vendredi 29 janvier 2016

Une semaine un peu mèlée

Ouf! Quelle semaine! Tant de diversité, tant de choses en même temps! On dirait que j'en ai trop. Pourtant non. J'ai essayé de me reposer au travers de cette course. Hier, nous avons eu droit, de la part du couillon, à un remaniement ministériel. Pensez-vous que ça va changer quelque chose? Ya-t-il vraiment une volonté du côté des ministres qui souhaite donner un nouveau souffle à la province? Moi j'espère que tout ça nous aidera un tant soit peu. Mais il est difficile de savoir le lendemain. Et comme la demande de changements provient sûrement du fédéral ou encore d'investisseurs privés, rien ne garantit que ça va bouger vite ou que que ça bougera tout court. Alors on attend. Par contre, je ne m'asseois pas sur mon derrière, attendant que ça bouge. Surtout pas! Il faut continuer nos projets, suivre nos ambitions. La vie, si courte soit-elle, nous offre d'être plus, alors profitons-en! Je suis allé faire un brin d'épicerie hier et j'ai constaté que les prix avaient encore monté, mais de façon étrange. Comme si tous les marchands s'étaient donné le mot pour augmenter les mêmes choses. Une sorte de cartel, comme avec le prix de l'essence. À suivre d'ici quelques mois. Le prix du boeuf haché est redescendu un peu. Le temps des fêtes est bel et bien terminé, alors les prix redescendent. Pour le reste, c'était très tranquille, presque pas de monde. Pour un jeudi soir, ça faisait bizarre! Autant au Costco, au Maxi et au Super C. Sûrement que lundi, ce sera plus grouillant de monde. Bon assez déblatérer, bon vendredi!

jeudi 28 janvier 2016

Encore du n'importe quoi!

Eh bien! Hier j'ai sauté un jour sur mon blogue. Ayant eu une plus petite nuit, j'ai passé droit à mes bonnes habitudes. Mais ça n'a pas empêché nos amuseurs publiques de continuer à essayer de nous remplir! Et ce fut maintenant au tour du «cas dinde» de mettre son grain de sel dans la patente! Avec son refus de vouloir faire travailler des gens, de vouloir acheter local, et surtout, de donner une chance à notre économie! Donc si je comprends bien, un pipe-line, c'est trop dangereux, un pétrolier sur le fleuve aussi. Mais déverser la marde de sa ville dans ce même fleuve, ça, c'est correct! Mais que ferait-on sans pétrole? Je veux bien croire en vos pensée utopiques. J'y ai cru pendant un certain temps, moi aussi. Mais j'étais au études. Une fois sur le marché du travail, que je suis tombé propre fournisseur de moi-même, les idées ont forcément changé. Et je suis obligé de constater que, étant donné que ce n'est eux qui paient, mais bien les citoyens, les idées vertes, les utopies du futur demeurent dans leur esprit quelque chose de possible. Oh mais je ne dis pas qu'il faut abandonner. Mais je dis qu'il faut régler ce qui va tout croche en premier lieu. Ensuite, une fois les ennuis terminés, que l'économie roule, alors on regardera vers un avenir plus prometteur! Du pétrole de l'Alberta, c'est acheter local! À quoi ça sert d'avoir un pays plein de ressources, si on refuse de les utiliser? Si on préfère recevoir de la péréquation? Vous manquez de fierté ou encore, vous ne l'avez pas mise à la bonne place. Avant de refuser les offres de son propre pays, assurez-vous d'être meilleur que ce dernier! Bonne journée!

mardi 26 janvier 2016

Wow!

Alors que certains se réjouissent du prix du litre d'essence, d'autres se demandent quand est-ce qu'ils vont pouvoir enfin écouter leurs émissions en français! Pendant ce temps, nous, ceux de la génération «X», nous demandons quand est-ce qu'on va arrêter de payer? Non mais, est-ce une destinée de travailler, payer, travailler, payer. Alors que nos prédécesseurs ont violé la terre, dépensé tout le trésor commun, nous on s'affaire à rebâtir, payer leurs dettes, payer pour leurs erreurs. Mais nous payons aussi pour nos enfants. Il semble que le modèle québécois soit défaillant. Il pleut des jobs par centaines, mais pas payantes, comme ils disent. C'est sûr! Le gouvernement donne beaucoup trop d'aide. Que ce soit en subventions, en aide sociale, il ne sert à rien de s'énerver! Le gouvernement va payer! Mais l'argent du gouvernement, elle vient d'où? Qui est son employeur? Alors que ces derniers s'amusent à dépenser le «fond vert» pour tout et pour rien, les «vertdâtres» nous martèlent sans arrêt que nous sommes des pollueurs, des gens sans respect pour la terre. Non mais, êtes-vous déjà entrés dans une usine de recyclage? Pis vos voitures à batteries, qu'allez-vous en faire dans dix ans? Pis les éoliennes? C'est beau les subventions, mais après? Pas grave? Comme les boomers? Pas grave? Ouin, mais notre argent? Depuis des années qu'on se dit que vous n'en valez pas la peine, mais c'est sûr que ça commence à faire. Même en résumant rapidement, j'en aurais pour une demi journée à écrire. Malheureusement je dois aller travailler pour espérer qu'il m'en reste un tout petit trente pourcent! Ça commence à ressembler à du communisme. Auriez-vous l'audace de nous dire ce que vous faites avec notre argent? Nous, on n'a pas le choix, vous relevez nos dépenses, nos achats, nos avoirs, et vous nous demandez un pourcentage là-dessus aussi! Donc vous retenez à la source, vous retenez sur nos achats, mais aussi sur nos avoirs! Donc pas sûr pour le trente pourcent! Sans compter qu'il y des lois à respecter... Bienvenue au Québec!

lundi 25 janvier 2016

Ça part raide!

