mardi 11 février 2014

Tanné de payer pour les autres

Depuis le 20 novembre 2013, soit la journée où j'ai su que ma mère allait nous quitter, je suis demeuré pensif. On dirait que tout est plus dur. On dirait que je n'ai plus de volonté. On dirait que je dois absolument réfléchir avant d'agir. Chaque minute est plus réfléchie que d'habitude et cela m'agace. Je dois me ressaisir. Je n'ai plus l'entrain que j'avais. Je dois admettre qu'avant tout ça, j'étais déjà très fatigué. Épuisé même! Mais ce fut un dur moment et je crois que je doid prendre le temps de réfléchir à ce que je dois faire. Réussir à me concentrer sur quelque chose de pus ciblé. J'ai travaillé tellement fort pour être Preferred 3M installer, je pense que je devrais y songer plus longuement. Pas trop tout de même, car le temps passe très vite.Trop vite. Loin de moi l'idée de tout foutre en l'air, mais plutôt de savoir où je m'en vais. Je crois que les vacances m'ont donné cette chance. Le temps de prendre un certain recul. J'ai des choses à faire. Des tas de choses. Pour l'instant, je dois vivre encore cette période de réflexion. JE prend bien du plaisir à écrire chaque jour de la semaine. La fin de semaine, je prends une pause. Une pause sur tout. J'essaie d'oublier mon travail, les obligations, le train-train hebdomadaire. Mais c'est court une fin de semaine. Le temps y passe vite, plus vite que la semaine. Et comme la fatigue nous envahie, nos accomplissement prennent plus de temps. Bien dommage. Si la moitié des gens vivent ce que je vis présentement, il est normal de se faire embarquer par nos dirigeants, qui, avec une vue extérieure, constatent nos faiblesses et en abusent. C'est dommage, avoir une tribune et faire chier le monde avec. Pourquoi ne pas faire de grandes choses, comme réduire le fardeau fiscal chez les familles. Réduire les taxes, trop présentes et trop hautes. Pourcentage d'impôt pour tous. Fini les préférences et fini les déficits! Réduire l'intervention de l'état. Trop de gouvernement, trop de subventions, ça nous coûte trop cher. Et ça paralyse l'économie. Facile pour quelqu'un qui survit grâce à l'argent «poussé» par le gouvernement de dire que c'est essentiel. Quand je suis allé en République Dominicaine, J'y ai vu des gens heureux. Mais si tu ne travailles pas, personne ne paie à ta place. Seuls les soins de la santé sont payés. Ici, même si tu décides de te «poigner» le cul pour la vie, nous allons tous payer pour ta survie. Et ça, c'est injuste! Je suis fatigué, mais je continue de subvenir à mes besoins. Et quand le stress de l'argent monte, je cherche des solutions, je me perfectionne, je deviens meilleur! Et vous?

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...