lundi 16 août 2021

Garder mon petit cocon d’Amour.

Ce matin, il fait dix degrés, quel contraste avec la semaine dernière! Beau soleil! Je suis allé porter ma Bibi au garage de l'institut. Elle part en clinique pour une semaine, à Ste-Agathe-des-Monts. Si tout se passe comme prévu, j'irai la rejoindre samedi prochain pour une fin de semaine «rallongée» de vélo, de camping et d'Amour! Mais commençons par ce lundi matin. Un matin où je me sens seul. Seul, mais avec différentes possibilités de trouver du bonheur et/ou d'en fabriquer. Voilà sur quoi je vais me concentrer. En fin de semaine, j'ai travaillé pour réaliser le premier véhicule de Gérard Deltell, pour la campagne qui a débuté hier. Et aujourd'hui, je dois travailler sur un deuxième véhicule. Mais je prends quelques minutes pour me libérer l'esprit de tout ce qui me trotte en cavale, au fond de ma tête. Je sens que je devrai écrire encore beaucoup! Je me sens aux portes d'une ère de vie étrange, où les gens, divisés, sont prêts à se déchirer, à dénoncer n'importe qui, tirer la couverte vers eux, peu importe les autres, les conséquences et le climat social! Vraiment difficile à vivre, l'énergie négative ambiante nous écrase, par sa lourdeur et son omniprésence! Je me sens mal, angoissé et complètement désorienté. Donc je ne peux que me diriger vers les objectifs que je me suis fixé. Car tout le reste, c'est un monde de bullshit! Mensonges, corruption, syndicats, etc. Notre économie continue de manger une simonac de claque! Et je serais malhonnête de ne pas parler de mon fils Cameron, qui, devant une opportunité miraculeuse de carrière, préfère «gaspiller» sa vie à participer à une parade populaire qui se passe à Montréal. Comme c'est toujours le cas, il préfère s'amuser d'abord, ensuite il verra s'il peut travailler. Je suis très poli et je ménage mes mots. Mais peut-être que ce sera différent dans un temps plus ou moins rapproché. J'ai beaucoup d'amertume, dans ce constat; plus jeune, avoir croisé ce même chemin, j'aurais remercié la terre entière. Mais je dis ça, aurais-je vu clair devant le privilège de vivre? À 52 ans, cela m'apparait très clair, plus qu'évident. Tout reste à voir. Mais je crois que le plus important, c'est de garder mon petit cocon d'Amour avec ma Bibi. Nous-nous! Le reste, bof! AU fur et à mesure, un jour à la fois!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...