Et c'est reparti, une autre semaine qui débute. Officiellement, ma blonde revient demain soir, 23:45. Mais ça reste à prouver. Non mais j'ai tu hâte de la revoir? Ça fait 15 jours qu'elle est partie! Je me suis aperçu que certaines émotions, comme m'ennuyer de ma blonde, sont difficiles à gérer. Non pas que cela me donne de la misère à fonctionner, mais à la longue, oui. Je me garoche dans l'ouvrage comme un fou, pis après, à son retour, je suis brûlé bin net. C'est là que ça devient compliqué. Mais il y a pire, avoir un trou d'eau comme premier ministre ou un couillon. Les deux ensemble, quelle belle paire! Un intellectuel et un comédien! Tous deux n'ayant jamais connu la misère. Se demander comment faire pour payer ses comptes, avoir faim, ils ne sont pas au courant et ne le seront jamais! Dans un pays où le dollar s'échoue tristement, il serait important de relever la situation le plus rapidement possible. Mais il semble ces derniers manquent de notions en économie. Pourtant, il y aurait un ménage pressant à faire. En commençant par les subventions; Il y a des gens qui travaillent temps plein pour décrocher des subventions. Et aussi, les CPE. Pas drôle de voir circuler sur Facebook que les CPE sont des organismes à but non lucratif! Hèye! Arrêtez! Pourquoi est-ce que les employés sont payés d'abord? Ce n'est pas en se moquant de nous autres que vous allez vous attirer des faveurs auprès des citoyens. Et puis, il serait facile que je parte encore sur une chire, dénonçant tous ces détournements «légaux» de notre argent. Mais à quoi bon? Personne n'est prêt à faire quoi que ce soit. Et quand j'en parle, les échos sont plutôt rares. Alors j'écris! Bon lundi!

dimanche 24 janvier 2016

Que de souvenirs!

Quand j'étais plus jeune, je parle de quand j'allais au pensionnat, je disais à mes parents que c'était plate que mon prénom ne soit pas dans le dictionnaire. Je me souviens très bien, la section des noms propres. Et, mon prénom ne s'y trouvait pas. Je leur avais même dit que j'allais travailler assez fort pour qu'il s'y retrouve un jour! Aujourd'hui je ne me sers plus beaucoup du dictionnaire. La version que j'ai, date de 1998, et par le fait même, il est vraiment incomplet. Mais j'ai l'Internet. Ce gigantesque réseau ouvert sur le monde. Souvent, en famille, on s'interroge sur un artiste, sur l'histoire, sur une voiture, sur une personalité politique et hop! 5 secondes et nous avons la réponse! Et si je cherche mon prénom, il y est en plusieurs exemplaires. Même moi, la personne que je suis y est. Plus de dictionnaire, juste une gigantesque base de données, accessible par le web. Cela me rappelle bien des souvenirs. Quand j'avais un travail de recherche, j'allais à la bibliothèque pour trouver mes réponses. Aussi, ma mère était une magnifique encyclopédie avec qui il était plaisant de discuter. Mais se documenter était long. Avoir des nouvelles aussi. Nous avions le téléphone filaire. Appeler chez le voisin était longue distance quand j'habitais en Beauce! Et nous avions la télévision. En couleurs! Et je me souviens quand nous avons eu notre premier magnétoscope. En plus de pouvoir écouter des documentaires, nous pouvions en louer. J'avais aussi une correspondante qui habitait Haïti. SI je me souviens bien, je lui écrivais une lettre, deux semaines après, elle l'a recevait. Ensuite, un autre deux semaines et je recevais sa réponse. Nous pouvions échanger sur notre culture, notre système politique, etc. Grand dieu que c'était long. Et nous avions des appareils photos. Mon père était un mordu des photos. Il est encore! Chaque semaine, ou chaque mois, nous attendions son arrivée pour regarder les nouvelles diapositives. Nous avions une visionneuse! Toute la famille, collée, devant ce petit «écran» d'environ trois pouces. Des photos couleurs! Nous étions parfois tristes parce certaines des photos étaient ratées. Et c'était comme ça que nous étions heureux!
Mon père n'a plus la visionneuse, mais il adore encore regarder des photos sur sa tablette ou son portable.
Mais je suis parfois déçu de nos nouvelles technologies. Dès que j'ai appris l'existence du World Wide Web, je pensais qu'on pouvait aller, par séquences vidéos, n'importe où dans le monde. Que ce nouveau média allait nous permettre de visiter la terre entière. Mais ce genre de trucs commence seulement à être disponible. Oh il y a bien Google avec ses images satellites vraiment géniales et aussi celles de «street view». Mais ce n'est pas ce que je m'imaginais en 1990.Et puis, la fiabilité des réseaux sans fil laisse encore à désirer. On est encore loin du concept que j'avais élaboré en sixième année, qui portait sur un système d'ascenseurs qui nous permettait d'aller sur la lune! C'était ma vison de l'an 2000! Mais on s'en reparlera une autre fois!

samedi 23 janvier 2016

Bilan du concerta, partie 2.

