Enfin les vacances.

Encore une avant-midi et les vacances seront là! Ma Bibi a commencé les siennes hier soir. Je me suis entraîné comme il faut ce matin, me disant que ce serait plus difficile pendant les deux prochaines semaines. Mais je compte bien faire du vélo! Mais l’entraînement musculaire, ce sera plus tranquille. Et je suis chanceux d’avoir pu pédaler dehors ce matin, on aurait dit que la pluie s’en venait pas mal vite! Ça fait des jours que je traîne la patte, sans compter le défi vélo de 425 km il y a deux semaines. Je continue de penser que ça m’a fait du bien. J’avais mal à toutes mes vieilles blessures et là, ça va mieux. Mon genou me fait plus peur que mal, c’est très tannant! Mais là, aussitôt sorti de chez la coiffeuse, c’est un départ vers le repos! Garçon finit de travailler à sept heures, je vais aller le chercher et commencer ma journée tranquillement. Je dois finir d’envelopper une unité d’air climatisé. Je me suis surpris hier, en fin de journée à presque terminer la chose, mais j’étais trop fatigué. Alors je vais terminer ça tantôt et commencer mes préparatifs pour un départ au camping! Vélo de prévu demain avec Martin, une nouvelle ballade sur la rive sud. Hier nous sommes allés faire une virée en décapotable pour souper et aller rendre visite à ma sœur. Mon père y était aussi. Il a son rendez-vous pour vérifier la progression de sa guérison, suite à sa chirurgie de cet hiver. Il va bien. Ma soeur était contente. Et puis, Cameron était avec nous. Difficile de se séparer de ses enfants. Avoir besoin de congé autant, et une fois tranquille sans les enfants, on réussit à s’ennuyer. Mais les deux prochaines semaines, je n’ai pas l’intention de m’ennuyer, mais plutôt de me reposer. Et c’est très important. Car après les vacances, je donnerai un grand coup dans l’ouvrage, ensuite ce sera le début de mes cours. Je me souhaite de bonnes vacances. À plus!

Essoufflé...

Onze degrés ce matin! De quoi vous faire frissonner un peu! Mais je manquais vraiment d’énergie ce matin, en pédalant; la première côte m’a semblé tellement trop dure... Mais bon, j’y suis arrivé! Encore une journée entière à travailler, ensuite une avant-midi d’ajustement et de fermeture et hop! En vacances! Chaque année, c’est comme un tour de magie! COmme si je me «payais» le droit d’être heureux! Parce que depuis vingt ans, je paye mes vacances. En plus de ne pas travailler pendant deux semaines, je continue de vivre; donc ça coûte quelque chose. Mais rassurez-vous, ça ne m’empêche pas de dormir! J’ai appris très jeune à survivre au stress des dettes et des comptes à payer! N’empêche, je dois tout de même m’assurer que les paiements se feront quand même pendant mon absence. Je me sens «pesant», comme si mes batteries ne gardaient plus leur charge. Pourtant j’essaie d’être dehors le plus possible, ne laissant rien au hasard. Mais je crois que j’ai besoin de repos, tout simplement. À force de rendre les autres heureux, à mon tour de me remémorer ces bons moments, prendre le temps d’écrire un bilan. Bientôt ma vie va changer, et j’ai très hâte. Et il faudra que je m’y fasse. Nous avons complété le trimestre hier, inutile de dire que j’ai bien travaillé; par contre, couper les dépenses m’oblige à redonner tout au gouvernement. Donc, peu importe la façon que j’essaie de me garder un peu d’argent, le gouvernement la prend toute! J’en suis à réfléchir, ayant appris des autres diverses stratégies, j’ai l’intention de bien tirer les ficelles et penser à moi. Bien sûr, nous aurons l’occasion de s’en reparler. Bonne journée!

Les vacances approchent!

