vendredi 28 février 2014

Bon vendredi!

HIer soir, j'étais invité à une clinique de spinning au Nautilus Plus sur Honoré Mercier. Quelle «ride» pour aller là! Je déteste aller en ville. À ma grande surprise, à 17h45, il n'y avait plus de trafic. Cela m'a fait du bien! Une fois sur place, quelques présentations et hop! on s'attèle sur nos vélos. Bien fait, avec un vrai entraîneur! Ouf! Quelle discipline! Il faudrait inclure ce genre d'entraînement au moins une fois par semaine. Car c'est très dur! Pas au niveau cardio, mais bien au niveau musculaire! Pour le cardio, je trouve ça merveilleux. Il y  aurait moyen de faire rapetisser plusieurs gros avec ça! Ça ne durait que 45 minutes et j'en ai eu assez! J'ai été très surpris de l'effort à fournir. J'y allait de reculons, ne sachant pas comment m'endurer depuis 2 jours. On dirait que mes comprimés de Concerta, génériques, me font revivre des épisodes d'anxiété.  Eh oui, générique! Les nouvelles assurances groupe paient le générique à moins d'une clause spéciale. Bah! je m'en fous, en plus, c'est moins cher! Mais il me semble que ces sentiments d'anxiété étaient chose du passé. Je vais continuer mon test d'un mois, après je ferai mon analyse. Avec ce sentiment, les 2 dernier jours furent très difficile dans ma tête, un combat. Et pourtant, tout va bien. Je suis dans les temps avec mon travail, je n'ai pas fait de gaffes, je me dis que c'est la pillule. Mais c'est quand même pénible. C'est le prix à payer pour avoir un peu plus de concentration, un peu moins de distraction. Car depuis un an, le Concerta m'a beaucoup aidé, autant pour être plus présent d'esprit, que pour garder mon bureau en ordre. Il m'a aidé à rester éveillé au volant, éveillé même devant l'ordinateur, pendant de longues périodes de création! Il m'a aussi permis de dormir, dormir et faire des rêves! CE que je ne faisais plus depuis bien des années! Merci pour tout ça! Il faut remercier chaque jour qu'il nous est donné de vivre. La vie est merveilleuse, à nous de lire entre les lignes pour percevoir ce merveilleux! Comme l'effervescence du vendredi, quelle joie instantanée! Même après plusieurs années à travailler seul, à être mon propre patron, à gérer mon temps, je suis content de rencontrer le vendredi. Même que cet hiver finira bien par s'en aller et nous referons du camping! Repartir avec la roulotte, des heures au volant de mon fantastique Armada! J'avoue que d'autres sont plus soucieux de l'économie d'essence ou des coûts d'entretien. Mais à force de se casser la tête, de ne pas dormir à chercher de solutions pour diminuer les coûts, ils oublient l'essentiel : s'aimer! Pour ça, il faut mettre de côté les tracas quotidiens, lâcher prise sur les aléas de la vie. Juste être soi-même. Et ce n'est pas toujours facile! Bonne fin de semaine!

jeudi 27 février 2014

On continue!

Ouf! Méchante montée de lait hier! Mais je suis content d'avoir le courage et le temps d'écrire tous ces mots. Ils sont mes arguments, mon opinion. À force d'essayer, d'en parler, les changements viendront. Il n'est pas impossible de changer la donne. Je sais que je suis un peu idéaliste, mais une chose est sûre, je suis aussi capitaliste, pour l'utilisateur payeur. Ce qu'on a, on le mérite! Si, dans la vie, on veut quelque chose, ce n'est pas aux autres qu'il faut le demander, mais à nous! Je sais que c'est beaucoup de travail, mais c'est en travaillant qu'on devient travaillant! À quoi ça sert de crier pitié? N'est-ce pas le sentiment le plus poche qui soit? Avoir pitié de quelqu'un, d'un être humain! L'homme a des limites, mais elles sont loin. L'homme est capable de grandes choses, de merveilleuses choses. Alors pourquoi autant de manque de respect? Pourquoi traiter des gens qui compte sur nous comme du bétail? Chaque entrepreneur se met une responsabilité sur le dos. Celui de mener son entreprise à bien, en faisant travailler des gens. Quelque part, il se sent responsable de ces gens. D'un entrepreneur à un autre, il y a des variantes, mais c'est un sentiment naturel. Si vous avez l'impression que votre gouvernement est loin de ça, c'est qu'il occupe trop de place, tout en dépensant votre argent. Les gens qui sont syndiqués n'iront pas parler contre la castafiore, sauf si le syndicat le veut! Imaginez la force des syndicats lors des élections? Oui-oui! Pensez-y un peu! JE rumine peut-être, mais seulement par écrit. Mettre mes idées, mes pensées ne mots, quelque part dans l'univers, sur un serveur de Google me rend heureux, me dégage l'esprit.
Pour le mieux être de mon esprit très volatile, il me faut écrire. Il me faut dessiner! Je cherche sans cesse des solutions, je remercie pour chaque journée et surtout, j'aime!

mercredi 26 février 2014

Eurk!