Alors qu'il n'y avait que moi qui ne s'en étais pas aperçu, tous les gens que je rencontrais me le disais, j'étais dans la marde. Endetté, fatigué, un corps épuisé. Je buvais un peu trop et il semble que je ne pouvais jamais manger assez pour réussir à me rassasier. Les ressources qui étaient disponibles à ce moment-là n'étaient pas nombreuses. La relation avec mes parents avait pris un coup dur avec l'arrivée «prématurée» de mon fils et les négociations orageuses avec la mère de ce dernier. Mes amis avaient pris leurs distances, voyant qu'être ami avec une âme perdue s'avèrait plutôt toxique pour leur propre vie. Bref, il fallait que je sorte de cette torpeur. J'ai commencé une thérapie qui m'a apprise que j'étais, peut-être, un émotif extrême. Une personne qui avait de la misère à gérer ces émotions. Il faut dire qu'à cette époque, mes émotions se devaient de sortir, peu importe où et de quelle façon. Mes émotions, je les conduisais, je les buvais, je les mangeais, je le dessinais, je les courais, je les écrivais, je... Il fallait que ça sorte! Mais je ne me rendais pas compte à quel point c'était dur sur mon entourage. Une séparation, un diplôme universitaire, et des dettes énormes plus tard, j'ai échoué à un test d'ivressomètre. On dirait que ce fut un élément déclencheur. Je venais de franchir une barrière, sombrant du côté obscur de la force. 
Et puis, par hasard, j'ai rencontré une fille, simple, une sportive, une fille qui a un horaire dans sa vie. Une personne qui a un plan pour sa vie. Mais elle m'a remarqué elle aussi. Alors je me suis engagé dans le plus dur combat de ma vie : me prendre en main. Ça fait maintenant vingt-deux ans de ça. J'en ai fait du chemin. J'en ai fait des recherches. Et j'ai pleuré plusieurs fois toutes les larmes de mon corps! Aujourd'hui, avec du recul, je me rends bien compte que ma concentration est proportionnellement reliée au degré de stimuli qui se présente à moi. Plus je suis occupé, surtout physiquement, plus je suis capable de me concentrer. Avec le temps, en vieillissant, l'activité physique est devenue moins présente et j'ai rencontré toutes sortes de difficultés par rapport à mon degré de concentration. Et l'hyperactivité m'a tellement épuisé, usé... Alors, je m'entraîne quotidiennement. Je me garde le loisir d'écrire, de dessiner. Je planifie mes journées en fonction d'un ordre précis. Et surtout, je ne manque pas à ma discipline! Je me rends compte que si j'avais pris de la médication à l'université, je serais probablement professeur aujourd'hui. Mais je n'en souffre pas. Au contraire, le collier syndical d'une carrière en enseignement serait sûrement en train de m'achever. Mais je me rends compte aussi à quel point mes parents furent à la fois des guides, mais aussi des partenaires solides pour réussir à me garder le plus longtemps possible, dans une certaine direction. Que leurs enseignements m'ont permis de m'en sortir. Oh il y a d'autres facteurs qui m'ont aidé, mais ils ont été solides face à cette boule d'énergie concentrée, ce volcan que j'étais. Et ma conjointe, une femme d'exception, a réussi à voir en moi la personne que je suis, malgré tous mes détours, toute mon errance émotive! Et aujourd'hui, père de trois enfants, heureux de mon sort, je tiens à remercier tous les intervenants, de près ou de loin, qui ont contribué à ma réussite! Merci beaucoup!

Bilan du concerta après trois ans.

J'ai passé au travers de ma semaine. Ça semble anodin, mais il est merveilleux de pouvoir y arriver! De sentir toute la valorisation que ça rapporte. J'ai monté ma propre entreprise, avec mon savoir, mon expérience et je suis heureux. Non seulement je travaille de la maison, mais je réussis à naviguer dans le concept travail-parent-maison-vacances! Eh oui. Changer de chapeau comme on change de culottes. Aussitôt les enfants partis, je deviens mon propre employé. Mais l'heure du dîner venu, je deviens moi, celui qui est assoiffé de connaissances. Je lis, je m'informe, je magasine en ligne. Et je retourne travailler, le sourire aux lèvres! Et lorsque cinq heure sonne, à moi le rôle de père, de mari et de chef de famille! Conjuguer le tout devient parfois harassant, c'est là qu'intervient la notion étrange des vacances! Un concept que je ne maîtrise pas encore tout-à-fait. Mais j'ai hâte d'en avoir, j'ai hâte de vivre mes vendredis soirs; donc je fais du progrès! Je dois dire que depuis que je prends du concerta, les choses m'apparaissent plus possible. Ça fait trois ans que je prends un neuro-stimulateur. Ce que les enfants prennent quand ils ont un diagnostique de TDAH. Un terme galvaudé au maximum depuis quelques années. Cette médication, car il faut avoir eu un diagnostique précis, qui vient d'un suivi et des tests, a pour effet de m'aider à me concentrer et aussi à me retrouver. Je m'explique : avec cette pillule, je réussis à me concentrer suffisamment sur ce que je fais pour le terminer. Je réussis à donner l'impression aux autres que je les écoute (je les ai toujours écouter, mais je n'en avais pas l'air). Mais c'est beaucoup plus. Avec le temps, je me suis aperçu que je ne pouvais plus suivre plus de deux conversations à la fois. Avant je m'amusais à écouter plusieurs conversations et j'y prenais un plaisir fou. J'ai aussi constaté que j'arrivais à dormir plus longtemps sans me réveiller; mon sommeil est plus calme, plus profond. Non seulement j'ai recommencé à rêver, mais je me souviens de certains rêves! La tempête dans mon esprit s'est démèlée, mes idées sont plus claires. Avoir trop de choses de commencer m'énerver beaucoup. Avant je m'épuisais à suivre tout cela. Et puis, je réussis à anticiper certaines choses au travail. Même que je prends goût à planifier des choses en avance. Ce sont vraiment de choses que je ne faisais jamais. 
Mais j'ai aussi beaucoup réfléchi à tout ça. Plus jeune, à partir du plus loin que je peux souvenir d'une journée à l'école, soit au primaire; je ne prenais pas de concerta. Ma mère survivait bien à toute mon énergie, elle me connaissait, savait comment canaliser toute cette soif de vivre, d'apprendre, qui émergeait de moi. Et, à moins d'exceptions, je passais tout mon temps dehors, à courir, faire du vélo, sauter, danser, aider pour les corvées. À l'école, je bougeais énormément dans la cour d'école. Le seul de mes problèmes, car j'en avais un, c'était en classe. Réussir à me concentrer tenait d'une gymnastique acquise qui, avec les années, me permettait de passer au travers de mes classes. Mais je dois avouer que c'était plus facile en étant plus jeune. Car même si je dessinais constamment dans mes cahiers, que je pianotais sur mon bureau, que je gesticulais sans m'en rendre compte, j'y arrivais. Tout mon primaire m'a semblé être une sorte d'attente, comme si j'étais dans une file pour ceux qui ont terminé avant les autres. Donc j'avais déjà commencer à m'éparliller dans ma vie. Puis le secondaire arriva. Fort de mes deux années au pensionnat, j'ai eu l'impression de perdre mon temps les trois première années. Ce qui a eu pour effet de me déconcentrer de la matière et me propulser vers les activités parascolaires. J'ai touché à tout : la radio étudiante, le journal étudiant, les groupes religieux, l'administration de la bibliothèque municipale et j'en passe! Tout ça sans médication. Et je continuais de jouer dehors, d'aider pour les corvées, de m'occuper des animaux, de dessiner, de chanter, etc. Lorsqu'il fut temps de monter en grade, d'aller au CEGEP, j'ai constaté un changement. Me concentrer était de plus en plus dur. Mais je maintenais la cadence pour me tenir occupé. Mais mon manque de sommeil commençait à se faire sentir. Mais il était difficile de m'en rendre compte. J'avais beaucoup d'énergie, tout ce que je touchais m'intéressait. Je m'étais perdu dans ce feu roulant qu'est la vie! J'arrivais difficilement à dormir plus de quatre heures par nuit. En moi se faisait sentir une sorte d'angoisse, de perte de confiance. Mais, gonflé de mon égo, je me disais que je passerais au travers! Et puis, j'ai filé des années sans jamais prendre de recul, sans jamais me demander où tout ça allait me mener. À vingt ans, un bébé sur les bras, en plein baccalauréat, il m'a semblé apparaître une question. Une inquiétude, je dirais. Je me suis demandé ce qui m'arrivait. Je ne savais plus du tout où j'en étais. Alors j'ai essayé d'y voir plus clair. À suivre un peu plus tard.

