mardi 31 août 2021

Mes enfants

Malgré tous mes efforts pour contrer ma curiosité; malgré tout ce que je peux faire pour m'occuper, il m'est difficile de ne pas analyser ce qui se passe autour de moi. Je n'arrive pas à trouver ma place dans ce monde. Comme s'il fallait que je rentre dans un moule, pour ressembler aux autres. Pourtant, du plus loin que je me souvienne, j'ai tenté de me «fondre» dans la masse, d'y faire partie, ou encore, quelques fois, d'y être un leader... Mais ces tentatives s'avérèrent peu fructueuses, mais surtout très dommageable pour ma santé mentale, et tout n'a réussi qu'à augmenter la toxicité que j'ai imposée à ceux que j'aime, ceux à qui je tiens le plus. ALors voilà, je veux parler de mes enfants, qui en arrachent en maudit. Sans vouloir jeter la faute sur personne, je tiens à dire que l'arrivée des communautés virtuelles, la venue du grand conseiller universel, le web, les choses se sont compliquées. Pourtant, au départ, tout ça se voulait sûrement une bonne idée. Mais plus le temps passe, plus je me rends compte que mes enfants sont complètement dépendants de ce qui se passe «virtuellement». Affronter la vie, la «vraie» en personne, les rend très nerveux, les remplit d'anxiété. Alors que je les vois évoluer sur leurs appareils intelligents de façon complètement débridée, la vie au quotidien, comme passer une entrevue pour l'obtention d'un travail, appeler quelqu'un et lui parler en direct, sont devenus une réalité très intimidante. Qu'arrivera-t-il à long terme avec leur vie? Même s'ils réussissent à implanter beaucoup d'automatisation, ils devront tout de même entretenir leurs corps! Mon plus vieux ne fait que vivre en ligne. Il ne sort que pour des besoins vraiment essentiels! Je m'en fais beaucoup, même si je devrais les laisser aller, continuer d'avoir confiance en eux. Je n'arrive pas à croire que leur avenir sera une sorte de marche à suivre numérique! Moi je veux finir mes jours en toute liberté, oui! LIBERTÉ! Si je ne peux vivre par moi-même, alors je ne mérite pas de vivre, tout simplement. Et si je ne suis plus assez lucide pour subvenir à mes besoins, je ne veux pas que l'état ou quiconque s'en occupe à ma place! Si je suis de trop dans les projets du monde, alors éliminez-moi tout de suite!

À moi de me soustraire de tout ça!

Seize degrés ce matin, nuageux. Pendant que je pédalais, j'ai reçu quelques gouttes. Ma Bibi est partie en clinique tantôt; à St-Marc-des-Carrières. Elle sera de retour après le dîner. depuis quelques temps je relis mes vieux écrits, ceux que j'ai écrits aux mêmes dates dans le passé. Et puis je remarque à quel point j'en ai toujours eu long à dire contre le système dans lequel nous vivons! Une véritable beurrée de marde! Je ne me souviens pas d'avoir trouvé que l'essence était à un prix juste et équitable. Je n'ai jamais écrit que le système de santé avait bien du bon sens. Les routes ont toujours été en piteux états. Les prix à la consommation n'ont jamais cessé de monter, comme le salaire minimum! Les politiciens ne font qu'écouter ceux qui n'ont pas voté pour eux, etc. Mais depuis quelques mois, l'inflation est en train de nous gruger petit à petit. Bref, bien avant toute la mascarade, je ne me sentais pas à l'aise dans ce monde d'illusions! Comme si les gens croyaient tous qu'ils avaient 0% d'intérêt sur 48 mois! ALors que s'ils paient comptant, ils ont un rabais de trois mille cinq cent dollars! Bref, que de la frime, comme tout ce qu ele gouvernement touche. C'est long, c'est souvent bric à brac, et ça coûte vraiment trop cher! Écoeuré de me faire conter des menteries! De constater que nous sommes des numéros dans un troupeau... ON NOUS TRAITE COMME DU BÉTAIL! Et ça ne finit plus! Demain ils implantent un droit de passage pour diviser encore plus les gens. Comme si certains êtres humains était plus importants que d'autres, alors qu'il ne s'agit que d'une preuve vaccinale! Franchement, vous me faites pitié! Présentement, il pleut! Je crois que cet été, ceux qui s'occupent des prévisions furent vraiment mauvais! Annoncer de la pluie pendant des jours sans qu'il ne tombe une seule goutte! Et dire qu'il ne pleuvera pas, alors qu'il pleut! Qu'il pleuve, soit! Je n'y peux rien; mais à moi de me soustraire aussi de tout ça, comme le reste!

lundi 30 août 2021

Il y a une façon de changer, c’est sûr!

Pluie ce matin avec dix-huit degrés. Que demander de plus? J'ai pédalé à l'intérieur, parce que ça ne me tentait pas d'avoir le derrière trempe, et de devoir nettoyer mon vélo en entier, à mon retour. Pour le reste, il fait chaud pour s'entraîner à l'intérieur, mais ce fut vraiment super. Une nouvelle semaine commence, j'ai travaillé samedi matin, pour un dossier qui traînait, pour lequel je n'arrivais à me faire à l'idée. Finalement, ça s'est bien passé. Que dire, j'ai mené la barque avec brio, je suis vraiment content. Ce matin, on recommence la routine, sachant que le plus jeune, incapable de faire face à la vie, veut revenir à la maison. Ça fait depuis «la pride» qu'il vacille, se demande s'il doit travailler ou laisser l'anxiété le gruger à mort. Hier, il nous est arrivé avec ça, se plaignant de ne pas avoir de solution, de ne pas être capable de prendre soin de lui. Dans toute sa description, j'ai eu beau chercher, ce qu'il racontait, c'est la vie. Avoir des responsabilités et composer avec! Je ne sais pas pour vous, mais de savoir qu'il pourrait revenir à la maison, après tout ce que j'ai fait pour contribuer à son déménagement... Y a de quoi avoir des maux de tête! Comme c'est lundi, j'ai réussi à tout oublier mon quotidien de travail, alors je vais regarder tout ça tantôt. Hier nous avons reçu Vicky et son chum à souper, ainsi que Cameron. Épluchette de blé d'inde et petite entrée bières saucisses! Ce fut une réussite. Et comme il annonçait de la pluie pour la journée, il n'a pas mouillé! Heureusement, il pleut ce matin, ça va faire du bien! Ce qu eje ne comprends pas, ce sont les gens qui chiaulent qui fait trop chaud, trop humide; ou encore qu'il fait trop froid! Mais lorsque le gouvernement nous opprime avec toutes sortes de conneries, là, c'est moins pire! Allô! La météo, on ne peut rien y changer! Par contre, notre vie, celle de tous les jours, nos droits, la façon dont on respire, la façon de traiter nos propres enfants, il doit sûrement y avoir une façon de changer quelque chose! Hier, avant le souper, j'étais en larmes, démoli par tout ça. Ce matin, je me sens plus incisif, prêt à faire face à ces éventualités! Alors bonne semaine!

dimanche 29 août 2021

Se soustraire du covid-show!

