C’est là que l’angoisse fait son entrée…

Un matin gris à douze degrés. Très fatigué ce matin, avec le constat que je traîne de la patte un peu partout! J'ai fait un peu de ménage avant de m'asseoir pour prendre un café et écrire un peu. Ma Bibi revient en après-midi, j'ai un nombre incalculables de choses à faire d'ici là. Je ne me sentais pas le courage d'aller en vélo, et j'avais le goût d'en culpabiliser; mais plus j'y pense, plus je trouve que c'était peut-être exagéré. Demain sera la date du déménagement de Cameron. Je pense que j'aimerais mieux me faire perforer la main avec un gros clou, bord en bord, que de participer à ça! Mais parent un jour, parent toujours! Mais je déteste être fatigué autant, je fais trop d'erreurs, ma confiance en moi chute et je suis porté à voir tout comme une grosse montagne. Vivement les vacances! Ce fut une énorme moitié d'année; non pas au niveau des drames (pas obligé...), mais bien au niveau travail. J'ai accompli une somme de travail dont je ne m'en croyais plus capable. Et je ne m'en plains pas; mais le temps est venu de prendre du repos. Par moment, mon cerveau se met à réfléchir, et on dirait que je ne suis plus là, perdu dans mes pensées. Je deviens une statue pour environ une minute! Puis je reviens parmi les vivants! Pas drôle du tout, mais les vacances s'en viennent, alors je vais en profiter pour relaxer un gros brin! Je dis ça comme si c'était facile! Les dernières années m'ont démontré que j'avais vraiment de la misère à me reposer, à m'arrêter; et puis, il y a tellement de choses à réparer, à entretenir, à bâtir! Des fois, pendant ces instants où mon cerveau s'emballe, on dirait que les données s'accumulent toutes en un seul endroit, et que je m'y perds! C'est là que l'angoisse fait son entrée, en se la pètant! Difficile de se sortir de cette spirale complètement folle! Et une maudite chance que je ne suis pas l'actualité de trop près, car ici, dans l'ancienne belle province, legros et son gang voudrait continuer de m'écoeurer, faire en sorte de m'enlever encore un peu du temps qu'il me reste à vivre! Vraiment le pire gouvernement de toute l'histoire de la courte existence! Mais bon, comme j'en ai suffisamment pour remplir ma journée et les trois semaines qui s'en viennent, j'y vais! Bonne journée!

Une autre étape.

Hier je terminais une thérapie de groupe très intéressante, où j'ai rencontré des gens merveilleux. Comme j'étais le seul homme, mis à part un intervenant stagiaire, j'ai tout de même pris un peu de temps pour embarquer, pour laisser aller mes pensées et mes émotions. Mais une fois la chaleur de tout ça passée, je me suis senti respecté, aimé; je pense que je me suis fait des «amis». Loin de moi l'idée de vouloir cultiver de nouveaux amis, mais quand même, je me suis senti capable d'être moi-même, de la même façon que je peux l'être avec Mon ami Alain, ou encore mon ami Laurent. Difficile à expliquer, mais ça m'a fait du bien. Comme c'est terminé, le temps que je me suis accordé pour continuer de travailler sur moi-même m'apparait bénéfique. Et j'ai réussi, comme tous les autres, à ne pas parler de la supercherie. Un peu comme si je n'y pouvais rien. Mais je me suis senti vraiment sous une dictature sans coeur, sans compréhension. Oui, il faut continuer de vivre, mais à quel prix? Voilà où j'en suis. Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve, mais je sais que mon présent, celui que j'ai actuellement, il me dit de vivre, de saisir pleinement ce privilège qui m'est accordé! Alors j'en profite du mieux que je peux.

Vivre heureux le plus longtemps possible.

Il fait onze degrés, très beau soleil qui se pointe encore ce matin! Je me sens triste de savoir que des gens sont punis pour avoir critiqué la façon dont le gouvernement a géré la supercherie! Pour moi, c'est un autre morceau de liberté qui tombe. Ici, dans ce monde «woke», les gens veulent sauver la terre au détriment de l'homme! Les gens veulent effacer l'histoire et la récrire à leur façon, parce que le passé est «malaisant». Pendant que les routes demeurent en gruyère, les hôpitaux tombent en ruine, là où les gens font la file, comme dans les bureaux de passeports, certaines gens en redemandent, de la PCU, des subventions et des congés payés! ALors qu'il y avait encore une file à l'entrée du CLSC lundi matin, que les gens ne veulent pas d'un structurant lourd de transport électrique, et que le maire veut sauver l'antarctique, le chaos règne en maître dans les grandes villes de l'ancienne belle province. Cette énergie est intolérable, voir nocive. Je m'en remets à mon travail, aux petites choses qui font du bien, aux demi-journées qui sont des exploits! Car je veux vivre heureux le plus longtemps possible, loin de toute cette folie! Mercredi déjà, malgré deux rencontres au CLSC, je trouve que j'ai accompli pas mal de choses cette semaine! Et il le faut, car la semaine n'a que quatre jours! Donc ça se termine demain! Pas de rive sud de prévu, je crois que ça ira à la fin de la semaine prochaine, ou dans l'autre. Ça commence à sentir les vacances!

Je me sens quand même bien.

Il fait douze degrés ce matin, le soleil est très beau! Ma ride en vélo fut magnifique. J'essaie de trouver ce qui me tire du jus; est-ce que c'est une sorte de surménage? Peut-être que je travaille trop, mais une chose est sûre, j'ai besoin de vacances. Mais le soleil m'aide beaucoup, il tient mes batteries bien chargées. À me promener comme ça, un peu partout, presque tous les jours, je constate que les rues manquent d'entretien, comme toutes les bâtisses publiques! Alors que le maire, qui fait des jaloux avec sa shape, prône son lourd de structuré, donne son opinion sur l'avortement, dit au gens que c'est SA ville! Cet homme, dont je ne suis pas jaloux, parle de choses et d'autres, mais laisse la ville tomber en morceaux! Pourquoi toujours essayer de se démarquer avec toutes sortes d'élucubrations, au lieu de faire en sorte que l'endroit soit propre, en bonne condition, et où les gens ont le goût de vivre et sourire! Je me sens quand même bien, en me préservant d'aller me mélanger au monde; sinon des fois je me sens un peu mal, l'esprit tordu par l'incohérence chronique qui perdure ici, dans l'ancienne belle province. Avant j'avais soif d'aventure, de journées remplies de nouvelles connaissances! Maintenant, je préfère rester seul, apprendre par moi-même, et éviter de perdre mon temps devant un écran, le cerveau lavé par les réseaux sociaux. À moi de réussir à me guider du mieux que je le peux; le reste, ça se passe une demi-journée à la fois.

