dimanche 3 décembre 2017

Premier bilan.

Effectivement, l'heure est au bilan annuel. Commençons par les améliorations apportées à mon travail. En début d'année, après plus de deux ans de réflexion, de recherche, j'ai choisi l'imprimante qui allait remplacer ma vénérable Roland VersaCamm qui se rapprochait très rapidement de ses dix années de vie. J'ai opté pour une autre VersaCamm, une 540VSi. Le passage de 30 pouces d'impression à 54 pouces s'est très bien fait. D'une pensée logique et d'une vision à long terme, je voulais m'acheter une autre imprimante de 30 pouces. Pas besoin de changer ma lamineuse, pas vraiment de changement non plus dans mon aménagement de bureau. Des choses qui souvent, sont accompagnées de surprises, rallongeant le processus d'évolution. Mais une offre s'est présentée à moi. J'ai embarqué dans le jeu. Une imprimante de deux ans, qui serait remise à neuf. Dix mille dollars de moins à l'achat, un an de garantie en moins. Après dix mois d'utilisation, je dois admettre que j'adore cette machine. Et je gagne du temps en imprimant plus large; je gagne aussi du temps en n'étant pas obligé de magasiner du vinyle en 30 pouces. Chose qui devient de plus en plus rare. Pas vraiment plus grande que la précédente, aussi facile à opérer, avec un entretien aussi minime, elle me convient très bien. Pas mal de sous, mais amortie dans ma marge de crédit commerciale. Et qui m'oblige à changer ma lamineuse? Mais je n'étais pas sorti de cette réflexion qu'une autre venait me hanter: que faire avec mon véhicule actuel de travail. Vieillissant, de moins en moins fiable, la rouille qui commençait vraiment à faire du tort un peu partout (malgré ma continuelle volonté à le protéger de ce fléau) mon gros huit cylindres commençait à battre de l'aile. Sans compter qu'il m'a coûté pas mal de sous en réparations de toutes sortes. Bref, il fallait que je fasse quelque chose. Donc J'ai commencé à étudier le marché et mes besoins. Besoins qui ont changés, à commencer par l'inutilité d'avoir un véhicule pour tracter notre roulotte. Après une deuxième année stationnaire, je dois avouer que j'y ai pris goût. Donc plus besoin de ce gros dinosaure. Ensuite, qui a besoin d'un habitacle en cuir, d'un cinéma intégré, d'autant de luxe, de place assise pour sept passagers? Que de trouble quand le but premier du véhicule est d'aller du point À au point B, avec un certain équipement de travail. Équipement très léger, parfois de grande dimension. Donc il me fallait une sorte de fourgon, économique à la pompe, pas trop grand (se stationner avec mon Armada a toujours été une sinécure), facile à envelopper, fiable et qui ne rouille pas! Après dix mois de réflexion, autant financièrement qu'au niveau pratique, j'ai finalement changé de véhicule. Choisir lequel fut le plus simple. Ensuite, neuf ou usagé? Comme pour l'imprimante, un «deal» passait sur un modèle usagé. Dix mille dollars de moins, mais cinq ans de garantie, dix ans d'antirouille, bref, il me fallait sauter sur l'occasion. Après un mois de vie commune en travaillant, force est d'admettre que je ne me suis pas encore ennuyé de l'autre. Et mes craintes de «refiler» un véhicule aussi vétuste furent anéanties par le fait qu'il est parti à l'encan immédiatement après ma visite chez le concessionnaire! À suivre!

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...