Donc depuis hier, même mes clients me parlent de politique et d'économie. Leur peur devant l'impasse qui se dessine. C'est de voir leur visage lorsqu'ils racontent ce petit bout de vie qui décrit leur quotidien en tant qu'entrepreneur. Je me dis que ce n'est pas normal. Eh bien, reste à comprendre le mystère qui veut mettre la castafiore au pouvoir encore pendant quatre ans! Je cherche, mais ne trouve pas. Loin d'écouter la commission Charbonneau, je suis du genre qui écoute les nouvelles à la radio, qui lit sur le web et qui aime provoquer les conversations, les échanges. Mais je peux affirmer que personne ne veut de la castafiore. Personne n'a quelque chose à gagner en l'encourageant. Mais c'est sur que les travailleurs sur les chantiers éoliens ne protesteront pas devant les décisions saugrenues du PQ. Personne non plus ne proteste dans un mileu sursyndiqué, car les conditions sont bonnes, trop bonnes. Et d'ailleurs, qui oserait rapporter le non-sens de la chose, il se ferait avertir, quelqu'un sur les lieux se chargerait de le faire taire. Et, dans tout ce qu'on lit, ce qu'on entend, il y a plein de choses de cachées! Bin oui! Plein de trucs encore plus salés. Imaginez, des contremaître payé plus d'un an à 125 000$ par année, à jouer aux cartes. La recette idéale pour gaspiller un homme. Payez un homme à rien faire et vous le tuerez! Il ne sera plus jamais le même! Et si je cherche à savoir ce qu'il y a en dessous de tout ça, je crois que je serais accueilli par des gens que je ne veux pas voir. Donc, encore une fois, je suis obligé d'arrêter de perdre mon temps à penser à ça et me retourner vers mon quotidien et performer! Je crois toujours que le changement viendra par le bas. Mais je commence à croire que ça va coûter cher aux audacieux. À force de ne plus profiter des «beaux programmes» du «modèle» québécois, les gens qui s'amusent à nous faire croire que c'est merveilleux n'auront d'autre choix que d'arrêter. Aller pêcher sans jamais rien ramener, ça devient aliénant! Même si les premières années, en formule tout inclus, on mange, on boit et on fête beaucoup plus que l'on pêche! Mais c'est comme dans le temps de romains, les orgies sans fin. Profiter d'un certain amusement sur le dos des autres sans jamais sortir d'argent, en pigeant dans le plat à bobons! Mais les bobons commencent à être pas mal gros. Pis le plat à bobons aussi! Pas normal de piger des voyages, des voitures, des jobs et bien d'autres choses dans un plat à bobons!

mardi 25 février 2014

Ouste!

J'en profite pour écrire encore un peu, car je sens que le travail s'en vient, qu'il ne manquera pas. Tout déboule tellement vite au printemps, j'en suis toujours surpris! Et avec la fonte des neiges, le beau temps, plus de chaleur, cela nous fera le plus grand bien. D'ailleurs, le climat économique et politique sera moins présent dans ma tête une fois installé sur un terrain de camping. En attendant, continuons de taper sur le clou, on ne sait jamais. Loin de me douter que la vie prenerait cette tournure, je m'en allais la tête plus légère, vers un temps des fêtes que je m'étais promis, moins houleux. Mais après m'être casser la tête avec des solutions informatiques pour le moins préoccupantes, il fallait bien que je m'arrête un peu. Mais il en fut tout autrement. Par contre, les soubresauts du prix de l'essence, du lait, des taxes me gardent éveillé! J'entends encore la fournaise à l'huile partir ce matin et je me dis que ce fut un hiver très dispendieux! Trop froid, trop de neige, trop de verglas, trop de pluie et trop d'accidents! Après un mois de décembre catastrophique, janvier est venu s'installer comme quelqu'un qui ne doit pas rester. Et je ne l'ai pas vu passer! Mais le plus inquiétant s'en vient côté politique, alors que le PQ prend des forces. Je ne connais personne qui veut ça, ni personne qui serait prêt à voter pour eux, mais toutes les fois qu'il y a possibilité de voter, les chiffres nous racontent de belle histoires! Et je ne suis pas paranoïaque, je suis réaliste. Serrez-vous les coudes, car ce sera une année politique orageuse! Mais les disciples de la CAQ ne font rien, n'ont pas d'opinion et, ça se voit, n'ont pas de couilles! Et d'entendre que peut-être il y aurait un Trudeau à l'opposition, cela me coupe les jambes. De retour vers une recette déjà essayée, qui ne marche pas, qui a détruit le Québec. Pourquoi la répéter? Pour vous montrer au monde? On vous a assez vu! Je dirais même que vous n'êtes pas requis! Alors faites de l'air! 

lundi 24 février 2014

Une farce!

