Halloween

Jeudi matin pluvieux! C’est l’Halloween! Difficile de se mettre un sourire avec de pareilles conditions! Pourtant, n’ayant d’autre choix que de continuer, nous avons appris à passer au travers de tout, malgré les conséquences! Aujourd’hui les choses sont différentes, notre société a évolué, il y a eu plein d’études! Plein de changements, mais est-ce pour le mieux? Dans certains cas, oui. Dans d’autres, non. Exemple un; la maladie que j’ai eu au genou, n’avait pas vraiment de traitement autre que des injections à la cortisone pour atténuer la douleur et certains symptômes. Aujourd’hui, cette maladie se guérit sur une période de 16 à 18 mois! Imaginez, j’ai souffert de l’âge de onze ans jusqu’à l’âge de vingt-cinq ans! Incroyable! Exemple deux. Quand nous avions une engueulade entre voisins ou encore un face à face un peu violent, souvent, ça arrangeait les choses! Aujourd’hui il faut être prudent sur la façon dont on respire près des autres, car il y a le tribunal des réseaux sociaux, qui peut démolir votre vie en une demi journée! Et je pourrais continuer avec mes exemples toute la journée. Mais je veux seulement vous dire que ce que nos enfants vivent, c’est à des années lumières de ce que nous avons vécu, nous, les «X». Et à plusieurs galaxies de ce que nos parents, les boomers, ont vécu. La circonstance atténuante du «pas le choix» ne compte plus! Car notre société est devenue très aseptisée et permissive! Hier soir, avec mon dernier, nous avons vidé la citrouille, nous l’avons sculptée. La magie fonctionne encore. Pour le reste, pas de décos cette année, je n’ai pas les idées assez claires pour me rendre jusque là. Trop de soucis, toujours en quête de bonheur, oui, oui, celui au fond de moi. Mais la conversation que j’ai eu avec ma Bibi, sur la supposition que nous gagnerions à la loterie 1000$ par semaine. Qu’est-ce que je changerais? Pas grand chose. Et j’ai dit, je suis presque 100% heureux! Oui! Avoir plus d’argent enlèverait des soucis, mais ne changerait rien pour mes enfants. Nous pourrions rénover la maison plus vite. Mais le bonheur, lui, resterait là, au fond de nous! Et comme je me répète souvent, ce que je vis depuis des années, c’est du bonus. Reste juste à être heureux!

Déjà mercredi.

Un autre doux matin en vélo! Neuf degrés, un sol tout mouillé, mais pas de froid pour vous faire sentir tout engourdi! Je regardais mon compteur hier, je les ai atteints les 2500 kilomètres! Y a de quoi être fier! On fêtera ça vendredi, après que je sois allé aider mon père dans son déménagement. Mais je ne me sens pas en super forme ce matin, pas beaucoup d’énergie, pas encore de sourire. Mais je crois que ça va passer, comme chaque jour qu’il m’est donné de vivre. C’est toujours plus long quand ma Bibi n’est pas là, même si ce n’est que trois jours. Hier soir, Cameron était avec des amis pour le souper, mais j’ai eu de la visite, Maïté est venue manger avec moi. Et nous sommes allés prendre une marche. Il faisait douze degrés, il faisait bon d’être dehors. Ensuite je suis allé la porter avec le Cabriolet, histoire de le faire tourner un peu. Il prend ses vacances dès demain soir. Il est amusant de constater à quel point les jeunes ne sont pas renseignés. Quand Maïté m’a demandé pourquoi le lait était si cher, je lui ai expliqué que c’était seulement au Quebec que le prix était aussi haut. Elle est allée faire des recherches pour constater que non seulement c’était vrai, mais que bien d’autres choses étaient aussi trop cher. Notre discussion fut intéressante. Une fois seul à la maison, j’ai fait la vaisselle, en me disant que ce n’était pas si mal. Ensuite je me suis permis un petit film, très léger, pour me détendre un brin. Puis Cameron m’a encore fait le coup des autobus, il est rentré vers 22:30. Je ne sais plus comment lui parler; on dirait qu’il n’apprend pas, qu’une ligne de conduite ou une sorte de routine ne l’intéresse vraiment pas. C’est dur sur les parents... Une autre journée grise s’amorce, je vais aller sur la Rive-Sud pour terminer un contrat, histoire de me faire payer. Ensuite je reviendrai au bercail, avancer l’hivernisation. JOanne revient ce soir, ça va mettre su soleil dans ma journée! On se reparle.

Une moufette...

Ouf! Que d’émotions ce matin, alors qu’une moufette a tenté de faire son entrée avec moi dans le cabanon! Huit degrés, je sors pour prendre mon vélo en me disant que ce sera merveilleux! Mais en ouvrant la porte du cabanon, j’entends des craquements dans les feuilles mouillées... En regardant du coin de l’œil, noir et blanc, c’est le nouveau chat qui rôde ces jours-ci. Mais une fois à l’intérieur du cabanon, ce «chat» est malheureusement une moufette! Et elle grimpe avec ses pattes d’en avant pour venir vers moi. Impossible de fermer la porte, puisqu’elle ouvre de l’extérieur! Prisonnier, je saisis le rouleau (gros) de la toile du garage mono pente et je le laisse tomber dessus! Elle est partie sur le champ! Par contre, l’odeur.... J’ai fléchi les genoux, me disant que je devais absolument sortir de là. Je me ressaisis, eurk, ça goûte! J’agrippe mon vélo et je sors doucement. Rien en vue, mais quelle odeur... J’ai refermé la porte du cabanon, bien regardé autour de moi, et j’ai enfourché mon vélo! À part que le sol était encore mouillé, quel beau moment! À mon retour, l’odeur était toujours présente, et comme il fait vraiment noir, j’ai préféré rentrer mon vélo dans le garage. Isshh! Quelle aventure désagréable! Je vais devoir aller voir aujourd’hui, en clarté, si tout va bien dans le cabanon, m’assurer que rien n’a été «arrosé»... Pour le reste, ma journée d’hier s’est bien passée. Je suis allé porter ma douce chez Discount, je suis revenu travailler. Mon dîner avec Gabriel fut un moment merveilleux. Et j’ai passé un bel après-midi. Petite soirée tranquille, couché pas trop tard. En forme ce matin, j’ai un CA tantôt. Ensuite je ne dois pas oublier d’aller à la pharmacie chercher mon concerta. Client à treize heures et rendez-vous chez Nissan à quinze heures trente pour l’antirouille de mon camion. Juste à temps, avant l’arrivée du manteau blanc! Bonne journée!

