vendredi 29 septembre 2017

Vendredi matin frisquet.

Issh! Ici au Québec, 21 degrés mardi matin à 5:00 et 4 degrés ce matin à la même, même heure! C'est dur sur le système! Parlant de système, il faut être fait fort pour continuer de demeurer ici. Les médias nous racontent n'importe quoi, nos dirigeants aussi. Quand on circule dans nos rues, c'est toujours n'importe quoi! Si vous avez le bonheur d'aller à une de nos urgences, vous comprendrez pourquoi on appelle les gens qui sont hospitalisés des patients! Et si vous allez magasiner quelque part, vous comprendrez pourquoi les québécois ont de la difficulté à quitter leur province pour aller «vivre» ailleurs! Ils ne sont pas si attachés à leur milieu, mais ils ne leur restent jamais assez d'argent pour agir en ce sens! Quand je vois que le Maîîttrre annonce la réalisation de nouveaux parcs, je me demande si c'est pour notre avenir...Comme itinérants! Ouin, c'est bizarre tout ça! Il faut faire avec à défaut d'avoir mieux. Mais il faut aussi fabriquer son bonheur au quotidien, jour après jour, car personne ne le fera à votre place. C'est dans les petites choses qu'on est heureux et c'est en vivant plusieurs petites chose qu'on peut vivre un grand bonheur! C'est vendredi, assurez-vous d'être heureux ce soir!

jeudi 28 septembre 2017

En alerte.

Eh bien! Nous sommes vraiment au Québec! Onze degrés ce matin avec un vent tellement frais! Oui ça ressemble plus à nos normales saisonnières, mais c'est quand même tout un contraste! On dirait bien que ce sera une journée fraîche! Pendant ce temps, nos élus se garochent la balle, histoire de savoir qui aura sa face dans le journal. Étrangement, je me demande en quoi cela peut-il aider les gens? Et puis, plus je lis le programme électoral du Maîîttrre, plus je demande sur quelle planète il vit. Que de projets, que des dépenses, mais qu'en est-il des problèmes actuels? Qu'en est-il du probléme des taxes foncières? En augmentant la valeur des propriétés, il en a profité pour augmenter les taxes, en soutenant qu'il ne monteraient pas plus que l'inflation! En réalité, c'est une véritable supercherie! En prétendant aussi, que son «poids» politique est important face à Montréal... N'importe quoi! Je suis déçu de voir ce délire de dépenses. Alors que nous payons déjà beaucoup trop partout, personne, parmi les élus d'en haut ne regarde à la dépense! Que nous reste-t-il comme porte de sortie? Comment faire pour tirer notre épingle de ce jeu? Il a fait vieillir la ville en voulant la densifier, mais il dit que ces projets sont pour les jeunes. Quels jeunes? Ils sont tous en périphérie! Personne ne veut élever ses enfants en pleine ville! À surveiller de près!

mercredi 27 septembre 2017

À discuter!

Bon matin! Quel contraste ce matin avec un quatorze degrés. Très confortable en vélo. Les pancartes du Maîîttrre commencent à pousser énormément! Heureusement, ce n'est pas demain qu'on vote. Mais il a commencé à saupoudrer des promesses ici et là. Est-il en train de fabriquer son programme électoral? Va-t-il nous arriver avec un projet surprise en pleine campagne? Pour l'instant il s'intéresse toujours à son projet de «moyen de transport structurant» pour utiliser ses propres mots. Qu'est-ce que ça veut dire au juste? Il faudrait lui demander! Il semble décidé à ne pas vouloir de débat, à faire sa campagne comme s'il n'avait aucun opposant! Pourtant ils sont bien là! J'en ai rencontré deux. L'une est vraiment prête, avec certains arguments, l'autre m'a semblé plus réservé, mais ils existent! Pourquoi avoir donné une entrevue aux médias de Montréal? Pourquoi ignorer les autres candidats? N'est-ce pas sain d'avoir de la compétition? Les commerçants sont étouffés par les taxes, y a-t-il quelqu'un qui propose une solution à ça? On dirait qu'il n'y a de la place que pour des mégas projets! Pourquoi ne pas régler les vrais problèmes en premier? Qu'est-ce qui presse encore à dépenser? Des pressions de la part de certains lobbys? Mais la population, les gens qui habitent la ville et ses arrondissements? Que doit-on penser? Voter pour contrer le plus fort, ça ne donne pas grand chose! Je suis encore une fois perplexe par rapport à ce qui se trame au niveau municipal. Je suis dû pour une bonne conversation, un échange d'opinions! Un troisième lien ouvrirait  la porte à un remaniement complet de la circulation. Mais ce serait pour le mieux. En discutant avec un ami hier soir, j'ai constaté qu'il déménage à cause du temps qu'il perd sur la route! Pourtant, il habite à St-Nicolas, et il déménage à Lévis! Pour lui, le trafic des ponts est une entrave majeure. Il est «prisonnier» de ceux qui veulent traverser les ponts. Difficile de s'imaginer mal pris, alors qu'on n'a même pas vingt kilomètres à faire pour se rendre au travail, et ce, sans traverser les ponts! Le matin, quand je veux traverser pour aller chez des clients, je n'ai d'autres choix que de le faire avant 7:00 ou après 8:45. Sinon je perds mon temps au volant. Imaginez s'il y a un accrochage sur Henri IV ou à l'entrée des ponts... J'utilise les ponts depuis plus de 18 ans, et je peux vous dire que la situation ne fait que s'aggraver. Il faut des solutions rapides, économiques et bonnes pour quelques années. Qu'on se le dise!

mardi 26 septembre 2017

Bon matin!

