lundi 4 août 2014

Il fait bon travailler.

Le travail n'est pas un médicament. Il n'est pas non plus un remontant. Il est d'abord et avant tout le beau passe-temps au monde! Mais je n'en suis jamais sûr. Loin de moi l'idée de blesser des gens. Encore plus loin de moi un désir de m'enrichir sur le dos des autres. Mais pour travailler, être entrepreneur, ce genres de décisions se doivent d'être prises. C'est là que je commence à marcher croche. C'est là que je me demande si je peux. C'est dans ces moments-là que je doute, que je perds confiance en moi. Je veux seulement essayer de mettre au clair tout ce que je vois, tout ce que j'entends, tout ce que je ressens. Mais je n'en suis jamais sûr. Certains me disent que je dois arrêter de ressentir si je veux faire de l'argent. D'autres me disent de passer outre les valeurs communes, celles qui font de moi l'homme que je suis. Je n'arrive pas à faire un tri. Chaque fois que je suis sollicité émotionnellement, alors j'ai une faiblesse. Pas seulement dans mon travail, partout. Entre amis avec un verre dans le nez, seulement quand il y a échange d'opinions. Pourtant, je reste si calme face aux blessures, aux malheurs, aux cataclysmes. Quelqu'un peut-il m'aider dans tout ça? Parce que je n'arrive pas à me croire, je n'arrive pas non plus à croire les autres.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...