Être ou ne pas être

Quelle belle fin de semaine! Entre amis et en famille! Tout ça coûte des sous, mais le jeu en vaut la chandelle. Pourquoi attendre à la semaine prochaine? Le moment se prète bien, alors aussi bien agir immédiatement. Comme dans tout, la journée va bien, la chance d'être heureux nous passe devant le nez... Alors soyons heureux! N'écoutons surtout pas les médias! Ils sont convergeants, contagieux et ont l'esprit mal tourné! Ils sont là pour tenter de vous diriger. Laissez-les se perdre dans leur «nouvelles» et vivez votre vie. Y a rien comme de l'essayer. À force de vouloir, vos projets avanceront et la vie sera belle!

AU lieu de parler contre les autres, parlez de ce que vous voulez faire. Partager votre joie de vivre avec les autres. Je ne suis plus capable d'entendre les messages de nos politiciens depuis le début de la campagne. Ils  ne font que parler les uns contre les autres. Laissez-nous savoir ce que vous feriez de bon. Faites-nous un topo de vos projets pour améliorer le pays! Pourquoi descendre les autres pour essayer de se remonter! Moii je ne voudrais pas d'un travail bâti sur la mauvaise réputation des autres, je veux que les gens sachent qui je suis, ce que je fais et ce que je vaux! Alors à vous de choisir.

Vendredi!

Enfin vendredi! Ce fut une grosse semaine, remplie d'imprévus. Bien sûr, mon fils en fait partie. De  savoir qu'il y a une incertitude dans son dossier, cela ne me rassure guère. Et puis la température, changeante à souhait. Difficile de composer avec ses soubresauts! Car il me reste encore bien des installations qui sont prévues, à l'extérieur. Mais personne ne peut composer avec dame nature plus de quatre heures d'avance, au Québec! 

Parlant du Québec, j'ai mis de l'essence hier, au Costco. Quans nous allons faire des commissions, il arrive que nous allions remplir le véhicule. Six cents de moins le litre. Paspire. Mais en Ontario, il était à 79 cents\litre, hier. Guerre des prix? Il fut un temps ou il y avait des guerre de prix. C'était celui qui vendait le plus bas. Depuis que le gouvernement s'en est mèlé, tout n'est plus possible. Il y a le prix plancher. En temps de quasi récession, chaque dollar compte et le nôtre, va plutôt mal. Dommage. C'est pourquoi il est impératif de continuer à faire rouler l'économie. Mais pas en s'endettant.

Mais nous sommes vendredi. La joie d'être vendredi! Quelle journée extraordinaire! Même si tout n'est pas parfait, un rien me rend heureux! Et j'ai le goût de partager ce bonheur avec tout le monde! Nous reparlerons de tout ça lundi!

Continuer

Ouf! Quelle semaine jusqu'à maintenant! Que de travail, que de merveilleuses heures à m'amuser. Mais  je ne suis pas encore le roi de l'organisation et des fois je trouve que je suis très désordonné. Cela me conduit vers des sessions de travail hardues et je dois m'endurer avec ma fatigue. Donc il faut que je me surveille. Je ne suis pas du genre à vouloir reprendre des jobs. Aussi je dois m'assurer que tout baigne dans l'ordre. Pour ce faire cela me demande bien du temps de réflexion. Commme j'ai toujours fait ces réflexions en même temps que tout le reste, eh bien on dirait que c'est plus dur depuis que je prends du concerta. Pour ma part, je considère que c'est une perte. Comparé aux avantages, je dois composer avec ça et trouver une autre façon de faire ou trouver une façon de me reposer. Ça, c'est un problème que je n'arrive pas à solutionner. Comment faire pour me reposer? J'ai beau chercher, je crois que je devrais faire une pause et oublier tout ça pour le moment et cela viendra. Comme bien des interrogations. Mais elles sont bien moins nombreuses qu'avant. On dirait que depuis le concerta, j'aime mieux régler le maximum de chose à mesure. Donc je vais y arriver!

