c’est ce qui peut changer la donne ce matin sur les routes. Pour le reste, on repart pour une autre semaine de travail. Je veux que ça «groove», les sous sont requis depuis trop longtemps! Bonne semaine!

On lâche pas!

Un autre matin à moins vingt degrés! Vraiment tanné de ce froid qui m’incombe depuis des mois. Mais nous sommes rendus à vendredi déjà, la semaine s’est sauvée en courant, me sommant de la rattraper! Ouf! Pas choqué, parce que le carnet de commandes est plein! Et je suis vraiment content! Ce matin, vers sept heures trente, mon père passe sous le bistouri, il était nerveux hier, quand je suis passé le voir. Encore en isolement, obligé de mettre une soutane jaune, un masque et des gants pour pouvoir lui parler! Mais après quinze jours à séjourner dans cet hôpital, admis d’urgence pour des pontages, il sera enfin opéré! J’ai hâte de le revoir. Encore un épisode de vie qui me rappelle que nous sommes uniques, sous ce dôme, complètement désarmés face à ce système communiste qui nous dicte comment vivre. Plus je vieillis, plus j’ai de la misère à m’endurcir; plus j’ai le goût de m’en aller, d’essayer quelque chose de nouveau. ALors que le reste du pays réclame la tête de leur PM, ici, les gens n’ont aucune idée de ce qui se passent, tellement que ça me fait pitié! Je n’arrive pas à comprendre ce phénomène. Pour ma part, je ne regrette pas mon vote au provincial, par contre, leur chef semble aussi solide qu’une crème de champignon sortie de sa cannne... Il semble oublier les gens qui ont voté pour lui. Il semble aussi avoir oublié ce qu’il avait dit pour se faire élire... DU pareil au même! Je ne me souviens pas d’avoir vécu une période de propérité, pendant laquelle je me suis senti fier d’être québécois! Bref, je suis moi-même, avec mes idées, je m’accroche un sourire et je le partage! Pour le reste, bien, je suis en mode production, me préparant pour une année record. J’entends bien réaliser mes objectifs et survivre à ma province encore un bout de temps. Je dois y aller, plus vite je commencerai, plus vite j’irai voir Captain Marvel!!!

La fin de semaine approche.

Incroyable comme la journée d’hier est devenue une sorte de course! Loin de me douter que les choses iraient aussi bien, le téléphone s’est fait aller pas mal et j’ai plein de nouvelles choses à faire! Cela m’enchante. Car ma douce sera absente pas mal dans les prochains jours et je vais me tenir occupé. Si le soleil avec un peu de chaleur peut venir nous aider aussi, ça serait merveilleux! Encore moins vingt et un ce matin, soleil qui se pointe. C’est sûr que je choisis le soleil avant les nuages, mais j’ai hâte qu’il fasse un peu plus chaud. On avance l’heure en fin de semaine, avec autant de neige, ça fait bizarre! Mais les journées vont nous paraître un peu plus longues. N’empêche que je suis un lève-tôt, et que j’ai toujours hâte de voir le jour se lever! J’ai aussi hâte de pédaler dehors, de sentir l’air autour de moi, un peu de liberté... Quel grand mot! Ma mère me disait toujours : «Ta liberté commence où celle d’un autre finit» Et c’est tellement vrai! Ce mot, une utopie en soi, signifie que c’est bon de se sentir un peu libre dans la jungle qui nous entoure. Car être heureux est une façon d’être libre; car ressentir une restriction, être gérer par des lois, avoir ce sentiment d’être observé, ça peut devenir très lourd! Mais avec un sourire au visage, la vie devient plus facile, plus agréable et les semaines de travail sont plus productives! Par contre, malgré nos sourires, avoir les poches vides finit par faire une pression quelque part. Ce n’est pas en donnant tout ce qu’on gagne au gouvernement et à ses différentes ramifications qu’on réussit à garder le sourire! Et il y a sûrement des journées qui sont plus dures, plus choquantes. Payer la retraite des autres, alors que je n’ai pas le moyen de m’en payer une, c’est un peu l’inverse d’être libre. Il y a toujours la possibilité de prendre des raccourcis, mais Big Brother et ses sympathisants surveillent en cachette. Ici, si tu fais de l’argent, les dirigeants veulent une cote! Exemple, quand nous faisons le concours d’achat local annuel, il faut demander un permis à la régie des courses et loteries, permis qui coûte dix pourcent du montant que nous faisons tirer. Nous ne faisons pas tirer de l’argent comptant, mais bien des chèques cadeaux échangeables chez les commerçants membres et participants au concours! Le gouvernement, lui, récolte des vrais sous! Peu importe de quelle façon vous respirez, le gouvernement veut le savoir et il veut une part de vos gains. En venant au monde, c’est un contrat signé à vie : un pourcentage de vos gains seront retenus d’une façon ou d’une autre...Dans certains films, ils appellent ça la Mafia...

