lundi 31 octobre 2016

Bon lundi!

Une fin de semaine de préparation pour cette saison qui débute le 21 décembre. Et un avant-goût de l'Halloween avec 2 partys. J'ai trouvé que nous étions vieux samedi soir, en place pour une soirée très mouvementée. Party chez des amis, tellement de monde, tellement de personnes qui voulaient en faire encore plus! Difficile de suivre, mais aussi difficile de se retrouver dans une soirée aussi impersonnelle. Pendant ce temps, notre plus vieille donnait une soirée à la maison avec son chum et 10 autres convives. TOut s'est bien passé. Il faut bien commencer quelque part. Avec toutes ses vidéos sur YouTube qui dépeignent la vie comme un immense party rave, des fois on se demande si la vie qu'on vit est bien réelle! Mais quand on revient au boulot le lundi, force est d'admettre que la réalité est bien celle-là : travailler, donner son maximum, sourire autant qu'on peut et regarder la marche du monde. Continuer de penser à l'avenir, mais ne pas en faire tout un plat. Laisser venir les occasions, prendre le temps de payer nos choses et essayer de rester positif. Quand on se met à penser, à comprendre, il est toujours difficile d'admettre que notre salaire ira pour les fonds de pension des autres, la négligence des autres, mais surtout pour l'inconscience des autres. Ce soir, en ce 31 octobre, la vie nous donne une autre chance de rester jeune, de voir la vie avec d'autres couleurs. Autant en profiter. Bonne semaine!

vendredi 28 octobre 2016

Enfin vendredi!

Quelle semaine encore une fois. Moins physique, mais tellement remplie! Content d'arriver enfin au bout. Mais une chose change, la consommation de carburant festif. Avant, le vendredi soir, il fallait décanter la semaine, mettre le stress de côté et réussir à relaxer un tant soit peu. SOuvent difficile d'y arriver sans ajouter certains relaxants musculaires... Maintenant, peut-être est-ce l'âge, j'aime mieux être en bonne compagnie, jaser un peu et laisser la nature faire son œuvre. De toute façon, la fatigue a tôt fait de me rattraper! Mais le camping aide beaucoup. Car les lendemains sont vraiment plus relax. En arrivant, rien ne me retient, ni la faim, ni l'heure, ni le téléphone. Il m'appartient d'être heureux. Et c'est probablement tout ce qui nous reste! Cette semaine, suite au révisions budgétaires de notre gouvernement en place, les amis de QS sont sortis pour nous dire que, nous, la classe moyenne, étions plein aux as! Que nous n'avions pas besoin de plus d'argent dans nos poches! Ils ont même dit qu'on allait s'acheter plus de télés aux plasma, de voitures neuves, etc. Comme si gérer notre argent nous-mêmes serait un crime contre la société! J'aimerais en parler un peu plus, mais je sens que je vais gâcher ma journée! Mais une chose est sûre, je choisis d'être heureux et ça m'appartient! Le reste, bien, on verra!

jeudi 27 octobre 2016

Quel bon film!

Manteau de neige ce matin, inutile de dire que je trouve ça hors saison. Mais que voulez-vous, nous sommes au Québec! N'empêche je m'en serais vraiment passé ! Hier, nous sommes allés voir un film. «Sully» Ça raconte l'histoire d'un homme, un pilote, qui a atterri sur la Hudson River. Amerrissage est le vrai mot. Tout au long du film, cet homme est brassé par les enquêteurs, il se remet en doute. J'ai vraiment aimé ce film. Nous étions huit dans la salle. Le film est en salle depuis un mois et demi, c'est quand même bien pour un film où personne ne meurt! Car l'avion ne pouvait plus fonctionner après un décollage presque terminé. Je dis ça parce qu'ils n'ont pas eu le temps de prendre leur altitude de vol. Ils ont traversé vraisemblablement une envolée de canards! Mais quelle envolée! Les deux réacteurs du Airbus 320 ont grillé! Après avoir tout essayé, n'ayant plus assez d'altitude pour rebrousser chemin ou encore aller se poser pas trop loin, l'unique choix était de «déposer» l'avion sur la Hudson River. Un chef d'œuvre d'image. Content d'avoir vu ce film au grand écran. Une fois l'avion dans l'eau, vingt-quatre minutes se sont écoulées pour permettre à tous les intervenants d'évacuer tout l'équipage. Une opération réussie, digne de mention et de récompenses! La reconstitution est tout à fait incroyable. Et les passagers ont été tellement calmes! Le calme du capitaine, l'attitude soutenue du personnel de bord, tout à bien fonctionné! C'était en 2009, le 15 janvier. Mais ici, au Québec, nous n'en avons pas vraiment parlé, car il n'y a eu aucun mort. Dommage, quelle leçon de courage! Un film inspirant qui devrait être diffuser dans les écoles. Et l'acteur principal, Tom Hanks, est égal à lui-même, soit excellent. Et puis, l'hommage présenté à la fin, avec le vrai capitaine, le vrai personnel de bord et les passagers est un baume pour tous ceux qui furent éprouvés dans cette aventure.