Soyez attentifs

Même si j'essaie, des fois je n'y arrive pas. Peut-être que mon ambition est trop grande ou que je ne suis pas assez concentré. Une chose est sûre, ce n'est pas un manque de vouloir. Des fois, aussi, j'ai peur. Peur de l'inconnu, peur d'avoir peur. Je me rappelle de ma mère qui parfois éprouvait ce sentiment. Une peur sans fin, la condamnant à rester en place. Voilà ce qui arrive au Québec. La  peur que les médias viennent installer. Une peur chronique, presque impossible à contrer. Et cette peur est comme les syndicats, elle nous empêche d'avancer, de faire nos choix, d'évoluer. Mais, par contre, si les médias ne vous bleuffent pas, à vous de faire semblant que tout va bien, d'être assez fort pour aller au bout de vos ambitions. Car la route est longue, garnie d'embûches. Comme un piège latent, la compétition est féroce et elle peut vous avaler tout rond! C'est pourquoi je crois qu'il faut garder ça le plus simple possible. Comme ça, la maîtrise de nos connaissances sera plus durable. Bien sûr, il y a d'autres avenues possibles, mais je m'en tiens à celle qui m'a permis de rester en contact avec ma famille. Il est déjà très dur de se garder pour ceux qu'on aime. Alors si une journée, vous avez la possibilité de vous amuser, la possibilité de finir plus tôt de travailler, faites donc! La vie n'est pas là pour nous faire des cadeaux. La vie, des fois, c'est comme la température, il y a tellement d'éléments en jeu que finalement, nos objectifs demeurent irréalisables.

Mieux!

Encore une crevaison ce matin. Mais là, je ne m'avais pas acheté de nouvelles chambre à air. J'ai pris mon vélo de montagne. Il y a bien pire et cela ne gâchera pas ma journée. Quand je regarde autour de moi, que je vois bien pire, cela me rebalance vers l'avant, me donne une petite poussée pour continuer.

Mais hier, comme vendredi, les marchés boursiers se sont effondrés. Le dollar canadien aussi. Cela m'attriste de voir que la Chine ne réussit pas autant qu'elle nous le faisait sentir. Mais si leur marché bat de l'aile et que le reste de la terre vacille, c'est qu'il ont une emprise quans même solide sur nous. Donc, suite à cet épisode boursier, il faut comprendre que notre autonomie financière est très importante. Voler de ses propres ailes. Quand je vois des gens se déchirer au Québec pour une histoire de pays, j'en suis renversé! Nous avons déjà un pays où il fait bon vivre. Arrêtez de rabaisser les autres pour vous remonter. À force de parler contre notre pays et aussi contre les États-Unis, n'allez pas penser que ça ira mieux. Que vous gagnerez en autonomie sur les marchés! Ça fait des années que je me dis que cette situation devrait être corrigée. Mais il semble que ce soit pour plus tard. Avant de parler d'autonomie, il faut démontrer que c'est possible! Bref, la vie continue et il y a bien pire. Mais il y aussi bien mieux! Et je crois qu'il faut se coller à ça! Aspirer à mieux, à plus! En attendant, amusez-vous!

Injustice?