Dans la série les matins avant les vacances, je crois que ce matin est très beau. Dix-huit degrés avec des nuages, en plein le genre de température pour le moins idéale pour s’entraîner dehors. Mais ça arrive pas souvent, je dirais même pas tellement souvent. Bien sûr, il faut prendre en compte que c’est très tôt le matin, vers 4:30. Parlant de tôt le matin, définitivement il fait plus sombre! Ça c’est dur sur le moral. Autrement, ma journée d’hier fut productive à souhait; j’ai presque terminé le motorisé de monsieur Fradette et j’ai enfin installé les pellicules protectrices sur la voiture à Mathieu. Mais j’ai fini un peu tard. Et le pauvre Denis est venu faire un tour; la séparation, ce n’est pas facile. Surtout quand tu te rends compte que tu es devenu dans une relation à trois... ALors que certains tentent par dessus tout de nous dire que la terre se réchauffe, les vrais problèmes, ici, continuent de sévir. Et comme les vacances sont commencées, les gens n’ont qu’une idée, aller prendre du bon temps et se reposer, quel qu’en soit le prix! J’aimerais vous dire que c’est autre chose, mais vraiment pas. Car il suffit d’en parler pour comprendre que le gens se «sauvent» de leur réalité. Une réalité triste et de plus en plus chère. Donc on se concentre sur ce qui reste à faire avant vendredi midi et tout devrait bien aller. 

Stand for what we believe.

Quel beau matin à vélo! Quatorze degrés, mais il faisait noir quand je me suis levé. Ça veut dire que la période de clarté diminue déjà beaucoup. Car en mai, il fait toujours clair. Mais il fait aussi très froid. Bizarre tout de même cette nature, ce climat. Et ce n’est pas nouveau, le climat change constamment. Quand je vois des véhicules du gouvernement sur lesquels est écrit «lutte contre les changements climatiques», je ne comprends pas. Premièrement qui a pensé qu’on pouvait changer quelque chose? Deuxièment, je n’ai jamais voté pour ça! Nous payons pour lutter contre les changement climatiques? Encore une autre insulte qui nous coûte vraiment cher. J’aimerais qu’on arrête de se prendre pour autre chose que des humains, et qu’on prenne un peu de recul, pour se poser de vraies questions. Doit-on faire semblant de «sauver» la terre, ou si on s’attaque plutôt aux problèmes existants? Comme le prix de l’essence trop haut, le prix de la main d’œuvre qui est devenu astronomique, les coûts pour un système de santé inégal et déficient, des routes complètement démolies qui démolissent nos voitures? Impossible de sortir de chez soi sans réaliser et comprendre que nous sommes soumis, complétement exploités par nos dirigeants, qui n’ont aucune idée de ce que c’est de vivre dans la «vraie vie». Et je crois que c’est loin d’être terminé... Alors je continue de croire que les changements viendront par les «bas» niveaux de la société, par des personnes qui ne sont pas complètement «coincés» par un modèle de société syndiqué, étouffé par les syndicats et les lobbies. Des gens qui sacrifieront leur vie pour ce à quoi il croient! Je sais que je tape sur le même clou depuis des années, mais force est d’admettre que personne n’est vraiment prêt à faire quelque chose. Alors je continue, tant que cela me fera du bien, que ça me libérera un peu l’esprit. À plus!

Encore un semaine avant les vacances!

Une autre fin de semaine bien remplie! Vendredi soir fut une petite soirée très agréable. Petite réunion suivie d’un petit 5 à 7 avec drinks, bouchées et piscine! Samedi matin vélo avec Martin et Sophie, soixante-dix kilomètres de bonheur! Après nous passons un peu de temps au camping. Gros orage samedi soir, nous dûmes retourner à la maison pour un petit gars qui s’était embarré dehors! Après une nuit plus ou moins efficace, à cause d’un voisin qui commence à nous déranger vraiment trop souvent, nous sommes repartis au camping! Une belle journée, très venteuse et pas tellement chaude. De retour ce matin, il fait quatorze degrés. Beau soleil, et ça se réchauffe assez vite. Dernière semaine de travail avant des vacances très méritées. J’ai assez de travail pour la semaine sans me poser trop de questions. Mais les priorités devront être trouvées dès aujourd’hui pour assurer un suivi logique. Car une fois mes cheveux coupés vendredi vers 13 heures trente, je m’en vais au camping! Du repos avant un rush pour arriver à mon retour aux études! Des fois ça me chatouille quelque part, je me dis que c’est vraiment extraordinaire, mais en même temps, c’est un gros défi. Je me sens prêt à le relever, comme plein d’autres avant. Alors bonne semaine, on se reparle demain!

