vendredi 30 septembre 2016

Paspire pour un vendredi matin!

Un deuxième matin frisquet en vélo. Mais ça va passer. Le changement de saison se fait toujours sentir un peu! Mais je crois que la semaine prochaine sera plus chaude. C'est dur de remonter à vingt degrés quand la nuit descend à trois! Mais c'est inévitable, nous rentrons doucement dans la saison froide. Je ne dis pas ça parce que j'ai hâte; depuis l'hiver inoubliable de cinq cents centimètres de neige, je n'ai pas réussi à m'en remettre. Avant, mes souvenirs étaient hantés par cet hiver où le verglas avait sévi en Montérégie. J'étais concierge à l'époque et, je déneigeais les allées qui donnaient accès aux entrées du logement. Le quinze décembre, j'ai dû faire une corvée de baisser les bancs de neige, car je n'étais plus capable de tirer la neige dessus! Mais ce sont des choses qui font partie du passé. On les oublie, on se le remémore, mais il ne nous affectent plus vraiment! Par contre, le passage de certaines personnes en politique nous affectent longtemps, parfois très longtemps. Pour ma part, une certaine réforme dans le système scolaire changeât ma vie pour toujours. Mais je me suis organisé par moi-même. Ça m'a permis d'apprendre que la vie ne nous faisait pas de cadeaux. Elle est un privilège qu'il faut savoir saisir, une chance qui ne reviendra pas. Comme je l'ai souvent dit, des fois notre hésitation est notre perte. Alors si vous avez la chance de vivre des choses enrichissantes, des choses qui vous rendraient tellement heureux, alors faites-le! Vous nous partagerez votre bonheur, votre sourire et surtout votre expérience. Pour ce faire, il ne faut pas se créer d'attentes. Il ne faut pas confondre objectifs et attentes. Des objectifs servent à avancer, à se lancer un défi. C'est un terme d'action. Avoir des attentes, c'est supposer des choses, attendre après quelque chose. Comme si cela allait arriver tout seul. Ou encore, parce que nous enclenchons un processus, il nous mènera obligatoirement là où nous l'avions décidé. Mais ce n'est pas la réalité. Gardons en tête des objectifs, des buts à atteindre. Rien n'est acquis dans la vie, tout est à gagner!

jeudi 29 septembre 2016

Petit retour

C'est avec un beau sourire que j'écris ce matin. La soirée d'hier fut une réussite. Cinquante personnes pour le 5 à 7 de la rentrée! J'y ai vu des gens souriants qui semblaient contents d'être là. Ça augure bien pour les commerçants du Carrefour de la Bravoure. De savoir que les gens sont à l'écoute de ce qui se passe me rassure. Oui il y a des bons côtés à se réunir, comme manger et boire, dire des niaiseries. Mais il y a aussi de bonnes rencontres à faire, du réseautage et des liens. Depuis que je suis président, je trouve que le bonheur suit l'association. Coïncidence qui est bienvenue! Et nous sommes bénévoles. J'aime donner du temps, mais du temps utile. De savoir que ça rend service, que ça sert à quelque chose. Depuis les débuts de cette association, j'y crois. Je veux que ça donne quelque chose. Ceux qui en retirent du positif, alors continuez. Les autres, eh bien je leur souhaite tout le succès escompté! À plus!

mercredi 28 septembre 2016

Sagesse?

Y a des matins, comme ça, où je ne me pose pas de questions, je m'installe avec mon iPad et j'écris. Des fois les résultats sont plutôt étranges. Mais au moins ça ne reste pas en dedans. Hier j'ai enveloppé un autre véhicule en promotion pour Sandals. Passer la journée à étendre des images de plage, de beau soleil, de jeux dans la mer, ça fait réfléchir. Je dirais même que ça donne des envies. Des envies de départ vers une destination situé plus au sud. Car ici, même si on paye plus cher qu'ailleurs, il faut quand même ajouter TPS et TVQ. Peu importe ce que vous faites avec votre argent, vous devez en donner plus. Même si vous mettez de l'argent de côté, de l'argent que vous avez gagné, vous devrez en redonner quand vous récolterez les intérêts. Bizarre tout ça. Mais c'est vrai. Alors il faut trouver des solutions. Avec les années, j'en ai trouver plusieurs, mais je n'ai aucun moyen de les mettre en marche. Absolument aucun. Donc je dois ruser. Je dois trouver des solutions que je peux mettre en œuvre. Quel défi. Je ne dis pas que j'en suis incapable, mais cela devrait ralentir mes ardeurs. Si je chiaule, sans toutefois avoir de solutions viables, alors je suis incohérent. Si je ne peux faire mieux, à moi de me la fermer et de continuer d'aller voter. Ouin. Pas tellement amusant. Alors je continue d'écrire.

mardi 27 septembre 2016

Ça part bien!