mercredi 26 octobre 2016

Foutaises!

Y a t-il quelqu'un qui croit vraiment à des surplus chez notre gouvernement? Alors que ce dernier se plaint depuis sa venue en haut que les coffres sont vides? Et puis, si on regarde la dette, je n'arrive pas à imaginer des surplus. Chaque année, quand nous sommes en période d'impôts, je me demande tout le temps si un jour, j'aurai des surplus. Pour avoir des surplus, il faut avoir payer tout ce qu'on doit. Avons-nous, citoyens du Québec, payé tout ce qu'on doit? Pouvons-nous dire au reste du pays que nous n'aurons pas besoin de péréquation cette année? De quoi parlez-vous, monsieur le couillon? Être aussi intelligent et nous raconter de pareilles histoires! On dirait que vous nous prenez pour des arrièrés! Avez-vous déjà eu faim? Est-ce qu'une fin de mois vous a déjà fait peur? Peut-être que vos belles paroles en séduiront quelques uns, mais dieu du ciel, vous devriez changer de discours! Je sais que je me répète, mais commencez par couper au sein de votre cabinet, donnez l'exemple un peu. De toute façon, je parle toujours dans le vide, personne n'a le goût d'entendre quelqu'un parler de politique et\ou d'économie! Les gens sont complétement soumis, désabusés, dans leur pensées les plus heureuses, il y a leur départ de la belle province. Dommage...

mardi 25 octobre 2016

Soyez prudent.

Il semble que les médias l'ont encore échappé avec l'histoire d'une étudiante, d'un député et certaines allégations autour de ces deux personnes. Alors que certains en profitent pour faire circuler des discours complètement extrêmistes, d'autres tentent de récupérer le tout en parlant contre les libéraux. Bref, depuis vendredi dernier, nous avons eu droit à toutes sortes d'histoires, tellement, qu'il est maintenant difficile de savoir si tout ça est vrai. Car il y a trop de contradictions dans cette histoire. Mais ce qu'il faut retenir, car il faut apprendre de ce genre de situation, c'est de ne pas en parler aux médias sans être représenté. Dans cette société où nous sommes, il vaut mieux ne pas réveiller les médias trop vite, car ils saisissent tout comme des hyènes, se disputant entre eux, ne laissant que des miettes dont plus personne ne voudra. Et c'est vraiment dommage. Il y a sûrement une vérité quelque part dans toute cette affaire, mais peu de gens sauront vraiment ce qui s'est passé. Je retiens aussi une chose, plus tu as une vie, une carrière publique, plus il est important de marcher droit. Avant de s'investir corps et âme dans une vie «publique», mieux vaut être paré et plus blanc que noir. Maintenant avec les médias sociaux, rien n'est secret. À l'époque, dans un petit village, les nouvelles couraient vites, mais aujourd'hui, à travers le numérique, il n'y pas de limite de vitesse aux nouvelles, mais aussi aux rumeurs et autres qu'en dira-t-on... Je ne dis pas d'avoir peur, au contraire, soyez heureux et en paix avec vous-même!

lundi 24 octobre 2016

Du pareil au même!