Une autre semaine de quatre jours.

Lundi matin pluvieux, il fait vingt-et-un degrés! Ce fut une belle fin de semaine de la Saint-Jean! Comme quoi, sans l'aide d'aucun organisme publique, il est possible de s'amuser, d'être heureux! Et j'en suis fier! Avoir des amis deux soirs consécutifs, et dépasser minuit les deux fois, ça fait très longtemps que c'est arrivé! Je me suis même fait un feu samedi soir, tout seul comme un grand. Mais hier soir, j'étais trop crevé, mais surtout, il faisait trop chaud pour me donner assez le goût d'en allumer un. Hier nous avons dépassé les trente degrés, quelle journée remplie de soleil tout à fait extraordinaire! Je continue de me garder des choses qui peuvent me faire bifurquer de mes objectifs! Je suis tanné de voir apparaître legros un peu partout dans les réseaux sociaux; peut-il disparaître? Donner sa démission, s'il-vous-plaît? Je sens que l'inquiétude me gagne tranquillement. Tout semble tellement irréel Les prix à la consommation ne cessent de monter, le prix de l'essence demeure indécent, les taux d'intérêts n'ont pas monté assez vite, si bien que les gens continuent de dépenser comme si leur vie en dépendait! Il est important de réaliser que certaines gens se sont enrichis avec les différentes «stratégies» gouvernementales; car il ne faut pas se leurrer, les gouvernements n'ont pas réussi à unir les gens, ils n'ont pas été rassembleurs, et cela a aggrandit le fossé entre les riches et les pauvres. Dans une pensée socialiste, il serait normal que la richesse soit mieux répartie, mais comme nos dirigeants sont de véritables incompétents, on peut dire sans se tromper, qu'ils se sont plantés royalement! Ce matin, j'ai une rencontre individuelle avec la psychologue, et tôt en après-midi, j'ai une petite job chez ProColor. Seulement quatre jours cette semaine, comme la semaine dernière. Un phénomène qui arrive une seule fois par année! J'en profite pour aider mon esprit à se préparer pour les vacances. Vacances qui seront encore une fois au jour le jour, comme les deux dernières années! Mais bon, je suis capable, financièrement, de prendre des vacances, alors je vais en profiter pour prendre du repos. Bonne semaine!

Un havre de paix

Tôt en ce premier dimanche d'été, il fait quinze degrés. Je me suis installé sous le gazebo. Contrairement à hier soir, pas de mouches! Hier, assis à mon petit feu, le seul irritant était les mouches! Pour le reste, la tranquilité règnait dans mon coeur, mais aussi autour de moi. Donc je me sens bien, de façon surprenante, étant donné la fatigue des derniers jours. Ce que j'en pense, le soleil! Quand il fait soleil, mes batterie se rechargent tellement bien, mon énergie est présente, et je me sens tellement bien! Ce matin, je fais le constat que legros fut hué pendant un petit discours, donné à Repentigny, pour la Saint-Jean. Ça c'est un signe que ça commence à faire dur; que le PM n'a plus beaucoup de respect de la part des gens. Et de voir des photos du Bel Air de fête, y voir Éric Caire avec un sourire, comme si de rien n'était, ça me rappelle que j'ai bien fait de ne pas y aller! Moi je lui aurais lancé des tomates. QUe fait-il là? De quel droit peut-il réapparaître comme ça, sans excuses, comme un sauveur avec du budget? Dehors les hypocrites! Dehors les «m'as-tu vu»! Dégueulasse! Je n'arrive pas à croire que les gens supportent ça. Je sais que la majorité des gens s'en foutent, qu'ils sont là pour les activités, mais étant donné que j'ai été président de l'association des gens d'affaires de Val-Bélair, je ne m'en fous pas. Pendant deux ans, ces êtres mesquins se sont cachés, ont mis de côté leurs citoyens! Comment se fait-il que soudainement, ils ressuscitent? Je pense que j'ai déjà passé trop de temps sur ce sujet! Mais une chose est sûre, moi, je n'oublierai pas! Et quand le moment sera arrivé, ils sauront que je suis une personne authentique, que je suis toujours moi-même, peu importe la situation, peu importe avec qui je suis! Donc allez faire vos besoins dans le bois, svp! Pour le reste, j'ai l'intention de profiter de mon dimanche, qui sera beau. Et je me surprends à aimer ma solitude, la paix qui se trouve à l'intérieur de moi. J'ai du temps pour moi, du temps pour réfléchir, pour trouver des solutions. Et je crois bien que ce sera le lot des prochaines années. Nous avons discuté de déménagement, encore une fois, par rapport à notre avenir à nous deux. Une vie plus simple, dans laquelle je n'aurais pas d'entreprise, où nous aurions une plus petite maison. Une vie plus calme, loin de tout le bla-bla politique, loin de toutes les sornettes du covid-show! Un havre de paix semblable à celui du Capitolin, mais plus loin des mauvaises énergies. Tout reste à être vécu, une demi journée à la fois. À plus!

Me faire un feu.