vendredi 22 janvier 2016

TGIF !!!

Je me sens un brin effervescent en ce vendredi matin. Comme si j'allais tomber en vacances pour deux semaines! Mais il n'en est rien. J'ai trimé fort cette semaine, comme d'habitude et je ne suis pas le seul. Nous travaillons tous pour un meilleur quotidien. Oh, je ne me plains pas, je travaille pour moi, je suis heureux. Ces jours-ci, ce sont les chèques qui tardent à rentrer. Mais pour d'autres, ce sont les fins de mois qui sont dures. Et la période des impôts qui s'en vient, beaucoup seront nerveux. Et pour cause! Travailler toute une année, et savoir qu'il va falloir en redonner encore? Pourtant, à chaque rentrée d'argent, au moins 30% est pour le gouvernement! Ensuite, après un rapport d'impôt toujours trop compliqué, trop long et trop cher, de savoir qu'il faut refaire un chèque... Y a de quoi froncer les sourcils! Hier j'ai eu encore une énorme journée qui s'est terminée vers 21:45. Mais au moins il y a les vendredis. Personne ne peut changer ça. Pas même le trou d'eau. Hier, je discutais avec un ami. Il me disait que, selon lui, les choses n'allaient que passer. Les gens ne feraient rien pour contrer les conneries de nos élus. Ils attendraient aux prochaines élections pour peut-être modifier leur choix. Je crois qu'il a raison, mais en dedans de moi, ça crie; ça crie justice! Dommage. En plus de nous avoir garder ignorants, unilingues pendant des années, ces politiciens sont très rusés. Oui Parce qu'ils se rendent bien compte que nous nous sommes réveillés. Que nous sommes conscients de ce qu'il y a autour de notre province. Alors ils ont endetté nos enfants! Comme ça ils réussiront en empêcher la fuite de certains vers des jours meilleurs où le fardeau fiscal serait moindre. Des fois le vendredi soir, je suis un peu étourdi, et ce fardeau me parait un peu moins dense, un peu moins réel...

jeudi 21 janvier 2016

Une belle soirée!

Quelle belle soirée ce fut hier, avec les gens d'affaires. La poignée de main annuelle! SI tous nos événements étaient aussi cools! Rien de compliqué, François nous a accueilli de très belle façon avec son équipe. Pour lui, ça donne un petit break dans sa vie très remplie, tout en lui rapportant quelques rendez-vous ! Et pour nous, bénévoles au sain du comité administratif, ça fait du bien d'avoir une activité dans laquelle nous n'avons pas mis trop de temps! Et puis nous étions une belle gang. Je n'ai pas vu personne s'ennuyer. J'étais tellement fatigué (physiquement) qu'il eut été facile de l'échapper. Mais il fallait revenir pour la famille et pour se coucher un peu. La semaine se poursuit! Je sais qu'il ne fallait pas parler de politique, mais j'en ai parlé avec pas mal de gens. Et ma foi, je ne suis pas seul avec mes idées.
Mais à bien y penser, il valait mieux parler de nos entreprises, de nos aventures quotidiennes. Établir des contacts et aussi, utiliser notre sourire. Ce vêtement qui ne coûte rien et qui nous va à merveille! En tous cas, merci pour ce bon moment.

mercredi 20 janvier 2016

Que de peine!