Et voilà! Pendant que rien ne va plus dans notre province, les médias sont excités par le débat des candidats pour la présidence américaine. Oh je m'y intéresse, mais les problèmes internes à notre province m'inquiètent beaucoup plus! De savoir qu'une femme peut perdre son bébé dans les toilettes d'une salle d'attente d'hôpital, sans que personne, membre du personnel œuvrant au sein de celle-ci, ne s'en rendent compte et \ou ne fassent quoi que ce soit... Ou encore qu'on laisse des gens, hospitalisés, sortir fumer, sous prétexte d'une charte des droits... Ou encore qu'on installe des personnes âgées dans des CHSLD, en leur donnant des soins de base, comme un bain par semaine, un repas par jour... Mais que j'entende que des immigrants ont droit à un logement, de l'aide sociale, des vêtements... Monsieur le couillon, ça ne vous dit pas de regarder votre pelouse plutôt que celles des autres. N'avez-vous pas envie d'être à la tête d'une province forte, qui progresse économiquement. Un endroit où l'élite est fière de travailler, d'innover. À vous entendre, à vous voir, on dirait que tout va bien. S'il s'agissait de votre vie personnelle, ça vous regarde, mais vous êtes notre employé, vous êtes payé pour nous gouverner! Wow! Ça doit être difficile de faire pire! En tous cas, je m'entraîne chaque jour de la semaine en priant pour que ma vie finisse en beauté côté santé, car je ne veux pas de ce genre de fin de vie. De voir mon père vieillir, en santé, ça m'inspire. Alors à vos devoirs!

lundi 26 septembre 2016

C'est parti pour deux semaines occupées!

Je viens d'aller porter ma douce à l'aéroport. Elle sera partie seize jours. De quoi remettre les rouages dans le bon sens! On remet la routine en marche, le système semi-automatique de vie de famille. Bien sûr, ça sera court, mais aussi trop long. Deux fins de semaine consécutives sans conjointe, deux semaines sans quelqu'un à qui parler, à qui raconter. Et aussi, une personne de moins pour remplir l'ensemble des tâches quotidiennes d'une famille de quatre. J'ai plein de choses à faire comme des préparatifs avant l'hiver, au camping et aussi autour de la maison. Bref ça faire être intéressant! Une chance que j'ai mes filles pour animer le tout. Certaines soirées réussissent à être très amusantes. Il suffit de garder le sourire. J'aime bien avoir plus de temps pour travailler. Mais je dois tout de même faire attention de ne pas trop me défoncer, question d'avoir le sourire à son retour! Ne pas avoir les traits trop tirés. Alors je nous souhaite un bon deux semaines!

vendredi 23 septembre 2016

Bonne fête ma Bibi!

AUjourd'hui est une journée spéciale. C'est l'anniversaire de ma douce. Cette jeune femme que j'ai rencontrée il y a plus de vingt ans. Elle est devenue une femme extraordinaire. Je la contemple depuis des années, je n'ai pas réussi à me lasser. Elle a ce petit quelque chose... Cette petite chose, je la souhaite à tout le monde! Savoir lire au delà des apparences, aimer l'autre pour ce qu'elle est. L'admirer pour sa simplicité, sa joie de vivre, son honnêteté. Chaque matin, j'ai hâte de la revoir, comme un chien a hâté qu'on revienne de travailler. Du temps sans elle, il y en a du bon, mais j'ai choisis de passer ma vie avec elle, alors je ne vais pas gaspiller ce temps. J'aime réserver des petits moments pour discuter, prendre une marche, ou simplement m'asseoir avec elle. Avoir la chance que j'ai, je l'ai réalisé à un moment donné et je crois que ce fut mon meilleur choix de me marier avec elle. Et s'il faut concilier travail, enfants, parents et amants, alors je serai le premier à être volontaire. Quel grand mot, conciliation! En nos propres mots, mettre de l'eau dans son vin. Car peu importe les mots, si nos actes les contredisent, à quoi bon? Et dans votre coeur, si vous n'êtes pas heureux, que vous n'arrivez pas à sentir une flamme qui vous anime, à quoi bon? Vous sentez que vous pouvez être heureux? Saisissez cette chance et mordez dedans! Entretenez cette chance comme un feu qui réchauffe! Ne laissez personne vous donner froid.

jeudi 22 septembre 2016

Un peu las...