Dimanche matin, seize degrés, le temps est nuageux. Supposé que la pluie tomberait cette nuit, mais tout est retardé, encore une fois! Non pas que je souhaite absolument qu'il pleuve, amsi ça doit faire un mois que nous n'avons pas eu une bonne averse! Mais bon, il faut continuer de prendre soin de nous. Hier matin, j'ai travaillé sur un Mustang. Ce fut très valorisant, et combien réconfortant de voir des gens! Pendant ce temps, ma Bibi est allé au Costco avec Titi. Nous avons dîner, ensuite nous nous sommes rendus près des chutes Montmorency, pour se stationner, et partir en vélo vers Cap Tourmente. Ha! Le parking était payant! Franchement, monsieur le gouvernement, pouvez-vous nous donner un break? Nous avons trouvé un endroit pas très loin où il était facile de se stationner, sans frais! Une fois partis, nous savourons le panorama. toutes ces habitations qui date du dix-septième siècle, c'est incroyable! Je me sentais privilégié de pédaler en ces lieux! Rendu à la mini municipalité de Cap Tourmente, force est d'admettre que tout est vétuste, tout manque d'entretien. Même si l'endroit est une réserve protégée pour les oies et autres oiseaux, faudrait peut-être prendre en main un peu les lieux. Difficile à croire que cet endroit a déjà été dans un meilleur état! Très agréable d'admirer la nature, mais tout ce que l'humain y a installé, se retrouve dans un piteux état. Mais notre retour s'effectue beaucoup plus vite! Nous avons parcouru 76 kilomètres. Pas de pente abrupte, juste du beau temps, des beaux décors! Et comme il est agréable de se soustraire du covid-show! À notre retour, nous avons pris un SPA, apéro et souper! Nous avons eu du poisson de nos amis Magalie et Sébastien! Et j'ai allumé un feu, pour un bout de soirée avec Karine et Donald. Merci pour tout ça.

vendredi 27 août 2021

Vivre ma vie, pas celle des autres!

Seize degrés ce matin. La chaleur semble être disparue. Plusieurs s'en plaignaient. Bof, passons à autre chose. Vendredi déjà, c'est sûr que j'ai commencé ma semaine mercredi! Mais j'en suis réjoui, et j'espère avoir d'autres occasions pour prendre du temps pour moi, et du temps avec ma Bibi! Le temps passe tellement vite, à croire que nous serons que de passage, un coup de vent! Difficile de réaliser, d'accepter le fait que nous partirons un jour! Oh, je n'ai pas peur de ce départ, mais plutôt, je sens que j'ai encore des choses à accomplir. Que ce serait de valeur d'arrêter là, sans pouvoir finir ce sur quoi je travaillais. Pourtant, qu'est-ce qui est si important? Peut-être que je me trompe avec tout ça, que finalement, j'ai un peu peur de quitter les lieux, de disparaître à jamais! Drôle de sujet, un vendredi où je prône le port du sourire pour tous! Mais des fois, il faut clarifier les choses. Je ne sais pas pourquoi, faudrait peut-être perdre du temps et s'écraser un peu. Laisser les autres vivre notre vie? Disons que je n'adhère pas à de telles théories; je préfère avoir mes propres idées, dormir sur mes deux oreilles! Et surtout, ne laisser personne me définir! À quoi bon travailler toute sa vie, si c'est pour se retrouver en conflit perpétuel? À quoi bon donner de son temps pour la collectivité, si c'est pour se faire traiter des noms? Pour se faire juger? Je suis capable tout seul! Pour le reste, je fais de mon mieux, j'essaie de me respecter autant que je respecte les autres. Doit-il toujours y avoir des méthodes? Y a-t-il toujours une marche à suivre? Je veux faire les choses par moi-même; je veux vivre ma vie, pas celles des autres! Bon vendredi!

jeudi 26 août 2021

Il n’y a rien à comprendre !

Encore un autre beau matin à vingt degrés! Mais cette fois-ci, j'ai dû allumé les lumières du gazebo, car il faisait trop sombre! Les prévisions nous annonçaient de la pluie pour cette nuit, et dans la journée; mais commme ce fut le cas récemment, il n'est rien tombé. Ça me rend plus heureux. Le gars à la radio, hier, parlait comme un gars qui se plaint qu'il fait chaud, il a même utilisé le mot «condamné» à avoir chaud! Franchement! On gèle au moins neuf mois par année, il pourrait se garder une petite gène! Mais bon, ce n'est pas ça qui m'empêcher de dormir! La chaleur, bien que peu confortable, est essentielle à notre équilibre, surtout ces jours-ci; survivre au Quebec n'a rien de très encourageant! Bien avant cette folie qui nous oppresse depuis dix-huit mois, j'étais de ceux qui trouvaient que c'était tellement trop de se faire fourrer à l'année! Imaginez comment je peux me sentir! Et quand je discute avec des gens qui me disaient de ne pas m'occuper de tout ça... Maintenant qu'ils ont un bâton dans le cul, ils se rendent compte qu'ils aurait peut-être dû porter un peu plus attention au fait que nous étions exploités! Rien ne sert de regretter, mais tout de même, il faut se secouer, se garder alerte le plus possible. Rien n'est gagné dans cette noirceur, peu importe ce que vous déciderez, il n'y a rien à comprendre dans ce que LeGros nous sert! Avec son application pour scanner les gens, il ne fait qu'aggraver son cas. Ma Bibi va devoir se faire scanner pour aller travailler. Je ne comprends pas, comment ça pourra améliorer les choses! De quelle façon, concrète, tout ce merdier administratif et conflictuel pourra faire en sorte de réduire une certaine «contamination»

mercredi 25 août 2021

Je veux ravoir ma vie!

