On court même en vacances.

De retour après quelques jours de repos. Difficile de se reposer quand on ne réussit pas à s’éloigner du bureau! Il neige encore ce matin. Il semble avoir tombé près de 30 centimètres. Et nous replongeons dans une vague de froid dès ce soir! Difficile de s’en sortir, sauf que ça va se terminer à un moment donné. Contrairement à l’impôt, qui finira pas nous chasser en dehors de chez nous, la température finit toujours par nous faire un peu de lumière! Beaucoup d’action ce matin, pour une journée de congé, je me sens poussé un peu. Je dois reconnaître qu’un certain projet qui ne finissait pas de se règles vient de disparaître. Un soulagement! Mais j’ai tout de même des tas de choses à faire et plein de préparatifs pour le Jack Fest. Donc je dois me brasser le derrière pas mal. Donc on s’en reparle!

Écoeuré.

Moins dix-sept ce matin. Ça va durer encore combien de temps? Je veux sacrer mon camp, loin d’ici, dans un lieu où dame nature est moins violente! Un endroit où le gouvernement nous laisse respirer de temps en temps! Je suis tanné de donner plus de cinquante pour-cent de ce que je gagne à un gouvernement qui ne cesse de dépenser. On en donne toujours plus, mais la dette ne diminue jamais. Je ne sais pas combien de temps ça va durer, mais je commence à trouver que la situation est insoutenable. Y a toujours des limites! Et quand la température nous agresse, jour après jour, la pression monte, et le goût du changement s’impose alors très vite! Quand tu regardes par le fenêtre du salon et que tu vois juste de la neige, c’est qu’il commence à en avoir trop! Ça ressemble à l’hiver 98-99! L’hiver de la crise du verglas. Celui de cette semaine n’était pas sans nous le rappeler. Surtout qu’il y a eu des morts, encore! Voilà pourquoi j’en ai vraiment plein le cul de cette saison qui s’est pointée un mois à l’avance! Ça ne sert à rien de faire l’autruche, les accumulations de neige, le verglas et le froid m’ont déjà achevé! C’était tout pour moi ce matin, ça fait du bien de libérer ces frustrations!

Vendredi!

Quelle journée dure hier, alors que nous avons reçu une quantité de verglas impressionnante. Je trouve que ça commence à être assez. Déjà trois épisodes assez difficiles de glace depuis le manteau blanc. (Il y a vingt ans, la Montérégie s’écroulait sous le verglas!)Nous en sommes loin, mais bon. Le mercure demeurait sous zéro, la pluie tombait sans arrêt! Étrangement en soirée, alors que nous atteingnâgnes le zéro Celsius, il s’est mis à neiger! Et nous revoilà repartis pour une congélation! Bref, il faudra s’habiller chaudement pour passer au travers de la journée de demain. Moi j’en ai plein mon cass! Mais nous sommes vendredi, qu’est-ce qui peut ébranler l’ambiance d’un vendredi? Et puis, j’ai du travail en masse pour me garder l’esprit occupé. Juste vider un peu le volcan ce matin, question de ne pas «ruiner» la journée des autres avec mes commentaires «réalistes». J’ai même vu sur Facebook une publication de Revenu Quebec, qui annonçait l’apparition de TVQ supplémentaire pour certains achats en ligne. Cette nouvelle levée de fonds aurait pour effet une meilleure équité entre les entreprises d’ici et celles de l’extérieur qui font du commerce en ligne! DOnc vous voulez réduire le nombre de gens qui achètent à l’extérieur par le biais du web? C’est quoi l’équité? Nous faire payer encore plus? C’est quand qu’on va payer moins? Je me sens prêt à cette nouvelle mesure! Ces jours-ci, nous achetons des billets de loterie, des fois... Il ne faut qu’un billet! Et puis, si ce n’est pas un billet, nous donnons le même montant à ceux qui emballent pour financer leurs activités. J’aimerais bien que mon billet finance le reste de mes activités. Il fait bon de rêver un peu, de laisser son cœur s’emballer et aimer! Voilà une version plus heureuse d’un vendredi! On se reparle!

J’ai besoin de voir de la lumière.

Ce matin, comme par miracle, il fait moins quatre degrés! Pluie verglassante au menu, c’est vraiment le pire qu’on puisse avoir! J’aurais aimé mieux un autre trente centimètres de neige! Cela va encore compliquer mes préparation de terrain pour le Jack Fest! Et puis le fait que tout va se refroidir très rapidement après... Ishh! Il faut rester calme et prendre ça une heure à la fois. Mais quand même, c’est vraiment irritant. Je ne sais plus où donner de la tête, sauf en me réfugiant dans le travail. Les enfants me découragent tellement; ils dépensent plus qu’ils ne réussissent à gagner, n’ont aucune résistance sauf pour certains dossiers plus personnels... Comportement incohérent, alimentation déficiente malgré nos recommandations. Vive la Starbucks! Quelle folie! On dirait que leur café est addictif! Je viens de regarder dehors, un cinéma d’horreur! Il pleut des cordes! Et ça semble geler à mesure au contact du sol. Mais quel hiver de merde! Difficile pour le moral, pour conduire, pour entretenir... J’ai hâte d’être dans mon bureau et travailler! Je n’arrive pas à trouver, il manque une sorte de déclic... Et puis, nous avons pris un temps pour des vacances, mais je n’arrive pas à me convaincre que ça va être reposant! Juste avant le Jack Fest, on dirait que ça me chicote. On verra bien! Et puis j’ai cette douleur aux intestins, on dirait que je suis de plus en plus sensible au gras. J’ai de la difficulté à digérer ça; difficulté est un grand mot, disons que le passage du gras me fait mal, mais je ne suis pas constipé pour autant! À faire attention. Les mots sont loins ce matin, je voudrais m’enterrer jusqu’au printemps! Encore au moins deux mois de cette température, prisonnier sous le dôme, un vrai dôme! Isolé, non pris au piège d’un climat erratique, constamment sollicité par une dictature douce qui finira par tout détruire! Je ne sais plus quoi penser, ni encore si je dois imaginer des solutions! Dans ce livre que j’ai lu au CEGEP, «Le meilleur des mondes», l’état contrôle absolument tout; je suis dans ceux qui se rendent bien compte que ce n’est pas ça la vie. Comme dans ce livre, on me déporterait dans un endroit avec des gens qui me ressemblent, qui refusent ce système. Mais comme ce n’est qu’une vision, alors je suis pris ici. Mon dieu que c’est lourd, je dois sortir de cette zone négative. Rester concentré sur les choses que je peux accomplir! Bonne journée!