Une nouvelle semaine.

Lundi matin, il fait quatre degrés! Petite pluie et des rues très détrempées! On peut en dire autant de mon derrière! Une fin de semaine encore une fois très occupée, mais plus tranquille que les trois dernières! J’ai adoré mon vendredi soir, alors que je suis allé discuter avec mon ami Laurent. Parler de vélo, de chars et de nos enfants, ça finit bien la semaine. Puis notre samedi, pas tellement chaud, mais pour une troisième fois, nous avons ramassé toutes les feuilles! Incroyable qu’il y en avait encore autant. Il va rester à mettre les toiles sur les garages. Aussi les pneus d’hiver, mais ce n’est qu’une question de jours. L’an dernier, le manteau blanc s’est installé le 10 novembre, et il n’est jamais reparti. Il nous a quitté à la fin d’avril! Un mois de manteau de trop dans un hiver, c’est vraiment chiant. Donc les pneus d’hiver, ce sera aussitôt que j’ai le temps, il en est de même pour les toiles sur les garages. Pas toujours évident, surtout que ma douce épouse part pour trois jours dès ce matin. On verra bien. Hier matin, je suis allé au camping pour chercher la batterie, mettre une protection sur l’unité d’air climatisé et ramener mes outils. Et j’ai vérifié les freins sur l’auto de Mamour; ceux d’en arrière sont à faire. Je n’arrive pas à comprendre ce qui a bien pu se passer, l’usure est tellement prononcée, on dirait que l’auto a le double de kilométrage! Mais bon. Vicky est venue faire un tour. Nous sommes allés faire des commissions, et nous avons réussi à relaxer un peu, après notre souper familial aux pizzas maison! Et ce matin, une autre semaine s’offre à nous, c’est Halloween jeudi et mon père déménage vendredi le 1er novembre. Ça va passer vite!

Claqué!

Quand tu te rends compte que c’est vendredi, que tu es claqué de ta semaine, et que tu cherches pourquoi... Mais je n’ai pas à chercher très loin. Mais je pense que nos jeunes sont très «frileux» devant des responsabilités. Ils vont bien jusqu’à ce qu’ils doivent rendre des comptes. Ou qu’ils doivent avoir des responsabilités, qu’on doit pouvoir se fier sur eux. À partir de là, les choses se corsent. Si l’exemple des parents peut servir, je crois que nous ne sommes pas tellement démonstratifs! Pourtant le simple fait d’être parent vient avec une tonne de responsabilités! Et nos enfants se fient sur nous. Mais ils se fient aussi sur leur conseiller numérique, toujours dans leurs mains! Impossible à gérer, impossible de revenir en arrière, c’est un fait accompli. Maintenant il faut trouver des solutions! Réussir à les sortir de leur monde virtuel. Vivre en société, c’est encore côtoyer des gens; c’est démontrer un peu de nous devant tout le monde. Pourtant je n’arrive pas à comprendre ce fait, mon plus jeune adore faire son numéro devant tout le monde, mais pour des raisons qui m’échappent, il n’arrive pas à «étendre» cette qualité lorsqu’il travaille. Il angoisse, il paranoye au fond, comme si les monstres sous son lit le suivaient un peu partout. Pourtant les «monstres» du garde-robe et \ ou ceux dessous le lit, nous quittent toujours à un moment donné. C’est comme ça. Comme le Père Noël, ils «nourrissent» notre cœur d’enfant pendant un bon moment, puis, à force de se forger une personnalité, ces «personnages» disparaissent pour laisser place à la vie d’adulte. Oh je sais que c’est malheureux, moi-même je m’ennuie de ces «intervenants»; la vie était tellement plus facile dans ce temps-là! Mais je m’ennuie aussi de mes enfants, alors qu’ils voulaient nous faire plaisir, faire comme nous. Et je n’arrive pas à faire lumière au travers du brouillard qui ralentit leurs vies. D’ailleurs ce brouillard ralentit aussi la mienne... Mais nous sommes vendredi, personne ne peut rien changé à ça! Et en vélo ce matin, la quiétude me guidait doucement vers une autre journée d’automne. Le toit des voitures était couvert de givre, mais rien n’aurait pu éteindre la lueur d’espoir qui scintillait en moi. Je ne sais pas pour vous, mais moi je vais fermer mon bureau le plus tôt possible et me reposer un peu. Les trois dernières fins de semaines furent tellement bien remplies, j’ai besoin d’une pause. Bien sûr, il me faudrait une pause de quelques semaines, mais je n’ai que deux jours, alors je vais me contenter de ça. Bon vendredi!

Résilience...

La journée commence toujours mieux avec une belle promenade en vélo! Huit degrés ce matin, alors que, quand je me suis couché, il faisait six degrés! Rien à dire, sinon que c’était très confortable! Une fois en route, l’effet de noirceur s’estompe pour devenir un sentiment de paix, de résilience doux. Contrairement aux matins d’hiver, pédalant à l’intérieur, souvent j’en profite pour y passer un peu de rage, de hargne! Mais tout ça m’aide à trouver mon bonheur, le mien! À vous aussi de trouver le vôtre! Il est là, sous vos yeux. Un peu de lâcher prise, de résilience, et vous y voilà! À prendre ou à laisser, mais c’est un choix. Je dis ça comme un champion, un fatiguant de conférencier très optimiste, mais pour vrai, il y a des jours où ça ne me le tente pas du tout! Mais alors pas du tout. Mais je me parle, je m’amuse à sourire, à chercher des solutions pour arriver à être heureux malgré tout! Mais je dois avouer que de subir les contrecoups du trou d’eau, les soubresauts du Maîîttrrre, et la déception des provinciaux, c’est pas mal d’eau brouille dans une journée où l’objectif, à part le bonheur, c’est de faire de l’argent! Alors je vous le demande, comment faire? Je suis en éternelle réflexion, analysant tout ce que je fais, ma façon de faire, ma façon de parler, de penser; mais je n’ ai pas encore trouver. Pis des fois, je laisse couler. Je ne fais qu’abattre le boulot, sans demander mes restes. Puis je reprends conscience, comme quand on «dégrise» d’une bonne brosse. Mais je continue de tourner en rond. Une chose, par contre, je me sens moi-même, avec tout le monde. Lorsque j’ai l’impression que je dois «changer» pour être présent, alors je m’en vais, je cède ma place. Je vous jure que c’est des années de pratique pour arriver à être bien avec soi-même. Et quand vos propres enfants vous indisposent, alors ça devient embêtant et très difficile à gérer. Et puis, un jour, le calme reviendra, et j’espère que j’aurai eu le temps d’accomplir encore un tas de bonnes choses.

