Moins vingt-cinq degrés ce matin. Il semble que notre coin de pays soit congelé pour une période indéterminée. Hier j’ai réussi à travailler un peu. Je suis allé prendre des mesures pour une job de LADO lettrage. Aussi, j’ai installé un système de lumières DEL au plafond de mon camion. Maintenant on voit quand on cherche quelque chose derrière. Et j’ai fait un scellant à peinture sur le toit, je n’avais pas encore eu le temps de le faire. Malgré que ce véhicule soit usagé, son état général est très satisfaisant. Ça fait deux mois que je l’ai et je trouve qu’il fait vraiment la job! Et puis avec ce froid, il démarre bien. Je pense le garder pas mal longtemps. Seulement deux sièges, un grand volume de chargement, une suspension sur lames, qui peut endurer beaucoup de poids, aucun fla-fla du genre intelligence embarquée, gadgets inutiles de toutes sortes. Mais un système téléphonique qui fonctionne à merveille! Il y a bien un «Cruise Control», un climatiseur, des miroirs chauffants, mais aucune jauge à part celle de l’essence. Un système de chauffage très limité, une radio aussi très limitée. Le véhicule est dédié au travail. Je le trouve idéal pour moi, la personne qui a de la difficulté à se concentrer. Et que dire de sa mécanique, un quatre cylindre accompagné d’une transmission CVT. Très efficace, ce duo procure une puissance juste pour se déplacer en ville et une frugalité très appréciable. En deux mois, j’ai une moyenne calculée de dix litres au cent. Je trouve ça vraiment excellent! Parmi les points faibles, je dois mentionner que le pare-brise se salit très vite. Aussi, l’habitacle, la partie avant où l’on conduit, qui est très grand, manque un peu de commodité de rangement, j’en suis encore à chercher des solutions à ce niveau.

Nissan NV200 2014

J’aurai sûrement l’occasion de vous en reparler ultérieurement.

Encore froid!

Is shh!! -29 degrés ce matin! Rien ne semble être en mesure de changer quoi que ce soit à cette vague de froid. Nous sommes le 29 décembre, un beau soleil s’installe. L’air est très sec ce matin, ne prenez pas une grande inspiration dehors, vous le regretterez! Les fêtes se passent doucement jusqu’à présent, nous essayons de relaxer au maximum! Hier nous sommes allés au camping, histoire de se rassurer; le vent fait son travail! À peine quatre pouces sur le toît de la roulotte, là où il y en a le plus! Une fois rendu à l’accueil, il fallait marcher en raquettes. Avec le vent, il fallait s’être habillé vraiment chaudement pour résister au froid. Mais c’était quand même vraiment plaisant. Et nous sommes allés chez Espace Vélo, pour faire ajuster le vélo à ma chérie. Ce matin, nous nous sommes entraînés, il faut garder la forme! Et puis, ça fait du bien de se secouer un peu, d’avoir chaud. Le temps des fêtes nous fait souvent sentir un certain engourdissement, et même parfois, un gain de poids! Alors il faut réagir avant d’être complètement empâtés! N’empêche que ce froid ne réussit pas à me faire sourire. Depuis le début des fêtes, je m’interroge sur ce froid, réussir à trouver le beau dans tout ça. Comme énumérer précédemment, à part de nous assèches la peau, d’être dur dur nos véhicules, sur les infrastructures et de nous coûter cher, il n’y a rien de bon dans ce froid. Froid pour ne pas dire «frette». Car c’est vraiment une écoeuranterie! Ma douce et les enfants sont partis déjeuner avec ma sœur, comme ils le font traditionnellement chaque année. Moi j’espère avoir le courage de rentrer mon camion au chaud, prendre le temps de le nettoyer un peu, cirer mon toît, installer mes lumières dans le plafond et évaluer un peu l’aménagement intérieur. S’il me reste du temps, j’irai prendre des mesures du dernier FixAuto que j’aurai à faire au retour en janvier. Difficile d’arrêter, mais je suis pas mal content de moi, car je n’en fais pas trop. Et j’ai passé du bon temps avec ma Bibi, en cuisinant, en jouant à des jeux, etc. Bonne journée au soleil de Sibérie!

Y fait froid!

