Montée de lait!!!

Je ne trouve pas ça drôle du tout! Encore une augmentation de l'essence! Pourtant, partout ailleurs, le prix a baissé. Parce que c'est la fête du travail? Parce que la Russie a attaqué l'Ukraine? N'empêche qu'au prorata, le prix devrait être sous la barre des un dollar. À la place, nous avons 1,42$. Bravo le cartel, bravo le gouvernement! Merci de toujours nous rappeler à quel point nous somme Chanceux de ne pas avoir de tremblement de terre, pas d'ouragan. Ici, on ne laisse personne mourir, nous avons un système de santé accessible à tous! Même s'il faut attendre 12 heures à l'urgence. Merci pour l'éducation qui, elle aussi, est accessible à tous! Les taxes scolaires ont encore monté de 3,25%. Puis tout le reste, tout ce qui se transporte, tout ce qui se livre. Même la poste est devenu ridiculement trop chère. Un dollar pour une enveloppe! Des fois je pense que je suis le seul à m'en soucier. Mais je sais que non. Mais la course des gens autour de moi, ma course quotidienne me dit que c'est ce qui fait la différence. les gens courent tellement qu'ils ne prennent pas le temps de s'occuper de ça. Ils se donnent à l'ouvrage, cherchent des solutions. Et ils n'ont rien à foutre des gens qui les entourent, des dirigeants, du prix de l'essence. D'ailleurs, ils ne magasinent qu'un prix par mois. La vie est si courte que seul le mois suivant compte. Le reste, nous verrons. Les publicités de ventes de voitures parle de paiement aux 2 semaines, même à la semaine! Voilà où est le problème! L'effémère est la loi. Et cette énergie de chacun pour soi, quelle merde! L'entraide, l'hospitalité. Je suis tellement rêveur! Je n'ai pas la tête sur terre, mais bien dans les nuages! Où il fait beau, où il fait bon de vivre. En paix avec les autres, en harmonie avec la nature. Méchante montée de lait ce matin! Pourtant je me donne à fond, histoire de brûler cette énergie, de penser à d'autre chose. Mon cerveau, gonflé à bloc, n'a de cesse à chercher des solutions. Camping ce soir, je veux me reposer. Vais-je réussir? À plus!

Avertissement

Demain la rentrée officielle pour les filles, mais aussi pour nous! C'est là qu'il faut être prudent. Le stress cogne à la porte, mais n'attend pas qu'on lui dise d'entrée, il entre. Mais l'avertissement est là! Comme un envahisseur, il vient polluer nos vies! Et ce sera la course folle vers le temps des fêtes! Sans blague, il ne restera que 4 mois! Dernier trimestre d'opération. Après un été fort apprécié, à lequel il reste trois semaines, personne ne voudra qu'il s'en aille. Moi non plus. L'hiver dernier n'a que renouvelé ma hantise de cette saison. Saison qui crée beaucoup d'emploi au Québec, mais qui détruit tellement de choses. À commencer par nos maisons, nos voitures. Notre humeur y passe aussi. Et puis, ça coûte tellement cher! Des pneus d'hiver, des essuie-glaces d'hiver! Le chauffage, les vêtements, le déneigement. Et aussi le pelletage, vider la toiture. Éreintant et aussi bien du temps perdu! Plus les années passent et plus je trouve ça dur. L'hiver et son lot d'emmerdes. Alors je laisse un peu flotter, car je ne veux pas embarquer là-dedans tout de suite, juste rester encore un peu en mode vacances. Ça fait du bien. J'adore mon travail, mais je veux continuer de l'adorer encore longtemps.

Prendre le temps de comprendre.