Donc nous sommes en élections. Mais le coeur n'y est pas! Dans mon cas à moi. Pour d'autres, difficile de comprendre. Sont-ils si absents? Abonnés de façon permanente aux médias qui mènent le Québec? Je ne sais pas trop. Il y a du copinage, mais aussi du harcèlement. Les personnes qui se laissent embobiner par les médias sont plutôt émotives, mais aussi ignorantes. Qu'est-ce que le NPD a fait pour le Québec depuis leur envolée orange? Pouvaient-ils faire quelque chose? Bref, plusieurs candidats élus ne savaient pas quoi faire le jour venu. Et cette réalité nous a affectée. Tellement, que, certaines gens pensent que les conservateurs ont abandonné le Québec! C'est là que je m'aperçois que pas mal de gens sont en dehors de la parade. Comment peut-on en arriver là? Imaginez le reste de la province! Plein de gens de mon âge sont rendus à un certain niveau de vie grâce à l'état. Et, ils ont le sentiment réel d'avoir réussi. Je ne dis pas le contraire, mais je suis forcé de dire que si ce n'était pas de l'état, ce serait différent. Car leur travail nous a endetté. Leur fond de pension diminue nos revenus chaque année. Le simple fait de le savoir, mais aussi de comprendre ce phénomène «étatiste» me renverse! Je discutais avec mon père, qui a travaillé toute sa vie, et il me disait que les gens qui ont  retiré de l'aide sociale toute leur vie ont droit à une aide financière pour leur loyer. Et ce, jusqu'à leur mort. Mais mon père, lui, subit des hausses de taxes, ne peut pas travailler autant qu'avant, mais le voudrait bien; Par contre il n'a pas droit à aucune aide. C'est scandaleux! Et comme il ne travaille plus pour un employeur, il a 72 ans, il n'a pas d'assurance pour ses soins dentaires, pour ses lunettes, etc. Les  autres, eux, en ont! Pouvez-vous m'expliquer ça? C'est là que je me dis que je serais bien mieux de ne pas le savoir... Bonne semaine.

Être heureux!

Vendredi enfin! Dire qu'il y en a qui s'efforce de pourrir la vie des autres à longueur de semaine! Hèye, arrêtez-moi ça! Le vendredi, c'est la journée! On doit s'amuser, goûter sa journée et partager sa joie avec les autres! Une fois la journée bien partie, cinq heures arrive très vite! Je suis du genre à respecter les autres, et, au besoin, de les égayer. J'aime que la vie soit belle, remplie de sourires! Parlez-moi de ce qui vous rend heureux, de ce qui vous fait sourire! N'écoutez pas les médias essayer de vous convaincre de toutes sortes de choses! Vivez votre vie! Et si votre journée est un peu moche, dites-vous que la prochaine sera mieux! Un vendredi, c'est valorisant! C'est sûr que si vous vous êtes poigné le cul toute la semaine pis que vous êtes en retard dans vos objectifs, peut-être que votre vendredi sera une journée de misère! Mais cela fait partie d'être heureux! Être heureux relève d'un choix. Un  choix qui peut être fait depuis bien longtemps. Mais la vie, jusqu'à maintenant, m'apprend à la saisir tout de suite, et non plus tard. À quoi ça me sert de mettre de l'argent de côté, de travailler pour plus tard, si je manque ma vie présente? Si je gaspille ma famille en travaillant soirs et fin de semaine? Pensez-y! Il en faut de l'argent, mais il faut aussi de la volonté!

La vie continue

J'ai bien aimé me rappeler mes années au CEGEP. J'aimerais y retourner pour me concentrer sur mes études. Mais je ne regrette pas, au contraire, ce fut un apprentissage qui me sert encore aujourd'hui. Et  puis, il y a eu les épisodes avec André Labbé. Quelle folie d'être ami avec un gars aussi tête brûlée! Un sottise n'attendait pas l'autre! Et la drogue battait son plein en lui. Mais j'ai encore appris bien des choses! À l'école de la vie, nous sommes libres. Après quelques expériences, nous délimitons les frontières de notre liberté. Certains ne l'ont pas compris, d'autres l'ont vraiment très bien compris! Ce qui fait que plusieurs embarquent dans la parade. Mon comptable me dit de m'intégrer au système, ce que je m'efforce de faire le plus possible. Encore une belle journée qui s'annonce. Elle sera chaude et amusante! Ceci dit, je dois y aller! À plus!

Choc temporel!