On fonce!

Ouh! Moins seize degrés ce matin, nuageux. Il parait qu’il va neiger encore un peu! Et si je me fie à mon fatigomètre, je me sens comme un vendredi matin d’une grosse semaine d’installation... Mais nous sommes mercredi matin! Les préparatifs pour le Jack Fest vont bon train, les inscriptions aussi! Pour ce qui est de l’ouvrage, ça rentre par la grande porte! Inutile de dire que je suis content. Merci pour ça! Alors que les «ceuses» qui sont placés en haut se disputent pour savoir qui réussira à taxer le plus, il faut bien s’organiser, car attendre après eux autres, c’est comme attendre la prochaine sécheresse...Il n’y a pas eu de sécheresse depuis 2002! Curieux quand même! Mais on ne se plaint pas, c’est toujours difficile de traverser un période aussi sèche, période qui sera suivie d’augmentation de toutes parts, mettant en cause la dite sécheresse! D’ailleurs, tout est une raison pour augmenter les prix. Et plus les prix augmentent, plus les gouvernements ramassent! Pendant ce temps, nous les percepteurs de taxes, notre profit n’augmente pas! Plus tu gagnes d’argent, plus tu dois en donner. Plus tu gagnes de l’argent, plus tu dois remettre des taxes! Finalement nous donnons toujours au même. Le Jack Fest se veut un rassemblement de convives qui veulent faire une différence. Par d’autres moyens que des dons volontaires, réussir à s’amuser et remettre des profits à une cause. Je crois que j’aime ce que je fais. Donner du temps pour des choses auxquelles je crois sincèrement. Donner du temps pour des gens qui en ont besoin. Certains me disent que c’est moi qui en auraient besoin, mais je crois que je suis maître de mon destin, et je sais que je peux faire une différence. Pas besoin de taxer personne, pas besoin d’obliger personne. Si des gens veulent vous suivre dans votre folie, souriez et remerciez-les! Jamais je ne pourrai me rabattre sur mon sort, en me disant que je ne suis pas chanceux ou encore que ce n’est pas juste. Je n’ai qu’à vouloir de toutes mes forces et tout ira bien dans ce que j’entreprendrai. On s’en reparle!

Travailler sur le possible.

Moins vingt-trois ce matin, le vent semble avoir diminué. Ouf! Hier toute la journée, le froid et le vent étaient digne des meilleurs congélateurs au monde! Il n’y a rien de drôle dans tout ça, mais vaut mieux en rire. Et puis, que faire sinon, car on n’y peut absolument rien. Donc il faut improviser et rester concentré! Je discutais hier avec un futur sage, qui me disait «focus on the things you can change». Des fois, je mets trop d’énergie sur des choses auxquelles je n’ai aucun pouvoir. Alors concentrer ses énergies sur les choses auxquelles nous pouvons agir! Car chiauler toute la journée sur la température ne la changera pas. Donc j’en parle tôt le matin, puis c’est terminé! Même chose pour tout ce qui me passe par la tête. J’écris, je réfléchis je démèle. Après je commence ma journée. C’est la façon que j’ai trouvée qui me sied le mieux jusqu’à maintenant! Je ne prétends pas possèder la sagesse, ni une solution à tout, bien au contraire, mais je veux arriver à quelque chose! Quand je m’arrête trop à ce que j’entends, à ce que je lis, alors j’arrête tout ça et je mets de la musique! Comme ça, je reviens à ce qui était prévu, et ma journée continue son cour. J’arrive à être heureux! Et puis, il faut garder les choses simples le plus possible. Je ne dis pas de faire de la simplicité volontaire, mais pourquoi essayer d’en faire plus que le client en demande? De toute façon, rien ne sert de s’énerver, les gens en général en veulent pour leur argent. Ça me rappelle que nous vivons sous un dôme particulier, difficile à endurer. Ici, le climat est irritant et le coût de la vie l’est tout autant! Alors que depuis plusieurs années, nous tentons de trouver du bonheur en chacun de nous, certaines personnes tentent de nous l’enlever en nous «faisant des prélèvements» ici et là; ils ne cherchent pas à innover, ils se servent à même les gens, comme si de rien n’était. Pourtant il serait sûrement plus valorisant d’augmenter notre production, nos façons de produire, que de «tèter» de l’argent aux autres provinces! Ici, le gouvernement «siphonne» les citoyens et fait de même avec les autres provinces! Faut-il être fier de ça? Moi j’ai honte et je ne peux pas faire grand chose pour améliorer le tout. Alors je continue ce que je fais, en le faisait du mieux que je le peux! Bonne journée!