Après certaines discussions avec quelques uns de mes clients et amis, j'en viens à la conclusion que l'idée de mettre le salaire minimum à quinze dollars ne peut se solder que par un échec. Personne jusqu'à maintenant n'a réussi à trouver quelque chose de bon dans ce foutoir. D'ailleurs les gens préfèrent me parler contre Trump, alors que, moi, présentement, je m'en fais pour notre économie, notre climat social. Ils éliront qui ils veulent, ce sont eux qui devront assumer ensuite. Nous avons passer par là il y a un an et ce fut tellement dur, je manque d'intérêt pour les élections de nos voisins. Et comme plusieurs se sont indignés devant les nouvelles mesures pour faire l'acquisition d'une maison, je suis obligé de comprendre que bien des gens comptaient encore s'endetter jusqu'au coup. Et qu'ils sont mécontents de ne plus pouvoir accès à ce statut! Le taux directeur est demeuré le même, heureusement pour nous tous. Mais je ne parviens pas à voir au delà des paiements. Depuis des années, nous payons, sans jamais réussir à prendre les devants. Chaque fois que nous visualisons un rêve, la vie nous ramène vers d'autres sentiers plus sinueux. Ayant fermé le dernier trimestre récemment, je constate que rien n'a changé. Si le trimestre fut vraiment difficile, alors les temps sont plus durs. Par contre, si le trimestre fut vraiment profitable, alors les taxes viennent tout nous reprendre. Difficile de prendre de l'expansion, difficile de parler de l'avenir. Et c'est compliqué pour rien; pourquoi charger des taxes à nos clients et les redonner au gouvernement? Cette situation n'est payante que pour lui. Selon mon exemple démontré ultérieurement, la multiplication des taxes ramène de l'argent vers les gouvernements. Pourtant la dette ne fait que monter. La vraie question est que font-ils avec tout cet argent? Un peu de transparence serait la bienvenue. Bon lundi!

vendredi 21 octobre 2016

Saisir l'occasion

Déjà vendredi! Je sais, c'est formidable! Mais je commence à trouver que ça passe trop vite. La vie s'égraine sans arrêt. Je dis ça comme ça parce que c'est épeurant de constater à quel point nous vieillissons vite. Chaque journée est unique et ne reviendra pas. Il fut un temps où cela ne me dérangeait pas de sentir le temps passer. Je me disais que les accomplissements principaux étaient faits, que s'il fallait que je parte, bien ce n'était pas grave! Mais aujourd'hui, il semble que j'ai d'autres objectifs, d'autres choses importantes à accomplir. J'ai aussi des responsabilités en tant que père, époux et chef d'entreprise. Ce n'est pas une question de dépassement, mais bien de réalisations. Et puis, je veux être là pour regarder la marche du monde encore un peu. Car mon séjour n'est qu'un coup de vent dans l'éternité. Plus jeune je voulais me faire remarquer par toute la terre; aujourd'hui je préfère être plus discret. Oh certains diront que je ne le suis pas tellement, mais cela me va! J'aime mieux naviguer en eaux de mer qu'en eaux troubles. Et si le destin devait m'appeler, alors je serai toujours prêt, sans regret. N'oubliez pas de vous amuser!

jeudi 20 octobre 2016

Isshh!!!

Après une année remplie de selfies, notre PM continue de se pavaner ici et là, se foutant complètement des citoyens. Ce qu'il ne réalise pas, c'est qu'il est notre employé! L'an dernier, j'ai eu tellement de misère à m'en remettre! Une journée entière à me gruger les sens, à ne pas trop savoir quoi en penser. Mais il n'y a rien qui a changé du côté de notre PM. Par contre j'ai réussi à me contrôler, à garder mon calme lorsque je vois une de ses photos. Je crois aussi qu'il n'est qu'un couvert devant les vrais dirigeants. Mais ce n'est pas drôle pour autant. Après une année entière, que de déficits, et, que doutes s'interposent dans sa lancée. Je ne comprends pas pourquoi les gens sont si accrocs à l'apparence. Campagne bien ciblée, image sans cesse renouvelée, mais rien de grandiose, voire rien du tout. Endettement, craintes et division. Voilà ce qu'il a fait. Après avoir été élu avec promesse d'endettement, il a soulevé le doute et les inquiétudes avec des dettes encore plus grandes que prévues. Et, ses courbettes avec le côté obscur n'ont fait qu'alimenter le feu et les gens sont de plus en plus divisés par rapport à l'immigration. Pour lui, les gens qui cognent aux portes pour demander des explications, ce sont des manants qui ne savent pas de quoi il parlent. Encore trois ans...