Samedi soir, je suis allé voir, avec ma femme, un spectacle de Sylvain Cossette. Après seulement une minute, je venais de réaliser à quel point j'allais passer une bonne soirée. Quelle maturité dans la voix, dans la présence sur scène. Simple dans sa façon de nous parler, de nous aborder. Il chante, joue de la guitare, mais aussi du piano. Il vieillit bien, et nous livre, un spectacle intime avec d'excellents musiciens. Matt Laurent au commande de la direction musicale, le party prend et ce fut un bon moment. Cossette sera l'invité pour le party du 31 décembre 2014, soirée qui lancera les fêtes du 100ième anniversaire de Donnacona. Une petite ville qui prend du galon, de la maturité. Elle croît avec vigueur, et, il semble que les gens qui y vivent ont bien du plaisir à y demeurer. Nous aussi, ici, à Val-Bélair, nous sommes heureux, mais moins lorsque le temps est venu de payer le compte de taxes. Moins quand on circule dans les petites rues cet hiver. Moins quand il faut prendre l'autobus. Moins quand on veut ouvrir un commerce. Bref, étant annexé à la «grande» ville de Québec, les choses deviennent de plus en plus compliquées, de plus en plus longues. Et pourtant, ça ne devrait pas. Rien qu'à voir que les petites lois ne sont pas respectées, on comprend  que les grandes idées ne font pas long feu, perdues dans un labyrinthe administratif. Et c'est là que je reviens avec Sylvain Cossette, qui nous parle simplement, sans manière ni permission. Il réussit, par sa voix, par des mélodies, à nous faire oublier notre quotidien. De la simplicité, de l'Amour! Pas une histoire de droits acquis! Entendre les gens dire que leur job leur appartient! Que leur travail est à eux! D'où vient cette mentalité saugrenue? D'où vient cette pensée à sens unique? depuis quand est-ce qu'un employeur nous cède une job? Comment peut-elle nous appartenir? Prenez votre place et foncez dans la vie, savourez-la! Mais arrêtez de dire que votre job vous appartient, que c'est un acquis! Nom de dieu, si vous voulez votre propre travail , devenez travailleur autonome ou partez votre propre compagnie! Là vous aurez une idée de ce qui vous appartient. Là vous verrez qu'il n'y a rien d'acquis. Sornettes quand vous dites qu'un employeur vous a volé vos jobs! À qui appartient l'entreprise? À qui appartient le matériel avec lequel vous travaillez? On s'en reparle!

vendredi 21 février 2014

Vendredi!

Quelle semaine encore une fois! Et, comme à l'époque où j'allais au CEGEP, nous sommes vendredi et c'est merveilleux! Depuis le plus loin que je me souvienne, les vendredis ont toujours été merveilleux! Journée par excellence pour déconner, soirée parfaite pour fêter le fait qu'on est heureux! Bref, Tout pour se sentir à nouveau un être humain, pas juste un travailleur! Et, depuis presque 6 ans, je travaille à la maison, sans boss, sans paie, juste moi! Je me discipline, ne rate jamais une journée, exerce une routine serrée et garde la sourire. Des journées, la musique est très présente, d'autres, la solitude fait son oeuvre et je trouve des solutions à mes casse-têtes. C'est comme ça que je m'en sors! Pas de hauts dirigeants, pas de grands décideurs, juste moi et mon coeur. Un travail rempli d'Amour, de passion et de sourire. Personne pour imposer un prix plancher, personne pour imposer un quotat de production. Des finances qui se gèrent d'elles-mêmes, à la source. Et puis, si je produis moins, je facture moins et il y a moins d'argent. Au contraire, si je facture plus, alors plus d'argent. Mais, la chose sacrée, la satisfaction et le sourire de mes clients! Pas question qu'un client reparte insatisfait. Parfois, c'est plus compliqué, mais je trouve une solution. Et puis, quand il y a de la formation, je m'organise pour y aller. À l'échelle provinciale, je suis un pet, rien de plus. Je dirais que je suis moins que ça, même. Car une mauvaise odeur, on la sent, elle s'en va et c'est fini! Moi, personne ne m'a encore senti. Pourtant, je suis convaincu que diminuer la masse de l'État serait bénifique! Moins de fonctionnaires, moins de syndicats, plus d'autonomie au niveau économique. À force d'écouter le peuple qui demande, les dirigeants ont engraissé leur gouvernance et, l'inévitable arriva. Plus personne n'a le contrôle. Pour de vrai! Il semble que même le PQ pourrai rentrer majoritaire, ce qui, serait une catastrophe économique. L'argent irait dans la même poche pendant quatre ans avec les conséquences que cela entraîneraient. Plus de personnes sur le chômage, plus de personnes sur l'aide sociale, un P.I.B. inférieur aux dépense de la province et encore plus de taxes et d'impôts! Mais nous sommes vendredi, alors je repenserai à ça lundi.