Hier je suis allé installer chez quelqu'un qui connaissait les gens qui sont morts lors de l'attentat de Burkina Faso. Sa peine était palpable, mais aussi son questionnement. Je sentais que cette personne était complètement chamboulée. Je sentais un sentiment étrange; comme quelqu'un qui se serait perdu et qui n'arrivait plus à se retrouver. C'était dur de voir la personne dans cet état. Imaginez les proches, ceux qui leur ont demandé de rester. Mais ce voyage humanitaire était planifié depuis 2 ans. Leurs intentions étaient pures. Ces gens aimaient. Mais ils sont morts. Qui a le droit d'enlever la vie aux autres? Peu importe la religion, les croyances, qui peut, comme ça, enlever la vie aux autres. Et, le lendemain, notre PM allait prier dans une mosquée de Montréal. J'ai de la peine de voir ces événements arriver. Pour moi, il y a l'Amour, ensuite la vie. Mais malgré mes montées de lait, mon chiaulage politique et économique, rien ne me guide vers des choses aussi horribles! Y a-t-il vraiment des endroits où nous ne pourrons plus aller en voyage? Est-ce ça notre futur? Je cherche mes mots. J'ai des tas de souvenirs, plus ou moins heureux de mon passé. Mais je ne voudrais pas être confronté à des souvenirs aussi tristes qui seraient aussi proches de moi. Alors je continue mes écrits de chaque matin. Ils sont libérateurs, motivateurs et me permettent d'analyser mes sentiments, mes idées. Car sous l'effet du moment, sous la pulsion d'une émotion, tout est possible pour un être humain. Alors il faut savoir s'arrêter pour penser. Il faut être capable de démèler ambiance populaire de la réalité. Ici on lève des pancartes dans la rue avec des slogans irrespectueux pour des raisons trop souvent irréfléchies. On se plaint le ventre plein pour en avoir encore plus. Mais prenez donc le temps d'apprécier ce que vous avez. Prenez le temps d'aimer. Et si vous êtes dans une situation qui vous dérange, qui vous empêche d'aimer, d'apprécier, eh bien retirez-vous pour y réfléchir. Parlez-en, prenez le temps de bien cerner le problème et repartez! Parfois il vaut mieux reculer d'un pas pour en faire deux de plus dans la bonne direction.

mardi 19 janvier 2016

Ça va mal finir!

Alors qu'on s'évertue à faire de notre vie une réussite, certains s'amusent à faire le clown. Vivant une vie qui semble extraordinaire. Mais quand tu es PM, tu as des responsabilités! Ce que je vois, ce que j'entends, ce sont des choses qu'un PM doit s'occuper. Les selfies, ça peut attendre. Ah et puis zut! J'ai encore parlé de lui. Malgré son insignifiance, il réussit à passer à travers ses journées sans coups ni affronts. Je ne sais pas où tout ça va nous mener, mais il y a matière à réflexion. Depuis son arrivée, il n'y a que son image qui importe. On dirait un inconnu qui soudainement, est devenu le roi de la place. Comme une rock star à qui on envoie la main! Je n'arrive pas à comprendre, je ne suis pas du tout son plan politique (En a-t-il un?) et je crois que si nous l'avons encore trois ans et demi, là pays va avoir reculer économiquement, socialement et politiquement. Ce qui est très grave! Je n'ai rien contre ses petites parades, ses sorties en public plus ou moins farfelues. Mais il doit prendre ses responsabilités. Je sens que ce sera difficile, mais aussi dommageable, d'avoir élu une personne aussi déconnectée de notre réalité! À suivre!

lundi 18 janvier 2016

Grosse semaine en perspective!

La joie de pouvoir écrire à nouveau! Ce matin, je ne sais pas trop. Ça fait une semaine que je suis allé porter ma blonde à l'aéroport et je me sens tellement seul. Je mets de la musique, j'ai mes filles avec moi. Mais il me manque cette personne, cette partie de ma vie que j'ai en commun avec elle. Il n'y a rien qui puisse rivaliser avec ce lien que je partage avec elle. Mais je dois continuer ma route, remplir mes journées de joie, de sourires, de choses accomplies. Quand je lis quelques nouvelles, je me dois de lâcher prise sur notre selfie boy. Je dois aussi lâcher prise sur notre couillon. JE dois me concentrer sur ce qu'il y a de vrai, de palpable. Ne pas me soucier de tous ces faux jetons qui pullulent autour de moi. N'empêche que des fois, je me demande ce qui peut bien se passer dans leurs têtes. Comment font-ils pour être heureux? Savoir que j'enlève de l'essentiel aux autres me transpercerait comme une épée. Et la douleur me tiraillerait jour après jour, jusqu'à ce que je trouve une façon de me racheter. Alors je commence une nouvelle semaine, qui sera, remplie de belles choses, de bons moments. On verra bien : ce soir les filles ont de la danse; demain soir réunion de parents; Mercredi soir, poignée de main annuelle avec la chambre de commerce; jeudi soir, Vicky commence ses cours de conduite et je ferai un brin d'épicerie. Alors il sera rapidement vendredi soir! Bonne semaine !

samedi 16 janvier 2016

Inquiétude

La magie d'écrire un samedi matin. Seul, petit café... Pas d'actualité pour me faire grimper. Juste moi et mon éternelle énergie du matin!!! Je vais tenter de me reposer un peu, mais je ne promets rien. J'ai tellement de choses à faire, à penser! Et puis, avoir des projets, c'est génial! J'ai hâte qu'il rentre des chèques, on dirait que c'est toujours comme ça au retour des fêtes. Les gens n'ont pas d'argent, les responsables des comptes recevables sont en vacances, etc. N'empêche que ça fait chier. J'aimerais mieux que l'argent soit dans mon compte que dans le leur! Moi je déteste avoir des trucs non payés qui traînent. Y a assez de ceux que j'oublie. Mais un de mes soucis réside au niveau de mon fils. Je n'ai pas de nouvelles et c'est inquiétant. Surtout qu'il se plaint qu'il n'a pas d'argent! Mais il doit s'occuper de sa destinée. Il a les capacités pour y arriver. C'est sûr que ce serait plus facile s'il pouvait avoir une bourse. Mais son statut particulier compliqué tout. Difficile de l'aider car je ne peux rien faire à sa place! Voilà comment ça se passe avec un trouble du spectre de l'autisme. Un cerveau extraordinaire, mais qui ne fonctionne pas comme la moyenne des ours! J'aimerais vraiment faire quelque chose de plus, mais si j'interviens trop, je ne lui montre rien. J'ai déjà tellement à m'occuper! Bon assez discuté, j'ai d'autres choses qui m'attendent! À plus!

vendredi 15 janvier 2016

Fond vert...

