Des opportunistes manipulateurs.

Un autre matin très frais et très gris. Il fait sept degrés, ça sent vraiment l'automne. Je me sens vraiment écrasé par toute cette mascarade interminable! L'histoire du double vaccin commence à faire du ravage, des dommages irréversibles! Les collègues de travail, les amis, les familles, il semble que les gens se déchirent entre eux de plus en plus! C'est vraiment de la folie! Je me sens vraiment mal dans cette folie collective, où la vie, ma vie, continue de résister à l'envahisseur et son covid-show! Je ne comprends vraiment pas pourquoi certaines personnes ne veulent pas que ça cesse. Depuis mars 2020, je me demande où se passe cette histoire? Pourquoi autant de cinéma? Il me semble que nous avons assez souffert! Moi je me replie sur moi-même de plus en plus, mon espace de vie me semble de plus en plus petit. Le cercle d'amis n'est jamais revenu ce qu'il était. Il y a des gens que je ne reverrai peut-être jamais. Tout ça est très bizarre, voir épeurant. Je me sens brimé, dupé, par des gens qui sont des opportunistes manipulateurs. Je continue d'avancer, de me battre contre tout ça, de rester concentré sur mes objectifs. La journée d'hier s'est bien passée, j'ai réussi à faire bien des choses, à me reconnecter avec mon travail. Et de savoir que ma Bibi revient demain soir, ça m'aide à me sentir plus fort. J'ai hâte à demain, ce sera un vendredi très occupé, mais ce sera aussi le début de la fin de semaine! À plus!

Arrêtez de mettre de l'argent sur un vieux bazou!

Je me dois d'écrire encore un peu. Dans mon coeur, la révolte gronde, la colère prend du terrain! Et en tombant sur cette caricature ce matin, je crois qu'un autre câble vient de céder! Vous savez, votre désinformation commence à peser lourd! Je ne suis pas dupe! Et j'en ai ma claque de vos mensonges, de votre information convergente! Y a-t-il un moyen de se défaire de vos tentacules? Vous tentez sans arrêt et avec acharnement,de nous atteindre, cherchant à nous affaiblir, à faire baisser notre garde! Comme le ferait un gourou! La torpeur qui réside en moi ne cesse de croître, j'ai peur qu'un jour, je ne puisse plus répondre de moi! J'ai commencé une nouvelle thérapie, j'ai l'intention d'y mettre du mien, de faire en sorte de ressortir gagnant de cette expérience. Mais il faudrait tout de même avoir un break! Une ouverture vers le retour à la normale! Ma vie est chamboulée, et je crois qu'elle changée à jamais par votre entêtement à entretenir un système social (santé-éducation-travail et syncicats) qui ne fonctionne plus, qui a peut-être déjà donné du bon, mais plus maintenant! Arrêtez de mettre de l'argent sur ce vieux bazou fini! Car il est trop endommagé pour qu'on puisse continuer à s'en servir! Ouvrez vos yeux, prenez du recul, admettez vos erreurs et recommencez d'une autre façon!

J’ai besoin d’un break!

Huit degrés ce matin, je ne suis pas allé pédaler, mes jambes demandaient une certaines compréhension depuis lundi matin. J'ai pédalé un peu à l'intérieur, puis j'ai fait un peu de muscu. Hier, je suis allé inspecter la maison avec Patrice. L'inspection fut positive; pour une maison mobile, l'entretien fut fait d'une façon assidue. Mais j'ai attendu au moins une heure que Patrice arrive enfin. Je ne peux pas chiauler, il est venu le faire pour nous. Et ensuite, après le souper, nous sommes allés terminer le transport des choses à Cameron qui étaient encore à l'appartement sur Montolieu. Encore une fois, j'ai dû attendre encore une grosse heure après la personne que Cameron avait trouvée pour venir m'aider! mais bon, enfin j'ai fini! Simonac! Je suis fatigué, j'ai besoin de vacances. Mais j'ai aussi beaucoup de travail, des tas de choses à faire pour arriver à m'en sortir! Et comme la mascarade se poursuit encore, et ne semble pas vouloir finir bientôt, il m'est de plus en plus dur de rester concentrer sur mes objectifs. Mais ce matin, je me sens un peu moins «bousculé» par des responsabilités familiales; je sais qu'il m'en reste encore, qu'il m'en restera toujours, mais bon, j'ai besoin d'un break! Nous aurons des vacances la fin de semaine de l'action de graisse. J'ai bien hâte! En attendant, je dois continuer ce que j'ai de commencer. Et comme le froid s'en vient, il y a des dossiers qui commencent à presser.

Notre vie a été volée.

Impossible de circuler, de respirer sans entendre parler du covid-show! Je suis tellement fini d'en entendre parler, je me referme de plus en plus sur moi-même. C'est invivable! C'est intolérable! Je me sens prisonnier, je ne veux plus aller faire l'épicerie ou d'autres commissions. Je me sens piègé, espionné; je paranoye un peu, car je ne suis pas capable d'être optimiste par rapport à ce qu'il me reste de temps pour vivre! L'envie de travailler me quitte tranquillement, je me sens glisser dans une zone étrange. Mais je travaille fort pour garder toute ma tête. Je ne sais pas ce qui se passe, je dérape dans ma tête, j'ai les facultés affaiblies. Ma vie s'écroule un peu chaque jour. Je cherche une façon de rester de bonne humeur, coûte que coûte. Des fois je pense que je ne pouurai pas passer au travers. Des fois je me dis que ça va passer à un moment donné. Mais rien ne bouge, rien ne semble vouloir évoluer. C'est une ère perdue, où notre vie a été volée. Je ne sais plus quoi penser. Au moins je réussis encore à dormir. On s'en reparle.

Interminable mascarade!

Six degrés ce matin, un peu froid pour pédaler, mais il faut composer avec la météo, on n'y peut rien! Hier j'avais ma première rencontre en groupe, thérapie sur la personnalité et ses composantes. Ce fut une rencontre quand même assez courte et plate. Comme je n'avais pas vraiment d'attentes, je n'ai pas été déçu. Je suis le seul homme, je suis le plus vieux, et de loin! Les intervenants semblent très «mous», très très cools. Je me sentais pas tant que ça à ma place. Mais comme je suis là, privilégié d'avoir une place, je pense bien continuer. L'installation de la murale s'est vraiment bien passée hier matin. Hier soir, je suis allé faire un voyage de déménagement avec Cameron. Il en reste encore deux à faire! Je suis vraiment tanné! Dire que je me suis arraché le coeur pour déménager et installer ces trois personnes qui semblaient être prêts... J'en ai plein mon cass! Sans mentionner toute l'interminable mascarade! Tellement, mais tellement écoeuré...! J'ai vu des décorations d'Halloween en pédalant tantôt...Simonac! Un peu trop tôt! Mais les gens doivent avoir un certain exutoire; j'aime mieux ça que de la rage au volant! On achète des billets de loterie, des fois... Je me sens prêt! Car même si je n'y crois pas, je n'y peux rien! Alors je suis volontaire! Quand ma Bibi est au loin, il n'y a pas grand chose qui me retient ici. Place de mongols! Je veux ravoir ma vie!