Une autre journée grise.

Un peu moins triste qu’hier, je commence ma journée avec un demi sourire. Je me demande si je suis bien au bon endroit. Mais quand je regarde dehors, je me dis que tout est normal. Il fait sept degrés, une pluie abondante, de quoi raviver de vieilles cafetières! Je me dis que ce sera une autre journée extraordinaire dans laquelle je ferai mon possible. Loin de m’avouer vaincu par les circonstances, je m’affaire à rester «connecté» sur mes objectifs. Et je me demande si je peux continuer à faire ce que j’aime encore longtemps. Car les récentes journées m’ont démontré encore une fois que tout est possible, mais aussi que toute chose a son contraire! Une question d’équilibre vous me direz, mais aussi une façon réaliste de voir les choses un peu moins négativement. Ça dormait bien avec le son de la pluie et, il aurait été facile de se recoucher un peu. Mais les responsabilités m’appelaient, comme chaque jour qu’il m’est donné de vivre. Et comme la vie, ça passe vite, pas de temps à perdre avec des défaites ou des raisons! On avance du mieux qu’on peut. Le reste suivra son cour. Mais quand un de tes enfants dérape, perd ses repères, et en veut à sa vie, on dirait que ton coeur de parent prend les commandes. La logique et l'intelligence fléchissent devant l'urgence en cours. Et que faire? Rencontrer différents intervenants, remplir des formulaires, regarder son enfant engouffrer des pilules? Pour vrai, que puis-je faire? Je n'ose pas tellement sortir de la maison, je suis inquiet en tout temps. Il y a comme une épée de Damoclès au dessus de nos têtes, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Malgré d'excellents stabilisateurs installés avec des années d'expérience, la panique veut s'installer. Conserver un sourire, faire des journées productives, il semble que ça donnerait un break dans une semaine! Au lieu de créer chaque jour un bonheur nouveau, une joie sans attente, une zone de vie à l'intérieur de la vie de tous les jours! Alors on s’en reparle un peu plus tard.

Pas beaucoup d’entrain

C’est avec beaucoup de peine que je commence ma journée. Il fait un beau sept degrés, très confortable en vélo. Mais depuis hier matin, la vie ne goûte pas la même chose. Mon fils est parti travailler hier, je lui ai préparé son lunch. Il m’a dit qu’il commençait à neuf heures. Je lui ai offert d’aller le porter. Il m’a dit que ça irait. Mais il est parti pour l’hôpital... À son retour, hier, il ne m’a pas parler. Il ne m’a pas regardé... Ce matin je dois voir à son bien-être, vérifier s’il va travailler. Il a dit à sa mère qu’il avait peur de mes réactions, qu’il ne voulait pas me décevoir. Je ne comprends vraiment pas ce qui se passe. Je suis inquiet, ça c’est sûr! Pour le reste, je ne sais pas. Mais rien de tout ça ne me donne le goût de continuer... Au diable le bloc de ciment, rien ne changera donc jamais ici? Vieille mentalité, vieilles idées. Le travail d’équipe, c’est pour les autres! J’ai tellement de «mal» dans mon cœur, les résultats peuvent attendre. De toute façon, il semble que nous soyons pris au statu quo. J’aimerais vraiment faire quelque chose, aider mon enfant, lui donner quelque chose pour garder la flamme allumée en lui. Mais il semble que je n’ai pas ce qu’il faut. Et maintenant, je dois travailler, faire en sorte de voir le beau dans ma journée. Chaque moment est important. Profiter du beau temps au maximum, ça achève. Mais présentement, je manque d’entrain, l’énergie positive, on dirait que je la repousse... Et puis, je suis tanné de pleurer, fatigué de ce parcours. Voir ma Bibi démolie par les événements n’arrange en rien les choses. Je vais aller me laver, des fois que l’eau me ferait du bien. À plus.

On repart.

Bon matin! Il fait un degré, ce fut un merveilleux moment en vélo, alors que mes jambes voulaient enfin donner leur 100%. Après trois semaines vraiment dures, ça m’a rendu heureux. Et puis, c’est aujourd’hui jour d’élections. Enfin les pubs vont cesser, les publi-reportages qui parlent contre les autres, etc. Et nous saurons peut-être qui «cachera» les vrais dirigeants de notre pays. Je dis ça comme ça, parce que c’est évident qu’il y a trop de cachettes, que nous ne savons rien du tout! Qu’arrive-t-il avec notre argent? Mais parlons plutôt de ma fin de semaine. Samedi nous sommes allés «hiverniser» la roulotte et ce fut tout un soulagement. Enfin c’est fait. Quand l’eau est gelée, il commence à être trop tard. Et nous avions un souper de prévu depuis longtemps, chez Donald et Karine. Ce fut une super soirée, comme il y a longtemps; toute simple, avec des gens qui n’étaient pas là pour regarder ce que je porte ou encore porter un jugement sur ce que je dis. Mais aussi des gens éprouvés par leur contexte familial. Autisme, cancer, etc. Et nous avons pris une marche, tout en continuant de jaser. Il faisait froid, mais dans nos cœurs, il faisait beau et chaud. Nous sommes rentrés vers une heure du matin. Chose peu commune depuis des années. Et puis hier, nous avons ramassé des feuilles, pour la deuxième fois depuis le début du mois. J’ai même sorti le «souffleur à feuilles» pour faire une plus grosse «clean». Ensuite je me suis attaqué à mon nouveau garage. Quelle autre façon de faire! Dans les instructions, il est mentionné que ça prend une heure à monter, à deux. Je peux vous affirmer qu’après deux heures, seul, il me reste encore la toile à mettre... Au moins je sais que je me suis avancé quand même. Difficile de faire mieux, de faire plus. Aujourd’hui sera une journée de repos, si possible, mes mains font mal et je me sens un peu mou. Et hier soir, nous étions toute la petite famille réunie devant un souper sushis pour souligner les vingt ans de notre fille Vicky. Un moment très rare, pendant lequel nous avons oublié de prendre des photos. Mais tout le monde était heureux, et ça, c’est gravé dans mon cœur. Bonne semaine!

Toujours la même chose.

