Très restrictif.

Il fait moins un degré, nuageux, je suis allé faire un tour dehors; Pas de vent, un peu de gros sel «mouillé» au sol, rien pour faire paniquer personne. J'ai toujours une sorte de blocage du côté droit, au bas du dos. C'est vraiment désagréable, mais surtout, c'est très restrictif pour accomplir une journée de travail. J'ai pris un rendez-vous chez le chiro pour demain. J'espère que les choses ne vont pas se détériorer. Ce matin, ce sera un moment historique, alors que nous procéderons à la dissolution de l'AGAVB. Après deux années de «rien du tout», le moment est vraiment dû de fermer cet organisme reconnu, ce regroupement de commerçants locaux, qui, pendant dix ans, fut une façon très agréable de rencontrer des gens, de réseauter, d'apprendre un paquet de nouvelles choses. Quel dommage que la supercherie ait eu raison aussi de notre organisme favori. Je vous en reparlerai sûrement plus tard. Ensuite, je verrai comment se déroulera la journée. Je veux organiser un petit rassemblement pour François, histoire de créer de nouveaux souvenirs. Son départ dans l'ouest me touche beaucoup, mais il semble tellement heureux. Depuis qu'il m'a confié la vie de Betty, notre relation fut vraiment spéciale. Et au delà du décès de Betty chien le toutou, notre relation demeure authentique. Voilà où j'en suis. À suivre.

Les émotions volent de partout!

Il fait moins sept degrés, c'est plus chaud qu'annoncé précédemment! C'est merveilleux! Hier fut une grosse journée! Une journée heureuse, mais très bien remplie. En revenant de ma rencontre de groupe, nous sommes allés faire du fatbike! Ça cognait tellement! Ce matin, j'ai comme un bas du dos côté droit qui fait mal en jesus christ! Et je crois que ce sera l'obstacle du jour... Pour revenir sur ma rencontre, ce fut, selon moi, la meilleure depuis le début. Les échanges sont vraiment merveilleux. Les émotions volent de partout. Les discussions s'enchaînent bien. Lorsque ce fut mon tour de me présenter, le temps nous manquait, mais ce sera à poursuivre mardi prochain. J'ai hâte et j'ai bien aimé ça. Et je suis allé souper avec Benoît, à son appart sur Lebourgneuf. Je fut agréablement surpris de tout cet endroit! Nous avons jasé, nous avons ri, un très beau moment qui m'a fait du bien. À mon retour, je suis allé mettre du gaz, ouf! Malgré une baisse, 1,749$ Ishh! Puis à mon retour, nous avons écouté un autre épisode de «Arrow». Génial! Nous sommes accros, ma Bibi et moi! J'ai tout de même réussi à travailler. Et ce sera le cas aussi aujourd'hui. On s'en reparle, j'ai un dos qui crie!

Tanné de me faire dire quoi faire…

Il fait moins onze degrés, la vie continue. Il neigé un peu cette nuit. J'ai bien hâte de pédaler dehors, de sentir le vent dans mon visage, de sentir cette liberté! Je me sens un peu piègé par tout l'harassement de nos dirigeants, qui tirent partout pour pouvoir restreindre nos vies! Je trouve que ça commence à être tellement plus que trop! Une petite parenthèse pour dire que je suis tanné qu'on me rappelle que les oscars existent toujours, que me rappelle qu'il y a une guerre entre la Russie et l'Ukraine. Et aussi, je suis plus que tanné de me faire dire quoi faire, de comment respirer! Hier, je suis allé à ma rencontre en psychologie, je trouve que ma vie avance tranquillement, mais à la fois trop vite. Le temps qui passe ne reviendra jamais. Alors je veux profiter au maximum du temps qu'il me reste. Je sens mes doigts s'effriter sur la roue du temps qui tourne à une vitesse incroyable! Éternelle, cette roue n'arrête jamais, personne ne peut l'arrêter! Aujourd'hui, j'ai ma rencontre en groupe, on commence les présentations individuelles. Le but est d'échanger, de mieux comprendre l'autre. J'ai bien hâte. Pour le reste, j'ai bien des choses à m'occuper d'ici là et je dois aller lever ma Bibi, à plus!

Vivre sans toutes ces contraintes.

Il fait moins neuf! J'ai lu ceci tantôt, c'est l'hiver des indiens! Bin oui!, Un autre petit coup de froid! Nous allons survivre, mais c'est sûr que ça fait un peu mal. C'est tout à fait normal pour la saison, puisque ici, dans la ville de Quebec, l'hiver dure souvent six mois. Ça laisse peu de temps pour les trois autres saisons! Je me sens tout de même content de pouvoir continuer à vivre, continuer à travailler. Des fois, lorsque ça fait longtemps que les enfants ne se sont pas pointés, je me sens un peu coupable de ne pas prendre du temps pour eux. Mais ça va sûrement passer avec le temps. Les années furent difficiles, mais le temps semble guérir tranquillement ces traumatismes. Ce n'est pas facile à comprendre, ce n'est pas facile à survivre, mais c'est là qu'il faut que je m'accroche. Je réussis à faire mes choses, je veux vivre le plus possible, à l'abri de plusieurs de ces ressentiments. Mais je veux aussi vivre sans toutes ces contraintes gouvernementales, mautadite supercherie qui se perpétue, sans trop de gène. Legros et sa gang se foutent encore et toujours de nous. Il préfèrent nous laisser dans l'incertitude, que ce soit pour ceux qui ont peur, ou ceux qui sont tannés; il demeure intraitable, comme le serait un dictateur. Il préfère laisser les gens souffrir, les laisser dans leur malheur. Certains s'en sortent pas si mal, car l'homme s'adapte à tout; mais ce n'est pas toujours aussi facile. Je me demande où s'arrêtera l'inflation, qu'est-ce qui va nous arriver... Je ne sais pas quoi penser, mais je me concentre sur les choses auxquelles j'ai du pouvoir. Bonne semaine!