Wow! Quel magnifique matin! 20 degrés pour pédaler à 5:00! Le matin le plus chaud de 2017! Incroyable! Certains chiaulent qu'il fait trop chaud et d'autres sont heureux de ce beau temps tardif. Une chose est sûre, je trouve ça exceptionnel et merveilleux. Pourquoi ne pas en profiter? C'est la troisième semaine où nous avons droit à des températures dignes de l'été pas tellement chaud qui vient de se terminer. Non pas qu'il fut pas terrible, mais j'aurais pris un peu plus de chaleur, moins d'humidité. On ne peut pas vraiment trouver à redire, car nous n'y pouvons rien. Et puis, le plus comique dans cette balade de vélo, c'est que j'ai rencontré quelqu'un avec qui j'ai discuté! Jamais je ne rencontre des gens pour discuter, à cinq heure le matin, surtout en pleine noirceur! C'était Richard qui installait des pancartes d'élections! Épatant! Je me dis que la vie nous en apprend tous les jours! J'ai une grosse journée devant moi, comme c'est souvent le cas, et, j'espère pouvoir profiter encore un peu de ce beau temps! Moi je ne suis jamais pressé de passer au temps froid et ses précipitations! J'aspire plutôt à faire de mon mieux pour mes préparatifs de saison. Mais pour l'instant, profitons du reste de camping que la vie nous offre. À plus!

lundi 25 septembre 2017

On repart!

Quelle température extraordinaire nous avons depuis 2 semaines. Ce beau temps est le bienvenu! Je ne sais pas quoi dire d'autre que merci. Aucune pluie, des nuits fraîches un peu, mais depuis deux jours, même les nuits sont plus chaudes. Soudain, une averse! À 5:50, il se met à pleuvoir! Content de ne pas avoir reçu ça pendant que je pédalais! Samedi, nous recevions des amis pour la fête à Joanne. Que du beau temps, que des bons moments! Ça fait chaud au coeur de se sentir aimé. Et, le beau temps aide à survivre à la campagne électorale qui commence! Ce sont des périodes d'énergies compliquées. Mais je dois avouer que de passer des fins de semaine entières au camping permet de déconnecter de la vie, faire le vide par rapport au quotidien. Et hier soir, après un souper en bonne compagnie d'Alain et Ginette, le moment de se coucher est arrivé très vite. Une nuit très chaude, pendant laquelle je me suis réveillé très souvent. Mais je me suis rendormi tout le temps. Ce matin, en vélo, j'avais beaucoup d'énergie. La semaine commencera sur les chapeaux de roues, et elle sera intense! Avec le beau temps qui perdure, je ne demande qu'à être heureux et continuer comme ça. Bonne semaine.

vendredi 22 septembre 2017

Vendredi

Comment ça va? Nous sommes enfin vendredi! Après quatre jours de travail, je sens que j'ai bien travaillé. Mais j'ai dû composer avec bien des imprévus. Et, comme tous les vendredis depuis mon retour des vacances, je dois remettre plein de choses à la semaine prochaine. Suivant le cour de ma semaine, je vais avoir une bonne journée. Une journée remplie, alors que je voudrais être en vacances. Pourquoi est-ce que j'ai gardé ce sentiment? Un sentiment de vouloir me reposer. Je regarde les pancartes d'élections et je comprends que ce sera une autre période un peu molle en énergies positives. Pourtant nous venons de vivre un deux semaines de beau temps incroyable. De l'énergie pour en revendre, mais les ondes au plus bas. Questionnement en rapport avec l'économie. Une sorte de deuil par rapport aux choix de ma plus jeune. Et beaucoup d'activités qui s'en viennent dans le prochain mois. Je crois que je devrais être plus heureux. Mais récemment, j'ai dû composer aussi avec l'attitude de certaines personnes qui ont, je crois, testé mes limites. Bref j'espère que tout ira bien. Vraiment trop de monde debout ici ce matin, je n'arrive pas à me concentrer. J'ai besoin de ce temps d'arrêt pour débuter la journée, pour centrer mes idées. Étrangement, je me rends compte que je vieillis et que j'ai tendance à ronchonner lorsque les choses vont trop vite pour moi. Plus le temps passe, plus j'aimerais que ce soit simple, plus simple. Moins de responsabilités, moins de moments stressés avec un horaire et des délais à respecter! Donc nous sommes vendredi, il est important d'adopter une attitude joyeuse et répandre autour de soi une ambiance légère! À plus!

jeudi 21 septembre 2017

Patience...