Samedi soir, il fait vingt-huit degrés, beau soleil! Mon voisin est en train de tondre son gazon! En plein heure du souper! Toujours intéressant... Joanne vient de partir pour une clinique à Jonquière; elle sera de retour jeudi soir. Ça fait du bien de ne rien faire un peu. Jeudi soir, nous avons fait un feu, malgré la pluie et le temps froid. Nous avons eu une belle soirée! Nous nous sommes couchés à une heure du matin! C'était merveilleux. Et hier, nous avons aussi fait un feu, mais nous avons eu des amis pour souper! Nous avons fait des pilons de poulet sur le BBQ; un vrai régal! Alain avait amené tout son arsenal pour nous jouer des chansons! Contrairement à jeudi soir, il faisait beau, et personne ne gelait! Je vous dirais que c'était très apprécié! Laurent et Nancy, Danielle et Alain, nous avons passé du bon temps ensemble! Nous nous sommes encore couchés un peu tard, minuit trente. Quelle belle soirée! Ça fait différent de celle de 2021, alors que tout le monde s'était absenté chez eux pour resté à l'abri, de la supercherie! Hier, Joanne et moi, avons transplanté deux arbres! Un pin, un de ceux que nous avons planté à notre arrivée au Capitolin, et, un petit sapin, trouvé derrière notre terrain. Ce fut une tâche ardue, mais nous avons bon espoir que les deux seront très contents et à l'aise dans leur relocalisation! Ce soir, un samedi soir, seul comme ça arrive de plus en plus souvent, je ne sais pas trop ce que je vais faire. Mon intention est de me faire un petit souper, ensuite, de prendre une marche et de me faire un feu. Mais je sens que je commence à manquer de jus... Déjà? Il est dix-huit heures, la journée fut merveilleuse et j'entends bien me reposer le plus possible. Loin de la supercherie et autres distractions, je me sens tellement mieux! SUr ce, bon samedi soir!

La Saint-Jean!

Un matin tranquille, assis dehors en train d'écrire! La Saint-Jean! Hier soir, il pleuvait par moment, et il ne faisait pas tellement chaud, mais nous avions tout de même allumé un feu! Et nous avons eu quelques convives pour nous accompagner! Ce matin, il fait dix-sept degrés, un couvert de nuages remplit le ciel. Nous nous sommes couchés à une heure cette nuit! Incroyable! Il est très rare que nous soyons aussi heureux pour étirer une soirée aussi longuement, depuis quelques années. Et ce soir, nous remettons ça; Danielle et Alain viendront nous rejoindre pour un feu! Et il y a certaines choses dont il faut que je m'occupe, comme vider et nettoyer le SPA. Il a la même eau depuis huit mois! Un record! Un vrai record, ici, au Capitolin! Alors il me presse un peu de le vider, et de le remplir d'eau neuve, d'eau le plus propre possible. Étant donné que nous sommes victime d'eau jaune depuis qu'ils ont coupé la forêt derrière, et que ce n'est pas de la faute de personne, alors je dois être vigilant. Parce que même s'il y a une purge, juste au coin de mon terrain, oui, une purge à la borne fontaine depuis le 1er février, je ne suis pas sûr que l'eau soit aussi propre qu'avant! Et cette purge coupe toute pression dans les tuyaux, ce qui est désagréable au quotidien. Dans cette société du no fault, cette société chacun pour soi, une société divisée par legros et le trou d'eau, je me dois d'être vigilant, pour bien faire les choses et surtout, ne pas perdre mon désir de bien faire les choses! Entretenir ce que j'ai, vivre au jour le jour, ne pas laisser tous ces indicatifs asssombrir ma vie! Voilà! Je vous laisse, ma vie m'appelle!

Un petit feu.

Je me suis levé un peu plus tard ce matin. Il fait quinze degrés, encore très gris. Comme la journée d'hier fut grise en entier, le sommeil est plus facile à trouver! C'est la veille de la Saint-Jean, je me sens pas si mal. Hier nous sommes allées, ma Bibi et moi, en vélo. Quarante-cinq kilomètres de vélo! Ça fait du bien, en pleine semaine de réussir à introduire ça dans l'horaire! Nous avons soupé au Costco; ce que nous n'avions pas fait depuis des années! Impossible de mettre de l'essence, la file est mortelle! Malgré les trois rangées de pompes, il y a tellement de gens qui veulent payer moins cher pour leur essence. J'ai choisi de laisser faire, mon urgence de vivre est supérieure au prix du litre d'essence! J'en mettrai ce matin, avant ou après ma job sur la rive sud. Et puis, nous nous sommes faits un petit feu, très doux cette soirée, juste nous deux. Mais nous avons aussi discuté de budget... je commence à être vraiment inquiet pour notre avenir. Tout ça pour dire que les finances doivent être allégées, les dépenses encore plus restreintes! Je capote en maudit. Je finis de payer mon camion en octobre, après je pourrai «accélérer» mes paiements de dettes. Je sais, il n'est pas si grave d'avoir de dettes, mais les taux d'intérêts montent progessivement, l'inflation continue son ascension, et les gens continuent de dépenser, comme si de rien n'était! Hier, au Costco, si vous aviez vu les paniers... je trouvais que les gens achetaient comme si c'était la dernière fois qu'ils avaient la chance de le faire avant longtemps! Mais c'est mon interprétation; je reste aux aguets. Comme la maman merle américain qui couve ses oeufs depuis une couple de semaine. En route vers une fin de semaine de trois jours, mais Joanne part samedi en après-midi. Ce sera une fin de semaine étrange. Et ce sera une autre semaine de travail de quatre jours. Pendant ce temps, je veux réussir à prendre un peu de repos! On s'en reparle!

C’est palpable.

Comment ça va? Il fait quinze degrés, me voilà réfugié sous le gazebo! Les chant des oiseaux, l'absence de soleil, mais une semaine qui avance bien. Je pensais bien aller voir mon père, là-bas, à la place où il a loué une roulotte; mais je ne me sens pas capable de conduire l'aller-retour. Dans ma tête, me fatiguer pour aller me reposer, je me suis promis de ne plus le faire. Tout ce que j'entends autour de moi, des augmentations, un manque de personnel, des difficiultés d'approvisionnement, et des sorties complètement farfelues et déconnectées de nos différents politiciens! Ce que ça fait aux gens qui m'entourent, c'est palpable et c'est très négatif. Ce matin, en vélo, je constatais à quel point la construction «exagérait» avec toutes ces constructions nouvelles! Tout terrain de trois mille pieds carrés est un endroit pour creuser un salage et y mettre une nouvelle boîte pour recueillir des taxes! Hier, en sortant de ma rencontre (thérapie), j'ai choisi d'aller voir un client en vélo! Partir de Loretteville vers Vanier, ça se fait bien. Mais le trafic n'est pas ma tasse de thé. Mais j'ai rencontré des gens très gentils qui veulent restaurer le toit et le capot de leur véhicule. Ce serait une grosse job d'enveloppement. Mes rencontres se terminent la semaine prochaine, c'est sûr que je vais m'ennuyer, mais cela va me libérer beaucoup pour mon travail! Et puis, j'adore me rendre là en vélo, j'économise bien de l'essence et ça me fait du bien! Jusqu'à maintenant, mes démarches personnelles pour réussir à passer au travers de mes inquiétudes, de mes «bobos» dans la tête. Mais ce que ça me prend le plus tôt possible, ce sont des vacances! Alors je continue de bien travailler, petit break en fin de semaine, mais ma Bibi part samedi pour une autre clinique; ça casse un peu la fin de semaine de trois jours qui se dessine doucement.