La vie passe tellement vite, difficile de croire que nous serons sous l'emprise de notre système de fonctionnaires jusqu'à la fin. Difficile de comprendre que personnes n'est capable de changer quoi que ce soit. Je trouve cela atroce. Savoir que mes enfants sont endettés avant même d'avoir fini le secondaire. Découvrir que mes dettes augmentent sans que je ne dépense un sous. Savoir que je me fais fourrer chaque jour, partout, et que je ne peux rien faire. Difficile de rester insensible à ça. Difficile aussi de continuer à vivre, avoir de l'ambition et surtout de garder le sourire, quand on sait que bien des gens sont dans le besoin, mais que notre système protocolaire ne peut rien pour eux. Difficile de travailler chaque jour, de chercher des solutions innovantes, de tenter de faire mieux, quand tu sais que tes efforts vont pour payer des retraites indexées, des fonds de pension, des vacances qui ne seront pas pour toi! Heureusement, il y a le Jack Daniel's, il y a notre volonté d'agir, notre grand coeur. Heureusement! Alors amusez-vous autant que vous le pouvez, car ça passe trop vite!

mercredi 21 septembre 2016

Tsé des fois...

Hier soir, j'ai regretté d'avoir lu mes courriels en fermant mon bureau. J'avais un client qui m'avait envoyé sur le coup de dix-sept heures, une sorte de formule magique pour retarder leur paiement. La dernière fois que j'ai communiqué avec eux, c'était le 12 septembre. Ils m'avaient signalé que la facture devait avoir le montant de l'acompte en moins. Alors j'ai renvoyé une facture corrigée. J'ai eu droit à un merci. Mais 8 jours après, ils me renvoient un courriel pour me dire que je ne leur ai pas crédité le bon montant sur la facture. Huit jours après... Pourtant, vingt-cinq pourcent d'un montant avant les taxes, difficile de se tromper. D'ailleurs, j'ai exigé un acompte de vingt-cinq pourcent parce que la dernière fois, ils ont pris dix mois pour me payer. Une facture de deux cent quelques dollars. Suite à la lecture de ce courriel, j'avais perdu mon calme. J'ai répondu tout de suite, en essayant de garder mon calme. Mais je dois faire un suivi aujourd'hui, car cette fois-ci, je n'attendrai pas dix mois, la facture à un solde restant de six mille dollars. Bref, j'ai perdu mon calme. Pourtant j'avais essayé de me détendre, ayant loué un film pour écouter avec ma douce. Lorsque je suis remonté, elle était au téléphone. Une demi-heure plus tard, nous commencions le film, mais mon fils a téléphoné. J'ai du parler une autre demi-heure. Finalement, j'ai dû réaliser que notre système de santé est encore plus poche que je ne le croyais. Manquer de médicaments génériques à la pharmacie, faut le faire. En plus, charger plus cher pour le vrai... Est-ce notre faute si le fournisseur ne fournit pas? CE n'est pas une livre de beurre d'une autre marque, c'est du Concerta! Un neuro stimulateur ! AU final, nous n'avons pas terminé le film, il était trop tard.