Ras-le-bol!

Moins vingt degrés encore ce matin! Au moins je vois le banc de neige descendre... Hier je suis allé chez un client, ayant sciemment vérifié les heures d’ouvertures, mais c’était fermé! J’en ai profité pour aller voir mon père à l’hôpital. Quelle supercherie ce système! En plus d’un hôpital pas si propre, complètement dépassé technologiquement, ils ont mis mon père en isolement! Il était dans la chambre la plus petite depuis le 21 février, maintenant il est dans une plus grande, mais pas d’accès au toilettes à cause d’un début d’influenza! Pour aller le voir, il faut enfiler une «soutane» jaune jetable, un masque et des gants! Paraît qu’il est contagieux! Bin oui! Vu l’équilibre sanitaire de l’endroit, en quoi toutes ses précautions servent-elles? Il doit faire ses besoins dans une chaise d’aisance! Ça, c’est salubre! Je suis parti de là en beau sacrement! Et à mon retour, j’ai fait des recherches pour trouver une couleur de vinyle très précise. À force de recherche, je finis par trouver. Je me suis trompé d’un numéro dans ma commande... Ils vont m’envoyer la mauvaise couleur! Mon constat, heureusement que la journée avait une fin! Mais je suis allé me faire couper les cheveux à dix-huit heures, ça m’a fait du bien. Je dois rémédier à cela aujourd’hui. J’ai de la difficulté à rester seul ces jours-ci, comme si soudainement, je n’arrivais pas à me concentrer sur ce que j’ai à faire. Comme si ça m’intéressait moins. C’est sûr que je commence à trouver des arguments qui m’aide à voir les choses autrement, mais je suis le seul. Mon entrain manque de stimuli. Et quand je vois un gars qui se filme en appelant la reine, je me dis que mon argent continue de partir en fumée! On paye des gens pour perdre leur temps avec leur téléphone! Un véritable employeur n’engage pas ce genre de numéro! Bref je suis irrité et ça gâche mes journées! J’aimerais qu’il en soit autrement. Et comme je suis le seul maître à bord, à moi de trouver des solutions à ce problème. J’ai l’impression que ce sera l’accomplissement de ma vie, trouver des solutions, faire en sorte que ma vie soit belle, peu importe le contexte! Mais j’en ai plein mon cass de tout! L’hiver interminable coûte trop cher; le prix de l’essence est trop élevé; le système de santé que nous payons au prix de celui d’une royauté est un échec complet; la gestion de l’offre n’est rien de moins qu’un cartel à découvert; notre PM est un clown pas drôle; tous ceux qui nous cassent les oreilles avec l’environnement devraient se regarder dans un miroir avant de s’ouvrir la trappe; les taxes à la consommation ne sont rien d’autre que du financement usuraire pour les élus; je vais arrêter là, j’en aurais encore pour au moins une demi-journée! Bonne journée!

On recommence

DOnc il m’a fallu faire quelques modifications à la configuration de mon blog. Comme tout le compte était fusionné avec Google +, et que ce dernier termine ses opérations en avril, j’ai dû me déconnecter de cette entité, rejoindre Blogger et me fusionner avec mon compte Google. Que des technicalités, mais aussi de la sécurité. J’ai déjà perdu mon blog au grand complet en 2007. Déjà? Et je peux vous dire que ce n’est pas drôle! Mais là, c’est fait, je suis en train d’écrire, ça me rend heureux et c’est ce qui compte le plus pour le moment! Difficile journée hier, alors que même la musique ne réussissait pas à me rendre heureux. Et le fait que l’opération de mon père fut encore remise n’a pas aidé! Il est inquiet, impatient de nature, et vraiment écoeuré de ne rien faire! Je le comprends, pour être son fils et avoir beaucoup de traits qui lui ressemblent! Donc je me prépare à être plus «zen» aujourd’hui et aussi plus productif! Y a rien comme travailler pour se remettre sur le droit chemin! Payer quelqu’un à ne rien faire et vous le gaspillerez! Des exemples, il y en a à la tonne! En commençant par le trou d’eau! Ma caricature de vendredi passé illustre bien ce qui se passe en ce moment. Inutile d’en parler plus, anyway, sous le dôme, les médias passent l’éponge pour continuer de s’acharner sur le président des voisins du sud! S’occuper des brebis égarées, comme le ferait une secte! Dépeindre un passé «catholique» comme une période soumise, mais récupérer la sympathie des gens en leur faisant la même chose! Dommage. Je sais qu’il n’y pas de véritable paix possible, mais il devrait avoir une véritable égalité. Et ça, c’est possible. Pas en nivelant par le bas, ni en se basant sur de l’ancienneté. Tout simplement en se respectant les uns les autres! Le respect, où est-il rendu? Société chacun pour soi, où tout le monde se fout des autres! Des paroles en l’air pour bien paraître, comme tout le reste! Et c’est celui qui coure le plus vite, avec les plus beaux vêtements, les plus beaux tatous et la plus belle voiture! Où il y a des hommes, il y a de l’hommerie! Il y a sûrement moyen de faire plus simple! On se reparle de tout ça un peu plus tard.