Je pars travailler ce matin et je me dis, est-ce que ça vaut le coup? Est-ce que je dois continuer à faire ce auquel je crois? N'y-t-il pas une vie sans tout ce covid show? Où sont passés nos droits? Qu'est-ce qui arrive avec nos entreprises? En plus de toutes les contraintes accumulées avec les années, la descente aux enfers se continue avec toutes ces mesures inutiles, coûteuses et qui divisent la population! Ça sent la guerre civile.. J'ai le coeur gros de savoir que ce sera notre vie jusqu'au prochaines élections... Et peut-être que ça va continuer... Je ne veux pas le croire, mes rêves prémonitoires se révèlent assez réalistes après tout. Et je vous jure, je n'ai jamais voulu ressentir les choses, ni avoir un niveau de compréhension aussi élevé! Je nous souhaite ce qu'il y a de mieux! J'en ai plus qu'assez d'encaisser tout ça. Ma Bibi, qui est déchirée par tout ça, à cause de son travail! Câlisse de marde! Je veux ravoir ma vie! Toutes les fois que vous laissez ceux qu'on paie prendre des décisions de cette ampleur, le retour en arrière n'arrive jamais! Pourquoi ne pas me tuer tout de suite? Vivre ici, dans l'ancienne belle province, n'est qu'une grande illusion, où les valeurs profindes sont disparues! Je ne veux pas de cette vie! Ce n'est pas une vie, c'est une illusion! Que nous reste-t-il? Je veux donner du respect, de l'Amour et de l'hospitalité, à qui en a besoin. À bientôt!

Je ne sais pas pourquoi.

De retour au travail après une fin de semaine étirée, passée avec ma Bibi! Nous avons pédalé sur la piste «Le petit train du Nord». Du beau temps, tellement du beau temps! Des endroits magifiques, du bois, tellement de bois! Je suis parti samedi matin avec les vélos, la tente, à bord de mon petit frigo Nissan. Le camping où nous sommes allés nous installer, est un endroit paradisiaque. Situé le long de la rivière Rouge, cet endroit est un petit coin caché, dont nous n'avions jamais entendu parlé. D'accord, il est loin de Quebec, mais pour une fin de semaine de trois jours, wow! Les berges de cette rivière sont des plages, baignables et tellement belles à regarder! Et puis, pédaler au coeur des Laurentides, que privilège! Il fait bon de se retirer loin du Covid-show. Incroyable de constater tout l'argent (le nôtre) qui a été gaspillé pour faire de la propagande! Tout au long du parcours, les affiches, les pancartes pour nous rappeler de se protéger, pour nous rentrer dans la tête le diktat... Car cette folie, véhiculée par LeGros, doit se terminer le plus vite possible! Je ne sais plus où est-ce que le gouvernement s'en va avec tout ça... Il y un an, j'étais tellement tanné, impatient, incapable de trouver une solution pour me dépétrer de ce bordel! Je ne sais pas pourquoi les gens se laissent faire, pourquoi ils acceptent de laisser leurs enfants souffrir autant! Et puis, toutes les mesures de guerre, complètement inutiles, qui détruisent nos vies à petit feu. Voilà. À plus!

vendredi 20 août 2021

Il faut bien que je travaille.

Ce qui est incroyable, c'est d'avoir un autre matin à vingt-et-un degrés! Ça fait neuf ans que je suis installateur 3M certifié. Dommage que les gens de 3M m'aient complètement abandonné. Je ne regrette pas d'avoir eu toutes ces formations, bien au contraire, mais je trouve ça vraiment dommage d'être mis de côté comme ça. Mais sur une autre note, je suis allé souper avec Stephane hier soir, pour ma fête, à l'Immediat. Bonne ambiance, très bon smoked meat! Et j'ai eu droit de conduire la Porsche 911 décapotable! Très belle soirée, très agréable! Ça fait du bien de se sentir autant apprécié! Rendu au dessert, les clients se sont mis à me chanter bonne fête! Ils m'ont dit que ça faisait du bien! Les gens ont besoin de voir du monde, de s'exprimer, de s'amuser, d'aimer! Mais il semble que nous soyons sous la gouverne des gens incompétents qui préfèrent nous traiter comme du bétail! Dernière journée de la semaine, je suis content! La fin de semaine dernière, j'ai beaucoup travaillé. Je ne me plains pas, il faut bien que je travaille, mais c'est important que je me repose! Si je veux conserver le rythme, et poursuivre mon plan. EN fin de semaine, je vais relaxer avec ma Bibi, nous ferons du vélo! Camping dans le petit Nissan, profiter de notre liberté en parallèle. Juste nous deux, juste les pinsons!

jeudi 19 août 2021

Nous-nous!

Vingt-et-un degrés ce matin, incroyable! Il fait beau! Ça se prend bien! Encore une autre journée où je serai encore seul; je sais que c'est comme ça tous les jours de la semaine, mais pas le soir. Hier, Stephane est venu faire un tour, nous avons jasé devant le feu, nous avons prix le temps d'écouter le temps passer. Ce beau temps, c'est comme une bénédiction, un cadeau pour aider à mettre un baume sur ce qui nous arrive. On dirait que les étoiles s'alignent pour une autre session, une nouvelle étape dans ma vie. Je ne sais pas ce que je ressens, une sorte de lumière qui réussit à s'installer, dans ma noirceur. Loin de m'avouer vaincu, je me cherche une place dans cet endroit qui fut ma terre natale. Cette terre qui ne me ressemble pas, où je ne me sens pas souvent à ma place. Hier soir, nous avons discuté sans jamais parler du problème qui perdure; de cette plaie qui nous oppresse depuis trop longtemps! Je ne sais pas comment je fais pour ne pas craquer; je pense à ceux qui ont le cancer, à ceux qui sont seuls pour vrai. De me comparer, ça m'aide à prendre le dessus, à nager la tête au dessus de l'eau. Très loin dans mes pensées, j'accumule les souvenirs, essayant de trier les bons des mauvais. Je me sens dans une sorte de dôme, sous le dôme. Un endroit qui survit, qui ose vivre sa vie en parallèle, maintenant mes valeurs profondes bien en vie. Je commence à avoir hâte de rejoindre ma Bibi, là-bas, à Ste-Agathe-des-Monts. Nous irons faire du vélo, du camping, nous partagerons notre Amour, laissant de côté les élucubrations gouvernementales, les merdias achetés, juste nous deux, nous-nous!

mercredi 18 août 2021

Petite mise au point.

À force de changer les règles du jeu pendant la même partie, on finit par se tanner de jouer, et on déclare forfait ou on crisse le camp! Je ne sais pas comment ça marche vous autres, mais moi, quand je joue aux washers dans ma cour, je fais l'énoncé des règles, si L"opposant veut en discuter, on en discute. Une fois le caucus terminé, la partie commence et les règles restent les mêmes jusqu'à la fin. Mais LeGros s'amuse à changer les règles sans arrêt. La partie ne se termine pas, et les règlements changent continuellement. Rien à foutre des gens, de ceux qui paient son salaire, il est dans sa tour d'ivoire, pensant que tout pouvoir lui a été donné! Mais un jour, le retour du pendule arrivera! À force de chier sur ceux qui le nourrissent, ça va mal finir!

Chaque journée est une nouvelle aventure!