C’est comme ça que je dois voir la vie!

Dix degrés, j'ai hâte de pouvoir écrire dehors! Mais il fait vraiment plus chaud que prévu; avant de me coucher, j'avais vu un genre de cinq degrés. Tant mieux! Il fera plus chaud, sûrement! Le temps passe tellement vite, j'ai peine à croire que des gens veulent continuer de vivre en télétravail, de rester chez eux pour travailler! Il y a des gens qui veulent une cinquième dose, malgré qu'ils sont malaldes! L'inflation poursuit son ascension, et la ministre des finances veut imprimer un peu plus d'argent pour contrer tout ça! Je capote bin net! J'ai beau essayer de comprendre pourquoi tout ça perdure, je n'y arrive pas. Bien sûr, je peux faire de mon mieux, continuer de travailler, de faire à peu près comme si de rien n'était. Mais j'ai bien de la difficulté. D'Ailleurs, parlant de travail, je trouve que je suis plus fatigué que d'habitude; il me semble que je devrais être un peu plus fort, plus résistant. Je cultive mon sourire, malgré différents irritants, mais je me répète, vive les vacances! Il me faut plus de temps pour récupérer qu'avant. Je sais que j'accumule de plus en plus d'expérience, et que plus le temps passe, moins je récupère vite! Alors je me sens un peu inquiet devant ce manque d'énergie. Pourtant je garde les rangs solide dans mes routines, et je prends soin de moi. Ce matin, j'avais vraiment plus de jambes que les deux dernières semaines, je dois m'accrocher à ça. Hier, devant l'hypoglycémie qui me frappait vers 11:30, je ne m'en suis pas remis de la journée. Ce matin, je suis plus optimiste, plein de positif par rapport au fait que je doive aller voir un client en vélo! C'est comme ça que je dois voir la vie! Et de toute façon, au prix de l'essence, il vaut mieux faire du vélo, et en profiter pour se garder en forme! Pour le reste, rien à faire, sinon s'amuser le plus possible!

Des vacances, ça presse.

Six degrés ce matin, je me suis forcé à sortir dehors pédaler et je ne l'ai pas regretté! La semaine denière, j'ai donné pas mal la claque et je vais encore la donner cette semaine! Malgré qu'elle n'aura que quatre jours, je devrai mettre les bouchées doubles! Par contre, beau soleil en maudit! Comme hier d'ailleurs, alors que nous fêtions les papas chez ma Soeur. Elle nous a reçu chez elle, au filet mignon! Nous avons joué au frisbee et qux quilles finlandaires! Mon père avait le pied pesant sur la boisson, mais pas moi; je voulais m'en rappeler! NOus sommes passés chercher Titi à sa maison, Cameron ne venait pas. C'était quand même super le fun. Et chez Ma soeur, le vent est bien coupé, heureusement! Hier soir, ma douce et moi, avions une sorte de «j'ai pas faim», nous ne sommes même pas allés à la crème glacée! Petite marche, mais nous nous sommes réfugiés dans le salon, petite écoute de télé et au dodo! J'ai bien dormi. Je me demande quelle sorte de semaine ce sera. J'ai besoin de vacances, ça commence à presser!

Un privilège qui s’en vient!

Il fait un beau dix-neuf degrés, je suis allé pédaler un peu! Une bruine qui mouille un peu, mais rien pour m'empêcher de sortir! D'ailleurs je suis dehors pour écrire, pour entendre les oiseaux. Je veux profiter du beau temps ce matin, car ma journée de travail sera pas mal à l'intérieur! Comme hier, d'ailleurs, alors qu'il a fait beau jusqu'à dix-sept heures! La météo nous annonçait un véritable déluge, mais il n'est pas arrivé! Pas si grave, étant donné que nous avions déjà eu plusieurs déluges depuis quelques temps! Rien ne sèche, sauf les pissenlits! L'asphalte est à peine séchée qu'il neige des pissenlits! Hier, j'ai continué d'avancer mon projet d'enveloppement tout l'avant-midi. Ensuite j'ai travaillé sur ma production, et j'ai repris une job, bin oui, encore! Foutu vinyle de marde qu'on m'a vendu! J'aurai repris beaucoup de projets à cause de ce vinyle bon à rien... Mais j'ai appris, je n'en achèterai plus! Ça coûte cher en mausus ce genre d'apprentissage... Il faudrait que je réussisse à tout faire ce qui est à l'horaire aujourd'hui; et si je peux retourner chez Riken, pour reprendre l'effet visuel dans l'enseigne, dans ma tête, ça ferait du bien! Et ce, il faudrait que ce soit avant les vacances! Oui! Le temps passe vite, les vacances, c'est dans un mois! J'ai hâte en mautadit de prendre des vacances, mais en même temps, question timing, je ne suis pas rendu là! Oh non! Mais comme à chaque année, je n'aurai d'autres choix que d'arrêter la machine pour reposer mon véhicule! N'empêche que j'ai vraiment hâte. Tout reste à voir, mais pour le moment, je me lance pleinement dans cette journée, un autre vendredi, un autre privilège que je dois saisir! À plus!

Notre paradis à nous!

Il fait seize degrés, je me suis fait mouiller un brin, en montant la côte de l'aéroport. Alors que le soleil me fonçait droit dans les yeux, la pluie me chatouillait! Mais c'était très confortable! Pas de doublure sous mon manteau, pas de petite tuque sous mon casque, ça fait du bien! Il faut dire que je suis plus frileux qu'à une certaines époque, mais l'important, c'est que je n'aie pas froid aux mains! Car avoir froid aux mains, c'est très dur à assumer; par expérience, avoir les mains qui font mal jusqu'au dîner, non! Hier fut une journée extraordinaire! Une avant-midi à travailler sur un Spacekap, et une après-midi au bureau, pour continuer la production! Très content de cette décisiom! Ça m'a permis d'optimiser ma journée, mais aussi ma semaine! Et je suis moins inquiet des délais à rencontrer! AInsi j'ai pu prendre un SPA avant le souper avec ma Bibi! Suivi d'un souper à la poutine, en décapotable! Et aussi une crème glacée! Et pour terminer, un petit feu dans la cour, notre paradis à nous! Donc il me reste à rester concentrer sur les objectifs du jour! Ce matin, je poursuivrai le wrap chez Fibrobec, ensuite, production au bureau! Je me donne un peu de lousse avec demain pour cette job-là, comme ça la pression du délai descend. Et il me reste une demi journée pour aller virer sur la rive sud, compléter une autre job! Anyway, tout reste à voir!