Septembre se sauve et, j'ai l'impression que le temps me glisse entre les doigts. J'ai beau être attentif, Je ne comprends pas ce qui cloche. Il me manque des bouts. Je travaille beaucoup, j'ai hâte d'être en congé et je sens en moi l'automne s'installer. Oui c'est beau l'automne, mais c'est aussi beaucoup de préparation pour la saison suivante. Et puis, avec tous les événements qui arrivent, ça fait bien des choses à planifier! Ce samedi, c'est l'anniversaire de ma douce moitié. Le 17 octobre, ce sont les 18 ans de ma plus vieille. Le 21 octobre, nous allons célébrer les 75 ans de mon père. Et puis il y a les garages à monter, les arbres à abrier, les châssis à laver, les feuilles à ramasser. Il faut aussi hiverniser la roulotte, fermer le terrain pour un temps. Ce sera autre chose. Je ressens les choses différemment depuis un temps; on dirait que j'ai fermé mon esprit à cause des soucis que j'ai. Je n'arrive pas à me concentrer sur une solution. Tout va trop vite, et, on dirait que je ralentis. Je ne le dirai pas trop fort, car je n'en suis pas sûr. Peut-être que j'en fais trop. Mais je réussis à voir du beau, du bon, dans tout ce brouhaha. Nous arrivons aussi dans une période électorale, où nous aurons droit, au niveau municipal, à une performance de rock star avec le Maîîttrre ! Bien sûr, je vais m'abstenir un peu! Mais ce sont des énergies que je n'aime pas beaucoup gérer. On dirait que les gens oublient de parler de choses positives. Ils préfèrent salir les autres pour paraître plus «propres». Ça fait des années que ça dure. Parlez-nous de ce que vous voulez faire pour améliorer l'économie. Dites-nous ce que vous êtes prêts à faire pour les commerçants qui étouffent sous les taxes. Démontrez-nous comment vous allez régler le dossier du transport en commun. Ma fille continue d'aller à l'école en auto tous les jours à cause de l'inefficacité du réseau de transport. Imaginez le stress et les coûts!  Pourtant, elle ne va pas à l'école à Shannon ou encore à Ste-Brigitte, elle va à Fierbourg. Ça fait des années que j'en parle, des idées que j'ai; que j'en discute avec plusieurs; nous parlons de solutions économiques, de moyens pour trouver un équilibre dans ce chaos. Mais je crois que le temps n'est pas encore venu.

mercredi 20 septembre 2017

Encore!

Comme trop souvent dans une année, je n'ai pas reçu mon matériel hier, comme il était supposé. Donc le huit heure que j'avais prévu travailler sur le bateau, je vais devoir le condenser quelque part dans ma semaine. Allez donc comprendre! Ce bateau, que je ne voulais pas faire, qui m'a pris six heures de nettoyage imprévu la semaine dernière, m'aura aiguisé l'humeur fortement! Je suis déjà trop serré dans mon temps, depuis le retour des vacances, je pellete par avant chaque semaine. Et là, pour couronner le tout, ça arrive! Décidément je suis incapable de prendre le dessus. J'aimerais que ce soit différent. Je vais essayer de compenser ce temps par autre chose. Combien de fois dois-je tout recommencer dans une semaine? Avec le temps j'ai pris de l'assurance par rapport à ce genre de situation; je ne me laisse pas avoir par la surprise, je me retourne rapidement et je fais autre chose. N'empêche que je vais finir plus tard ce soir, demain soir et vendredi! Les responsables de ces conneries ne paient jamais pour ça. Moi je paie, et je ne facture personne pour ça! Je suis particulièrement tanné que les gars de Purolator soient syndiqués, qu'ils n'en aient rien à foutre de faire leur job correctement ou non. Surtout depuis qu'ils ont décidé que j'étais trop petit pour eux, et qu'ils me livrent vers 16:45. Heure tardive, toujours trop tard pour corriger le tir pour le lendemain. Pourtant je paie pour ce service. Je paie le fournisseur, je paie la compagnie de livraison, je paie aussi le surplus de carburant depuis que le litre d'essence est au dessus de un dollar! Parmi les différents irritants qui peuplent une année de travail, ce genre d'impondérables me mets hors de moi! Donc il faut respirer, faire de son mieux et aussi, rassurer le client. Que de bla-bla, que de problèmes à gérer! Tout ça ne rapporte rien. Je dois réussir à trouver une façon de faire de l'argent quand même lorsque ce genre de choses arrivent. Je vais y réfléchir! J'ajoute cette réflexion aux autres! À plus!

mardi 19 septembre 2017

Je réfléchis.