jeudi 20 février 2014

...

Mais je continue de rêver. Certaines gens comptent faire un nouveau gouvernement avec la castafiore? Eh bien, ce ne sont pas des gens issus du même milieu que moi! Ou encore, il y a bien des visages à deux faces dans cet arrondissement. Mais il y a aussi ceux qui ne s'en mèlent pas, préférant ne pas en parler ou ne pas s'en occuper. Franchement, ils perdent une occasion de donner leur opinion. Le problème, c'est qu'ils ne vont pas voter. Ou encore, une fois devant le bulletin de vote, ils cochent de façon aléatoire. Cela décrit bien le portrait de notre province! Je suis à bout de souffle dans mes idées de renouveau. Et je n'ai pas de temps à sacrifier pour essayer de convaincre des gens de faire du changement avec moi. Mais je continue de donner mon opinion à qui veut bien l'entendre. Bref, il y a bien du chemin à faire avant d'arriver à une ère nouvelle. Peut-être ne verrons-nous même pas de plus beaux jours, avec des dirigeants plus honnêtes, un budget plus réaliste, qui représente mieux l'urgence de faire queque chose pour l'économie. Car à part nous faire chier, le gouvernement provincial actuel est d'une incompétence chevronnée! Et le laisser en place ne fera que retarder les solutions envisageables. Je suis découragé de cette situation, ne voyant rien au bout du tunnel. Mais j'ai choisi d'être heureux, alors je continue mon bout de chemin.

mercredi 19 février 2014

L'Amour

Ma foi, il tombe encore de la neige. Même avec tout ce froid que nous avons eu, il tombe encore de la neige. Ça va faire trois fois que je déneige la toît de la roulotte. Trois fois aussi que je baisse les côtés des garages (j'en ai trois!), car la neige ne descend plus. Et ce n'est pas fini, nous sommes le 19 février. Mais c'est un grand jour aujourd'hui, 20 ans d'Amour avec ma Bibi. Vingt années où nous avons appris toutes sortes de choses. Nous avons passé au travers d'un paquet d'émotions, les plus tristes comme les plus heureuses. Et, il me semble que nous nous aimons encore, comme au premier jour. Je dirais même, plus. Car lorsque nous nous sommes mariés, il y a 17 ans, l'étendu de notre Amour ne couvrait pas autant de terrain. Et puis, je ne savais pas qu'aimer quelqu'un pouvait être aussi immense! Je ne savais pas que passer autant d'années avec quelqu'un pouvait être aussi enrichissant. Se confier à l'autre, en être rassuré. Et puis, quel bonheur de voir nos enfants cheminer, devenir des grands. Ils sont très actifs. Je les sens en dedans de moi, beaucoup plus que les autres. Vous allez me dire que c'est normal, mais c'est merveilleux! Et je suis chanceux, même si c'est mon choix, d'avoir fondé une famille. Peu importe le temps qu'il fait, peu importe si je me blesse, peu importe si quelqu'un que j'aime meure, ma famille est toujours là. Je suis chanceux de les avoir. Je remercie Dieu chaque jour. À bientôt.

mardi 18 février 2014

Se prendre en main soi-même.