Fatigué et desabusé.

Petit lundi matin sans vélo, considérant que j'en ai assez fait depuis les sept derniers jours. Il fait huit degrés, ça commence à être frais dans la maison, il va falloir partir le chauffage très bientôt. Dommage, j'aurais aimé garder l'été avec moi. Ce fut un bel été, malgré ses hauts et ses bas. Ecrire le matin sous le gazebo, y prendre son déjeuner! Wow! Encore! Mais ce matin, c'est très frais, et gris. Pas vraiment de pluie, même si c'est annoncé. Ce fut le cas pour l'entièreté de l'été; ce que nous annonçait les spécialistes n'arrivait pas souvent. Et j'ai composé avec ça. Mais où je ne suis plus capable de composer, c'est au niveau de la loi martiale sanitaire, une sorte de diktat qui nous pourri la vie depuis trop longtemps. La mascarade a assez duré, je ne comprends pas pourquoi tout n'arrête pas. Je ne comprends pas pourquoi LeGros n'écoute pas ses citoyens qui sont divisés, fatigués et désabusés. Il se fout complètement de nous, refuse de prendre ses responsabilités, et surtout, nous montre qu'il n'est pas capable de gouverner ici, dans l'ancienne belle province! Agir pas décret, quelle façon lâche et sans scrupules de passer des lois! Et quelle manière tribale d'imposer ses idées! À coup de menaces, d'amendes et arrestations, pour ensuite s'auto-déclarer «bon». Simonac, ça fera! Un jour, vous le regetterez. Quelqu'un s'occupera de vous. Vous payez les médias, vous payez les citoyens, et vous voulez éliminez ceux qui s'interrogent sur votre manière de faire! La mafia utilise des méthodes semblables, mais contrairement à vous, ça porte fruits! Vous tournez en rond sans apprendre de vos erreurs! Votre incohérence est insupportable! Juste à penser que je dois encore me soumettre à une de vos mesures, les poings me ferment! Assez, c'est assez!

Ce fut ressourçant.

Une pause à travers ce brouillard! Hier je suis parti en vélo vers St-Georges, rendre visite à mon père. L'idée, me dissocier de tout merdier! Et ce matin, je suis reparti, j'ai pédalé de nouveau vers mon destin. Je me sentais en dehors de la situation, en dehors comme lorsque je prenais un verre, sauf que j'ai gardé toute ma tête. Hier je suis arrivé chez mon père vers 15:45. Quatre-vingt-dix-huit kilomètres! Il était content, nous avons discuté. Et puis, il y a eu de la visite, Jacqueline et son mari Langis. Une belle soirée, pas trop longue elle fut. J'ai apprêté les côtelettes, je les ai fait cuire, le souper était bon. Le sommeil est aussi venu me rejoindre assez tôt. J'ai dormi sur un matelas comme mes enfants avaient pour recevoir leurs amis. Seul au milieu du salon, je me suis bien reposé; en me levant, je me sentais d'attaque pour mon deuxième périple en autant de jours! Il fait bon d'avoir fait autre chose que de bricoler, que de travailler sur autre chose. J'ai travaillé sur moi. Je me suis posé des questions, j'ai cherché des solutions, mais surtout, j'ai dépensé de l'énergie. Beaucoup d'énergie! Plus le temps passe, plus je trouve cela important. Comme quand j'étais plus jeune, affairé avec les enfants, affairé à faire le taxi pour les trois! J'en dépensais de l'énergie, mais aussi du temps! Incroyable quand je repense à tout ça... Tout ce temps pour prendre soin d'eux, leur donner un exemple à suivre, une ouverture sur le monde. Et quand je regarde, avec du recul, ce que ça donne aujourd'hui, des fois je me dis que ça pourrait être pire. N'empêche que je suis vraiment fatigué de me dire ça. Je sais que ça pourrait tellement être mieux. Alors je me suis choisi, en fin de semaine, en pédalant pour moi. Ce fut très enrichissant, très ressourçant. Demain je recommence une autre semaine de travail, une semaine qui s'annonce très remplie! Et ce sera le retour de ma Bibi, suivi de la crémaillère du nouveau milieu de vie de Ginette et Alain. Le temps continue de passer, comme un percepteur de taxes qui, comme s'il était minuté, revient toujours pour réclamer ce qui est dû. Je suis bien inquiet de notre avenir, mais ce sera pour une autre fois.

Remettez votre démission!

Samedi matin, il fait treize degrés, le ciel est très gris. Après un vendredi bien rempli et un souper un peu tard avec l'ami René Therrien, me revoilà parmi la collectivité, en train de prendre un peu de recul. Je me disais que ça se pouvait pas que les gens soient aussi méchants; constat que j'ai fait en rentrant à la maternelle... Mais toute cette folie se poursuit de plus belle sur les réseaux sociaux! Le tribunal populaire continue de faire des ravages. Maintenant que les médias ont démoli une personne bien comme il le faut, qui sera le prochain? Je n'arrive pas à comprendre toute cette jalousie! Pourquoi les gens semblent aimer démolir les autres? On se croirait dans une école secondaire... Une bande de dépravés, sans scrupules qui s'amusent à faire du tort ici et là. Mais leur stratégie semble plus improvisée que celle des médias. Tout ce cirque, a pour but de continuer à distraire les gens, pendant que le reste, lire système de santé, système scolaire, s'écroule! Pourquoi être aussi dur avec les autres? Pourquoi sacrifier des carrières sur la place publique? Je n'arrive pas à comprendre! Soyez francs, ayez plus de transparence par rapport à vos actes! Franchement monsieur LeGros, vous n'êtes pas digne de votre place, être PM de la province! Remettez votre démission immédiatement, et restez discret pendant minimum un an! Le temps que les gens vous oublient.

Seize kilomètres de trail!