Wow! Vélo ce matin à 21 degrés! Ils sont rares ces matins. Souvent, lorsque ça arrive, il pleut. Mais ce matin, l'humidité est très haute, pas de pluie! Il faut savoir apprécier ces bons moments. Une heure à la fois, une chose à la fois. Autant cela peut paraître vieillôt comme concept, autant il est vrai que le temps arrange souvent les choses. Par sa longueur, par sa température, par ses événements. Et tout est une question de perception. Selon notre interprétation de la vie, nous l'aimerons ou non. Alors aussi bien en profiter! Rien n'arrête plus depuis le retour des vacances, l'ouvrage arrive à grands pas et je ne fais que répondre à la demande du mieux que je peux, dans cette année de repos. À quoi bon m'indigner si je ne peux vivre heureux? J'aime mieux écrire ce que je ressens que de bouillir à l'année longue, m'épuisant l'esprit à chercher des solutions, à débattre de mon opinion. Au diable les conventions, les salaires et les dirigeants, prenons une journée de temps en temps pour relaxer et oublier tout ça. Quand bien même que je voudrai changer le monde, il me faudra être plus patient que je ne l'ai jamais été. La vie se charge de nous le rappeler chaque fois qu'on brûle des étapes. Je ne suis pas parfait, loin de là. Je m'interroge constamment sur ma façon de vivre, de bien utiliser mon potentiel. Il est grand le mystère humain! Rempli d'obstacles qui deviennent des apprentissages. Il est mystérieux le quotidien, comme si c'était une grande partie de «CLUE», où il faut comprendre le jeu, suivre un tant soi peu et découvrir le comment du pourquoi. Pas seulement la réponse, mais aussi pourquoi. Finalement, il faut savoir être tolérant devant l'hommerie qui nous entoure. Quoi l'amphithéâtre est laid? Il faut savoir être tolérant...

Être soi-même

Quel début de semaine! 8 heures d'installation en ligne! Ce fut fantastique. Pas si payant, mais amusant et ça donne de l'expérience. J'ai aussi travaillé avec René Lajoie, ça faisait un bout de temps que je ne l'avais pas vu. Et, de toute façon, il faut toujours gagner en expérience! Je remercie tous les jours d'avoir vécu et expérimenté un tas de choses. Plus le temps passe, et plus il est heureux d'avoir plein de trucs dans son sac! Alors je me dit que ce serait facile, non, envisageable d'agir en fonction de son vécu, des expériences passées. Pourtant, force est d'admettre que ce n'est pas ça du tout qui se passe au Québec. Les gens ne sont pas tolérants, dépensent sans arrêt, vivent au dessus de leurs moyens! Il me semble que si tu gagnes 80 000$ par année, et que tu en dépenses 100 000$, c'est sûr qu'il va y avoir un problème. Et, si tu gagne toujours la même somme et que tu l'as dépenses en entier, pas un sou de plus, il se peut tout de même qu'il arrivent des problèmes. Alors il faut faire des choix. Une vie plus simple, des journées plus relax, un peu moins de bruit. Redevenir un être humain, se retrouver. Ah que je suis rêveur! Je vois du beau et du bon dans tout! Ainsi je suis fait. Alors que j'abats du boulot sans arrêt, que je m'implique dans les gens d'affaires, je veux garder un peu de simplicité. Je veux qu'on me reconnaisse, avec mes idées, ma folie! Donc, il faudrait que certains dirigeants admettent que la fête a assez duré, que les coffres sont vides! Celui qui aura le courage de le faire, sera «lapidé» par les médias, par tous ceux dont le travail dépend du gouvernement. Il va perdre son nom à jamais. Mais il aura osé. À bientôt!

Où sont allées les valeurs?

Jusqu'où iront les moyens de «pression» de nos policiers? Ils n'arrêtent pas vraiment les fautifs sur la route, continuent de parader en d'autres uniformes et d'apposer des autocollants sur les voitures que nous payons. Quelle crédibilité gagnent-ils? Qui va leur faire confiance lorsque ce sera le temps? Qui va penser qu'en cas de danger, un agent de la paix pourra nous aider? Où est passé la vocation, la fierté de servir, défendre et honorer sa patrie? Ça n'existe plus? Disparu en même temps que la religion? Quel lien avec la religion? J'ai beau chercher où sont passées les valeurs profondes, humaines, je ne les vois plus. Dans notre société chacun pour soi, les choses ne s'améliorent pas, elles ne font que se tordrent encore plus. Pourtant je côtoie de bonnes gens. Mais il semble que ce soit devenu un grand privilège! 

Ouf! Vivement la fin de semaine!