Ça presse de le vivre!

Il fait deux degrés, le ciel est toujours couvert. Il semble que nous vivrons un refroidissement, pour quelques jours. J'ai hâte de voir du soleil. Hier, nous avons pris une grande marche, il faisait doux. J'ai apprécié ce moment avec ma Bibi. Puis nous avons pris un SPA, comme c'était merveilleux! Et nous sommes allés au cinéma, voir un film, une comédie romantique, mettant en vedette Sandra Bullock et Channing Tatum. C'était léger, très amusant, et une chance que c'était tôt dans la soirée, nous étions repus, après une journée différente. Joanne avait eu une formation en mammographie, sur Zoom, et moi, je me suis fait une petite journée en solo. Donc j'ai apprécié notre soirée. Le fantôme de la supercherie continue de rôder autour de nous, et c'est vraiment agaçant; sentir cette continuelle pression de la part de nos dirigeants, mais aussi de tous les médias et tous ceux qui ont «peur». Je ne sais pas ce qui sera notre porte de sortie dans tout ça. Tellement que des fois, je me surprends à perdre mon temps à y réfléchir! Cela ne me donne rien. Le mois de mars aura passé très vite, j'en suis vraiment étonné. Je réalise de plus en plus que le temps qu'il me reste pour être heureux, ça presse de le vivre! Je cultive du bonheur chaque jour, du mieux que je peux. Des fois je me sens fatigué par rapport à tout ça, mais mon éternel optimisme revient me chercher, soit par l'écriture ou le dessin. La musique continue de m'aider à avancer, en laissant moins de place au bruit, aux mauvaises énergies.

J’aimerais…

Il fait zéro degré, le ciel est très couvert, il neige encore. Hier nous avons eu au moins vingt centimètres de nouvelle neige! Difficile à croire? Non, mais il est normal de vouloir passer à autre chose! Il y a suffisamment de neige au sol, et tout va bien finir par fondre un jour. En espérant avoir un été digne de ce nom. Le climat social me dérange quand j'ai l'impression d'être un étranger dans ma propre vie. D'accord, nous vivons en société qui évolue, mais je ne peux me faire à l'idée que l'évolution, c'est se cacher, c'est s'éloigner des autres! Pourquoi donc faut-il se mettre au diapason des autres absolument? Ou bien marcher constamment sur des oeufs, de peur de «déranger» autour? Je ne comprends pas les jeunes de se sentir «violés» dans leur droits, qu'ils soient outrés de tout ce qui se passe. Quand je sens que je devrais laisser ma place sur terre pour améliorer cette dernière, ou encore que j'ai l'impression qu'avoir un genre est une sorte de mauvaise habitude, je ne suis plus du tout. Où est passé cet endroit où il faisait bon vivre? Aujourd'hui, j'ai l'impression que je devrais recommencer ma vie pour la mériter; pourtant c'est ce que j'ai fait depuis au moins quanrante ans! Je choisis d'être heureux, mais pour ce fait, je dois m'isoler, je dois espacer mes instants de bonheur, je dois même chercher ce bonheur, pourtant enfoui au fond de moi. Je vois bien que certaines gens sont paniqués, ils ne veulent pas prendre trop de responsabilités, ils ne veulent pas être responsables de quoi que ce soit. Moi ça m'inquiète, ça me rend triste. J'aimerais pouvoir y changer quelque chose, mais je n'y peux rien. Je n'ai pas de tribune, je ne suis pas un «preacher» ni un influenceur sur les réseaux sociaux. Même que je songe à mes soustraire des réseaux sur lesquels je navigue. Pourtant je veux recommencer à publier des dessins sur Instagram. Mais on dirait que la volonté me manque, que je ne suis pas entièrement convaincu. Pourtant, il doit exister quelque part sur cette terre, des gens qui, comme moi, ont le besoin d'exprimer des choses! Mais bon, tout reste à découvrir, et comme je suis un aventurier quotidien dans ma vie, je reste alerte et je me garde en forme, des fois...

Dans mon coeur.

Enfin vendredi. La semaine ne s'est pas déroulée comme prévu, mais j'ai quand même passé au travers! J'ai déjà des installatioons de planifié pour la semaine prochaine! Il fait un degré, nuageux; hier, il a neigé toute la journée, mais au moins la moitié de ce qui est tombé a fondu. Je commence à trouver que c'est dommage que je n'ai pas pelleter un peu mieux, car il neigé pas mal cette semaine... je ne me plains pas, car ça pourrait être vraiment pire. Aujourd'hui je reçois un client, ensuite un peu de clear et de la paperasse. Tant que je réussis à me garder parallèle à tout ce qui se passe autour de moi, économie, politique, actualité générale, tout va bien! Malgré l'applaventrisme endoctriné qui sévit dans les centres villes, je me concentre sur l'essentiel, aller faire des commissions, garder mes oeillères à jour, tel un zombie, je me promène, le regard vide, un peu triste de constater que la supercherie continue... Je ne sais pas pour vous, mais ici, depuis deux ans, il est permis de vivre l'été, alors je suis patient, ayant dans mon coeur des circuits de vélo, des beaux feux, des gens heureux qui partagent leur bonheur! Mais pour l'instant, j'ai un vendredi à vivre pleinement, alors j'y vais! À plus!