Petit vendredi matin, très gris et venteux! Il fait treize degrés. Joanne est partie hier. Une fois atterrie à Sept-Iles, l'avion avait une crevaison! Devinez quoi? Pas de mécano sur place, ni de pneu! Elle a dû attendre qu'un spécialiste vienne de Québec avec un pneu pour réparer le tout! Résultat, sept heures de retard! Bravo à notre gouvernement! Quelle gestion lamentable! Et son cadeau de fête est arrivé dans l'après-midi! Un super paddleboard! J'ai bien hâte de la voir voguer là-dessus! Et hier, LeGros a instauré une nouvelle loi, bin oui! Pour empêcher les manifestations devant les édifices publiques gouvernementaux! Je crois qu'il y aura bien des petites lignes dans tout ça! Je ne comprends pas vraiment pas ce qui se passe dans cette place de mongols... D'accord, ce n'est pas super chic de manifester devant des écoles ou des hôpitaux, mais il y a trop d'alinéas dans cette nouvelles loi! Encore une autre! J'en ai ma claque! Que devrions-nous faire? QUe se passe-t-il? Cette loi est-elle irréversible? Il faudrait l'abroger le plus rapidemant possible! Je suis sidéré de plus en plus par ce gouvernement tyrannique, qui nous traite comme du bétail! Sur une autre note, dans l'après-midi, je suis allé me clancher un excellent seize kilomètres de trail! Quelle belle aventure! J'ai vraiment aimé ça! Puis, après un bon souper avec mon fils, je suis allé chez Alain et Ginette, premdre des mesures pour le visuel qui ornera leur cuisine! Voilà qui terminait bien la journée! Maintenant en route vers une fin de semaine tout seul, sans ma Bibi! Je passe autravers de ce vendredi, ensuite, je relaxerai! Oui, oui! Je travaille fort là-dessus! À plus!

C’est plus triste qu’un cauchemar!

Je suis dehors ce matin, il fait dix-neuf degrés! Je suis allé porter Joanne à l'aéroport, elle revient le 1er octobre. La journée de sa fête, partir à Blanc Sablon... au moins c'est beau, là-bas. Petite pluie ce matin, alors que les prévisions n'en annonçaient pas... Je suis sous le gazebo, je me sens libre, même si... le cadeau de fête de ma Bibi arrivera pendant la journée! Même si je dois me masquer pour aller au magasin! La folie se poursuit, avec le passeport vaginal, les masques, les règles discriminatoires, etc. Je ne comprends pas pourquoi toutes ces conneries! Un véritable cirque Barnum! J'en ai ma claque, ma patience est à zéro, ma force mentale est détournée pour l'instant. Je ne comprends pas pourquoi ça se poursuit. Il fait vraiment doux, j'ai une belle journée de travail devant moi! COntent de ne pas avoir d'enfant à l'école! Par contre, J'ai payé les réparations sur l'auto à Vicky...1900$! Eh oui! Et une bonne nouvelle, l'offre d'achat que Joanne a fait avec Vicky sur une maison a été acceptée. Une vraie bonne nouvelle! Reste à faire inspecter, régler des papiers, etc. Taxe de bienvenue, taxes scolaires, taxes .... Malgré qu'on soit muselé, les mains attachées, il faut tout de même continuer à payer leur salaire, à ces êtres mesquins et sans scrupules! Continuer de payer un système de santé complètement obsolète, qui ne peut pas nous être utile adéquatement! Continuer de payer pour des routes toutes scraps! Et l'inflation se situe aux alentours de quatre pourcent! Tabarnak! Il faut que ça cesse! Les gens vont sauter! C'est plus triste qu'un cauchemar! De la vraie criss de marde! Les médias s'amusent à choisir tous les jours, une nouvelle victime. Tribunal populaire, bien pire qu'un vrai tribunal. Mais si je ne suis pas vacciné, je peux transmettre le virus, je peux aussi l'avoir et ne pas m'en rendre compte. Par contre, si je suis vacciné, je peux aussi transmettre le virus, ou encore l'avoir sans m'en rendre compte! D'où vient la zizanie? LeGros et ses accolytes, les médias, tous des gens qui jugent, comme s'ils étaient supérieurs aux autres! Je ne suis pas de votre côté. Je suis de mon côté. Qui m'aime me suive!

Je réussis à voir le beau!

Douze degrés ce matin, j'ai décidé de m'installer dehors, sous le gazebo! Jusqu'à maintenant, je suis très bien. Pas trop humide, juste bien! Où sommes-nous rendus dans ce monde? Une histoire d'Amour qui vacille, où l'être humain est éprouvé; où son intégrité est mise à l'épreuve! Tout de même, je suis content de réussir à voir ça de cette façon. Hier nous avons eu la visite de René Therrien. Il est venu porter un présent d'anniversaire à Joanne; Ça lui a fait du bien. Ma Bibi est pas mal fatiguée dans sa tête. Elle part demain, pour Blanc Sablon. Ensuite on verra. Elle veut se reposer, retrouver le moral. Je ne sais pas trop quoi en penser; je peux vous dire que ça ne me le dit pas tellement d'avoir une autre personne en dépression. Il y a moi, mon fils et si la tendance se maintient, ma Bibi... Bref, l'automne s'annonce plutôt lourd. Je pense que ce serait vraiment le temps de passer à autre chose... Et comme les élections fédérales sont terminées, mon bilan positif est le suivant : j'ai gagné mon vote, et ce fut payant de produire les graphiques autos, les installer et aussi les retirer! Pour le reste, tout reste à voir. Alors je reste concentré sur mes objectifs. Ce sera aujourd'hui que je saurai combien ça va coûter pour avoir réparer l'auto à Vicky (la nôtre!). J'ai réussi à voir le beau, ça va me faire des dépenses pour ce trimestre, car lorsque je réussis enfin à avoir un bon trimestre, je le redonne presque toute au gouvernement! Fait que c'est ça! Bien sûr, ça ne me fait pas prendre d'avance, mais au moins, je m'assure de conserver et de partager du bonheur! En tous cas, je suis bien, seul, sous mon gazebo. Personne pour me contrarier, personne pour me déranger, juste moi qui fais son analyse, qui prends du recul; je me sens prêt pour continuer! Et puis fuck le covid-show!

Un homme digne de ce qu’il est.