Quelle semaine jusqu'à maintenant! Je m'étais promis de ne pas trop me défoncer... Wow! On peut dire que ce ne fut pas le cas! En plus, avec les imprévus, certaines choses sont encore repoussées. C'est là que je «perds» le contrôle sur mes délais. Non pas que je soie si inconfortable avec ça, mais cela me fait un nom auprès de ma clientèle. Parfois j'entends : «Avec Donald, pas de trouble, mais des fois, c'est long pas mal!» C'est le genre de choses qui m'énervent. Mais nous sommes vendredi! J'ai une certaine somme de travail à faire, ensuite ce sera la fin de semaine. Un peu de repos, mais aussi du temps pour faire autre chose. La roulotte n'est pas là, encore chez le concessionnaire pour des réparations. Bref, j'aurai sûrement la tête ailleurs. Et puis, j'ai un Jack Daniel's à déguster. Et puis, la semaine prochaine sera encore une réussite! Mais je sens le stress qui me guette, je dois me préparer à écrire encore et encore. J'ai toujours mes idées, des idées pour changer les choses, pour avancer. Mais nos dirigeants sont pris dans des sables mouvants. Des sables livrés en enveloppes brunes, en croisières sur un yatch ou encore sur une pourvoirie. Nous verrons bien! Bonne fin de semaine!

La semaine avance!

La semaine passe et je cours. Je ne me doutais pas que je ramasserais encore dans ce cercle. Un imprévu majeur et pouf! La semaine est toute chavirée! Mais je reste souriant, pensant à toutes ces belles choses accomplies. Et je me dois de sentir le privilège que j'ai de pouvoir accomplir tout ça! Hier j'ai discuté avec des gens dans le cadre d'un souper des gens d'affaires et, encore une fois, quelqu'un qui a le cancer! J'ai toujours été sensible à ces énergies qui volent autour de nous et qui viennent voler des vies, des sourires. Pourtant, c'est le cycle naturel de la vie. Même si c'est la seule chose qui soit juste sur terre, il est souvent difficile d'accepter sa venue. Certains disent que la personne qui nous quitte est la mieux, car une fois de l'autre côté fini les soucis! Je me demande si c'est si vrai. Réflexion à poursuivre. Mais une vie, c'est un cadeau, à partager, à sourire et à vivre! On s'en reparle!

La vie de tous les jours.

Il y a plusieurs années, j'ai écrit que la vie valait la peine d'être vécue. J'ai aussi chanté que j'adopterais les loisirs, je changerais le monde entier. Qu'en est-il aujourd'hui? Le grand rêveur que je suis a-t-il toujours de solides ambitions? Pas tellement de projets, mais des projets importants pour moi, pour ma famille. Pour le reste, je m'intéresse aux loisirs en faisant bien du camping. J'ai tellement mis d'argent dans ça, et j'aime toujours ça. Voyager, visiter de nouveaux endroits. Aller aux États-Unis pour constater à quel point nous sommes pauvres et endettés au Québec. Mais constater aussi que certaines personnes nous coûtent vraiment cher! Car en analysant les différences de prix, il est facile de voir que certains produits coûtent plus chers à cause des employés. Alors que dans certains secteurs, les entreprises doivent couper leur prix, diminuer la diversification de leurs produits et services pour demeurer compétitifs, d'autres s'en foutent complètement! À long terme, il est sûr que ça va mal tourner. La sécurité d'emploi, les fonds de pensions, les retraites indexées. Les «faux» emplois qui proviennent de subventions, qui sont maintenus par l'argent des autres comme les Maison des Arts, l'Orchestre Symphonique de Québec, et tous ces organismes qui vivent sur le dos des autres. Je dis sur le dos, car sans l'argent du gouvernement (la nôtre), ces gens n'auraient pas de travail! Et puis la multitude de palliers adminstratifs qui sont difficiles à démèler et dont, la raison d'être est «douteuse». Certains m'ont dit que je devrais faire un saut en politique. Là rien n'est moins sûr. Je ne suis pas prêt à perdre la paix que je réussis à rencontrer depuis quelques années contre une possibilité d'avoir une tribune. Une tribune qui pourrait me permettre de changer le monde? Je n'y crois pas. Donc je m'efforce de faire autrement. Par mes actions de tous les jours, par l'amour que je donne, par l'amitié que j'entretiens. Tout ça me suffit pour le moment. Et puis, il y a matière à vivre heureux encore, alors j'essaie de le faire chaque jour!