Je me disais, hier, que je devais continuer. Oui, c'est ça! Continuer, une journée à la fois. Peut-être pour me reposer, prendre plus de temps pour moi, pour être ce que je suis. Quelqu'un écrivait ce matin, si vous pouviez changer de vie, une seule journée, qui seriez-vous et pourquoi? Je n'ai pas trouvé de réponse et ça m'a rendu heureux! Si je n'ai pas réussi à trouver de réponse, ça veut dire que j'aime bien ma vie! Yes! Alors continuez de vivre chaque journée comme si c'était la dernière. Ou encore, la première. Dépendamment de vous. Si c'était votre dernière journée, en profiteriez-vous pour faire un vol de banque ou pour écouter les oiseaux? Là est la question. Bien sûr, j'extrapole, mais quelque part, si vous avez des regrets, il faut s'en débarasser! Si vous avez des atomes crochus avec quelqu'un, il faut lui en parler. Tout ça ne se fait pas la même journée, mais petit à petit,rien ne sert de courir (d'ailleurs nous courons assez!), juste prendre le temps de vivre. Vivre chaque instant. Écoutez le jour de la marmotte, c'est merveilleux. Il faut aussi croire en soi, se faire confiance. Dure tâche qui ne s'acquiert pas dans un jeu vidéo, ni en lisant. Je pense que l'expérience amène la confiance. Plus vous pratiquez un sport, normalement, plus vous vous améliorez. C'est en forgeant qu'on devient forgeron. Quand ça va mal, retournez dans vos racines. Laissez votre coeur parler. Si pour vous, lire un bon roman est source de réconfort, alors faites! Par contre, si vous préférez partir seul dans le bois, le moyen par excellence pour vous ressourcer, allez-y! Il faut se libérer des toxines sentimentales, sans pour autant laisser son corps à la dérive. Donc, faire tout ce qui est en notre pouvoir pour avoir une belle vie. Ça peut paraître abstrait, mais on ne peut réussir à tous les coups. On ne peut pas non plus être champion le premier jour. Mais il faut se donner du temps, se fixer des objectifs. Ça peut paraître une montagne, surtout si le temps nous a déjà rattraper un peu.  Ne laisser pas la vie vous diriger, encore moins les autres, vous êtes le capitaine de votre bateau.

lundi 17 février 2014

Tristesse

Donc, après une fin de semaine de repos, je me sens encore fatigué. Mais on dirait une fatigue que je ne connais pas. Une fatigue dans ma tête, une fatigue hypocrite. Bref, je me sens bardassé, bousculé, alors que je tente de me reposer. Ma blonde s'est fait opérée vendredi matin passé. Tout semble aller comme sur des roulettes. Elle prend du mieux, comme le médecin l'avait dit. Et puis, après l'avoir entendue discuter hier avec une collègue au téléphone, je crois qu'elle chemine bien. Mais le problème demeure entier. Je suis triste. Je ne veux plus être triste. Je veux redevenir aussi joyeux qu'avant. Joyeux, heureux dans mon coeur. Je pousse, je me pousse chaque jour. Je sais que je dois continuer, mais il me semble que les questions récentes m'ont pris pas mal d'énergie. Et je continue de cheminer. De voir les autres aller. Loin de me laisser abattre, je veux travailler, mais avec plus de retenue. Je ne suis pas capable de me reposer de façon décente. On dirait que je dois toujours en refaire par dessus. Je me demande si je dois faire des changements dans mon métier. AU fond de moi, en fin de semaine, j'ai écouté ce que mon intuition me disait; et puis, comme pour me faire sentir que je ne devrais pas, le silence m'a dit de ne rien changer, sauf les choses qui ne te disent rien. Celles qui me tirent du jus, les mettre de côté, si possible, les donner à quelqu'un d'autre. Même si un de mes contacts a une bonne relation avec un tel, rien ne prouve que cette relation sera bien avec moi. Et ce n'est pour mal faire, juste un concours de circonstances. Et quand je me demande c'est quand les moments où je fus le plus heureux, je m'en remets au décompte 2013 des événements qui m'ont rendu heureux. Ce ne sont que des moments, mais je suis convaincu qu'ils étaient vrais. Je suis convaincu qu'ils étaient un cadeau auquel j'ai eu droit. Bon, assez discuté, j'ai une semaine à décortiquer.

vendredi 14 février 2014

Hospitalité.

Encore une fois, aujourd'hui, je serai en milieu hospitalier. Est-ce que ce mot vient de hospitalité? En République Dominicaine, cela provient de l'hospitalité des gens! Même si tu ne travailles pas, tu as droit à des soins. Mais ici, il semble que ce soit «on vous à la porte le plus vite possible». J'ai bien hâte de voir si les heures de rendez-vous ainsi que les délais seront raisonnables. Bref, je n'ai pas de pronostic encourageant. Nous verrons bien. Y a rien comme de le vivre pour en témoigner. Une chose est sûre, ça commence la journée bizarrement. Depuis le mois de juillet 2013, j'en ai ma claque des hôpitaux. Tout va tellement vite, c'est le seul endroit où tout paraît long! Mais le plus important, ce seront les résultats de cette intervention. Ma femme souffre depuis trop longtemps. Pour en revenir à l'hospitalité, vous pouvez passer chez nous, vous serez bien traité, vous pourrez manger, boire et dormir. Et s'il vous faut une oreille, nous serons là. À plus!

jeudi 13 février 2014

Dites-le!