Ça y est, la grande noirceur commence. Il est un privilège de rouler le matin à vélo, dès 5:00 et de pouvoir le faire de clarté. Mais ce temps est fini. Quand je me lève, il fait à nouveau noir. Puis je vois le jour qui commence à s'installer pendant que je pédale. Cette noirceur est pour moi une source de calme, qui me permet de mieux réfléchir. De mieux me comprendre. Les journées passent et mes pensées se bousculent. Il me faut un temps d'arrêt. Comme dormir ne semble pas assez, alors ce temps à vélo me fait le plus grand bien. Difficile de se concentrer. Hier je suis allé au CEGEP de Sainte-Foy pour une réunion. Ça m'a fait encore drôle de retourner là. J'y ai vécu tellement de choses. Mais ça m'a aussi fait prendre conscience de bien des réalités qui n'existaient pas quand j'allais au CEGEP. En 1986, il n'y avait pas d'internet. Les réseaux sociaux se regroupaient par d'autres moyens comme la radio étudiante, le journal étudiant, divers regroupements et aussi à certains endroits comme l'Extrapol ou encore le café Wazo. Les présentations PowerPoint n'existaient pas non plus. Les professeurs écrivaient au tableau. Nous avions tellement de livres, tellement de notes à prendre! Les ordinateurs commençaient. Je trouvais ces choses tellement lentes, j'arrivais plus vite à un résultat potable avec ma tête et mes dix doigts. Donc pas de courriels, pas de «chats», pas de téléphones cellulaire, encore moins de téléphones intelligents. Pas non plus de lecteurs mp3, ou encore de Ipod. Pour ce qui est des jeux vidéos, disons qu'il y avait pas mal d'adeptes, mais rien de comparable à aujourd'hui. Les consoles étaient très archaïques. Leur fabrication et l'amat de fils les rendaient plus difficiles à trainer un peu partout. 

J'avais un bon vieux Walkman. J'avais d'ailleurs un Sony que ma mère m'avait offert. Une petite tablette à dessin que je trimbalais avec moi et une sorte calepin pour prendre des notes. Les cartes de guichet faisaient leur apparition! Mais j'écrivais déjà, tous les jours. Je remplissais des tas de feuilles, je tenais un journal. Je gribouillais dans tous mes cahiers. Ce qui m'a frappé ensuite, ce sont toutes les distractions auxquelles nos jeunes ont accès. Ils ont des ordinateurs, un réseau d'informations mondial, des iPod, des téléphones intelligents, des jeux vidéos. Tout ça à gérer, sans dévier trop de leurs études. Vite comme ça, ça semble merveilleux pour faire ses travaux. Mais il doit être facile de s'y perdre. Mais il y a aussi plus de drogue, plus de jeunes avec des foyers séparés et\ou reconstitués. La mode des prêts et bourse semble moins présente. Et les jeunes veulent tout, alors ils travaillent. En 1987, avoir un travail était rare. Les emplois de fin de semaine étaient un cadeau du ciel. Aujourd'hui, les jeunes n'ont qu'à vouloir travailler, les emplois fulminent! Je suis content de ressentir cette évolution.

Nouveau défi!

Yeah! Deuxième journée de beau temps. Il était fort plaisant de prendre une marche, hier soir, torse nu vers 21:00. Et ce matin, premier matin de la saison en vélo sans coupe-vent! 21 degrés et ça monte! L'idée que ça continue me séduit vraiment. L'an passé, nous étions allés à Coaticook pour ma fête. Il n'a même pas fait 20 degrés. L'eau de la piscine du camping était à 62 degrés! J'adore tenir un journal de bord en camping. Cela me rappelle des tas de choses. Souvent de beaux souvenirs, mais aussi des notes importantes concernant certaines choses plus plates qu'il faut éviter de refaire. Bref, ce beau temps mérite d'être souligné par un drink, chaque soir. L'été ne dure jamais assez longtemps, alors profitons-en! Et puis, récemment, nous avons eu des automnes pas si pire. Bien sûr, il faut mettre de côté l'automne dernier et aussi, l'hiver dernier... Tellement traumatisé que je redoute celui qui s'en vient. Alors il faut vivre le moment présent. Danns mon coeur, c'est ainsi. Mais dans ma business, il n'en est pas question. Je me dois de voir un peu plus loin. Ce qui, avec le temps, ne me déplaît pas trop. Tant qu'à être entrepreneur, aussi bien l'être jusqu'au bout. Mais arrive un nouveau défi, le nouveau travail de ma blonde. Elle sera absente plus souvent. La semaine, c'est quand même assez transparent, mais les fins de semaine sont plus longues. Je vais prendre ça comme ça vient. Sur ce, bonne journée!