Un peu de soleil!

Des fois je me demande ce que je fais au travers des autres. Mais je dois absolument me chasser cette idée de la tête et continuer la vie, avec un sourire. Chaque jour est une bénédiction, un cadeau. À chacun de saisir ce privilège. Pas facile lorsqu'elle nous présente toutes sortes d'obstacles. À bien y penser, il faudrait quasiment se faire une mesure, comme au CEGEP avec les filles. Mais avec nos journées. Une échelle de 1 à 50, plus le chiffre est élevé, plus le facteur de difficulté est élevé. Je me demande si ça deviendrait redondant. Bah! Juste pour s'amuser! Je pense que je vais l'essayer. Juste pour le fun. Avec peut-être une graphique? Bin oui! Cela aiderait à transférer l'énergie et aussi à illustrer les circonstances. Bref, ça serait l'fun! J'adore quand on s'amuse. Faire de mes journées une vie ensoleillée!

Petit arrêt

Tout de même, quelle fin de semaine merveilleuse! Du repos, pas trop d'action. Balades en sentiers boisés et escarpés. Dormir au son de la rivière qui s'écoule. Aussi au son de la pluie qui battait la mesure. J'y serais resté, avec ma douce et les enfants. Loin du train-train quotidien, loin du bruit. Parlons-en du bruit. Plein de gens vivent dans le bruit et ne rendent pas compte de tout ça. Et puis, il y a la mode. Il y a la mode aussi dans le camping. Celui qui a la nouveauté, celui qui se la pète le plus. Je me dis que ça va passer, mais pour l'instant, c'est encore très présent. Les gens arrivent avec leur attirail, s'installent. Ils trimbalent leur chez eux, sans sacrifier aucune des choses qu'ils ont chez eux. Même, à parier que certains en amènent plus! Pour ma part, j'ai bien aimé le camping de Coaticook. Tranquille, boisé, la rivière, les sentiers. Pas trop de bruit, pas trop de monde. Pas trop non plus de voisins. Un seul qui s'est amusé à descendre ses «jacks» avec sa drill. Incroyable! Il faut tout faire vite, même se reposer. Comme je vois aussi dans le sud, des gens qui vont s'épuiser à boire et festoyer pendant une semaine. Je me demande bien quel était le but? Je m'écarte sûrement de mon sujet, mais je me suis tout le temps demander pourquoi? Pourquoi des téléromans où l'on voit des gens se déchirer, se faire de la peine. Des histoires de parvenus qui abusent des autres, de la conspiration, des fraudes. Est-ce que leur vie manque d'action? Est-ce que leur quotidien n'est pas assez pimenté? À croire que non. Moi je me tiens loin de toutes ces histoires. Préférant la tranquillité que la course, être heureux avant d'avoir des millions. Peut-être pas à la hauteur des mes possibités, mais pas en dessous non-plus! Comme un courant de fond, je préfère être celui qui fera des choses sans me faire trop voir. Il y a assez des fois où je l'échappe avec quelques verres. Pas tellement, puisque souvent, je me souviens très bien de ce qui est arrivé. Même trop bien. J'ai besoin de cette retenue, de cette douceur, qui viendra empêcher le volcan de s'éclater! J'ai adoré le volcan, mais je l'aime mieux quand il fait dodo. Je dois y aller, à plus!

À vous d'en juger...

Ça commence à gronder avec les moyens de pression de policiers. Mais que pouvons-nous faire? Rien de plus! De toute façon, nous n'avons aucun pouvoir décisionnel! Par le passé, j'ai déjà soulevé la question, pourquoi toujours renouveler les conventions collectives? Et aussi, qu'est-ce que perdre ses acquis? Y a t-il vraiment des acquis? Je trouve que ces moyens de pression font perdre toute crédibilité aux policiers. Les gens ne les prennent plus au sérieux. Où est la conscience professionnelle? Où est l'esprit de vocation? Je sais que de nos jours, ce genre de réflexion n'existe pas. Et nous voyons aussi vers quoi la société se dirige, chacun pour soi. Si ton meilleur ami est dans tes jambes, tu l'écrases. Et puis, ce n'est peut-être pas personnel, mais si tes services professionnels ne font plus l'affaire pour diverses raisons, eh bien, tu es mis de côté! Quel piège! Il faut choisir notre vision, nos combats.