Bon matin! Cinq degrés ce matin, encore un peu de ce vent qui nous a secoué toute la journée d’hier. Très sombre aussi, vu le couvert de nuages. Beaucoup de feuilles incitant à la prudence en vélo. Tout est mouillé, on se croirait le lendemain d’un raz de marée! La journée d’hier fut froide, pluvieuse et tellement venteuse.. Beaucoup de trucs sont partis en volant! Ce vent me rappelait celui du sept novembre 2018. Et nous sommes enfin vendredi. Vais-je réussir à me reposer un peu? Ça fait deux fins de semaine que je n’y arrive pas tellement, parce que trop occupé. En tous cas, ce matin, je me sens vraiment au bout du rouleau; les rares fois où ça m’arrive, ça finit par passer pendant la journée. À un moment donné, je me sens mieux. Je dois vous raconter qu’hier, je suis allé passer une radiographie de mon genou à problème. Sans rendez-vous avec prescription, je suis parti de la maison, je me suis rendu à la clinique, j’ai passé la radio, et je suis revenu à la maison; une demi-heure en tout! Ça c’est du service! Et je n’ai pas sorti un sou. Et j’avais en ma possession un CD des images de mon genou! Et j’ai été accueilli avec un sourire, servi avec un sourire! Donc j’ai eu une preuve qu’il y a vraiment un problème dans notre système. Pourquoi chaque étage de chaque hôpital ne peut être en réseau avec les autres étages? Pourquoi est-ce que les hôpitaux ne peuvent être en réseau entre elles? Pourquoi est-ce si dur d’avoir un médecin de famille? Pourquoi est-ce si long pour obtenir certains rendez-vous? Que se passe-t-il dans cette province au climat de marde? Pourquoi le prix de l’essence monte chaque nuit au EKO à côté de chez nous? Pourquoi les formats de ce que nous achetons diminuent, mais que les prix, eux, ne diminuent pas? Pourquoi est-ce si long, les travaux sur Henri IV? Questions sans réponse avec LADO delà! Pourquoi les gens parlent encore du bloc de ciment? Pourquoi est-ce que c’est le trou d’eau qui est encore premier ministre du pays? Pour qui est-ce que c’est payant de délirer sur le climat? Qui va expulser le Maîîttrrre hors la ville?Amusant d’écrire toutes ces questions, j’aimerais entendre les réponses de certaines gens à leurs sujets.  Mais le plus triste, c’est qu’après avoir rit un bon coup, rien n’est changé... C’est ça la tragédie! Mais il y a sûrement pire en ce moment dans le monde, alors consolons-nous avec des petits bonheurs qui se trouvent près de nous. SI je m’arrête trop longtemps pour penser à tout ça, je suis bon pour une grosse thérapie. Alors on démarre la génératrice de sourires et on débute la journée! Bon vendredi!

Sous la pluie.

Six degrés ce matin, avec une pluie torrentielle. Je dois dire que je suis resté à l’intérieur pour pédaler. Je me souviens être aller l’an dernier avec la même température et ça m’a donné les hémorroïdes! Alors on apprend et on s’adapte! C’est l’anniversaire de ma fille aujourd’hui, elle a vingt ans! Pour la première fois, elle n’est pas à la maison pour qu’on puisse la réveiller, voir son sourire, ses jolis yeux! Elle vit maintenant en appartement. Difficile de s’en remettre quand ça arrive soudainement, comme ça. Pas de planification, pas d’argent, avec un nouveau chum. Et puis quel délire ce fut lorsqu’elle a décidé de partir... Mais rien ne sert de brasser tous ces souvenirs, car ils ne sont pas très heureux. Mais il semble qu’on commence à s’en remettre, qu’on y voit plus clair. Il y a un an, aussi, je me blessais au genou gauche. Depuis ce temps, rien ne fut plus jamais pareil. Plus dur dans les escaliers, plus dur pour prendre une marche, les torsions sont à éviter, et les ascensions dans des échelles ou encore des échafaudages sont plus à risques et je dois me surveiller constamment. Voilà. En attente d’une résonance magnétique, je m’endure pas si pire. Pour le reste, quelle pluie actuellement, c’est ce qui est annoncé pour la journée! Il fait encore noir dehors, impossible de voir l’autre côté de la rue, mais le son de la pluie sur notre toiture en tôle, ça ne trompe pas! Il en est de même pour mon camion. Quand il pleut averse, le bruit de la pluie enterre la musique et si j’ai un appel, il est difficile d’avoir une conversation. Bref, ça ressemble à une journée café! Il y a bien pire, alors on se met un sourire et on passe une belle journée! À plus!

Pas facile...

Trois degrés ce matin, nuageux; même si c’est difficile à dire tellement il fait noir. Agréable encore une fois en vélo. Ma Bibi partait très tôt ce matin, 5:45. Une clinique à Val-Bélair. J’ai terminé l’enveloppement du véhicule hier soir, et je suis très content du résultat. On ne peut en dire autant du nouveau système d’exploitation de Apple, Catalina. Ce nouveau système met de côté toutes les applications 32 bits. Donc si vous avez une license Office plus vieille, il vous faudra en acheter une nouvelle ou vous convertir à Office 365. Et vos applications de travail native 32 bits, si vous travaillez avec votre machine, ne fonctionneront plus! On dirait une dictature! Je travaille sur Apple depuis 1998. J’en ai vu des aberrations de ce genre avec le grand visionnaire Steve Jobs. Mais celle-ci semble vraiment gratuite, alors que nous sommes dans une ère de changements, d’adaptation de toutes sortes. Je me souviens que la plus récente «connerie» fut l’app pour les courriels, appelée «MAIL», qui a cessé de fonctionner d’une façon vraiment étrange. En ligne avec Apple, avec un adviser californien, incapable de réussir à connecter mon compte courriel avec l’application. Personne ne sait pourquoi, personne n’a de réponse. J’ai dû m’adapter tranquillement, en mettant mes courriels en ligne. Aujourd’hui je suis très content d’avoir fait ce changement, mais j’aimais la flexibilité de l’application d’Apple, fiable et facile à utiliser. Mais pour des raisons obscures, mon compte Google mail ne peut plus se connecter avec «Mail», ni avec L’application native de Apple, «calendar». On s’en va vers quoi? Mise à part une certaines convivialité avec les logiciels d’Adobe, je commence à trouver ça cher de travailler avec Apple, si je n’ai aucun bénéfice autre. Si je suis capable de tout faire sur d’autres plate-forme! Je me souviens aussi d’une mise à jour du système, celle qui m’avait privé de mon accès avec mon NAS. Incapable de me connecter à mes fichiers clients, le protocole avait changé. Maintenant il faut se connecter à chaque session, manuellement, sinon, ça ne marche pas. Et j’en ai encore, de ces épisodes douteux, pendant lesquels j’ai capoté solide! Il faudrait que les développeurs s’enlignent sur leurs utilisateurs... Bref, je ne mettrai pas mon iMac à jour avant un bon bout de temps, histoire de trouver des solutions fonctionnelles. On s’en reparle!