On se concentre sur les objectifs...

Samedi fut la journée la plus froide jusqu’à maintenant. Je pense qu’on a frôlé le moins vingt et un au plus chaud! Alors que vendredi, il a neigé pas mal, juste le temps de geler un peu et une autre période de neige! Mais neige froide avec du vent, ce fut un dimanche très froid, avec beaucoup de neige. Certains parlent d’une tempête, je crois que ça dépend de l’orientation des vents et que certains secteurs, plus au sud, qui furent vraiment plus touchés que d’autres. Mais ce matin, avec moins dix-neuf, de forts vents et une petite neige, c’est vraiment une dure saison que nous avons. Rien de nouveau, mais irritant au plus haut point! Encore une fois, on se croirait à la fin de février, par la quantité de neige et aussi le vortex polaire qui continue de s’abattre sur nous! Et dire qu’il faut travailler, se botter le derrière pour gagner notre vie! Ça implique gagner celle des autres! Car il n’y a plus vraiment de plaisir à regarder ce que ça coûte pour «être ici»; je dis ça de même parce que je ne sais plus comment réussir complètement à me faire croire qu’on est bien ici. Trop cher, trop froid, trop de neige, trop, c’est toujours trop! Et je ne m’égare pas dans le dédale de tout ce qu’il faut payer pour endurer ce climat. Et les autres climats, économique et politique, c’est un cauchemar! Mais nous sommes lundi matin, on commence une nouvelle semaine, de nouveaux défis! La température n’a rien pour aider. Ce froid perpétuel nous oblige à chauffer plus que normal et l’air devient très sec. Difficile d’imprimer des choses que je dois par la suite laminer ou y mettre un vernis UV. Car ensuite, au moment de la coupe, difficile d’être registre. Et toute la statique qui vient avec l’air sec n’a rien de bon pour le matériel informatique ni l’impression piezo électrique. Mais j’ai plein de choses à faire quand même. Alors croquons dans ce lundi froid et venteux, on verra verra ensuite! L’important, c’est de rester concentrer sur les objectifs!

Un jour à la fois!

Moins dix-huit ce matin, il vente et il neige! Donc nous savons qu’il va neiger aujourd’hui. Ce que je sais, moi, c’est que mon épouse revient cet après-midi et que nous sommes vendredi! Pas besoin de nous rendre quelque part ce soir, juste aller porter le plus jeune à son travail. Donc ce sera l’apéro dès 17:00. Pour le reste, je trouve triste de voir notre nouveau PM discuter avec les gens qui n’ont pas voté pour lui. Comme si, une fois élu, ceux qui lui ont donné l’opportunité d’être le leader, ne comptaient plus... Y’a-t-il quelqu’un qui pourrait m’éclairer là-dessus? Franchement! Je ne dis pas que je ne lui fais pas confiance, mais disons que ça me picote quelque part de le voir assis avec le grand manitou du conglomérat de l’ancien fournisseur de câble. Il faut agir au plus vite, ne pas attendre que le premier mandat soir fini. Une fois élu, on commence! Bin non, on dirait que ça tarde, comme si, une fois la carte passée dans le «punch», on prend le temps de jaser, de voir si on connaît du monde. Un peu désolant. Alors que rien ne change, la vie, elle, continue. Et malgré une volonté de fer, je n’arrive pas à trouver de solutions efficaces pour améliorer un peu plus mon quotidien. Bien sûr, dans un minimum de temps, car le temps, justement, n’arrête jamais. Donc il faut réussir à se reposer tout en réfléchissant sur les années qui s’en viennent. Je n’aime pas me sentir comme un illuminé, quelqu’un qui arrive avec une théorie, mais que personne ne prend au sérieux. Donc je me retrouve toujours seul avec mes idées, dessinant ici et là ce que je ressens. Écrivant des lignes sur ce qui m’agace, ce qui me rend heureux. Et souvent, mieux vaut ne pas avoir fait une trop grande ébauche de son plan, car le bonheur est caché juste à côté et il attend. Donc accueillir chaque jour comme une solution nouvelle, un accès au bonheur! Parce que sinon, les eaux troubles du quotidien auront tôt fait de mèler les courants et nous faire caler... Je dis ça parce que j’ai tellement perdu de temps avec des attentes, des essais, sans jamais arriver à quoi que ce soit. Par contre, en recommençant, j’ai remarqué bien d’autres choses; et ces autres choses m’ont permis de trouver des forces qui sommeillaient en moi. Et de ces forces, j’ai puisé l’inspiration pour accomplir quelque chose. Et je n’ai pas fini. Mais le temps passe tellement vite...! Alors on fonce dans ce vendredi, avec l’aide du café et aussi du Jack! À plus!

Je hais l’hiver!