Je réussis à me calmer.

Il fait moins un degré, le ciel semble couvert, bien que très noir présentement. Je ne sais plus quoi faire pour rester concentré sur mes choses. La supercherie qui perdure, l'histoire du structurant lourd de projet qui continue de faire des dégâts, autant dans les finances publiques que dans ma tête! Sans parler trop de la coalliton entre les libéraux et le NPD, qui constitue un gouvernement majoritaire au fédéral. Comme si nous n'étions pas assez endettés, Legros nous lance des pinottes avec un chèque de cinq cent dollars, pour m'aider à faire face à l'inflation! Depuis le début de la supercherie, l'impression d'argent n'a fait que diminuer mon pouvoir d'achat. Comment imprimer encore plus d'argent va rémédier à tout ça? Je sens une sorte de pression qui me pince quelque part... Sinon, je me sens choyé d'avoir autant de travail. Tellement que lorsque j'ai des trous dans mon horaire, je sens une petite panique. Mais je réussis à me calmer, à prendre mon air, et à rester bien gronder sur mes bases. Joanne a recommencé à travailler hier, elle semble contente pour vrai. Moi aussi, je suis content. Les choses se placent, malgré tout, nous sommes, Joanne et moi, les pinsons! À plus!

Au jour le jour!

Il fait moins six degrés, le ciel est dégagé! Hier, juste avant le souper, nous sommes allés faire du fatbike! C'était merveilleux! Et pédaler à zéro degré, ça fait du bien! Nous sommes allés très souvent en bas de moins dix, c'était fantastique, un véritable privilège! Et nous nous sommes fait des steaks sur le BBQ! Oh que oui! Mais hier, nous étions dans un de ces moments magiques... Hier, c'était une journée de budget provincial...une véritable farce! En gros, aucun changement, sinon que nous aurions droit à un crédit d'impôt de 500$! Franchement, je pensais que je méritais mieux! Une bande de clowns qui se prennent pour des sauveurs! Malheureusement, comme la majorité des budgets, je me sens floué, je me sens oublié, comme un pion qui ne sert que de bouclier pour les autres! Méchante farce! Mais ce n'est rien de différent! Chaque gouvernement qui passe ressemble à celui qui le précédait! Assez perdu de temps, ce que je retiens, travailler le plus possible pour moi! Pour le reste, j'improviserai au jour le jour!

Applaventrisme chronique!

Il fait moins six degrés, la noirceur est étonnante ce matin. L'an passé, nous avions un repas de pris dehors. C'était exceptionnel! Et bienvenu! Plus j'écoute autour de moi, plus je me rends compte que certaines gens, par leur discours, dépensent beaucoup plus que moi. Je ne suis pas jaloux, mais il est vraiment étonnant de constater à quel point plusieurs personnes peuvent vivre pour acheter des trucs! Beaucoup de restaurant, beaucoup de gadgets, plein de choses jetables, des fois je fais un saut dans mon inconscient... Je ne sais pas pourquoi, mais si je vivais de cette façon, je ne sais pas si je serais capable de payer tout ça. Je me sens bien, dans ma vie, quand je constate, lorsque je m'arrête pour admirer tout ce que j'ai, tout ce que j'ai réalisé. J'essaie de contrôler les escalades, les montées d'adrénaline qui parfois, viennent nous émoustiller! Dans un autre ordre d'idée, je vis dans un monde perdu, où il faut porter un masque dans un magasin... car les entreprises privées ont abandonné cette doctrine, cet applaventrisme chronique. Quelle supercherie! Et comme par magie, une bonne journée, ce dogme sera changé, porter quelque chose qui m'empêche de respirer correctement, ne sra plus nécessaire! Je suis découragé de l'être humain! Je croyais que le changement viendrait plus vite, et que ce serait la population qui pousserait le gouvernement à agir, et non l'inverse! Legros, une tare pire qu eles syndicats!

Une autre semaine de travail.

Lundi matin, une autre semaine qui recommence! La douxième de file depuis le début de l'année. Il fait un degré. Quelle belle fin de semaine, malgré une température de cul. Vendredi, nous avons essuyé pas mal de neige, mais le temps doux nous a permis de garder le sourire. Par contre, la fin de journée de vendredi, laquelle se passait chez Alain et Ginette, j'ai utilisé mes talents pour faire de la finition dans la salle de bain. Avant de commencer tout ça, j'ai pu constater que le silencieux de mon camion s'est séparé en deux! Mais deux heures et demi plus tard, j'avais terminé de revaloriser la salle de bain de mes amis. Ensuite, un excellent souper, et des tas de discussions. Nous nous sommes couché plus tard que minuit! Mais c'était comme avant la supercherie! Et notre samedi, bien qu'assombri par une météo dégueulasse, nous avons souper avec nos amis Laurent et Tatie! Une belle soirée, nous avons joué aux cartes, c'était très amusant. Puis, hier soir, ma soeur est revenue de voyage. Elle et son chum ont passé un excellent dix jours au Mexique! Mais comme toute bonne chose à une fin... Et me voilà dans ce lundi matin, prêt à foncer dans une autre semaine de travail. Je traverse sur la rive sud pour travailler sur une roulotte. Je me dis que je vais charger un prix de fou, mais je dois m'adapter en conséquence du coût de la vie, mais aussi de l'inflation qui me fracasse les finances, simonac! Et voilà comment je poursuis ma route, selon le menu que je me prépare, un jour à la fois! À plus!