mercredi 19 octobre 2016

Inquiétude

COmme je n'ai pas trouvé de point positif à l'augmentation du salaire minimum, je me suis promis d'en parler avec certains de mes clients. Comme ils sont tous en majorité des entrepreneurs, ils auront eux aussi une vision réaliste de cette idée étrange. Parfois je réussis à voir clair dans certains projets de loi, projets qui vont permettre, par le biais de lobbies, à plusieurs personnes de s'en mettre plein les poches. Je ne dis pas que c'est avantageux pour les citoyens, mais au moins j'y trouve un certain sens. Mais cette fois, difficile d'y trouver du bon ou du moins bon. Il n'y a que des choses catastrophiques en vue. Mais il faut s'accrocher à son propre quotidien, fonder nos propres espoirs. Les gens qui ont acheté une maison «à crédit» et qui veulent investir avec une marge de crédit hypothécaire sont les plus surpris de voir la valeur de leur acquisition diminuer. Ceux qui veulent vendre pour se refaire, sont eux aussi très déçus de la tournure des choses. Mais les taxes foncières, elles, vont-elles diminuer? Seul le Maîîttrrre le sait. Je suis doublement triste à cette simple pensée. Peut-on imaginer un jour avoir un petit break? Un petit répit dans les paiements? J'aime commencer ma journée en me rappelant qu'il va faire soleil, histoire de recharger nos batteries un peu! Bonne journée!

mardi 18 octobre 2016

JE m'interroge...

Je voudrais faire une réflexion sur le salaire minimum. Déjà, selon ce que je perçois, ce salaire est déjà trop élevé. Ce sont les aides sociaux qui sont trop généreuses! N'importe qui, qui s'arrête pour calculer un peu, s'aperçoit que c'est plus facile d'arriver lorsque les médicaments, les frais de dentistes, ophtalmologistes et autres sont payés. Par contre, il y a tellement un déséquilibre dans notre société, beaucoup de gens en arrachent avec 10,75$ de l'heure. Mais la solution n'est pas de l'augmenter. Cela pénalisera les PME qui ont besoin de main d'œuvre, et inévitablement, ceux qui cherchent du travail. Car à ce salaire proposé, les PME n'auront d'autres choix que de resserrer le budget. Elles devront trouver des solutions de production avec moins d'employés. Donc plus de chômage. J'ai beau étudier cette proposition, je n'arrive pas à y trouver quelque chose de positif! Qui est-ce que ça va aider? Comment cela peut-il être bénéfique? Je n'arrive pas à comprendre. Et puis, tous les employés syndiqués ou sous décret devront être augmentés eux aussi! Est-ce que le chiffre d'affaire de leur employeur aura augmenté, lui? Quel non sens! Je ne saisis pas l'intérêt, le bien d'une telle manoeuvre! Celui qui a lancé cette idée au départ, c'est qui? Je ne sais pas si je vais perdre d'autre temps à tenter de trouver quelque chose de positif dans cette idée. On s'en reparlera sûrement.

lundi 17 octobre 2016

Savoir apprécier...