45 ans

Vieillir d'un an. Quel mystère intéressant! Cela nous fait prendre conscience du temps, de son passage. Mais je devrai dire de notre passage. Ce n'est qu'une date, mais elle nous situe dans la ligne du temps. Jour après jour, nous parcourons notre destinée vers des jours qui, on l'espère, seront meilleurs. Non pas que ma vie soit plate ou déprimante, mais j'aspire constamment à devenir meilleur, à devenir plus! Et voilà! Une famille pour m'epauler, mais aussi pour apprendre! Des amis comme conseillers, mais aussi comme compagnons de route! Une vie, c'est court, mais aussi long. Un peu comme le verre à moitié vide ou à moitié plein. C'est selon chacun! Mais une chose est sûre, une vie vaut la peine d'être vécue. C'est un privilège à saisir. Je ne dis pas que c'est magique, je dis que c'est à chacun de nous d'en faire une réussite. Quand je regarde nos amis qui sont contre le fait que leur régime de retraite soient maintenant payable 50/50, je n'y comprends rien! Pourquoi paierions-nous pour leur retraite? Je crois que la moitié, c'est déjà amplement suffisant! En tant qu'employés de l'état, nous fournissons déjà leur salaire! Que demander de plus? Personnellement, je ne voudrais pas que quelqu'un paye mon régime d'épargne. C'est à moi et à moi seul d'y voir! Mais grève de bavardages, c'est ma fête, et, jusqu'à maintenant, je suis plus heureux que l'an dernier! À plus!

La rentrée...

Oh! La rentrée scolaire approche et je ne me sens pas prêt tout de suite. Quel tâche d'aller au magasin, acheter les articles. En plus de tous les autres frais! Et de se faire casser les oreilles avec la «gratuité» et l'accessibilité! On ne peut même pas envoyer nos enfants à l'école qu'on veut. À moins de mettre pas mal d'argent de côté. Et puis, comment voulez-vous survivre à toutes les paperasses qui viennent avec? Un tas de conneries administratives, un labyrinthe savamment élaboré ou juste trop de palliers administratifs. Mais ce sont les joies du Québec. Dire que nous avons grandi à même ce système. Et de plus en plus, à même nos conversations, entre amis campeurs, entre clients et fournisseurs, nous parlons des incongruïtés de ce système. Autant dans le milieu scolaire, de la santé, de la construction, rien ne va. Trop de pots de vins, trop de copinage, trop, c'est trop!

Pour en rajouter, les subventions pleuvent encore pour sauver les régions. Mais que pensez-vous? Que cela va les aider pour vrai? Une farce! Le problème est le suivant, ils travaillent grâce à l'aide gouvernementale, ensuite, ils ne font plus rien pour survivre. Ils ne profitent pas des nouvelles installations, du nouveau matériel pour se perfectionner, pour se spécialiser. Devenir les meilleurs. Se contenter du moindre effort. Voilà ce qui les anime! Pour le reste, ils font ce qu'ils sont habitués de faire, du travail saisonnier, de la chasse, de la pêche. Des loisirs divers comme de la motoneige ou du quad. Mais le travailleur moyen, qui veut tirer son épingle du jeu, est étouffé par les taxes, submergé par les impôts et écoeuré de payer de plus en plus pour des services qui ne lui servent pas. Voilà ce que ça fait la rentrée scolaire.

Encore eux!

