vendredi 30 décembre 2016

Autre petit bilan

Aujourd'hui le 30 décembre 2016. Avec 25 cm de plus pour nous accompagner! Il fait moins trois degrés, le vent soufflera toute la journée pour nous descendre ça sous les moins quinze. Portrait type de notre climat, ici, en Sibérie du sud! Je suis en congé pour le reste de l'année, comme pas mal tout le temps des fêtes! CE soir cinéma en bonne compagnie, Stars Wars en version originale anglaise avec sièges réservés DBOX!!! Mais je vais devoir en pelleter pas mal d'ici là. Depuis que l'hiver s'est installé, on peut dire qu'il neige souvent! Les déneigeurs ne chôment pas tellement! On dirait que je vais relaxer enfin! J'ai acheté un nouveau lave-vaisselle que j'ai installé mercredi. Une merveille! Et puis, l'ancien avait cessé de fonctionner en avril. Donc, nous étions contents de récupérer ce luxe. Après avoir reçu le 24 au soir sans lave-vaisselle, l'urgence se faisait sentir! J'ai aimé apprendre encore de nouvelles choses en faisant l'installation. Après deux heures de picossage, j'ai fini par y arriver. J'ai encore besoin de repos, mais je dois aussi préparer la nouvelle année côté travail. L'arrivée de ma nouvelle imprimante nécessite «l'agrandissement» de l'entrée de mon bureau. Je vais devoir couper une partie du cadre de porte d'au moins 6 pouces. Ça va faire du bien, car ce passage à toujours été un peu étroit! Et comme il n'y a plus de porte depuis des années, aussi bien en profiter pour agrandir le passage. Je me suis surpris à réaliser que ça fait dix ans et demi que nous habitons ici, dans notre immense maison du Capitolin. C'est l'endroit de ma vie où j'ai demeuré le plus longtemps. Quand même incroyable! Et, pour le paquet de nerfs en moi, rester en place aussi longtemps m'apparaît comme un exploit! Et je vais commencer une dixième année à écrire sur ce blog! Je tiens à dire que si je n'avais pas cet exutoire, il y a des journées qui seraient plus dures! Alors merci la vie pour toutes ces belles choses que je vis! On s'en reparle!

mercredi 28 décembre 2016

Premier bilan

Déjà le 28 décembre, Noël est passé. On dirait que j'ai le goût de relaxer. Hier, j'ai travaillé, il fallait finir des trucs et j'avais comme projet d'aller à St-Agapit pour profiter du fait que certains camions seraient en pause pour le temps des fêtes. Mais une fois sur place, même après une heure, impossible de coller quoi que ce soit sur les tanks, le carburant à l'intérieur était trop froid; ça faisait de la condensation. Perdre deux heures et demi comme ça, en pleine journée d'overtime du temps des fêtes, bof! Et, comme c'est déjà arrivé une autre fois il ya trois semaines, je me retiens pour ne pas être trop irrité. J'ai tout de même terminé une bannière de six pieds par huit pieds. Ça, c'est merveilleux! Il me resterait un peu de ménage à faire dans mon bureau, ensuite je serais prêt à changer d'année. Quelle année encore une fois. Notre arrivée au camping, comme saisonniers, un été qui a passé tellement vite! Nos vacances en Floride à la fin d'avril, quelle découverte pour moi. Le cyclo-défi de juillet, une épreuve hors du commun, en cette fin de semaine la pire de l'été. Vents, pluie et quatorze degrés! La Boucle aussi, avec sa chaleur de juin, trente degrés à notre arrivée, 16:45!! Beaucoup de souvenirs heureux comme le fantastique 25 de juillet, la seule journée où il a plus durant les vacances de la construction. Mais de me rappeler que la pluie ne nous a jamais dérangé, c'est merveilleux! Mais aussi trop de décès... Trop de politique hasardeuse, trop de «selfies» de la part de notre PM. Pas assez de solutions pour redresser notre économie. Trop de subventions pour des projets comme des taxis à batteries, qui ont cessé de fonctionner au premier moins vingt-cinq venu! Trop d'annonce de projets pour lesquels nous nous n'avons jamais voté, comme un anneau de glace ou un SRB. Un constat amer envers l'écoute de nos politiciens, qui parlent, agissent et dépensent à nos frais, mais comme si nous n'existions pas! Trop d'attentats, où des gens innocents ont perdu la vie. Je pourrais continuer encore longtemps, mais je me rends compte que je préfère parler de choses plus positives. Alors je pense à la nouvelle année, qui débutera avec l'arrivée de ma nouvelle imprimante! Qui l'eut cru qu'un jour, je ferais l'acquisition d'une imprimante grand format? J'ai quelques modifications à faire dans mon bureau, alors je dois m'attaquer à ça bientôt. Et puis il reste le souper de demain soir chez nos amis Laurent et Nancy; la soirée du 31 décembre, où nous allons fêter le départ de 2016. Et notre incursion dans la Beauce le premier de l'an nouveau, 2017, pour aller débuter la nouvelle année en beauté avec la tourtière de mon père. Alors à bientôt!!

vendredi 23 décembre 2016

En route vers Noël

C'est malade! Malgré quelques embûches, je suis en route vers l'atteinte de mes objectifs avant la fin de l'année. J'ai travaillé deux soirs cette semaine. Et je travaillerai peut-être deux jours entre Noël et le jour de l'an. Ce qu'il y a de merveilleux, c'est que je suis heureux! Heureux et fier de moi. C'est bien rare de ma part, mais je me l'avoue, je suis fier de moi. Et je mérite un peu de repos. C'est vraiment super! Un temps pour se recueillir, faire de petits bilans, prendre un peu de recul. Éliminer les énergies négatives, faire le plein de bonheur, faire le plein de nouveaux défis! Hier, j'ai terminé vers 19:30. J'ai passé cinq heures à wrapper des armoires de cuisine. Le rendu final est vraiment beau! Incroyable comme de la couleur peut faire la différence! Beaucoup de minutie, d'attention. J'avais l'impression d'avoir pédaler pendant des heures. Mais ce n'était pas aussi bénéfique! L'important, c'était que le client soit content, et moi aussi! Encore un petit effort ce matin, ensuite nous proposerons une levée de la journée de travail, et un ajournement des dossiers non complétés. Je prendrai le temps de déguster un petit Jack Daniel's. Je vous souhaite un merveilleux Noël ! À bientôt!

jeudi 22 décembre 2016

Chiaulage du jeudi

Quelle semaine enlevante! Hier soir, j'ai terminé la journée en bonne compagnie! J'ai wrappé une planche de «snow». Le résultat est pour le moins incisif. Il faut dire que c'était dernière minute! Mais je suis content. De plus, il ne reste que deux jours de travail avant Noël. JE vais pouvoir relaxer un peu, comme au camping. Parlant de camping, j'ai bien hâte. Je sais que c'est loin, mais c'est bien d'apprécier ce qu'on a. Par contre, j'ai de la difficulté à apprécier nos politiciens. Je n'arrive pas à m'y faire. Depuis que je suis assez lucide pour comprendre ce qui se passe, je trouve que notre argent est gaspillé. Il faudrait réduire la taille de l'état, redonner au gens un peu de ce qu'ils gagnent chaque jour. On ne peut pas seulement travailler et payer. Il faut aussi s'amuser, prendre le temps d'être heureux. Quand je pense à tous ceux qui passeront un Noël plus ou moins poche à cause de la mortalité, de la maladie, je me dis que ce n'est pas si mal. Mais j'aimerais me dire que notre pays est prospère, qu'il est avancé technologiquement, innovateur en santé! MAis ce n'est pas le cas. Alors au travail! Je dois m'appliquer pour terminer les choses comme elles se doivent. Après, en 2017, on verra.

mercredi 21 décembre 2016

Prenez soin de vous.

Déjà le 21 décembre! Dix jours avant la fin de l'année! Demain, les journées commencent à rallonger! Mais parmi les moins bonne nouvelles, il ya eu un autre attentat à Berlin... Encore une revendication terroriste! Quel cauchemar! Et cette homme, abattu devant des gens en plein discours? Les photos publiques, horrible ! Quel merdier juste avant Noël! Et que dire de notre PM, encore une fois, qui ne trouve rien à dire. Pourtant, il y a une menace réelle, c'est le temps de rassurer les gens, de leur rappeller que leur pays est sécuritaire, que leur pays en un havre de paix. Jusqu'à maintenant, notre selfie boy n'est vraiment pas à la hauteur. Dommage. Je n'ai pas tellement d'énergie ce matin, alors je ne creuserai pas trop dans le sujet. Je vais me concentrer sur des choses plus essentiel, mais je ne peux fermer les yeux devant une telle adversité! Puisse Dieu nous venir en aide. Profitez du congé des fêtes pour arrêter un peu. Prendre du temps avec ceux que vous aimez.

mardi 20 décembre 2016

C'est beau la vie!

Je ne suis pas ceux qui suivent les autres. Je suis né ainsi. Déjà, au primaire, je ressortais du lot. Au delà de l'énergie qui bouillait en moi, j'avais ma propre opinion sur à peu près tout. Je comprenais rapidement et ma capacité d'analyse s'est développée avec les années. Alors quand les autres tentent de me passer leurs idées, je ne suis pas tellement enclin à les suivre. Pour moi la vie vaut la peine d'être vécue, même si parfois, on ne peut rien y décider. L'important, c'est de réussir à être heureux. Comme ces jours-ci, j'en ai plein mon cass de me faire bombarder par des publicités «insérées» sur Internet. J'aime écouter de la radio sur le net pour «sauter les pubs» et aussi pratiquer mon anglais. Malgré ça, je suis «obligé» d'entendre des pubs vraiment mauvaises de bière, en français! Aussi, d'entendre notre PM divaguer dans les médias, c'est fou ce qu'on peut manquer d'air rapidement! Alors peu de choix s'offrent à nous; vivre dans le silence le plus complet ou se faire des listes de musique et traverser ses semaines au gré des chansons! Cela oblige à se renseigner par soi-même. Cela m'aide aussi à garder mes opinions. Mais je me rends compte que la technologie me rattrape. Elle court devant moi depuis des années, mais j'essaie de la comprendre quand même, de suivre son évolution. Mais son émergence dépasse largement mon champ d'action cérébral, et je sens que «mon disque dur» commence à être plein. Mais je continue de lire, de me documenter. Difficile de ne pas perdre le nord dans tout ça. Et puis, c'est tellement intéressant, je comprends pourquoi il me fut si long à me décider pour une carrière. Mais il faut savoir s'arrêter un peu, car la vie, pendant que je me documente, n'arrête pas! À plus!

lundi 19 décembre 2016

Urgence de vivre!

Encore une semaine avant les congés des fêtes! L'hiver n'est pas encore commencé officiellement, mais ses caractéristiques saisonnières sont bien présentes depuis 2 semaines! Plus de 40 centimètres, un matin à moins 27 degrés! Et moins 22 ce matin alors qu'il faisait moins 4 hier en après-midi! Nous sommes bien au Québec! Si ce n'était que de la température, la vie serait amplement palpitante, mais il y a d'autres impondérables comme la santé, les autres personnes avec leurs idées. Mais ce qui semble devenu une mode, ou plutôt une façon de faire, des dirigeants qui se foutent de leurs citoyens! Ils agissent selon les lobbies, selon leur porte-feuilles ou selon je ne sais trop, mais ils ne représentent en rien les gens, leur quotidien... Et, cette ambiance dictatoriale commence à être pesante. Comme si on ne pouvait rien changer. Car voter pour le moins pire n'est pas tellement constructif. C'est repousser à plus tard la vie, alors que cette dernière se vit maintenant! Alors il faut trouver un juste milieu. Se faire une vie parallèle à celle de ces gens. Car à les suivre, on ne réussira qu'à payer les dettes des autres, le fond de pension des autres, etc. À plus!

vendredi 16 décembre 2016

Habillez-vous!

QUel froid ce matin! Moins 27 degrés celcius! En bonus, il vente! Ça pourrait être bin pire, mais quand même, juste le 16 décembre. Pas une journée pour installer du vinyle en tous cas! Je vais tenter de prendre ça un peu plus molo, étant donné que je dois conduire pas mal ce soir et demain. Je trouve malheureux d'envoyer mes enfants à l'école quand il fait un froid aussi intense! Pas d'espoir qu'il fasse au dessus de moins quinze aujourd'hui; quand la face te craque en sortant... Et puis, ceux qui pensent qu'à Noël, il doit y avoir de la neige, mission accomplie! Ceux qui veulent faire des sports d'hiver, vous êtes aussi comblés! Moi je m'en passerais volontiers. Je veux bien y trouver du plaisir, mais c'est parce que la vie est trop courte pour être plate; elle est trop éphémère pour se permettre d'être marabout. Partir l'auto ce matin, quel misère! Juste d'imaginer l'intérieur du moteur, ouf! Et puis, marcher jusqu'à l'arrêt du bus, argh!!! Quel merdier. J'aime mieux une tempête de neige, au moins j'ai chaud en déneigeant! Mais bon, ça va passer! Par contre, le bout qui me fend paspire, c'est quand j'entends les publicités d'Hydro qui nous recommande de baisser le chauffage, de modérer nos habitudes quand il fait froid. Au prix qu'ils nous chargent, lamentable! Je crois que vous manquez d'employés intelligents. Vous agissez comme nos dirigeants, vous ne cherchez pas à innover, vous montez les prix! Je pense que je vais m'arrêter là, après tout, nous sommes vendredi, la bonne humeur s'impose!

jeudi 15 décembre 2016

Assez de ces conneries!