mardi 20 septembre 2016

Vivre avec les autres

Beaucoup de gens profitent des réseaux sociaux pour donner leur opinion, laisser aller des commentaires qu'ils n'oseraient pas dire autrement. Comme si, ils étaient cachés derrière leur profile de Facebook et\ou Twitter. En tous cas, voir la face de notre PM, et de lire qu'il ne me représente pas, je commence à en avoir plein mon tas. Bref, c'est le genre de trucs gratuits qui ne donne rien, qui n'apportent aucune solution, qui mènent nulle part. J'ai lu aussi que de se brosser les dents, ça aidait à les garder; se mèler de ses affaires aussi. Celle-là, je l'ai trouvée vraiment bonne! Bref, je me suis dit que je devais en prendre et en laisser, que de toute façon, il y a toujours ceux qui chiaulent et qui ne font rien. Donc, à la limite, il faut saluer ceux qui agissent, qui veulent du changement, même si ça nous chicote. Au moins, ils ont le mérite d'essayer. Et ça demeure une saine compétition. Mais je veux avant tout être heureux. Pour ça, il me faut faire des compromis chaque jour. Je me dois de rester au courant de ce que mes clients veulent, de prendre des ententes avec eux, de leur donner signe de vie. Et je dois nourrir ma soif de connaissances, ne pas mon esprit s'endormir derrière une vie plate. Je ne sais pas pour vous, mais moi je veux aimer et donner. Et si je n'ai rien en retour, alors tant pis! Si je peux aider des gens à sourire, si je peux mettre un peu de soleil dans leur vie, alors je serai heureux. Bonne journée!

lundi 19 septembre 2016

Une nouvelle semaine

Encore une belle fin de semaine qui vient de passer. J'ai eu l'impression que c'était trop court. Les enfants sont déjà en congé! Bizarre tout de même, après deux petites semaines, déjà arrêtés. Si je me permettais ce genre de choses, je serais mieux de travailler pour quelqu'un d'autre. J'ai des tas de souvenirs qui bouillonnent dans ma tête, des dernières semaines, des derniers jours. Des souvenirs de toutes sortes, qui sont pris dans un vortex. Chaque fois que ça m'arrive, je finis par me raisonner, finir d'analyser tout ça va m'épuiser, alors je me calme et je passe à autre chose. Je ne veux pas en échapper trop, car cette vie est trop courte et trop belle pour se permettre de la négliger. Mais je me dis que c'est ça le privilège, le cadeau. Quand c'est ta fête, que quelqu'un te remet un présent, tu as le droit de le refuser. Même chose pour les choses de la vie. Parfois il faut savoir passer outre certains événements et choisir ce qui fait notre affaire. On dit souvent, il faut prendre et en laisser. Voilà ce que je me dis. Une fois bien réveillé, une journée vaut la peine d'être vécue. Cette fin de semaine, j'ai donné de mon temps par amour. Quoi de plus valorisant que de s'entraider. De sentir que son prochain est heureux, qu'il a de la gratitude. Et, comme toujours, ça m'a fait du bien. Alors amusons-nous à travailler cette nouvelle semaine! À plus!

vendredi 16 septembre 2016

Une belle journée

Hier je suis allé jouer au golf. Au centre de plein air Castor. Mon avant-midi fut vraiment remplie. Un peu stressé par ce tournoi, je pars en ayant cette intuition, ce sentiment d'oublier quelque chose. J'ai fait environ un kilomètre pour me rendre compte que j'avais oublié le sac de bâtons! Ce fut une participation à un tournoi très important. Les profits amassés allaient à la fondation du Centre de la Famille de Valcartier. Ce fut intéressant de pouvoir enfin jaser avec Éric Caire. Depuis deux ou trois ans, impossible de réussir à avoir une conversation ensemble, nos chemins semblaient être dans des univers opposés. Mais il m'a invité à ce tournoi pour qu'on puisse prendre le temps de jaser. Et j'ai rencontré son attaché de presse, monsieur Michel Martin. Un amateur de golf avec qui j'ai eu bien du plaisir à relaxer. Et ça m'a fait du bien d'avoir une après-midi de congé. Le beau temps était au rendez-vous. Nous avons discuter de sujets intéressants, sujets sur lesquels nous partageons certaines opinions. Et, au milieu du tournoi, Éric à dû nous quitter pour des responsabilités familiales. Le reste de la partie fut beaucoup mieux pour moi, si on parle de ma façon de jouer. Ensuite, il y avait un cocktail dînatoire au clubhouse. Le discours du président d'honneur, monsieur Roméo Dallaire, fut digne du grand homme qu'il est; et il eut été facile de verser quelques larmes durant son élocution. Mais le son pour les gens qui parlent au micro est vraiment mauvais. Nous étions près d'une caisse de son et on entendait rien. Comme si l'écho, provoqué par la forme du plafond, rendait l'audition presqu'impossible. Dommage car les gens qui ont parlé méritaient que leur message passe. Et quel bonheur de sortir de là avant que la guérite ferme. Pas besoin de se perdre dans le dédale des rues de la base. À refaire.

jeudi 15 septembre 2016

À revoir!