Neuf degrés ce matin. Après avoir dépensé autant d'argent en si peu de temps, le trou d'eau nous a prouvé qu'il était l'homme le plus dépensier de toute la planète! Franchement, je ne suis pas surpris, un peu déçu, mais surtout désabusé des gens qui m'entourent, ceux qui ont préféré laisser les choses dépérir autant! Et cette situation, le statu quo, ne nous aidera en rien face à tout ce merdier! Ma Bibi lève le drapeau, elle est épuisée. Elle tente de rejoindre un médecin, peu importe lequel, car impossible de rejoindre notre médecin de famille! Situation lamentable et déplorable! Comme tout le reste de ce que le gouvernement gère! Un esti de tas de marde! Je me sens tellement fatigué dans ma tête, j'aimerais pouvoir continuer à vivre encore un bon bout, mais pas dans ce monde de tarés. Et il faut absolument se débarasser de LeGros, son diktat nous pourrit la vie de plusieurs façons, de sorte que nous sommes «enchainés» ici, incapable de remonter à la surface! Toute cette vie de grande illusion, de mensonges, j'en ai mon voyage, je ne veux plus vivre dans ce show de boucane. Je suis tanné de côtoyer des gens qui veulent se montrer, se pèter les bretelles! Cette situation a assez duré! Quelle place de mongols! Je me sens tellement perdu, je préfère me refermer encore un peu plus. J'ai prêté mon camion à Vicky, car aucune nouvelle du garage, c'est vraiment décevant! Quand nous serons sortis de tout ce merdier, je veux ravoir ma vie, je veux réussir à me sentir humain, un homme digne de ce qu'il est! On s'en reparle.

Sortir la tête du trou de sable!

Sept degrés, ce matin j'avais de la misère à pédaler. Encore fatigué musculairement de ma soirée de danse de samedi soir. Oui! Nous avons dansé! Et comme ça faisait longtemps, j'ai mis le paquet! Hier la journée fut plus difficile, et ce matin, mes jamber ne répondaient pas aussi vite qu'à l'habitude. Mais ce fut une fin de semaine extraordinaire. Si l'on met de côté le garçon, mon fils, qui n'a pas été capable de commencer son nouvel emploi hier matin, la visite de Daniel et Nathalie, la mariage de Karine et Donald, furent des événements rassembleurs, de quoi remplir le réservoir d'énergie positive! Bien sûr, danser au fond durant quatre heures consécutives, je m'ennuyais de ça! Mais cela m'a demandé beaucoup plus d'efforts pour m'en remettre! Hier, Joanne et moi avons retiré les graphiques sur les deux véhicules de Gérard, car la campagne se terminait hier. Aujourd'hui, jour d'élection, nous serons en mesure de constater où nous sommes rendus comme peuple. Je ne sais pas pour vous, mais moi, je suis rendu à une autre étape. Le pourcentage de personnes vaccinées est suffisant pour nous permettre de continuer notre vie, et de gagner notre immunité collective! Voilà! J'ai rencontré bien des gens en fin de semaine, la majorité s'entendent pour dire que ça fera! Il est temps de sortir la tête du trou de sable, et de vivre! Lundi matin, j'ai besoin de repos! J'ai une journée à faire, et aussi, je dois m'occuper de trouver une auto à Vicky. Car même au garage, le manque de personnel retarde les réparations...

Une journée à faire!

Neuf degrés, l'automne se pointe tranquillement. Certains nous prédisent un tas de choses toutes aussi farfelues les unes que les autres, mais moi, je prends chaque journée une à la fois! Comme ça, c'est une nouvelle aventure qui commence chaque matin. Enfin vendredi, après une grosse semaine, me revoilà devant mon clavier, en train de raconter mes aventures. Hier, alors que nous étions en train de relaxer, en attendant la venue de celui qui me vendait un fatbike, Vicky m'a appelé. Son auto a brisé! COmment casser une soirée qui s'annonçait douce et très amoureuse! Une fois le vélo arrivé, en passant il est excellent, nous sommes partis pour aller constater les dégâts sur la voiture. Bref je n'ai pas réussi à faire un diagnostique précis. Inscription au CAA et remorquage plus tard, nous sommes allés faire un peu d'épicerie. Finalement Vicky est venue dormir à la maison, pour que ça soit plus facile avec son travail. Bref, il était déjà dix heures, je suis allé me coucher. Le sommeil est venu très vite! En ce vendredi matin, l'effervessence bat son plein, alors que nous aurons de la grande visite pour souper! Nathalie et Daniel! Tout reste à voir! Mais il me reste une journée à faire, elle sera bien remplie! Sans compter que je dois m'occuper de l'auto à Vicky! Mais tout ça me tient loin du covid-show! À plus!

Je poursuis mon entraînement.

Neuf degrés, il fait beau! Il fait aussi vraiment très noir. Mais les étoiles sont là, sans nuages! Mine de rien, j'arrive à deux mille kilomêtres de parcouru cet été! je m'accroche à mes objectifs, tentant de me garder concentré au maximum! J'ai une belle journée en vue, avec un assistant improvisé, j'ai nommé JP. Jusqu'à maintenant, la semaine va bien, trois grosses journées d'accomplies. Et comme ça doit continuer, je poursuis mon entraînement. L'ouvrage s'empile un peu, par bout, je me sens un peu fatigué, mais je pense à l'avenir, car il arrive de plus en plus vite! Je ne sais pas pour vous, mais moi, plus je vieillis, plus le temps s'égraine vite! Et puis, j'ai des objectifs à rencontrer, baisser suffisament mes dettes, pour prendre une décision sur mon avenir. Je trouve qu'on tourne en rond avec toutes les simagrées du gouvernement; ça fait tellement longtemps qu'on doit se soumettre à une mautadite loi martiale, loi qui «égorge» pour un virus qui n'a même pas infecté un pourcent de la population mondiale! VOus ne trouvez pas que ce serait le temps de passer à autre chose? Chaque matin, je me dis qu'il va se passer quelque chose, qu'il y aura un revirement...Malgré toute la patience que j'ai réussi à développer avec les années, je pense que j'ai pigé pas mal dans le plat, et que je gaspille ma vie à me soumettre à toutes ces âneries! Je veux que tout ça cesse, je veux ravoir ma vie!

Encore plus que la Castafiore!