Enfin la fin de semaine!

Incroyable! J’y suis arrivé! Mardi matin, à mon retour sur terre après quatre jours intensifs de vélo, je manquais de gaz en maudit. Et je me disais que c’était un coup à donner. Et tout au long de cette courte semaine, j’ai continué de me dire la même chose. Nous voici donc vendredi matin! La pluie avait cessé, j’ai donc pu aller pédaler! Mon genou va mieux, même si je le sens fragile. Tellement que de grimper pour faire mon travail me stresse. Aussi, dès que j’en ai l’occasion, je prends ça un peu plus molo. Je dois dire que c’est difficile de ralentir. Surtout quand on voit le prix du litre d’essence, manipulé par les cartels demeurer aussi haut. Quand on constate que tout l’argent qu’on donne au système de santé ne va pas du tout à la recherche. Que ce sont les fondations qui recueillent l’argent! Qui recueille cet argent? Encore les bons citoyens. Que les élus en ont mis plein la vue aux gens qui ont besoin d’un troisième lien en pomettant d’un tunnel... Trop loin, dans une section trop large, avec des défis structurels audacieux. On dirait que ça n’aura pas lieu. De voir aussi que ces derniers sont vacances tout l’été, à nos frais, alors que nous, leurs employeurs, sommes incapables de nous payer plus de deux semaines de congé par été. Alors vive les vendredis! Il arrive souvent que cette journée de la semaine se corse et devient la plus grosse. Mais peu importe, ce soir, l’heure sera au jack. Ça fait plus d’un mois que je n’ai pas pris une seule goutte de ce breuvage! Conscient que c’est juste une façon de relaxer, de ralentir la machine, je n’en prends qu’une seule rasade. Mais je trouve que c’est une belle façon de terminer la semaine. Et ce soir, ce sera avec les gens du CA de la chambre de commerce. On se reparle!

Il faut aimer.

Wow! Quel beau matin à dix-sept degrés! Ce genre de moment qu’il ne faut pas manquer, il y en a qui passent, suffit d’être attentif. Pas facile dans une société de performance où l’image prime sur l’humain. Les bons moments, ceux qui nous font du bien, ceux qui nous marquent; je ne sais pas pour vous, mais moi je préfère de loin ce genre de petits moments qui fait ressortir l’humain et sa bonté. Récemment, j’ai dû composé avec la vie, me dire que c’était typique de l’homme d’en vouloir toujours plus. Je n’arrive pas à me concrétiser une vie avec toujours plus d’argent. Est-ce la seule façon de se valoriser? Je me dis que c’est une façon parmi tant d’autres. Moi je crois en l’humain, celui qui aime, qui fait don de soi. Et je ne demande pas la charité, au contraire, je donne sans attendre, avant qu’il ne soit trop tard. Le reste, on verra. Puis, dans un élan d’Amour, j’avance dans la vie, en étant conscient que d’être en vie est un privilège qu’il ne faut pas gâcher. À bientôt.

On continue.

Quel beau matin en vélo! Il fait quatorze degrés, un peu frais, mais il ne pleut pas. J’ai une douleur récurrente depuis un moment au genou gauche, difficile à cerner. On dirait que c’est arbitraire! Pas capable de la sentir arriver! À surveiller. Deuxième matin de retour à la réalité, la journée d’hier fut longue, mais très productive! Espérons que je pourrai en faire autant aujourd’hui! La liste de ce que j’ai à faire est longue avant de se rendre au 19 juillet, date officielle du début des vacances. Inutile de dire que je suis effervescent de savoir que ça se rapproche! Alors je dois continuer mon bon travail et ne pas trop exagérer sur les temps morts. Et il y a mon retour aux études, qui se rapproche aussi à très grande vitesse. Comme je n’ai pas de solution à court terme, je vais composer à mesure pour la question des sous. Et je dois penser à me reposer. Dans mon cas, je ne peux accumuler de sommeil, car ça fait longtemps que la banque de secours est épuisée! Donc rester zen et confiant. Le reste suivra son cours. À bientôt!