Nous sommes le 26 décembre, une vague de froid bien plus pire que celle des deux dernières semaines s’installe présentement. Il vente énormément et il fait bon de rester au chaud dans la maison. En profiter pour enfin écouter ces trucs à la télévision, poser un cadre qui traîne, finir certains petits travaux, etc. Mais ce qui me chicote toujours pendant ces périodes froides, c’est le fait qu’en plus d’être obligé de les subir, en sortant dehors, en luttant contre la peau sèche, les voitures qui en arrachent, qui surconsomment du carburant, le chauffage, lui, coûte encore plus cher! Y a-t-il un moyen de s’en sortir, ici? Sortir de ce marasme économique; sorte de cercle vicieux dans lequel nous sommes pris depuis trop longtemps. Peu importe le temps de l’année, le climat, nous payons en conséquence! Trop cher, trop de taxes, trop, c’est toujours trop! Après deux jours de festivités, mes intestins commencent à crier «pitié»! Ouf! À croire qu’il ne nous reste que manger pour se divertir! Alors que certains sont dans le sud pour les vacances de Noël, j’en suis à me demander combien de temps resterons-nous encore ici. Que de l’insatisfaction par rapport au déneigement, par rapport à la cueillette des ordures, face au prix de l’essence, au prix du lait, des fromages, etc. Les gens qui se sont blessés m’ont raconté combien de temps ils ont dû attendre à l’urgence... J’écris un peu, histoire de vider ce trop plein qui me bouleverse. Et puis, il a beaucoup neigé. Je dois encore aller pelleter ce matin. J’y vais aussitôt que j’ai fini d’écrire, car le mercure chute doucement vers le moins vingt-cinq... Ça l’air moins froid écrit qu’en numérique... Isshhh! Quelle année merveilleuse ce fut, 2017! Je reviendrai pour vous faire un bilan de certains points positifs.

Dernier vendredi de travail en 2017!

C’est extraordinaire de pouvoir écrire ce matin! 22 décembre, il fait vraiment froid avec un moins vingt-deux degrés, un petit vent... Vraiment irritant de sortir dehors! Mais c’est aujourd’hui que ça se passe : je ferme mon bureau pour les fêtes, J’ai besoin de repos avant les festivités. Plein de choses à préparer, et aussi à enterrer! Pour tout le monde, l’année qui se termine bientôt aura été marquante de différentes façons. Et, comme à l’habitude, il faut en tirer des leçons. Mettre de côté les énergies négatives, oublier les choses qui nous ont amener vers le côté obscur et continuer d’avancer vers une vie meilleure! Il n’y a pas si longtemps, j’avais hâte de commencer une nouvelle année, remplie d’espoir, une nouvelle aventure commençait! Aujourd’hui je suis toujours aussi optimiste, mais je réalise que je vieillis, qu’il reste moins de jours à ma vie. Alors j’apprécie énormément chaque jour et je prends soin de bien planifier ceux qui restent. Le temps des fêtes! Une période qui se veut pour moi tout en émotions! Le simple fait d’arrêter de travailler me chamboule. Mais de voir autant de gens, de faire des heureux, cela me travaille en dedans, et des fois j’ai des choses cachées qui en profitent pour sortir! Mais je crois que c’est pour mon bien. Ça ne sert à rien de ruminer de vieilles choses, vaut mieux faire la paix avec ces dernières, pour ensuite faire la paix avec soi-même et les autres. Wow! On dirait quasiment que je vais donner la confession à tout le monde! Comme je ne suis  pas prêtre, alors je n’y me risquerai pas. Ouf! C’est bien beau pardonner, ne pas juger, aimer son prochain, il y a des prochains que je vais m’organiser pour ne pas rencontrer! Je pourrais vous donner des noms, mais comme ça ne changerait rien... Bref j’ai hâte d’arrêter un peu. Les changements débutent ce soir, alors que nous accueillerons René Lajoie et sa bande, même ses chiens! On s’en reparle demain pour la suite. Deux chiens de plus dans la maison, que va dire Betty, notre teckel? Bon vendredi!

Ouin....

Je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai l’impression que certaines gens ne sont pas honnêtes dans leur discours, encore moins dans leurs actes! Pourtant, ils ne leur arrivent jamais rien! Même que les citoyens en redemandent! J’ai beau essayé de trouver quelque chose qui fait du bon sens dans les paroles du trou d’eau, je n’y arrive pas! Y a-t-il quelqu’un qui va le sortir de là? Sa place est dans une école de théâtre, où il pourrait exploiter son plein potentiel! Vous sentez-vous en sécurité avec un PM aussi tendre? Je ne suis pas contre le fait d’être «tendre», je suis moi-même une personne très douce, qui préfère discuter ou se replier plutôt que d’attiser un conflit, mais ma foi, il faut faire quelque chose pour remonter la situation de notre province! SI j’étais le PM, je sermonnerais les dirigeants comme couillon et le Maîttrre, pour qu’ils reviennent sur le plancher des vaches. Qu’ils comprennent que la péréquation, ce n’est pas un don du ciel, ni une révélation pour augmenter les dépenses! Je suis outré, voire scandalisé de toute cette écoeuranterie qui se trame! Juste avant les fêtes, alors que la météo nous irrite au plus au point, y aurait-il moyen d’adoucir nos vies? On dirait qu’il n’y a pas de solution, ni à court terme, ni à moyen terme. Comme je l’ai dit récemment, en tant que «X», je ne verrai pas d’améliorations avant mon trépas. Je travaille, avec acharnement, mais aussi avec plaisir, mais j’aimerais qu’il m’en reste un peu des fois! Même mes bons clients veulent m’enlever du profit. Profit déjà assez bas! Alors que mes fournisseurs ne font que monter leurs prix, je me vois facturer moins cher qu’il y a dix ans! Une chance que je me suis réveillé! La nouvelle année sera différente, vous pouvez en être sûr! Et pendant que je me casse la tête pour essayer de trouver des solutions, eux sont dans le sud... Je ne suis pas jaloux, mais je comprends qu’il y a quelque chose d’illogique qui se passe. Depuis septembre, je me creuse les méninges à essayer de comprendre, alors que je devrais continuer mon chemin, en faisant de mon mieux. Le reste viendra. N’empêche, je suis un homme de coeur, et non de chiffres. L’idéée d’aller travailler pour d’autres refait surface, mais elle me pollue l’esprit! Alors on continue! Rock on!!!