J'espère que vous étiez au courant pour le «fond vert». J'en ai justement parler cette semaine. Non seulement ça ne sauve en rien la planète, mais cet argent sert à pour toutes sortes de choses. Quand je dis que je suis tanné de payer pour les autres, en voici un exemple! Qui sont-ils ces personnes qui réussissent à convaincre nos dirigeants de détourner ainsi notre argent? Et ça continue! À moins que les gens décideraient vraiment de protester, rien ne va changer! Mais c'est vendredi, alors on va se là relaxer ce soir en pensant à d'autre chose!

jeudi 14 janvier 2016

Mieux vaut travailler

La journée d'hier n'a pas été celle que j'avais prévue. À commencer par l'ensemble des tâches que je m'étais planifié. Bien des téléphones et beaucoup de visite. Heureusement j'ai quand même gardé le cap sur la production. Aujourd'hui sera mieux. Et je ne crois pas sortir beaucoup. Il semble que le froid vienne nous tanner encore un peu aujourd'hui et demain. C'est vraiment atroce ce froid. Pas si froid si je compare avec l'an passé à pareil date. Le mercure s'affichait avec onze degrés de moins. Ça reste que ce n'est pas terrible pour la motivation. Mais la vie se continue, comme une énorme roue d'inertie, tellement lourde qu'il est pratiquement impossible de l'arrêter! Mais la vie, celle dont on parle, est en réalité le temps qui passe, plus les événements qui se produisent. À nous de faire en sorte que tout ça nous rendent heureux. Bien sûr, il va y avoir différents défis encore cette année, mais ça nous permettra de trouver des solutions. Avec la reprise des travaux parlementaires, il risque d'avoir des énormités. Mais j'aime mieux penser à ma journée. Un jour à la fois. Pour hier, il est trop tard et pour demain, on verra.

mercredi 13 janvier 2016

Foutaises...

Sirop Lambert ce matin et bien des coups de pieds dans le cul! Difficile de se lever, pas vraiment d'énergie pour m'entraîner, un peu congestionné... Ça va passer! Mais je pensais au dollar, notre dollar. Que de soucis avec un taux d'échange aussi poche! Déjà, mon plus gros fournisseur a annoncé une autre majoration de ses prix. Grand dieu, quand est-ce que ça va s'arrêter! Je dois ajuster mes prix encore une fois? Je ne sais pas trop. Faire un peu moins d'argent, continuer d'être heureux. Être heureux pour moi. Je réfléchis et je me dis que les discours «verts» nous pénalisent tous. Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi ces gens, qui parlent d'éoliennes, de recyclage, d'empreinte du carbone, nous font payer de l'air! Oui, du vide! Car tout cet argent ne sert pas à sauver la planète. La planète va se sauver toute seule! Au lieu de recycler du papier, chose qui coûte une fortune, replanter des arbres! Pour chaque arbre coupé, plantez-en deux! DU coup, vous sauverez de l'argent sur le recyclage et vous augmenterez l'oxygène sur la terre. Arrêtez de monter le prix d'immatriculation de nos véhicules! En quoi ça sauve la planète? La majorité des gens ne vont pas moins prendre leur véhicule. Ils vont seulement être en colère et compenser cette augmentation. Arrêtez de subventionner les éoliennes! En quoi ça sauve la planète? Le fait que les citoyens paient plus cher leur électricité ne change rien au climat. Et quand vous enlèverez les subventions, tout ça va rouiller et ne servira plus jamais, comme à la Cascadia? Est-ce que nos tarifs d'électricité vont baisser? Parlant de baisser, ça fait un an environ que le prix du litre d'essence a descendu. Le prix de mes livraisons n'a pas baissé. Je continue de payer le surplus de cinq dollars à chaque fois! Au moins ça réchauffe les idées d'en parler!

mardi 12 janvier 2016

Ah l'hiver...

Eh bien, on peut dire que je manque de gaz en ce début d'année! l'ouvrage est là, la volonté aussi. Mais ça me demande tellement d'énergie! C'est sûr que l'hiver ne m'aide pas tellement non plus. Et puis, maintenant que je veux prendre un peu plus de temps pour moi, les loisirs semblent vouloir coûter de plus en plus cher, sans compter les satannées taxes! Oh je ne me plains pas, je trouve seulement qu'il est dur de se motiver avec toutes ces contrariétés gouvernementales! Je n'ai de refuge que dans la musique, le dessin et l'écriture. Moins de trucs trop capotés comme des sports d'hiver ou des aventures qui brassent comme du parachute ou de la motoneige. Car mon assurance salaire, je n'ai pas le goût de l'utiliser. Alors je prends soin de moi le plus possible. J'aimerais vous dire à quel point je suis optimiste pour mon entreprise, l'année s'annonce tout-à-fait formidable! Mais je vais demander des conseils à des gens plus compétents que moi. Si je veux continuer à aimer ce que je fais, je ne dois pas travailler trop et oublier le reste. Car travailler, c'est formidable, mais vivre, avoir une famille l'est encore plus! Mais on dirait que les dirigeants s'en foutent pas mal de notre famille. Ils se foutent bien de savoir si nous sommes contents d'eux, de leurs décisions. Alors que pendant des années, je pensais que le chef, le premier ministre, le président, le roi, appelez-le comme vous voulez, veillait sur nous et voyait à ce que tout aille bien dans son royaume. Ici, il n'y a rien de tout ça. Ici, c'est chacun pour soi. Les gens sont désabusés. Certains se lèvent chaque matin en se demandant comment ils pourraient soutirer de l'argent aux autres. Nos dirigeants, eux ne se posent jamais la question : on monte les taxes! On monte les prix! C'est toujours les mêmes qui paient. Peu importe ce qui arrive, on s'en fout. Le peuple veut du changement, mais personne n'est prêt à couper! Alors rien ne s'améliore pour la classe ouvrière. Seuls les employés du gouvernement ont droit à des bonus, des augmentations, des cadeaux! Bref, l'hiver semble plus long dans ce temps là!

lundi 11 janvier 2016

Plein mon cass!