Tout est immuable…

Il fait treize degrés! Je viens de prendre la météo, il annonce du soleil et vingt-cinq degrés! Pour l'instant, c'est très nuageux, je n'ai pas croisé ce cher astre, et l'humidité est très présente. Mais bon, si il y a une chose sur laquelle je ne peux rien faire, et que je ne peux avoir de l'influence, c'est sur la météo. La journée d'hier s'est terminée plus tard que prévu, alors que ma soeur m'a montré un truc qui pendouillait sous sa voiture. Après avoir analyser et essayer de diverses façons de résoudre ce problème, j'ai finalement trouvé une solution assez simple qui sera durable. Et comme elle venait de faire son antirouille... Ouin. Hier, je suis allé à ma rencontre (thérapie) en vélo. C'était super! Mais j'ai remarqué que plusieurs personnes avaient installé sur leur terrain, des espèces de de petits trucs sur des broches, avec un message, «Ralentissez...». Là où je me demande quelle sera l'efficacité de ces messages, c'est lorsque j'analyse la hauteur, la grandeur et surtout les endroits où c'est installé... Piqué dans le gazon, très bas, très petit. Assez facile à voir en vélo, mais en voiture, pas sûr! À qui est-ce que ça s'adresse? Ici, l'eau continue de couler de la borne fontaine! Les chemins continuent de se déteriorer! Pourtant, je n'ai vu que quelque petites réparations, par ci par là. Mais je vois des maisons, jumelés?, s"élever partout! Des projets qui s'érigent un peu partout, des choses qui vont rester là, immuables... De plus en plus déconnectés de notre quotidien, les dirigeants, que ce soit municipaux, provinciaux ou fédéraux, tous, se foutent complètement des citoyens, ceux qui paient leur salaire! Ça fait des années que je tape sur le clou, que je me débats pour essayer de trouver quelque chose de positif dans cette ancienne belle province, mais je commence à trouver que c'est ma cour qui est vraiment positive, qui m'apporte du bonheur! Par contre, quand vient le temps de sortir, de faire l'épicerie, ou diverses commissions, la bonne humeur disparait assez vite! Existe-t-il encore des endroits où je peux avoir de ne pas me faire fourrer?

Jaser doucement.

Quel beau matin de vélo! Il fait onze degrés! Ma Bibi est revenue hier! Qu'il fait bon de se retrouver ensemble, nous,nous! Des fois je me demande si je devrais en faire un peu plus. Mais je me demande aussi si je devrais en faire moins. Il me faudrait des vacances, des vraies vacances. Il me faudrait une bonne poussée, une sorte de tappe dans le dos. Ma rencontre d'hier avec Jocelyne (psy), m'a plongé dans une sorte de nostalgie; mais j'ai tout de même réussi à finir ce que je voulais faire dans ma journée. Puis, après avoir souper ensemble, nous sommes allés faire une balade en décapotable! Nous nous sommes rendus jusqu'à Courville! La Bûche glacée, bon produit, beaux sourires, nous avons vraiment aimé ça! Puis, un fois le réservoir d'essence rempli, nous sommes rentrés au bercail. Petit feu sous le gazebo, nous avons jasé doucement. En après-midi, j'ai mon avant dernière rencontre de groupe, qui me fait énormément de bien! Mais il faut que ça se termine, car cela m'enlève vraiment beaucoup de temps dans une semaine. Et comme ce n'est l'ouvrage qui manque, je me travaille les méninges en mautadine pour arriver à faire mes semaines! Mais bon, il fait bon travailler sur soi-même, arrêter pour faire quelques ajustements, quelques «réglages» pour améliorer mon quotidien! Pour l'instant, restons la face au soleil, et savourons!

Personne n’a de réponse…!

Quinze degrés en ce lundi matin! Il pleut toujours. Depuis hier vers l'heure du souper, il a tellement plu! Je ne plains pas, même pas un peu! Mais force est d'admettre que d'entendre des dirigeants nous dire qu'il faut ménager l'eau, ne pas trop arroser, que certaines régions vont manquer d'eau.... Ouin! L'eau coule toujours depuis le 1er février, oui-oui! le premier février! La purge installée à la borne fontaine sur le coin de mon terrain coule depuis cinq mois! J'aimerais bien qu'on m'explique tout ce bordel. Personne n'a de réponse, comme toujours, mais l'eau jaune a commencé en même temps que les développements immobiliers, juste après la coupe à blanc, juste derrière chez moi! Personne ne sait de quoi ça dépend! Et c'est toujours ainsi! QUe ce soit pour ma consommation d'électricité, pour l'état des routes, pour la gestion des hôpitaux, pour la gestion de CHSLD, pour tout ce que touche la machine! Chaque fois que la machine bâti quelque chose, ça reste ensuite à l'abandon, et ça finit par être vétuste et obsolète. Il n'y a que des employés trop payés, et encore d'autres employés, d'autres employés, etc. Moi je constate avec les années que je ne fais que payer de plus en plus, pour une machine usagée, maganée, bonne pour la scrap! Mais elle coûte de plus en plus cher! Je sais que je vis en communauté, que nous payons tous pour le bien commun, mais payer la retraite des autres, obligatoirement, m'empêche de pouvoir m'en payer une! Et comme tout tombe en ruine, je suis sûr d'une chose, je vais travailler jusqu'à mon dernier souffle! On s'en reparle, bonne semaine!

Ces précieux moments.