Ça fait déjà quelques temps que je réfléchis. Je réfléchis sur mon avenir. Eh oui! Je me demande si je devrais augmenter le nombre d'installations que je fais dans une année, versus tout le travail de graphisme, d'infographie et d'impression. Soutenir un inventaire de matériel, soutenir le prix du matériel utilisé. Tout ça me travaille énormément! je voudrais qu'il en soit autrement, mais comme j'ai choisi d'être travailleur autonome, alors je m'organise à partir de mes choix. Et si la tendance se maintient, je vais continuer de m'emtraîner, de me garder en forme. Mais je demeure l'outil principal de mon entreprise. La journée que je ne peux travailler, rien ne se facture! Donc je dois trouver une solution. Bien sûr, j'ai beaucoup de travail, je n'ai pas à me plaindre, mais j'ai aussi beaucoup de choses à faire. Des fois je me demande pourquoi est-ce que je ne travaille pas plus. Il y a aussi la famille, ma famille, auquelle je tiens beaucoup. J'essaie de trouver un équilibre dans tout ça. Mais les événements externes à ma volonté, comme ce qui arrive à mes enfants, je dois composer avec tout ça. Souvent il faut improviser, se servir de l'expérience qu'on a pour trouver des solutions. Mais d'autres fois, difficile de s'y retrouver. L'inconnu peut être excitant, mais aussi très affolant. Je cherche des réponses pour moi, et j'en cherche aussi pour ma famille. Ces jours-ci, comme depuis déjà quelques années, j'ai tout pour être heureux. Mais si je m'arrête pour y penser, pour réaliser ce qui se passe autour de moi, bien il y a plein de choses que je dois prendre en main. Des fois je me sens simplement fatigué, je dois arrêter, car continuer ne donne pas toujours les résultats escomptés... Depuis que ma mère nous a quitté, je sens que mes responsabilités ont augmenté. Je suis une sorte de pilier familial. Étrangement, ça m'a poussé vers d'autres responsabilités, comme la chambre de commerce. J'y apprends plein de choses. Je continue de réfléchir...!

lundi 18 septembre 2017

Des fois il faut attendre encore un peu.

Alors que certains manquent de défis, d'autres sont submergés par tout ce qui s'offre à eux. Et, quand les choses vont trop vite, des fois il faut prendre un peu de recul! Des fois ça nous permet de mieux comprendre, de mieux voir. Et par le fait même, de clarifier la situation! Mais en plein action, le risque de frapper un mur est toujours présent et il est facile de s'y accrocher, voire lui rentrer dedans! Bref, même si je radote, il est important de savourer ses journées, de sentir la joie quand elle passe! Réussir l'exploit de voir le beau dans les situations les plus dures. Bien sûr, rien n'est gagné d'avance, rien n'est acquis! Alors que je croyais avoir surmonté suffisamment de grosses montagnes, j'ai compris en fin de semaine que non. Que je devais affronter d'autres démons qui dorment en moi. Après le fils affecté du syndrôme d'Asperger, la plus vieille qui est TDAH, la plus jeune serait quelque part entre le deux sexes... J'y reviendrai sûrement, mais pour l'instant, concentrons-nous sur le fait que rien ne va plus pour elle. L'an dernier, elle a failli ne pas terminer son année scolaire. Elle s'isole rapidement des autres, a souvent une humeur discutable. Je vais tenter de lui expliquer la chance qu'elle a d'être en vie. Mais au travers de tout ça, il faut continuer à vivre, continuer de gagner sa vie, cette vie là! Comme il est beau de pouvoir se lever chaque matin, de sentir la vie en nous! Hier soir, nous avons écouté un film. Gifted. Ce dernier raconte l'histoire d'une petite fille surdouée qui, ne demande qu'à vivre. Prise au piège avec des gens qui «veulent son bien» , elle chemine du haut de ses sept ans pour comprendre la valeur de la vie. Ce film a réveillé en moi plein de souvenirs, plein de vie. Je vous le recommande fortement. Je veux continuer de m'inspirer de ce film, de la réflexion qu'il me procure. Je veux prendre encore du temps pour réfléchir. Prendre du temps pour me rendre là où je dois être. Tout vient à point à qui sait attendre.

vendredi 15 septembre 2017

Méchant délire!

Comme hier je me disais que ce serait bientôt congé, ce sentiment s'est amplifié et nous sommes enfin vendredi. Une journée palpitante, remplie de toute sortes de revirements. Des fois elle se termine tôt côté travail, des fois j'en profite pour ouvrir la machine étant donné que le lendemain sera plus cool. Mais cette semaine, c'est le Maîîttrre qui remporte la palme avec ses affirmations gratuites et dénuées de sens. Absent de la réalité dans laquelle nous vivons, il a dit au géant Amazon qu'il n'était pas intéressé à faire de l'argent. L'offre étant environ 50 000 jobs, avec une moyenne salariale aux alentours de 100 000$. Non! Il a dit : «Non!» EN réfléchissant pas trop longtemps, c'est comme si Bill Gates demandait à un entrepreneur d'ici de fabriquer des bureaux pour Microsoft au Québec, mais qu'il refusait! Il a aussi dit aux propriétaires de «foodtrucks» qu'ils seraient mieux de ne pas se promener avec leurs véhicules! Si je comprends bien, je m'achète une auto pour aller travailler parce que c'est le meilleur moyen pour me rapprocher de mon lieu de travail et gagner une heure ou plus dans ma journée, mais je serais mieux de ne pas la prendre... Je trouve cela aussi aberrant qu'un certain patron que j'ai connu, qui engageait des gars propriétaires de leur camion en leur promettant qu'ils auraient beaucoup de travail; mais il les laissaient se rendre presqu'à la faillite, pour ensuite acheter leur camion et leur donner du travail... J'ai beau chercher à comprendre, je suis sans mot. Je ne suis qu'un travailleur autonome, qui s'occupe d'une petite chambre de commerce, mais je veux le bien des commerçants, et je ne prends jamais de décisions seul avec leur argent. Bref, je suis fessé, incapable de comprendre ce discours. Cette dictature douce n'en finit plus! À qui est-ce que ça profite tout ça? Qui a voté pour ça? Et de quelle initiative collective peut-on s'inspirer pour faire des déclarations publique aussi désolantes? Je ne sais pas grand chose, mais je sais que la vie est courte, que les gens veulent vivre! Et ce n'est pas dans un climat aussi dur économiquement que ça pourra être possible. Du moins, au quotidien!