Incroyable, un beau vingt degrés ce matin! Très sombre, mais combien agréable en vélo! Après trois mois de clarté, me voilà plongé dans la noirceur jusqu'à la fin de l'année. Cette noirceur, elle me calme, mais elle me fait aussi sentir très seul. Mais bon, je m'offre le privilège de pouvoir pédaler chaque matin; Ça fait plus de douze ans que je pédale chaque matin que je travaille! Sous le gazebo encore une fois, je me sens plus libre, plus à l'écoute de mon esprit! Voilà ce qu'il me faut, pour m'aider à passer au travers de cette période noire, une véritable oppression! Je vis chaque journée du mieux que je le peux, en essayant de rester concentrer sur mes objectifs. Ces objectifs, que je me suis fixé, me permettent de garder le cap. Mon plan, clairer mes dettes et changer de vie. Je ne peux pas continuer à travailler aussi fort encore pour le reste de ma vie! Plus le temps passe, plus je sens que tout ça me glisse un peu entre les doigts. Suivre les autres ne m'intéresse pas, faire comme les autres, encore moins! Je me sens encore moins inclu dans cette société, où je ne réussis toujours pas à trouver ma place. Ceci dit, mon fils se cherche, mais il mets tous ces «malheurs» sur le dos des autres, de la machine. Il veut arriver à quelque chose, sûrement utopique, mais comme il ne comprend pas comment faire, il refuse nos conseils, il veut reconstruire la société en entier, il veut que la société s'adapte à lui! Il a bien des choses en commun avec son frère, qui, lui aussi, aimerait que la société se plie à sa différence. Moi je continue d'être un rebel, une personne unique, authentique; je crois que la vie, c'est un cadeau qu'il faut déballer un peu chaque jour! Pour le reste, chaque journée est une nouvelle aventure! Je me sens brimé, quand je vais au dépanneur, quand je fais l'épicerie, quand je vais mettre de l'essence, quand j'ai besoin d'aller au CLSC ou l'hôpital! Je sais que je me fais fourrer quand je roule dans nos rues, quand je regarde tout ce que nous payons qui tombe en ruine, quand je travaille pour payer la retraite des autres! Je me sens en colère, mais en même temps, épuisé. Comme l'incohérence a pris de l'amplitude depuis la dernière année, je me dis que Joanne et moi, nous aurions dû établir notre famille en campagne, se bâtir une petite vie beaucoup plus simple, bien avant. Le manque de respect des dirigeants nous use doucement, mais sûrement. Alors on s'accroche! À plus!

mardi 17 août 2021

Quand?

Mardi soir! Au sortir d'un autre osti de point de presse, non seulement LeGros fait toujours chier, mais il en rajoute avec la vaccination obligatoire du personnel de la santé! Voilà qui suscite une réflexion! Réflexion parce que personne n'a le droit d'obliger quelqu'un d'autre à faire quelque chose! Pourtant, il y a des masques, il y a de la distance, il y a une limite de personnes imposée lors de rassemblement, comme un mariage ou un enterrement! Où sommes-nous? J'ai lu aujourd'hui que ce n'était rien comparé à ce que les femmes subissaient du côté de l'afghanistan! Désolé, mais nous ne sommes pas en Afghanistan! D'ailleurs, je commence à me sentir très baveux, pour ne pas dire que j'ai le goût de manquer de respect envers certaines gens! Ça parle de troisième dose, de masque à l'école, de passeport vaccinal, etc. Mais nom de dieu, quand est-ce qu'il sera possible de respirer comme je le veux? Qui ose dire de telles âneries? De quels droits osez-vous me traiter de la sorte? Il y a un an, j'étais complètement exacerbé par tout ce cirque! Il y a deux ans, je me sentais hors du temps, alors que je tentais une entrée en codage du côté de codeboxx. Incapable de me sentir à ma place, je sens que ce n'est pas demain la veille que ça arrivera! Je ne comprends rien, je ne veux pas de ces mesures, ça fait plus d'un an que je les refuse! QUi osera se lever pour dire que c'est assez? Dois-je m'immoler sur la place publique, pour souligner mon désarroi? J'ai besoin d'air! Et pour faire beau, mon fils, Cameron 1er, a dit à sa mêre qu'il avait lâché sa job pour des raisons de santé! Je refuse! Rendez-moi ma vie, rendez-moi mes enfants! Est-ce que je suis obligé de subir tout ça? Qui décide de nous faire autant suer? Je n'ai plus d'air, vous devriez nous exécuter sur la place publique, au lieu de nous faire souffrir autant! Si je suis de trop dans votre plan, alors tuez-moi tout de suite! Le retour au travail après des vacances très modestes, mais en paix, s'avère plus dur que je ne le croyais. Dehors le bouffon, dehors!

Je fais de mon mieux

Quatorze degrés ce matin, très doux en vélo. La journée d'hier fut bien remplie. Avant le souper, j'étais fatigué. Mais après quelques minutes de repos, je me sentais mieux. J'ai lavé les mouches sur le décapotable, j'ai mis les arrosoirs, j'ai pris un SPA et je me suis allumé un bon feu. Le rush des voitures de campagne électorale est passé; il me restera à retirer les visuels, le 21 septembre prochain. Les prochaines fins de semaines seront très remplies. Jusqu'à la fin de semaine de la fête du travail, et plus! Comme Joanne a recommencé les cliniques, je dois aussi composer avec le fait d'être tout seul. Dans le jour, pendant que je travaille, c'est quand même assez transparent, mais une fois l'heure du souper arrivée, c'est très différent! Depuis hier, je sens que le temps passe encore plus vite! C'est bien beau remplir le temps, on dirait que je deviens plus lent que le temps, moins rapide, avec moins de réflexes. Je continue de m'entraîner, de faire attention à moi; mais une fin de semaine comme je viens de passer, sans trop vraiment arrêter, c'est plus dur. Je me demande si je vais être capable de continuer à ce rythme encore longtemps! Mais je me dois de poursuivre, pour me clairer au maximum de mes dettes. De nouvelles avenues se dessinent dans ma tête. Et je veux ralentir la cadence, prendre un peu plus de temps pour moi. J'en ai pris pendant mes vacances et j'ai bien aimé ça. Et que dire que mon inquiétude par rapport à mon avenir. Vais-je ravoir ma vie à un moment donné? Que se passera-t-il avec l'augmentation de tout? Le prix des matériaux que j'utilise ne cesse de monter, comme celui de l'épicerie. Les enfants partent de la maison en même temps. cela aide à mieux digérer la patente, mais quand même, mettre soixante piastres de gaz dans l'auto, pas le camion, ça commence à faire vraiment chier. D'ailleurs, si je relis mes textes datant d'avant tout ce bordel, je peux constater que j'en avais déjà mon esti de voyage de me faire fourrer, de payer la retraite des autres, etc. Donc, d'avoir vécu en réclusion pendant des mois, sortir dans le trafic m'agresse encore plus qu'avant! Donc je fais de mon mieux, mais en pensant à moi avant. Voilà!

lundi 16 août 2021

Garder mon petit cocon d’Amour.