En écoutant notre PM parler hier, rien de plus ennuyant, de plus insipide que ça. Il réussit à ne rien dire, à frôler les sujets sans toutefois les aborder. Un patineur qui contourne des obstacles! À quoi ça sert? À quoi bon être PM si tu ne fais rien? Il faut affronter les problèmes et les régler! Et arrêter de refiler la facture aux générations suivantes! Vous laissez la province s'endetter, vous laissez le Canada nous verser une péréquation, tout ça avec un sourire? Wow! Et vous dites être près des gens? Quelles gens? Savoir formuler des phrases n'a rien de constructif! Vous êtes le PM, celui qui représente nos idées! Incroyable! Vous arrivez avec des idées que personnes ne parlent et vous pensez être l'élite! Assez de ces conneries! Vous devez faire quelque chose! Les urgences sont toujours une salle d'attente trop petite, les routes du Québec sont dans un état pitoyable, les taxes sont trop élevées, les impôts aussi! Et puis, donnez l'exemple en étant plus simple, plus près des gens. SI vous en êtes incapable, eh bien, nommez quelqu'un!

mercredi 14 décembre 2016

Mystère...

Je rentre à peine de gratter. Hier j'ai déneigé en trois étapes, histoire de ne pas trop me fatiguer. Trente centimètres de neige. Et ce matin, surprise! Un petit cinq centimètres. Hier soir, le thermomètre indiquait moins huit. Ce matin, moins trois! Demain, on dit qu'il fera moins quatorze! Il faut se consoler, en 2013, le 14 décembre, il faisait moins trente et un! Ouf! Comme les hivers passent et ne se ressemblent pas! Jusqu'à maintenant, la température ressemble à celle de 1998. Le quinze décembre, j'ai dû baisser mes bancs de neige, car je n'arrivais plus à tirer la neige en haut! Nous étions concierges, en train de mettre un peu d'argent de côté pour acheter notre première maison. Il en a fallu des sacrifices pour y arriver! Aujourd'hui, nous ne pourrions même pas acheter notre maison actuelle! Avec la hausse artificielle des valeurs mobilières, difficile de dire combien elle vaut vraiment, mais elle ne vaut certainement pas le prix indiqué sur le rôle d'évaluation de la ville! C'est dur à admettre, mais les temps sont durs. Mettre des sous de côté est un mystère fascinant, et de savoir que notre argent sert à payer les fonds de pension des autres l'est tout autant. Alors il faut être prudent. Prendre le temps de bien choisir, prendre le temps de bien vivre chaque moment, car on ne sait pas ce que la vie nous réserve. Pour la météo, c'est toujours un mystère difficile à prédire, mais pour l'économie, pas besoin de grandes connaissances pour comprendre que nos dirigeants manquent d'imagination, d'initiative, et pellettent par avant les problèmes! Bof, je pense que je vais y aller, j'ai besoin de travailler.

mardi 13 décembre 2016

L'hiver, est-ce vraiment ça qui nous irrite?

Encore 30 centimètres de neige hier. Et on retourne dans le froid! Dans un contexte comme hier, il faut se dire qu'il y aura des retards! Impossible de partir sur la route sans déneiger l'auto. Une fois parti, on réalise que les routes sont glacées. Déneigement déficient. Le reste, tout le monde qui a quelques responsabilités sait bien que ça sera un peu contrariant. Mais c'est l'hiver à Québec! Une fois bien installé, il faut vivre avec! Sinon, il vous faut partir; pour ce faire, préparez-vous d'avance! Les joies de l'hiver, c'est de réussir à sourire quand même, chaque jour que Dieu nous donne. Prendre autant de temps et d'argent à s'adapter, vaut mieux sourire que de pleurer! De toute façon, on n'y peut rien! Par contre, il serait facile pour nos dirigeants de renforcer le sourire des gens, mais il semble que ce n'est pas une priorité... J'ai beau me dire que la vie est belle, de me trouver des façons de faire qui améliorent ma qualité de vie, leur entêtement nous contredit toujours. Et c'est inacceptable! Chaque fois que nous pourrions changer les choses en votant, il faut toujours voter pour le moins pire! Et, sans nous en parler, une fois au pouvoir, ces élus nous traitent comme du bétail en nous imposant leurs idées, leurs projets; des choses que personnes ne veut... Avec notre argent! C'est vraiment difficile de rester sobre les vendredis soirs!

lundi 12 décembre 2016

Au fond la caisse!

C'est fou comme une fin de semaine, c'est vite passé. Quand nous n'avons pas de visite ou encore des choses de prévues, on essaie de faire les choses qui sont en retard, les affaires qui sont supposées d'être fait depuis longtemps. Malgré tout, il me semble que je n'ai pas réussi à finir de gratter convenablement ce qui est tombé la semaine dernière. Et, ce matin, nous laissant à peine le temps de se réchauffer de ce temps sibérien depuis 3 jours, il neige! Depuis deux semaines, on peut dire que c'est l'hiver beaucoup. Mais cette saison ne débute que dans huit jours. Il faut se consoler, ça pourrait être bien pire. Mais je ne ferai pas la nomenclature de mes souvenirs en matière de climat au QUébec, car nous risquerions de nous perdre dans le temps. Par contre, la semaine qui débute s'annonce pour le moins remplie. Aujourd'hui et demain passeront vite, du fait d'un horaire vraiment complet. Ensuite je pourrai m'attaquer à ces dossiers qui traînent depuis déjà plusieurs mois. Sans compter que les activités en relation avec le temps des fêtes sont commencées. Dîners, soupers et autres rencontres se feront de plus en plus nombreuses d'ici le premier jour de 2017. Ouf! La course! J'ai beaucoup d'administration à terminer d'ici là. C'est beau travailler, il faut parfois savoir s'arrêter, facturer, envoyer des états de compte, planifier un peu d'avance et réussir à se reposer. Alors attaquons ces deux semaines restantes avant le jour «J», Noël! À bientôt!

vendredi 9 décembre 2016

On apprend tous les jours!

Durant bien des années, j'ai cru que je ne vieillirais jamais. C'était quelque chose d'abstrait! Et, le danger, je n'avais aucune idée de ce que ça pouvait être! Seul ma volonté poussait vers l'avant! Tellement que je réussissais à me brûler bien comme il faut! Des fois je me blessais face à l'effort, mais cela n'éveillait aucune crainte en moi. Avec du recul et plusieurs années d'expérience, je ressens plusieurs fois par semaine, les cicatrices laissées par le temps. Je réalise que ce n'était pas toutes des bonnes initiatives que je prenais. Mais hier, j'ai aussi remarqué que le danger existait. Alors que je revenais d'une journée très bien remplie, au volant, je me disais que malgré des routes pour le moins glissantes, les choses s'étaient très bien passées. À moins d'un kilomètre de la maison, une voiture sort un peu juste devant moi, mais je me dis qu'étant donné que je ne roule pas vite, que je suis calme, ça va juste me mettre en garde. Mais à ma grande surprise, le pickup derrière la voiture a décidé, lui aussi, de passer! Les freins ABS étant inexistants sur ma vieille Toyota, je me surprends à partir en glisse. Mais là, assurément, ma voiture va emboutir la boîte du pickup... Frein à main, coup de volant, mais tellement peu de distance...Je ne lui ai pas touché! Pendant ces deux secondes, j'ai eu le temps de me dire que ma vieille auto allait nous quitter. Mais j'ai aussi eu peur de me blesser. Ah? Bin oui! J'ai ressenti du danger. J'ai eu le temps! Après avoir réussi à immobiliser l'auto, j'ai regardé le pickup noir continuer sa course, je crois qu'il ne m'a jamais vu ou bien, qu'il n'a pas réalisé à quel point il était moins une! La voiture derrière s'est arrêtée à mes côtés, quelques signes, je lui ai communiqué que tout était correct. Il a continué sa route. J'ai eu de la misère à repartir sans que le pneus glissent. Quelle fin de journée stressante! Mais il n'y a pas eu de casse. J'arrivais à la maison, comme si de rien n'était. Mais j'ai beaucoup appris encore une fois!

jeudi 8 décembre 2016

Un moment de joie.

HIer j'ai eu la chance de revoir des gens en or. Brandon et Vaughan! Grâce à eux entre autre, je suis 3M preferred installer. J'ai eu la chance d'enseigner à leurs côtés. Et je me sentais bien, à l'aise d'expliquer les techniques. Et, après une journée extraordinaire, je suis allé installer chez Peterbilt. J'achève d'envelopper les tanks de dix camions. Il me restera sûrement d'autres surprises d'ici les fêtes, mais tout ça est merveilleux et inespéré! Je vis une plènitude sans fin! Et j'userai de gratitude, prenant le temps de remercier les gens, de faire en sorte qu'ils soient au courant que je suis content, que j'ai aimé travailler avec eux. Aujourd'hui, je retournerai faire un tour à l'atelier 3M. J'y apprends toujours de nouvelles choses. Mais j'ai hâte de me reposer un peu. Ça commence ce samedi, alors que j'entends bien ne pas travailler. Reste à voir.

mercredi 7 décembre 2016

Merci!

Eh oui! Les achats des fêtes sont en cours un peu partout. Mais le temps, lui, ne s'est pas multiplié. Bien au contraire, il file à toute allure! J'aimerais pouvoir m'installer aux côtés de son gigantesque chronomètre et appuyé sur le bouton qui permettrait de ralentir sa course. Mais ce n'est qu'un souhait de jeune homme. En quoi cela empêcherait les choses d'arriver? De quelle façon cela pourrait-il intervenir au quotidien? Mystère intéressant! Hier soir, nous avions notre souper des fêtes du CA de la chambre de commerce, au Cercle de la Garnison. Ce fut une soirée vraiment agréable! Encore une fois, j'aurais aimé que ça dure un peu plus longtemps! Mais comment apprécier ces moments si nous n'avions pas l'occasion de s'en reparler? Du temps de qualité vaut mieux que beaucoup de temps vide et plate! Après six années, j'apprends encore plein de choses en étant dans l'association de gens d'affaires. Et puis, j'y établis des contacts importants et valorisants. Vive la vie!

mardi 6 décembre 2016

Comment faire?

Je me souviens de ce professeur de philosophie, auquel je m'étais opposé. Cet homme me semblait passif, incapable de donner un cours. Alors je me suis mis à arriver en retard, mes écouteurs sur les oreilles, musique assez forte pour que tous entendent. Je m'amusais à trouver des façons de bâcler mes travaux. Jusqu'au jour où il m'a demandé de rester après le cours. Il semblait nerveux. Il me dit :«Ta session, c'est mal parti!» Et moi de lui répondre: «Comment ça? J'ai 83 de moyenne dans mes travaux?» Ce qu'il m'a dit ensuite m'a tout simplement renversé. «C'est parce que j'ai peur de toi. Je te mets des notes, mais je tenais à te dire qu'elles ne reflètent en rien tes travaux, ni ton comportement en classe. J'aurais besoin que tu me fasses un travail.» Alors je lui dit que je suis d'accord. «Un essai sur la dignité humaine.» Ce que je fis, et j'ai remis mon texte au cours suivant. Non seulement il a aimé mon texte, mais il l'a lu à toute la classe! Un texte de dix pages! J'ai eu 93 %. Le reste de la session fut très agréable. Mais j'ai réalisé, alors que j'avais seulement dix-sept ans, que les syndicats, la fonction publique et tout ce bataclan nuisait à notre société. J'ai rencontré un homme complètement blazé, fatigué. Un homme qui se demandait chaque jour s'il devait continuer. Il semblait se foutre complètement du programme scolaire qu'il devait nous livrer. En tous cas, moi je m'en foutais. Tout ça pour vous citer un exemple de ce que la fonction publique a fait aux québécois. C'était en 1988! Déjà, les gens étaient tannés de se sentir inutiles, que même s'ils ne rentraient pas travailler, ça n'avait aucune importance; ils allaient être payer quand même et le remplaçant aussi. L'enseignement, les élèves, bah! Ils leur restent du temps pour y arriver! Payer une personne à rien faire est un bon moyen de la rendre inutile. Quand il n'y a rien pour te challenger, difficile de se donner des défis, surtout que la paie continue de rentrer! Maintenant, imaginez quelqu'un qui sort ce discours sur une tribune, va-t-il être écouté? Nous sommes dépendants de ce que nos prédécesseurs ont façonné. La sécurité d'emploi, les avantages sociaux, l'assurance chômage, l'assurance-maladie, les subventions, les prix planchers, etc. Où je suis bloqué, c'est comment faire pour changer tout ça?

lundi 5 décembre 2016

Les valeurs

Il reste trois semaines avant d'arriver à Noël. C'est comme un décompte au Tic-tac infernal. Pourtant, je n'ai jamais autant eu de plaisir à constater que, malgré la fatigue, je suis heureux. Il y a bien des petites choses qui me chicotent, mais dans l'ensemble, je trouve tellement que la vie s'occupe bien de moi. Aide-toi pis le ciel t'aidera! Vieil adage un peu démodé par la laïcité de notre époque. Je ne sais pas pour vous, mais pour bien des gens, le fait de ne plus avoir de guide spirituel n'aide en rien les choses. Car la majorité des gens ont besoin de croire en quelque chose. Alors il y a toujours les sectes religieuses, mais il y a le jeu, le ménage, l'aseptisation extrême et je pourrais en trouver d'autres. Cela ne mène pas vraiment mieux le bateau qu'avant. Je dirais même que les gens sont plutôt perdus dans notre société chacun pour soi. Là où je me questionne, c'est au niveau des valeurs. Le respect, l'hospitalité, l'entraide, l'amour! On a juste à se promener en voiture pour constater que le respect n'existe pratiquement plus. L'hospitalité n'a plus sa place, car si jamais vous avez besoin d'aide, il devient rapidement étrange d'aller demander de l'aide à des gens qu'on ne connaît pas. Et avec tout ce que les médias nous «enfoncent» dans la gorge, difficile de faire confiance à quelqu'un qui cogne à pas d'heure à la porte. Et que dire de l'entraide. Je crois quand même que c'est cette dernière qui ressort le plus. Par les réseaux sociaux, les gens s'entraident. Et j'adore ça! Mais les ces mêmes réseaux font aussi beaucoup de ravage de par leur facilité à utiliser et aussi du fait que bien des gens n'oseraient parler, mais une fois sur Twitter ou Facebook, ils se sentent plus braves... Et L'amour, je ne sais plus. Je crois que l'amour reste bien présent dans nos coeur. Mais plus volage. Aimer, c'est facile. Aimer longtemps, c'est plus dur. Aujourd'hui, les gens aiment moins longtemps. Ils se tannent vite de tout. De leur travail, de leur conjoint, de leur voiture, de leur famille, de tout! Et on jette! Bebye!! Et cela n'aide en rien notre société. Bien au contraire, ça mèle encore plus les cartes! J'essaie d'apprécier ce que j'ai au maximum et d'évoluer en même temps. Le contrat d'une vie!

samedi 3 décembre 2016

Encore un petit effort.