On continue!

Hier fut la journée la plus grosse du mois! J’ai travaillé avec acharnement, sans jamais m’arrêter. Je n’ai pas trop pensé au lendemain. Ce matin, j’y pense, mais je le ressens aussi. On dirait qu’on m’a arraché l’épaule gauche, et qu’on me l’a remise en place sans m’en parler!
Mercredi matin, un beau moins 6 degrés. Nous avons eu dix centimètres de neige hier, le temps s’est enfin réchauffé! Mais ce sera de courte durée, car nous y retournons dès ce soir. J’ai déjà une facture de chauffage! Jusqu’à maintenant, la fin de l’automne aura été froid et dispendieux. Mais l’hiver commence officiellement aujourd’hui. J’espère au fond de moi que le froid s’en ira un peu. Dans les prédictions, il semble que non. Mais ce soir, le temps des fêtes commence officiellement avec une sortie au cinéma pour voir le dernier Star Wars. Peu importe ce que j’ai déjà entendu, ainsi que ce que racontent les critiques, ce sera un moment magique! Curieusement, j’ai hâte à Noël; comme un petit enfant, je ressens une sorte de joie, un truc qui veut distiller du bonheur à tout prix! Et c’est merveilleux! Imaginez, des congés en perspective. Les premiers depuis ceux de la construction. J’ai très hâte! Par contre, de voir la face du Maîîttrre un peu partout n’est pas annonceur de bonnes nouvelles. Avec leur délire de tramway, ça sent l’endettement et les problèmes! Bref, je crois que ce sera une nouvelle année où il fera bon de garder ses oeillères, et de se mèler de ses affaires. Tout ceux qui pensent que nous sommes entre bonne mains, ceux qui laissent le temps «arranger» les choses, devraient se réveiller et agir. Si les changements n’arrivent pas bientôt, je crois que je ne serai plus là pour les voir. Vivement un peu de repos, car la fatigue entraîne mon discours vers des contrées dépressives, des pensées desquelles je me suis promis de m’éloigner... On s’en reparle.

On continue!

Ouf! On appelle ça commencer la semaine en grand! Une journée de production suivi d’un 5 à 7 pour la chambre de commerce! On n’arrête jamais! Mais quelle belle soirée! Voir le visage des gens qui ont gagné! C’était la première fois que nous procédions de cette façon; faire les tirages en avance, ensuite inviter les gagnants à une petite soirée pour leur remettre leurs prix. C’était magique. Entre 150$ et 500$ avant Noël, à dépenser. Fantastique! J’ai adoré ça! Mais je suis content de prendre un petit break pour les fêtes, ralentir un peu dans tous les secteurs. Monsieur Gérard Deltell était présent encore une fois. Une personne qui vient souvent nous aider, donner du temps pour les organismes et les gens. Pas seulement dans son bureau ou au Parlement, près des gens. Il en manque beaucoup des comme lui. Des gens qui, peu importe le parti, peu importe la ligne de pensée politique, viennent voir les gens, prendre conscience de ce qui se passe pour vrai. Malgré une fatigue prédominante, je me suis rendu sur place, au QuilloMax de Val-Bélair, pour parler aux gens ainsi qu’aux commerçants. Il faut trouver d’autres moyens d’attirer les gens à nos activités. Trouver une façon de leur donner de l’importance. Leur démontrer que l’association vit grâce à eux! Et nous sommes allés manger un peu au St-Hubert juste après, histoire de calmer les affamés. Très content de ces beaux moments. À bientôt!

L’heure est au bilan.

Comme je le dis à chaque année à mes enfants, une fois Halloween passé, c’est comme un TGV vers Noël! Inutile de dire qu’il nous reste du temps pour faire quoi que ce soit, le temps s’égraine à toute allure et pop! Nous sommes rendus aux temps des fêtes! J’aimerais faire quelques petits bilans. Que nous a rapporté l’année 2017? Bien des choses, mais entre autre, la ré-élection du Maîîttrre, les larmes de Justin, un quatrième Cyclo-Défi, une nouvelle roulotte pour le camping, un nouveau véhicule de travail, une nouvelle imprimante. Je suis là à énumérer, mais j’oublie les 75 ans de mon père! Il va falloir en parler aussi. Chaque année a son lot d’événements. Et à chaque événement, nous apprenons des tas de choses! J’aimerais aussi en faire un de la chambre de commerce. Nous avons eu une très belle année! Et, ma femme et moi, avons vécu aussi des tas d’émotions, aussi enrichissantes que paniquantes. Ah les ados! Mais somme toute, je suis vraiment content d’avoir passé au travers. Je suis content de me sentir bien. Et, depuis quelques années, arrêter une semaine avant la fin de l’année, ça fait du bien! Alors en cette dernière semaine de travail, gardons le cap! C’est merveilleux d’être rendu aussi loin dans l’année! Par contre, il serait bien apprécié d’avoir un peu moins de froid. C’est dur sur la peau, le moral, les véhicules, etc. Demain, il annonce une petite bordée, ça reste à voir. On s’en reparle!