jeudi 14 septembre 2017

C'est parti!

Bon matin! Vivre dans notre société chacun pour soi relève d'un courage et d'une ténacité incroyable! Je me souviens que l'entraide était la façon d'avancer dans la vie! Un moyen extraordinaire de réussir! Cette façon de faire permettait de garder contact, d'entretenir des relations et d'avancer ensemble! Aujourd'hui, les différences sont de plus en plus marquées entre les gens. Les «boomers» ne veulent pas vraiment évoluer, le virage numérique les dépasse! Et, selon leur degré de compréhension, leurs enfants ont hérité d'un bagage «X». Bagage qui comprend différentes choses, comme une aversion envers l'anglais, des habitudes bien différentes d'un à l'autre et, différents fonds monétaires. Cela a créé notre société, avec ses hauts et ses bas. Ils ont aussi transmis de façon inégale leur savoir. Cela s'est aussi répercuté dans notre système scolaire, où l'enseignement de la vraie vie fut négligé. Car aujourd'hui, en 2017, il est primordial d'avoir un programme d'enseignement qui explique aux jeunes que la vie au Québec, ça coûte cher! Que la vraie vie ne ressemblera pas à celle qu'ils ont eue étant enfant. Pour ma part, j'aurai aimé savoir que ce n'était pas tout d'être intelligent, que ça ne me servait à rien d'aimer apprendre si je ne me concentrais pas sur une chose. J'aurais aimé avoir plus de formation en anglais, matière que j'aimais et dans laquelle j'excellais. Si quelqu'un m'avait dit qu'un jour je ferais un baccalauréat pour rien, je n'aurais pas dépensé 40 000$ pour y arriver, j'aurais pris un autre chemin. Et, par dessus tout, leur dire que les syndicats sont une tare pour notre société. Et pour terminer, leur dire au moins une fois par semaine, que l'endroit où ils vivent est le plus taxé au monde! Wow! Quel pitch! Je sais que j'ai les masses en l'air, mais ces jours-ci, je suis exaspéré de différentes manières et ça commence à être dur à gérer. Donc j'en libère le plus possible! Une réunion avec les gens d'affaires ce matin, nous devons discuter de nos lettres patentes, d'un concours devenu «tirage» et ça continue de me crinquer! Délire protocolaire qui m'énerve! Un certain côté administratif trop présent justifié par ceux qu'on paie pour développer notre société et la faire avancer. Bref, je dois y aller, car une grosse journée m'attend! À plus!

mercredi 13 septembre 2017

Milieu de semaine.

Bon matin! Dans ce monde où la vie court souvent plus vite que nous-même, il y a de ces matins plus durs que d'autres; ces matins qui nous dictent de partir, de changer quelque chose. Bien au delà de nos intentions, ce goût du changement se manifeste tranquillement, comme une ombre, creux au fond de nous. Ce mystère, finit par nous donner de l'énergie positive, de la force pour continuer. Car souvent, au moment où nous croyons avoir tout donné, c'est là qu'il faut ouvrir la machine et foncer! Donc cette manifestation interne, ce «boost» d'énergie, est un véritable tremplin pour réussir sa journée! Quand votre semaine est composée d'imprévus, elle se transforme en retournement. C'est humain de réagir ainsi et de vouloir réussir malgré les aléas de la vie. Maintenant, il faut tout de même vouloir y arriver. Même si en allant mettre de l'essence, il est facile de réaliser que ceux qui nous dirigent n'ont pas les mêmes priorités que nous! Ils n'ont pas cette volonté de changement, de vouloir améliorer notre quotidien. Pourtant il serait facile de faire autre chose que de monter les taxes! Arrêter de trouver de nouvelles façons de nous taxer. J'ai souvent cette impression que «Big Brother» nous observe, cherche à nous prendre en défaut. Il cherche aussi des lacunes, des limites, auxquelles il pourrait nous «punir» et encore ramasser des sous. Cet argent que nous gagnons chaque jour, s'il le pouvait, il prendrait. Ce serait la fin de notre système, car il ne servirait plus à rien de gagner notre vie. Ce serait l'évolution de cette dictature douce. J'en ai mal au coeur. C'est pourquoi je m'efforce chaque qu'il m'est donné de vivre, à façonner mon quotidien, pour le rendre le plus paisible possible, le plus amusant possible. Quand l'envie me prend de tout lâcher, parce qu'administrer ma business est parfois beaucoup de sacrifices, d'aller travailler pour quelqu'un, alors je pense à toutes ces choses auxquelles je me heurte et qui me rappelle combien j'ai dû trimer dur pour arriver où je suis. Je me raisonne aussi en me disant qu'être prisonnier d'un système de paie, avec tout les inconvénients que cela comporte... Ce sera une belle journée!