Encore un samedi matin où je vais travailler. Je suis mon propre boss, c'est moi qui décide. Je pourrais travailler toute la journée, bien des gens le font. Moi je profite du fait que ma douce n'est pas encore ce matin. Elle travaille toute la journée. Je vais aller la rejoindre ce soir pour un bon souper. Ça fait du bien de prendre du temps ensemble. Ça fait trois jours qu'il neige, en un temps record, nous sommes passés de l'automne à l'hiver! Il y a déjà autant de neige qu'il y en avait le 6 février dernier. Je m'en rappelle, j'étais l'hôte d'un événement de financement que j'ai créé, le Jack Fest! Il sera de retour le 4 février 2017. Je vais devoir me concentrer plus sérieusement là-dessus aussitôt les congés des fêtes arrivés, car le travail occupe beaucoup de mon temps ces jours-ci. Incroyable comme on peut donner De l'énergie dans une semaine! Cette ressource, renouvelable, une véritable batterie! Parlant de batterie, le Québec devrait développer dans ce secteur pour pouvoir l'exporter. Notre climat n'a pas tellement de dispositions pour ce genre de technologie, mais pourrait devenir un chef de file dans la production. Et je pourrais en nommer d'autres technologies que nous pourrions développer et devenir des leaders. Mais ça prendrait aussi des leaders à l'intérieur de la province... Ouin, nous sommes samedi, aussibien arrêter là. À plus!

vendredi 2 décembre 2016

Petit boost de vendredi matin.

Je ressens encore les effets positifs de cette petite conférence de mercredi soir. Être fier de ce qu'on a accompli. Ne pas dépendre de personne monétairement. Avoir l'ambition de pouvoir un jour se passer de la péréquation. Avoir ce sentiment d'indépendance, sans pour autant vouloir se séparer de notre pays. Au contraire, rallier nos forces pour augmenter notre production, notre technologie! Et, une fois la fin de semaine venue, avoir le goût de se reposer, de relaxer un petit brin. Car dans la vie, qui risque rien, n'a rien. Parfois c'est le chemin le plus facile qui marche en premier, mais souvent, c'est celui qui est le plus compliqué. À quoi bon se prendre la tête devant les embûches, si l'on ne fait rien? L'important, c'est de faire le maximum qu'il nous est possible de faire. Le temps des fêtes est à nos portes, il faut rester vigilant. La tentation d'aimer trop, de dépenser trop, d'être excessif sera plus aguichante que jamais. Et, en ces temps très émotifs côté santé, l'urgence de vivre se fait sentir de plus en plus. Gardons le cap. À bientôt.

jeudi 1 décembre 2016

Petit résumé

Hier je suis allé à une mini conférence sur l'économie au Québec. Content de voir et d'entendre des gens qui pensent comme moi. Parmi les points chauds discutée, celui qui m'a touché le plus, investissement dans le privé. M. François Legault disait vouloir donner du gaz aux entreprises privées, voire même les chouchouter. Car ce sont ces entrepreneurs qui font progresser à long terme l'économie. Toutes les fois que le gouvernement met de l'argent dans des infrastructures publiques, ce n'est que temporairement que l'économie roule. Après, ces mêmes infrastructures ne rapportent plus, au contraire, elles sont des dépenses! Nous avons aussi parlé de mettre fin au gaspillage. Gaspillage de l'argent des citoyens. Pourquoi payer le salaire des fonctionnaires, leur convention et leur fond de pension, si ce n'est pas rentable? QUand je ne travaille pas, je ne facture pas, donc l'argent ne rentre pas. À la fonction publique, rien de tout cela n'est vrai. Les gens qui y sont ancrés depuis des années ne sont pas conscients de la vraie vie. Ils ont vite fait d'avoir un poste pour l'état et oublier de performer, de s'améliorer, d"être assidûs! Pas important, ils sont payés quand même! Voilà où il se gaspille beaucoup d'argent! Tout ça coûte une fortune, mais cet argent ne retourne dans la société pour qu'elle progresse! Il faut être fiers, mais fiers d'être forts! Arrêter de vivre au crochet de notre pays, par le biais d'une péréquation! À suivre.

mercredi 30 novembre 2016

Milieu de semaine

On peut dire que le blitz d'avant les fêtes est bel et bien commencé. J'ai du travail jusqu'à Noël et ça semble parti pour continuer encore longtemps. Et je ne fais aucune publicité. Je m'applique pour chaque job et je suis honnête avec mes clients. Mais cette semaine, j'ai fait plus d'erreur que d'habitude et j'ai fait des gaucheries un peu tannantes. Je sais, je suis capable de me retourner sur un dix cents, mais l'énergie est très basse ces jours-ci et j'ai de la difficulté à prendre le dessus. Mais je me sens mieux qu'hier matin. Beaucoup de choses à faire ce matin avant d'aller chercher ma douce à l'aéroport. Ensuite un client vers 13:00. Je me demande ce que j'aurai le temps de faire après. Conférence sur l'économie dès 18:00. La journée va passer vite. Le casse-tête depuis des années, par où commencer? Je me laisse des notes un peu partout, j'essaie de ne rien oublier, mais c'est difficile. Parfois il faut se restreindre et j'ai l'intention de le faire plus souvent. Car je veux pouvoir continuer de servir mes gens encore longtemps. Les faire attendre ne donne rien. Ni pour eux, ni pour moi. N'empêche, être entrepreneur, père et mari nécessite bien des années de pratique et je ne crois pas que j'aurai assez pratiqué avant longtemps! Alors on s'amuse lorsqu'on le peut. À plus!

mardi 29 novembre 2016

Du repos s.v.p.

Ouf! Je suis raqué ce matin! J'ai eu de la difficulté à me lever. J'ai fini à 19:00 hier. Une grande journée pour un lundi. En espérant trouver un peu de repos dans le reste de la semaine. Ce n'est pas de travailler qui est dur, c'est de recommencer après avoir pris un temps d'arrêt. Mais ce temps d'arrêt est nécessaire. Trop fatigué, les décisions ne se prennent plus, où elle se prennent mal. Pourtant, je devrais m'en rappeler, j'ai beaucoup d'expérience dans ça. Mais une fois dans l'arène, je suis actif, prêt à donner tout ce que j'ai. Mais une fois arrêté, des fois je me rends compte que ça va pas mal vite. Que je commence à ralentir. Oh je crois que je dois prendre ça en considération. Pas de façon à tout arrêter, ni de tenter d'en faire plus sous prétexte d'orgueil mal placé. Non. Prendre un recul et établir des stratégies pour me ménager. Car comme je l'ai dit, une fois dans l'arène, j'attaque. Mais il faut trouver un équilibre. Quand je dis que les décisions se prennent mal, j'entends par là que le contexte présent d'un état de fatigue extrême, on n'a pas l'esprit assez clair pour prendre des décisions pour du moyen terme. Il vaut mieux prendre un peu de repos, visualiser l'ensemble de nos intérêts, de nos objectifs, et y réfléchir une fois l'esprit plus ouvert. Car une fois éprouvé, le corps et l'esprit se referment pour se protéger ou ils se retrouvent sans défense. Dans les deux cas, toute décision ne peut être constructive. Ça m'a pris pas mal de temps à comprendre tout ça. Mais je peux vous assurer que c'est la vérité. Sans défense, une personne sera facilement influençable, ses décisions auront tendance à suivre la première solution qui se présentera, peu importe laquelle. L'esprit recroquevillé, elle ne voudra pas avancer, aura peur de faire des choix. Du coup, elle devient une proie facile pour qui a besoin d'un bouc émissaire! À vous d'y penser!

lundi 28 novembre 2016

À n'importe quelle ville.

À entendre et lire certains médias, je dois dire que notre PM vit une aventure, mais il n'est pas connecté avec nous. Je ne célèbre pas le décès de quelqu'un, mais je n'encenserai pas non plus la vie et les actions d'un dictateur. Ici, à n'importe quelle ville, les gens pensent que les médias racontent la vérité. Mais ils travaillent pour conserver leur job, pour faire passer les idées des lobbys. On dirait qu"ils sont devenus des agence de publicités convergentes. Incapables de se contrôler, nous assistons à du délire jour après jour. Ils semblent possédées par un autre idéal que la vérité. À quoi bon rapporter des nouvelles «modifiées»? Ici, à n'importe quelle ville, c'est le «No fault», alors on peut écrire, dire et partir des rumeurs comme bon nous semble, à condition d'être dans le bon camp. Comment faire pour savoir si vous êtes dans le bon camp? Difficile à dire, car il s'agit d'un endoctrinement, une sorte de «syndicat» à lequel on peut adhérer moyennant différentes faveurs. Mais, pour d'obscures raison, vous pouvez être évincé subitement, juste parce que vous avez fait des risettes au mauvais moment. Il est même possible de revenir dans les rangs, moyennant je ne sais trop quoi, mais seulement lorsqu'on est sûr que les gens ont oublié. Car ici, à n'importe quelle ville, ce n'est pas grave de se contrarier, l'important c'est de payer. Comme la chanson disait dans le temps :«Pour être ton ami, il suffit de payer la cotisation...». Alors l'étau se resserre pour les payeurs de taxes. Chaque fois qu'une nouvelle personne rejoint les rangs du «bon camp», les taxes montent. Elles grimpent de différentes façons, soit au prix du litre d'essence, au prix plancher de tout ce qui est régit, par le biais de subventions ou encore sur vos immatriculations autos! Faire croire au monde que le gouvernement coupe dans les déjeuners des CPE, c'est un bon exemple d'informations modifiées. Le gouvernement dit aux dirigeants des CPE de couper dans leurs dépenses. Ce sont les dirigeants qui décident où couper... Et c'est comme ça partout, dans les commissions scolaires, dans les écoles, dans les différents palliers gouvernementaux. Le dernier au bas de l'échelle, le travailleur moyen, c'est lui qui paie. Et arrêtez de mèler les enfants à ça!

samedi 26 novembre 2016

Encore un petit peu.

Hier, dans un grand moment de constatation, j'ai sorti les pelles. Il a tellement neigé! Difficile de réaliser que ça s'en vient. Gratter, s'habiller plus chaudement, mettre les pneus d'hiver, sortir la souffleuse. Vider les toiles de garages, tasser les chars pour le déneigement. Pour ce qui est des garages, il reste la toile de celui du SPA. Une chance, le «frame» est monté et ses ancrages fixés. Si tout va bien, j'installerai la toile demain. J'aimerais aussi installer les fils chauffants sur le toît du solarium et au dessus de la vitrine du salon. Pour l'instant, je me prépare à aller donner un autre petit coup. Je m'en vais chez mon client à St-Agapit, pour commencer une série de recouvrement de tanks. Je crois que j'ai onze camions qui souffrent de ce déficit esthétique. Depuis que TransDiff Peterbilt m'ont essayé, ils me donnent pas mal d'ouvrage et je n'ai pas à me plaindre. Plus le temps passe et plus je dois choisir ce que je fais et ce que je ne fais pas. Une chose est sûre, je profite ce matin que ma douce n'y est pas pour aller de l'avant avec ce travail de samedi matin. Il reste tellement de choses à faire avant de dire que je suis prêt pour l'hiver. Car une fois chose faite, j'ai déjà d'autres trucs à préparer pour le retour de la belle saison. Sans toutefois rêver, ou faire des projets à long terme, je constate une certaine ambition de ma part et je dois avouer que j'aime ça. Avoir des projet garde en vie, donne le goût de vouloir aller plus loin, de se dépasser encore une fois! Aller, encore un effort, il faut bien commencer si on veut y arriver!

vendredi 25 novembre 2016

Enfin vendredi!