Quelle fin de semaine encore une fois bien remplie. De la visite vendredi soir, de la visite samedi soir, pour souligner l'anniversaire de notre grande fille. J'ai commencé la corvée du lavage des fenêtres extérieur. Nous sommes allés chercher le cart au camping, fermer l'extension et ramener quelques trucs avant la saison froide. Nous ne nous sommes pas couchés trop tard. Mais la petite semaine de quatre jours avait frappé fort physiquement. Ce matin, je me sens bien, un peu mou, et j'aurais pris au moins une autre journée de congé. Mais bon, j'aurai suffisamment le temps de me reposer quand je serai mort. Trève de plaisanteries, le temps passe tellement vite. Nous avons installé quelques décorations pour la fête d'Halloween qui s'en vient. Les températures commencent à être vraiment plus fraîches et dans pas long, novembre s'installera avec ses caractéristiques saisonnières dont je n'ose mentionner les mots. Car je n'y tiens pas vraiment. J'aime mieux ne pas y penser. Tout le bardas qu'amène ce changement de saison! Il y en a qui ne jurent que par ça. Mais moi, je me souviens de cette saison 2007-2008. Record à vie de précipitations, je n'ai pas réussi à m'en remettre. Et puis, y a rien comme étendre du vinyle dehors. Difficile sous la barre du zéro degré. Ce matin, avec un 7 degrés, malgré une chaussée mouillée et garnie de feuilles, la balade en vélo en valait la peine. Chaque matin que je peux aller pédaler dehors est une opportunité que je saisis avec le sourire. L'air pur, la sensation de liberté. C'est bien le vélo sur mon rouleau, au chaud dans le garage, mais ça devient long. Six mois dehors et six mois en dedans. Mais l'été dernier m'a permis de faire un peu plus de vélo. DU vélo en équipe, de plus grandes balades; de quoi se dégourdir un peu. Pour moi, c'est le sport par excellence. Je comprends les gens qui jouent au golf, qui jouent à la balle, au soccer. Se dépenser pleinement en oubliant les tracas du quotidien. Pour moi, une bonne ride en vélo, y a rien de mieux.

vendredi 14 octobre 2016

Ouf! Méchante analyse!

Mes enfants sont en congé aujourd'hui. Comme lundi dernier. Bon c'était l'Action de Grâces, mais chaque année, je me pose la même question. Ont-ils trop de congés? Comment peuvent-ils se concentrer avec tous ces arrêts? Quand je les écoute me raconter leur journée, ils me partagent aussi que c'est plate quand la remplaçante se fait remplacer. De plus en plus, l'année scolaire se veut une succession de remplaçants. Bravo! Que dire à nos enfants quand ils te disent que c'est le deuxième suppléant de la semaine? Que ce dernier ne connaissait pas la matière? Il faut les garder concentrer. Pour moi, c'est inadmissible qu'un professeur ne puisse pas être là toute l'année! Je me souviens à la fin de l'année 2015-16, ma plus jeune me rapportait qu'il avait eu un suppléant toute l'année, que ce dernier était intéressant, que l'année s'était bien passée. Mais que le professeur régulier revenait trois semaines avant la fin. Elle m'a dit qu'il n'y avait rien à faire, histoire de convention et de syndicat. Elle était vraiment affectée par cet événement. Pas besoin de vous dire que le professeur que tu as eu toute l'année, c'est celui-là auquel tu es habitué. C'est avec lui que tu as cheminé, que tu t'es appuyé pendant des mois pour apprendre la matière. Et, du jour au lendemain, pouf! C'est un autre, que tu ne connais pas, qui vient pour trois semaines! Ce n'est pas comme une job où peu importe qui rentre le matin, en autant que l'ouvrage soit fait. Il y a des enfants d'impliqués, qui sont en apprentissage! À l'école, le professeur, c'est comme le parent. Ça me ramène encore au dossier de mon fils. Il a besoin des intervenants du CRDI et CLSC. Mais ces derniers changent constamment de poste, où doivent prendre vacances, ou autres. Alors le suivi est sans cesse entrecoupé de mise à jour du dossier, de séquences «vides» où est-ce que la personne doit étudier le dossier, essayer de comprendre. Depuis plusieurs années, ce n'est qu'un cercle vicieux qui ne mène à rien. Et chaque fois qu'une nouvelle personne se pointe, pour lui, une personne asperger, c'est très difficile. Le seul perdant dans tout ça, c'est mon fils. Bref, je pourrais en parler encore longtemps, mais je dois travailler si je veux facturer. Par contre, ceux dont je viens de parler, eux, seront payés pareil, peu importe la vie.