Il est vrai que le temps passe et arrange bien des choses. Mais de rester là, sans rien faire, ne peut faire grouiller les choses très vite. Je me dis que qu'à force de travail, d'efforts, la vie va nous récompenser. Bien sûr, en réalité, nous nous remercions tout seul. Mais bon, il faut passer au travers des épreuves que la vie nous présente. Véritable sortilège qu'est l'attraction vers le bas. On dirait qu'il est plus facile de glisser vers des sentiments négatifs que positifs. Une fois la roue qui tourne, difficile d'en sortir. Les idées se bousculent et rien ne va plus. Dans mes pensées, j'étais embourbé, ne sachant plus où donner de la tête. Et puis j'ai voulu très fort trouver les solutions, la bonne piste à suivre. Advienne que pourra, je n'ai pas de grosses ambitions, mes rêves sont déjà présents dans ma vie, mais j'en ai assez pour m'occuper chaque jour qu'il m'est donné de vivre. Car cette vie est un privilège, un cadeau. Il faut s'en assurer à chaque heure. Depuis un certain temps, à voir les boomers qui s'en vont un à un, je n'ai d'autre choix que d'apprécier ma vie. Je mords dans cette vie que j'ai construite, je la chéris! Si vous êtes en amour avec quelqu'un et que vous ne lui dites jamais, dépêchez-vous de vous reprendre. Il ne faut pas attendre d'être mort ou que les autres soient morts pour s'exprimer, pour donner notre opinion. Amusez-vous, le plus souvent possible, souriez à la vie, riez des petits maux qui sont en travers de votre chemin et accueillez les épreuves comme un apprentissage. Comme ça, vous serez plus prêts face à l'épreuve!

mercredi 12 février 2014

Découragé!

Quand t'as envie d'aller mettre de l'essence parce que ça vient de descendre à 1,29$ le litre, tu commences à être soumis en crime! Non mais une chance que j'ai mon blog pour me défouler! De jour en jour, le simple de fait de se promener en société est enrageant! Partout, on se fait fourrer! Imaginez un bonhomme carnaval à 15$! Pas mal plus raisonnable de rester à la maison ou encore d'emmener les enfants patiner à Shannon. Dur à croire que c'est vrai! Pourtant, rien ne s'améliore. Le Maaîîîttrrre vient de donner 10 000$ dollars par année, à vie, pour une bande de barbus comme ceux de «occupy Wallstreet». Mais la plaque de glace en bas de ma rue, elle est toujours là! Les petites rues sont encore glacées, on ne finit plus de compter les voitures dont au moins un pare-chocs est cassé! Tout ça à cause du piètre entretien des rues de la ville. Une chance que j'ai cette façon d'exprimer ma pensée. Je veux trouver une solution plus saine pour mon esprit. Une façon plus zen pour compléter mes journées. JE vois trop large, mais en même temps, je suis seulement conscient de ce qui se passe. Je sais, il y a les olympiques, mais comme je n'écoute jamais la télé, ni ne lis les journaux locaux, je ne sais pas trop ce qui se passe. D'ailleurs, ce que j'ai lu à date, il semble qu'il y a une sorte de divergeance entre les athlètes québécois  et les autres canadiens... Imaginez... C'est vraiment n'importe quoi! Au moins je peux l'écrire!