Ce matin, il fait dix degrés, quel contraste avec la semaine dernière! Beau soleil! Je suis allé porter ma Bibi au garage de l'institut. Elle part en clinique pour une semaine, à Ste-Agathe-des-Monts. Si tout se passe comme prévu, j'irai la rejoindre samedi prochain pour une fin de semaine «rallongée» de vélo, de camping et d'Amour! Mais commençons par ce lundi matin. Un matin où je me sens seul. Seul, mais avec différentes possibilités de trouver du bonheur et/ou d'en fabriquer. Voilà sur quoi je vais me concentrer. En fin de semaine, j'ai travaillé pour réaliser le premier véhicule de Gérard Deltell, pour la campagne qui a débuté hier. Et aujourd'hui, je dois travailler sur un deuxième véhicule. Mais je prends quelques minutes pour me libérer l'esprit de tout ce qui me trotte en cavale, au fond de ma tête. Je sens que je devrai écrire encore beaucoup! Je me sens aux portes d'une ère de vie étrange, où les gens, divisés, sont prêts à se déchirer, à dénoncer n'importe qui, tirer la couverte vers eux, peu importe les autres, les conséquences et le climat social! Vraiment difficile à vivre, l'énergie négative ambiante nous écrase, par sa lourdeur et son omniprésence! Je me sens mal, angoissé et complètement désorienté. Donc je ne peux que me diriger vers les objectifs que je me suis fixé. Car tout le reste, c'est un monde de bullshit! Mensonges, corruption, syndicats, etc. Notre économie continue de manger une simonac de claque! Et je serais malhonnête de ne pas parler de mon fils Cameron, qui, devant une opportunité miraculeuse de carrière, préfère «gaspiller» sa vie à participer à une parade populaire qui se passe à Montréal. Comme c'est toujours le cas, il préfère s'amuser d'abord, ensuite il verra s'il peut travailler. Je suis très poli et je ménage mes mots. Mais peut-être que ce sera différent dans un temps plus ou moins rapproché. J'ai beaucoup d'amertume, dans ce constat; plus jeune, avoir croisé ce même chemin, j'aurais remercié la terre entière. Mais je dis ça, aurais-je vu clair devant le privilège de vivre? À 52 ans, cela m'apparait très clair, plus qu'évident. Tout reste à voir. Mais je crois que le plus important, c'est de garder mon petit cocon d'Amour avec ma Bibi. Nous-nous! Le reste, bof! AU fur et à mesure, un jour à la fois!

vendredi 13 août 2021

Je crois sincèrement en mes valeurs...

À un certain moment de ma vie, j'étais très jeune, encore au primaire! Je croyais que si j'aimais les gens et tout ce qui vient avec, de toute ma force, de tout mon âme, la vie serait une sorte de paradis! Un endroit où il fait bon vivre, que les gens s'entraident, s'aiment, mais surtout, se respectent pour ce qu'ils sont! Puis le temps a passé et j'ai appris à la dure que, ce n'est pas cela du tout, la vie! J'ai travaillé sur moi, comme je le fais encore aujourd'hui, et tous les jours qu'il m'est donné de vivre! Sincèrement, ce monde manque d'Amour! J'ai beau essayé d'y propager un message magique, garder une chandelle allumée dans mon coeur, rien ne réussit à faire sourire les gens, rien ne les aide à s'aimer, à partager! Comme si quelque chose les avaient traumatisés! Je me sens piègé dans une sorte de cirque où parfois c'est mon tour de faire le clown! Au fond de moi, quand je suis fatigué, la noirceur revient vite me rendre visite! J'ai travaillé sur mes défenses, mais je suis tellement naïf, tellement gentil, des fois je m'en veux d'être celui qui aime sans condition, celui qui respecte les gens, avant de les aimer. Pour moi, le choc de vivre parmi cette énergie bruyante me rend triste, anxieux. Ce matin, je n'arrive pas à surmonter l'angoisse qui s'accroche à moi. D'être seul ce matin, personne à qui je pourrais faire naître un sourire, cela me prend droit au coeur! Je ne serai pas le missionnaire, ni le preacher, mais je veux tout de même être un messager de paix, d'Amour et de respect. Pour moi, chaque fois qu'on me dicte un ligne de conduite, je me demande pourquoi. Pourquoi continuer de faire souffrir les gens au lieu de régler les vrais problèmes? Désolé, je me sens tellement inutile, mais aussi vulnérable! Vulnérable face à moi-même! Je ne pourrai jamais accepter ce que LeGros m'a fait subir. Je ne veux pas de ce monde «obligé». Je ne veux pas qu'on m'enlève le petit peu que j'ai réussi à gagner pour moi. Loin de baisser les bras, je préfère écrire le fait que, un genou au sol, je réussirai à me relever! Et même si je souffrirai, je crois sincèrement en mes valeurs, et ça, personne ne pourra me les enlever! À bientôt!

Enfin vendredi!

Enfin vendredi! Il fait vingt et un degrés, moins de nuages. Pour une semaine de retour au travail, ce fut très productif! Mais ce matin, je me sens bon pour la scrap! Tanné de me faire dire quoi faire, écoeuré de me faire dire comment faire. Mais j'écris dehors, seul avec moi-même. Comme ça, je suis sûr de ne pas tanné personne avec mes idées. Joanne est partie depuis hier matin, avec sa soeur, profiter un peu de la vie. J'ai bien hâte qu'elle revienne! Hier soir, je suis allé au Blaxton de Lebourgneuf. Pas mon genre d'endroit, finalement. Le but de mon déplacement, aller rencontrer Éric Duhaime. Mais tout au long de ce qu'il a dit, le bruit nous empêchait de comprendre. Et puis, j'avais à ma table, un monsieur qui jasait sans arrêt. Un homme très gentil, avec beaucoup de choses à dire. Je pense qu'il sait beaucoup de choses, mais qi'il manque d'écoute. Mais j'aimerais bien lui reparler. Bref, j'ai jasé avec des gens intéressants, mais je n'ai pas satisfait mon besoin de parler à monsieur Duhaime. J'oserais même dire que je suis déçu. Mais quand même, monsieur Duhaime est venu nous saluer avant son allocution, un par un. Pour le reste, j'ai dépensé pour un souper trop cher, très bon, mais trop cher! Et comme l'urgence de vivre continue de me harceler, je regrette d'avoir été là hier soir. Je pense qu'une petite soirée tranquille à la maison m'aurait fait plus de bien. Tout reste à déterminer, mais disons que je me sens très mou ce matin. En vélo, je manquais de jambes; puis, c'est mon cadran qui m'a réveillé. Deux matins sur cinq avec le cadran, pas si pire. Quand je suis revenu de là, hier, je me sentais en pleine transe; je me serais offert en offrande à la vie. De toute façon, depuis plus d'un an, vivre ici est une beurrée de marde qui ne fait que m'attrister. Tant qu'à être traiter comme un animal dans un troupeau, j'aimerais mieux ne plus être là. Si nous sommes de trop dans leur projet, qu'ils nous assassinent donc tous! Mais quelque chose en moi me dit que je dois continuer. Qu'à un moment donné, je verrai la lumière poindre au bout de tout ça. Oh! j'oublais que c'est ma fête! J'avais déjà cinq kilomètres de fait avant de m'en rappeler! La semaine fut très remplie, et la journée le sera encore beaucoup! Souper ce soir, à la ferme de Deschambault. J'aurais préféré autre chose pour le soir de ma fête, mais bon. J'ai hâte de me laver, car j'ai très chaud. Mais je suis content qu'il fasse beau, trop de fois dans ma vie, la tempéarature fut décevante. Et puis, nous sommes vendredi treize! Ma soeur va m'appeler, comme à chaque vendredi treize! On s'en reparle!