jeudi 13 octobre 2016

Petit constat

Ce matin, je fais le constat que mon sommeil est troublé par la recherche de solutions. Un phénomène qui me tiraille depuis bien des années. Quand, dans mon horaire, j'oublie des choses, c'est qu'il y en a trop. ALors inconsciemment, je recherche la cause, j'essaie de m'ajuster. Qu'est-ce qui fait que j'oublie certaines choses? Est-ce la fatigue, est-ce de la négligence? Quand je réussis à trouver, il arrive que je trouve une solution. Pour l'instant, je sais que certaines personnes réussissent à me déjouer. Ils profitent de ma générosité pour m'en demander un peu plus. Ce n'est pas une question d'argent, mais une question de temps. Et chaque fois, je me rends compte trop tard. Je deviens irrité, et je fais des erreurs. Et c'est là que l'inquiétude s'installe. Alors à moi de veiller à ce que cela ne se produise pas trop souvent. Et les personnes qui me jouent le tour sont souvent des personnes que j'aime beaucoup, des personnes près de moi. Bref, tout cela m'empêche de dormir un peu. Je n'en souffre pas vraiment, mais je suis différent avec les autres, plus dans ma tête. Et j'ai tendance à ne pas faire attention à mon apparence. Mais bon, je vais continuer ma journée, on verra bien.

mercredi 12 octobre 2016

Prenez garde!

Dans cette province qui est la nôtre, rien n'est comme ailleurs. Nous payons des (deux!) taxes sur tout. Nous sommes surveillés dans tout ce que nous faisons. Nos pensées sont mieux à l'intérieur de notre tête, car on ne peut pas dire ce que l'on veut. Si vous avez besoin de soins, faites tout ce que vous pouvez par vous-mêmes, car vous risquez d'attendre vraiment longtemps. Vous avez des idées, vous avez des projets d'investissement? C'est sûr qu'une autre province serait mieux choisie. Et depuis quelques années, et ça, c'est comme ailleurs, n'en faites pas trop devant les autres (des niaiseries), car les réseaux sociaux sont là pour vous publier! Bref, nous sommes libres. Nous n'avons pas d'ouragan, pas de tremblements de terre, nous avons inventé le sirop d'érable, la Poutine, l'hydro-électricité et nous avons les plus belles femmes! Donc pourquoi chiauler? Je me dis que c'est mieux de faire ses affaires, de rester «low profile». Mais parfois il fait bon arrêter un peu, laisser nos esprits divaguer dans des discours légers. En ajoutant certains relaxants musculaires comme une bonne IPA ou un verre de vin. Mais c'est à faire attention, car là-dessus aussi, nous sommes surveillés. Même le prix des relaxants est surveillé et contrôlé. Dans cette province, les prix sont gérés par la loi. Comme un cartel, mais légal. Légal? Bof!

mardi 11 octobre 2016

Préserver son quotidien.

Ce fut une fin de semaine bien remplie dans laquelle j'ai tout de même réussi à aller chercher du temps pour relaxer. Que de travaux à la roulotte. Mais je tiens à ce que l'an prochain soit une autre saison de bonheur. Notre petit coin est très tranquille, pas trop loin des amis, mais bien à nous. Des fois je pense que c'est moi qui est un peu réserviste de ma vie. À force d'être mon propre patron, de toujours prendre les décisions, des fois je fais la même chose dans ma vie personnelle. Et je ferais bien des détours pour protéger cette vie que j'ai. Protéger ce bonheur que j'ai choisi. Il y a bien des jours où je suis un peu fatigué, mais j'insiste pour être heureux. J'aime partager ce que j'ai, ce que je sais, mais c'est moi qui décide. Alors il fait bon vivre. Dans cette société où plus rien n'est privé, où tout est prétexte pour apparaître sur les réseaux sociaux, pourquoi ne pas relaxer un peu? Mettre de côté ces appareils «intelligents». Prendre le temps de vivre pour vrai. Bonne semaine!