Alors que certains se rappelaient le 11 septembre 2001, un autre en particulier se présentait sans gène dans un endroit susceptible de soulever un mécontentement populaire. Allez donc comprendre ce que les gens peuvent lui trouver? Il ne fait rien du tout, laissant le pays se faire contrôler par ses patrons! Vraiment difficile à accepter. Un grand manque de transparence, bien dissimulé derrière une pléïade de «selfies» et de visites du côté obscur de la force. Pas étonnant que bientôt, vous constaterez que le pays croule sous les dettes. Comme si, lui, avait besoin de prendre notre argent! Il s'autosuffit depuis déjà belle lurette! Mais je ne l'envie pas, oh non! Il est dans une soupe qui risque de devenir chaude. Et là, curieusement, plus personne ne se souciera de sa belle gueule, de ses «selfies», de ses drôles de discours confus. Mais quand même, le temps est si précieux... On s'en reparlera sûrement. Je m'en souviendrai, mais pas comme québécois, comme canadien!

mercredi 14 septembre 2016

Le bonheur

Des fois on cherche trop loin pour rien. Le bonheur est juste là, en dedans de nous. Je me dis chaque fois, que j'avais les yeux fermés, l'esprit fermé! Et c'est souvent le cas! À force de journées à travailler dur, des fois on réussit à oublier l'essentiel, soi-même. Même si notre quotidien se veut bien rempli, très social, un besoin de solitude se fait sentir, histoire de faire le vide, de prendre du recul. Du recul pour regarder où nous en sommes. Où est passé le bonheur, comment se manifeste-t-il? C'est là qu'il apparaît, comme un ami, une personne dont la présence nous manquait. Je ne dis pas que c'est toujours le cas, des fois, être heureux demeure un choix. Et ce choix est parfois difficile. Réussir à voir le beau dans chaque chose nécessite du temps, de la «pratique». Certaines personnes sont enclin au bonheur, ont toujours le sourire. Pour eux, la vie est belle, l'énergie des autres leur est profitable, ils sont ce genre de personnes «Roger Bontemps», qui ne veulent pas déranger, mais qui n'aime pas s'ennuyer. Ils ne prendront pas la place des autres, mais en cas de journée plate, ils sauront trouver la solution pour ne pas la gâcher. Ces personnes sont plus stables que les «bout en train». Car ces derniers explosent littéralement de joie, savent vous faire rire, mettre de l'ambiance, mais parfois, ne se comprennent plus. Ils sont tellement sensitifs que, parfois, l'énergie des autres vient les attendrir un peu trop. Ils sont alors gonflés de cette mauvaise énergie. On dirait qu'ils ont besoin de temps pour la filtrer! Car ils reviennent toujours de bonne humeur, prêts à chahuter avec qui le veut bien! J'adore observer les gens, apprendre de ces derniers. Ça fait partie de mon cheminement sur terre. Bonne journée!

mardi 13 septembre 2016

Petit constat

À force d'écrire chaque matin, il m'arrive de me demander où tout ça va me mener! Puis j'écris, au gré de mes pensées... Depuis 2007, je tiens à écrire aussitôt que l'envie me vient, écrire tout ce qui me passe par la tête, tout ce qui m'inquiète. Hier soir, je suis allé installer une stripe sur un Dart 1970. Il y avait là deux passionnés de voiture. Ce fut un bout de soirée très agréable. C'est beau de voir des gens qui partagent une passion. C'est beau aussi de voir qu'ils ont une passion. De nos jours, je vois des gens passionnés de jeux vidéos, de série télé. Mais tant qu'à investir sur quelque chose, autant investir sur soi. J'entends par là se concentrer sur quelque chose qui va me profiter autant à moi qu'à ma santé. Joindre l'utile à l'agréable. C'est vrai, je connais des gens qui dépense des fortunes en argent et en temps sur des jeux vidéos. Mais cet argent pourrait se diviser en deux. Moitié jeux, moitié santé. Quand je vois des jeunes, de trente ans et moins, faire de l'embonpoint ou encore être très rachitique, je trouve ça dommage. Même que ça me fait quelque chose! Je sais qu'à cet âge, ils n'en ressentent pas tous les effets, mais dans pas long, ils constateront à quel point leur corps est usé. Moi le premier, depuis deux ans, mon corps est moins docile. Je dois l'entretenir de plus en plus. Et, comme par hasard, alors que je sens que c'est vrai que je vieillis, je m'aperçois qu'il y a bon nombre de choses que je ne pourrai pas faire. Trop dangereux. Avant rien ne me faisait peur. Aujourd'hui, je dois réfléchir avant d'agir. Je dois aussi me préparer avant certaines journées. Plus jeune, ce sont des choses qui ne préoccupaient pas. Bien sûr, avec le temps, on constate plein de choses. Mais je crois qu'il n'est jamais trop tard. Au pire, ça va me faire du bien!

