mardi 31 mars 2015

Prendre le temps d'écouter.

Du genre complètement scandalisé par notre société. Les étudiants qui se cherchent des raisons pour pour manifester. Je pense qu'ils sont crinqués par les médias, par leurs parents, leurs enseignants. Car ils sont trop jeunes pour avoir cette pensée. De plus, il semble que c'est une sorte de «mauvaise tradition», comme il fut un temps avec la Saint-Jean. La convergence des médias, l'influence néfaste des syndicats sur notre société, deux phénomènes sociaux qui commencent à nous pourrir la vie pas mal. Comme je suis très sensitif, ce que je ressens me laisse perplexe... Avec les années, j'ai appris que ça ne sert à rien de combattre le feu par le feu. Mais d'ignorer complètement ces gens qui se rebellent serait une bêtise. De par leurs actes, ils devront payer. Ce sont les Maires des villes qui doivent se prononcer, ensuite demander l'aide des autorités en place. Pas besoin de violence. Conséquences. Comme pour des enfants qui apprennent. Vous brisez, vous payez. Vous manquez de respect, alors le respect vous oubliera en temps et lieu. Car si vous ne respectez pas les lois, alors vous êtes en tort! Ce n'est pas discutable. Arrêtez de nous bombarder avec la charte des droits universels. La  liberté de chacun commence où celle de l'autre finit. La libre expression, ça n'existe pas vraiment. Et puis, d'ailleurs, qu'est-ce que s'exprimer? En avez-vous une idée?
Donner son opinion, c'est parler de la façon dont on interprête quelque chose. C'est exprimer sa pensée, avec plus ou moins de vulgarité. Et, dans notre société, tellement aseptisée, cette forme d'expression est relativement permise selon les idées que l'on veut véhiculer. Ah! Véhiculer une idée, faire passer un message. Convergence d'opinion, direction dans l'information. VOilà! Quiconque s'éloigne de ce que les médias veulent et\ou ne veulent pas, s'expose à certains risques. J'ai toujours voulu être le plus franc possible, mais le temps, les expériences de vie m'ont appris à réfléchir comme il faut avant de parler. Encore aujourd'hui, il faut pratiquement se museler pour passer au travers d'une situation. Prendre le temps d'écouter, analyser, ensuite, parler si nécessaire. Alors j'écoute encore.

lundi 30 mars 2015

Inquiet.

Après bien des discussion à propos de la vie, force est d'admettre que les gens sont très mèlés. Les valeurs de base sont bien enfouies! Mais je sens qu'un retour aux choses simples s'impose. Que la vie, si précieuse et si belle, n'en vaut pas le coup sans Amour, sans conscience. Les gens ne veulent pas changer rien. Chacun pour soi, et quand ça ne fait pas, on jette! Eh bien on repassera! Moi je suis pour le don de soi, l'entraide, l'hospitalité. Bien des gens me trouvent très drôle, mais moi j'aime! Depuis des années que je suis inquiet, inquiet du futur, nerveux dans mes décisions. Eh bien il faudra être solide pour passer au travers de ce qui s'en vient. Je  dois me concentrer sur les choses vraiment importantes. Veiller sur ma famille, m'occuper de mes affaires et grandir autant que je le peux, en me respectant et en respectant les autres. Quel lundi ce sera, quatre jours avant le vendredi saint. Je dois faire de mon mieux, un client à la fois. Mais je m'en tiens à l'essentiel, pour faire en sorte que la vie, ma vie, soit belle, amusante. Je n'ai pas trimé autant pour m'ennuyer les reste de ma vie.

vendredi 27 mars 2015

Retroussez-vous les manches!