vendredi 7 octobre 2016

C'est malheureux

Ce matin je suis inquiet. Déjà tellement de personnes qui sont mortes à cause de l'ouragan qui balaie présentement la Floride. De savoir que ces gens sont là, entièrement démunis, sans ressources. En Haïti, il y a une rivière qui circule depuis deux jours à la grandeur du territoire habité. Ces gens, qui ne se sont pas remis encore de la dernière catastrophe, n'ont pas de gouvernement actif, n'ont pas de ressources efficaces. Toute l'aide humanitaire possible sera leur soutien. Car les sous ramassés depuis bien des années, sont disparus dans un nuage de corruption. Quel gâchis! Y aurait-il moyen de faire quelque chose d'autre? Je crois que le mieux, ce serait de les déménager en lieu sûr, prendre le temps de les éduquer, et, si toutefois ils voulaient retourner à leur terre natale, bien il faudrait rebâtir avant la topographie du terrain. Ramener des arbres, de la culture. SInon, ces terres sont à oublier! Car chaque fois que la terre tremble, que la pluie tombe en quantité, c'est l'hécatombe! ALors je crois que ce serait plus «humain» de les déporter. Sinon, à quoi bon allez chaque fois reconstruire, désinfecter, les voir souffrir. Il y a toujours une solution. Mais je ne suis qu'un petit être avec des idées, pas un dirigeant avec une tribune.

jeudi 6 octobre 2016

Un juste milieu.

Incroyable comme les journées peuvent passer vite. Chaque semaine se veut bien remplie, je m'affaire passionnément à la tâche. J'essaie de garder mes oeillères quand je sors de mon bureau. Difficile de voir clair de ce monde où les valeurs sont mises de côté. Mais au-delà des valeurs, il y l'homme, celui qui veut réussir, celui qui a de la volonté. Mais il y aussi ceux qui n'en n'ont pas. Ceux qui brouillent les cartes. Qui vivent comme des hors-la-lois. Ils font de leur vie un téléroman. Comme si leur quotidien n'arrivait qu'à eux. Ils attendent l'aide des autres, et leur malheur est aussi la faute des autres! Et, par divers stratagèmes, ils «volent» ceux qui leur donnent à manger. Vraiment de la belle bouillie! Mais il y a ceux qui veulent beaucoup plus. Qui ont des projets et qui n'hésiteront pas à écraser ceux qui sont dans leur jambes et\ou contre leurs idées. Ce sont des personnes très singulières, qui veulent se prouver à eux-mêmes et aux autres. Quelle course vers le «sommet», mais à quel prix? Et quand je dis sommet, je veux dire l'atteinte de leurs objectifs. Car, une fois ceux-là atteints, il vont en trouver d'autres. Mais je préfère rechercher un équilibre entre les deux. Tirer mon épingle du jeu, être heureux avant tout. Ensuite, s'il me reste du temps, passer à autre chose de plus valorisant. À plus!

mercredi 5 octobre 2016

Ouf!

Finalement, ma douce est revenue hier midi! Après quatre jours d'attente après un technicien qui n'a pas réussi à fournir un diagnostic assez éclairé. L'appareil de mammographie doit revenir à Québec pour une révision complète. Donc ma Bibi est de retour. AU moins elle aura vu du pays, le beau temps aidant. Mais ce voyage à Blanc Sablon aura coûté cher pour 9 mammographies. Et nous saurons la suite un peu plus tard. Voilà des choses qui coûtent très chères, mais sur quoi nous n'avons pas de contrôle. Par contre, à l'urgence, dans nos hôpitaux, il y a sûrement moyen de faire mieux. Chaque fois qu'un patient, brûlé et écoeuré d'attendre, fini par ressortir, combien cela a-t-il coûté? Au triage, pourrait-on renvoyer des gens chez eux? Et puis, les médias et les réseaux sociaux, est-ce que les gens s'en servent à outrance? Est-ce que nos médecins et\ou autres personnes de la santé ont peur de ce qui se dit sur Facebook? COmbien ça coûte? Et pourquoi le prix du litre d'essence à bondi de quinze cents hier? Est-ce pour payer des débordements à un autre niveau? Serait-il possible d'avoir de la transparence? Après plusieurs années d'efforts, je réussis à ne pas gâcher mes journées à réfléchir à tout ça, mais ça demeure une insulte au genre humain, un manque de respect! Comme si, ce que nous gagnons chaque jour, à la sueur de notre front, ça ne valait plus rien puisque nous allons le redonner! Que ce sera redistribuer dans la collectivité! De quelle façon? Impossible à déterminer. Ce que je sais, plus jeune, les taxes, les impôts, le prix de l'essence à la pompe se devaient d'être un système pour entretenir nos routes, pour aider les plus démunis, etc. Mais les routes sont sont un état lamentables, les plus démunis n'ont pas plus accès à de l'aide, les personnes âgées sont «cordées» dans des CHSLD et je dois arrêter, car si je veux continuer de payer le fond de pension des autres, je dois aller travailler! À plus!