lundi 12 septembre 2016

Les lundis

Quoi de pire qu'un lundi matin? On passe la fin de semaine à tenter de se reposer, de finir des trucs qu'on n'arrive pas à faire la semaine. Bref, on casse la routine. Et le lundi, on ramène la routine, les méthodes, etc. Voilà pourquoi les lundis sont si durs. Mais parfois, ils sont aussi surréalistes de par leur «timing». Nouveau mois, nouveau projet, déménagement, rentrée scolaire et autres traumatismes. Et il y a les changements d'heure. Ceux-là nous frappent les lundis matins, alors que nous reprenons la routine. L'horloge biologique qui se plaint toute la semaine, c'est parfois plus pénible que ça en a l'air. Donc un lundi matin bin ordinaire, pas grave! Nous passerons au travers! La vie est si courte, il faut savoir savourer chaque instant, même les lundis matins. Des fois, il faut une fin de semaine entière pour préparer ce lundi qui arrive. Mais c'est bien beau tout ça, j'ai parlé avec mon fils hier, il n'y a pas grand chose de facile pour lui. Depuis qu'un diagnostique de TSA lui a été confirmé, on dirait qu'il hésite, qu'il fait du surplace. Ça fait déjà sept ans de ça. Ça fait aussi sa septième année au CEGEP. Il n'y arrive pas. Moins il a de choses à faire, plus la tâche de vivre lui apparaît compliquée. Et puis, les aidants à son dossier, les gens du CRDI et aussi ceux du CLSC semblent se lancer le dossier, faisant en sorte que rien n'avance vraiment. Hier, alors qu'il nous expliquait où il en était dans sa progression, il avait besoin de conseils. Ce que nous lui avons dit l'a renversé. Je crois qu'il est vraiment perdu. Mais il est à la croisée des chemins, avec un plus grand choix à faire. Pour lui, le temps est différent. Il n'a pas vraiment de futur, ni de passé. Les choses qui furent vraiment traumatisantes demeurent comme point de repère. Et son avenir, une sorte de refus de vieillir. De devenir un adulte. Être si brillant et ne pas savoir quoi faire avec ce cadeau. Je m'interroge tous les jours sur la pertinence de savoir qu'il a ce privilège! Je me demande aussi ce qu'il pourrait faire avec tout ça. C'est comme une forme d'énergie renouvelable, devant nous, et qui ne sert pas. Je vous en reparlerai.

vendredi 9 septembre 2016

À bien y penser...

Quand on pense à ça, donner congé de taxes à un magasin qui a déjà eu sa chance à Québec, pour dix ans? Ouin. Des fois je me dis que c'est arrangé avec les gars de la télévision. Pourquoi? Pour que monsieur Dallaire dise que Québec n'a pas besoin d'un troisième lien? Peut-être. Mais je trouve ça un peu cher. Je trouve que ça concorde bien avec une certaine pensée «boomer». Mais ce n'est pas comme si c'était pour attirer de la nouveauté, de la technologie. Je pense à l'avenir de la ville, avec quoi peut-on bonifier notre économie avec un tel projet? 7,8 millions de l'argent des contribuables. À la chambre de commerce, chaque petite dépense est pesée parce que c'est l'argent de nos membres, des gens qui paient déjà des taxes et des impôts. Ici, il faut payer ses impôts, les taxes, les congés des autres, la retraite des autres. Il faut aussi payer pour ceux qui ne veulent pas travailler. Il faut payer pour ceux qui n'ont jamais pris soin d'eux (alcool, cigarette, malbouffe, etc.). Alors quand vous dépensez notre argent, pouvez-vous nous consulter? Qui a voté pour donner une chance à ce magasin?