Comme toute bonne chose à une fin, nous sommes vendredi et j'ai l'intention de me donner à 100% encore toute la journée! Je n'ai que de bonnes intentions, chaque matin. Je me fais un horaire et je m'en ligne là-dessus. Mais le téléphone et les clients surprises ont tôt fait d'apporter des modifications à tout ça! Comme si chaque jour devenait une course contre la montre. Excité par l'ampleur que cela apporte, on dirait que j'en perds les pédales. Il s'en suit d'une suite de tâches effreinées, alimentées par la pression, et...pop! La journée est terminée, je suis vidé complètement! Simple historique pas tellement difficile à comprendre. Des fois je trouve que j'exagère un peu. Il faudrait que j'apprenne à me limiter. Sinon, parfois je me blesse ou encore je fais des erreurs. Voilà ce qui arrive. Alors je m'entraîne chaque jour, pour réussir à supporter l'effort physique que je m'impose. Il n'y a pas beaucoup de solution dans notre société de consommation où nous avons choisi de vivre à toute allure, sans trop penser au lendemain. C'est bien beau, mais ça coûte souvent un gros montant! Sans compter la fatigue accumulée! Alors je m'efforce de garder conscience pendant l'action, histoire de ne pas me laisser emporter par la vague! Souvent, le vendredi soir, une fois l'esprit dégourdi, les muscles au ralenti après une bière et un bon whisky, je réalise assez vite que je n'ai plus l'énergie d'il y a vingt ans. Je n'ai plus la force de continuer sans me reposer un peu. Il y a quelques années, je me souviens très bien que j'étais impossible à vivre avec un verre dans le nez le vendredi soir. Une fusée, qui parle sans arrêt, dans tous les sens! Maintenant, je suis plus calme et j'aime mieux ça. Les samedis matins sont moins lourds, et j'ai l'impression de vivre ma fin de semaine en entier. Bon vendredi!

jeudi 24 novembre 2016

Il n'en tient qu'à soi-même!

Hier je n'arrivais pas à me calmer. La fatigue! Pour me concentrer, il fallait que je mette toutes les chances de mon côté. La radio parlée me distrayait trop. Même l'opinion des autres! Mais j'ai réussi ma journée. Ce matin, c'est le retour de cette journée de lutte contre moi-même. Je n'ai pas une si grosse journée que ça au programme, mais des fois, ça déboule tellement vite! Reste à voir ou plutôt, à vivre! Car la vie, ça se vit! J'ai mal partout ce matin, comme si je ne m'entraînais pas assez. Je crois que l'humidité aide beaucoup dans ce dossier. Mais je dois vous dire que j'ai hâte que les médias arrêtent leur diarrhée sur le futur président des États-Unis. Moi qui croyait qu'une fois l'élection passée, nous aurions un peu la paix. il faut croire que non. Par contre, force est d'admettre que les prédictions hasardeuses des médias ne se réalisent pas. Et c'est tant mieux! Dommage, beaucoup de gens accordent tellement d'importance à tout ce charabia! Et, suivant une rumeur ou encore sur le coup d'une rengaine, il se pourrait que les gens paniquent; là, il serait dangereux d'avoir de véritables problèmes! Et qui en serait tenu responsable? Le futur président! Même que c'est devenu une sorte de crédo, peu importe votre malheur, il sera attribué à cette même personne! Trop facile! Retroussez-vous les manches et agissez pour vous, pour votre communauté! Cessez de chercher un coupable, foncez droit vers vos objectifs! Bonne journée!

mercredi 23 novembre 2016

En avant toute!

Bon bin me v'là seul pour un bout. Ma douce est partie hier pour la Floride. Une semaine au condo avec sa sœur et sa mère. Ça me rappelle l'année 2013, alors qu'elle partait dans les mêmes dates, prendre du repos après une fin d'été houleuse et un automne particulièrement agité. Elle va se reposer un peu. Je n'arrive pas à cerner ce qui la stresse autant.
 J'aimerais en faire autant, mais je profite d'un automne bien rempli au niveau du travail et je trouve cela merveilleux. L'énergie que je ressens ces jours-ci est difficile à jauger. D'une part, il y a une sorte de stress qui gravite au dessus de nos têtes. Un inquiétude généralisée. C'est un peu lourd à porter. D'un autre côté, il y a mon énergie, jointe à celle des gagnants. Une bouffée d'air frais qui me donne la force de foncer à travers la grisaille automnale. Grisaille qui perdure depuis un mois. Et, malgré un début de semaine vraiment occupé, je suis en forme ce matin. Levé depuis 3:00 cette nuit, je devais aller porter ma belle-maman à l'aéroport. Elle va rejoindre ses filles, pour passer du temps au soleil. J'avais des clients hier soir, jusqu'à 20:00. Et ce soir, mes filles ne viennent pas souper. Elles sont occupées. L'une a son atelier de théâtre hebdomadaire, l'autre a un souper. Pour ma part, une grosse journée m'attend. J'ai de la facturation en retard et des installations. Ça me garde occupé, bien entraîné pour installer! Je me demande à quel moment je sentirai le temps des fêtes arriver. Chaque année, on dirait que c'est un miracle que je réussisse à tout faire en temps. Anyway, je vais faire mon possible. C'est sûr que ce soir, je vais sentir le besoin d'arrêter un peu. À plus!

mardi 22 novembre 2016

Go!

Encore une journée sans soleil. Je sais qu'il se cache derrière les nuages, mais il nous fait tellement de bien! Difficile de convaincre les autres d'être de bonne humeur lorsque ça l'est pour soi-même! Mais une fois la journée bien entamée, il est plus facile de s'orienter, de comprendre les choses, d'articuler un sourire. Ça semble bien lourd comme nomenclature explicative, mais j'ai le privilège de pouvoir l'écrire, alors j'en profite. D'autres aussi devraient en profiter pour exprimer ce qu'ils ressentent. Pour ma part, j'ai toujours eu une sorte de trop plein qui s'évadait n'importe quand, surtout quand ce n'était pas le temps. Je ne dis pas ça pour me faire complaindre, mais je remarque que ces journées où je n'avais pas eu le loisir de pouvoir aller dehors crier, courir, pédaler, il m'était plus difficile de contrôler ce flux d'énergie qui bouillonnait et qui bouillonne toujours. Oh il n'a pas la même force, mais il est toujours là! Je dois toujours être sur mes gardes, des fois qu'un débordement surviendrait. Je n'ai pas la science infuse, mais je n'aime pas faire du hockey de rattrapage! Quand tu commences une job et que tu perds trois à zéro, c'est toujours plus difficile. J'aurais des tonnes d'exemples à vous citer, mais je vais vous en faire grâce! Mieux vaut être heureux chaque jour, retenir les solutions trouvées dans le passé et en tirer profit pour le futur.

lundi 21 novembre 2016

Ça part bien!

Encore une autre semaine qui passera comme un coup de vent! Hier soir, alors que nous revenions d'un souper à Donnacona, la pluie et le vent faisaient rage! Il faisait 8 degrés! Et ce matin, petit tapis blanc et 0 degré. Comme on le dit souvent, c'est ça le Québec! Si la température était le seul irritant, la vie deviendrait plus simple. En fin de semaine, je réfléchissais à notre société, comme je le fais depuis bien des années. Je me disais que, il y a 25-30 ans, un policier, ça impressionnait. Son uniforme, sa prestance, sa façon de parler. Une infirmière, c'était notre référence une fois rendu à l'hôpital. Elle était la personne clé, le modèle à suivre! Elle prenait soin de tout le monde avec un sourire et nous avions du respect pour elle. Que dire des médecins, ils étaient maîtres de la santé, rien ne pouvait détrôner leur avis. Quand on parlait d'un médecin, nous savions que ce qu'il nous avait dit, on pouvait s'y fier. Un menuisier savait comment bâtir des choses, un ingénieur savait lire des plans, un pilote d'avion avait les commandes du ciel. Un professeur était celui qui enseignait, qui nous ouvrait les portes vers le marché du travail. Il n'y avait personne de parfait, mais chaque métier avait son prestige, sa couleur. Et le gens se respectaient entre eux, s'entraidaient. Aujourd'hui, ces métiers sont cachés par un syndicat, par un protocole, par une loi. Même si ces derniers voudraient faire avancer les choses, ils sont coincés par la régie de quelque chose. Ils ne peuvent exercer leur métier à cause d'une charte, etc. Tout ça pour dire que les cartes sont toutes mélées, personne n'ose plus agir de peur de représailles, de campagne de salissage sur les réseaux sociaux. Tout fonctionne par pots de vin, par lobby, par clique, appelez ça comme vous voulez! Et c'est dommage, car nous payons beaucoup plus cher que dans ce temps-là, mais pour beaucoup moins. Avoir des services, ce n'est plus vraiment possible. Il faut faire une demande, attendre, attendre et attendre encore. Aujourd'hui, dans notre société aseptisée, difficile de se sentir à l'aise. La police est partout, mais pas la vraie police, la police des lois! Tu veux une prescription pour voir un spécialiste ou encore pour des médicaments? As-tu un médecin de famille? Sinon il va falloir être patient! Peu importe votre besoin, si vous avez besoin d'un service régie par l'état, il faudra y penser d'avance ou réussir à s'organiser autrement. Ouin...

vendredi 18 novembre 2016

Bonne journée!

Hier j'ai discuté avec quelqu'un. Il m'a dit qu'il avait appris une chose. Les aptitudes acquises avec le temps ne sont pas acquises pour la vie. Suite à un AVC, il vit des séquelles difficiles. Il a dû faire le deuil sur son métier. Un travail d'analyste informatique. Il a dû réapprendre à parler sans bégayer. Il n'est plus capable de faire de longues élocutions. Depuis le mois de mai, il réapprend à vivre. C'est difficile de rester indifférent à son discours. C'est le genre de truc qui n'arrive pas souvent, pour lesquels il y a peu de ressources. Heureusement j'ai vu de la joie de vivre dans ses yeux, de l'espoir. Mais je l'ai connu plus illuminé. Quand il me parlait, je ne pouvais détourner mon attention, je me devais de l'écouter. Je lui donné un peu d'énergie. Cette énergie, gratuite, renouvelable, est en chacun de nous. Facile de la partager, facile de la recevoir, elle fait partie de mon quotidien. Quand je suis vraiment exténué, je m'arrête pour me concentrer et la recevoir. C'est plus facile en pensant à des choses qui nous rendent heureux. Cette énergie qui nous fait du bien, c'est celle qui nous fait sourire quand nous sommes avec des gens qu'on aime, des gens avec qui nous avons une relation réciproque. Quand on a hâte de revoir quelqu'un et que lui aussi, a hâte. Il faut l'accepter, comme un cadeau. Car il est facile de la perdre, comme quand on se blesse et qu'on perd du sang. Il faut apprendre à la canaliser. Les blessures de l'âme saignent aussi, mais elles perdent de l'énergie. À nous de la partager, de la donner; sans compter, car elle revient toujours. Vivez chaque journée avec intensité, et surtout, entretenez votre corps, votre véhicule pour parcourir la vie.

jeudi 17 novembre 2016

Une chose à la fois.

Quelle journée encore hier. Finalement, j'aurai passé 7 heures pour enlever un enveloppement. Cette œuvre d'art fut réalisé par une firme dont je ne mentionnerai pas le nom. Mais je peux confirmer que les matériaux utilisés n'étaient pas adéquats. 5 heures pour retirer la pellicule et 2 heures pour nettoyer la colle. Après 4 ans, il me semble que ce fut vraiment trop dur à faire. Depuis lundi, j'essaie de me reposer, mon dos me faisant de moins en moins souffrir. Mais la portion de travail reste quand même là. Ce matin, alors que je pédalais vers une destination virtuelle, je m'endormais litérallement. J'essayais de me concentrer sur ma journée à venir, mais ça ne venait pas. Et puis, une fois l'entraînement terminé, j'étais fier de moi, je vais passer au travers de cette semaine. Depuis le départ de Maman, je vis un jour à la fois, comme ça je n'ai pas d'attentes. Des fois je suis tellement fatigué, comme hier soir, cela m'empêche de m'endormir. Lundi, j'avais moins de fatigue physique, alors je supportais mieux la faiblesse de mon dos. Mais ce matin, même si je prends du mieux, la fatigue musculaire se fait sentir et je peine à me concentrer. Mais bon, un jour à la fois, une heure à la fois.

mercredi 16 novembre 2016

Une chance que je peux écrire encore!

Quelle pluie ce matin! Et que dire du vent! Je dois admettre que je suis plus tranquille face à ce genre de température depuis le Cyclo-Défi 2016. Et puis, les vents de vendredi dernier ont causé des dégâts que j'ai dû réparer. Et j'en souffre encore! Mais je vais mieux. N'empêche, je dois faire plus attention à moi. Je suis l'outil principal de ma business. Ça ne sert à rien de paniquer, mais je veille à ma guérison en essayant de ne pas en faire trop. Difficile de m'arrêter. J'adore le son de la pluie sur la toiture de tôle. Une mélodie qui berce, qui sécurise et qui tient au courant. Au courant de l'intensité de la pluie, du vent. Et puis, avec les nouvelles goûttières, je suis plus tranquille concernant certain bloquage dûs aux feuilles. Que de dépenses pour entretenir notre bonheur, notre chez soi. Mais c'est comme ça que ça marche. La vie est ainsi faite. Si tu n'entretiens pas ton couple, il périra. Même chose pour ta voiture. Même chose pour ton corps. Dans un système comme le nôtre, c'est tout à fait égoïste de se laisser aller en se disant que ce n'est pas grave, l'état va payer! L'état, c'est notre argent, c'est notre travail. Même si je ne suis pas en accord avec la façon dont notre système fonctionne, je ne fais pas exprès pour aller à l'encontre de ce dernier. Trop de lois, trop de droits. Depuis quarante ans au moins, le gouvernement s'est infiltré un peu partout, légiférant ici et là; résultat, il y a tellement de lois, difficile de respirer un grand coup sans se faire remarquer ou avoir une amende. D'un autre côté, tous revendiquent leurs droits. À force de revendications, les gens ont tellement le droit de tout que c'est impossible à gérer avec toutes les lois. Bref, plus on analyse ce modèle (québécois), plus on se rend compte qu'il ne peut fonctionner.

mardi 15 novembre 2016

On se calme!