Quel froid ce matin! Moins vingt-cinq avec un petit vent, issh!!! Depuis le fameux hiver où nous fûmes enterrés par plus de 500 centimètres #le dernier hiver, j’ai bien de la misère à rester calme face à ce manteau blanc, qui semble éternel!  Hier soir, je suis allé prendre une marche, le vent fouettait solide! Et j’ai écourté ma marche, je sentais que j’allais avoir froid! Et ce matin, si vous n’êtes pas obligés de sortir, eh bien ne le faites pas! À partir de moins vingt, il n’y a rien d’intéressant à faire dehors sans être à l’abri du vent, sans un bon feu pour se réchauffer! L’an dernier, au Jack Fest, il faisait moins vingt, nous étions coincés dans un vortex polaire, il m’était difficile de verser du Jack dans les shooters, tellement je gelais des mains! Et puis, il reste deux jours à cette semaine, plus ou moins enivrante, entrecoupée du départ de Joanne pour Jonquière, la main dans le plâtre! Quel courage d’aller sur place, superviser celle qui la remplace pour cette clinique. Elle revient demain soir. Mine de rien, j’ai passé la souffleuse hier en fin de journée, le vent hurlait en direction du boisé derrière la maison. Et après avoir vidé le patio, je peux vous dire que nous avons obtenu (gratuitement!) encore une autre quinze centimètres! Ce sera un Jack Fest enneigé! Si le froid peut prendre congé, ça serait merveilleux, car plus froid que l’an dernier, ça commence à être dur pour tout le monde! Et ce froid, un autre moyen de financement (discret) que le gouvernement a trouvé, pour encore nous vider les poches. Tout ce que nous devons payer rapporte au gouvernement! Chaque dollar rapporte des taxes. C’est affreux! L’envie de déménager me reprend, mais les choix sont limités énormément si on reste au pays. C’est sûr que c’est ici que le coût de la vie au quotidien est le plus élevé. Et pour ce qui est des avantages obtenus pour tout cet argent recueilli, on peut dire que nous sommes grands perdants! Et puis, les médias continuent d’augmenter la réalité, de dramatiser la vie! Ainsi ils préparent les citoyens à toutes sortes d’augmentations! Titre formidable cette semaine, la météo «extrême» fait augmenter le nombre de pannes de courant! Mais de quoi parlent-ils? Le climat est le même qu’il a toujours été! Oui l’hiver fut très tôt cette année, et il est très sauvage, mais il représente bien ce que c’est que le climat du Québec, mais surtout de la ville de Québec! Chaque matin, quand je regarde le mercure à quelques endroits en même temps, c’est presque toujours notre ville qui est la plus froide. Je compare des villes «équivalentes» par leur géographie nordiques, car rien ne sert de parler de la Baie de James et autres congélateurs habités. SI les pannes de courant sont plus fréquentes, c’est au fournisseurs de renforcer son réseau de distribution! Au lieu d’essayer de rabaisser les autre fournisseurs d’énergie pour mieux paraître, forcez-vous pour devenir les meilleurs! L’an dernier, nous avons passé au travers de cinq semaines sous la barre de moins quinze degrés, jamais au dessus! C’était une atrocité! Nous avons survécus aussi à un hiver (2007-08) de plus de 500 centimètres! Calmez-vous!

Plein gaz!

Ce n’est pas en regardant mon compte de banque que je peux me redonner du pep, ni en allant magasiner n’importe où dans ce coin de pays. En ligne ou magasin, on se fait fourrer! Et dire que ça dure depuis très longtemps, c’est juste qu’avant, c’était mieux caché. Aujourd’hui il est facile de faire une recherche sur le web et constater à quel point on donne de l’argent au gouvernement. Par contre, trouver à quoi cet argent peut bien servir, il semble que ce soit un plus compliqué... Et je n’exagère pas, essayez, vous verrez bien. Avoir un permis pour «fourrer» les autres, ça donne accès à bien d’autres façons de le faire! Moins neuf degrés ce matin, il tombe des petites boules blanches, comme du sel à marinades, mais mou. Un réchauffement pour mieux geler demain. SI au moins on avait un break sur la météo! Alors que je suis en pleine levée de fonds, je me retrouve encore à combattre le fait de me sentir coupable. Les gens en ont déjà assez à payer! Et moi, je leur en redemande encore! Pour la sixième année consécutive, je me lance dans une aventure qui va rapporter des sous pour la recherche contre le cancer. Tellement de gens qui se battent, tellement d’autres qui supportent, accompagnent ou survivent à ceux qui «perdent» leur combat... Je suis déchiré entre laisser les choses se règler d’elles-mêmes ou intervenir. Comme il n’y a pas tellement d’occasion où l’on peut faire quelque chose pour faire une différence, je choisis celle-là. Et je vais pédaler encore pour quelque chose en lequel je crois! DE toute façon, je me sens en grande forme, prêt à affronter mon quotidien. Où il me reste à faire du progrès, j’y travaille fort! Donc on lâche pas, la vie est un privilège qui ne reviendra pas. Pour l’instant, vive le Jack Fest! Joanne part ce matin pour Jonquière, elle doit terminer la formation de celle qui va la remplacer, étant donné qu’elle est blessée pour encore au moins un mois. Ah les accidents, on apprend des choses, mais le prix à payer est dur à accepter! Assez discuté, on se crinque et on plonge dans cette journée! À plus!

Tout à gagner!