Petit constat dominical

Je ne veux pas me plaindre, mais le froid continue de nous harasser. Nous avons eu un certain temps plus doux, bon pour une tempête! Mais ce froid coûte cher, est dur sur l’humain et écœure tout le monde! Ma seule consolation, ça va finir par passer. Par contre, le Maîîttrre a été réélu et il est en préparation pour sa tournée de rock star. Excité par le montant faramineux de la péréquation, contrairement à nous, il est loin d’avoir honte. Malheureusement il fait partie de cette catégorie de gens qui salivent devant des subventions. Pour lui, le projet n’est pas important, c’est de têter de l’argent qui l’est! Et je connais des tas de gens qui sont ainsi faits. Pourquoi suis-je quelqu’un d’indépendant? Quand j’allais aux études, j’étais scandalisé de voir qu’autaour de moi, ces gens qui s’exprimaient avec un pinceau, une spatule, de l’argile. Ces gens que je pensais comme moi. Ma surprise fut aussi grande que ma déception. Cherchant désespérément à m’identifier, me sentir bien avec des gens qui me ressemblent, j’ai cheminé parmi ces gens qui, étaient en majorité de communistes. Ou des socialistes endurcis, pour lesquels la société se devait de «payer» pour le fruit de leur travail. Étrangement, j’ai eu mal au cœur, je me suis presqu’éteint, étouffé dans ce marasme qui envahissait l’air ambiant. Je me disais, qu’ont-ils tous? Ils se croient à la cour du roi, ou la royauté les supportera toute leur vie? Au nom de la culture? Beurk!! Et je me suis refermé sur moi-même comme une huître! Malheureusement les choses ne se sont pas améliorées! Je crois qu’elles se sont rempirées. Mais je ne veux pas dramatiser, car ce sont ces gens qui expriment beaucoup de malaises dans notre société. Mais à quoi s’exprimer si rien ne change? C’est là que je m’opposais. Par mon expression, je pensais réussir à changer quelque chose! Aujourd’hui, ayant un enfant avec des troubles du spectre de l’autisme, et un autre transgenre, je comprends que les choses ne peuvent être changées par la simple expression. Ce ne sont pas des oeuvres au pastel, à l’acrylique, à l’huile ou encore des moulages en bronze qui vont faire changer quoi que ce soit. Ce ne sont pas non plus les chansons poches, créées par nos subventions qui le feront! Quand j’écoute les textes de certains, à part que je constate qu’ils consomment sûrement des substances qui les font voyager dans un monde paralèlle au nôtre, je n’arrive pas comprendre ce qu’ils veulent nous dire. Alors comment fait-on pour changer quoi que ce soit?

Délire du vendredi.

Ce matin, je me sens un peu perplexe par rapport à la somme d’ouvrage que j’ai à pondre aujourd’hui. Il va falloir y aller par priorités. Pourtant je n’ai pas chômé cette semaine. Et puis, il faut que je sois prêt pour mardi. Alors je me calme le ponpon, et je fais de mon mieux. Voilà! D’ailleurs, je suis déjà pas mal avancé, mais comme le décompte se poursuit, l’Égrainement du temps me tiraille... Encore une autre journée étrange. Je vais porter mon épouse au travail. Et je retournerai la chercher ce soir, à la fin de son party. Hier, je suis allé chercher mon père à l’aéroport. Une heure d’attente dans l’auto. Chaque journée a eu son lot de choses pour me ralentir. Sans compter tout le temps que la tempête m’a pris. Heureusement qu’il y a une autre semaine avant Noël! Branle bas de combat ce matin, préparatifs féminins qui s’étirent. J’arrive à peine à me concentrer. Mais je vais y arriver, j’ai toute la vie pour écrire! N’empêche, j’aurais aimé parler de la cryto-monnaie, du pot et aussi du Maîîttrre. Mais quand tu te lèves à 4:45 pour être à l’aise, ne pas être pressé, pis que ça bouge tellement autour de toi que tu te dis que tu aurais dû te lever un peu plus tôt... Ishh!! Mais j’y reviendrai. À plus!

On lâche pas!