Dimanche matin, il fait seulement dix degrés, mais il y a un demi soleil pour me tenir compagnie! Hier, j'ai travaillé dans l'avant-midi, puis Cameron est venu dîner. Il faisait alternance de nuages, nuages, soleil et nuages. Pendant qu'on finissait, Cameron et moi, de dîner en écoutant un truc sur Netflix, de la visite très spéciale en moto s'est pointée : Jef le douanier Rousseau avec sa tendre amie! Nous avons discuté pendant une heure, puis ils se sont volatilisés, comme ils étaient arrivés. Ce fut un moment absolument merveilleux. Puis le vélo m'appelait! Cameron est parti rejoindre sa bande de D&D; Je suis allé me farcir des côtes un peu, le vent comme compagnon de face; ça ma fait un bien immense! À mon retour, un SPA s'imposait. Le ciel semblait hostile, le vent soufflait...mais à part quelques gouttes, rien n'est venu troubler ces précieux moments! Ensuite, alors que l'ambiance météo semblait vouloir se gâcher, je suis allé faire un brin d'épicerie. Depuis plus de deux ans, aller faire des commissions est devenu une corvée, et avec l'augmentation des prix d'absolument tout, rien ne semble vouloir me réconcilier avec tout ça. Mais ça s'est bien passé! Même que j'aurais pu prendre la décapotable, car il n'a jamais mouillé! J'ai dessiné un peu avant de souper seul, un samedi soir; puis le restant de pizza du vendredi soir fut un régal! Quand je cuisine juste pour moi, je n'ai d'autre choix que de me faire des réserves, car je trouve difficile de faire à manger pour une seule personne! Et plus j'avance dans mon aventure sur la terre, l'appétit dininue, et je me surprends à préférer de plus petits repas. Et je suis aller prendre une marche, sans manteau, ni coupe-vent! Puis, de retour au bercail, j'ai visionné un autre épisode de «Stranger Things». Les épisodes durent tous une heure et quelques, il faut être prêt, et avoir du temps devant soi pour décider d'en regarder un. Puis, c'est vers vingt-deux heures que je me suis couché. Ce matin, réveillé depuis cinq heures, je me suis finalement décidé à me lever, un peu avant sept heures. J'ai jasé avec ma Bibi, elle était radieuse! Elle s'ennuie, comme moi; les fins de semaine sans ma meilleure amie sont longues, même si je sais très bien les remplir. J'ai lu un peu, donné quelques coups de crayons, et je crois bien que je vais sortir dehors m'occuper un peu. À plus!

L’urgence de vivre a beaucoup diminué….

Encore un douze degrés ce matin! J'ai quand même dormi, même s'il fut dur de refaire des petits dodos. Un peu gris, mais au moins il ne pleut pas! Incroyable de constater tout ce qui est tombé comme eau ces derniers jours! J'ai passé la soirée avec Benoît. Le modus operanti était de dire le plus de conneries possible, alors ce fut fait! Maintenant je me sens prêt pour cette fin de semaine sans ma Bibi. Cameron est venu faire un tour hier, le temps de dîner, de faire un peu de boîtes, et de repartir. Vicky aussi est venue, pour la troisième fois, mais je n'étais pas les deux premières fois. J'ai tenté d'installer une nouvelle moustiquaire dans le cadre que j'ai reconstruit. Dur et plate, j'ai fini par réussir. Il me reste encore d'autres moustiquaire à réparer chez elle, mais l'important, c'est qu'elle est heureuse! J'ai ma vaisselle à faire, ensuite m'habiller pour finaliser les affaires à Cazes. HIer, ma visite chez le médecin fut des plus ennuyante, discuter vingt minutes avec une personne qui porte un masque, comme moi d'ailleurs! Quarante minutes pour me rendre sur place, même chose pour revenir! Vingt-deux piastres d'essence! Et obligé de mettre un masque, inutile, inutile, la soumission n'aura-t-elle jamais de fin? Je ne peux pas croire que je devrai vivre dans cette folie encore longtemps! Et pour les moments plus heureux, le prix a tellement augmenté, l'urgence de vivre a beaucoup diminué...Dommage! QUe faire pour remedier à tout cela? Je ne sais vraiment plus. Sourire, rourire encore, prier pour que l'être humain se souvienne qu'une colonne vertébrale, ça sert à se tenir droit! Méchante connerie! Je suis peiné, désabusé, souvent sans sourire, impuisssant devant cette vague socialiste et communiste.... On s'en reparle!

Ça reste à prouver!

Il fait toujours douze degrés, comme tous les matins de cette semaine! Hier soir, il a plus de façon peu banale! Incroyable, quel déluge! Le bassin, derrière, a monté de niveau très vite; je suis même aller voir en personne comment ça se passait. Heureusement que la pluie a baissé d'intensité... Ce matin, on dirait que ça va se clairer. Mais si je consulte la météo, il semble qu'il y aura de la pluie en PM. Bof! Je pense que je commence à me sentir un peu plus fort; toute la semaine, je me suis traîné la couenne comme un vieux pops! Et se lever fut un peu une corvée, comme mardi, mercredi et jeudi matin. Mais je suis optimiste pour aujourd'hui, malgré que je doive aller voir mon médecin à Pont-Rouge! AU début, c'était mignon d'aller aussi loin, mais aujourd'hui, rien n'est plus écoeureant! En plus, je n'ai pas le temps d'aller là! Trois quart d'heure de route pour un rendez-vous de vingt minutes! Sans compter le retour! Comment scraper une demi journée de travail... C'est sûr que je vais être difficilement de bonne humeur. Sinon, d'être rendu à vendredi, c'est toujours fantastique! Bien sûr, ma Bibi ne sera pas là, mais je pourrai me reposer. Mais ça, ça reste à prouver, que je réussirai à me reposer un peu! Mais bon, je dois passer au travers de ma journée, j'ai des objectifs très serrés à rencontrer, et je ne sais pas où tout cela va s'arrêter. Et il y a aussi le fait que les politicos tombent en congé aujourd'hui! Et comme nous sommes encore sous l'emprise du covid show, rien ne va changer jusqu'aux élections du mois d'octobre! Quelle ambiance de merde! L'inflation, elle, ne s'arrêtera pas, et toutes les conséquences du prix montant de l'essence...Ishh! Je ne rien de bon dans tout ça. Mais j'ai juste le goût d'oublier tout ça, de rester serein dans ma tête, dans mon coeur. Pis les autres, ceux qui veulent notre «bien», vous pous pouvez tous aller chier!!!! Bon vendredi!