Alors que la semaine est bien commencée, il faut se botter le derrière pour se lever et accomplir les journées. Hier après-midi j'ai Installé dehors, c'était magnifique! Et le presque soleil faisait du bien. J'entends en profiter encore un peu aujourd'hui. Mes prouesses d'en fin de semaine me font encore souffrir. Je dois me rappeler que je ne suis plus Superman! Mais je sais que c'était exagéré de ma part de fournir autant d'efforts. Ma douce est partie hier soir pour trois jours. Je l'aurais bien gardée avec moi. J'ai des tas de choses à faire avant le grand manteau blanc, mais mon dos semble en désaccord. Même ma bonne humeur en souffre. Et puis j'ai hâte d'entendre autre chose au niveau de la politique que les dernières élections aux États-Unis. Éteignez les médias, est-ce que votre vie a changé? Avez-vous essuyé de graves pertes? Est-ce que vos placements sont en train de vous mettre en faillite? D'un autre angle, est-ce que l'état des routes au Québec s'est amélioré? Y a-t-il moins de problèmes aux urgences? Les producteurs de sirop d'érable peuvent-ils vendre leur sirop à qui ils le veulent? Bon. Il vaudrait mieux s'occuper de choses plus importantes, comme l'implantation forcée d'un «moyen de transport urbain» à Québec. À quoi bon s'évertuer pour garder notre bonne humeur, si nos dirigeants s'amusent à nous «barrouetter» avec des projets dispendieux qui «faisaient partie» du plan triennal d'immobilisation et de développement à long terme de la ville! C'est immanquable, je ne dois pas prononcer ces mots, je m'enflamme immédiatement! On s'en reparle bientôt.

lundi 14 novembre 2016

Bon matin!

Une fin de semaine vraiment extraordinaire avec des températures douces. J'en ai profité pour faire un tas de trucs. Et puis j'ai aussi abusé en soulevant le gazébo du camping. Mais c'était cela ou mettre deux mille dollars à la poubelle! Personne ne veut mettre un montant pareil aux vidanges. Alors, dans ce temps-là, il faut mettre les mains à la pâte. Voilà ce qu'il faut faire au Québec. Arrêter de cracher sur  les autres, se retrousser les manches et arrêter de gaspiller. Gaspiller quoi? L'argent des autres, les efforts de plein de gens qui travaillent chaque jour pour gagner leur vie! Gagner leur vie signifie payer ce que ça prend pour vivre, pour être heureux! Mais les temps changent. Alors que la vie va de plus en plus vite, nous, au Québec, sommes ralentis par le statu quo de notre économie, une véritable farce! Je ne suis pas un expert en chiffres et je n'ai aucune prétention dans ce domaine, mais il y a toujours des limites à ce qu'un homme (femme) peut endurer. Si nous savions réellement ce que l'état fait de notre argent, peut-être que bien des gens s'en iraient ou déciderait d'arrêter de travailler. Ne riez pas, à quoi bon se défoncer chaque jour, si en bout de ligne, il n'en reste pas! Et que, chemin faisant, à travers nos semaines, on constate que notre argent paie la retraite des autres... Que nos efforts ont servi à élire quelqu'un qui se fout complétement de nous autres... Qu'à chaque fois qu'on rentre dans un poste d'essence, on constate que tous les prix sont gérés par une loi... Qu'à chaque fin de trimestre, on fait le même constat; les profits vont au gouvernement. Alors je dois rester optimiste, énergique devant les journées qui passent. Je dois vivre chaque instant à plein régime. Faire de chaque journée une réussite! Et surtout, ne pas me laisser influencer par les médias.

vendredi 11 novembre 2016

Un vendredi

Enfin vendredi. Prendre ma journée en congé, à mes frais, me permet de relaxer. Pourquoi je stresserais? Mon imprimante est brisée, je vais passer la journée en voiture à discuter avec mon amour! Et puis, c'est moi qui décide si je peux. Ces dernières semaines furent très bien remplies. Et, hier fut une journée de course qui s'est terminée par un bris sur l'équipement qui va peut-être me faire passer à une autre étape. Enfin vendredi. Une journée de repos bienvenue juste avant le blitz des fêtes. Comme les années passent et finissent par se ressembler. Je sais que je vais devoir travailler dur d'ici le 23 décembre. Et mon implication au niveau de la chambre de commerce comble les petits recoins dans mon horaire que j'aurais pu oublier. Tout ça pour dire que ce sera une journée de repos. Filtrer les appels n'est pas mon fort, mais je commence à y prendre goût. Je suis heureux et je veux le rester. Alors je dois faire des concessions ici et là. La conciliation travail-parent n'existe que dans les conventions. Pour vrai, avoir des enfants est un choix. C'est un choix à long terme dans lequel on s'engage. Avec les années, nous transmettons une somme de connaissances, l'ensemble d'une vie à nos enfants et ce sont eux, qui continueront à suivre la route. Depuis des années, j'essaie de ne rien manquer. Depuis une couple d'années, il m'est de plus en plus difficile de suivre. Ils vivent dans l'instantané. Réseaux sociaux, textos, photos en tout temps, communication 24\24. Rien n'est plus vite. Je me disais qu'à un moment donné, nous ne serions plus capables d'aller encore plus vite, mais ce n'est pas le cas encore. Alors je prends une journée de congé, un temps d'arrêt.

jeudi 10 novembre 2016

On fonce!

Je constate ce matin que personne n'est mort, qu'il n'y a pas eu de manifestation, que la terre tourne toujours. L'énergie autour de moi est la même. Alors nous allons survivre aux résultats des élections américaines. Ma journée d'hier fut une corvée énorme, alors que je devais retirer une pellicule installée depuis quatre ans sur un véhicule. Un enveloppement complet. Quel cauchemar ce fut! Non seulement la partie laminage se séparait du vinyle imprimé, mais il y avait différentes sortes de vinyle. Même avec de la vapeur, je n'ai plus de peau sur les doigts! Difficile de me servir de mes mains ce matin. J'ai une installation à faire ce matin, ça va bien aller. De toute façon, ai-je d'autres choix? Je suis l'outil de mon entreprise, je dois parfois composer avec ce genre de choses. Cette tâche était la porte d'entrée pour un contrat. Treize véhicules. Un seul avec un enveloppement. Les autres sont plus simples, une petite heure pour installer 28 autocollants. Deux problématiques, le climat et la disponibilité des chauffeurs. On dirait une compensation pour la job habituelle des essences d'hiver. AU moins je ne gelais pas. Le dessus de mes jointures est usé à vif. J'ai quelque morceaux de peau qui ont disparu, suite à trop de solicitation combinée à la vapeur. Fermer le poing représente un petit défi, car ça fait mal et les blessures craquent. Mais je guéris vite. En route pour une autre belle journée.

mercredi 9 novembre 2016

Il reste à voir!

Eh bien, comme quoi les médias ne peuvent pas tout changer! Au sortir d'une campagne pour le moins sale, les gens se sont rebellés contre la masse médiatique. Difficile de dire si cela aura un impact rapide sur l'Amérique, mais une chose est sûre, les américains ont voté pour celui qu'ils trouvaient le moins pire. Étrangement, la tendance s'est inversée en deux semaines, comme pour notre PM. Mais ce sont les gens qui ont mené. Bien content que ce soit terminé. Par contre, je doute que ce soit une tâche facile pour le nouveau président. La masse médiatique, remplies d'intentions collectives, socialistes, je ne crois pas que la partie sera facile. ALors que certains prévoient la fin du monde depuis le début, nous verrons avec le temps ce que ça donnera. Il n'y aura pas d'apocalypse, ni de mouvement dans les plaques tectoniques! Les gens ont-ils peur pour vrai? Peur de quoi? Regardez autour de vous! Certains parlent d'abolition du libre-échange, quel libre-échange? Personne ne va venir chez vous pour vous attaquer! Surveillez simplement vos arrières, il ressemble étrangement  au Maîîttrrre! Sa façon de dire les choses, la façon dont il a grimpé dans les intentions de vote. À long terme, est-ce que ce sera bon pour l'économie? Ça reste à voir!

mardi 8 novembre 2016

J'ai hâte!

Je sais que je n'en ai pas parlé, mais que voulez-vous, je suis tellement tanné d'entendre les gens divaguer à ce sujet. J'ai hâte que ce soit terminé. Peu importe le résultat, je crois que ce sera une élection médiocre. SI l'un rentre, les médias feront tout pour l'empêcher d'agir. Si l'une rentre, alors le statu quo se perpétuera, et l'hypocrisie aussi. La transparence n'est pas de ce monde! Alors je suis prêt en arrêter d'en entendre parler! Bizarre que, quand c'est important, ici, au Canada, personne n'ose en parler. Seul une poignée de gauchistes mènent la parade! Même dans notre propre ville, les gens n'osent point parler, donner une opinion! Serait-ce qu'ils ont peur? Bref, tant qu'à dire n'importe quoi qui ne changera rien, concentrez-vous sur notre pays, notre province. Imaginez une vie avec moins de gouvernement, moins de syndicats. Certains sont très heureux de laisser les autres décider. Pour eux, prendre l'initiative, c'est abstrait. Pour ma part, je suis enclin à faire les choses par moi-même. J'ai une compréhension rapide de beaucoup de choses et souvent, j'ai l'impression de perdre mon temps à attendre que ça bouge. C'est pourquoi je reste dans mes affaires, comme ça je ne dérange personne.

lundi 7 novembre 2016

Ça va vite!

Une fin de semaine de course avec un spectacle vendredi soir, à l'Impérial de Québec. Un souper dans la Beauce pour l'anniversaire de mon père et du soleil hier, un dimanche de corvée d'automne qui s'est terminé chez des amis. Le spectacle était bon, si l'on fait abstraction de la première partie. Un Band de «death métal» dans lequel le chanteur ne fait que «japper» avec un fond de gorge encrassée. Une approche théâtrale peu recherchée, pour ceux qui aime la noirceur de la vie. Par contre, le spectacle du groupe Epica, quel magnifique prestation! La chanteuse, Simone, un ange sur la scène, accompagnée de musiciens qui s'amusaient, souriaient. Malgré un son beaucoup trop fort, il était possible d'apprécier les harmonies et la voix de SImone. Bien sûr, nous étions debouts, trois heures durant, difficile de se concentrer par moments. Même avec vingt ans de moins, cette soirée aurait été un peu longue. Dispendieuse du fait qu'une de mes filles commençait un nouveau travail. Un billet de gaspillé. Mais il ne fallait pas gâcher la soirée pour ça. Samedi matin, je livrais un projet de fond, le design graphique et l'enveloppe ment d'un masque de gardien. Quand le client est content, c'est merveilleux. Après nous sommes allés voir mon filleuil jouer au hockey. UN bon divertissement. À notre retour, des invités pour dîner, mon garçon, la belle-mère et madame Lise. Le temps passe vite en faisant des hot dogs vapeur. Ensuite, le temps de faire une mise à jour avec mon fils, nous partions pour la Beauce. Souper copieux et délicieux, comme toujours chez mon père. Mon frère y était, mais bon. Et hier, fortifié du soleil qui s'est montré le bout du nez pour la première fois depuis deux semaines, je me suis enflammé dans les corvées d'automne. Finir de laver les vitres, finir de râcler les feuilles, tondre une dernière fois, hiverniser la tondeuse, et j'en passe! Bref, nous étions vidés! Et nous sommes allés souper chez des amis qui nous avaient invités pour déguster de la pizza. Retour au bercail vers 20hres, ouf! Le changement d'heure se faisait sentir! C'est ce qu'on appelle une fin de semaine bien remplie! Sur ce, je dois y aller, si je veux payer ce train de vie. Bonne semaine!

vendredi 4 novembre 2016

Bon vendredi!