En plein blitz de préparatifs pour le Jack Fest. Il me reste des commandites à trouver, des billets à vendre, un bar de glace à ériger, une piste de fat bike à taper, et bien d’autres choses. La vie va vite, ça ne finit plus de passer entre mes mains, et je réalise que je ne peux en faire plus. J’aimerais laisser une trace dans le monde, un morceau d’Amour. Mais des fois j’ai tellement de rancoeur, tellement de peine que je ne sais plus comment faire pour me ramener à un sourire. Rallumer l’étincelle du bonheur qui brille en moi. Ces jours-ci, malgré les nuages qui font de l’ombre dans mes journées, je réussis à garder la flamme allumée. Je me dis que c’est un cadeau que je me fais. Bien sûr, tout ne va pas comme je l’aimerais, mais je compose avec et réinvente la mélodie; celle qui me fait chanter! Et je repars dans ce monde, celui dans lequel je suis; ce monde où j’ai réussi à me faire une place bien à moi. Et quand je regarde les autres évoluer autour de moi, bien je me dis que c’est un privilège de pouvoir le faire. Je peux même apprendre de ces gens, m’inspirer d’eux. Hier nous avons réservé une partie de nos vacances, celles qui s’en viennent, juste avant le Jack Fest; celles qui rendent hommage à nos vingt-deux ans de mariage. Eh oui, le temps passe! Puis je me suis demandé si tout ça avait du sens. Je me suis demandé si nous voulions toujours vivre cette aventure à deux. Et j’ai fait le constat que, non seulement nous le voulions, mais qu’il était impossible de continuer sans l’autre. Alors on vit un jour à la fois, rien d’acquis, tout à gagner! Et ce sera ainsi pour aussi longtemps que je vivrai. À plus!

Lundi matin, heureux.

Vendredi soir, nous sommes allés chez mon ami Nicolas. Le projet : poser du gypse toute la journée de samedi. Mission accomplie! Ce fut une journée productive à souhait. Et nous en avons profité pour fraterniser un peu. Souper à la fondue, vino et quelques bières. Je dois avouer que je ne resterais pas dans ce secteur. Il habite à Montréal. Un quartier qui me rappelle Limoilou, avec ses maison «toutes collées», avec des ruelles qui passent derrière. Comme beaucoup de quartiers dans Montréal de ville. Présentement, ils habitent le loyer qui sera éventuellement celui de leur locataire. Nous avons fermé tous les murs de leur future demeure, taillant et vissant des panneaux de gypse. Une journée de labeur comme je les aime. Ça m’a fait différent de mes journées. Non pas qu’elles sont moins physiques, mais tellement différentes! Et puis, quelle poussière! Ouf! Et nous sommes revenus hier, après le dîner. Finalement, ma femme a son rendez-vous en orthopédie demain. Nous saurons quelle sorte de système d’immobilisation elle aura. Pour l’instant, elle souffre beaucoup. Je crois aussi qu’elle regrette un peu de ne pas être allée à l’urgence perdre vingt heures de sa vie. Par contre, aller attendre avec les gens qui propagent la gastro, des maux qui courent, la grippe, peut-être que son choix est bien éclairé. DIfficile de se prononcer. Anyway, on ne peut reculer le temps et recommencer. Par contre, on peut faire le constat que peu importe la façon dont on utilise le «système», c’est trop peu pour trop cher. Moins vingt degrés ce matin, brr!! C’est ce qui est prévu pour encore quelques sept à huit jours. Je me demande bien quand est-ce que nous aurons une petite journée à moins cinq avec du soleil. Car hier, nous avons eu du soleil, mais c’était glacial. Bien content tout de même d’avoir pu sortir prendre une marche, profiter de cet air frais. Mon samedi dans la pourrière des travaux m’avait laissé une toux sèche. Maintenant je me sens mieux. Par contre, la nuit ne fut pas si réparatrice avec tous ces réveils. Je crois que notre chien n’aime pas sa nouvelle nourriture et que ça le rend malade. On verra bien, même si ramasser autant d’excréments commence à me tanner beaucoup. Puis, juste avant de se faire à souper hier soir, nous avons changé deux luminaires au dessus de l’évier de la cuisine. QUE c’est beau et fonctionnel! Et maintenant, ça ne consomme que onze watts au lieu de vingt-six! Une étude arrivera sûrement bientôt pour nous dire que l’éclairage au DEL, ça occasionne certains problèmes de santé et de recyclage, mais pour l’instant, en période de grand froid, moins consommer, c’est payant. On s’en reparle l’an prochain pour savoir si ça vaut vraiment la peine!

Ouf!

Avec un excellent moins dix-huit, on se rappelle rapidement où est-ce qu’on habite! Et avec des dirigeants qui autorisent des personnes non citoyennes à voter, je commence à trouver qu’il faudrait qu’on parte très bientôt! Quand est-ce qu’un élu aura les couilles pour faire quelque chose? Lâcher un peu le président d’à côté et s’occuper de ce qui se passe ici! Je dis ça et je ne sais même pas où aller! Quitter le pays, c’est plus dur que de quitter la province. Nous avons réussi en trois jours à obtenir un rendez-vous en urgence mineure pour la main cassée de ma blonde, mais nous attendons encore après un rendez-vous en orthopédie pour faire immobiliser sa main pour qu’elle guérisse adéquatement! Lamentable... À quoi sert tout l’argent qu’on donne en impôts et en taxes? Crinqué et dans le jus ce matin. Mes enfants ne sont pas tellement coopératifs ces jours-ci et prendre soin de ma conjointe, je suis capable et c’est le moins que je puisse faire, me rallonge pas mal les journées! Huit heures du matin et j’ai l’impression qu’on a dépassé cinq heures depuis un moment! Ça fait du bien d’écrire un brin, de «partager» cette énergie qui vient me tirailler. J’ai l’impression que je ne serai jamais capable d’en faire plus. Vous me direz que d’avoir un travail que j’aime, une épouse en or, une maison pas payée et des trois enfants, c’est quand même pas si mal. Vous avez raison! Mais comme je suis une personne assoiffée de connaissances, je veux en apprendre toujours plus. Et je veux avancer, évoluer. La vie est si courte, on dirait qu'elle vient de commencer, pourtant, après vérification, il semblerait que j'aurais 50 ans cette année, alors je crois que je serais mieux de me déniaiser un peu si je veux réussir à juste me sortir la tête au dessus de l'eau! On se trinque, on se trinque, on travaille! Bon vendredi!