Si  on s'en tient à ce que raconte les journaux ou encore la radio ou la télé, ça va mal partout, sauf pour l'économie du Québec, qui est meilleure que les autres. Il faut vraiment fouiller pour avoir de vraies nouvelles. Une chose est sûre, ma récente incursion dans le système de la santé m'a vraiment écoeuré! Déjà passablement découragé de ce que je constate avec les années, en allant voir des gens à l'hôpital, la saleté, la désuètitude, l'air bête de beaucoup d'employés, la communication entre les étages et entre les hôpitaux et \ ou centre de soins. Rien ne fonctionne adéquatement! Certains sont très affairés, mais le côté technique, la lenteur du système doit les épuiser!
Pourtant, ce système coûte cher, trop cher. Où va l'argent? Est-ce normal que le système soit aussi dépassé? S'il y a bien un endroit où ça se doit d'être propre, rapide, moderne et efficace, c'est bien dans la santé. Mais on s'excite le poil avec tout et rien. Qui doit-on prioriser dans les hôpitaux? Les gens qui ont besoin de soins! Mais actuellement, tout est confus. Les médecins ne sont pas contents, les infirmiers\infirmières non plus. Le personnel de soutien ne parle que de leur paie, leurs avantages sociaux. Les préposés aux bénéficiaires en arrachent. Les patients attendent des heures. D'où le nom «patient». Où est la vocation? Qu'est-ce que le don de soi? Dans notre société jetable, les gens ont aussi jeté ça! Personne ne veux faire d'efforts! Les gens veulent avoir tout, le plus vite possible, et le moins cher possible. Eh bien dites-vous une chose, si nous pouvions adhérer à un réseau privé de la santé et arrêter de payer le système publique, ça brasserait tellement...
Mais ce qu'il y a de vraiment confus, tordu, c'est la déresponsabilité sociale amené par ce «beau» système. Plus personne n'est responsable! C'est toujours de la faute des autres. Nous voilà bien mal pris! Retroussez-vous les manches et agissez! Laissez-faire les autres!

jeudi 26 mars 2015

Sourire à son quotidien.

Hier j'ai reçu la visite de M. Richard, un de mes bons amis. Du haut de ses 81 ans, il pleurait, sa femme se mourant d'un cancer. Pour lui, elle est sa troisième épouse. Comme les précédentes, elle va mourir du cancer. Je trouvais ça difficile de ne pas pleurer. Je suis d'accord, la vie continue, mais c'est tellement triste pour ceux qui restent. Et il n'y a pas tellement de consolation dans notre société actuelle. Que de frustrations! Nous sommes dirigés par de véritables clowns et l'opposition, notre autre choix, est encore pire. Cela ne stimule pas tellement les idées de nouveaux projets. Au moins j'ai commencé ma levée de fonds pour le cyclo-défi. Je ttrouve que c'est le mieux que je puisse faire.
Bref, il faut s'accrocher à son quotidien, y trouver le positif, la joie de vivre. Il n'y a rien comme des gens qui sourient, qui sèment la joie de vivre! Je suis de ceux qui prônent cette joie, ce bonheur. Je veux que les gens autour de moi sourient, se sentent heureux. Je vis la plénitude et je veux la partager.
Choose à laquelle je travaille ces jours-ci. Lorsque je prie, pour les autres, pour du changement, on dirait que je partage trop. Il doit exister un moyen d'aimer les autres sans perdre toute mon énergie. J'ai vraiment amélioré ma façon de déployer mon énergie, mais je dois maîtriser la façon de la partager.
Un stress de moins en tous cas, car mon imprimante a recommencé à fonctionner hier, après une pause de 7 jours! Non pas que je me grugeais les sens, mais l'ouvrage commençait à s'accumuler. Alors je reviens avec de nouvelles énergies! D'autant plus que le projet pilote d'enveloppement de conteneurs est terminé. Je suis en attente du réglement, celui qui  m'amènera de bonnes nouvelles! C'est fantastique de partager!

mercredi 25 mars 2015

Encore l'énergie

Alors j'ai utilisé l'énergie pour faire ma journée d'hier et tout a très bien fonctionné. J'ai eu de la vitalité, de l'entrain et surtout, aucune faiblesse jusqu'à la fin. Formidable! À  refaire tous les jours que la fatigue se présente. C'est comme une habitude à prendre. Je trouve que c'est merveilleux. Pourrais-je en faire autant avec tous les maux qui nous affligent? Je ne sais pas. Comme je disais hier, je dois apprendre à doser. Je me rends compte qu'aussitôt que j'ai quelque chose qui me plaît, quelque chose d'extraordinaire, j'ai ce sentiment si fort de partager... Alors je dois aussi savoir me contrôler, garder mon énergie à la bonne place. Car le simple fait de ne pas être satisfait démarre un processus extraordinaire. Je me rends compte que je dois cesser, non analyser et contrôler ce processus. Cette façon de faire qui est mienne depuis trop longtemps. À force de vouloir améliorer mon entourage, aimer et prier pour les autres, je m'épuise. L'écrire me permet de mieux comprendre. Schématiser ce phénomène.
Donc, si je récapitule, lorsque j'apprends une nouvelle, peu importe laquelle, mon esprit l'assimile et agit en conséquence. Je dois mettre de côté celles qui me demandent trop d'efforts. Comme si j'étais le filtre des autres. Un filtre à émotions, un filtre qui, selon l'ampleur, déploie de l'énergie. Cette énergie, renouvelable, provient de l'Amour que j'ai. Donc Jésus avait raison, aime ton prochain. Mais à petites doses. Car il est facile d'aimer. Je continue aujourd'hui, dans le dédale que sera ma journée. À plus!