Ouf! Souper très agréable hier soir avec les membres du CA! Après s’être relevé d’une tempête monumentesque, l’énergie manquait. Imaginez, 36 centimètres de neige! Probablement la plus grosse tempête que nous aurons cet hiver. Un vrai délire! Alors que certains continuent de parler de réchauffement, en quarante ans, mon observation me conduit à une autre analyse : un refroidissement progressif. Une chose est sûre, il y a des changements. Autant le début de l’automne fut beau, on pourra dire que la fin est très difficile et froide. Dans mon blitz de fin d’année, cette journée fut très dure physiquement. Et, ayant une voiture de plus, celle de mon père, tout devient plus lent; logistique de déplacement des véhicules, entretien des garages de toile, une chance que nous payons un déneigeur! Mais finir la journée au Cercle de la Garnison, avec une petite réunion, suivi d’un souper, ça fait du bien! Un peu fatigué ce matin, mais heureux! On s’en reparle après avoir démarrer cette journée!

Quel matin!

Wow! Trente-six centimètres de tomber au sol. Hier matin, l’entrée était sur l’asphalte! J’ai déjà une heure de déneigement de fait! Pourtant, on dirait que je n’ai rien de fait. Le déneigeur fait un travail extraordinaire, mais je dois vider mes deux garages, le patio et le SPA. Et je commence à faire une trail pour se rendre au feu, Jack Fest oblige. Ce sera une journée remarquable, à cause du déneigement, je dois aller chercher mon père à l’aéroport et ce soir, j’ai mon souper des fêtes avec la chambre de commerce. Faudrait quand même que je réussisse à travailler un peu pour LADO Lettrage. Je vais faire de mon mieux en tous cas. Les écoles sont ouvertes, il y a un peu de protestation au niveau des enfants, mais au moins, on voit bien dehors! Il neige encore, mais c’est minime! Alors je vais aller continuer ma journée. À plus!

On court!

Le temps passe toujours plus vite quand on «rush» pour terminer nos choses avant Noël! Cette année n’y fera pas exception. Alerte de tempête «hivernale» ce matin. Il fait moins treize. Hier soir, je suis allé chercher un bain en acrylique pour pouvoir le wrapper. À moins seize, c’était très désagréable. Mais j’aurai sûrement le temps de l’envelopper cette semaine. Donc peut-être 20 à 30 cm attendus aujourd’hui. Pour l’instant, c’est le calme plat. Au moins la température se réchauffe. Pas les gros chars... Nos politicos s’enlignent pour fermer ça de bonne heure. J’aurais aimé ça en faire autant, mais j’ai des choses à finir et aussi un besoin de facturer! Pas de factures, pas d’argent! Hier, je suis allé, en tant que président, procéder au tirage des gagnants du concours «Achat Local» cinquième édition. Le plus petit prix, 250$ à dépenser chez un des marchands participants. Toutes nos épiceries participaient! 250$ d’épicerie avant Noël... c’est génial! Et la semaine prochaine, nous avons un 5 à 7 au Quillomax, pour remettre les prix aux gagnants! Ce sera une belle soirée! Et demain soir, nous les gens du comité administratif, allons souper au Cercle de la garnison, histoire de finir l’année en beauté! J’aimerais faire un bilan personnel d’une autre année en tant que président de la chambre de commerce. Je devrais réussir à trouver le temps. Pour tout de suite, continuons notre bon travail et gardons le sourire! Pas si facile quand on regarde la carte du Canada, qui nous fait la description de la répartition de la péréquation... On s’en reparle!

Lundi matin.

Avec cette nouvelle interface, on dirait que je suis revenu en arrière! Du temps ou j’écrivais dans le navigateur. QUand même bizarre. Chaque fois qu’on change de système d’exploitation, il faut s’attendre à des changements. Mais pour ce qui est de sauvegarder, le logiciel le fait vraiment souvent. Moins de soucis à se faire. Après une fin de semaine très remplie, il est toujours étrange de se dire que c’est le temps de retourner travailler. Comme si, du fait que la fin de semaine fut tellement occupée, on n’a pas vu le temps passé, ni le repos! Mais c’est aussi les préparatifs pour le temps des fêtes. Onze décembre, les partys de bureau se font légion. Même le mien est cette semaine, celui de mon épouse aussi. Et puis, avec le froid et la neige qu’il annonce cette semaine, ça va nous rapprocher de l’hiver. Pour ma part il peut neiger énormément, mais le froid, je déteste vraiment. Car plus les années passent, plus le froid me coûte cher. L’électricité et l’huile à chauffage ne baissent pas tellement prix. Par contre, l’huile à chauffage se maintient un peu plus que le prix du litre de diesel. N’empêche que c’est toujours trop cher. Pour des biens essentiels, sur lesquels nous avons bâti notre société, il pourrait y avoir un peu moins de saisie de la part des gouvernements. En plus d’être dispendieux, il faut aussi ajouter les sempiternelles taxes. Un mots qui irrite chaque fois qu’on l’entend. Même si, comme travailleur autonome, je peux en réclamer une partie, il faut quand même que je les paie à la caisse! Jusqu’où serons-nous capables de continuer? Cette folle escalade des prix au détail rapporte toujours plus au gouvernement. Je ne sais pas à quel point les gens s’en rendent compte. Quand on regarde les tables d’imposition, on voit très bien où la moyenne de salaire se situe. On voit aussi que rien n’est juste. Les gens s’amusent à crier qu’il faut faire payer les plus riches, alors que ce sont eux qui paient déjà beaucoup plus! Je veux prendre le temps de faire un comparatif, soit de faire un autre tableau, avec un pourcentage égal pour tout le monde. Je veux savoir si ma théorie est viable. À quoi bon élaborer des théories sans jamais avoir de preuves! Ça c’est un début de semaine! Maintenant, retournons à la vraie vie, si on veut payer nos taxes!