Je viens d'aller porter ma femme à l'aéroport. Trois heures trente, c'est un peu tôt pour se lever. Quel vent ce matin! Je me suis couché vers vingt-trois heures, il faisait 5 degrés. Et en me levant, il faisait moins un. Trois heures plus tard, il fait moins 6 degrés! Onze degrés en seulement sept heures. C'est dur sur le corps! Comme si on n'avait pas assez de payer trop de taxes, il faut affronter ce climat débile. Le vent est vraiment fort, tout est gelé dehors. L'entrée est une patinoire très lisse! SI tu essaies de tenir debout, sur cette glace, le vent te pousse! Et en bonus, ce sera la Sibérie toute la semaine. L'hiver dernier, j'ai un client qui a vécu en Sibérie qui m'a dit qu'en Sibérie, il ne faisait pas froid comme au Québec. Oui il fait froid, mais il n'y a pas les écarts de température que nous avons, ni notre humidité. Le chauffage part aussi souvent que s'il faisait -25! Imaginez cette nuit quand il fera moins 21! Ark! J'haïs l'hiver. Ce n'est pas une saison douce depuis quelques années, c'est un moment dur, très agressif! Alors il faut encore se trouver des raisons de sourire, des raisons personnelles! Des raisons à l'interne. Bonne semaine!

vendredi 8 janvier 2016

Vendredi!

Enfin vendredi. Après une semaine trop courte, pas vraiment de tout repos, je sais que l'an prochain, je ferai mieux. Je vais me planifier une semaine de vacances, une vraie, pour réussir à me reposer pour commencer la nouvelle année. La vie est trop courte pour être aussi fatigué. Depuis des années, je trouve du repos en faisant mes journées, en m'inspirant du vortex. Mais mon corps s'use à une vitesse incroyable. Ce matin, vendredi, j'ai choisi de ne pas travailler. Je vais chez le chiro et aussi chez la coiffeuse. Prendre soin de moi. C'est un concept étrange auquel j'ai bien de la difficulté à adhérer. La semaine prochaine, ma femme ne sera pas là. Elle sera absente pour 17 jours. Le plus dur, ce sont les fins de semaine. Au lieu de me reposer, je me tire dans le travail. Des fois, je fais vraiment des miracles, mais je réussis aussi à me brûler raide! Mais pour le moment, un bon café et vivement la journée de congé! Car même si je prends congé, j'ai quand même ce sentiment d'accomplissement qui finit bien la semaine!

jeudi 7 janvier 2016

Tellement tanné.

J'étais content d'apprendre qu'encore une fois, le fait d'avoir un véhicule de cylindrée supérieure à 4.0 litres, me permet de contribuer à payer les autres. 2016 me permettra de payer 32$ de plus pour immatriculer mon véhicule. Quel merdier. Plus de 500$ pour plaquer mon camion! Pensez-vous réussir à nous sensibiliser sur l'achat d'un véhicule hybride? Tellement cher à l'achat qu'il est impossible de compenser en économie d'essence la différence de prix sur 8 ans? 8 ans, temps de garantie sur les batteries. Ensuite, nous faisons quoi avec les batteries? Allez-vous surprendre les gens avec de nouveau frais «verts»? Frais que vous allez faire payer à ceux qui n'ont pas de véhicules «verts». Ça n'aurait rien d'étonnant, vous faites déjà payer votre transport en commun par ceux qui ne l'utilisent pas! Et puis d'ailleurs, qu'est-ce qui vous arrête? Vous financez à même les fonds publiques des éoliennes qui ne sont pas rentables! Avant même d'en assembler une, vous saviez que ce projet serait déficitaire! Pourquoi? Qui vous pousse à faire ça? Avons-nous voter pour ça? Et les éco-frais, avons-nous voter pour ça? Et puis les publicités d'hydro-québec, qui nous disent de réduire notre consommation par temps froid? À quoi servent les éoliennes dans ce temps là? C'est quand on gèle qu'on veut chauffer notre maison! En tous cas, messieurs les dirigeants, vous nous écoeurez en masse! Que ce soit à l'épicerie, à l'hôpital, au dépanneur, quand on roule dans nos rues, quand on regarde nos infrastructures toutes délabrées. Va-t-il falloir se promener avec des oeillères pour en voir le moins possible? Ça ne changera rien au montant des taxes que nous payons, ça ne changera rien au montant qu'il va rester dans nos poches à la fin de l'année. Aussitôt qu'il faut payer, c'est une insulte!