Distribuer de l’Amour.

Alors que ma chérie est partie à Jonquière hier, je me suis inquiété pour elle. La main cassée, elle a le courage de travailler quand même. Faut dire aussi que nous sommes sans nouvelles de l’orthopédie, donc sans rendez-vous pour l’immobilisation de sa main. Moins cinq degrés ce matin, on pourra dire qu’il en a tombé de la neige depuis deux mois! J’ai soufflé un bon dix pouces de neige hier, en commençant à me demander où j’allais mettre la neige à certains endroits. Mon ami Nicolas m’a dit que ce serait la première opération de déneigement à Montréal, car ils n’avaient pas encore de neige au sol. Quel monde incroyable qu’est celui où nous vivons! La semaine avance vite, je travaille en parallèle sur le Jack Fest. Ça fait des plus grosses semaines, mais je trouve que tout ça en vaut la peine. Je dois pousser la machine un peu plus fort encore, car je sens que ça ne sera pas assez. Et puis, il me faut un minimum de vingt-cinq personnes pour cet événement. Tous les préparatifs, toutes les personnes impliquées, ça se doit d’être à la hauteur. À hauteur d’homme comme dit Vincent Vallières. Car je ne suis pas un demi dieu, je suis un être humain qui aime la vie, qui aime les gens. Ma priorité, c’est ma famille et son bonheur; ensuite partager ce bonheur avec tous! Il y a bien des journées où je dois le chercher ce bonheur, car il est enfoui bien creux au fond de moi. On dirait qu’il s’est enfui, ayant peur de tout ce bruit, celui des gens qui terrorisent d’autres gens avec toutes sortes d’histoires abracadabrantes. Tanné de ces histoires, ne jamais savoir la vérité. Tanné de me faire dire comment je devrais agir. Contentez-vous de rapporter des faits, sinon, bien taisez-vous! Vous tendez tellement d’hameçons sur les réseaux sociaux, pour avoir des clicks, des fois c’est plus que pathétique. Difficile de «naviguer» au travers de toute cette marée inutile, friande de notre argent. Je peux bien vouloir me remettre en question avec tous ces mécréants qui ne vivent que pour le cash. Ils en oublient l’essentiel, faire ce qu’ils aiment! Comme je n’ai pas le temps ni les tribunes pour le faire, je n’en parle pas trop, mais j’aimerais leur dire d’arrêter tout ça. J’aimerais leur dire de s’aimer, mais à part me faire dire que j’ai raison ou encore qu’il n’en est pas question, je n’obtiendrais rien. Les gens se sont égarés quelques part entre la suprématie de la religion et les réseaux sociaux. Les discussions sur le perron de l’église sont remplacées par le tribunal populaire qui sévit sur les principaux réseaux. Les gens prennent l’initiative de se faire justice. Au diable les lois, on court de plus en plus, sans savoir vraiment où ça va nous mener. Moi j’ai hâte d’arrêter un peu. Mais pour l’instant je distribue de l’Amour...

Déjà mercredi.

Neigeux ce matin, moins deux degrés. Hier il est tombé un bon dix centimètres, mèlé de verglas. Je suis vraiment content de ma journée. L’ouvrage rentre et je suis enclin à travailler. Je constate que le nouveau PC sera à la hauteur. Quand même dommage de mettre l’autre à la retraite. Mais bon, c’est de ma génération, mais aussi de ma nature de vouloir conserver mes choses. Elles ont coûté cher, je les ai payées à la sueur de mon front et je tiens à les utiliser au maximum! Mais à 49 ans, je fais aussi le constat que d’avoir fait durer mes choses à su me permettre de rester en vie. Ça m’a permis aussi d’apprendre des tas de choses; choses qui sont devenues des connaissances et de l’expérience. Et avec cette expérience et ces connaissances j’ai pu continuer à aimer la vie, la trouver intéressante! Je ne dis pas que des fois j’aimerais mieux payer et laisser les autres s’occuper de mon matériel. Oh non, car parfois je me sens vraiment épuisé ou à bout de ressources. Mais je dois avouer que d’avoir accès à une aide en ligne donne un bon coup de main aussi. Plus jeune, je démontais les choses pour pouvoir comprendre et des fois c’était en vain, car je «brisais» l’essentiel du truc et il devenait inutilisable! Et c’est très valorisant de savoir que j’ai moi-même réussi à réparer et \ou comprendre toutes ces choses. Des fois je voudrais pouvoir partager tout ça avec mes enfants, avec ceux qui en auraient besoin. Moi-même je demande de l’aide à ceux qui ont l’expérience dans certaines choses. Je sais qu’en leur «demandant», ils vont m’aider. Je crois que la connaissance est quelque part autour de nous, comme une énergie à laquelle nous avons accès. Je regarde mes enfants, ils ne sont pas du tout comme ça. Pourtant je leur donne un exemple assez réel. Mais ils préfèrent chercher en ligne une cause à leur anxiété, une cause à leurs peurs. Plutôt que d’essayer, ils se portent pâles pour ne pas faire ce qu’ils devraient faire. Le savoir est en ligne, mais ils ne le veulent pas en eux. Il faut chercher longtemps pour les stimuler, les intéresser! Sans intérêt, ils ne veulent même pas essayer! Vraiment dommage. Toujours en quête de réponses sur ce mystère «adolescent», je continue d’élaborer des théories, je cherche des causes possibles. Et par dessus tout, je suis inquiet de leur avenir. On s’en reparle.