Enfin vendredi

Encore un peu de neige ce matin! À entendre les gens de MétéoMédia, ils ont hâte à leur manteau blanc. Ici, malgré toute la pluie qui est tombée, il restait encore un fond blanc, Et là, nous avons assez de neige pour trouver ça beau pour Noël. Ça pourrait s’arrêter là. Mais ce n’est pas ce genre de choses qui m’inquiète, c’est plutôt jusqu’où ira notre gouvernent pour nous soutirer encore de l’argent. Alors que les gens sont écrasés sous les dettes, nos dirigeants en ont rien à foutre. Perchés dans leur tour d’ivoire, isolés de la vraie vie, ils n’ont que faire de leur citoyens, ceux qui paient leur vie... Une démocratie, ce n’est pas une royauté! Une démocratie, ce n’est pas un dictature! Un petit break de temps en temps, histoire de redonner un sourire aux gens. Partout où je vais, les gens sont à bout de souffle. Ils courent sans arrêt, semblent avoir oublier qu’ils sont humains! Aveuglés par une sorte d’objectif fantôme, ils sont agressifs, intolérants et surtout irrespectueux. Je sais que la mémoire collective oublie assez vite, mais je sais aussi que les médias réussissent encore à diriger la pensée populaire. Pourtant, dans la vrais vie, au quotidien, y a-t-il quelqu’un qui aime être dans le trafic? Y a-t-il quelqu’un qui aime gaspiller de l’électricité, ou de l’eau? Y a-t-il des gens qui paient toutes les dépenses rattachées au fait d’avoir une voiture, s’ils n’en ont pas besoin? Chaque jour, les médias «courants» nous traitent d’imbéciles, nous prennent pour des tarés, et, j’ai tellement hâte qu’ils en reviennent, ils parlent contre les autres! Moi j’ai été élevé avec la mentalité suivante : N’essaie pas de caler les autres pour te remonter! À nous d’être les meilleurs! À nous de faire notre vie! Parlant de vie, nous sommes vendredi! Alors amusez-vous!

Suivre le courant

Premier matin avec mon nouvel iPad. Mon autre avait célébré ses cinq années de loyaux services! Mais changer pour un neuf ne me convenait pas nécessairement. Le dernier modèle est plus petit, et il ne s’attache pas à mon clavier rigide. Donc j’ai dû penser à une autre stratégie. Aussi, en changeant d’appareil, je changeais de système; certains de mes logiciels ne peuvent plus fonctionner. Dont celui pour écrire sur ce blogue. Je vais m’ajuster. Une chose est sûre, c’est pour le mieux. Hier, j’ai entamé une discussion avec ma sœur concernant les récents événements. Ce fut un discours qui allait pas mal en sens unique. Je n’ai que de la tristesse et je n’arrive pas à comprendre. Ensuite, mon père venait coucher un peu avec Nicole, avant de partir dans le sud. Je suis allé les porter à l’aéroport pour 3:00. Quelle nuit courte! En plus que le chien ne m’a pas tellement épargné avec ses inquiétudes! Il s’est promené beaucoup, il a cillé une bonne partie de la nuit et a réussi à déranger aussi les enfants. Il y a pire, mais bon. Plus je vieillis, plus j’apprécie mes heures de sommeil. Je me sens comme si on venait de changer d’heure. Pourtant, c’était il y a un mois. Pas grave, je vais m’en remettre de ça aussi! Ce soir, soir de commissions, je dois penser à ce qui manque dans l’épicerie. Et demain, ma chérie revient enfin! Alors il me reste à faire ma journée! À plus!

C'est comme ça!