Eh bien, une autre semaine qui commence! Manque un peu de gaz à l'entraînement. Les repas de la fin de semaine furent un peu gras. Hier je fus témoin des «boomers» encore une fois. Nous étions réunis pour commémorer le départ de mon beau-père. Pour ce faire, Mamour avait préparé de petites choses bien simples. Et des pains à la viande, pains au beurre et viande grasse. Pas si grave, mais de voir tous ces boomers s'empifrer, de constater qu'ils ne font toujours aucun exercices pour se garder en forme. Pourtant nous étions tous là, pour nous rappeler que monsieur Lajeunesse nous a quitté des suites d'un long diabète, mal soigné. D'une trop longue maladie, provenant d'années à manger trop, trop gras, trop sucré. Décédé dans un hôpital sale, payé avec nos impôts. Il ne faisait aucun exercice, ne faisait nullement attention à son alimentation. Il pensait qu'avec un système de santé «gratuit», il vivrait éternellement, en santé. Mais j'ai vu hier, malgré la perte d'un des leurs qu'ils appréciaient, ils n'ont rien appris, n'ont rien changé! À croire qu'ils ne s'en rendent pas compte. Même si la vie leur est donné, même si chaque jour est un privilège, ils ne l'apprécient pas. Du moins, ils n'en donnent pas signe! Mais ils durent vraiment beaucoup. Ceux que j'ai vu hier sont quand même heureux, ils y en a qui le sont moins. Mais j'ai compris qu'il faut s'entretenir, jour après jour, mois après mois, année après année. Pas obligé de virer fou avec ça, juste se garder en forme. Être capable de faire ses journées! Et puis, s'il le faut, faire des exercices spécialisés. Bonne semaine!

Peiné...

Encore un matin très frais pour une journée du mois d'août. Nous sommes le 8 août 2014. Aujourd'hui, c'est la fête à maman. Elle nous a quitté le 31 décembre dernier. Mais à pareille date l'an passé, mon beau père nous a quitté, des suite de sa longue maladie et de toutes les complications qui venaient avec. Il est mort dans une porcherie nommée «hôpital». Inutile de donner le nom, ce que j'ai déjà fait. Un endroit qui se veut un sanctuaire pour soigner des être humains. Quand je vais chez Reflex Tint pour faire installer un pare-pierres ou des vitres teintées, l'endroit est beaucoup plus propre. Pourtant, c'est un garage où l'on fait entrer des voitures! Quand je vais chez le vétérinaire, c'est aussi très propre, très stérile. À croire que, nos hôpitaux, sont devenus des vestiges d'une autre époque, remplies de gens blazés, de gens fatigués et de médecins désillusionnés. Car les préposés au ménage et l'entretien se foutent éperdument que ce soit un hôpital. Ce qui compte, ce sont leurs conditions de travail, leur fond de pension, leur salaire! Le personnel aux soins, fatigué, se cherche au travers les conventions et les médecins cherchent à foutre le camp, perdus dans ce monde étrange, dénué de vocation, dénué de volonté. Pourtant, il fut un temps où, le fait de travailler en milieu hospitalier, s'avérait une fierté. Et pour cause! Voilà un métier, toute une vocation! Le don de soi, s'oublier pour la cause, servir les malades. Mais il y a un problème aussi avec les malades... Depuis plusieurs années déjà, tellement de gens finissent leurs jours à l'hôpital, complètement ravagés par un long diabète mal soigné. Un cancer virulent. Mais la majorité de ces personnes n'ont pas coopéré pour tenter de guérir. Diabétique depuis plusieur années, jamais fait attention à rien dans l'alimentation, jamais fait aucun exercice, ne serait-ce qu'une marche tous les jours! Combien de fois j'ai entendu : «C'est de leur faute, ils ne trouvent pas ce que j'ai!» Complètement ridicule! Mais depuis 1966, avec la venue de l'assurance-maladie, les gens se sont désensibilisés à leur santé. Ils se sont dit et se disent encore, c'est gratuit, j'ai payé toute ma vie pour ça, qu'ils me soignent! Qui ça? Quand le diabète t'a enlevé toute possibilité de retour vers la santé, est-ce la faute des autres? Est-ce la faute du système de santé? Trop facile de jeter la faute sur les autres. Mais une fois la santé disparue, que peut-on perdre d'autre? La vie? Oui. Mais aussi ceux qui nous entourent! Ayant, pendant des années, enduré le fait que cette personne n'ait jamais fait un effort pour s'aider, pour améliorer son sort! C'est la confession que j'ai faite, au service de ma mère. Avouant à tous, en plein Église, que je m'étais éloigné volontairement de ma mère, parce que je trouvais ça trop lourd de l'entendre se plaindre. De la voir dépérir, petit à petit, mais ne la voyant jamais faire autre chose que de prendre des pillules! C'est là qu'il faut agir! Oui il faut faire avancer la recherche, mais aussi le cerveau des gens. Leur faire prendre conscience qu'ils aont une volonté et qu'ils peuvent s'en servir! Bon vendredi et bonne fête maman!