Incertitude.

Il fait douze degrés, le ciel est moitié clair, moitié nuageux. C'était confortable en vélo. Je trouve que je commance à être plus en forme par rapport aux côtes que je grimpe. Et que dire de ma nouvelle cassette, un charme! Pédaler sans jamais être sûr que la chaîne ne glissera pas, c'est tannant! QUelle journée incroyable encore hier! Je suis allé faire la van Odyssey chez Létourno, et après le souper, je suis allé avec Stephane sur la rive sud, changer des graphiques sur un bateau qu'ils ont acheté. Ce fut très amusant, malgré la pluie! Côté pluie, il a fini par arrêter de mouiller hier matin. Ce fut un déluge incommensurable! Mais il a plu aussi hier soir! Et il y a de la pluie d'annoncé pour cet après-midi! À voir! J'ai bien aimé mes discussions avec Stephane hier; il y a une incertitude qui s'installe partout, dans tous les domaines, que ce soit pour se trouver des employés, pour se procurer des matériaux, mais aussi pour les salaires et l'achat des matériaux! Et tous les prix au détail ne font qu'augmenter, sans parler du prix de l'essence, qui continue de grimper comme une chèvre de montagne! J'ai bien hâte que tout cela se stabilise! Pour l'instant, c'est un cinéma d'horreur, et l'énergie des gens est très lourde. Difficile de se concentrer pleinement sur mes objectifs! AUjourd'hui, je vais commencer un projet d'enveloppement de Spacekap. Je dois diviser mes jobs, car je commence à trouver que la semaine est très longue. Et rien n'est terminé, bien au contraire, je dois me garder très alerte et très en forme, car l'ouvrage rente par la grande porte, même que je pense que le cadre de cette dernière va bientôt céder! On s'en reparle!

Quand même de bonne humeur!

Il fait quatorze degrés, la pluie tombe depuis un bon moment. Chanceux de n'avoir pas trop eu de pluie hier! J'ai bien dormi, même si j'ai l'impression que ça duré juste une heure. On dirait que c'était hier, la grande et grosse journée d'hier... Bah! Je suis quand même de bonne humeur, j'ai pédalé à l'intérieur, je me suis bien entraîné, déjà la troisième journée de la semaine, j'ai tellement de travail que je me sens «poussé» par cette vague d'ouvrage, une véritable piscine à vagues! Mais une piscine sur laquelle je n'ai pas de contrôle! Mais bon, je dois cibler ce qui est le plus important, mais aussi le plus pressant. Hier, nous avons discuté de fatigue physique, laquelle je ne me méfie pas assez. Alors je dois réviser où se situe mes limites, car je me sens tellement ramolli, des fois je sens que cette «faiblesse» m'amène à pleurer, à ne plus vouloir travailler! Pourtant j'adore travailler, j'adore envelopper des trucs de vinyle. Mais là, je suis rendu à envelopper un gros «Spacekap» chez Fibrobec, et on dirait que ça ne me le tente pas. Et quand je travaille comme ça, chez le client, mon bureau est fermé, donc rien ne se fait! Donc à moi de gérer tout ça pour le mieux! J'essaie de bien diviser mon travail, mais des fois, ça ne marche pas toujours comme je le voudrais. Donc, je surveille ça de près... Bonne journée!

Les doigts sur le clavier…

Après une journée plus douce qu'hier, quoi de mieux que de se retrouver seul devant son clavier pour écrire un peu. Je me trouve particulier d'aimer écrire, mais je fais ça depuis mes années du secondaire! Je ne connais pas grand monde qui écrit par pur plaisir. Mais si je reviens sur ma journée, je dirais qu'elle fut fantastique! À commencer par tout ce que j'ai réussi à faire malgré mon état second qui me travaillait depuis mon retour de vélo, ce matin. Mais plus la journée avançait, plus je trouvais que je prenais du mieux. En thérapie cette après-midi, ça m'a encore fait beaucoup de bien! Moi qui redoutais de prendre autant de temps pour moi, parce que j'entrais dans une période achanlandée pour LADO Lettrage...Je peux vous certifier que c'est merveilleux de pouvoir discuter, à livre ouvert devant des gens, des femmes de tous âges, avec qui échanger différents point de vue. Et à mon retour, je suis arrêté porter mon vélo à Vincent, histoire de changer ma cassette. Je reviens d'essayer le tout, ce fut une mise à jour gagnante. Et d'avoir discuter avec Benoît de tout et de rien, mon dieu que ça m'a fait du bien! Et présentement, parce qu'il fait assez chaud pour pouvoir m'asseoir sous le gazebo et écire au grand air, je suis content d'être là, les doigts sur le clavier! Il fait dix-huit degrés, autant en profiter au maximum, de cette journée grise, mais pas tellement pluvieuse. Quand je rentrerai tout à l'heure, je me prendrai une eau chaude devant un petit truc télé, puis j'irai dormir. Si le beau temps perdure, je retournerai en vélo! Pour en revenir à l'ouvrage, je suis vraiment gâté par mes bonnes intentions. Après avoir passé deux années de pauvreté extrême, il fait bon de revoir la marge de crédit sous les vingt-cinq mille... Bref, je suis bien content de tout ça, moyennant de me garder en forme. Et je trouve que je réussis bien, même très bien!L'antirouille sur mon camion, c'est merveilleux! Il me reste à le décontaminer, puis lui donner une bonne cire. Joanne est rendue à Jonquière, elle semblait heureuse lorsque je lui ai parlé tantôt, devant le Phamiliprix. Merci pour tout ça.