Beaucoup de choses à dire!

Bon matin! Deux degrés en vélo, c’est ce qu’on appelle la fin. Non pas que je termine cette semaine le vélo extérieur, mais il m’en reste moins à faire dehors que j’en ai fait cette saison. L’an dernier, ma dernière sortie fut le sept novembre, alors qu’il faisait six degrés. Pourtant, il avait neigé un peu dans l’après-midi; et nous avions eu un automne très froid. Mon rhume des deux dernières semaines m’a un peu assomé et j’avoue que ça ne me donne pas tellement de courage! Mais bon, je vais plus doucement, à parcours réduit. Plus de côtes, mais moins de distance, histoire d’avoir un peu plus chaud! Mais je dois dire que les moufles que j’ai ajoutées à mes poignées font toute un différence! Sans gants ce matin, et c’était confortable! Voilà ce qu’il faut, un bon équipement, bien adapté à la température! Ce qui devrait être semblable pour la vie de tous les jours! Et non un délire sur le climat! Depuis des années, nous pouvons dire que nous avons un climat tempéré. Après avoir appris ce grand mot, je me suis toujours demandé ce que ça voulait dire vraiment. Après plusieurs années, j’ai compris que ça voulait ne voulait rien dire, car personne ne peut prédire avec exactitude le temps qu’il fera, ici, dans le pays de la grande illusion. On dirait que les paramètres de mon clavier sont changés, je vais devoir réviser ça. Sûrement que la mise à jour n’a pas respecté mes paramètres personnels. Il semble y avoir de belles nouveautés pour communiquer, mais plus des bébelles que de vrais utilitaires. Tout est une question d’interprétation vous me direz, mais je crois aussi que pour travailler, la simplicité est plus avantageuse. Et pour parler un peu de la campagne, je dois dire que celle qui se termine la semaine prochaine est très ennuyante et je suis déçu de ce que les partis font. Ils parlent tous les uns contre les autres, au lieu de nous parler de ce qu’ils sont prêts à faire pour nous aider! J’en ai rien à foutre d’une nouvelle taxe sur «le climato-carbone-eco-anxieux», ni d’un lourd structurant dont personne ne veut. Je veux me sentir à l’aise à la fin d’un trimestre, je veux arrêter de m’inquiéter de l’avenir de mes enfants. J’aimerais qu’il me reste un peu d’argent dans les poches à la fin de l’année. J’aimerais arrêter de sentir que je me fais avoir partout ou je dois payer pour quelque chose! J’aimerais me sentir en confiance quand je dois utiliser le système de santé. Je voudrais avoir moins de formulaires à remplir pour obtenir quelque aide que ce soit. Quand je demande à mon voisin de venir m’aider, est-ce que je dois remplir un formulaire? Je m’emporte, je devrais plutôt être très content de la fin de semaine que ma douce et moi avons accomplie. Les préparatifs pour la saison froide vont bon train; j’espère quand même que nous aurons une aventure hivernale moins contraignante que l’an dernier. Tout reste à voir. On se reparle!

Une petite pause.

Dimanche matin! Il fait neuf degrés, très gris dans le ciel. Hier nous sommes allés chez mon père pour faire du ménage pré-déménagement. Installation des pneus d’hiver sur son auto, et aussi ceux de l’auto à Nicole. J’ai fait le changement d’huile sur l’auto à Nicole. Inspection des freins. J’ai démonté les trois «air climatisé» en place et remis les vitres dans les chassis. Nous avons installé des tables pour faire un sorte de présentoir pour vendre tous les articles qui sont en surplus. Mon père semble un peu dépassé, mais je crois que ce sera pour le mieux. Il y aura un temps d’adaptation. Le sortir trop vite de toutes ses responsabilités, je crois que ce serait trop dur pour lui. Il reste à régler le dossier de son chat. Mais j’ai bien aimé ma journée, même si un peu dur physiquement. Heureusement que je suis en forme, que je n’exagère pas trop sur la boisson, les journées seraient plus longue et je me sentirais beaucoup plus vieux. Aujourd’hui, nous allons au camping, commencer à fermer tout ça. Je ne sais pas à quelle heure, mon épouse étant alitée de ce rhume qui m’a «démoli» la semaine dernière, et aussi pendant l’autre. Quel merdier. Mais aussi, formation d’anticorps avant l’arrivée de la saison froide. Je suis content d’être aller voter, comme ça, je me sens moins préoccupé par la campagne et tous ses «soubresauts» complètement farfelus. En d’autres mots, quand même que je m’en ferais ou que je ferais de l’angoisse, mon vote est donné , je ne peux plus rien changé du tout! Comme si mon vote allait changer quoi que ce soit anyway! Mise à jour sur le système d’exploitation iPad et aussi iPhone. Jusqu’à maintenant, pas grand chose, reste à voir la batterie. Car c’est le seul enjeu qui reste. Pour moi, ces appareils en font suffisamment. Il y a plein de possibilités, mais il faut aussi le budget pour aller avec. Tout reste à voir et à découvrir! Le seul changement majeur, il est sur le iPad, alors que les icônes sur le bureau et le dock ont rapetissé! Allez donc savoir pourquoi! Pour le moment ça ne change rien, mais on verra bien. J’ai déjà hâte à mardi, alors que je vais envelopper un véhicule! J’adore envelopper des véhicules! Et puis je dois continuer à dessiner, je trouve que ça me fait un bien énorme! Mais comme nous sommes dimanche, c’est le temps de relaxer un peu! Et puis, je crois que je vais aller balayer l’entrée, car c’est la saison des feuilles partout. Chaque fois qu’on entre dans la maison, ces fameuses feuilles aux couleurs vermeilles entrent aussi! Et puis je vais partir le chauffage central, au moins la chaleur sera répartie également. J’en aurai besoin mardi pour «wrapper» le véhicule. Bon dimanche!

Encore un effort!