Bonne semaine!

Bon ça y est! Les médias sont partis! La chaleur accablante s'abat sur Québec! Non mais on peut-tu avoir chaud tranquille? Vendredi dernier, je suis allé au camping en culottes longues! Je  suis tanné de me faire dire comment respirer, comment devenir moi. On peut-tu crever un peu, suer du front? Nous fumes victimes d'un hiver tellement froid, d'un printemps moche, quand il fait beau et chaud, laissez-nous tranquille! Était-ce aussi déplaisant quand j'étais petit? Il me semble que j'écoutais Claude Mercier nous faire la météo à la télé. Il dessinait les dépressions, les courants d'air, jamais qu'il nous parlait de se mettre à l'abri, de boire de l'eau, de surveiller les personnes agées... C'est vrai, y en avait pas... Bin non, c't'une farce!!! N'empêche que c'est vraiment tannant. Juste un peu de beau temps. Pis même les enfants nous parlent de la rentrée scolaire. On peut-tu avoir encore une petite semaine sans parler de l'école? Un  petit break? Ouin, comme ça. À force de se dire que ce sera merveilleux, que la vie est belle, en mettant de côté certains irritants, il sera facile de passer au travers de nos semaines. Et puis, aller au États, c'est merveilleux, sauf quand on s'aperçoit à notre retour que le Québec a ses particularité, comme le climat, les prix planchers, les taxes et les impôts. Pour le reste, il faut faire avec. Donc laissez-nous une petit patience avec la chaleur! Yes! Maintenant allons travailler et faire un peu d'argent...!

Il faut vivre Sa vie!

Comme c'est valorisant d'avoir des petits mots sur Facebook. J'adore cette façon de faire. Bien sûr, il y a moyen que ce ne soit pas cool, mais c'est comme ça dans la vie. Il faut fabriquer son bonheur et choisir d'être heureux. Moi je me dis que c'est un apprentissage avec essais-erreurs. Il n'y a rien comme vivre pour apprendre! La vie, c'est comme une beurrée de beurre de pinottes, plus tu en mets, plus ça dégoutte! Aussi bien trouver un juste milieu! C'est ce que nous verrons! Pour ma part, il m'a fallu l'apprendre et l'accepter. Accepter que d'aller trop vite, manquer de patience n'amenait pas les autres à te considérer, à t'aimer. Et puis, je suis une personne qui aimme écouter les autres. Plus jeune, j'aimais mieux qu'on m'écoute, qu'on s'occupe de moi, presqu'à n'importe quel prix. Mais tout ça a changé. Attendre après les autres, c'est passer à côté de sa vie!

La vie

C'est fou ce que la vie peut passer vite! On court sans arrêt et quand on arrête un peu, le temps nous rattrape! Même après des années de vie, des années remplies de joie, à me dire que j'ai tout mon temps, on dirait qu'il me manque quelque chose. Je ne suis plus celui qui s'attarde au passé, mais j'ai compris que ce passé me sert de référence. Comme un mentor qui me partagerait son expérience. Cette expérience, c'est la mienne! À moi d'en faire bon usage! Mais je me trouve souvent mauvais pour ce qui est de planifier mes journées. Ayant excellé pendant des années à faire de chaque journée un événement unique, le contraire est une tâche assidue, parfois un défi de taille! Alors j'aime le plus que je peux, essayant de ne rien laisser passer. Chaque seconde de la vie que je peux aimer, je l'aime! Il y a des jours où je me trouve un peu fatigué, mais bon... Ainsi va la vie!