jeudi 12 août 2021

Mais ça, c’est moi.

Vingt-et-un degrés ce matin! 99% d'humidité! Il y avait un de ces brouillards...En vélo, traverser ces nuages m'a détrempé, mais on aurait dit de la vapeur froide! Depuis hier, nous ne pouvons plus donner notre opinion, selon LeGros? C'est quoi la patente? Ouvrir un débat sur l'oppression, ça serait risqué? Mais de quoi parle-t-il? Il dit ne pas entendre d'opposition du côté des autres partis...pis nous autres, ceux qui paient son salaire? Qui est-il pour nous faire morale ainsi? De quessé des affirmations non fondées? Ouh....! Ça commence à faire chier beaucoup! Mais alors là, beaucoup trop! Je trouve que vous créez de la discrimination partout autour de vous! Je pense aussi que vous n'avez pas l'étoffe d'un vrai leader. Vous êtes lâche! Et vous refusez d'admettre que le système de santé est à refaire en entier! Comme tous vos paliers gouvernementaux! Et je n'arrive pas à comprendre que certaines gens puissent être en accord avec vos propos. Et tout ce que vous faites est tellement long... Je change de discours, hier fut une journée très humide, bien que pas si chaude. À Montréal, ils ont eu de la chaleur, mais à Québec, c'est toujours l'humidité qui l'emporte! Ma journée de travail fut fantastique! Puis, une fois cinq heures arrivé, j'ai tout fermé! Une petite bière et hop! Ici on relaxe! Après le souper, nous sommes allés faire une petite virée en décapotable chez Alain et Ginette. C'est vraiment plaisant de passer du temps avec eux. Ils ont enfin eu leurs nouveaux électros dans la cuisine. N'empêche, je trouve que leur virage est très osé; vendre la maison à Val-Bélair pour atterrir dans un condo à Orsainville! Plus de terrain, aucun espace de rangement autre que l'espace habitable. Pas sûr... Mais tout reste à voir! Pour un hyperactif comme moi, il manque des éléments, mais c'est ça, c'est moi. Bref, déjà jeudi. Ma Bibi se paye une virée de filles avec sa soeur aujourd'hui. Elle fait bien de profiter de ses vacances. Lundi, elle part en clinique. Et puis, demain, c'est ma fête! Cinquante-deux ans! J'en reparlerai.

mercredi 11 août 2021

Soumis…

Très sombre ce matin, il fait vingt-deux degrés. C'était curieux sur la route alors qu'il ne pleuvait pas sur la rue de l'amiral, mais il pleuvait sur la route Sainte-Geneviève! Alors j'ai pédalé mouillé et sec. Mais il n'a pas encore tombé beaucoup d'eau. Quelques gouttes tout au plus. Pourtant, si on se fie aux prédictions, il devrait pleuvoir depuis quelques heures déjà. Mais c'est souvent comme ça. La météo, c'est très imprécis. On peut dire que ça donne une bonne idée la plupart du temps. En ce moment, sous le gazebo, il tombe des gouttes, le bruit engendré est très agréable. Et, d'être assis dehors, l'abri, c'est sympathique! Hier, il y a eu un point de presse, comme si quelque chose de grave se passait. Bien sûr, je ne l'ai pas écouté. Mais ce qui en ressort, et ce n'est pas une mince affaire, c'est l'Implantation d'une sorte de «laisser passer» pour aller à différents endroits. Une preuve de vaccination? Je ne sais pas trop. Vacciné ou pas, qu'est-ce que ça change? Y a-t-il une différence entre une personne vacciné contre la COVID, et une autre qui ne l'est pas? Juste un exemple très simple, est-ce que les fumeurs ont droit d'entrer partout? Oui, du moment qu'ils ne fument pas. Est-ce que les personnes obèses peuvent aller où bon leur semble? Bin oui! Les querelles ne cessent d'éclater un peu partout, divisant les gens entre eux. Ça me fait tellement peine. Et puis, l'énergie autour est très toxique. Je ne peux pas croire que qu'une telle infamie puisse se passer ici, dans l'ancienne belle province! J'insiste pour ne pas chercher plus, pour ne pas m'informer plus; c'est une insulte à l'être humain. Depuis plus d'un an, l'incohérence de nos dirigeants nous oppresse sans arrêt. Nous avons des masques, nous avons eu un couvre-feu, des files pour entrer dans les lieux publiques, des tonnes de mesures, des écritaux de toutes sortes, mais rien ne change! Et surtout, où sont les personnes malades? Est-ce que les 234 cas d'hier sont réels? Pourquoi y a-t-il encore des gens qui se font tester? Dites-moi donc ce qui se passe, car depuis le début de tout de merdier, je cherche encore où se trouve la pandémie. Si je n'écoute pas l'actualité, il n'y a aucune trace de microbe nulle part! Il y a des mesures contraignantes, mais pas de personnes malades. Arrêtez avec vos : «C'est mondial» ou encore : «Aurais-tu fait mieux?» Cessez aussi de faire diviser les gens. Nom de dieu, il faut que ça cesse, cette arnaque! Sans compter que les environnementaleux reprennent leur bâton de berger pour nous faire chier! Hier, il a fait trente degrés, mais ce n'était pas écrasant. Il faut profiter de ces moments de la vie, car ils ne reviendront pas. Moi je veux vivre, je veux vivre heureux! Alors cessez d'écouter les médias emmerdeurs au diktat convergent! Ouste! Et allez travailler!

mardi 10 août 2021

J’apprécie.