Enfin vendredi! Je prendrais ma journée tellement je me sens épuisé. N’empêche que ma journée d’hier fut super productive! J’ai passé au travers des autocollants de Promenade Beauport, j’ai donné du sang, je suis allé retoucher un pare-pierres dehors chez le client, ensuite j’ai finalisé mon horaire pour aujourd’hui. Après nous sommes allés faire un peu d’épicerie en décapotable! Pas si chaud, mais beau. Même si le soleil était timide derrière les nuages, il faisait bon d’être dehors. Aujourd’hui, il semblerait que ce sera le même type de journée, avec un avant-midi froide, mais un après-midi plus douce. Je dois finaliser ces dossiers d’autocollants sur la loi contre le tabagisme et celle encadrant l’usage du cannabis. C’est beaucoup de détails. Pour le reste, pas si pire, et c’est dehors. Cinq degrés ce matin, toujours sans énergie pour pédaler; j’ai bien réussi à faire une balade, mais je n’ai pas de force dans les côtes. Comme si mes jambes avaient perdu leur vigueur. Mais me voici en train d’écrire, incapable de me la fermer. Alors je vais faire de mon mieux pour terminer ce que j’ai commencé, car je commence la semaine prochaine avec un wrap sur un véhicule. Je dois classer un peu l’espace requis dans le garage et m’assurer que c’est exempt de graines et particules au maximum. D’ici là, nous irons à Sainte-Rose demain pour aider mon père à classer et «vider» sa maison, histoire qu’il soit prêt pour déménager le 1er novembre. Et dimanche, il faut commencer à fermer la roulotte pour l’hiver. Une corvée obligatoire si on veut y retourner l’an prochain. Pour ce qui est des élections, bien c’est dans 10 jours. Comme nous avons voté dimanche dernier, inutile de s’arrêter à quoi que ce soit, nous n’y pouvons plus rien. Encore une fois, j’ai constaté que le prix de l’essence monte la nuit à la station Eko de mon quartier. C’est tout à fait fascinant! Je suis allé mettre de l’essence hier, avant que ça monte pour le congé, et le prix était comme au Costco! Ce matin, vers 4:50, il était onze cents de plus. Ce fut comme ça toute la semaine. Un mystère ces cartels...On s’en reparle!

On poursuit.

Quatre degrés ce matin. Ça m’a paru légèrement plus froid qu’hier. Mais tout est une question de perception! Mais je n’avais pas tellement de d’énergie sur mon vélo. Et je me mélangeais un peu dans mes vitesses. Curieusement, le prix de l’essence monte la nuit et redescend le jour. Ils veulent monter le prix pour la longue fin de semaine... Peuple soumis, incapable de passer au travers, coincé dans un marasme qui commence à être insoutenable. Et ces sondages qui «influencent» les gens, que nous arrivers-t-il? Par chance, mon idée est faite pour les élections, même que j’ai déjà voté! Anyway, ce qui est triste, c’est que les gens demeurent peu informés, se foutent de qui sera élu. Et nos élus ne font rien pour nous démontrer ce qu’ils pourraient changer! C’est beau insulter l’autre, fouiller dans son passé, mais qu’en est-il de vos idées? Quelles sont vos solutions pour notre avenir? Qu’avez-vous à nous proposer pour une meilleure économie? Comment pouvez-vous, concrètement, nous laisser un peu d’argent à la fin de chaque année? Pouvez-vous nous prouver que vous êtes de bonne foi? Voter pour le Bloc de ciment, c’est comme dire non à l’évolution, c’est pire que ne pas aller voter... Voter NPD, c’est être incohérent par rapport à ce que vous avez décidé dans la dernière année. Le délire sur le climat bat son plein avec madame May, avec des promesses $$$ hallucinantes!! Et l’oncle Georges est pénalisé par son image et son discours, qui manque de stature, de «force»; il lui manque quelque chose qui ferait de lui un «homme d’état». Et réélire le trou d’eau, c’est vouloir rester endetter, accepter de vivre au dessus de ses moyens, cacher comme une autruche, la tête dans le sable! Parlant de tête, je me la suis «cogné» fort hier en livrant une commande. Une bonne «coche» visible dans le front et j’ai eu droit à un bon mal de tête. Mais je ne m’en ressens pas ce matin, merci! Mais j’ai une belle journée à passer dehors, encore une fois, et ça, ça n’a pas de prix. Hier, j’ai travaillé toute la journée dehors, avec un beau sourire! Alors allons continuer tout ça aujourd’hui. 

Toujours en évolution.

Trois degrés ce matin, pas si pire, surtout que la journée d’hier m’a permis d’installer dehors à deux reprises! Une fois le matin et une autre fois en fin d’après-midi! Mais ce qui me fascine le plus, c’est le prix de l’essence qui est revenu comme il était au cours de la journée. Par contre, tantôt quand je suis passé, il était encore à 1,219$. Est-ce que l’essence est plus chère la nuit? Vraiment étrange... Et je dois dire que je suis quand même pas trop pire avec mon rhume ce matin. Je ne prends plus de comprimés de jour, ni de nuit. Je me suis mouché le corps depuis deux jours, mais je crois que je prends le dessus. Mercredi, je prends les choses comme elles viennent, essayant d’être le plus efficace possible. Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai hâte à vendredi. Mais je crois que c’est dans ma tête, parce que, dimanche dernier, j’ai tellement travaillé pour laver les fenêtres de la maison (extérieur), j’avais besoin de repos. Et comme la fin de semaine semble remplie déjà, avoir hâte à vendredi n’est qu’un genre de placebo. Alors un jour à la fois. Le reste, on verra bien. Je suis pas mal content de ma performance à coller une publicité sur un panneau ouvrant de cantine, hier. Un panneau en stainless, avec une surface en «carotés». Même au soleil, le vinyle était limite de ne pas casser. Et cette poignée... Bref, ça s’est bien passé. Au tour des autocollants concernant la loi sur le tabagisme. J’ai trois centres d’achats à faire. J’ai bien hâte de voir. Un point positif, je serai dehors! Bien sûr, il faut composer avec les gens qui circulent, mais ça fait partie du défi. Contrairement à d’habitude, je n’avais pas envie de me lever ce matin. Aussi étrange que ça puisse me paraître, c’est tout de même la vérité. On aurait dit que je voulais rester coucher pour dormir encore un peu. Mais une fois levé, j’ai tout oublié ça. Depuis que je suis allé voir mon médecin, j’ai changé l’heure que je prends mon concerta. Et je vois une différence. Je pense que je suis plus heureux, que j’ai moins de difficulté à me détacher de mon travail une fois l’heure du souper arrivée. Je continue comme ça, ça va sûrement évoluer. Alors on s’en reparle et bonne journée!