Encore une arnaque!

Je me demande où ils veulent en venir avec leur augmentation de tarifs? Hydro-Québec veut investir dans les éoliennes? Je les ai vues de mes propres yeux ces moulins à vent, ils ne tournent pas! Leur vitesse de rotation est semblable à l'accélération d'un escargot! Pour faire vivre la région du bas du fleuve? Bin oui. Mais ça se rapproche d'un régime socialiste. À la limite du communiste. Je vais avoir 45 ans dans pas long et je peux vous affirmer que je ne veux pas que mon argent fasse vivre d'autres personnes que ma famille. Si je choisis de faire un don ou de m'impliquer dans une cause, je veux être celui qui décide! Tant que nous auront des dirigeants qui prennent ce genre de décisions, je n'embarque pas! D'Ailleurs, nous avons eu des discussions intéressantes pendant les vacances au sujet des décisions que le gouvernement prend ou approuve. Que des enveloppes! Mais les enveloppes sont rendues trop grosses et nous les voyons trop! Voilà ce qui se passe! À force de remercier des amis, les amis des amis sont jaloux et les enveloppes se multiplient! Et avec le temps, elles ont grossies, de sorte que, elles sont devenues trop apparentes et c'est malaisant. Et puis, tant qu'il y aura quelque chose à ramasser, où il y a des hommes, il y a de l'hommerie! Pas évident! Alors, si les dirigeants commençaient à modérer leurs transports, cela appaiserait les gens et surtout, donnerait une chance à tous! Car à force de payer un homme à rien faire, ça finit par le tuer. J'ai trimé pour gagner ma vie, plein d'autres ont trimé pour gagner leur vie. Que tous fassent de même! Parlant de modérer les transport, ça serait bien qu'on puisse avoir des routes dignes de ce nom!

Yes!

Aller porter sa petite famille au camping en pleine semaine, quoi de mieux pour casser la semaine! Surtout que le retour au travail se fait progressivement. Je trouve que j'ai déjà pas mal travaillé, mais ce n'est pas grave, je suis plus relax, moins stressé par des délais. Et puis, savoir que d'autres avenues s'ouvrent à moi, c'est fantastique! Et puis, j'ai le goût de faire du nouveau dans mon travail! Tant qu'à être installateur référencé 3M, autant en profiter pour faire de grands projets. D'Ailleurs, je me demande si je vais manquer de temps? Je m'arrête, je parle de délais! Pas de délais cette semaine! Juste des aventures cool! Et recommencer à se lever tôt, ça me donne des ailes! La journée est plus longue et j'adore avoir du temps devant moi, ne pas sentir que je suis pressé. Et puis j'ai réalisé que je me brassais pas mal depuis un bout. Peut-être qu'un horaire allégé serait plus adéquat. Je suis très optimiste, je veux être heureux! Et je le serai. J'ai quand même le plus beau passe-temps au monde, mon travail. Et puis, je dois éliminer le maximum d'irritants si je veux continuer à être heureux dans mon travail. Rester concentré, spécialisé. Dire que plus jeune, j'hésitais entre travailler pour l'état ou pour le privé! Maintenant que je travaille pour moi-même, je ne pose plus ce genre de questions. Ce sont plus les lignes politiques et\ou économiques qui me font réagir! Mais bon, assez pour aujourd'hui, il y a du bonheur qui m'attend!

Cocktail radioactif!