Des fois on se demande vraiment où avions-nous la tête devant les décisions prises. Ce soir je vais voir un spectacle de classique métal avec des amis et une de mes filles. Franchement, dans l'état où je suis ce matin, difficile de trouver un terrain d'entente dans ma tête. Contrarié au maximum, je n'arrive pas à me faire à l'idée. Heureusement, le fait d'être vendredi devrait faire pencher dans la balance. Pour le show de ce soir, je vous en reparlerai. En attendant, concentrons-nous sur nos intérêts de travailleurs. Nous sommes dirigés par des gens qui se foutent complètement de ce que leur citoyen pensent, ces derniers vivent une vie de pachas, ils dépensent notre argent et il faut réussir à être heureux? C'est là que les vendredis soir interviennent. Oui on travaille fort la semaine, mais on se fait mitrailler par les médias, sur des sujets plus ou moins intéressants, bombarder d'infos plus ou moins poignassées, convergeant vers où les médias veulent bien nous mener... Forts de leur regroupement, ils semblent que leurs sources soient difficiles à divulguer. La transparence, comme dans bien d'autres secteurs, n'est pas à l'ordre du jour. Et il faudrait les croire? Non mais pensez-y, ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer, ni demain. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été capable de me faire une idée sur ce qui m'entoure, je n'ai jamais eu besoin de personne pour ça. Et quand j'aurais eu besoin que quelqu'un me montre le chemin, les volontaires se cachaient quelque part, car je ne les ai jamais trouvés. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais me laisser dire quoi faire ou quoi penser. Depuis que j'ai pris conscience du monde qui m'entoure, j'ai constaté des variations. Ces variations ont amené une masse administrative beaucoup trop importante dans notre société. Et les syndicats ont pris des proportions inadmissibles pour le bien-être et l'évolution d'une société qui se respecte. Ces éléments empêchent les gens d'évoluer, ils mettent un frein à l'économie, à l'avancement «socio-technologique». Paspire pour un vendredi matin!

jeudi 3 novembre 2016

Un temps d'arrêt.

Comme certains matins d'automne, je suis allé dehors ce matin en vélo. Pas si chaud, mais il ne pleuvait pas. La semaine dernière, il neigeait chaque matin. Cette semaine, pluie ou froid. Mais à six degrés, facile d'enfiler mes vêtements et d'aller en profiter. Surtout que ça fait deux jours déjà que j'aurais aimé que ce soit vendredi. Heureusement que j'aime mon travail. Je suis allé voir mon comptable hier, il m'a dit que ce serait important d'augmenter mon chiffre d'affaires de 30 % par année. Wow! Je pensais que 5 % était une estimation réaliste! Avec tout l'impôt que j'ai donné, plus les remises de taxes, difficile de sortir un pourcentage plus grand que ça. Mais c'est bon de l'entendre de la bouche du comptable. Il s'occupe de 285 clients réguliers. Je ne parle pas des rapports d'impôts, je parle de la tenue de livres. Je suis content de voir que sa santé se maintient. Nous avons jasé pour le plaisir, faisant ensemble un petit bilan économique de ce qui se passe autour de nous. Il semble apprécier ma compagnie, au delà des finances. Bref, je suis content. Les temps sont plus durs qu'ils ne l'ont été depuis que je travaille de façon autonome. Donc depuis le printemps 2008. En huit ans, le prix de mon matériel a facilement monté de 35%. Ai-je suivi cette vague dans mes prix? À vérifier. Une chose est sûre, je vis au jour le jour, laissant mon coeur me guider. Je vois ça comme si je travaillais pour quelqu'un, mais ce quelqu'un, c'est moi. Je devrais me demander une augmentation. Mais j'essaie d'éloigner les dettes. Je sais que je devrai changer mon imprimante sous peu, éventuellement vendre mon camion. Mais pour l'instant, je continue de vivre au gré des choses qui me rendent heureux : ma famille, mon travail, mes amis, la vie! Ces jours-ci, je prendrais volontiers des vacances. Est-ce possible dans ma tête, comme un soin thérapeutique ? On s'en reparle!

mercredi 2 novembre 2016

Merci d'être là!

Hier j'ai dîné en compagnie de mon ami le remorqueur. Il est toujours aussi énergique, rempli de bonnes intentions. Il a sa façon à lui de voir la vie. Il a aussi son mot à dire partout où il va. Et dieu sait qu'il se promène vraiment beaucoup. Il a un discours coloré qui lui sied à merveille. Nourri par les infos de tous et chacun, il sait en prendre et en laisser. Il arrive toujours comme une bombe, prêt à tout pour arriver à donner vie à ses projets. La plupart du temps, son projet est un véhicule vintage. Il adore les classiques de toutes sortes. Mais la musique et les voitures sont l'histoire de sa vie. Il ferait n'importe quoi pour voir les gens autour de lui sourire. Il mène sa vie comme un artiste. Son inspiration le mène vers toutes les avenues possibles, parfois même impossible. Il a ce je ne sais quoi qui plaît, un charisme différent des autres. Comme un chanteur qui a une voix différente de la masse. Pour lui, l'important, c'est de vivre au jour le jour. Respecter ses racines, la famille et les amis. Il se donne beaucoup pour des causes en donnant des spectacles bénéfices, où il excelle avec des baguettes et une batterie! Il vit, intensément et le plus librement possible. Les contraintes quotidiennes l'ennuient et il sait les amoindrir. Il a cette façon de vous sourire, de vous transmettre son message. De plus, il est loyal. Des fois le temps passe beaucoup, mais dans son coeur, les choses demeurent intactes. Il faut le rencontrer, ne serait-ce que quelques minutes pour saisir sa passion de vivre. Chaque rencontre est épique! Longue vie à mon ami Cazes.

mardi 1 novembre 2016

Bien content

Voilà! La fête de l'Halloween est passée! Maintenant un blitz vers les fêtes s'amorce, tel une météorite fonçant sur la terre. Rien ne pourra jamais arrêter le temps. Journée vraiment froide hier, avec une sorte d'accalmie vers le milieu de l'après-midi. Mais quand tu es excité d'un 5 degrés avec du soleil, c'est qu'on est loin du beau temps. Mais les enfants ont bien aimé, encore cette année, passer dans les rues pour récolter des bonbons. Il faisait un maigre deux degrés, mais ils ont marché environ deux heures. Autant certaines gens ont rapporté bien plus que cent enfants, nous n'en avons eu que huit. Mais ils étaient très mignons. Toujours intéressant de voir leurs costumes. De voir aussi qu'ils sont parfois gènés, ou complètement illuminés! J'aimais bien l'Halloween. Maintenant, je l'aime toujours, mais c'est un temps de l'année où je suis souvent très occupé par le travail, le temps passe vite et je n'arrive pas à y consacrer tout le temps voulu. Et avec tout ça, je me retrouve fatigué, et après avoir participé au bon fonctionnement de cette fête pour mes enfants, il me reste très peu d'énergie pour m'impliquer davantage. Hier soir, après avoir fait souper une gang de petits ogres, j'ai fait la vaisselle et l'énergie n'y était plus. Mais je suis content tout de même d'avoir pu permettre à mes enfants de vivre un moment heureux encore cette année avec cette fête.

lundi 31 octobre 2016

Bon lundi!

Une fin de semaine de préparation pour cette saison qui débute le 21 décembre. Et un avant-goût de l'Halloween avec 2 partys. J'ai trouvé que nous étions vieux samedi soir, en place pour une soirée très mouvementée. Party chez des amis, tellement de monde, tellement de personnes qui voulaient en faire encore plus! Difficile de suivre, mais aussi difficile de se retrouver dans une soirée aussi impersonnelle. Pendant ce temps, notre plus vieille donnait une soirée à la maison avec son chum et 10 autres convives. TOut s'est bien passé. Il faut bien commencer quelque part. Avec toutes ses vidéos sur YouTube qui dépeignent la vie comme un immense party rave, des fois on se demande si la vie qu'on vit est bien réelle! Mais quand on revient au boulot le lundi, force est d'admettre que la réalité est bien celle-là : travailler, donner son maximum, sourire autant qu'on peut et regarder la marche du monde. Continuer de penser à l'avenir, mais ne pas en faire tout un plat. Laisser venir les occasions, prendre le temps de payer nos choses et essayer de rester positif. Quand on se met à penser, à comprendre, il est toujours difficile d'admettre que notre salaire ira pour les fonds de pension des autres, la négligence des autres, mais surtout pour l'inconscience des autres. Ce soir, en ce 31 octobre, la vie nous donne une autre chance de rester jeune, de voir la vie avec d'autres couleurs. Autant en profiter. Bonne semaine!

vendredi 28 octobre 2016

Enfin vendredi!

Quelle semaine encore une fois. Moins physique, mais tellement remplie! Content d'arriver enfin au bout. Mais une chose change, la consommation de carburant festif. Avant, le vendredi soir, il fallait décanter la semaine, mettre le stress de côté et réussir à relaxer un tant soit peu. SOuvent difficile d'y arriver sans ajouter certains relaxants musculaires... Maintenant, peut-être est-ce l'âge, j'aime mieux être en bonne compagnie, jaser un peu et laisser la nature faire son œuvre. De toute façon, la fatigue a tôt fait de me rattraper! Mais le camping aide beaucoup. Car les lendemains sont vraiment plus relax. En arrivant, rien ne me retient, ni la faim, ni l'heure, ni le téléphone. Il m'appartient d'être heureux. Et c'est probablement tout ce qui nous reste! Cette semaine, suite au révisions budgétaires de notre gouvernement en place, les amis de QS sont sortis pour nous dire que, nous, la classe moyenne, étions plein aux as! Que nous n'avions pas besoin de plus d'argent dans nos poches! Ils ont même dit qu'on allait s'acheter plus de télés aux plasma, de voitures neuves, etc. Comme si gérer notre argent nous-mêmes serait un crime contre la société! J'aimerais en parler un peu plus, mais je sens que je vais gâcher ma journée! Mais une chose est sûre, je choisis d'être heureux et ça m'appartient! Le reste, bien, on verra!

jeudi 27 octobre 2016

Quel bon film!

Manteau de neige ce matin, inutile de dire que je trouve ça hors saison. Mais que voulez-vous, nous sommes au Québec! N'empêche je m'en serais vraiment passé ! Hier, nous sommes allés voir un film. «Sully» Ça raconte l'histoire d'un homme, un pilote, qui a atterri sur la Hudson River. Amerrissage est le vrai mot. Tout au long du film, cet homme est brassé par les enquêteurs, il se remet en doute. J'ai vraiment aimé ce film. Nous étions huit dans la salle. Le film est en salle depuis un mois et demi, c'est quand même bien pour un film où personne ne meurt! Car l'avion ne pouvait plus fonctionner après un décollage presque terminé. Je dis ça parce qu'ils n'ont pas eu le temps de prendre leur altitude de vol. Ils ont traversé vraisemblablement une envolée de canards! Mais quelle envolée! Les deux réacteurs du Airbus 320 ont grillé! Après avoir tout essayé, n'ayant plus assez d'altitude pour rebrousser chemin ou encore aller se poser pas trop loin, l'unique choix était de «déposer» l'avion sur la Hudson River. Un chef d'œuvre d'image. Content d'avoir vu ce film au grand écran. Une fois l'avion dans l'eau, vingt-quatre minutes se sont écoulées pour permettre à tous les intervenants d'évacuer tout l'équipage. Une opération réussie, digne de mention et de récompenses! La reconstitution est tout à fait incroyable. Et les passagers ont été tellement calmes! Le calme du capitaine, l'attitude soutenue du personnel de bord, tout à bien fonctionné! C'était en 2009, le 15 janvier. Mais ici, au Québec, nous n'en avons pas vraiment parlé, car il n'y a eu aucun mort. Dommage, quelle leçon de courage! Un film inspirant qui devrait être diffuser dans les écoles. Et l'acteur principal, Tom Hanks, est égal à lui-même, soit excellent. Et puis, l'hommage présenté à la fin, avec le vrai capitaine, le vrai personnel de bord et les passagers est un baume pour tous ceux qui furent éprouvés dans cette aventure.

mercredi 26 octobre 2016

Foutaises!

Y a t-il quelqu'un qui croit vraiment à des surplus chez notre gouvernement? Alors que ce dernier se plaint depuis sa venue en haut que les coffres sont vides? Et puis, si on regarde la dette, je n'arrive pas à imaginer des surplus. Chaque année, quand nous sommes en période d'impôts, je me demande tout le temps si un jour, j'aurai des surplus. Pour avoir des surplus, il faut avoir payer tout ce qu'on doit. Avons-nous, citoyens du Québec, payé tout ce qu'on doit? Pouvons-nous dire au reste du pays que nous n'aurons pas besoin de péréquation cette année? De quoi parlez-vous, monsieur le couillon? Être aussi intelligent et nous raconter de pareilles histoires! On dirait que vous nous prenez pour des arrièrés! Avez-vous déjà eu faim? Est-ce qu'une fin de mois vous a déjà fait peur? Peut-être que vos belles paroles en séduiront quelques uns, mais dieu du ciel, vous devriez changer de discours! Je sais que je me répète, mais commencez par couper au sein de votre cabinet, donnez l'exemple un peu. De toute façon, je parle toujours dans le vide, personne n'a le goût d'entendre quelqu'un parler de politique et\ou d'économie! Les gens sont complétement soumis, désabusés, dans leur pensées les plus heureuses, il y a leur départ de la belle province. Dommage...

mardi 25 octobre 2016

Soyez prudent.