Petit retour.

Après 425 kilomètres de vélo en quatre jours, me voici de retour au travail. Hier, ma douce et moi avons choisi de prendre congé, histoire de décanter un peu. Ce n’est pas rien ce défi de partir de St-Nicolas jeudi matin, aller dormir à Bécancour. Une journée au dessus de trente degrés! Les derniers trente kilomètres ont été les plus durs. Il fallait s’hydrater beaucoup plus que d’habitude, et après dix kilomètres, il fallait arrêter, nous étions vidés. Le lendemain fut tout autre avec un départ deux heures plus tôt. Nous nous sommes rendus à Repentigny! Chaleur pour commencer, mais ensuite, la pluie! Et quelle aventure, prendre le traversier! Quatre-vingt kilomètres sous la pluie! L’arrivée au Motel Doc! Petite piscine et des sentinelles de la route! Quel bon moment! Nous avons ouvert une bouteille de champagne! Des souvenirs gravés dans mon cœur pour la vie! Ce fut une aventure très valorisante! Et samedi matin, nous partions avec les cyclistes du Cyclo-Défi, une onzième édition! 1148 personnes ont prit le départ, et ont amassé quatre millions deux cent mille dollars! C’était mon sixième Cyclo-Défi! Chaque fois, c’est magique, mais aussi différent! Cette année, notre équipe s’appelait Team Thibodeau-LADO. Nous étions quatre cyclistes déterminés. Un esprit d’équipe sain, avec des supporteurs très présents et impliqués. Et, autant au camp à Trois-Rivières, qu’à l’arrivée à Donnacona, les émotions étaient au rendez-vous! Nous n’avons pas encore compilé nos photos, mais ça va venir. Tout ça pour dire que nous le refaisons l’an prochain. Avis à tous, il y aura un cinquième Jack Fest! Je vous en reparlerai!

Le grand jour!

Enfin le grand jour! C’est ce matin que nous partons en vélo pour quatre jours! Une expérience que je veux faire depuis longtemps. Je me sens un peu nerveux; une sorte d’effervescence qui me chatouille. Je me sens excité comme quand j’étais adolescent, à la veille d’une activité nouvelle qui m’entraînait dans une virée incroyable! À coup sûr, il s’agit d’une sortie hors de notre confort, mais c’est tout de même merveilleux! Allez au delà du quotidien pour faire une différence! Nous nous sommes engagés à ramasser des fonds pour la recherche contre le cancer et aussi contre la maladie de Parkinson! Je tiens à dire que si on ne fait rien, il ne va rien se passer. Hier je jasais avec Benoît, de la politique moche, hypocrite et complètement déconnectée avec laquelle nous devions composer depuis des années. Et on se disait qu’il fallait faire quelque chose. Mais à part quitter le pays, il n’y a pas beaucoup de solutions concrètes! Bien sûr, on peut toujours prendre une pause de temps en temps, quitter «la belle province» en pensées, mais il faut revenir à la réalité pour assurer nos arrières et notre avenir! Donc si on ne fait rien, il ne va rien se passer! Commençons par pédaler ce 500 kilomètres, ensuite je vais terminer mon été de travail et commencer l’école. S’en suivra une nouvelle façon de vivre! Bien sûr, ça n’arrivera pas comme par magie! Alors on se prépare, on fait les efforts nécessaires pour y arriver! Rien n’est impossible  à qui veut vraiment! On s’en reparle!