mercredi 6 janvier 2016

Passage à vide

Que de coups de pieds dans le derrière pour me lever ce matin! Visite hier juste avant le souper, visite aussi après, je n'ai pas eu le temps de me ramasser. Mais j'y compte bien aujourd'hui! Mais je ne suis pas encore en 2016. Que de nostalgie quand j'y pense. J'ai travaillé comme jamais. J'ai aussi utilisé mon sourire pour de vraies raisons. J'ai aimé la vie et les gens qui la façonnent. J'ai aussi fait de nouveaux constats en économie et en politique. Certaines journées furent plus dures à passer au travers que d'autres. Mais j'ai réussi à garder le cap vers l'avant et c'est ça qui compte. Car même si on change d'année, quelque part, ce n'est qu'un chiffre. Pour le reste, la vie continue. Par exemple, hier, alors que je sortais de chez Peterbilt, il fallait que j'aille mettre de l'essence. Le poste à gaz le plus près était au Costco. Mardi après-midi, quatorze heures, ça va être tranquille, pourquoi pas? Eh bien non! Au contraire, la file était longue, les gens pressés. Quel bon divertissement de voir ces gens qui sortent à moins treize, petite veste détachée, nu-tête, pas de gants. Stationnés avec la trappe à gaz de l'autre côté, c'est un délice! Mais je n'irais pas mettre de l'essence là si ce n'était pas sur mon chemin. Je suis content d'être mon propre patron, cela me garde de certaines tares dont le monde est pourvu. Mais je dois aussi être un peu dans le vent, histoire de me sentir bien au travers des autres. On s'en reparle.

mardi 5 janvier 2016

Un bon départ!

Quel froid ce matin, moins 25 degrés. De quoi vous ralentir les ardeurs! Mais bon, il y a pire; À condition que ce soit moins atroce que l'hiver dernier. Jusqu'à maintenant, nous avons sauvé au moins un mois d'hiver. Mais c'est l'hiver et c'est une chose que j'ai apprise à vivre avec très jeune. Depuis l'hiver 2007-2008, je ne regarde plus la neige de la même façon. Et, depuis l'hiver dernier, je ne suis plus aussi souriant quand le mercure descend sous les moins vingt la nuit. Moins enclin à blaguer quand il ne fait pas au dessus de moins dix degrés le jour. Il y a des limites à tout! Et je crois avoir atteint celles-là. De plus, ce froid me coûte cher. Les tarifs d'hydro-québec nous égorgent autant que toutes les foutues taxes québécoises! Rien pour aider au sourire. Et comme personne ne sait de quelle façon ce tarif est calculé, bien... C'est bien trop cher! Avec le temps, j'ai compris qu'il y a certaines manipulations dans ces kilowatts. Alors il faut s'armer de patience et s'arranger pour sourire par nos propres moyens! Et je trouve que de recommencer un 5 janvier, c'est très tôt. Car il n'y aura pas de congés supplémentaires en 2016. Dans la classe ouvrière, personne ne va avoir de bonus! Et je prie pour que les taux d'intérêts demeurent stables. Je prie aussi pour que le prix de l'essence ne grimpe pas trop. En toous cas, en 2016, faites des choix pour vous, des choix actuels, selon vos besoins!

lundi 4 janvier 2016

Des projets pour la nouvelle année.

Dans mon humeur, j'ai vu aujourd'hui que de recommencer à travailler m'apparaissait plus hardu que je ne le croyais. Comment relaxer à temps pour les fêtes? J'ai tester un logiciel, j'ai préparé des autocollants et j'ai aussi planifié quelques trucs dans ma semaine. Et, comme nous sommes au Québec, le mercure a chuté de 15 degrés en douze heures! Bref, c'était de la marde quand il fallait aller dehors! Je pensais que je pourrais rester encore un peu en congé. Mais demain, je me lèverai à cinq heures! Oui monsieur! Un peu de vélo et de muscu! Ça va sûrement me redonner un peu d'énergie. Mais nous changeons d'année et il faut évoluer! Je crois que ce sera facile d'être gagnant, à condition de ne pas exagérer dans les achats évolutifs! J'adore changer mes trucs de travail, mais c'est aussi angoissant. Il est plus facile de travailler avec stabilité et assurance.
Mais je suis encore fatigué. Je n'ai pas vraiment déconné, ni abusé sur l'alcool, mais comme j'étais vraiment claqué, il est sûrement normal de ne pas me sentir «full shape». J'ai quand même hâte à demain pour faire un peu de vélo. J'aimerais faire un voyage de vélo. Avec mon épouse, comme au temps de notre cyclo-camping! Mais ce serait plus dispendieux. Je pense à aller dans le sud, en pleine hiver. Une aventure de 80 à 100 kilomètres par jour, avec un forfait tout inclu. Il serait vraiment agréable de se concentrer sur l'activité première, le vélo. Le reste, ce serait de la relaxation. Ça reste à voir! J'ai magasiné un peu, ce genre d'expédition coûte la peau des fesses. Il faut amener son propre vélo, ses vêtements, payer ses repas à part et le prix pour 5 jours dépassent de beaucoup un traditionnel voyage à Cuba.

samedi 2 janvier 2016

Petit bilan positif de 2015

Ayoye! Nous sommes le 2 janvier 2016. Depuis le 26 décembre, il ne fait que neiger. Les conditions météo ne peuvent être plus hivernales. Debout tôt pour aller porter Vicky à son travail. Bilan de cette merveilleuse année qui vient de nous quitter. Difficile de passer à côté de nos 18 ans de mariage. Il y a eu La Boucle, le Cyclo-défi. Mon premier tournoi de golf! Nos vacances à Mirtle Beach. J'ai dessiné plus que les deux dernières années. Mon épouse qui a changé de travail après 21 années à la clinique Audet. L'achat pour Lado Lettrage d'un iMac 27 pouces à écran 5K. Une fête d'Halloween où j'ai recommencé à maquiller. Nous avons commencé des rénovations dans la maison. Des sorties au cinéma incroyables! Notre décision de prendre un terrain de saisonnier au Domaine de la Chute est aussi un moment très fort où nous avons déployer, en famille s'il-vous-plaît, des efforts extraordinaires pour préparer notre emplacement et y laisser notre roulotte pour l'hiver. Ma plus vieille a même commencé à travailler. Bien sûr, je pourrais parler aussi de choses moins amusantes, mais je préfère me rappeler du bon. Et commencer une nouvelle année dans la bonne énergie! Les projections pour mon travail s'enlignent bien. Il semble que mon travail soutenu et mon service personnalisé portent fruit.

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...