mardi 12 septembre 2017

Profiter des beaux jours.

Finalement, hier, je n'ai pas tellement eu le temps de relaxer beaucoup. J'avais complètement oublié l'arrivée d'un bateau sur lequel je devais travailler! Imaginez ma surprise lorsque le gars est venu sonner à la porte! J'étais complètement dépassé! Des fois il faut se ressaisir, se dire que la vie, c'est merveilleux! Et puis, ensuite, continuer nos efforts. Je ne sais pas pour vous, mais moi je suis tanné de forcer pour les autres. Je donne tout ce que j'ai pour ma famille et mon commerce; quand il me reste du temps, je laisse aller mes idées pour moi. Je me dis que c'est merveilleux de pouvoir vivre chaque jour, de pouvoir sentir ce privilège! Quand je vois les médias essayer de nous rentrer de force que l'ouragan fut le plus dommageable en chiffres, quand je vois notre PM se prendre en selfie alors que des gens ont besoin partout au pays, que le prix de l'essence monte seulement au Québec pour des raisons plus que mensongères! Tout ça me peine, me rend amer par rapport à notre société. Oui nos dirigeants manquent de rigueur, de créativité, mais les citoyens aussi. Soumis, ils ne font que se retourner vers le gouvernement. L'économie tourne en rond, l'argent neuf disparaît et notre confiance aussi. Alors, étant donné que nos dirigeants constatent que les gens ne veulent pas travailler, ils misent sur l'immigration. Comme toujours, il y a des mécontents. Mais il y a aussi de la négligence du côté de nos dirigeants. ALors que c'est déjà trop compliqué, l'arrivée de nouveaux brasse de encore les cartes et il est difficile de s'y retrouver. Bref, difficile de se faire une idée, mais aussi difficile de mettre en perspective un avenir sain, prospère et rassurant. Il faut que ça change. En l'absence de tribune et de temps, je ne peux que tenter de sensibiliser les gens à progresser par eux-mêmes. Car la machine est trop grosse pour être «bougée».

lundi 11 septembre 2017

Lundi matin.

Après une fin de semaine somme toute très bien remplie, je suis obligé d'admettre que de prendre un verre devient vraiment de plus en plus difficile. La moindre négligence concernant les verres d'eau entre chaque consommation et, pouf! Trop tard. Les lendemains sont plus difficiles qu'avant. Mes intestins aussi sont plus difficiles à gérer! Alors j'essaie de ne pas trop exagérer. Je me dis que c'est pour le mieux, mais aussi pour mon bien. Mon bien, celui que je m'offre chaque jour. Car il m'apparaît abstrait de pouvoir prendre soin de moi. Prendre du temps pour moi. Et, dans des moments plus compliqués, il m'arrive justement de ne plus me comprendre et de me rendre compte que c'est ce qu'il me manquait, du temps pour moi. Et cela me mène parfois dans un cercle vicieux, duquel je dois travailler très fort pour m'en sortir. Bref, dans ce temps-là, je dois prendre du repos le lundi matin. M'assurer que les miens vont bien, ensuite me poser les vraies questions. Quelle date sommes-nous? Le 11 septembre 2017. Déjà? Frisquet ce matin, 9 degrés. Seize années se sont écoulées depuis les deux tours. Le temps passe vite, très vite. Gaspiller du temps à trop prendre d'alcool, à ne pas prendre soin de soi. Pourtant je suis pour le don de soi, l'entraide, l'amour. Bien sûr, il ne faut pas être trop dur avec soi. Mais est-ce que l'échapper un soir de temps en temps est un manque de respect envers soi-même? Des fois je le pense. Mais comme j'ai ce blogue auquel je suis attaché, il me faut décanter doucement toutes ces pensées, laisser les hamsters courir un peu... Car c'est dans leur nature de vouloir courir dans tous les sens, de chercher une solution, même de se rentrer dedans tellement la passion de vouloir y arriver est forte! Ouf! On dirait que je n'ai pas écrit depuis des mois! Une nouvelle semaine s'amorce, ma douce revient aujourd'hui, j'ai vraiment hâte. Bonne semaine!

vendredi 8 septembre 2017

Délire du vendredi...