Vingt degrés ce matin. Il ne faisait pas aussi chaud durant mes vacances. Et comme je l'écris, ça va rester dans mes souvenirs. Mais chaque fois que j'évoque ces choses que j'écris, certains disent que j'en invente ou que j'exagère. En tous cas, je reste cool! Je suis parti sur le chat qui reste cool devant une imprimante. Et puis, quand j'en ai trop, alors je dis : «Ça m'énerve...». Au moins il faisait plus clair qu'hier! Même qu'il fait clair en ce moment. Un ciel très humide, il fera chaud. Pas de là à écrire que la fin du monde arrive, mais si on ne fait que lire une certaines parties des infos, apparemment il pourrait y avoir une sorte de réchauffement. Moi je cherche toujours, depuis des années, où est-ce donc, cet endroit où ça se réchauffe? Quel est cet endroit machiavélique, où les gens meurent de soif? Ha! Bref, je trouve qu'il est plus dur de se concentrer sur l'essentiel, de faire un peu plus simple. Moi qui adore donner mon opinion, ces jours-ci, je me dis que ce serait mieux de continuer à admirer les tomates dans mon jardin. Ou bien de partir pour une autre ballade en vélo! Je suis assis dehors, sous le gazebo, profitant de cet air pur au maximum. Bien sûr, je profite au maximum de tout ça, car ça ne va pas durer longtemps. Vraiment pas longtemps. Deuxième journée de travail après mes vacances, j'ai déjà hâte à la fin de semaine! Par contre, je remarque le même phénomène que lorsque nous étions saisonniers; une fois la journée terminée, je redeviens relax, on dirait que mon corps a accepté cette façon de faire. Qu'une fois la journée terminée, il se laisse «choire» comme une baleine échouée, l'esprit en paix. Comme c'est important d'avoir l'esprit en paix, de savoir que la vie, ce n'est pas juste une beurrée de marde! Que la vie, ce n'est pas seulement des contradictions! Je l'apprécie, ah oui! Et je suis content pour ceux qui sont heureux. Je travaille tous les jours pour l'être le plus possible.

lundi 9 août 2021

Quitter les vacances…

De retour au travail ce matin. Après trois petites semaines de vacances totalement improvisées, je trouve que ce fut les plus belles. J'exagère, car j'ai tellement de beaux souvenirs en camping avec les enfants. Mais cette année, nous n'avons pas fait de camping, mais nous nous sommes amusés énormément. Dix-sept degrés et très gris, il serait supposé de tomber un peu d'eau dans la journée. La dernière fois, je crois qu'il est tombé une petite averse le matin, et ce fut tout! Je commence à voir des tonnes de publications sur un certain réchauffement, alors que nous venons de traverser un mois de juillet très frais... Et je dois vous raconter ma journée d'hier. Joanne est allée à La Souvenance, pour se recueillir avec ses soeurs et sa mère. Le 8 août, hier, ça faisait huit ans que son père, le grand chef, est décédé. Puis ce fut mon tour, accompagné de ma soeur et mon père, d'aller nous recueillir devant ma mère, car c'était son anniversaire, elle aurait eu 75 ans. Puis nous avons diné, en bonne compagnie, Papa et Nicole, Hélène et David, Mamour et Cameron, étaient présents! Il faisait vraiment beau! Une fois Mamour, Hélène, David et Cameron partis, Vicky est arrivée avec Moka chien. Je suis content qu'elle ait pu voir son grand père! Puis mon père est retourné en Beauce. Ensuite nous sommes allés prendre une marche autour du bassin arrière, lequel n'existait pas encore il y a un an! Ping! Un texto d'Alain Beaudry! Une invitation pour souper à la Cage. Nous nous sommes présentés sur les lieux, ce fut très plaisant! Retour au bercail, s'occuper des vidanges, arroser le gazon, le jardin et les plantes. Suivi d'un petit feu! À ce moment précis, je me sentais un peu hésitant, je sentais une certaine pression de devoir quitter ces formidables vacances! Mais si je veux continuer à être heureux, je dois continuer aussi à travailler! Puis, Joanne part en clinique dans une semaine! Alors je me lance dans cette semaine de travail, tête baissée, une journée à la fois!

dimanche 8 août 2021

Partager du bonheur!

Avec les années, j'ai compris que je pouvais prendre des vacances sans recevoir de quatre pourcent. J'ai compris que l'important, c'était de réussir à me reposer. Tout ça, c'est comme une leçon, un apprentissage. Pas tellement évident de relaxer, de réussir à se reposer. Et une fois dans le mood, difficile de revenir à la routine; même que des fois, le retour au travail semble une véritable fiction! Vraiment étrange comme sensation. Hier soir, j'ai allumé un bon feu, le vent était présent, mais nous étions bien. Le temps passait doucement, comme si rien d'autre que d'être ensemble ne comptait. Nous étions seuls, amoureux et liés par une mutuelle symbiose qui se perpétue avec les années. Je viens de passer des vacances très douces; ce temps partagé avec ma Bibi, mais aussi avec des gens que j'aime, m'a fait du bien. Des fois, mon esprit me guide en des lieux plus ou moins rassurants; comme si j'étais condamné à demeurer moins que moi-même. Pourtant, le désir de vivre, de m'exprimer est toujours là. Je le sens, jour après jour, semaine après semaine, il vient me chatouiller, me donner de l'inspiration. Pour vivre il faut choisir d'être heureux! Maintenant, je recommence à travailler demain; J'ai peur de retourner me «brancher» au monde qui m'entoure, à l'actualité. Je ne me sens pas prêt. Je n'ai pas peur de la critique, loin de là, mais plutôt de voir des histoires à dormir debout, et d'entendre un discours incohérent, et ce, contamment. Je travaille de la maison depuis le printemps 2008, mais comme les choses se sont corsées depuis quelques temps, je tiens à défendre ma paix farouchement! Je me sens prêt pour reprendre un travail que j'aime. Je me sens reposé pour donner mon 100%, jour après jour. Mais lorsque je sors de mon milieu de travail, quand je quitte le nid d'amoureux, rien n'est plus «écrasant» que d'avoir des commissions à faire. Même avoir le goût d'aller voir du monde, de faire une petite ballade, est devenu un sorte de pensez-y bien. AUjourd'hui, ma mère aurait eu 75 ans. Dans cette folie que nous vivons depuis plus d'un an, je suis content qu'elle soit au ciel. Qu'elle puisse vivre doucement, au dessus de cette folie contrôlante. J'ai toujours eu des parents avec une pensée de droite. De par leur vécu, ils croyaient en une société plus travaillante, avec moins d'aide gouvernementale. Laissant à chacun sa façon de faire les choses. Bien sûr il y a des lois, mais il y a aussi des valeurs. Le respect, l'Amour et l'hospitalité. Qu'il fait bon de revenir à la maison, ou de se sentir chez soi quand on arrive chez des amis. Partager des tranches de vie avec des gens qui ne vous jugent pas. De ressentir une sorte de paix d'esprit en présence des certaines gens, c'est rassurant. Comme ces moments sont précieux, il est important de s'en rappeler, de s'en inspirer! Je ne sais pas combien de temps il me reste, mais je veux continuer de vivre avec un sourire. Je ne veux rien enlever aux autres, mais j'entends bien partager du bonheur jusqu'à ma mort! À plus!

samedi 7 août 2021

Très heureux de participer à ma vie!