Il semble que les médias l'ont encore échappé avec l'histoire d'une étudiante, d'un député et certaines allégations autour de ces deux personnes. Alors que certains en profitent pour faire circuler des discours complètement extrêmistes, d'autres tentent de récupérer le tout en parlant contre les libéraux. Bref, depuis vendredi dernier, nous avons eu droit à toutes sortes d'histoires, tellement, qu'il est maintenant difficile de savoir si tout ça est vrai. Car il y a trop de contradictions dans cette histoire. Mais ce qu'il faut retenir, car il faut apprendre de ce genre de situation, c'est de ne pas en parler aux médias sans être représenté. Dans cette société où nous sommes, il vaut mieux ne pas réveiller les médias trop vite, car ils saisissent tout comme des hyènes, se disputant entre eux, ne laissant que des miettes dont plus personne ne voudra. Et c'est vraiment dommage. Il y a sûrement une vérité quelque part dans toute cette affaire, mais peu de gens sauront vraiment ce qui s'est passé. Je retiens aussi une chose, plus tu as une vie, une carrière publique, plus il est important de marcher droit. Avant de s'investir corps et âme dans une vie «publique», mieux vaut être paré et plus blanc que noir. Maintenant avec les médias sociaux, rien n'est secret. À l'époque, dans un petit village, les nouvelles couraient vites, mais aujourd'hui, à travers le numérique, il n'y pas de limite de vitesse aux nouvelles, mais aussi aux rumeurs et autres qu'en dira-t-on... Je ne dis pas d'avoir peur, au contraire, soyez heureux et en paix avec vous-même!

lundi 24 octobre 2016

Du pareil au même!

Après certaines discussions avec quelques uns de mes clients et amis, j'en viens à la conclusion que l'idée de mettre le salaire minimum à quinze dollars ne peut se solder que par un échec. Personne jusqu'à maintenant n'a réussi à trouver quelque chose de bon dans ce foutoir. D'ailleurs les gens préfèrent me parler contre Trump, alors que, moi, présentement, je m'en fais pour notre économie, notre climat social. Ils éliront qui ils veulent, ce sont eux qui devront assumer ensuite. Nous avons passer par là il y a un an et ce fut tellement dur, je manque d'intérêt pour les élections de nos voisins. Et comme plusieurs se sont indignés devant les nouvelles mesures pour faire l'acquisition d'une maison, je suis obligé de comprendre que bien des gens comptaient encore s'endetter jusqu'au coup. Et qu'ils sont mécontents de ne plus pouvoir accès à ce statut! Le taux directeur est demeuré le même, heureusement pour nous tous. Mais je ne parviens pas à voir au delà des paiements. Depuis des années, nous payons, sans jamais réussir à prendre les devants. Chaque fois que nous visualisons un rêve, la vie nous ramène vers d'autres sentiers plus sinueux. Ayant fermé le dernier trimestre récemment, je constate que rien n'a changé. Si le trimestre fut vraiment difficile, alors les temps sont plus durs. Par contre, si le trimestre fut vraiment profitable, alors les taxes viennent tout nous reprendre. Difficile de prendre de l'expansion, difficile de parler de l'avenir. Et c'est compliqué pour rien; pourquoi charger des taxes à nos clients et les redonner au gouvernement? Cette situation n'est payante que pour lui. Selon mon exemple démontré ultérieurement, la multiplication des taxes ramène de l'argent vers les gouvernements. Pourtant la dette ne fait que monter. La vraie question est que font-ils avec tout cet argent? Un peu de transparence serait la bienvenue. Bon lundi!

vendredi 21 octobre 2016

Saisir l'occasion

Déjà vendredi! Je sais, c'est formidable! Mais je commence à trouver que ça passe trop vite. La vie s'égraine sans arrêt. Je dis ça comme ça parce que c'est épeurant de constater à quel point nous vieillissons vite. Chaque journée est unique et ne reviendra pas. Il fut un temps où cela ne me dérangeait pas de sentir le temps passer. Je me disais que les accomplissements principaux étaient faits, que s'il fallait que je parte, bien ce n'était pas grave! Mais aujourd'hui, il semble que j'ai d'autres objectifs, d'autres choses importantes à accomplir. J'ai aussi des responsabilités en tant que père, époux et chef d'entreprise. Ce n'est pas une question de dépassement, mais bien de réalisations. Et puis, je veux être là pour regarder la marche du monde encore un peu. Car mon séjour n'est qu'un coup de vent dans l'éternité. Plus jeune je voulais me faire remarquer par toute la terre; aujourd'hui je préfère être plus discret. Oh certains diront que je ne le suis pas tellement, mais cela me va! J'aime mieux naviguer en eaux de mer qu'en eaux troubles. Et si le destin devait m'appeler, alors je serai toujours prêt, sans regret. N'oubliez pas de vous amuser!

jeudi 20 octobre 2016

Isshh!!!

Après une année remplie de selfies, notre PM continue de se pavaner ici et là, se foutant complètement des citoyens. Ce qu'il ne réalise pas, c'est qu'il est notre employé! L'an dernier, j'ai eu tellement de misère à m'en remettre! Une journée entière à me gruger les sens, à ne pas trop savoir quoi en penser. Mais il n'y a rien qui a changé du côté de notre PM. Par contre j'ai réussi à me contrôler, à garder mon calme lorsque je vois une de ses photos. Je crois aussi qu'il n'est qu'un couvert devant les vrais dirigeants. Mais ce n'est pas drôle pour autant. Après une année entière, que de déficits, et, que doutes s'interposent dans sa lancée. Je ne comprends pas pourquoi les gens sont si accrocs à l'apparence. Campagne bien ciblée, image sans cesse renouvelée, mais rien de grandiose, voire rien du tout. Endettement, craintes et division. Voilà ce qu'il a fait. Après avoir été élu avec promesse d'endettement, il a soulevé le doute et les inquiétudes avec des dettes encore plus grandes que prévues. Et, ses courbettes avec le côté obscur n'ont fait qu'alimenter le feu et les gens sont de plus en plus divisés par rapport à l'immigration. Pour lui, les gens qui cognent aux portes pour demander des explications, ce sont des manants qui ne savent pas de quoi il parlent. Encore trois ans...

mercredi 19 octobre 2016

Inquiétude

COmme je n'ai pas trouvé de point positif à l'augmentation du salaire minimum, je me suis promis d'en parler avec certains de mes clients. Comme ils sont tous en majorité des entrepreneurs, ils auront eux aussi une vision réaliste de cette idée étrange. Parfois je réussis à voir clair dans certains projets de loi, projets qui vont permettre, par le biais de lobbies, à plusieurs personnes de s'en mettre plein les poches. Je ne dis pas que c'est avantageux pour les citoyens, mais au moins j'y trouve un certain sens. Mais cette fois, difficile d'y trouver du bon ou du moins bon. Il n'y a que des choses catastrophiques en vue. Mais il faut s'accrocher à son propre quotidien, fonder nos propres espoirs. Les gens qui ont acheté une maison «à crédit» et qui veulent investir avec une marge de crédit hypothécaire sont les plus surpris de voir la valeur de leur acquisition diminuer. Ceux qui veulent vendre pour se refaire, sont eux aussi très déçus de la tournure des choses. Mais les taxes foncières, elles, vont-elles diminuer? Seul le Maîîttrrre le sait. Je suis doublement triste à cette simple pensée. Peut-on imaginer un jour avoir un petit break? Un petit répit dans les paiements? J'aime commencer ma journée en me rappelant qu'il va faire soleil, histoire de recharger nos batteries un peu! Bonne journée!

mardi 18 octobre 2016

JE m'interroge...

Je voudrais faire une réflexion sur le salaire minimum. Déjà, selon ce que je perçois, ce salaire est déjà trop élevé. Ce sont les aides sociaux qui sont trop généreuses! N'importe qui, qui s'arrête pour calculer un peu, s'aperçoit que c'est plus facile d'arriver lorsque les médicaments, les frais de dentistes, ophtalmologistes et autres sont payés. Par contre, il y a tellement un déséquilibre dans notre société, beaucoup de gens en arrachent avec 10,75$ de l'heure. Mais la solution n'est pas de l'augmenter. Cela pénalisera les PME qui ont besoin de main d'œuvre, et inévitablement, ceux qui cherchent du travail. Car à ce salaire proposé, les PME n'auront d'autres choix que de resserrer le budget. Elles devront trouver des solutions de production avec moins d'employés. Donc plus de chômage. J'ai beau étudier cette proposition, je n'arrive pas à y trouver quelque chose de positif! Qui est-ce que ça va aider? Comment cela peut-il être bénéfique? Je n'arrive pas à comprendre. Et puis, tous les employés syndiqués ou sous décret devront être augmentés eux aussi! Est-ce que le chiffre d'affaire de leur employeur aura augmenté, lui? Quel non sens! Je ne saisis pas l'intérêt, le bien d'une telle manoeuvre! Celui qui a lancé cette idée au départ, c'est qui? Je ne sais pas si je vais perdre d'autre temps à tenter de trouver quelque chose de positif dans cette idée. On s'en reparlera sûrement.

lundi 17 octobre 2016

Savoir apprécier...

Quelle fin de semaine encore une fois bien remplie. De la visite vendredi soir, de la visite samedi soir, pour souligner l'anniversaire de notre grande fille. J'ai commencé la corvée du lavage des fenêtres extérieur. Nous sommes allés chercher le cart au camping, fermer l'extension et ramener quelques trucs avant la saison froide. Nous ne nous sommes pas couchés trop tard. Mais la petite semaine de quatre jours avait frappé fort physiquement. Ce matin, je me sens bien, un peu mou, et j'aurais pris au moins une autre journée de congé. Mais bon, j'aurai suffisamment le temps de me reposer quand je serai mort. Trève de plaisanteries, le temps passe tellement vite. Nous avons installé quelques décorations pour la fête d'Halloween qui s'en vient. Les températures commencent à être vraiment plus fraîches et dans pas long, novembre s'installera avec ses caractéristiques saisonnières dont je n'ose mentionner les mots. Car je n'y tiens pas vraiment. J'aime mieux ne pas y penser. Tout le bardas qu'amène ce changement de saison! Il y en a qui ne jurent que par ça. Mais moi, je me souviens de cette saison 2007-2008. Record à vie de précipitations, je n'ai pas réussi à m'en remettre. Et puis, y a rien comme étendre du vinyle dehors. Difficile sous la barre du zéro degré. Ce matin, avec un 7 degrés, malgré une chaussée mouillée et garnie de feuilles, la balade en vélo en valait la peine. Chaque matin que je peux aller pédaler dehors est une opportunité que je saisis avec le sourire. L'air pur, la sensation de liberté. C'est bien le vélo sur mon rouleau, au chaud dans le garage, mais ça devient long. Six mois dehors et six mois en dedans. Mais l'été dernier m'a permis de faire un peu plus de vélo. DU vélo en équipe, de plus grandes balades; de quoi se dégourdir un peu. Pour moi, c'est le sport par excellence. Je comprends les gens qui jouent au golf, qui jouent à la balle, au soccer. Se dépenser pleinement en oubliant les tracas du quotidien. Pour moi, une bonne ride en vélo, y a rien de mieux.

vendredi 14 octobre 2016

Ouf! Méchante analyse!

Mes enfants sont en congé aujourd'hui. Comme lundi dernier. Bon c'était l'Action de Grâces, mais chaque année, je me pose la même question. Ont-ils trop de congés? Comment peuvent-ils se concentrer avec tous ces arrêts? Quand je les écoute me raconter leur journée, ils me partagent aussi que c'est plate quand la remplaçante se fait remplacer. De plus en plus, l'année scolaire se veut une succession de remplaçants. Bravo! Que dire à nos enfants quand ils te disent que c'est le deuxième suppléant de la semaine? Que ce dernier ne connaissait pas la matière? Il faut les garder concentrer. Pour moi, c'est inadmissible qu'un professeur ne puisse pas être là toute l'année! Je me souviens à la fin de l'année 2015-16, ma plus jeune me rapportait qu'il avait eu un suppléant toute l'année, que ce dernier était intéressant, que l'année s'était bien passée. Mais que le professeur régulier revenait trois semaines avant la fin. Elle m'a dit qu'il n'y avait rien à faire, histoire de convention et de syndicat. Elle était vraiment affectée par cet événement. Pas besoin de vous dire que le professeur que tu as eu toute l'année, c'est celui-là auquel tu es habitué. C'est avec lui que tu as cheminé, que tu t'es appuyé pendant des mois pour apprendre la matière. Et, du jour au lendemain, pouf! C'est un autre, que tu ne connais pas, qui vient pour trois semaines! Ce n'est pas comme une job où peu importe qui rentre le matin, en autant que l'ouvrage soit fait. Il y a des enfants d'impliqués, qui sont en apprentissage! À l'école, le professeur, c'est comme le parent. Ça me ramène encore au dossier de mon fils. Il a besoin des intervenants du CRDI et CLSC. Mais ces derniers changent constamment de poste, où doivent prendre vacances, ou autres. Alors le suivi est sans cesse entrecoupé de mise à jour du dossier, de séquences «vides» où est-ce que la personne doit étudier le dossier, essayer de comprendre. Depuis plusieurs années, ce n'est qu'un cercle vicieux qui ne mène à rien. Et chaque fois qu'une nouvelle personne se pointe, pour lui, une personne asperger, c'est très difficile. Le seul perdant dans tout ça, c'est mon fils. Bref, je pourrais en parler encore longtemps, mais je dois travailler si je veux facturer. Par contre, ceux dont je viens de parler, eux, seront payés pareil, peu importe la vie.

jeudi 13 octobre 2016

Petit constat

Ce matin, je fais le constat que mon sommeil est troublé par la recherche de solutions. Un phénomène qui me tiraille depuis bien des années. Quand, dans mon horaire, j'oublie des choses, c'est qu'il y en a trop. ALors inconsciemment, je recherche la cause, j'essaie de m'ajuster. Qu'est-ce qui fait que j'oublie certaines choses? Est-ce la fatigue, est-ce de la négligence? Quand je réussis à trouver, il arrive que je trouve une solution. Pour l'instant, je sais que certaines personnes réussissent à me déjouer. Ils profitent de ma générosité pour m'en demander un peu plus. Ce n'est pas une question d'argent, mais une question de temps. Et chaque fois, je me rends compte trop tard. Je deviens irrité, et je fais des erreurs. Et c'est là que l'inquiétude s'installe. Alors à moi de veiller à ce que cela ne se produise pas trop souvent. Et les personnes qui me jouent le tour sont souvent des personnes que j'aime beaucoup, des personnes près de moi. Bref, tout cela m'empêche de dormir un peu. Je n'en souffre pas vraiment, mais je suis différent avec les autres, plus dans ma tête. Et j'ai tendance à ne pas faire attention à mon apparence. Mais bon, je vais continuer ma journée, on verra bien.

mercredi 12 octobre 2016

Prenez garde!