C’est reparti.

Donc nous devrons composer avec le fait que ma femme a un os dans la main gauche de cassé. Quel merdier! Après avoir essayer d’avoir un rendez-vous en consultation externe pendant trois jours, car pas si douloureux, nous avons obtenu un rendez-vous hier, à 15:30. Puis la nouvelle est tombée: 4 à 6 semaines d’immobilisation. Ma blonde travaille en radiologie, «une belle cassure» qu’elle a dit. Je me suis empressé de dire qu’on devrait l’exposer dans une galerie! J’aurais aimé mieux recevoir un chèque, mais c’est le genre de circonstances avec lesquelles il faut réussir à composer. Neige ce matin avec un moins dix, il vente! Ce matin marque le retour à l’école du plus jeune. Bien hâte de voir ce que les dirigeants des inutiles commissions scolaires décideront. Une neige très fine qui entre dans toutes les petites interstices. Apparemment il neigera jusqu’à demain. Encore un peu de pelletage. Hier j’ai réussi à faire fonctionner tous mes mes logiciels sur le nouveau PC. C’est bien un nouvel ordinateur, mais au quotidien, l’autre me convenait amplement. Mais comme il avait dèjà cinq ans de loyaux services, le temps était venu de le changer. Que de soucis encore une fois, migrer vers windows 10. Mais je suis passé au travers. L’interface plus tablette de ce système est un peu ennuyante, mais comme je me sers de cette machine pour travailler et non pour parader, ça ne me dérange pas. Et comme je réussis à faire fonctionner ma vieille découpeuse, c’est magique! Car même si elle a quinze ans, elle fonctionne très bien; et en acheter une autre ne fait pas partie du budget pour le moment. Parlant de budget, je dois continuer de bien calculer. Rien n’est plus incertain que l’économie, surtout ces jours-ci. Je me sens pris au milieu de certains dilemmes, mais aussi, je dois me permettre d’avancer encore un peu plus chaque jour. On s’en reparle bientôt, j’ai une petite famille à lever et une bonne journée de travail qui m’attend. À plus!

On repart!

Encore en train de me demander où sont passées toutes ces journées de congé. Comme le temps des fêtes a passé vite! Même si j’ai travaillé quatre jours, je me suis toujours bien arrêté les autres jours! Incroyable, comme à chaque année! Maintenant, passons aux choses sérieuses, soit janvier, février et mars! Ces mois, toujours interminables de par leur hiver. Des mois, disons-le, qui font chier en sacrament! Adaptation, longueurs, températures tout en contrastes, des mois très longs, trop longs. Mais je demeure optimiste, prêt à attaquer cette nouvelle année, laissant derrière une autre année bien remplie. Des fois je me demande ce que serait ma vie sans tous ces imprévus; est-ce que je l’apprécierais autant? Tant de questions, tant de réflexions... Vendredi soir, j’ai même convoqué un conseil de famille! Ça commence bien l’année! Découragé un peu de la légèreté intellectuelle de mes enfants, de leur nonchalance, je n’en pouvais plus. Je leur ai alors demandé de m’écrire ce qu’ils pensent de notre famille, de son fonctionnement. Les plus, les moins, ce qui cloche, ce qu’ils changeraient. Je me rends compte que je n’ai pas donné de délai. Je vais rémédier à cela dès aujourd’hui. Mais une chose est sûre, ça m’a demandé un grand effort. Car la journée de vendredi fut tellement dure à gérer, je me serais enterré jusqu’au printemps au moins, histoire de fuir un peu  mes responsabilités. Mais comme ce n’est pas dans mes valeurs profondes d’agir ainsi, je me suis ressaisi et j’ai trouvé quoi dire. Je déteste me retrouver dans l’état «lamentable» que j’étais vendredi soir, sur l’heure du souper. Épuisé physiquement, incapable de changer de chapeau, soit passer de travailleur à père de famille. On dirait que des fois, la transition m’assomme! Mais bon, j’ai passé au travers et j’en suis vraiment fier! Depuis cette fameuse entrevue, il y a deux mois, on dirait que je suis plus conscient de ce que je fais. Je suis plus en recherche qu’en accomplissement. Mais ce n’est pas clair, je vais devoir y réfléchir encore un peu. D’Ici là, bonne semaine, on se reparle demain si tout va bien.

Premier samedi de l’année.