mardi 24 mars 2015

L'Énergie.

J'ai continué à réfléchir sur cette énergie que nous avons. Celle qui est en nous à notre naissance. Cette énergie qui peut  faire la différence. Je me disais que je devais m'en servir le mieux possible. Ne pas la laisser partir pour les autres. Et, je me suis aussi dit que ce serait l'fun d'en rapatrier un peu. J'ai déjà fait ce genre de chose, dans des cas d'épuisement. Mais on dirait que j'avais oublié. Alors je dois utiliser ce moyen plus souvent. Et, quand je me sens généreux, je dois m'en tenir au fait, ne pas en rajouter. Bref, c'est à moi de jauger le tout. Une vie, c'est court, mais c'est seulement quand nous avons atteint la moitié qu'on s'en rend vraiment compte. Même si à seize ans, j'étais déjà conscient que le modèle québécois ne fonctionnait pas, je n'étais pas assez dérangé pour m'arrêter et penser à ça. Plus j'ai vieilli, plus j'ai senti les choses se gâter. Pas comme certains qui comptent, mais plutôt par sensations, par l'énergie qui oscille autour de nous. Comme mon imprimante est brisée, je ne peux penser à mes impressions, donc je pense à l'énergie. Je pense à ce que je peux en faire. Alorrs je pense que je vais cesser de vouloir changer certaines choses et me préoccuper de mes choses, de moi. On s'en reparle.

lundi 23 mars 2015

Énergie

Pas si facile les lundis matins. Deux jours à essayer de casser la routine, et pouf! Tout redevient comme avant! Et si on légalisait la fin de semaine de trois jours? C'est sûr que ce serait magnifique, mais faudrait travailler un peu plus chaque semaine. Dans cette période sombre d'économie, les congés sont bienvenus. Et il faut les planifier le mieux possible. Pour le reste, ça dépend de chacun. Moi je préfère décider de ma destinée. Faire mon horaire, planifier pas trop longtemps d'avance. Et rien de mieux pour y arriver que d'être son propre patron. Une façon de vivre qui n'a pas de prix. Je me disais que les gens devraient commencer à devenir plus autonome. En laisser moins aux autres dans leur quotidien. Pas d'être égoïste, mais bien de prendre plus de décisions par eux-mêmes! À voir comment notre premier ministre se débrouille, il ne serait pas difficile de faire mieux. D'ailleurs, si notre argent nous appartenait vraiment, nous en verrions les bénéfices. Bin oui, il y aurait encore des échecs, de mauvaises décisions. Mais à plus petites échelles. Moins dur de faire demi-tour ou de corriger la trajectoire que d'essayer de changer une province en entier!  J'y vais à petits pas, car je veux préserver ma famille. Je veux avoir du temps avec eux. Je veux me rappeler de cette vie qui est la mienne.
Cela m'amène à parler d'une réflexion que je fais depuis un moment. La fatigue. Depuis huit ans au moins que je m'entraîne, chaque matin de la semaine. Mon but premier, avoir de l'énergie pour faire mes semaines. Mais je trouve que je manque quand même d'énergie. Même que des fois, je puise très profondément dans mes réserves. Je me dis que je vis bien, je me défonce pas mal au travail. Et, quand l'occasion se présente et que j'ai le coeur à ça, je défonce aussi à dans une soirée, avec des amis. Et l'été, je me permets de décrocher le plus possible en camping. L'an dernier, propulsé par l'élan de mon chagrin, j'ai ajouté à ma cadence un cyclo-défi de 235 km. Ce fut merveilleux. Cette année, j'y ai ajouté aussi une randonnée de 135 km, soit la boucle de Pierre Lavoie. Mais ce sont quand même mes semaines qui me fatiguent le plus. On dirait que je suis trop sympathique au malheur des autres. Leur énergie, négative, basse, m'interpelle. Je leur fais don tout à fait inconsciemment de la mienne. Il y eu du changement depuis que Samuel, mon fils, ne demeure plus avec nous. Mais il me reste du progrès à faire. Je  dois travailler sur ce dossier. Ensuite j'en tirerai des conclusions.