Il a commencé à pleuvoir cette nuit, et depuis, ça tombe! Douze degrés, des averses intenses, du tonnerre, vivement un bon café! Bref, c'est aujourd'hui que commence la ségrégation du passeport vaccinal. Le gouvernement a fait des menaces, a même, encore une fois, encourager la délation! Incroyable comme nous sommes mal représentés par ce gouvernement! Je me suis fait avoir, du début à la fin. LeGros est un tyran, mais surtout un lâche et un peureux; incapable de faire face à des responsabilités qu'un gouvernement doit rencontrer, incompétent de toutes les façons, il ne sait que faire des décrets pour avoir la voie libre. Il ne veux pas que personne ne conteste ses décisions, il n'est pas capable de supporter la critique, bref, un jaune, un hypocrite et un menteur! Derrière son image de comptable, il n'est qu'un très pâle acteur dans notre société, et il l'a démoli encore plus que la Castafiore! Incroyable, quand tu t'ennuie de Charest, ça en dit beaucoup! En payant les médias, il s'assure de faire couler ses intentions pour ensuite gouverner en suivant des «sondages». Minable! Je veux ravoir ma vie! Une fraude comme celle du Maîîtrrre! C'est difficile de vivre à travers cette époque, difficile de s'encourager. J'aurai sacrifié ma vie pour continuer de faire vivre mes prédécesseurs!

Un asile à ciel ouvert!

Un petit huit degrés pour commencer la journée. La noirceur est totale. Mais je pense qu'il fera beau. Hier j'ai terminé de «mettre à jour» la flotte de véhicules d'un client. J'avais commencé à le faire pendant les fêtes, mais suite à ma chirurgie du 21 décembre, j'ai dû remettre ça. Puis, chemin faisant ma guérison et aussi que le temps passait, À force d'en faire ici et là, j'ai réussi à passer au travers. Bien sûr, cela n'était pas si amusant, mais ça m'a permis de fidéliser un client. Le prix de mon matériel ne fait que grimper; en dix-huit mois, un gros 20% d'augmentation! Sacrement! Je fais quoi avec ça? Je monte mes prix! Car si le prix de mes matériaux a monté, d'autres prix, comme celui de la nourriture, de l'essence, des amtériaux de construction, etc, ont aussi monté! Comme je suis mon propre administrateur, je dois pallier à mes arrières, faire en sorte de m'en sortir. Je ne peux travailler de façon bénévole quand c'est moi qui signe les chèques! Quand je relis ce que j'ai écrit voilà un an, je constate que c'était déjà un esti d'asile à ciel ouvert! Je ne comprends pas que tout ça perdure, que rien n'a changé, rien n'a progressé! Nous sommes soumis à un diktat, une folie collective qui ne semble pas vouloir se terminer! Heureusement, mon état physique d'hier s'est grandement amélioré! On dirait que j'ai combattu un microbe. On se calme! Bien avant tout ce délire, je combattais déjà, de temps en temps, des microbes! Voilà! Hier nous sommes allés voter par anticipation. File d'attente, distanciation, masque, lavage de mains, etc. Ambiance de guerre civile, quel endroit stressant! Nous avons voté masqués! Bin oui! Avec un masque! Avoir autant chiaulé pour que le vote se fasse le visage à découvert...! Criss de marde! Mais au moins c'est fait! J'ai voté pour celui qui est présent parmi nous, depuis des années. Une personne qui s'occupe des citoyens, qui représente nos intérêts, qui est là pour nous. C'était la seule chose que nous pouvions faire pour conserver ce qui reste de bon dans cette situation, si exécrable soit-elle...

Il faut qu’il y ait du changement!

Douze degrés, à mon retour, le ciel avait de belles lignées rouges; Le soleil se faufilait doucement, pour venir égayer ce lundi. Je me sens fatigué ce matin, la journée d'hier fut bien remplie. Recevoir toute la belle famille, ce n'est pas une tâche légère, mais tout s'est bien passé, tout le monde semble s'être bien amusé. Le blé d'inde était succulent, les hot dogs aussi. Bien que j'en ai mangé que deux, j'étais content, car j'adore les hot dogs. C'était beaucoup d'attention, beaucoup de choses à s'occuper, mais ma Bibi et moi avons réussi! Et ma blonde m'a remercié, hier soir, une fois tout le monde parti. Mais ce matin, je vais faire comme plusieurs lundis, me reposer! J'ai des responsabilités en fin de journée, et je dois aller voter! Je n'ai pas envie de me retrouver au 20 septembre, en train d'attendre dans une file! Et puis, je veux être sûr d'y avoir été, car c'est la seule chose qu'on peut faire pour changer les choses un peu; et dieu sait qu'il faut qu'il y ait du changement! Je me sens complètement vidé, mal au cou, j'ai mangé trop tard hier, mais je suis quand même optimiste par rapport à cette semaine qui commence. C'était merveilleux de voir tout ce beau monde, mais quand on reçoit, c'est rare qu'on peut réussir à discuter avec tout le monde. Bonne semaine!

Du bien dans la grisaille.

Dimanche matin, il vente et c'est très gris. Par contre, il fait seize degrés, et je suis sous le gazebo, en train d'écrire! Hier nous sommes allés faire du vélo, c'était vraiment bien; avec notre petite visite traditionnelle à nos parents. Ensuite nous nous sommes ramassés pour aller souper chez Chantal et Yves. En se rendant à Donnacona, nous sommes arrêtés à la Ferme, dans le rang Ste-Anne, pour y déguster un produit bien de chez nous. À part les guêpes, c'était succulent! Puis, nous sommes arrêtés aussi chez la belle-mère. J'ai terminé la tonte de son gazon. Je vais devoir ajuster la hauteur des roues de la tondeuse, avec des outils. Comme nous étions en décapotable, ces derniers me manquaient! Arrivés chez nos amis, une certaine relaxation s'installe. Discussion pour se mettre à jour, car nous ne les avons pas vu depuis bien trop longtemps! Germ vient nous rejoindre avec Julie. Il était pas mal fier de me présenter son nouveau véhicule, un Cherokee flambant neuf! Je suis content pour eux. On soupe au poulet à la bière! Simonac, se remplir autant, c'est n'est plus chose habituelle! Et le dessert, gâteau au fromage... Il fallait vraiment aller marcher! Ce que nous avons fait en se rendant à l'Expo Donnacona, pour voir un spectacle de Jonathan Roy. Quelle prestation! Sérieusement, je ne comprends pas pourquoi je n'entends pas plus parler de cet artiste! Une job de pro, le son, l'éclairage, la musique, la choriste! C'était tout simplement Wow!!! Ça fait du bien dans notre grisaille. Mais comme toute bonne chose à une fin, nous sommes retournés à la voiture, pour revenir à la maison et se coucher. Les amis auraient bien aimer qu'on reste plus longtemps, mais que voulez-vous? À une prochaine fois!

Samedi matin.