Tanné de me sentir opprimé.

Ah...les vendredis! Il fait un degré, la journée d'hier a été moins pluvieuse que prévu, et c'est bin correct! J'ai terminé le dernier véhicule Honda CRV de mon contrat. Maintenant on facture! Il faut que ce soit ainsi. Avant, on dirait que je me foutais bien de facturer, c'était comme une corvée, un fardeau qui venait avec la job. Mais à force de me parler, de me rendre compte qu'en faisant la facture à dernière minute, c'était la meilleure façon d"oublier des choses, de me tromper. Alors je tente de toujours avoir fait la facture avant de livrer, je m'assure d'amener une facture lorsque je travaille en dehors du bureau. Au pire je la réviserai, mais je me dois d'être assidû sur ma facturation. Et je fais un suivi, aussi sur les paiements entrant. Voilà où j'en suis dans la version Lado Lettrage 2.0. Mais nous sommes vendredi, je vais faire de mon mieux pour ne pas me fatigué inutilement! Un peu de paperasse à faire, des suivis, histoire de commencer une autre semaine de travail du bon pied. N'empêche que ça fait onze semaine de file que je travaille, je trouve ça merveilleux. Mais j'ai bien hâte d'avoir un congé. Et ça ira dans le coin de Pâques! Dans un mois, imaginez! Mais comme il fait bon de me sentir bien présent, bien gronder sur ma vie! Je suis tanné de me sentir opprimé, «obligé» de suivre des consignes à l'année, d'avoir quelqu'un qui me dit quoi faire, comment le faire... Sortez-moi de cette folie! Doit-on se préparer à déménager pour de vrai? Car le trois octobre, le soir des élections, l'ancienne belle province décidera de son sort. Comme je ne sais pas la conclusion, je ne sais pas si je dois me stresser d'une quelconque façon. Mais une chose est sûre, continuer avec Legros et ses mesures «martiales», je ne sais pas si j'en serai encore capable... Donc de retour à vendredi, vivre une vie, une vraie! À plus!

Écrasé par les conséquences…

Bon matin! Jeudi, il fait un degré, c'est vraiment une surprise! J'essaie de lire tout ça sur mon appareil, mais il semble que ça ne veut pas se rafraîchir. Comme c'est souvent le cas pour le Wi-Fi. Je vais devoir appeler, pour savoir ce qui se passe, mais aussi, pour savoir pourquoi le prix augmente! Tout augmente, c'est tellement décourageant! Événement spécial, je vais au resto ce midi! Un dîner d'affaire! Ce sera une mise à jour des infos, et ventilation des deux parties qui se rencontreront! Je commence à trouver ça long, la sortie de la loi martiale. Toute ma vie a changé, l'aspect social, tout ce qui est commissions, même mon travail, car je sors tellement moins... Et tous ces changements, je les dois à Legros et sa gang, ces gens qui ont échafaudés une sorte de dictature. Les gens cherchent à me reprendre, lorsque parfois, nous réussissons à en parler; ils sont en déni par rapport à cette affirmation. Ils ne veulent pas regarder en face cette montée vers une pensée trop socialiste, mettant en péril la démocratie de notre société. Je ne veux pas mettre le feu, je veux juste continuer à taper sur le clou, chercher à réveiller les gens, peut-être même, réussir à alerter quelques gens qui auraient, une tribune, une autorité quelconque. Maudite marde, difficile de croire que nous sommes autant «écrasés» par les conséquences d'une mauvaise gestion de crise. À quel point des gens ont réussi à l'échapper, à trop vouloir intervenir dans l'économie, tout est brisé! L'inflation nous détruit, à moyen et long terme, ce sera catastrophique. Je ne veux pas vivre dans ce chantier, dans cette maison de fou ingérable! Tout ça est à revoir au plus vite, car je ne suis plus moi-même par moment; je dirais même que je me renferme de plus en plus sur moi-même, je replie ma vie en une plus petite section, car vivre dans ce tas de marde, me fait trop mal. Je veux vivre, et non survivre!

Loi martiale.

Il fait moins cinq, le beau soleil d'hier m'a fait du bien! Le changement d'heure est difficile sur l'humeur; je n'ai pas utilisé mon réveil matin, mais je me lève un peu plus tard. Question d'ajustement, de me sortir du «jetlag». Pas drôle quand même, de s'imposer ce traumatisme! Et pourquoi? Parce que le but, c'était de sauver des coûts d'électricité. Mais depuis que je suis petit, j'ai toujours pensé que c'était pour jouir de plus de luminosité, pour avoir plus de clarté, pendant la belle saison! Ah, la belle saison... J'aime tellement être dehors à cinq heure du matin! Pédaler dehors, écrire dehors, écouter le silence de la vie autour! Une histoire d'Amour, que celle de pouvoir être dehors, sans manteau, sans veste, sans bottes! Sortir les vidanges sans être obligé de s'habiller, de changer de chaussures... La vie continue, même que que le temps passe vite, tellement vite! Au coeur d'une attente sans fin, je veux ravoir ma vie, je veux récupérer ma liberté! Il faut que Legros arrête de renouveler sa loi martiale, comme un lâche! Avec ce passe-droit, il peut faire tout ce qu'il veut, sans demander à personne! Aucun appel d'offres, pas besoin de consultation, tout passe droit! J'en ai peur, car ma vie n'appartient pas au gouvernement! Laissez-moi vivre MA VIE! Et laissez-moi aussi un peu d'argent, cet argent que je gagne! Je trouve que votre diktat perdure, vous n'avez aucun respect pour l'être humain! Et vos combines avec les merdias fonctionne tellement... C'est tellement dur de voir des gens dire que tout est terminé, que nous sommes revenus à la vie d'avant! Anyway, on s'en reparle!