vendredi 20 mars 2015

Bon vendredi!

Quel matin ennivrant! La magie du vendredi. Je suis content de ce que j'ai réussi à faire de mon quotidien. Bien sûr, il y a des journées plus dures, trop remplies, mais dans l'ensemble, ça va bien. J'aime ma vie. Plus je vieillis, plusje veux que ce soit simple. Même la semaine. En  faire un peu moins, mais être plus heureux, plus présent d'esprit. Et, le simple fait de ne pas écouter les nouvelles à TVA ou encore les nouvelles à la radio traditionnelle, cela m'aide à mieux filtrer les énergies. Aujourd'hui, la journée sera longue, mais heureuse. Je me sens d'attaque! Alors amusez-vous comme je sais si bien le faire!

jeudi 19 mars 2015

Inquiétude

Quelle pagaille ces jours-ci. On dirait que le printemps secoue tout sur son arrivée. Des propos de grèves un peu partout. Des gens qui se plaignent, ça grogne ici et là. Un gros tourbillon social s'amorce. Rien ne va plus et ça paraît. Je sens une énergie agressive, difficile à gérer. Je n'aime pas ressentir ce genre de chose. De plus, c'est le temps des impôts, le pire temps pour moi côté énergie. Les gens sont tendus, nerveux. Et puis, il n'y a rien comme un bon rapport d'impôt pour mettre en pleine face votre situation financière. Une vérité n'est pas toujours une bonne nouvelle. Je me sens tendu par cette énergie. Et j'aimerais traduire cette énergie en quelque chose de positif. En énergie de production, en surplus qui pourrait m'aider.
Le maire de Saint-Augustin a donné sa démission. Tellement trop de problèmes à gérer, tellement trop de pression. Je ne sais pas ce que ça va donner. Il fait partie de la minorité qui avait refusé les fusions municipales. Quell arnaque ces fusions!
Le projet pilote sur lequel je travaille semble enfin terminé. Demain en après-midi, je ferai le dernier enveloppement d'un conteneur. Celui de l'Hôtel-de-Ville. Comme ce projet fut long, pénible par moment. Au départ, il devait se terminer le 30 octobre 2014. Mais il y a eu des complications. Au sortir de ce projet, j'aimerais que cela me rapporte quelques sous. Et je vais laisser aller mes pensées en ce sens, pour bien diriger les énergies au bon endroit.
Et le prix des choses essentielles qui grimpe sans arrêt. Une inquiétude se dessine au loin et c'est palpable! Et je sais que je ne peux rien faire de concret dans tout ça.

mercredi 18 mars 2015

Courage

Hier, j'ai enfin regardé ce film. C'est un film qui raconte une grande portion de la vie de Stephen Hawking. Inspiré du livre que son épouse a écrit, ce film est tout en tendresse. Une histoire d'Amour si triste, mais si ressourçante à la fois. Hawking, un homme si intelligent, mais aussi si sensible; perdu dans ses idées, ses théories. Du début à la fin, je ne me suis pas emmerdé. Seules les tranches de vie importante sont vraiment développées. Chaque fois que, il semble y avoir des moments plus stables, plus heureux, des images s'enchaînent, la texture du film devient granuleuse, les couleurs plus «vintages». J'en suis encore sous le choc. Cet homme qu'on avait condamné à mort, des suites d'une terrible maladie, une sclérose latérale amyotrophique, celle de «Lou Gehrig». Tout son corps s'est atrophié en plus ou moins 5 ans. Mais il n'est jamais décédé, et même, il vit toujours. Maintenant âgé de 72 ans, il continue de «rêver» des étoiles. Sa femme Jane, elle, vit maritalement avec un autre homme qu'elle a rencontré sur cette route que Hawking a su tracer. Quel film émouvant! Depuis mon adolescence que je connais cet homme. Pour moi, il a toujours été l'homme le plus intelligent de la terre. Et, après visionnement de ce film, j'ai frôlé avec honneur ce que ça représentait d'être cet homme. Mais je n'avais plus parlé de lui depuis quelques années. Récemment j'ai rencontré quelqu'un avec qui j'ai pu en discuter. Mais tout ça semble bien confus. Mais, ce film en vaut la peine, il nous montre le courage d'un homme et d'une femme. D'une famille qui, malgré ce déchirement continuel, ne faiblit pas devant l'adversité de la vie. Je remercie la vie chaque jour d'être en santé.