Un peu vite

La rentrée n'est pas encore commencée, mais l'actualité, elle, s'anime soudainement avec les élections. Bizarrement, je suis déjà tanné du NPD. Parce qu'au Québec, le NPD ne nous a rien apporté à part la couleur orange. Comme je la connaissais déjà, je n'ai pas été tellement amusé. Concernant les libéraux, j'aimerais mieux ne pas en parler. Leur chef, assis sur la réputation surfaite de son père, tente une entrée. Je ne sais pas pour vous, mais depuis que son père est passé, les dettes n'ont jamais cessé de monter. Concernant les conservateurs, eh bien, depuis qu'ils sont là, ils ont accompli bien des choses, et ils continuent. Je ne dis pas que leur chef est d'une nature dynamique et enjouée, mais il fait du très bon travail. Il y a tellement trop d'intervention de la part des gouvernements, au moins, pendant une campagne électorale, parlez-nous de vos idées, de vos projets, de solutions nouvelles et concrètes! Arrêtez de prendre notre argent pour parler contre les autres. Il y a déjà plein de gens dans notre quotidien qui le font et on n'a pas à les payer! Déjà tanné de vous voir vous rabaisser les uns les autres. Montrez-nous du concret. Pendant mon séjour au États, j'ai vite compris que ces gens-là avaient un peu d'argent dans leurs poches. À la fin de l'année, ils n'ont pas donné 50 % de leur salaire à l'état! Ils ont une certaine marge de manoeuvre. Ils ont la possibilité de décider de leur avenir financier.Je ne dis pas qu'ils le font tous, mais les possibilités sont là. Ici, il n'est jamais trop tard pour décider, mais il n'y a pas grand chose.

Plein gaz!

Ouf! Quel retour au travail! À commencer par une crevaison en vélo. Ensuite, j'ai réussi à imprimer et découper en même temps, comme dans les grandes périodes de rush. Je me dis que c'est normal après trois semaines d'absence. N'empêche que je veux quand même garder un peu de mon calme, cette relaxation que j'ai réussi à trouver en vacances. Dur à atteindre cette façon de ralentir! Dans ma tête, les choses se bousculent tellement! Il y a une vague de changement qui s'amorce. Je suis bien content de cette expérience que fut nos vacances. Autant de kilomètres, chose que je ne ferais pas ici, au Québec. Même avec le taux de change très pénalisant, le prix du litre d'essence est presque le double dans notre belle province! Juste ça, ça casse un budget! On s'en reparlera, j'ai d'autre choses à penser pour le moment. Redémarrer mon entreprise, rester en forme et me dire que l'été n'est pas fini. Qu'il reste encore de beaux jours à venir, comme en fin de semaine. Bref, ce sont des pensées très importantes dans un quotidien tourmenté québécois.

Vacances 2015

De retour des vacances. Trois semaines, c'est vite passé. Cette année, nous avions pas mal de route à faire. Au final, ce fut 4500  kilomètres et des poussières. Partir avec un camion de onze ans avec la roulotte derrière et toute la petite famille, c'était une idée merveilleuse. Aucun pépin. Nou nous sommes rendus jusqu'à Myrtle Beach. Là-bas, il fait chaud. Les nuits fraîches descendent à 25 degrés. L'eau de la mer est plus chaude que mon SPA l'été; ce dernier est à 92! Et la piscine encore plus chaude. Mais ce fut aussi de merveilleuses rencontres : Aller marcher, goûter la ville de Hershey. aller souper et visiter la ville de Salem; engouffrer un gigantesque burger chez Ruddrock, à même le magasin de Jordan's Furniture; passer dans un tunnel vitré qui commémore le génocide juif; se promener dans le Quincy Market; manger une assiette très viandée aromatisée entièrement au Jack Daniel's au TGI Friday; croquer à pleines dents sur des moceaux de viandes fraîchement cuit sur charbon au RIOZ; se faire prendre en photo avec Abraham Lincoln; découvrir l'enlignement parfait de la piscine de réflection avec le Washington Memorial; se tenir devant la Maison Blanche; regarder le Capitole complètement recouvert d'échafauds; assister à un match des Nationals, dans le stade de Washington; prendre le métro à Boston et à Washington; etc. Mais aussi, rester coincer dans un embouteillage monstre à l'entrée du Georges Washington Bridge. deux heures et demi d'angoisse sans air climatisé! Pénétrer des tunnels interdits aux roulottes à cause du GPS. Ouf! Après ça, il nous reste des tas de souvenirs et bien des trucs à raconter. À plus!