Optimiste

Donc il fait moins six, je trouve ça merveilleux! Ça sent le printemps, les températures annoncées sont pour le moins encourageantes! Je me demande si ce sera aussi chaud qu'annoncé. Souvent, ici, dans l'ancienne belle province, les températures sont plus basses que celles annoncées. Mais une chose est sûre, je ne peux rien changer à tout ça! Aujourd'hui, c'est ma deuxième rencontre de la nouvelle thérapie de groupe. Hier j'avais une rencontre individuelle, préparatoire à tout ça. Je suis optimiste par rapport à ça, je pense que ça ne peut que me faire du bien. Et comme j'ai un début d'année qui démarre en trombe côté travail, mon horaire est très bien rempli. Je ne me plains pas, au contraire, mais j'ai hâte de voir du soleil, de recharger mes batteries. Lorsque le soleil sort pour de vrai, mon corps revit, le sommeil devient moins nécessaire, le sourire s'affiche plus vite, plus naturellement! Je sens aussi que ce sera un été différent, juste à penser à l'inflation, le prix de l'essence, les limitations imposées par nos dirigeants! Je travaille, ayant en tête une certaine philosophie d'avancer en payant de plus en plus de dettes. Et en novembre, bin oui, mon camion sera payé! Je suis vraiment fier de moi. D'ici là, Vicky va déménager. Cela va me donner de nouveaux défis! Vendredi, les freins de l'auto à ma soeur seront changer en neuf! Pour le reste, je me sens mieux qu'hier, plus heureux, moins zombie... Alors je me dirige lentement vers cette nouvelle journée, où j'ai l'intention de travailler, de rester concentrer le plus possible! Et comme j'en oublie un peu tous les jours, j'ai l'intention d'en faire encore un peu plus! À bientôt!

Je ne suis pas jaloux

Aujourd'hui, je me rends compte pourquoi je suis un extraterrestre! Les gens préfèrent se faire porter pâle, se trouver des excuses, «callé» malade, plutôt que de se battre! Affronter les problèmes de face! Les différents intervenants comme les psychologues, les psychiâtres, les travailleurs sociaux, leur ont dit qu'ils avaient le droit de se sentir faible, de se sentir fatigué! Que ce n'était pas grave de manquer une journée de travail! Juste des droits, pas tellement de responsabilités! Moi je continue de travailler pour payer leurs consultations, leur médication, leur retraite! Mais que me reste-t-il? Je ne veux faire partie de ce troupeau; je veux continuer de mériter mes journées, de mériter ce que j'ai! Ce que j'ai accompli, c'est vrai. Je me dois d'être fier de mes accomplissements, mais c'est difficile d'oeuvrer dans un métier non reconnu, sans avantages par rapport à une retraite ou encore des bénéfices marginaux. Je ne suis pas jaloux de ceux qui en ont, mais je trouve ça de plus en plus dur d'être travailleur autonome, de vivre au gré des contrats, tout en continuant de payer pour les autres. Je voudrais trouver un moyen de garder un peu plus d'argent pour moi. Le gouvernement ramasse tout ce qu'on a! Il ne laisse rien! Alors je m'accroche à ces choses qui sont vraies, des choses tangibles. Et si je veux rêver, j'ai toujours mes dessins! Alors je fonce! Je pense que je devrais arrêter de vouloir réveiller les gens. Peut-être puis-je prendre tout mon temps pour moi? Trouver des façons autres de travailler pour moi! Je suis fatigué, épuisé de toujours constater qu'il ne me reste jamais rien à la fin de chaque trimestre. Je veux changer ça. Je vais étudier ça.

Le temps se réchauffe.