mardi 17 mars 2015

À bien y penser...

Bien sûr que c'est compliqué de prendre le temps de vivre. Mais je crois sincèrement que c'est possible. Au départ, si travailler n'est pas pour vous une façon de vivre, alors il faut que ça le devienne. Car vous dormirez au moins un quart de votre vie, et, vous travaillerez au moins le tiers. Alors, il faut que travailler soit inspirant et amusant. Car ce n'est pas votre sommeil qui va vous amuser. Il est essentiel de dormir, c'est un fait, maintenant passons au reste. Le travail, la vie de famille et les loisirs. Dans notre société stressée, où l'argent est omniprésent, il est facile de s'égarer dans ses priorités. Surtout que tout est jetable, même un conjoint! Je ne crois pas que je suis meilleur qu'un autre, bien au contraire, mais je fus témoin de moi-même, perdu dans mes idées, mes amours, à l'aube de mes trente ans. Il fut ce temps, où je ne savais vraiment pas quelles étaient mes priorotés. Mais d'avoir quelqu'un à aimer m'a beaucoup aidé. Savoir que cette personne était là, j'établissais une priorité. Ensuite, j'ai découvert les autres et bâti un quotidien. Cette structure, je l'ai modifiée, adaptée au fil des années. Aujourd'hui, quinze années plus tard, j'en suis toujours à peaufiné ce projet qu'est ma vie. Je vois à plus long terme, mais je ne vis qu'une seule journée à la fois. Je veux être sûr que je n'oublie rien. Plus les années passent et plus je trouve que bien des projets, des idées, ne sont plus parmi les rêves! Parce que le temps qu'il me reste n'est plus une vie entière. Non pas que je m'affolle, mais j'ai un sentiment différent par rapport à mon avenir. Et c'est quelque chose que je n'avais pas prévu, ni même douté.

lundi 16 mars 2015

Apprendre à relaxer.

Une autre fin de semaine qui vient de passer! Aide les autres, rattrape un peu la semaine qui vient de passer, finalement, c'est toujours la course! Mais en est-il possible autrement? Chaque jour qu'il nous est donné de travailer, nous courons vers la fin de la journée! Donc, la fin de semaine, nous courons jusqu'à se rendre compte que nous ne voulons pas courir! Des fois, c'est seulement le dimanche soir qu'on s'en rend compte...
D'autres n'ont pas de fin de semaine, doivent travailler un peu n'importe quand, selon leur horaire de travail. Je suis tellement bien avec mon travail. Je décide quand je commence, et aussi quand je finis. C'est moi qui décide. Des fois je me trouve dur, mais travailler pour soi, ça n'a pas de prix! Je ne tiens pas vraiment à changer quoi que ce soit, mais il faudrait une certaine évolution. J'y vais comme je le sens. Personne n'est mieux placé que moi pour le savoir. Et puis je tiens à ma discipline, cela me met au défi, me garde les idées bien en place. Les journées plus chaudes s'en viennent, ça se sent. Plein de préparatifs seront alors de mise pour une nouvelle saison de camping. Quel beau et bon moyen de relaxer! Une fois sur le terrain, il est facile de tout oublier, même la course. Le simple fait d'être dépaysé nous ramène à quelque chose de plus simple. Et c'est très important d'en arriver là.
Dans notre société où tout est jetable, il est facile de tout jeter les bonnes habitudes, les bonnes valeurs. Alors détendez-vous de temps à autre, histoire de bien savourer votre vie.