mardi 11 février 2014

Tanné de payer pour les autres

Depuis le 20 novembre 2013, soit la journée où j'ai su que ma mère allait nous quitter, je suis demeuré pensif. On dirait que tout est plus dur. On dirait que je n'ai plus de volonté. On dirait que je dois absolument réfléchir avant d'agir. Chaque minute est plus réfléchie que d'habitude et cela m'agace. Je dois me ressaisir. Je n'ai plus l'entrain que j'avais. Je dois admettre qu'avant tout ça, j'étais déjà très fatigué. Épuisé même! Mais ce fut un dur moment et je crois que je doid prendre le temps de réfléchir à ce que je dois faire. Réussir à me concentrer sur quelque chose de pus ciblé. J'ai travaillé tellement fort pour être Preferred 3M installer, je pense que je devrais y songer plus longuement. Pas trop tout de même, car le temps passe très vite.Trop vite. Loin de moi l'idée de tout foutre en l'air, mais plutôt de savoir où je m'en vais. Je crois que les vacances m'ont donné cette chance. Le temps de prendre un certain recul. J'ai des choses à faire. Des tas de choses. Pour l'instant, je dois vivre encore cette période de réflexion. JE prend bien du plaisir à écrire chaque jour de la semaine. La fin de semaine, je prends une pause. Une pause sur tout. J'essaie d'oublier mon travail, les obligations, le train-train hebdomadaire. Mais c'est court une fin de semaine. Le temps y passe vite, plus vite que la semaine. Et comme la fatigue nous envahie, nos accomplissement prennent plus de temps. Bien dommage. Si la moitié des gens vivent ce que je vis présentement, il est normal de se faire embarquer par nos dirigeants, qui, avec une vue extérieure, constatent nos faiblesses et en abusent. C'est dommage, avoir une tribune et faire chier le monde avec. Pourquoi ne pas faire de grandes choses, comme réduire le fardeau fiscal chez les familles. Réduire les taxes, trop présentes et trop hautes. Pourcentage d'impôt pour tous. Fini les préférences et fini les déficits! Réduire l'intervention de l'état. Trop de gouvernement, trop de subventions, ça nous coûte trop cher. Et ça paralyse l'économie. Facile pour quelqu'un qui survit grâce à l'argent «poussé» par le gouvernement de dire que c'est essentiel. Quand je suis allé en République Dominicaine, J'y ai vu des gens heureux. Mais si tu ne travailles pas, personne ne paie à ta place. Seuls les soins de la santé sont payés. Ici, même si tu décides de te «poigner» le cul pour la vie, nous allons tous payer pour ta survie. Et ça, c'est injuste! Je suis fatigué, mais je continue de subvenir à mes besoins. Et quand le stress de l'argent monte, je cherche des solutions, je me perfectionne, je deviens meilleur! Et vous?

lundi 10 février 2014

Rester à l'affut.

Mis à part la castafiore et le Maîîttrrre, les choses vont quand même bon train. Ignorer que deux individus sabotent notre quotidien est digne d'être en thérapie ou d'en sortir, mais au moins, cela me permet de continuer d'avancer. Là Où la vie me laisse une chance, je dois la saisir. Et c'est moi qui décide, c'est moi qui tient le volant. Au diable les autres qui veulent se moquer de moi ou encore profiter de moi. Je suis le seul maître à bord. Laissons de côté les vieilles croyances qui racontent que les québécois sont nés pour un petit pain. Il est temps de jouer nos cartes, celles qui feront de nous des gagnants, heureux et en santé. Ne laissons pas des petits groupes d'intellos nous dicter quoi faire. Tassons les couleuvres brunes et regardons la vérité en face! Ça tient du miracle que les taux d'intérêts n'aient pas encore monté. Alors il faut agir en douceur et ne rien précipiter. Mais il faut faire quelque chose pour notre avenir. Quoi qu'il en soit, le simple fait de passer à l'action nous promet de belles surprises. Je me dis de rester éveillé, de surveiller les autres. Car depuis un certain temps, je suis méfiant aussi face aux autres, ceux qui sont près de moi. Oui, oui, ils m'ont fait peur, ils ont usé ma confiance! Donc ils cherchent eux aussi à tirer leur épingle du jeu. Les moyens que l'on prend peuvent paraître difficile pour notre entourage, mais pour d'autres, comme des solutions gagnantes et écrasantes! Car laisser un compétiteur à nos côtés, c'est la meilleur chose à faire. Car sans challenge, nous risquons de faiblir, de baisser notre garde, de devenir vieux et dépassé. Voilà.

vendredi 7 février 2014

Illusion

Donc la castafiore veut des élections? Pis le prix du litre d'essence est trop cher? Celui du diesel aussi? Faire l'épicerie demande beaucoup de gestion de coupons et d'imbattables? Et que dire des différences de prix une fois la frontière passée!!! Bref, au Québec, ça chire en sacrament! Plus on en parle et plus on se réveille. Personne ne vote pour la castafiore, mais elle fait ce qu'elle veut! De plus. ses décrets n'ont réussi qu'à nous faire chier et non régler des problèmes urgents! Doit-on s'inspirer de ses agissements? Doit-on envier sa fortune et tenter de l'imiter pour être plus riche? Faites comme vous voulez, moi j'en ai déjà trop entendu, la coupe est pleine, depuis trop longtemps. Le simple fait qu'elle soit encore en politique tient d'un fait inexpliqué et inexplicable. La vie est trop courte pour continuer d'endurer ses sarcasmes et aussi son idéalisme séparatiste. A-t-on besoin de se retrouver seul en des temps aussi économiquement difficiles? Chaque jour est une nouvelle interrogation. Chaque semaine demande plus de planification et chaque trimestre mérite d'être analyser. Parce qu'il y a un enlisement global au niveau de l'activité économique. C'est très dangereux. Vivre au dessus de ses moyens, c'est tellement dangereux. Qui risque rien, n'a rien, mais il y a une limite entre se devoir le cul au complet, celui de son conjoint et aussi celui de chacun de ses enfants! D'autres doivent aussi celui de leurs futurs petits-enfants! Mis à part une course effreinée qui nous pousse vers un abîme non déterminé, le mur d'illusions qui nous retient va céder à un moment donné. Il ne sera pas trop tard, mais il faudra payer, payer cher...