C'est ce matin que c'est arrivé. En sauvegardant mon texte, mon blogue s'est «déconnecté». Alors j'ai perdu tout mon texte. Cela arrive au moins une fois par année. C'est le genre de chose qui me fait hésiter avant de mettre ma comptabilité en ligne. C'est correct de demander le mot de passe de temps en temps, mais ce serait mieux au moment où j'ouvre l'application. Ou quelque part dans la journée. Car perdre mon texte ne m'enchante jamais. Je ne parlais que de météo, mais cela me garde des référence pour les années à venir. Et puis, écrire, c'est comme étendre sa mémoire. Le même principe qu'un disque dur externe. Quand ton cerveau est fatigué, ce qui est écrit reste écrit. Depuis la première commotion, ma mémoire courte en a pris un coup. Je me demande comment les joueurs de football font pour finir leur vie. Il n'y a rien de facile là-dedans. En ce matin «trempé», maintenant que la pluie s'est arrêtée, difficile d'accepter que le froid va revenir. Froid égal coût de chauffage. Dépense inévitable! Ce serait plus facile à accepter si nos dirigeants nous aidaient un peu. Comme en mettant de l'abrasif dans la rue qui nous sert de patinoire ce matin. En faisant respecter les réglements de stationnement dans notre rue. Juste ça, nous faciliterait l'hiver. Une rue déneigée tout croche n'a rien de plaisant. Bon, je dois y aller, je sens que je vais gâcher mon sourire, à plus!

Bon matin!

Petite neige ce matin, alors qu'on annonce 25 à 30 millimètres de pluie à compter de ce midi. Difficile à croire. J'aurais aimé mieux un peu de soleil. Facile à dire, peut-être, mais c'est ce qui est le plus important dans une journée. Dire ça devant mes enfants, ils trouveraient que je suis vraiment étrange. Pourtant, nous les avons «commencé» dehors, avec nous. Mais à l'adolescence, il n'y avait plus rien à faire. À quoi ça sert d'aller dehors? Le soleil, ce n'est pas bon pour la peau. Y a rien à faire dehors! Et ainsi de suite. Alors nous avons abandonné. Dans notre vie complètement débile, trop vite pour nos coeurs, il faut faire des choix. Et, parmi toutes les étapes qui constituent l'enfance et l'adolescence de nos enfants, les forcer à aller jouer dehors n'en fait plus partie. Pourtant, nos mères devaient nous forcer à rentrer! Les choses ont bien changé. Encore hier, je me suis permis de poser du lettrage dans les vitres d'un véhicule, dehors! Bin oui! Quand j'ai la chance, je sors dehors, respirer le grand air! Pas celui que j'ai vu dans BladeRunner! Et j'ai l'impression d'être libre. Ce n'est qu'une impression, mais combien réconfortante! Alors je dois me parler un peu quand le temps se gâte. La pluie, la neige, le froid, le verglas, sont des classiques de notre climat. Il faut faire avec. Donc je souris à la vie et j'essaie de partager mon sourire avec tout le monde. En commençant par mes enfants! Alors quand la grisaille s'installe, pensez un peu à vous, souriez et profitez-en pour faire des choses que vous remettez souvent parce que le temps passe trop vite! À plus!

Go for it!

Ça y est, il nous reste trois semaines de travail avant Noël. Ça va torcher! EN espérant que tous auront le temps de bien se préparer! J'ai surtout hâte d'arrêter un peu. J'ai installé la couronne de Noël sur la maison. DOnc le décompte est commencé. Il faudra être plus prudent sur les routes le soir, partys de bureau obligent. Car il se peut que certains soient fatigués outre mesure, qu'ils prennent des chances. Il n'y a aucune chance à prendre quand on prend le volant. Je sais de quoi je parle. EN 1993, j'ai passé échoué un test d'ivressomètre. À coup sûr, le permis est révoqué. Amende, frais pendant un an pour compenser le fait que de ne pas pouvoir conduire, etc. Mais ce n'est que la partie douce. Si ce n'est que ça, au moins la leçon est aupposée d'être apprise. Par contre, le danger de «s'impliquer» dans quelque chose de plus grave une fois au volant, c'est quelque chose de bien pire. Alors il n'y a pas de chance à prendre. Ce n'est pas comme acheter un billet à la lotterie. Ce billet, au pire, ne sera pas gagnant. Par contre, prendre le volant avec les facultés affaiblies, c'est autre chose. À l'instant où vous êtes au volant dans ces conditions, vous êtes en tort. Alors tout ce que vous faites peut être retenu contre vous. Et nul ne peut se soustraire à la loi. C'est ainsi. Même dans notre pays plein de droits! C'est juste que certains croient que cela nous absout de tout... Ce qui est loin de la réalité. Ça ne sert à rien de repousser la portée de vos actes, un jour ou l'autre, il faudra affronter le jugement dernier. Ouch! Qu'est-ce que je viens de dire? À l'approche de Noël, aussi bien parler d'autre chose. Donc il faut redoubler d'ardeur pour ces trois semaines. Sans oublier de s'amuser un peu! Bonne semaine.

Premier bilan.