vendredi 13 mars 2015

¨Être soi-même

With great powers come great responsabilities. Donc, une fois que tu as l'attention de plusieurs personnes, rien ne sert de faire le pitre, tu perdras instantanément ce pourquoi tu as tant travaillé. Je pense que je réussis à bien comprendre. Avec la réussite vient bon nombre de responsabilités. Prendre des années à monter une entreprise, avoir un certain succès, quel joie, quel accomplissement! Mais il est facile de tout perdre, bien plus facile que de le garder. Un seul faux pas, une seule bavure et pouf! Tout s'envole en fumée! Et, même si pour vrai, au plus profond de ton être, tu respires la bonté, la vérité. Une personne jalouse peut trouver un moyen de te faire chanter.
Maiis je pense qu'à force d'essuyer des échecs, on choisit ses batailles. Cela nous rend plus sage face à l'adversité. Ceux qui brûlent des étapes peuvent manquer de force ou de courage devant les épreuves. Mais l'impatience durant une quête peut être fatale! Il faut s'amuser un peu et arrêter de vouloir à tout prix. Quand bien même que vous vendrez vos enfants en échange de vos autres rêves, si vous ne pouvez entretenir ces rêves, que vous restera-t-il? 
Je ne fais que commencer à comprendre ma vie. Je  suis capable de rester en vie, de voir au bien-être de ma famille. Mais je ne sais rien sur la vie, ou si peu. Mais je sais une chose, je suis moi-même. Avec mes défauts et mes qualités. Et, une fois vendredi arrivé, tout ça me rend heureux!

jeudi 12 mars 2015

C'est non!

Pourquoi est-ce que des nouvelles comme celle que qu'un certain monsieur a eu une amende pour avoir uriné dans un parc suspect et sous enquête arrive dans les médias? Si c'était moi, personne ne le saurait. D'ailleurs, en bien ou en mal, les médias en ont parlé. Je me fous complètement de cet événement! Mais il nous fait remonter de vieux souvenirs. Et les montées de lait arrivent. Demander au gouvernement de payer une mère porteuse pour un bébé, payer pour que Pierre deviennent Pierrette ou encore payer pour les opérations des obèses morbides! Mais les personnes agées, eux, sont oubliés, subissent de mauvais traitement! Touujours un dédale incroyable que d'utiliser les services de santé! Et rien ne change! Oui, le prix de tout ça augmente! Je ne sais pas vous autres, mais moi je suis toujours tanné et on dirait que je vais devoir continuer de l'être pour encore un bon bout de temps. Si  je suis coupable, je paie mon amende ou assume la responsabilité de mes actes. Point. Mais payer pour les autres, non!

mercredi 11 mars 2015

En réflexion

Ouf! Dur de se lever! Nuageux, venteux, et un peu de pluie. Bin oui! Vendredi passé, -29 et mercredi matin, 5 degrés. Pas pour chiauler, mais au Québec, nous vivons des écarts de température assez incroyable! Mais le plus incroyable, c'est ce que nous vivons en ce moment. Les gens commencent à grogner pas mal. Hormis le froid, tous s'entendent pour dire que leus nouveaux compteur «intelligent» est plutôt «voleur» qu'intelligent. Tous s'entendent aussi pour dire que l'essence est encore dix cents de plus le litre, que la moyenne canadienne. Et le modèle québécois commence à faire chier rare et cette hargne est palpable! Un peu de chaleur ne serait pas de refus, accompagné de soleil. JE ne sais pas pour vous, mais moi, même s'il ne retombait pas de neige, ça ne serait pas grave. La souffrance a assez duré. Vivement le camping!
En camping, je peux relaxer, oublier mes soucis, prendre  le temps de jaser. Et surtout, ne pas avoir d'horaire. Car cet horaire est vraiment une source de stress. Je dois le faire et le respecter. Chaque semaine, je me discipline le plus possible et je veux accomplir le plus de choses possible. Mais récemment, je me suis trouvé essouflé. Sûrement un manque de soleil, mais aussi, un manque de contrôle. Un manque d'écoute. Des fois, je suis tellement fatigué, je me demande comment j'ai fait pour accomplir ma journée. Bref je suis en réflexion sur ce beau problème, car l'ouvrage arrive et ce sera encore une belle année! Alors amusez-vous le plus possible, la vie est courte!

mardi 10 mars 2015

Il arrive enfin!