2,239$

Ouf! Ce fut une grosse journée hier! Mais je suis vraiment content que tout ça soit fait! Bien sûr, faire un camion, et grimper pour installer des plexiglass de huit pieds par six pieds, c'est beaucoup pour une seule journée! Mais je survis bien ce matin, alors que le soleil me saluait bien brillant, une fois rendu en haut de la côte, coin de la Montagne. Et ça m'a fait du bien! Ce matin, douze degrés, je vais conduire ma Douce au garage de l'institut; elle part pour Jonquière jusqu'à lundi prochain! Elle semble bien contente de partir travailler avec sa collègue Elisabeth. Moi je vais travaillé ma semaine, même si j'ai une rencontre ( thérapie) aujourd'hui en PM et un rendez-vous chez le médecin, à Pont-Rouge, en avant-midi. Cela me retire bien du temps dans une journée. Avec le prix du litre d'essence qui siège maintenant à 2,239$, aller à quarante-cinq kilomètres de chez soi pour aller chez le médecin, ça commence à être dispendieux, ce service «gratuit»... Et je vais en parler à mon médecin. Médecin que je n'ai pas rencontré depuis octobre 2019. Que dire de plus, il y a toujours des masques dans les cliniques, les CLSC, les transports en commun; c'est une supercherie interminable, une véritable arnaque qui commence à me pomper beaucoup trop. Et comme legros sera en congé grassement payé par notre argent tout l'été, je pense bien que ce sera comme ça jusqu'à un changement de gouvernement! Je ne veux pas faire mon oiseau de malheur, mais personne avec un peu d'autorité n'a manifesté une tendance inverse! Donc je prends mon mal en patience, esti que je suis écoeuré! Profitons du soleil qui semble vouloir se cacher pour le reste de la journée.

N’importe quoi!

Encore dix degrés ce matin, il fait gris. Nous fumes gâtés dans la météo en fin de semaine! Samedi, trois orages de file, dont un avec de la grêle! C'était surréel! Et bien sûr, cela a changé un peu nos projets. Mais vendredi soir, nous avons reçu nos amis Laurent et Nancy. Petite marche, petit feu au propane sous le gazebo. Samedi, souper chez Danielle et Alain, très arrosé, en alcool et en eau qui tombe! Et hier, nous sommes allés à la course du maire. Ce fut vraiment plaisant, et nous avons dîné à la Fosse, avec des amis avec lesquels il faisait bon se retrouver. Pendant ce temps, les merdias continuent de publier n'importe quoi. Il semble que ce soit une ligne de conduite, soit de réussir à faire peur aux gens, les rendre angoissés! Et legros continue de se prendre pour une star, parlant de protection de la langue, au lieu de s'occuper de la province, qui tombe en morceaux! En mille miettes, sans compter que l'inflation nous dévore doucement... Je me sens piégé de toutes parts, car rien ne semble pouvoir arrêter la catastrophe imminente qui s'en vient! Et comme nos dirigents sont trop occupés à se vanter, à s'aimer, à se trouver bons, il n'y a rien de positif qui s'en vient! ALors je surveille ça de près, pour saisir les bons moments et les vivre pleinement!

Faire ce que j’aime.

AU sortir d'une semaine très remplie, me voilà enfin rendu au vendredi! Douze degrés, il ne pleut pas, malgré les prédictions. Le ciel est gris, et je crois que ce sera une journée mouillée. Mais pour l'instant, je suis allé en vélo, j'ai fait un peu de muscu, et ce sera une belle journée. Nous avons un souper demain soir, chez des amis. Ma foi, je trouve ça fantastique! Je ne sais pas si je suis fatigué ou encore désabusé, mais je me sens vraiment vidé. Mais je suis capable de travailler, de faire tout ce que je veux faire, mais je sens que ça commence à frotter partout... Je ne sais pas combien de temps je réussirai à continuer de faire ce que j'aime, mais je veux arriver à mes objectifs! Il faut absolument que je passe au travers de cette période noire, qui continue de venir me chercher. L'arrivée de la belle saison me fait du bien, mais il semble que son départ est long. Comme je n'ai pas tellement de chose à dire, et c'est rare, je vais me retirer. Bonne journée!

Ça ne suffit plus.

Ouf! Je me sens tellement fatigué, difficile de croire qu'il me reste encore deux jours à faire dans cette semaine! Je pense que j'ai un peu exagéré sur ma machine, mais je suis heureux. J'aimerais prendre un peu de temps pour moi, relaxer un peu. Mais le travail est là, et je dois me ratrapper, remonter la pente financièrement, Je ne me plains pas, mais je trouve que je tire de la patte. On dirait que je ne me renouvelle pas aussi vite qu'avant. J'ai beau m'entaîner, ces jours-ci, ça ne suffit pas. Je dois me concentrer sur mon travail, garder mon énergie pour l'essentiel. Je me sens bien, les idées dans la tête pas si pire, je continue du mieux que je le peux. SI je trouve que je ne peux vraiment plus, alors je prendrai une pause. Je m'accroche fort, la vie s'est un peu calmée. Hier soir, nous sommes allés en décapotable, souper chez Micheline et aller au Costco. Presqu'amusant au Costco, malgré une augmentation générale des prix. Dans l'après-midi, je suis allé mettre du gaz dans mon camion, vers quinze heures; Il y avait une file à chaque tank! D'où viennnent tous ces gens? Ne devraient-ils pas travailler? Tellement de boomers, je suis vraiment «scié» en deux de voir que notre tâche de travail, pour payer les retraités, est devenue tellement énorme! On dirait que je devrai travailler jusqu'à ma mort. En tous cas, je dois continuer, garder mon sourire pour les bons moments.

Il faut que ça change!

Un petit sept degrés très humide. Je dis petit parce que ça me semblait bien plus froid que ça! Mais je dois me dire que le soleil est là, et il brille! Avoir les rayons dans le visage en pédalant, perdre la route par moment, c'est fantastique, à cinq heures du matin! Je me demande où est-ce que l'économie s'en va, si je regarde le prix du baril de pétrole qui est passé à 119$, mais aussi l'urgence «sanitodépressive» qui se perpétue! Il n'y a rien à comprendre dans tout ça. Je trouve que c'est faire exprès pour étirer la sauce! Vouloir que tout aille mal, c'est le genre de chose qu'il faut faire! Tous les entrepreneurs ont des bâtons dans les roues; que ce soit du côté municipal, provincial ou fédéral! La «machine» se sert partout! Je refuse de continuer à vivre dans un endroit où les personnes qui représentent nos intérêts nous pressent comme des citrons! La majorité de ce que je gagne va dans les poches de quelqu'un d'autre! Il faut que ça change, mais je ne sais pas comment faire! Et je trouve que les gens ont l'air d'aimer ça! Pourquoi? Parce que personne ne fait rien pour que ça change! Il n'y a rien, ni personne qui semble vouloir du changement. Sinon que nous soyons adoptés par l'état! En tous cas, je vais travaillé ma journée, avec le sourire, ensuite nous verrons! Bonne journée!