Lundi matin.

Une autre fin de semaine qui a passé trop vite. Mais du temps doux, ça aide à faire passer l’indigestion de blanc! Encore quelques centimètres sont tombés, mais rien d’alarmant. Samedi j’en ai profité pour souffler ce qui restait dans les jambes après que nous eûmes fini de vider la toiture. Et puis, deux soirs de file avec de la boisson, c’est rendu trop! Et puis, en ce lundi où mon père sera opéré, je me demande si c’est une bonne idée de travailler. C’est sûr, j’en ai pas mal à faire, mais aussi, beaucoup à réfléchir. D’ailleurs je réfléchis beaucoup ces jours-ci et c’est aussi fatiguant que de faire les foins! D’accord c’est moins dur un peu physiquement, mais quand le cerveau n’arrête pas, ça finit par se sentir quelque part. Et puis je suis inquiet par rapport à ce qui s’en vient économiquement. Avec les récents événements et les inactions du nouveau parti provincial, y a de quoi se poser de sérieuses questions! Donc rester concentré. Je manque d’entrain, on dirait que je suis un peu engourdi! J’espère que je vais revenir en force bientôt. COmme je me prépare mentalement à un. Retour aux études, je me prépare aussi à être un peu mou financièrement. Mais je cherche des solutions à tout ça. Des solutions concrètes, constructives. Les enfants me découragent tellement, j’ai peine à relaxer. Être en amoureux est merveilleux, à condition de ne pas s’inquiéter... À voir. Moins six degrés, nous retournons vers trois jours de congélation, j’ai vraiment hâte que ça finisse! Oui c’est spectaculaire de voir de si gros banc de neige, et il y a un challenge pour savoir où mettre la neige, mais trop, ça finit toujours par être trop. Bonne semaine!

Ça passe vite.

Ouf! La journée d’hier fut plus dure que prévue! Mais j’ai atteint mes objectifs et ça, c’est important! Encore un matin à moins vingt, vous me direz que c’est normal en février? Mais nous sommes le premier jour de mars... Et puis ça commence à être très lourd un hiver qui a débuté le 10 novembre. Sans parler des températures froides! Je suis content d’être rendu au vendredi! La magie des vendredis, avec cette énergie souriante qui propulse souvent des résultats étonnants! Alors on s’amuse. On sourit, car certaines choses sont très dures à avaler, comme un autre augmentation du prix de l’essence à la pompe... Le scandale entourant notre PM qui tente de faire distraction en parlant de visite sur la lune... Donc il faut trouver le bonheur dans nos cœurs! Et comme la vie c’est bien fait, il est important de se sentir bien. Bien dans sa tête, mais aussi bien dans son corps! Ne pas avoir peur de sortir malgré le froid, malgré qu’il devient de plus en plus difficile de prendre une marche sans faire de détour ou encore de passer par dessus des tas de neige! Mais moi je suis content de mon déneigeur, il fait un travail en or pour ce que ça me coûte par année. Je cherche d’ailleurs comment le remercier pour son sourire et sa patience. Je recherche une nouvelle façon de façonner ma vie, de la rendre plus simple. En vendant notre site de camping, c’est déjà ça. Mais reste à savoir quel sorte de printemps nous aurons, car j’aimerais bien avoir le temps d’installer les lieux, de les voir encore un peu. Ensuite on coupe les ponts! Et je cherche toujours une façon d’insuffler un peu rigueur à mes enfants. Difficile de leur parler, ils préfèrent leur vie numérique! Le problème, c’est quand ils doivent en sortir pour accomplir leur vie. Toujours à l’écoute, je prends des notes, j’apprends et je suis de près ce phénomène pour le moins inquiétant. Mais j’insiste pour sourire un peu, car nous sommes vendredi, le premier jour de mars, et ça, c’est extraordinaire! À plus!