Comment dire, première journée tout en production, loin du stress d'avant les vacances. Et puis, les politiciens sont toujours en vacances. Cela est merveilleux. Mais avec leurs manies, leurs dépenses, ils contribuent à faire monter le stress de la population. Moi je n'aime pas quand ça prend ce genre de tournure. Pour l'instant, les gens sont en vacances, mais bientôt, avec la rentrée scolaire qui va aider, les routes seront encore plus pleines qu'au printemps et ce sentiment d'émerveillement au volant, cette sensation de liberté s'effaceront. Ils feront place à un stress majeur. Ce n'est pas une façon de vivre. C'est plutôt une façon de s'éteindre! Parce que tout ce stress, cette rage au volant ne font que compliquer les décisions qui doivent se prendre chaque jour. Et comme la vie est faite de choix, alors il y a bien des histoires à raconter à la fin d'une semaine! Donc politique, circulation, il ne manque que l'économie et nous avons le cocktail de la rentrée! Woo!!

Rien ne vaut une vie en douce! Un verre pour prendre ça plus relax! Arrêter de stresser et voir la vie différemment! Il reste encore quelques jours avant le cocktail et il faut en profiter! Bonne journée!

Il fait bon travailler.

Le travail n'est pas un médicament. Il n'est pas non plus un remontant. Il est d'abord et avant tout le beau passe-temps au monde! Mais je n'en suis jamais sûr. Loin de moi l'idée de blesser des gens. Encore plus loin de moi un désir de m'enrichir sur le dos des autres. Mais pour travailler, être entrepreneur, ce genres de décisions se doivent d'être prises. C'est là que je commence à marcher croche. C'est là que je me demande si je peux. C'est dans ces moments-là que je doute, que je perds confiance en moi. Je veux seulement essayer de mettre au clair tout ce que je vois, tout ce que j'entends, tout ce que je ressens. Mais je n'en suis jamais sûr. Certains me disent que je dois arrêter de ressentir si je veux faire de l'argent. D'autres me disent de passer outre les valeurs communes, celles qui font de moi l'homme que je suis. Je n'arrive pas à faire un tri. Chaque fois que je suis sollicité émotionnellement, alors j'ai une faiblesse. Pas seulement dans mon travail, partout. Entre amis avec un verre dans le nez, seulement quand il y a échange d'opinions. Pourtant, je reste si calme face aux blessures, aux malheurs, aux cataclysmes. Quelqu'un peut-il m'aider dans tout ça? Parce que je n'arrive pas à me croire, je n'arrive pas non plus à croire les autres.

Retour après deux semaines

Après quelques jours de vacances, voici que se pointe ce fameux lundi matin. Le retour des vacances. Je suis on ne peut plus «en dehors» de la plaque. Je me suis réveillé à 5h00, comme chaque matin, mais je me serais attelé à faire autre chose. Le fait de revenir à la maison, de revoir tout ce qui n'est pas fait. Ça me rappelle qu'il n'y a pas que le travail qui m'attend. J'ai revu en détail certaines choses et je ne sens pas si prêt que ça à recommencer. Les derniers jours m'ont fait réfléchir tellement. Durant les jours que je me suis arrêté, j'ai pu constater à quel point je me devais d'écouter les autres, de les observer. Et puis les épisodes alcoolisés, remplies d'émotions, peu importe qu'ils soient heureux ou tristes, ne sont pas ceux que je maîtrise le mieux. Bref, je me dois de faire du ménage dans ma tête. De plus, certaines gens sont trop influents sur moi. De par leur façon de parler, de par leur stature, je ne saurais le dire, mais je suis d'une naïveté incroyable. Cela doit changer. Toutes ces années à me poser des questions, à chercher les réponses. Voilà que je suis à nouveau à la croisée des chemins. Je suis pour ainsi dire encore à me demander si je me mérite. Je crois que oui. Mais les contrastes dans mes humeurs, dans mes émotions, me font peur. Je dois réussir à contrôler ces choses là. Ce sont des moments où je ne peux prendre de décisions. Comment arrêter ce tourbillon d'idées, cette tempête d'émotions. N'y a-t-il pas de temps pour être en vacances, oublier tout? Y a-t-il seulement des jour où la vie nous sourit simplement? À moi d'y voir! Bonne semaine!