Hier j’ai écrit avant tout pour me permettre de ventiler un bon coup! J’ai passé au travers de cette journée très dure en émotions, mais aussi physiquement, alors qu’il a neigé toute la journée! Et dire qu’à Montréal, il n’y a pas de neige. Pourtant, nous, on en a depuis le 10 novembre! Et on en a beaucoup! Dernière fin de semaine avant le véritable retour au travail. On lance une nouvelle année en lion! Hier j’ai bien travaillé. Il me reste à finir de configurer mon nouveau PC. Bien que je sois positif, il y a toujours une certaine hantise par rapport au fonctionnement de ma vieille découpeuse. Et il me reste du pelletage à faire. Il faut bien ramasser tout ça, car il y en aura d’autre dès mardi! Pour le moment, relaxation avec un bon café. Ma Douce et tendre épouse s’en va déjeuner avec ma sœur et les enfants, une tradition qui se perpétue. Il aura passé vite ce temps des fêtes, avec les multiples soupers. Toujours une sorte de course, comme nous savons si bien le faire. Et, une fois terminé, une fois le sapin sorti de la maison, tout n’est que souvenirs. Tous ces efforts pour décorer, ajouter de la magie, envolés... Comme si rien ne s’était passé. Quand même, ce dernier sapin, haut de 10 pieds et demi, avec une envergure de 82 pouces, m’a pris une heure trente de «taillage» avant de pouvoir espérer le sortir dehors. Ensuite autant de temps pour ramasser les dégâts. Mais ce fut le plus beau et le plus gros de toute l’histoire de notre Capitolin. Bien ancré dans nos souvenirs, il va passer à l’histoire. Merci pour ce beau Noël! Maintenant il faut réussir à passer au travers de l’hiver, lui qui nous a imposé un mois de plus sous la neige. À bientôt!

Ouf!

Passionnant quand tu penses que dès le 4 janvier, tu as déjà mal au coeur d'être dans ce coin de pays! Que tu voudrais quitter pour un endroit où tu aurais l'impression que les dirigeants en place ont plus de respect pour l'être humain! WoW! Je me sens tellement fru, tellement impuissant. J'ai beau me dire que je dois lâcher prise, que je dois prendre soin de moi, difficile d'y arriver. Les enfant me découragent aussi! Ils ne font plus leurs tâches attitrées, et ils semblent insensibles à ce que nous vivons. De plus, tout ce que nous tentons de dire, de façon la plus zen et constructive possible a sur eux le même effet que si nous les avions traités comme de la marde! Et en cadeau, il neige encore! Au moins le froid prend une petite pause. Je me suis promis de sortir le sapin de la maison aujourd'hui. Il est si gros, je dois le couper en morceaux pour y arriver. Mais je dois retourner pelleter pour aller chercher mon sécateur... Le mercure est à la hausse, mais pas le soleil. Je me rends bien compte que je n'arrive pas à trouver du beau dans ma journée. Alors je vais tenter de remédier à cela d'ici 17:00. Je vais devoir ouvrir une nouvelle bouteille de Jack! Je me dis soudainement que ça pourrait être pire. Alors je reste concentré sur mes objectifs du jour. Car ceux de demain sont tombés difficiles, car le service de mon amie Micheline est à 11:00. Et c'est à Lac Etchemin. Je pense que je vais aller pelleter un peu pour me changer l'air un peu... N'empêche que je suis rempli de bonnes intentions. Mais comment faire pour pallier à toutes ces surprises depuis la nouvelle année. J'écoute de la musique et je travaille doucement. Je suis capable de travailler, j'ai du travail, gardons les choses simples. Je me sens encore un peu irrité. Y a-t-il une façon plus rapide que de respirer? Revenir à ce jour sans d'épuiser à tenir le frein d'urgence? Car retenir le volcan, c'est tellement difficile... Mais le laisser ne me tente jamais. Il n'y a rien de pire. Alors je me calme en écrivant. Constatant qu'il faudra trimer dur encore cette année, mais que les choses progressent doucement. On s'en reparle plus tard, bon restant de journée!

Premier texte de 2019!

Bon matin! Bienvenue sous le dôme en 2019! Ce matin, il fait moins quinze degrés Celsius, il neige un peu. En ce début de nouvelle année, laissez-moi vous souhaiter les meilleures choses qui pourraient vous arriver! Pour ma part, je me souhaite de l’Amour, un gros paquet d’argent, du travail par le biais de projets extraordinaires et que la santé continue de m’accompagner. Un retour au travail très tôt dans l’année, je vais en profiter pour terminer la configuration de mon nouveau PC et finir certaines choses que je n’ai pu compléter en 2018. Je dois aussi m’attaquer à mon activité de financement par excellence, j’ai nommé le Jack Fest 2019! Lequel sera grandiose par la présence des gens, mais aussi par l’énergie qui sera présente pour nous aider à réaliser le meilleur! Je dois aussi inviter les gens de Endbridge à bien vouloir faire acte de présence. J’aurai de très beaux prix pour tout le monde et la traditionnelle tuque! Bref, le travail ne manque pas. L’an dernier, j’ai vraiment donné beaucoup de mon temps pour cette cause, la recherche contre le cancer. Je dirais même que je me suis surpassé. Cette année, j’aimerais faire un peu plus d’argent pour mon entreprise, avoir un peu plus de temps pour moi. Ceci étant dit, je m’en vais prendre ma douche, car l’entraînement fut très intense ce matin et j’ai aussi hâte de recommencer à évoluer dans mon bureau pour une onzième année! Alors au boulot!