Comment passer sous silence l'absence totale de conscience de notre gouvernement? L'essence au Québec seulement, a vu son prix grimper de 1,12$\litre à 1,33$\litre! À Montréal, 1,42$\litre! Par dessus tout, nous dire que la cause principale est l'ouragan Harvey! À Houston, là où l'ouragan a laissé plus de 460 millimètres d'eau, le prix du litre est demeuré sensiblement le même. De même que partout ailleurs! Et pour couronner le tout, la banque du Canada a augmenté son taux directeur de 0,25%. Donc le dollar canadien a pris de la valeur; et le prix du baril de pétrole a baissé légèrement! Pourquoi est-ce que les rues ne sont-elles pas bloquées? Un bon gouvernement, avec une conscience collective, devrait encourager ses citoyens, écœurés par le surplus de taxes, débinnés par un été médiocre, choqués par des routes démolies, sidérés de voir que les urgences sont encore et toujours pleines! Un peuple qui a hâte de pouvoir dire «La belle province», et non, je ne me souviens de rien à cause des médias! Nous courons déjà trop, faut-il en plus, courir pour se reposer? Se sauver de cet endroit, supposé être le meilleur au monde? Donnez-nous une pause, une façon de mieux respirer dans nos finances! J'ai encore entendu hier la célèbre rengaine : «On est chanceux, ici, d'être à l'abri des ouragans!» Ouin. Mais quand on calcule tous les sacrifices qu'on fait pour réussir à être heureux... Si les gens demeurent où il y a des ouragans une fois par année, il doit y avoir des raisons. Je ne peux pas croire que c'est aussi facile que ça, dire qu'ailleurs ce n'est pas mieux! Je crois qu'il faut s'inspirer des meilleurs. Je crois qu'il faut côtoyer des gens heureux pour l'être nous aussi! Quand tu vas au Costco, pis que la rue est bloquée par la file d'autos qui attend pour mettre de l'essence... Quand tu vois les gens jouer du coude en conduisant, en attendant à une caisse, pour aller plus vite, tu finis par te demander si tu es à la bonne place. Peut-on ralentir un peu? Sans tomber dans la simplicité volontaire? Sans devenir un écolo qui fait chier tout le monde? On s'en reparle!

jeudi 7 septembre 2017

Jeudi déjà?

Premier matin de vélo intérieur depuis au moins deux mois. Certains matins furent très frais, d'autres un peu mouillés. Mais ce matin, il pleuvait vraiment fort et je ne me suis pas risqué pour voir si ce serait amusant. En pensée pour ma belle-sœur qui se fera opérée une partie de la journée. Ils vont changer son système d'électrodes, déficient, qui est installé au bas de son dos. Un sorte machine qui émet de petits chocs électriques, pour «diminuer» la douleur inhérente au fait de sa blessure au bas du dos. Difficile à expliquer, mais ce qu'il faut retenir, c'est personne n'est à l'abri d'un fâcheux accident. Et qu'il faut prendre soin de soi. Surveiller nos limites qui, parfois, oublient de se manifester. Résultat, une blessure! Mais la gravité de cette dernière n'est pas spécifiée à l'avance et personne ne peut prévoir ce genre de chose. Alors prenez soin de vous! Mine de rien, nous sommes déjà jeudi et la semaine fut très grise. Grise de nuages dans le ciel, mais aussi grise d'événements... Samedi dernier, alors que nous sommes allés dire un dernier aurevoir au père d'Isabelle Huard, monsieur Cunningham (Papy GUS) nous a quitté. Et les gens de Houston constatent avec beaucoup d'amertume à quel point la vie ne tient qu'à un fil. Et je suis toujours aussi inquiet des étincelles qui proviennent de la Korée. Le taux directeur de la banque canadienne a encore monté. Et si la tendance se maintient, un ouragan va «arracher» un bout de planète en fin de semaine... Alors il faut se recueillir un peu, penser à la chance que nous avons. Peut-être que la vie nous présente bien des épreuves, mais l'important, c'est de réussir à voir le beau! Alors je m'en vais passer une partie de la journée chez un client pour envelopper son véhicule. À bientôt!

mercredi 6 septembre 2017

Ça fait réfléchir!