Après une fin de semaine qui est devenue plusieurs minutes de pelletage, nous avons eu de bons moments pour nous reposer! Vendredi soir, je suis rester coincé dans l'embouteillage monstre, provoqué par un bris sur le pont Laporte! Ce bris, sur un joint de dilatation, a paralysé la circulation de midi jusqu'à tard dans la journée! Il était impossible de revenir sur la rive nord, sans y investir une heure et demie! Quel merdier! Bah! Ma semaine venait de se terminer, et je savais que ma Bibi ne serait pas à la maison. ALors ce fut un vendredi soir très tranquille. Petite bière et petit souper... Puis, il a neigé toute la journée de vendredi, mais surtout la nuit suivante. Donc samedi, j'ai donné la claque pour libérer encore nos installations. Je commence à avoir hâte de faire un bon feu dehors! Et puis, cette neige a fini par arrêter de tomber. Nous en avons profiter pour prendre un SPA. L'eau est merveilleuse! Et une chance que nous avons ce dernier, quelle détente dans une journée! Et ce fut agréable de constater que le prix du litre d'essence a baissé de dix cents. Non pas que le prix soit «réaliste», ou encore qu'il reflète ce qui se passe sur les marchés, mais ça donne une pause, une sorte de délai pour réfléchir, trouver des solutions pour palier à cet affront. Affronts qui se poursuivent, de toutes parts, provoqués par nos dirigeants, par les différents cartels qui gèrent notre province! Quel combat depuis deux ans! Ce matin, il fait moins huit degrés, le maximum prévu est de un degré! Ça commence à sentir le printemps; je ne veux pas être déçu si la température n'est pas celle annoncée, mais je constate par moi-même que le temps se réchauffe! Et ça, ça fait du bien! Sinon, vivement un nouveau gouvernement qui sera nous représenter, faire valoir nos intérêts! Un gouvernement qui sera conscient que nous sommes ceux qui paient leur salaire! Le simple fait d'avoir un système de santé universel, est digne d'une idée communiste, comme un paquet d'autres concepts, ici, dans l'ancienne belle province. Comme le dirait un de mes amis, vous pouvez aller chier dans le bois! Nouvelle semaine, la onzième de file depuis le début de l'année, à travailler pour payer la retraite des autres! À travailler pour payer des publicités imposées par le gouvernement, publicités qui vont à l'encontre de ce que je pense, publicités pour diriger la pensée populaire! J'aimerais sortir de cet endroit, où l'on laisse les gens à eux-mêmes, où l'on fait croire que tout va bien, jour après jour. Tout tombe en morceaux, mais le narratif, aidé par les merdias, dirige l'opinion et l'information! Ceux qui s'interrogent sont dans le tort, ils ne font que retarder le groupe! Mais je me garde un peu d'énergie, car je veux rester concentré sur mes objectifs, soit qu'il m'en reste un peu pour prendre soin de moi et des miens. Ensuite je verrai.

À la course.

Vendredi enfin, il fait moins huit. J'ai une grosse journée, mais aussi, ma soeur arrive vers six heures. Je vais la porter à l'aéroport, et je garde son auto pour dix jours! Et pour conclure, j'ai déjà un véhicule dans le garage, alors je manque de place. Beaucoup de préparations à faire, et à St-Appolinaire vers quinze heures, pour travailler sur trois camions. Beaucoup de choses pas comme d'habitude, comme ma Bibi qui va déjeuner avec Ginette; mais qui va aussi souper à Donnacona avec ses soeurs et sa mère, suivi d'un spectacle! Elle va revenir tard ce soir. Donc je me dépêche d'écrire un petit mot, car je vais avoir besoin de concentration pour garder le cap. À plus!

Comme sur le neutre…

Ce matin, je me sens un peu triste. Il fait moins quatre degrés, on dirait que le temps se réchauffe enfin. Alors que je me demande si je devrais tout lâcher, laisser en plan tout ce que j'ai accompli pour réussir à gagner ma vie. Mais ce ne sera que temporaire, comme d'habitude, il s'agit d'une sorte de crise d'existence, une façon de me rappeler que le privilège que j'ai, de vivre, de pouvoir créer mon travail tous les jours. Il faut que je m'accroche à mes réalisations, que je réussisse à reconnaître mon excellence. Sinon, survivre ici, c'est un véritable supplice. Hier, je discutais avec Martin Higgins; nous avons eu le plaisir de débattre sur différents sujets; c'était vraiment intéressant! Il est facile de tomber dans la satyre, mais aussi de devenir gris, un peu soumis, désabusé devant la tyrannie de nos gouvernement et de leur diktat! Maudite marde, les gens sont rendus mous, comme sur le neutre, écoutant comme des zombies, ayant au fond d'eux-mêmes une sorte d'espoir vers un retour à la «normale»... N'empêche que je suis fatigué dans ma tête, essoufflé de sentir l'insistance de la supercherie, la suite inflationniste qui nous frappe. Alors qu'il me reste deux jours entiers à ma semaine, je vais me concentrer sur mon ouvrage, en faisant de mon mieux.

Je suis inquiet.

Mercredi matin, il fait moins douze! Hier j'ai sorti une autre fois la souffleuse et j'ai pratiqué mon principal sport d'hiver! J'ai aussi remarqué que la journée de la femme est devenue la journée «des droits» de la femme. Je suis allé à la première rencontre de ma thérapie de groupe; ça va durer seize semaines. Surprise, je suis encore le seul homme dans mon groupe. Suis-je le seul homme à reconnaître que j'ai besoin de parler de ce qui me turlupine? Le pris de l'essence continue son ascension; hier en après-midi, le prix du litre (régulier) est passé à 1,95$. Non seulement c'est du vol, mais rien ne justifie une hausse aussi rapide! D'ailleurs, le gaz dans les réserves, il a été acheté à beaucoup moins cher! Au rythme où les choses augmentent, je me demande quelle sorte d'été nous aurons. Présentement, ça semble abstrait, mais si les prix ne redescendent pas très bientôt, Je ne donne pas cher de notre province en entier. Hier soir, nous prenions une marche, notre sport unversel à ma Bibi et moi; et ma chérie me demandait si nous étions les seuls à voir les autobus vides? Alors, sommes-nous les seuls à voir notre argent se faire dilapider ainsi? Et nous avons localisé un méchant gros trou sur Ste-Geneviève. J'espère m'en rappeler lorsque je passerai là... Car de toute façon, la ville n'est pas responsable de son mauvaise entretien. Comme tout tombe en ruine, que la santé nous coûte de plus en plus cher, le prix de l'essence fera monter encore plus tous les prix. Y a t-il vraiment des gens qui ne sont pas conscients de ce qui se passe? Désolé , je crois que votre réveil sera brutal. Mais je suis inquiet, très inquiet, car je ne sais vraiment pas ce qui nous attend. Allô! environ quatre-vingt cents d'augmentation sur le litre d'essence! Sans compter tous les prix de ce qui nous entoure, qui continuent leur flambée vers le haut! Un effet domino très destructeur...