jeudi 8 septembre 2016

Un peu fatigué

C'est avec bien du courage que je me suis levé ce matin. Me disant que mardi, j'ai été grognon pour rien. Que je me suis donné comme un fou, et, finalement, il ne s'est rien passé. JE veux dire, que ça ne m'a rien rapporté. Mais j'ai appris bien des choses. Très sombre ce matin, un couvert de nuages semble arrêté au dessus de nous. Légère pluie. Mais je suis fatigué d'ouvrir la machine pour finalement me retrouver avec une pause. Au final, c'est ce que je voulais. Mais pas de cette façon! Je voulais faire à ma façon, avec mes idées, mes tripes! Comme pour notre société, où les gens évoluent plus ou moins en communauté. Ils sont ensembles mais ne s'entraident pas vraiment. Ils travaillent les uns près des autres, mais ne forment pas une équipe. Dans cette jungle syndiquée, on dirait que c'est l'hypocrisie totale. Tout semble pour le mieux, quand soudain, quelqu'un vient te «bumper». Hé oui, il a plus de temps de fait, pas nécessairement plus de compétences et\ou d'expérience. Mais il veut ton salaire. Est-ce vraiment ce genre de société que nous voulons? Moi je veux une province d'experts, où nos meilleurs font avancer les choses. Je veux une expertise dans chaque domaine. En agissant de la sorte, «bumper», ça ne fait que démontrer qu'il n'y a pas vraiment d'experts, juste des gens qui s'y connaissent. Des fois, c'est beaucoup moins rose, mais je suis prêt à m'abstenir de commentaires là-dessus. Je suis vraiment bien, seul dans mon entreprise. 

mercredi 7 septembre 2016

On se crinque!

Je me suis plus tôt un peu ce matin, les idées remplies de toutes sortes de projets. Je me disais que j'oubliais bien des choses dans mon train train quotidien. Et, souvent, c'est moi que j'oublie le plus. Je ne crois pas en être malheureux, mais des fois, dans des moments plus durs, je me rends compte que j'ai un accès facile vers le stress, voire un peu de déprime. Il est sûr que des antécédents difficiles, très difficiles, peuvent avoir des retombées à vie, mais je crois fermement qu'une dose de bonne humeur quotidienne peut vraiment faire une différence. Voilà pourquoi j'essaie chaque matin de créer du bonheur avec les mots. VOilà aussi pourquoi aussi je me lève tôt. Ça me laisse le temps de réfléchir à ma journée et ne pas me garocher n'importe comment dans l'ouvrage. Ainsi, je suis plus heureux plus longtemps! Vous savez, à force de vivre chaque jour comme un privilège, comme un cadeau, il m'apparaît plus sain d'être sur la terre. Je me sens plus utile, plus valorisé! Oh il n'y a pas que des journées faciles, croyez-moi, mais la vie nous donne le choix. Pas facile d'en prendre conscience, pas aussi simple que ça peut le paraître. Donc il faut être aux aguets, ne pas se laisser envahir par de mauvaises ondes. Je crois aussi qu'il faut réussir à s'entourer de gens qui nous complètent, qui nous font du bien. Pas facile non plus. Mais la vie est une suite d'aventures plus ou moins palpitantes, dans laquelle nous sommes le héros. Alors autant en profiter pour être beau, fort et courageux. Ça ne veut pas dire d'avoir un physique d'athlète, la beauté d'un mannequin et de sauter en parachute trois fois par semaine! Mais il faut prendre soin de nous, pour être efficace, plaire à notre entourage et répandre des sourires partout où c'est possible. Bonne journée!

mardi 6 septembre 2016

Mardi matin.