Préparatifs mentaux

Et voilà! Le seul matin où je ne fais pas de vélo, le matin où je me repose de pédaler! Car je vais pédaler amplement pendant les quatre prochains jours! Je viens de faire un peu de musculation, comme à chaque retour de vélo le matin, mais je me permet de repos des jambes. Je dois travailler aujourd’hui comme d’habitude, ensuite la fin des préparatifs, car nous partons demain matin pour St-Nicolas, lieu désigné de notre départ. Donc je ne serai pas rejoignable pendant cette période de temps. Mais je peux vous garantir que je ferai de mon mieux. Et je vois ce défi comme des vacances, loin du bureau, loin des responsabilités habituelles. Pas de casse-tête autre que prendre soin de moi, de ceux de mon équipe. Faire en sorte que mon vélo demeure en ordre et ne pas oublier pour qui je pédale! Je commence à être nerveux! Une sorte de trac. Mais tout de même, pensez-y, quatre jours à pédaler au gré du vent, même pas une course. Mon «enregistreuse» est prête! Il y a deux ans, nous avions parlé de le faire, partir en vélo pour se rendre à Repentigny, et rebrousser chemin pour revenir avec la gang du Cyclo-Défi! Mais ça ne s’est pas concrétisé. Alors cette année, c’est vrai! Au diable le prix du litre d’essence qui ne fait qu’augmenter au Québec! Au diable les délais de production! Nous pédalerons pour le plaisir, pour financer la recherche contre le cancer et la maladie de Parkinson! Pour le reste, on s’amuse entre coéquipiers et surtout, on voit du pays! La météo semble être de notre côté; peut-être un peu chaud, mais du beau temps! Alors que demander de plus? De toute façon, si on ne fait rien pour l’avancement de la recherche, ce n’est pas nos gouvernements qui le feront! Une fois élus, les priorités changent, la course aux kodaks commencent et peu importe ce qui arrivera, l’argent rentre pis on se foute complètement de ceux qui travaillent! Pourtant vous êtes nos employés! Vous nous représentez, vous représentez nos idées! Pourtant, la réalité est tout autre... Surtout lorsqu’on écoute notre PM, un trou d’eau sans contenu! Et que dire de nos élus provinciaux! Ceux qui rencontrent et concluent des choses avec ceux qui n’ont pas voté pour eux...! Au moins on aura le mérite d’être cohérent! Anyway, je vous en reparlerai de ce défi à mon retour. D’ici là, amusez-vous, car chaque journée qu’il nous est donné de vivre ne reviendra pas!

Débuter la semaine un mardi.

Ouf! Déjà le mois de juillet! Il fait beau et chaud. Un matin de vélo à dix-sept degrés, c’est tout de même rare. Il faut remercier pour ces bons moments. Bon, c’est un départ pour faire mon possible en deux jours, car jeudi sera le grand jour du départ. Martin et moi allons parcourir quelques cinq cent kilomètres en quatre jours. Eh oui! En plus de s’être donné à fond dans les moyens de financement, on se donne aussi dans le vélo! C’est un grand défi pour moi, car je n’ai jamais fait autant de vélo en si peu de temps. Mais c’est une expérience que j’ai souvent eu le goût de faire. Alors on fonce pour ces deux jours qui s’annoncent bien remplis. Reste à voir si nous serons capables de faire avec les températures chaudes annoncées pour jeudi et vendredi. Pour revenir à notre fin de semaine de la confédération, ce fut vraiment de bons moments! Les olympiades avec Patrice Larrivée et sa petite famille. Le gala de lutte qui fut tout un spectacle! Notre entraînement de vélo, surtout celui de dimanche, le vent soufflait fort! Et ce matin, la chaleur inhabituelle m’a permis de suer un bon coup! C’est plaisant de sentir un peu l’été. Car il faut se considérer chanceux de ce temps pas si moche, suite à l’hiver très rigoureux que nous avons eu. Je sais qu’il est terminé, mais il est aussi gravé dans ma mémoire! COmme celui de 2007-2008. Donc savourer le moment présent, ne pas trop s’en faire pour celui qui s’en vient et réussir à comprendre qu’hier n’est qu’un souvenir. Les prochains deux jours sont des journées de préparation mentale et physique; boire beaucoup d’eau et ne pas prendre d’alcool. Manger plus protéiné et bien dormir. Alors on se reparle et bonne semaine!