En manque de soleil!

Il fait moins quatre, encore deux à trois pouces de marde blanche, qui vient se mèler au verglas qui venait de tomber... Cette bouillie pour chat commence à me déranger passablement. J'ai perdu le contrôle de mon déneigement depuis l'épisode du gros sel. Tout ça m'écoeure, et je vois bien que tout ça s'accumule bien trop, et que lorsque ça va fondre, ce sera vraiment plate! Car il y a de la neige partout, dans tous les recoins, surtout ceux que je ne voulais pas! Bon, assez parler des choses auxquelles je n'ai pas de contrôle. Comme le prix de l'essence, comme la supercherie et tout ce que ça comporte. Une fois l'esprit vidé de tout ça, il ne me reste pas grand chose. Mais j'en ai assez pour m'occuper toute la journée! N'empêche que nous sommes le huit mars, journée de la femme, et que c'est souvent le cas, ici, dans l'ancienne belle province, tout est blanc! J'en ai mon tas de cet hiver, j'ai hâte de pédaler dehors, sur la route! Même si le fatbike a réussi à nous amener ailleurs, dans une autre sorte de plaisir! Tant mieux! Je me sens en manque de soleil, en manque de sorties, de dépaysement, d'aventures et sourires! Alors je me donne encore du temps. Il me reste à pelleter encore, dégager mes infrastructures.

OStirité!

De retour après une très belle fin de semaine! Il fait un degré, le verglas a cessé de tombé. Hier, ce fut une catastrophe. Quans je me suis levé, il y avait quatre gros pouces de nouvelle neige de tombé. Mais par la suite, nous avons eu droit à toutes les sauces. Grosse neige, pluie, verglas. Ouf! Quel asile! Mais il y a sûrement pire. Pourtant, samedi matin, nous avions fait un bon gros ménage, et enlever encore de la neige de sur le toit. Mais j'ai dû redonner toute une claque! Mais bon. Vendredi soir, nous avons eu de la visite, Laurent et Tatie! Une petite soirée causerie très relaxante! Samedi en après-midi, nous sommes allés faire du fatbike! C'était vraiment amusant! Un fond de piste enneigé, et il fallait prendre garde au abord de la piste, car ça calait beaucoup! Puis, dans la soirée, nous avions un souper, pour souligner l'anniversaire de Karine! Une petite soirée oùù nous avons beaucoup mangé... Je me sentais bien, un peu à part des garçons, mais j'ai eu des conversations très intéressantes! Et puis, la vie tournait bien, nous avons dansé, mangé comme des cochons! Puis j'ai senti la fatigue venir me chercher. J'ai donc mis le pilote automatique, histoire de me garder du jus pour conduire en revenant. J'étais content de me coucher! Pour changer de sujet, le prix du litre d'essence à la pompe a monté de trente cents en une semaine! Oui! Présentement à 1,839$! Je me demande ce qui se passe, si en plus, nous devons couper pour faire l'épicerie, pour acheter des matériaux, pour acheter mon matériel...pour le faire livrer! Cela va prendre des années se remettre de cette crise! Vous aurez beau mettre ça sur le dos des russes, désolé, le trou d'eau a bien prépré le terrain, en promettant de nous endetter! Et croyez-moi, il a tenu sa promesse! Incroyable! En deux ans, la vie a changé! Et le taux directeur a commencé à monter. Eh oui, les taux d'intérêts vont bouger, pour revenir à la normale! Je me demande ce que ça va donner cet été, car ici, dans l'ancienne belle province, la vie se passe l'été! Samedi soir, j'ai entendu dire qu'une nuit de camping au États-Unis serait à 165$ USD! Et comme aller passer une nuit au Baluchon, avec un souper et un déjeuner, 580$, il y a de quoi se poser des questions. Mais bon, la vie doit continuer, alors nous serons obligés de repenser certaines solutions économiques. J'entends des gens me dire qu'ils devront ralentir le train de vie; nous n'avons jamais dépassé les bornes outre mesure, et nous vivons une sorte d'austérité depuis tellement longtemps! On s'en reparle!

La vie m’apparait surréelle!

Vendredi! Vendredi! La vie va vite en mausus! Il fait moins vingt-et-un! Encore une autre journée de travail avant une petite pause. Neuf semaines de travail déjà en 2022! Incroyable! Et ça continue! J'ai bien hâte de voir combien me rapportera ce trimestre! Les travaux vont bien, mon corps continue de supporter la tâche. Je me sens très mou, très fatigué, mais je suis heureux! La vie m'apparait surréelle! Une aventure incroyable, où l'humain est éprouvé, opprimé, mais continue d'avancer! Voilà ce qui se passe quand les événements, en grande partie causés par plusieurs décisions aléatoires de la part de nos dirigeants! Laisser les gens à eux-mêmes, avec des consignes plus ou moins claires, une époque très sombre de ma vie... Et avec les récentes découvertes, pourtant évidentes, concernant les mensonges qui furent, qui sont et qui continuent de circuler dans notre société! Je me sens usé par cette supercherie, magané de tous ces mensonges, saturé par la tonne de contrariétés, et surtout désabusé de ces politiciens égocentriques! Je suis vraiment épuisé. Mais de pouvoir être reconnaissant de ce que je vis, de ce que j'ai, c'est un privilège à saisir! Pour le reste, je me concentre sur ce vendredi. J'ai une somme de travail à accomplir. Je pense que ce soir, je pourrai relaxerun peu. À plus!