Une autre semaine qui s'amorce. Après une fin de semaine de 3 jours, ensoleillée avec ça, y a de quoi vouloir faire des miracles pendant la semaine qui suit. C'était la longue fin de semaine de la fête du travail. Nous avons eu bien du plaisir au camping. On dirait que ça commence à être vraiment intéressant d'aller là chaque fin de semaine. Depuis déjà plusieurs années, nous allons y trouver une certaine relaxation, du divertissement. Un loisir qui, avec le temps, nous fait du bien. Personnellement, j'ai adoré faire du vélo autour du camping. Les routes sont agréables à regarder, l'air est bon, je crois que ça va m'amuser encore pendant quelques années. Et puis, ça extrait bien de mes semaines de travail où je m'amuse autrement. Donc je suis heureux. Et être heureux, ça compte tellement dans la balance. Je me dis que ce bonheur, c'est moi qui le crée, c'est moi qui en est responsable. Je dois l'entretenir adéquatement, comme on entretient une voiture, un outil de travail. Et je remercie immédiatement tout les gens qui contribuent à ce bonheur. J'aime à penser que ce sera merveilleux de finir la saison de camping tranquillement, sans stress de ramener tout à la maison. De finir une saison de deux mois pour en enchaîner une autre, plus longue, plus froide, avec laquelle il faut mettre plus d'eau dans notre vin. Alors je continue de vivre chaque jour un peu comme si c'était le dernier. Non sans garder la tête froide, mais en gardant mon esprit ouvert à de nouvelles avenues, à de nouveaux projets. Et de recommencer chaque jour comme une opportunité d'être heureux! À plus!

vendredi 2 septembre 2016

Rêver le vendredi.

En ce vendredi matin un peu frais, je viens de faire un beau tour de vélo. L'air était bon, la solitude m'a vraiment charmé et j'ai apprécié au maximum la vie. Et comme nous sommes vendredi, bien il fait toujours bon de se la couler un peu plus douce lorsque dix-sept heures arrive! Après encore une semaine très bien remplie, je sens que je vais relaxer un brin dès ce soir. Mais il me reste une journée entière à réaliser! Installation, installation et facturation! Voilà qui est merveilleux. Quand je commence à être trop fatigué de travailler, que je ne réussis plus à m'amuser, alors je dois arrêter. Ça doit rester amusant. Je sais en tant qu'entrepreneur, il faut parfois mettre les bouchées doubles, même triples, mais ça fait partie d'avoir des rêves, de l'ambition! J'aime à penser que je serai mon propre patron pour encore au moins une décennie. Par contre, j'aimerais pouvoir trouver d'autres façons de réussir à relaxer. Il y a bien le camping, les voyages dans le sud, sans oublier les drinks! Mais des relaxants sur semaine, moins dommageable! Comme un dîner d'affaires, une rencontre fortuite avec un client qui devient un réel contrat. Oui!! J'adore rêver comme ça, on dirait que ça me donne un «boost» d'adrénaline. Et je peux ensuite me concentrer sur ma journée. Mais ce qui est le plus fantastique, c'est d'avoir le positif en cadeau. Pas de méchant à faire sortir, juste du beau, du bon! Bon vendredi!

jeudi 1 septembre 2016

Fatigué

Ce matin je suis vraiment pas content! Encore des erreurs de livraison! Mais j'ai réussi à me calmer, à me dire que ce n'est pas grave, que je vais quand même finir cette semaine ce qui devait être fait. Mais je ne doutais pas que je me sentirais autant secouer physiquement. Dur d'accepter de se faire mal quand, chaque matin, l'entraînement est de mise. Et quelles journées dures cela fait! En me levant, je trouvais fantastique de me sentir aussi bien. Et en enfilant mon cuissard, oups! C'est le haut qui a fait des siennes! À partir de là, rien n'est plus si drôle... Mais ça non plus, ce n'est pas si grave. Je vais passer au travers! Mais c'est dur, ça prend toujours plus de volonté, plus de force. Incroyable comme la fin de semaine sera la bienvenue! Encore deux jours et nous y serons! J'aimerais faire une demande au ciel concernant l'énergie disponible, car je n'en ai plus beaucoup. Voilà ce que c'est d'être son propre patron et aussi employé! Il n'y a personne pour faire la job à ta place. Mais l'entreprise doit continuer de fonctionner! Les fonctionnaires, eux, n'ont pas ce genre de soucis. S'ils ne rentrent pas une journée, pas grave. Non seulement ils seront payés quand même, mais la business continue. Avec les années, le no fault a pris toute la place, plus personne n'est responsable de rien. Mais nous vivons tous en communauté. Nous nous côtoyons chaque jour. DIfficile parfois de faire avec. De se sentir bien. Quand la vie nous rend service, il faut saisir cette opportunité, le reste viendra. En attendant, j'en arrache un peu. Je vais devoir me surveiller toute la journée. À plus!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...