Dans cette province qui est la nôtre, rien n'est comme ailleurs. Nous payons des (deux!) taxes sur tout. Nous sommes surveillés dans tout ce que nous faisons. Nos pensées sont mieux à l'intérieur de notre tête, car on ne peut pas dire ce que l'on veut. Si vous avez besoin de soins, faites tout ce que vous pouvez par vous-mêmes, car vous risquez d'attendre vraiment longtemps. Vous avez des idées, vous avez des projets d'investissement? C'est sûr qu'une autre province serait mieux choisie. Et depuis quelques années, et ça, c'est comme ailleurs, n'en faites pas trop devant les autres (des niaiseries), car les réseaux sociaux sont là pour vous publier! Bref, nous sommes libres. Nous n'avons pas d'ouragan, pas de tremblements de terre, nous avons inventé le sirop d'érable, la Poutine, l'hydro-électricité et nous avons les plus belles femmes! Donc pourquoi chiauler? Je me dis que c'est mieux de faire ses affaires, de rester «low profile». Mais parfois il fait bon arrêter un peu, laisser nos esprits divaguer dans des discours légers. En ajoutant certains relaxants musculaires comme une bonne IPA ou un verre de vin. Mais c'est à faire attention, car là-dessus aussi, nous sommes surveillés. Même le prix des relaxants est surveillé et contrôlé. Dans cette province, les prix sont gérés par la loi. Comme un cartel, mais légal. Légal? Bof!

mardi 11 octobre 2016

Préserver son quotidien.

Ce fut une fin de semaine bien remplie dans laquelle j'ai tout de même réussi à aller chercher du temps pour relaxer. Que de travaux à la roulotte. Mais je tiens à ce que l'an prochain soit une autre saison de bonheur. Notre petit coin est très tranquille, pas trop loin des amis, mais bien à nous. Des fois je pense que c'est moi qui est un peu réserviste de ma vie. À force d'être mon propre patron, de toujours prendre les décisions, des fois je fais la même chose dans ma vie personnelle. Et je ferais bien des détours pour protéger cette vie que j'ai. Protéger ce bonheur que j'ai choisi. Il y a bien des jours où je suis un peu fatigué, mais j'insiste pour être heureux. J'aime partager ce que j'ai, ce que je sais, mais c'est moi qui décide. Alors il fait bon vivre. Dans cette société où plus rien n'est privé, où tout est prétexte pour apparaître sur les réseaux sociaux, pourquoi ne pas relaxer un peu? Mettre de côté ces appareils «intelligents». Prendre le temps de vivre pour vrai. Bonne semaine!

vendredi 7 octobre 2016

C'est malheureux

Ce matin je suis inquiet. Déjà tellement de personnes qui sont mortes à cause de l'ouragan qui balaie présentement la Floride. De savoir que ces gens sont là, entièrement démunis, sans ressources. En Haïti, il y a une rivière qui circule depuis deux jours à la grandeur du territoire habité. Ces gens, qui ne se sont pas remis encore de la dernière catastrophe, n'ont pas de gouvernement actif, n'ont pas de ressources efficaces. Toute l'aide humanitaire possible sera leur soutien. Car les sous ramassés depuis bien des années, sont disparus dans un nuage de corruption. Quel gâchis! Y aurait-il moyen de faire quelque chose d'autre? Je crois que le mieux, ce serait de les déménager en lieu sûr, prendre le temps de les éduquer, et, si toutefois ils voulaient retourner à leur terre natale, bien il faudrait rebâtir avant la topographie du terrain. Ramener des arbres, de la culture. SInon, ces terres sont à oublier! Car chaque fois que la terre tremble, que la pluie tombe en quantité, c'est l'hécatombe! ALors je crois que ce serait plus «humain» de les déporter. Sinon, à quoi bon allez chaque fois reconstruire, désinfecter, les voir souffrir. Il y a toujours une solution. Mais je ne suis qu'un petit être avec des idées, pas un dirigeant avec une tribune.

jeudi 6 octobre 2016

Un juste milieu.

Incroyable comme les journées peuvent passer vite. Chaque semaine se veut bien remplie, je m'affaire passionnément à la tâche. J'essaie de garder mes oeillères quand je sors de mon bureau. Difficile de voir clair de ce monde où les valeurs sont mises de côté. Mais au-delà des valeurs, il y l'homme, celui qui veut réussir, celui qui a de la volonté. Mais il y aussi ceux qui n'en n'ont pas. Ceux qui brouillent les cartes. Qui vivent comme des hors-la-lois. Ils font de leur vie un téléroman. Comme si leur quotidien n'arrivait qu'à eux. Ils attendent l'aide des autres, et leur malheur est aussi la faute des autres! Et, par divers stratagèmes, ils «volent» ceux qui leur donnent à manger. Vraiment de la belle bouillie! Mais il y a ceux qui veulent beaucoup plus. Qui ont des projets et qui n'hésiteront pas à écraser ceux qui sont dans leur jambes et\ou contre leurs idées. Ce sont des personnes très singulières, qui veulent se prouver à eux-mêmes et aux autres. Quelle course vers le «sommet», mais à quel prix? Et quand je dis sommet, je veux dire l'atteinte de leurs objectifs. Car, une fois ceux-là atteints, il vont en trouver d'autres. Mais je préfère rechercher un équilibre entre les deux. Tirer mon épingle du jeu, être heureux avant tout. Ensuite, s'il me reste du temps, passer à autre chose de plus valorisant. À plus!

mercredi 5 octobre 2016

Ouf!

Finalement, ma douce est revenue hier midi! Après quatre jours d'attente après un technicien qui n'a pas réussi à fournir un diagnostic assez éclairé. L'appareil de mammographie doit revenir à Québec pour une révision complète. Donc ma Bibi est de retour. AU moins elle aura vu du pays, le beau temps aidant. Mais ce voyage à Blanc Sablon aura coûté cher pour 9 mammographies. Et nous saurons la suite un peu plus tard. Voilà des choses qui coûtent très chères, mais sur quoi nous n'avons pas de contrôle. Par contre, à l'urgence, dans nos hôpitaux, il y a sûrement moyen de faire mieux. Chaque fois qu'un patient, brûlé et écoeuré d'attendre, fini par ressortir, combien cela a-t-il coûté? Au triage, pourrait-on renvoyer des gens chez eux? Et puis, les médias et les réseaux sociaux, est-ce que les gens s'en servent à outrance? Est-ce que nos médecins et\ou autres personnes de la santé ont peur de ce qui se dit sur Facebook? COmbien ça coûte? Et pourquoi le prix du litre d'essence à bondi de quinze cents hier? Est-ce pour payer des débordements à un autre niveau? Serait-il possible d'avoir de la transparence? Après plusieurs années d'efforts, je réussis à ne pas gâcher mes journées à réfléchir à tout ça, mais ça demeure une insulte au genre humain, un manque de respect! Comme si, ce que nous gagnons chaque jour, à la sueur de notre front, ça ne valait plus rien puisque nous allons le redonner! Que ce sera redistribuer dans la collectivité! De quelle façon? Impossible à déterminer. Ce que je sais, plus jeune, les taxes, les impôts, le prix de l'essence à la pompe se devaient d'être un système pour entretenir nos routes, pour aider les plus démunis, etc. Mais les routes sont sont un état lamentables, les plus démunis n'ont pas plus accès à de l'aide, les personnes âgées sont «cordées» dans des CHSLD et je dois arrêter, car si je veux continuer de payer le fond de pension des autres, je dois aller travailler! À plus!

mardi 4 octobre 2016

Choisir d'être heureux

Hier matin était une confortable balade en vélo. Mais la journée fut venteuse et peu confortable sans coupe-vent ou petit manteau. Ce matin, toujours ce vent, mais trois degrés. C'était limite pour prendre de la vitesse en descendant. Le froid mordait, malgré mes gants et mon petit bonnet sous mon casque, l'inconfort s'installait. N'ayant pas la même motivation que durant un événement comme la Boucle ou le Cyclo-défi, seul dans le noir à cinq heures du matin, j'ai quand même réussi à faire mes dix kilomètres. Je dois avouer que cette fin de semaine de forts vents et de pluie, les 9 et 10 juillet 2016, j'ai eu plus froid que ce matin. Moins mordant, mais plus souffrant. Je n'oublierai jamais ce quatorze degrés, les rafales qui faisaient «tanguer» nos vélos, la pluie torrentielle qui transperçait nos survêtements. Crinqués par la cause, nourris d'adrénaline, il n'était pas question d'abandonner. Au sortir de cette fin de semaine pour le moins intéressante, je pense que je le referais sans hésitation. De savoir que mes co-équipiers fonçaient avec moi, que tous, nous avions décidé d'y mettre les efforts, par respect pour ceux qui, eux, souffrent du grand mal. ALors chaque matin, je m'installe sur mon vélo et je pédale. Je ne suis pas en compétition, mais je pense à la chance que j'ai d'être en santé. Je réalise que ce n'est pas gratuit et je me garde en forme. Ainsi je veux inspirer des gens à en faire autant, à se donner une chance pour les jours à venir. Si le climat économique nous donne du fil à retordre, au moins, côté santé, nous aurons pris des précautions. Quand je dis que pour être heureux, il faut choisir d'être heureux, prendre soin de soi en fait partie. Alors bonne journée!

lundi 3 octobre 2016

Lundi matin en feu.

Une fin de semaine tellement remplie! Je suis allé au camping pour démonter toute la section de la roulotte qui fut mouillée. Quel merdier, mais j'ai trouvé où est-ce que l'eau rentrait. J'ai aussi eu le temps de vider le SPA. De le nettoyer en profondeur. Je suis allé au cinéma avec une de mes filles. Nous avons vu «Miss Peregrine and the particuliar children». QUel bon film, quel bon conte à la sauce Tim Burton! Ensuite, dimanche matin, je suis retourné au camping faire des modifications au niveau de la cuisine exérieure. Mission accomplie! Je trouve que j'ai vraiment réussi. Et j'ai fait de l'entretien sur les batterie du Cart. J'ai bien hâte de l'amener à la maison. Je vais le «trimer» à mon goût. Et j'ai écouter un film sur Nelflix avec les filles hier soir. Génial! Et ce matin, je suis allé en vélo dehors, même à onze degrés, cela m'a paru très doux. C'est sûr que d'être séparé de ma douce me pousse à en faire un peu plus. Un peu pas mal plus! AUjourd'hui lundi, je suis content de redémarrer la machine. Bien des projets en cours et d'autres qui arrivent! À plus!

vendredi 30 septembre 2016

Paspire pour un vendredi matin!

Un deuxième matin frisquet en vélo. Mais ça va passer. Le changement de saison se fait toujours sentir un peu! Mais je crois que la semaine prochaine sera plus chaude. C'est dur de remonter à vingt degrés quand la nuit descend à trois! Mais c'est inévitable, nous rentrons doucement dans la saison froide. Je ne dis pas ça parce que j'ai hâte; depuis l'hiver inoubliable de cinq cents centimètres de neige, je n'ai pas réussi à m'en remettre. Avant, mes souvenirs étaient hantés par cet hiver où le verglas avait sévi en Montérégie. J'étais concierge à l'époque et, je déneigeais les allées qui donnaient accès aux entrées du logement. Le quinze décembre, j'ai dû faire une corvée de baisser les bancs de neige, car je n'étais plus capable de tirer la neige dessus! Mais ce sont des choses qui font partie du passé. On les oublie, on se le remémore, mais il ne nous affectent plus vraiment! Par contre, le passage de certaines personnes en politique nous affectent longtemps, parfois très longtemps. Pour ma part, une certaine réforme dans le système scolaire changeât ma vie pour toujours. Mais je me suis organisé par moi-même. Ça m'a permis d'apprendre que la vie ne nous faisait pas de cadeaux. Elle est un privilège qu'il faut savoir saisir, une chance qui ne reviendra pas. Comme je l'ai souvent dit, des fois notre hésitation est notre perte. Alors si vous avez la chance de vivre des choses enrichissantes, des choses qui vous rendraient tellement heureux, alors faites-le! Vous nous partagerez votre bonheur, votre sourire et surtout votre expérience. Pour ce faire, il ne faut pas se créer d'attentes. Il ne faut pas confondre objectifs et attentes. Des objectifs servent à avancer, à se lancer un défi. C'est un terme d'action. Avoir des attentes, c'est supposer des choses, attendre après quelque chose. Comme si cela allait arriver tout seul. Ou encore, parce que nous enclenchons un processus, il nous mènera obligatoirement là où nous l'avions décidé. Mais ce n'est pas la réalité. Gardons en tête des objectifs, des buts à atteindre. Rien n'est acquis dans la vie, tout est à gagner!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...