J’en ai trop souffert!

Déjà le trois mars, il fait moins treize, je suis sorti pour ramasser le petit peu de neige qui était tombé. Hier j'ai soufflé près de six pouces de neige! L'hiver est encore bien en force! Même que ce soir, nous retournons dans les moins vingt. Non pas que c'est exceptionnel, mais étant donné les deux ans d'oppression qui perdurent, chaque irritant devient une montagne! Je ne sais pas si les annonces d'hier, données sur les réseaux sociaux, s'avéreront vraies, mais peu importe, je sens que Legros a besoin d'amour. Malheureusement pour lui, je n'en aurai plus jamais! Comme par le passé, j'ai fermé la porte à la Castafiore, de même que pour l'étron libéral, Jean Charest. Donc, comme certains semblent emballés par la candidature de ce dernier à la tête des conservateurs fédéraux, je ne le suis pas! Comme pour les «annonces» de «libération» d'hier, je ne peux pas être excité; après avoir été dupé beaucoup trop souvent depuis des années, les politiciens me puent au nez, ils me répugnent! J'en ai trop souffert des ces personnes narcissiques, qui ne vivent que pour le pouvoir! Des gens qui veulent de l'attention, de la sympathie, mais qui n'hésitent pas à écraser les gens qui ont voté pour eux! Et c'est dommage pour ceux qui sont plus humains, plus près du peuple! Mais restons concentré sur nos objectifs. La semaine avance bien, je suis content. J'ai une grosse journée en vue, alors je m'appliquerai le plus possible, et je m'amuserai! À plus tard!

La semaine se poursuit.

Il fait moins douze, je viens d'aller pelleter un bon cinq pouces de neige très «fluffy». Ce sera très amusant de souffler tout ça. Il semble que la météo a changé, que nous aurons une nuit de plus qui ne rencontrera pas le moins vingt! Mautadite bonne nouvelle! La semaine se poursuit bien au fond, la pédale accotée dans la barrure! Un autre véhicule à faire aujourd'hui, retirer le lettrage en place, laver le tout, et installer le nouveau visuel. Ce sera une journée très excellente! Alors que les médias essaient de détourner l'attention vers ce qui se passe en europe, Legros poursuit sa dictature, en tentant de passer des sapins à tout le monde, ici et là. Je reste concentré sur mes objectifs, laissant de côté toute cette bouette politique et médiatique! Je me sens un peu clandestin dans mon propre milieu, affairé à réussir ma vie! Pour le reste, je veux que ce soit clair, l'urgence de loi martiale dans l'ancienne belle province doit cesser! Au delà du port du masque, de la distance, du nombre de personnes, cette situation nous appauvrit, et Legros a un «freepass» pour passer toutes les lois qu'il veut! Il peut ordonner aux hommes d'être en jupe demain matin, sous peine d'amende et d'emprisonnement! Comprenez que tout ça est exagéré, mais ça illustre bien l'étendu de cette supercherie! Il y a un an, le Texas enlevait l'obligation de porter un masque! Anyway, tout ça finira par se balancer, mais en attendant, il faut tenir le coup!

Épuisé de la supercherie…

Il fait moins vingt-et-un! Premier mars, que fait-on à geler encore? Je n'y peux rien, mais je commence à en avoir mal au bras de cet hiver! J'aurai des beaux bras cet été! Pour l'instant, je m'interroge bien plus sur mon sort dans l'ancienne belle province. Ça fait des semaines que certaines nuits, je me réveille parce que j'ai des sécrétions de coincées dans les poumons. Ça fait du bruit, ça gratte en dedans, c'est pas endurable! Pourtant, ils en ont fait une consécration depuis deux ans, de ce microbe, mais personne n'a donné de bons conseils pour prévenir et aussi soigner cet esti de virus! J'ai beau me dire que ça va passer, je commence à trouver que c'est long. Et puis, comme il est impossible de voir mon médecin de famille, cela me ramène encore à cet endroit où je suis coincé depuis trop longtemps! Cet endroit où je sens que je me fais fourrer, que mon argent sert à faire autre chose que ce pour lequel il serait supposé! Je paye à longueur d'année, mais ce que je récolte de ces paiements, de la médiocrité, des vieilleries, des miettes, de l'absence de services... Une véritable arnaque qui perdure, qui semble faire l'affaire de certains. Qui sont-ils pour se satisfaire de payer en double, en triple, une vie en société très médiocre, un panier de service tout croche, mais qui coûte la moitié de ce que nous gagnons! Je paie pour avoir une vie digne de la royauté, je peine à payer mes comptes. Pourtant je vis dans «l'austérité» depuis trop longtemps, et je suis constamment en présence de choses qui me rappellent ce fait! À la grandeur de cet endroit, il y a des preuves que je me fais exploiter, qu'on me presse comme un citron! Crissez-moi la paix! Je suis épuisé par toute cette supercherie, incapable de me sortir au grand jour, pour sourire aux gens parce que je suis totalement heureux! Il existe une folie qui hante ces lieux, et je suis complètement écoeuré de tout ça!