Huit degrés ce matin. Il fait beau soleil! Je me suis acheté une montre Garmin, pour étudier mes battements de coeur; aussi pour le plaisir de pouvoir prendre une certaines conscience de tout ce que je fais physiquement. Jusqu'à maintenant sans trop de complications. Facile à configurer, facile à comprendre. Vite comme ça, la météo sur mon poignet, mes pas et mon coeur. Pas si pire. Elle est très légère, et selon moi, très esthétique. J'en reparlerai sûrement. Projet pour aujourd'hui, aller faire du vélo avec ma Bibi, gazon chez la belle-mère, souper chez des amis et, si tout va bien, spectacle de Jonathan Roy à l'expo de Donnacona. Mais pour l'instant, un bon café! Bonne fin de semaine!

Arrêtez de menacer les gens!

Quinze degrés ce matin. Plus le temps passe, et plus je m'isole. Plus je m'isole et plus le temps passe! Je ne sais pas pour vous, mais moi, je commence à capoter solide. Bien que je sois dans le même sens que LeGros nous dicte d'être, je ne me sens pas en accord avec ses méthodes. Hier, j'ai lu sur Twitter que dès le 15 septembre, des policiers n'hésiteront pas à donner des amendes aux contrevenants du passeport vaginal! Avouez que ça commence à être vraiment trop! Franchement, arrêtez de menacer les gens qui vous ont élu! Arrêtez de nous traiter comme du bétail! Je suis sous le gazebo, je suis bien, seul avec moi-même. Un peu frais, mais combien ressourçant. Et puis, j'ai tellement cette impression de déranger, d'être toxique pour mon entourage... Je sais que je suis un peu parano, c'est la façon dont j'ai été élevé; ce n'est pas une raison pour garder ce dogme! Il faut évoluer! Mais certaines journées, où je me sens perdu, complètement désemparé, il m'est facile de retomber dans ce vieux pattern... Je me sens quand même assez zen, en ce vendredi, j'ai une bonne journée à accomplir, et ça suffit pour me rendre heureux. Voilà! Donc je me concentre pour faire de mon mieux. Bon vendredi!

Je me sens encore triste.

Il fait vraiment beau ce soir. Dans ma tête, j'entends «Bouge cette chose», je tente d'esquiver ce vers d'oreille. Et puis, j'entends le bruit des voitures qui passent, assis tranquille sous le gazebo. Je cherche en vain une explication à tout ce cirque. Rien ne sert de paniquer, mais quans même, le simple fait de pouvoir écrire un peu, de me sentir un peu moins coincé dans le temps. Coincé dans un monde saturé de restrictions, où les dirigeants se gavent, dépensent notre argent sans compter. Je me sens bafoué, je me sens brimé. Tout ce manque de respect, cette façon de diviser les gens. Et puis, prendre notre argent pour diriger l'information, pour dissimuler la vérité... Et s'offrir tous les pouvoirs, par un simple décret! Dieu ait vos âmes, vous ne savez pas ce que vous faites! Je suis là, en train d'écrire ces mots, me disant que, me vider l'esprit, ça me ferait du bien avant d'aller me coucher. Et puis je me sens encore triste, inquiet pour ma Bibi qui est épuisée. Elle est déchirée, elle est aussi divisée dans ses sentiments; elle doit composer avec son mari, qui est plus rigide, plus solide, de par son vécu; et la mollesse inexpérimentée de ses enfants, qui lui tirent du jus sans arrêt. Elle est inquiète, mais surtout, elle m'inquiète. On dirait qu'elle va lâcher, déclarer forfait. LeGros tente de nous achever, un à un. Il n'y a rien que je puisse faire, sinon de continuer à écrire, à dessiner. Le reste, juste du bla-bla! Je voudrais que cette soirée ne finisse jamais; j'aimerais pouvoir arrêter le temps, pour reprendre celui que j'ai perdu depuis dix-huit mois. Mais je dois m'accrocher à ce qui compte le plus pour moi, à des choses vraies, des choses auxquelles je crois! Le reste, que le vent les emporte! On s'en reparle.

Des ressources pour combattre.

On dirait une histoire qui se répète. Il me semble que j'ai déjà vécu ça. Mon plus jeune s'installe en bas, il ferme la porte derrière lui à chaque fois. Il est ailleurs, dans un monde différent du mien. Pour ma part, j'ai du travail, mais je suis triste. Je me sens bien intentionné, mais dans un monde qui ne sait plus comment faire. Ma Bibi est fatiguée; dans sa tête, mais aussi dans son coeur. Je pense qu'elle va lâcher le travail pour un moment, elle est épuisée, elle est à bout de ressources. Et le temps, lui, continue de passer! Comme c'est cruel! Je n'arrive pas à me sortir de tout ça. Les inquiétudes, le fait de n'avoir aucune date d'un retour à la normale. On dirait que le covid-show, appelez ça comme vous voulez, n'aura jamais de fin... Je suis triste, perdu, comme un bateau échoué, incapable de reprendre le large. Peu importe le temps qu'il fait, les gens que je rencontre, on dirait que je suis au neutre. Plus rien ne m'allume. Une chose que je remarque, la routine que je me suis imposée depuis des années reste en place; donc ça me fait un peu de bien de la continuer. Comme tout le monde, je suis bien plus que tanné de ce cirque perpétuel. Je veux ravoir ma vie. Y a-t-il une stratégie à adopter? Un moyen autre que d'attendre les prochaines élections pour se libérer des chaines de LeGros? D'ailleurs, j'ai toujours trouvé difficile d'haïr quelqu'un, mais il semble (LeGros) décidé à vouloir que ce soit le cas. Loin de ceux qui l'ont élu, il agit comme quelqu'un qui n'a aucune confiance en lui. Quand son tour viendra de tomber, sa chute sera vraiment une descente aux enfers... Je ne souhaite pas de mal à personne, mais certains se magasinent des claques sur la gueule! Je sais que je me répète, mais je veux ravoir ma vie! Je ne connais personne, intéressé d'avoir une vie, qui est confortable en ce moment. À croire que tout ça est un cauchemer, tellement ça me pèse. Ce n'est vraiment pas mon genre de fuir devant un obstacle et/ou une épreuve, mais depuis dix-huit mois, je n'ai pas encore trouver les ressources pour combattre! En avez-vous?