Encore en vacances, il fait vingt degrés ce matin. Je m'installe dehors pour écrire. Le temps est nuageux, même qu'il pleut un peu. Mais je me sens très bien, à l'abri, sous le gazebo. Avant-hier, nous sommes allés pédaler du côté de Duchesnay. J'ai pris mon gros Surly. Ce fut un ride vraiment géniale. Assez physique, mais très agréable. Heureusement que la majorité du trajet était à l'ombre, car il faisait passablement chaud. Arrêt pour dîner chez Ti-Oui. Pas meilleur qu'ailleurs, mais très bon. Et surtout, pas d'attente! Je remarque que nous n'avons pas trop mangé, sinon la suite de la promenade aurait été plus difficile! En cours de route, nous recevons un appel de Simpson; il veut nous inviter à souper! Alors nous sommes allés souper à Shannon. Un moment de détente appréciable. Ils ont fait «défricher» la cour, ça fait plus grand, plus propre. Nous avons passé un très bon moment avec des gens simples, des gens qui sont eux-mêmes, et qui aiment les gens comme ils sont. Et hier, nous avions projet d'aller à l'Éco Parc des Etchemins avec Danielle et Alain. Le soleil, bien que souvent recouvert de grisaille, était puissant! Une petite plage, aménagée en plein centre de la petite municipalité de lac Etchemin. Nous pouvions nous baigner dans le lac. Beaucoup de monde, beaucoup d'enfants, ça respirait le bonheur! Et puis la route, en décapotable, était très jolie! Ça me faisait étrange de retourner en ces lieux, où j'ai passé quand même pas mal de temps. Joanne eut l'idée d'aller chercher des oignos français et un frite. Comme au quai de St-Michel, l'attente fut démesurée. Le manque d'employés se fait sentir un peu partout. Sans nous en rendre compte, nous avons jasé, profité des lieux, jusqu'à seize heure trente. Un retour légèrement plus rapide en passant par le rang dix. Que de panoramas à déguster! Un arrêt pour de l'essence à St-Isidore, puis un autre au IGA, puis nous sommes revenus à la maison pour préparer le souper. Nous recevions nos deux mêmes comparses de la journée. Souper steak et crevettes, dehors, sous le gazebo. Alain a même sorti sa guitare pour égayer notre fin de soirée. Le soleil ayant laissé sa marque sur notre peau. Quelle journée incroyable!

mercredi 4 août 2021

Trente-cinq ans après le monopole.

Dix-sept degrés ce matin, je m'installe dehors pour écrire un peu. Comme j'écris tous les matins que je travaille, on dirait qu'une fois en vacances, ça me manque! Alors je cherche à trouver un moment où je peux m'asseoir et écrire un peu. Le fait d'écrire les choses m'aide à mieux les comprendre. Comme si je les «attrapais» au vol, pour les coller sur une feuille de papier, pour mieux les regarder! Une métaphore, mais c'est un peu ça. Il est presque huit heures, je me sens bien. Cette nuit, j'étais «pris» dans une sorte de rêve qui «continue»; le genre de truc qui se poursuit, même après avoir été aux toilettes, même si tu te réveilles, complètement écoeuré, attristé du contexte, puis, en te rendormant, ça continue encore. Ce que je vivais, dans ce rêve, une oppression sans limite. Avec ma Bibi, nous avions été «tranférés» vers un autre endroit, dans lequel nous devions travailer très dur physiquement. Déménager de la roche, ramasser des structures d'habitations détruites, etc. Nous avions trouvé un endroit pour dormir, où nous avions établi une sorte de place pour «survivre». Ça ressemblait à un grenier de maison abandonnée. C'est un gars qui nous avait suggéré cette place-là. Nous étions les seuls à y avoir établi une sorte d'endroit où les gens étaient les bienvenus. Mais nous étions aussi dans un autre endroit, comme dans une dimension parallèle; en plein conflit politique, où des gens se faisaient tuer selon leur façon de penser! Cet endroit faisait peur, on se croyait en pleine guerre civile. C'était vraiment stressant, difficile à accepter, mais aussi, tellement troublant! Ouf! Je n'en pouvais plus. Donc je me suis levé. Incroyable de constater que lorsque je réussis à relaxer, mon sommeil étant plus calme, mon subconscient me rappelle où je suis, qu'est-ce que je vis. Et que dire des détails dans ce rêve; malgré le fait que j'étais conscient, je n'arrivais pas à m'en sortir! C'était très révélateur de ce qui me hante, enfoui au fond de moi.

dimanche 1 août 2021

Le concept de relaxation.

Un beau dimanche matin après une autre nuit très fraîche. Nous venons de traverser une période de temps très froid pour un mois de juillet. Je n'y peux rien, mais vivement des températures plus de saison! Les vacances vont bon train, alors que nous sommes au 1er août! Je prends encore une semaine, ensuite je devrai recommencer à travailler un peu. Hier nous avons «rénové» un peu la vieille partie du patio. Étonnant de constater que des planches installées là depuis plus de dix ans, soient en meilleur état que celles de l'été dernier. Ça ne fait que confirmer une fois de plus à quel point nous nous faisons «remplir» de menteries, ici, dans l'ancienne belle province! Dehors en train d'écrire, les doigts sur mon clavier, je me rappelle ces matins où j'écrivais sur du papier, accumulant des tonnes de papiers ici et là. ä me rappelle aussi tous ces dessins que j'ai dû jeter, ou que j'ai perdus! Maintenant, j'ai la possibilité de les numériser, pour leur donner une sorte d'éternité. Même les revues que je lis sont maintenant digitales. J'adore la sensation du papier, pour dessiner, pour lire, mais la place que ça occupe, je ne veux plus avoir à gérer ce genre de choses. Des fois je me sens un peu dépassé par tout ça. Mais l'important, c'est que j'arrive à m'exprimer! Libérer toutes ces choses qui naissent en moi, toutes ses idées saugrenues! Il fait bon ne rien faire un peu, explorer le concept de relaxation! Je me rends compte que j'ai tellement de misère à relaxer, à me sentir libre de mes obligations. Me sentir en dehors de mon travail, des responsabilités que j'ai. Comme lorsque je fais du vélo, personne à qui rendre des comptes. Ce qui est merveilleux, c'est de réussir à l'apprécier, mais aussi de constater que peu importe l'heure, rien ne presse, comme en camping! À bientôt!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...