jeudi 6 février 2014

Toujours des défaites, mais peu de transparence!

Quel retour au Canada! Et quel retour au Québec! Très content se savoir que cette année, c'est notre arrondissement qui a les plus hautes taxes! Encore 150$ de plus cette année! Nous payons pour l'harmonisation des fusions (dettes et vieux trucs de chaque ville avant la fusion). Quel merdier ces fusions. Depuis les fusions municipales, rien n'est simple, mais surtout, tout est plus lent, tout est plus long et tout coûte plus cher! Non pas que je soie pessimiste, mais les services municipaux diminuent, les taxes augmentent! Sur le pavé, à 500 mètres de chez moi, il y a eu avant Noël, un dégât suite au bris d'une conduite d'égoût ou d'aqueduc. Il y a eu déversement d'eau sur la chaussée. Et bien, il y a encore de la glace dans la rue! Je me demande si quelqu'un est négligent! Toutes les fois que nous passons là, il vaut mieux passer à côté, en se tassant dans la voie inverse. Sinon, ça cogne et ça brise nos voitures. Et comme on ne peut poursuivre ou faire quelques réclamations que ce soient à la ville... Je me souviens, bien avant les fusions, ma femme avait «pogné» un nid de poule et un pneu avait lâché. La carcasse radiale s'était défoncée. Plusieurs personnes se plaignaient de ce fait, mais personne ne fut remboursé. D'ailleurs, il y a trois hivers, la niveleuse avait «accroché» fortement le coin de notre entrée et cela avait abîmé sévèrement la chaine de ciment qui borde le gazon. Cela formait un monticule au printemps. Nous avons appelé 3 fois dans l'été. «Oui monsieur, soyez patient, vous avez communiqué nous un peu tard, mais nous nous en occupons». L'été dernier, j'ai payé un contracteur pour refaire mon entrée et du coup, reconstruire ce coin. Mais mes taxes ont encore monté.

mercredi 5 février 2014

Petite réflexion sur la vie

Après 10 journées pleines en République Dominicaine, je dois revenir avec le fait que nous nous faisons fourrer en mautadine au Québec! Ce n'est pas rien! Au dires de certains, même avec les surtaxes, les impôts et tout ce que vous pouvez vous rendre compte que nous payons en double, nous sommes bien au Québec. C'est sûr, certains ne seraient pas prêts à revenir en arrière, mais les gens en République sont heureux. Ils vivent chaque journée comme un cadeau! Et ils le font très bien! Nous, ici, nous courons, courons! Malheureusement, nous manquons le plus important, vivre! Et ça, c'est notre choix! Et ceux qui disent qu'aux États-Unis, les voisins ont des fusils dans leur maison, que d'autres qui ne sont pas assurés meurent chez eux ou dans la rue... D'autres qui marmonnent le climat. Un chose est sûre, le climat, on ne peut le changer. Mais on peut déménager! Et puis, qu'il y ait des tempêtes tropicales, des ouragans ou des tremblements de terre, soit! Pensez-vous que c'est plus drôle ici? On se gèle le cul à l'année! Et lorsque la vie nous offre une journée chaude et ensoleillée, on est tellement fou, que le soleil nous brûle la peau! Donc, la théorie du climat n'est pas bonne ! Pour ce qui est du salaire des gens en République, bien sachez qu'ils sont heureux, pas trop capitalistes pour le moment. Et, il fait bon vivre là-bas. Ils sont riches d'une culture extraordinaire. Ils parlent plusieurs langues, au moins trois! Et cela les fait progresser! Pas tellement de syndicats pour ralentir les choses, pour ralentir les ardeurs de ceux qui veulent travailler! Alors je continue à me botter le cul et je remercie chaque jour, car c'est un privilège! Peu importe où on demeure, la vie se doit d'être belle! On s'en reparle!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...