Son humeur morne…

Quinze degrés ce matin, très gris et très mouillé. Par contre, il ne pleut plus. Ce fut agréable de prendre un moment pour me recueillir, me retrouver. Je ne sais pas pour vous, mais je crois que nous entrons dans une période étrange, où les gens en général commencent à se foutre de tout. Autant de leur travail, de leur assiduité au travail, de leur devoirs de parents, de leurs responsabilités, etc. C'est vraiment malheureux, mais je crois que la mascarade commence à nous aliéner solide. Pourtant, il ne s'agirait que de quelques phrases, quelques bons mots réconfortants, mais non! LeGros préfère nous traiter comme du bétail! Il n'a aucun respect pour ceux qui l'ont élu! Ceux qui paient son salaire, ceux qui sont prisonniers de ses décrets! Une méchante gang de tyrans! Je n'ai plus de mots pour décrire l'ampleur que tout ça a pris dans nos vies! Et avec le retour de Cameron à la maison, difficile de mettre un sourire dans la face! Son humeur morne, sans vie, m'arrache le restant de joie qu'il me reste. Et quand il reçoit des amis, oui-oui, comme hier soir, il est euphorique! Il est énergique, semble être un leader; comme s'il devenait une autre personne. À croire qu'il est malheureux avec nous! QU'il retourne en appartement, si c'est si dur de nous endurer! Mais heureusement, j'ai tout de même eu une belle journée, hier, et cela m'aide vraiment à passer au travers. Je commence à me sentir comme une grosse larve inutile, je me questionne sur mes idées, mes ambitions, je me sens déphasé, et j'ai de la misère à rester concentré sur mes objectifs! Je m'arrête un peu, car j'ai une autre journée à faire. À plus!

Très toxique pour mon entourage.

Un autre matin à douze degrés. La fraicheur semble s'installer pour de bon. N'empêche que je me sens toujours privilégié de pouvoir aller pédaler tôt le matin. Me sentir sur mon «X», seul avec moi. Prendre le temps de réfléchir, de ressentir une autre énergie autour de moi. Chaque matin est une chance de pouvoir me garder en forme, une opportunité de mettre mon pied au sol et me dire que je suis vivant! Même si nous sommes encore obligés de nous cacher pour manifester notre bonne humeur. Comme si nous étions dans le film «Footloose». Personne n'a le droit d'être heureux, personne n'a le droit d'aller faire son épicerie en paix! Juste penser que je dois aller faire des commissions, ça me tire à terre. Quelle place de lâches! Nous sommes tous des lâches qui se laissent traîner dans la vase! Il faut se soulever contre cette loi martiale! Personne ne savait qu'un gouvernement avait ce genre de pouvoir pour nous oppresser! À croire qu'à coup de décrets, à mains levées, nous sommes enfermés, masqués, limités de toutes parts, et que nous ne pouvons rien faire! Pour ma part, je m'isole de plus en plus, je me referme sur moi-même. Je sens que je pourrais devenir très toxique pour mon entourage. Mais en dedans, je souffre tellement. J'aurais aimé avoir plus de latitude, plus de liberté. Je me sens enchaîné depuis trop longtemps! Alors je me réfugie dans le vélo! Voir du monde, ça fait du bien, mais comme je me sens aussi limité dans mes paroles, alors je ne peux que me retenir, faire attention à tout ce que je dis. Cette vie-là ne m'intéresse pas! Je veux ravoir ma vie!

Mon interrogation est réelle...

Dans mon bureau ce matin, à me demander si je continue à travailler. Je me demande si je crois vraiment à ce que je fais. D'ailleurs, si je me fie à mes enfants, ils se foutent bien de ce que je fais, rendu que je sois là quand ils auront besoin de moi. Moi je resterais là, le regard absent, ne sachant pas si ce que je fais, ça sert à quelque chose... Dois-je continuer à travailler pour payer la retraite des autres? Je n'ai même pas les moyens de m'en payer une! Dois-je continuer de travailler pour payer des subventions à des gens plus à l'aise que moi, pour qu'ils puissent s'acheter des autos électriques? Dois-je continuer de sourire quand mon plus jeune se sent opprimé, à l'intérieur de «sa communauté LGBTBBQ»? Ai-je encore le droit de respirer ici, d'une façon à laquelle je suis à l'aise. Est-ce que je dois m'agenouiller devant un oppresseur, me plier à toutes ses requêtes, ses décrets, etc, et continuer à faire ce que j'aime? Je ne sais plus. Cette interrogation me paralyse. Elle m'enlève le goût de travailler, le goût de me dépasser. J'en ai ma claque! En fin de semaine, nous discutions à savoir si nous avions peur de la mort, est-ce que j'ai peur de mourir? Ma réponse est claire, non! De toute façon, une fois mort, qu'est-ce que ça va changer pour moi? J'ai arrêté de penser à ça depuis un bon moment. Par contre, je ne me sens pas prêt à partir, parce que j'ai l'impression qu'il me reste des choses à accomplir, et aussi, que des gens ont encore besoin de moi. Mais voilà ce qui m'interpelle; est-ce que je pourrai accomplir ces choses? Est-ce qu'il y a vraiment des gens qui ont besoin de moi? Mon interrogation est réelle. Bref, une journée à la fois, car je n'ai pas trouvé mieux, et ce, depuis déjà un bon moment.

Se faufiler…

Douze degrés ce matin, il semble bien que nous avons changer de saison. Bien que l'automne ne commence que le vingt-et-un, il est commencé. Bah! L'an passé, il a débuté à la mi août! Donc après une fin de semaine digne de ce nom, me voilà de retour au travail, dans ma routine bien établie. Samedi, nous sommes allés pédaler près de Trois-Rivières, secteur St-Louis-de-France. Tellement de beaux paysages, et que dire que du barrage de la Gabelle, magnifique! Et que dire de la descente qu'il fallait remonter pour s'y rendre! Du beau vélo! Et tout ça nous amenait au vingt-cinquième anniversaire de mariage de Alain et Chantale. Un moment très agréable, parfois un peu dilué par certaines restrictions du covid-show, mais assurément un moment de joie! Et puis, revoir des gens que nous n'avions pas vu depuis plus de dix ans! Incroyable! Souper chez Maman Fournier, correct, mais le prix est inacceptable. On passe l'éponge, mais l'inflation nous gruge de plus en plus...Sans trop délirer sur l'obligation du «permis» qu'il fallait présenter pour pouvoir entrer! Et nous sommes allés dormir chez nos amis, les fêtés! Dimanche, nous avons vécu une zénitude incroyable! Ça fait du bien de discuter de bien d'autre chose que la météo... Je dois souligner que nous avons eu de la pluie, beaucoup de pluie; Ça fait du bien pas mal! Et nous sommes revenus hier, vite un SPA! Nous nous sommes attaqués à la suite du retour de Cameron. Nous avons monté le bureau d'électrolyse à Joanne, en haut, à même son bureau de travail pour le bureau. Cameron va s'installer en bas, dans l'ancienne chambre de Samuel, dans l'ancien local d'électrolyse à ma Bibi. Ouf! La table ajustable, avec un cylindre hydraulique... Mais c'est fait! À partir de là, nous sommes plus libres de continuer notre quotidien, sans trop être «congestionnés» par les actions de l'enfant prodigue. Parlant d'enfant prodigue, je pense avoir lu sur Twitter, que mon plus vieux déménageait en fin de semaine. Vraiment incroyable de ne pas avoir de nouvelles, de se rendre compte que je ne suis pas vraiment important. Bof! On laisse couler... Tout reste à voir! Alors la vie continue, anyway impossible de l'arrêter! Et puis, nous avons commencé à écouter une série Netflix, «LOKI». Difficile de saisir jusqu'à maintenant, Joanne ne semble pas embarquer tellement. Une fin de semaine qui nous a permis de décrocher de l'ambiance totalitaire qui nous opprime de plus en plus. Bon lundi!