Hier, je me disais que c'était bien l'fun de pouvoir changer de roulotte. De se dire que c'était maintenant ou jamais. Mais en même temps, le plus important dans ma phrase, c'était le maintenant. Car c'est aujourd'hui et\ou aussitôt que possible qu'il faut agir! SI vous attendez après les autres, eh bien vous attendrez longtemps. Et comme nos dirigeants ne sont pas capables d'innover en matière d'économie, les taxes et les impôts ne baisseront pas, car c'est le seul moyen dont ils «disposent» pour nous soutirer de l'argent! Bref, si vous voulez vous amuser et aimer la vie, alors faites-le sans tarder, parce que la vie continue. Oui, elle continue de s'écouler, comme les grains de sable dans un sablier; à l'exception que le sablier n'a pas besoin d'être retourné! Fatigué? De travailler ou de trop profiter de la vie? De toute façon, vous le serez quand même, comme un paiement mensuel à vie. Voilà ce qui se passe, ici, au Québec. En fin de semaine, j'ai eu le privilège de discuter avec des beaucerons «pure laine». Oui-oui, des gens jarrets noirs! Entre deux cigarettes, ils me racontaient que depuis six ans, ils étaient à Kelowna, en Colombie Britannique. Lui, un chauffeur de camion de métier, travaille pour une compagnie de construction. Il ramasse tout le matériel et les déchets sur les chantiers. Il demeure dans sa roulotte. Il est heureux, me disant que là-bas, hormis les propriétés, rien n'est cher. Qu'il fait bon y vivre! Que l'hiver, là-bas, il n'y en a pas! Que des soucis, c'est plutôt rare. Et il m'a surtout dit qu'il ne reviendra jamais au Québec! Sa femme, elle, a commencé par faire des ménages dans un hôtel. Avec le temps, elle a prit ça plus molo, travaillant avec son mari, et faisant seulement trois jours de ménage. Leurs enfants travaillent aussi là-bas. Malgré la barrière linguistique, ils sont à l'aise. Et les enfants sont bilingues! Toutes les fois que je parle à des gens qui ont osé quitter la belle province, c'est la même chose! On s'en reparle!

mardi 5 septembre 2017

Les mardis matins...!

Déjà le 5 septembre et il me semble que l'été n'a jamais vraiment commencé. Pas vraiment de températures chaudes. Pas tellement de soleil. Beaucoup de journées fraîches, moches... Mais bon, il faut profiter de la vie quand même. Les gens vont des séjours tellement courts, à moi d'y penser pour vrai. Loin de mal filer à cause de la température, je me pousse dans le derrière tout seul. Je suis allé porter ma douce à l'aéroport tôt ce matin. Elle travaillera à la Romaine pour 7 jours. C'est reparti! Les blitz de travail-enfants à l'école-situation monoparentale. J'ai comme mission de composer avec tout ça et réussir à ne pas trop dépasser mes limites. Réussir à me contenir. Grosse semaine qui s'amorce, faire 5 jours en 4, comme je le dis souvent. Parmi les nouveautés, la plus vieille doit prendre une auto pour se rendre à l'école... Prenez l'autobus qu'ils nous disent! Bien sûr! La plus jeune et son anxiété. Le rejet qu'elle vit à l'école, son adolescence qui semble être un décollage laborieux vers la vie d'adulte. Et que dire du plus vieux qui ne fait que suivre le cour du temps. Il ne se rend même pas compte du temps qui passe, de sa vie qui se «dissout» vers un destin inconnu. Des fois je suis vraiment inquiet. Je pense que je dois continuer d'écrire, de me poser des questions. De faire face à la musique du mieux que je peux. Alors j'écris mes observations sur ce blogue, en tentant de libérer le plus d'énergie négative. On s'en reparle!

vendredi 1 septembre 2017

Constat

Très frais ce matin avec un huit degrés. Hier j'ai pédalé à seize degrés. Quel contraste! Mais c'était confortable quand même, en prenant soin de bien se vêtir. Comme chaque jour, il faut prendre soin de bien juger la situation qui se présente. Pour éviter de faire de mauvais choix et de recommencer. Plus le temps passe et plus je m'arrête pour bien évaluer ce qui se présente à moi. Hier, j'ai beaucoup conduis et j'ai dû utiliser passablement mon jugement. Ils y a des gens qui ne savent pas conduire, d'autres qui se foutent complètement des autres. Chaque jour je remercie la vie, car il pourrait y avoir tellement plus d'accidents! Mais ce qui m'a surpris, ce fut de voir, sur la 20, la voiture de patrouille qui prenait la vitesse des automobilistes, mais qui n'a jamais bronché devant ceux qui coupaient et ceux qui dépassaient par la droite! Amer de constater que leur «préoccupation» première est de coincé ceux qui dépassent la limite. Le reste, il faut croire que ce n'est pas important. Et, les radars photos continuent de rapporter gros. Deux choses, moi je me fous un peu des radars photos, car je roule rarement à la limite, préférant être prudent et observer les autres. Mais pour la négligence de sévir pour tout le reste, est-ce vraiment sécuritaire? Pourquoi être si pointilleux à l'examen de conduite? Ma fille vient d'avoir son permis, incroyable comme il faut être droit, sans faille. Pourtant, ce que je vois tous les jours, ça ne ressemble pas à ça. On dirait que les lois et le code de la route, c'est pour les autres. C'est qui les «autres»? En tant qu'automobiliste, je suis perplexe. Suis-je le seul? Est-ce une situation où je dois simplement mettre mes oeillères et continuer? Est-ce dangereux? Et pour en revenir aux radars photos, on dirait une sorte de dictature hypocrite. Pendant que ces caméras coincent les fautifs, ça serait le temps de s'occuper du reste... Autre chose qui m'a surprise, le prix du litre d'essence! Faire croire au monde que c'est à cause de l'ouragan\tempête Harvey! Et comme par hasard, c'est le week-end de la fête du travail... Encore de la dictature hypocrite! Mais bon, quand j'écris, ça me fait du bien!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...