mardi 4 octobre 2016

Choisir d'être heureux

Hier matin était une confortable balade en vélo. Mais la journée fut venteuse et peu confortable sans coupe-vent ou petit manteau. Ce matin, toujours ce vent, mais trois degrés. C'était limite pour prendre de la vitesse en descendant. Le froid mordait, malgré mes gants et mon petit bonnet sous mon casque, l'inconfort s'installait. N'ayant pas la même motivation que durant un événement comme la Boucle ou le Cyclo-défi, seul dans le noir à cinq heures du matin, j'ai quand même réussi à faire mes dix kilomètres. Je dois avouer que cette fin de semaine de forts vents et de pluie, les 9 et 10 juillet 2016, j'ai eu plus froid que ce matin. Moins mordant, mais plus souffrant. Je n'oublierai jamais ce quatorze degrés, les rafales qui faisaient «tanguer» nos vélos, la pluie torrentielle qui transperçait nos survêtements. Crinqués par la cause, nourris d'adrénaline, il n'était pas question d'abandonner. Au sortir de cette fin de semaine pour le moins intéressante, je pense que je le referais sans hésitation. De savoir que mes co-équipiers fonçaient avec moi, que tous, nous avions décidé d'y mettre les efforts, par respect pour ceux qui, eux, souffrent du grand mal. ALors chaque matin, je m'installe sur mon vélo et je pédale. Je ne suis pas en compétition, mais je pense à la chance que j'ai d'être en santé. Je réalise que ce n'est pas gratuit et je me garde en forme. Ainsi je veux inspirer des gens à en faire autant, à se donner une chance pour les jours à venir. Si le climat économique nous donne du fil à retordre, au moins, côté santé, nous aurons pris des précautions. Quand je dis que pour être heureux, il faut choisir d'être heureux, prendre soin de soi en fait partie. Alors bonne journée!

lundi 3 octobre 2016

Lundi matin en feu.

Une fin de semaine tellement remplie! Je suis allé au camping pour démonter toute la section de la roulotte qui fut mouillée. Quel merdier, mais j'ai trouvé où est-ce que l'eau rentrait. J'ai aussi eu le temps de vider le SPA. De le nettoyer en profondeur. Je suis allé au cinéma avec une de mes filles. Nous avons vu «Miss Peregrine and the particuliar children». QUel bon film, quel bon conte à la sauce Tim Burton! Ensuite, dimanche matin, je suis retourné au camping faire des modifications au niveau de la cuisine exérieure. Mission accomplie! Je trouve que j'ai vraiment réussi. Et j'ai fait de l'entretien sur les batterie du Cart. J'ai bien hâte de l'amener à la maison. Je vais le «trimer» à mon goût. Et j'ai écouter un film sur Nelflix avec les filles hier soir. Génial! Et ce matin, je suis allé en vélo dehors, même à onze degrés, cela m'a paru très doux. C'est sûr que d'être séparé de ma douce me pousse à en faire un peu plus. Un peu pas mal plus! AUjourd'hui lundi, je suis content de redémarrer la machine. Bien des projets en cours et d'autres qui arrivent! À plus!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...