Effectivement, l'heure est au bilan annuel. Commençons par les améliorations apportées à mon travail. En début d'année, après plus de deux ans de réflexion, de recherche, j'ai choisi l'imprimante qui allait remplacer ma vénérable Roland VersaCamm qui se rapprochait très rapidement de ses dix années de vie. J'ai opté pour une autre VersaCamm, une 540VSi. Le passage de 30 pouces d'impression à 54 pouces s'est très bien fait. D'une pensée logique et d'une vision à long terme, je voulais m'acheter une autre imprimante de 30 pouces. Pas besoin de changer ma lamineuse, pas vraiment de changement non plus dans mon aménagement de bureau. Des choses qui souvent, sont accompagnées de surprises, rallongeant le processus d'évolution. Mais une offre s'est présentée à moi. J'ai embarqué dans le jeu. Une imprimante de deux ans, qui serait remise à neuf. Dix mille dollars de moins à l'achat, un an de garantie en moins. Après dix mois d'utilisation, je dois admettre que j'adore cette machine. Et je gagne du temps en imprimant plus large; je gagne aussi du temps en n'étant pas obligé de magasiner du vinyle en 30 pouces. Chose qui devient de plus en plus rare. Pas vraiment plus grande que la précédente, aussi facile à opérer, avec un entretien aussi minime, elle me convient très bien. Pas mal de sous, mais amortie dans ma marge de crédit commerciale. Et qui m'oblige à changer ma lamineuse? Mais je n'étais pas sorti de cette réflexion qu'une autre venait me hanter: que faire avec mon véhicule actuel de travail. Vieillissant, de moins en moins fiable, la rouille qui commençait vraiment à faire du tort un peu partout (malgré ma continuelle volonté à le protéger de ce fléau) mon gros huit cylindres commençait à battre de l'aile. Sans compter qu'il m'a coûté pas mal de sous en réparations de toutes sortes. Bref, il fallait que je fasse quelque chose. Donc J'ai commencé à étudier le marché et mes besoins. Besoins qui ont changés, à commencer par l'inutilité d'avoir un véhicule pour tracter notre roulotte. Après une deuxième année stationnaire, je dois avouer que j'y ai pris goût. Donc plus besoin de ce gros dinosaure. Ensuite, qui a besoin d'un habitacle en cuir, d'un cinéma intégré, d'autant de luxe, de place assise pour sept passagers? Que de trouble quand le but premier du véhicule est d'aller du point À au point B, avec un certain équipement de travail. Équipement très léger, parfois de grande dimension. Donc il me fallait une sorte de fourgon, économique à la pompe, pas trop grand (se stationner avec mon Armada a toujours été une sinécure), facile à envelopper, fiable et qui ne rouille pas! Après dix mois de réflexion, autant financièrement qu'au niveau pratique, j'ai finalement changé de véhicule. Choisir lequel fut le plus simple. Ensuite, neuf ou usagé? Comme pour l'imprimante, un «deal» passait sur un modèle usagé. Dix mille dollars de moins, mais cinq ans de garantie, dix ans d'antirouille, bref, il me fallait sauter sur l'occasion. Après un mois de vie commune en travaillant, force est d'admettre que je ne me suis pas encore ennuyé de l'autre. Et mes craintes de «refiler» un véhicule aussi vétuste furent anéanties par le fait qu'il est parti à l'encan immédiatement après ma visite chez le concessionnaire! À suivre!

Je devrais faire un bilan.

Enfin vendredi! Premier décembre! Je m'en tire pas si mal. Un peu trop de rendez-vous, mais au moins pas trop de choses repoussées la semaine prochaine. Après une semaine où la météo fut très bizarre avec ses hauts et ses bas, nous avons au moins cinq centimètres au sol ce matin, moins un degré, ce sera, je crois, une belle journée. À force d'en faire un peu chaque jour, on finit par y arriver! Je pensais aux larmes du trou d'eau, et je me disais, s'il fallait que la nation soit rassurée devant un événement dramatique comme la tuerie au Parlement d'Ottawa, qui devra rassurer les citoyens? Je préfère changer de sujet. Car le dernier mois, novembre, fut tellement rempli que je ne l'ai pas vu passer! J'ai été passablement secoué par le tribunal populaire; alimenté par les médias, une sorte de pendaison communautaire s'est effectuée. C'est bien triste. J'espère que ceux qui sont punis par ces révélations auront appris quelque chose. J'ai aussi beaucoup travaillé. Je dois remercier la vie et Dieu tous les jours pour ces belles journées, passées à parfaire mon métier. Il est plus «facile» d'en faire autant quand on aime ça. Tant d'années à me demander où je m'en allais... À ne pas sentir d'appel... Pourtant aujourd'hui c'est clair que je fais quelque chose que j'aime. Chaque journée me donne le goût de m'améliorer, d'être plus. Et puis, nous sommes vendredi! Y a rien comme un vendredi. Même si on reste pris dans le trafic, même si on se trompe dans nos mesures, même si la char brise! Vendredi, c'est comme un signal, une «cloche» qui s'apprête à sonner. Et quand elle sonnera, ce sera l'heure de se reposer un peu. Mais novembre un mois très occupé, avec peu de soleil, les batteries ont mangé un bon coup. Il reste encore décembre, janvier et février! Ça va prendre un chargeur pour prendre le relais de Galarneau. Décembre! Trois semaines complètes de travail avant Noël. Un blitz incroyable. Mais tout ferme le 22 au soir. J'en aurai assez fait. On s'en reparle!