Merci pour ça.

Parmi les moments qui m’ont fait rire hier, il y a celui où Sheer dit au trou d’eau : «You're a phoney, a fraud, and you don't deserve to govern this country». Enfin quelqu’un a mis ses culottes pour lui dire la vérité, sa vérité. Il fallait que j’en parle, ça me fait du bien. Merci pour ça. Pour le reste, je suis resté surpris de voir le prix de l’essence monter de onze cents pendant la nuit! Hier à vingt-deux heures, il était à 1,109$, et ce matin, il était à 1,219$, Merci aux lâches hypocrites qui s’occupent du cartel! En plus de faire de l’argent sur notre dos, vous contribuez à enrichir un gouvernement qui se fout complètement de nos intérêts! Vous êtes méprisables. Vous soutirez le bien des gens par la porte de derrière, même si vous le pouvez au grand jour. Vous êtes parmi ceux qui dirigent ce pays, derrière le masque du trou d’eau. Mais vous êtes aussi parmi ceux qui enlèvent aux gens le goût de sourire! Je vous emmerde! Quelle montée de lait! Désolé, je suis tanné que chaque fois qu’il y a un congé, on doit en payer l’équivalent en essence. Et puis ils auraient pu attendre encore deux jours pour monter le prix, qu’on puisse faire notre semaine de travail avant d’être choqué! Mais bon, je vais réécouter cette phrase fantastique et véridique qui fut dite hier soir... La période de temps avant des élections, communément appelée «campagne électorale», est difficile à vivre, à cause de l’énergie qui circule. Les gens qui s’y intéressent sont stressés, se sentent agressés, dupés et surtout, disent absolument n’importe quoi! Mais revenons sur la terre un peu, avec un neuf degrés pour pédaler ce matin. Tout était encore mouillé, car il a plu cette nuit. les rues sont très sales, remplies de feuilles et autres trucs qui tombent des arbres. Il y avait encore un de ces vents. Après plusieurs années à pédaler presque tous les jours à l’extérieur, (des jours sans neige) je peux dire que l’année 2019 fut une année plus fraîche et plus mouillée que les autres. Que la période considérée comme l’été fut très belle, mais aussi très courte. Et je suis tanné que les gens «délirent» sur une crise ou encore une urgence climatique, alors que rien n’est différent assez pour justifier de tels discours! Je peux affirmer que la météo est changeante beaucoup, qu’il vente plus qu’avant, mais rien n’est critique, rien ne réussit à m’alerter au point d’en parler en public! Il faut arrêter de faire peur au monde, et surtout de se cacher derrière ça pour récolter des taxes! Franchement, la farce commence à être longue, très longue... Bonne journée!

Au fond dans une nouvelle semaine.

Après une fin de semaine très froide, mais aussi une semaine qui le fut tout autant, quel matin de vélo, avec quatorze degrés! Bien sûr, il fallait accepter d’avoir le derrière mouillé, mais il y a pire! Car c’était très mouillé, très sombre, mais je ne ressentais aucune fraîcheur. En plus, j’ai installé mes «mitaines», sortes de moufles en Néoprène sur mes poignées, histoire de pouvoir continuer à pédaler encore un peu dehors. J’avais chaud aux mains! Comme samedi d’ailleurs, alors que nous sommes allés pédaler juste avant le souper. Bien sûr, nous ne sommes pas allés au camping, débuter la séquence de fermeture de la saison. Ce sera au programme la semaine prochaine. Et nouveauté, nous sommes allés voter, bin oui, hier! Il y a un bureau de vote au carrefour Neufchâtel, ouvert tous les jours. Une bonne chose de faite. Et puis je ne sais pas pour vous, mais voter la journée même, ça ne me dit rien. Trop long, trop de monde. Et puis, avec la situation actuelle, il faut absolument prendre un autre chemin. Rien ne fonctionne plus vraiment, il y a trop de gouvernement dans la machine, il faut redonner du pouvoir aux citoyens, ceux qui paient! Je regarde dehors, et je constate à quel point il fait noir! Lorsque tout est mouillé, avec les nouveaux éclairages au DEL, c’est comme si rien n’était allumé. Je ne distingue rien par les chassis. Et ça ne fait que commencer. SI tout va pour le mieux, il me reste un mois pour fermer au camping, et fermer à la maison; quand je dis fermer, ça veut dire installer les garages, installer les pneus d’hiver, les toiles sur la pelouse, etc. Pour la roulotte, retirer la structure qui tient l’auvent, le fermer; mettre l’antigel dans les tuyaux, fermer les extensions et tout barrer. Il y aura un ramassage de feuilles, qui est déjà commencé. La fin de semaine prochaine sera très remplie. Et nous irons chez mon père, lui installer ses pneus d’hiver, ceux à Nicole et aussi changer l’huile de son auto. Et nous en profiterons pour ramener des choses qu’il n’aura pas besoin à son appartement. Vraiment beaucoup d’action! Je n’ose pas imaginer ce que ce serait si j’étais à CodeBoxx. Alors bonne semaine!

Esprit embrouillé...

Simonac! Quelle semaine froide, humide et peu ensoleillée! Heureusement que je peux trouver du bonheur au fond de moi! Je suis content de ma semaine, je pense que je commence à me remettre les idées en place, petit à petit. Bien sûr, un rhume est venu fausser la donne, mais je sens qu’il est sur son départ, et c’est tant mieux! Mais puis-je vous partager que je suis encore déçu des décisions de notre PM québécois. Vraiment! Mais je suis horripilé par nos médias qui empoisonnent nos journées avec des mautadites niaiseries! Est-ce qu’il y a un test d’admission pour se porter à la candidature de premier ministre d’un pays? Avoir une double nationalité n’est pas un handicap, ni un crime. Continuez de tout détruire ce qui ne fait pas votre affaire, vous agissez comme un dictature, avec de puissants lobbies! Vous vous foutez complètement de ce les gens vivent. Le respect n’est pas dans votre description de tâche de travail! Au contraire, tout semble permis pour vous! Et avec un entrée d’argent qui vient de nos poches, vous allez pouvoir continuer à rire de nous autres, continuer à polluer nos vies avec votre convergence! À force de répéter, les gens finissent par croire en vos conneries! Mais je sens que je gaspille du temps de qualité à discourir sur des gens qui souffrent de trou de culisme chronique, alors je vais prendre un virage vers un peu de musique de vendredi! Je vais aller travailler un peu pour changer! Si je veux pouvoir contribuer à votre salaire et celui de bien d’autres!