Toute cette incohérence doit cesser!

Enfin vendredi! Je rentre dans un blitz de fin de semaine très occupées (trop?). Je ne sais pas, on dirait que tout est fusionné en même temps. Donc en fin de semaine, nous allons à Trois-Rivières, pour du vélo, mais aussi pour un vingt-cinquième! La semaine prochaine nous recevons la famille à Joanne. C'est sûr que je trouve ça beaucoup trop, mais ma Bibi tient à renouer des liens. Je ne sais pas pour vous, mais l'autre fin de semaine, nous avons un mariage! Et l'autre après, Joanne part en clinique! Heureusement que j'ai du travail, ça me permet de survivre au climat très malsain qui nous divise. Car je vois bien que le covid-show, c'est la semaine, car la fin de semaine, les gens sont ailleurs, ils cherchent à être heureux, à s'éloigner de tout ce brouhaha. La police du fun qui suit tout ça de près. Je ne sais pas pourquoi les gens, qui endurent tout ce cirque, font semblant que c'est correct la semaine, mais une fois sorti d'un commerce, ou encore du bureau, terminé! Il faudrait que ce soit terminé, point! Ça suffit les conneries! Ce n'est même plus une question d'être irrité, outré, désabusé, mais bien une question de survie. Toute cette incohérence doit cesser! J'en ai ma claque de faire semblant. Nous sommes coincés dans un cercle vicieux; il faut briser tout ça, revenir à une vie plus normale. Dehors LeGros, dehors le trou d'eau! Ya toujours des limites, et ces limites, ça fait plus d'un an qu'elles sont dépassées! Mais nous sommes vendredi, j'ai l'intention d'être heureux! ALors ceux qui ne sont pas d'accord, la terre est assez grande pour tout le monde!

Je ne me sens pas bien dans tout ça.

Douze degrés pour pédaler en noirceur totale. Les journées rapetissent tellement vite, c'est dur sur le moral. De plus, nous sommes allés chez Ginette et Alain hier soir; la tension monte! À croire que nous serons affligés encore pendant des mois. Incroyable! Les gens acceptent tout, se laissent opprimer par une bande de gens qui se foutent complètement du respect de la vie! Ils ne consultent que ceux qui pensent comme eux! Il n'y a plus rien qui m'intéresse de faire, sinon de voir les gens que j'aime, et travailler. Étant à mon compte, je suis mon propre patron, alors je ne dois rien à personne. LeGros et son arsenal de mesures et contraintes fait une véritable razzia dans la province, sans que personne ne s'oppose à lui. Il contrôle les merdias comme il le veut, saupoudrant de l'argent pour assurer ses arrière. Un véritable patron de mafia! Et le bon innacceptable du prix de l'essence, maintenant à 1,449$, rien ne me rassure pour cet hiver. Vous n'avez aucun respect pour ceux qui paient votre salaire! Pourtant, nous sommes beaucoup à vous avoir fait confiance, mais vous avez abusez de cette confiance! Vous vous prenez pour Dieu! Et ça, vous allez le regretter! La vie ca se charger de vous rremettre à votre place. Jamais je ne réussirai à oublier ce que vous nous avez fait! Et le temps venu, peut-être qu'il sera trop tard, mais ce sera votre tour de vous faire chier! Il faut que ça arrête! Tout une stratégie, votre loi martiale! Je ne me sens pas bien dans tout ça. Cameron qui revient à la maison, le temps qui se refroidit doucement, je ne suis pas prêt. Je voudrais continuer à vivre dehors, sans trop m'habiller. Mais en même temps, je sens que nous serons peut-être prisonniers encore cet hiver. Je pense que ces clowns, LeGros et le trou d'eau, devraient se retirer immédiatement, et laisser les gens rebâtir leur vie. Vous nous avez assez démolis! Dehors! Je n'arrive pas à croire que vous nous faites vivre ça! Je veux ravoir ma vie!

Laissez-moi tranquille!

Ce matin, je me dis que je devrais fermer mon cellulaire la nuit. Des alertes Amber, j'en ai ma claque! Assez de toutes ces façons de me faire chier! J'en ai mon esti de voyage de cette vie de marde! Mon gasket est sur le bord de lâcher Quatorze degrés, avec un vent, je me suis défoncé en vélo, la rage au coeur! Et aujourd'hui, la vie est devenue une sandwich de marde bien garnie! LeGros a implanté un passeport vaccinal! Encore une autre façon de nous diviser! Je me sens détruit. Détruit aussi du fait que Cameron reviendra sûrement à la maison. Il n'est pas capable de faire face à sa vie. On dirait que vivre ne l'intéresse pas. Hier soir, ou disons cette nuit, il a redéménagé une montagne de trucs dans mon garage! MON garage! Ma vie! QUelle nuit de marde! Comme si son retour nous rappelait qu'il fallait moins dormir... Et malgré tout, il faut travailler! Travailler pour réussir à joindre les deux bouts! Je ne veux plus de cette vie... Je veux être heureux, sans l'aide de personne. Je n'ai pas besoin du gouvernement pour me dire comment respirer, comment agir! Allez donc vous faire foutre! Laissez-moi tranquille! Je veux ravoir ma vie! Quel gâchis! Je me sens tellement bas... Une vie, c'est mieux que ça! Je pleure, je me sens démoli.