Déçu.

Hier, notre gouvernement en place a décidé de payer pour garder certains médias en vie. Mis a part une stratégie pour les avoir dans ses poches, je ne me rappelle pas avoir voté pour ça. Et je ne me souviens pas d’avoir lu ça dans leur programme. Avant de prendre une telle décision, il faudrait consulter les gens qui paient pour! À ce que je sache, je n’ai été consulté pour ça. Et, comme travailleur autonome depuis près de vingt ans, personne ne m’a jamais versé quelque somme d’argent que ce soit, dans le but de m’aider! Je suis vraiment déçu, encore une fois, par les agissements de ceux qu’on a élus. Ils ne font qu’entretenir des relations avec ceux qui ont voté contre eux! Et comme nous sommes obligés de le constater, une fois qu’un projet de loi «bien rebrassé» est adopté, souvent il ne se ressemble plus. Donc à quoi ça sert de penser que quelqu’un peut changer quelque chose? À retenir... Les changements viendront par le bas. Cela me fait penser à CodeBoxx, un mouvement «sous» le système qui tente de changer quelque chose. Et j’encourage tous ceux qui se cherchent, qui veulent se trouver un travail honnête, un emploi de l’avenir, à joindre CodeBoxx! Je sens que je devrais me reposer un peu, une semaine de travail avec un rhume, c’est toujours plus dur. Moins un degré ce matin, pas si pire, c’est dans le jour que c’est dur! Les trois dernières journées, nous n’avons pas dépassé les dix degrés! Il semble qu’aujourd’hui et demain non plus! En bonus, aucun soleil, c’est dur sur les batteries. Je ne sais pas pour vous, mais moi je commence à me préparer solide pour l’arrivée du manteau blanc. Au pire, il fera plus chaud que prévu, mais pour l’instant, c’est vraiment froid. Anyway, on s’en reparle.

Quelle nuit pas terrible! J’ai dû me mettre du Vick’s dans les narines pour réussir à me rendormir! Et je n’ai pas dormi tellement. Trois nuits de file un peu mouvementée, à cause d’un rhume! Ouais, j’espère que ça se termine bientôt. Je suis allé pédaler dehors pour constater toute cette grisaille. Hier, il a fait au plus chaud huit degrés! Aucun soleil! Il annonce une journée semblable pour aujourd’hui; on se croirait à la fin d’octobre. Je suis encore en interrogation par rapport au chauffage central. Je sais que je l’ai fermé au début juin. Seulement quatre mois sans chauffage central, mais ça fait deux semaine que je chauffe avec de petites unités, sinon ce serait pas endurable. Ma blonde se plaint qu’il fait froid, comme pendant toute la durée de la saison froide. On dirait que l’hiver est la saison la plus longue avec huit mois, le printemps et l’automne durent à peu près un mois chacun. Il reste tout au plus deux mois pour un genre d’été. Vraiment de la bullshit! Comme chaque saison est imprévisible, il ne sert à rien de faire des prédictions douteuses, ou bien de négliger ses préparatifs pour le manteau blanc. Plus jeune, j’aimais l’automne; avec ses belles couleurs! Maintenant, elle est synonyme d’une beurrée de marde! Tout ce qu’il faut faire pour se préparer à «recevoir» le manteau blanc. J’ai déjà énuméré toutes les tâches qu’impliquait le fait de rester ici l’hiver. Impossible de faire les choses à moitié. Comme à chaque année, on attend le printemps avec ferveur, mais il tarde tellement qu’on se retrouve en été. Tout heureux, on perd la tête en oubliant tout ce qui devait être fait au printemps! Et puis «bang!», le froid arrive sans prévenir, tellement qu’on se dit que ça ne se peut pas, que nous aurons d’autres belles journées. Et puis, comme l’an passé, la neige s’est installée un gros mois en avance sur la moyenne et il a fallu composer avec ça. Je me souviens de certains printemps hâtifs où il faisait bon de s’asseoir dehors pour relaxer, désabrier tout ce que nous avions protégé contre le manteau blanc. Maintenant, c’est la course, car il faut profiter des courts étés, car on ne sait jamais sur quoi on va tomber comme saison. Mais trève de chiaulage, j’ai une journée à faire, je ne sais pas à quelle vitesse, mais je sais que je la ferai. Alors bonne journée!

Un peu amoché.

Nous sommes le 1er jour d’octobre, on dirait que ça fait trois semaines que nous y sommes tellement il fait froid! Tout le mois de septembre fut un gâchis côté météo. Je n’ai pas tout perdu avec huit degrés pour mon vélo et pas de pluie. Par contre, il en annonce pas mal aujourd’hui! En espérant que ce rhume qui me tire du jus ne durera pas une semaine! Une petite réunion ce matin avec le CA de la chambre de commerce, ça fait longtemps. Et je vais rencontrer mon médecin cette après-midi, à quinze heures vingt. Drôle d’heure, mais au moins j’ai un rendez-vous et un médecin! Difficile de s’imaginer que d’avoir un médecin de famille est non seulement un privilège, mais c’est aussi un coup de dés! Dans quelle société évoluons-nous? Serait-il possible de redémarrer la «machine» en mode sans échec? Reconstruire sans l’omniprésence du gouvernement? Regardez à Haïti, à quelle vitesse les choses évoluent; c’est ça un gouvernement trop présent. Et quand il y a plus de décideurs que de payeurs, alors le déséquilibre arrive assez vite! Je veux bien croire que je souffre d’être le seul décideur dans mon entreprise, mais il y a une bonne façon de faire entre notre modèle actuel et celui dans lequel j’évolue tous les jours. Cette société chacun pour soi, où tous attendent après quelqu’un pour faire quelque chose, elle s’en va dans un mur... Et chaque fois que je m’arrête à réfléchir à tout ça, et que je vois mes enfants, angoissés, impuissant devant cette façon de faire. Il me semble que ce serait plus facile avec un régime utilisateur-payeur. Je dépense beaucoup d’énergie à réfléchir à tout ça, et ça me gruge autant qu’un rhume. Pas si pire au quotidien, sauf si j’ai un rhume! Trève de plaisanteries, je dois faire ma journée quand même, avec tout ce que ça comprend. Alors j’espère réussir à faire tout ce que j’ai prévu. On se reparle.