Donc c'est commencé! Le téléphone sonne déjà pour me dire que les gens commence à avoir des projets. Des tas de projets. J'ai accumulé un certain retard avec le projet pilote de la ville, mais une fois terminé, je serai tellement mieux! Dans ma tête et dans mon corps!
Et, en signe de printemps qui se pointe, il commence le 21 mars. Ensuite nous allons plaquer le décapotable! Wow, j'ai tellement hâte! Balade cheveux au vent, le grand air, éléments essentiels pour se soigner contre la morosité de notre climat économique. Contre la bêtise de nos dirigeants. Je sais qu'ils en font aussi de bonnes choses, mais comme le reste, il nous en manque des bouts. Au lieu de cracher sur les autres pour essayer de vous remonter, parlez-nous de vos projets! Des projets qui vont remettre l'économie sur la track! Pas des rêves complètement fous, qui vous caressez en cachette. Des idées pour améliorer la situation actuelle. Des idées pour faire grandir notre province. Des idées pour éloigner la péréquation. Vous êtes pas tannés d'être la province la plus en besoin du Canada?
Bref, le printemps arrive et ce sera comme un miracle. Le froid nous a quitté. Enfin.

lundi 9 mars 2015

Courage!

Comme je l'ai sûrement dit auparavent, tout devient de plus en plus compliqué! Ma fille s'est blessée à un poignet. Après 3 jours, il semble que ce soit plus que des contusions. Pas de lésions, pas vraiment d'enflures, mais douleurs persistantes. Nous décidons d'aller consulter. Clinique sans rendez-vous. Pas de disponibilité. Nous utilisons le système «bonjour». Cela implique des frais de 15$. Nous habitons Val-Bélair et nous fumes référer à St-Rédempteur. Ok! Consultation, radiographie à Sainte-Foy. Résultats au bout de 2 jours. Vu que c'était long, nous étions optimiste sur le diagnostique. Mais non, fracture. La clinique nous envoit pour un plâtre au Centre hospitalier de Charny. Nous y allons. Surprise, les radiographies ne sont pas assez claires. Donc d'autres films...(numériques). Finalement, fracture plus importante. Déjà 4 jours de passé. Étant sur la Rive-sud, le médecin nous envoit à l'Hôtel-Dieu de Lévis! Donc un sans rendez-vous, premier arrivé, premier servi ce lundi matin. Le département ouvre à 7 heures! J'espère que ça va aller rondement!
Voilà! C'est ça un système qui ne fonctionne pas! Qu'est-ce que ça aurait donné si nous étions allés directement à l'urgence, en pleine semaine de relâche? Je ne sais pas. Maiis tout ça est vraiment ridicule. Et ce n'est que le début.

vendredi 6 mars 2015

Vivement la fin de semaine!

Ce matin, la misère avec infiltration d'eau dans la maison! Toiture neuve de seulement quatre mois! Le grenier de la rallonge est détrempé. Quelle misère! Avoir autant travaillé pour modifier la structure, ensuite fait des démarches auprès de professionnels pour m'assurer que la neige ne resterait pas et, le plus important, je n'aurais plus à monter pour déneiger. Et, résultat, l'eau pénêtre quand même! Même si c'est garanti, l'eau se promène sur les «trusts», dans la cloison. C'est neuf! Ça commence bien un vendredi! 
Et ce froid qui perdure! - 29 ce matin, 6 mars, on ne sent pas que le printemps pourrait se rapprocher bientôt. On  change l'heure en fin de semaine! J'ai hâte que ça se réchauffe! Va falloir retirer de la neige de sur la toiture, sinon, les dégâts risquent d'être plus grands. Que d'irritants! Je travaille sur un projet pilote conjointement avec la ville et un tierce partie. Ce projet, au départ simple, pas trop long. Je me disais qu'avec la ville, ce serait un peu plus long que mes estimations. Mais force est d'admettre que la ville met du sien. Mais l'autre partie ne fait qu'étirer le dossier. Au départ, la date finale de production se voulait le 30 octobre 2014. Actuellement, nous pataugeons dans l'imbécilité, l'imcompétence et le manque de volonté. Le chèque de la ville est encaissé, alors plus rien ne presse! Ridicule, c'est le mot. Je ne veux pas perdre mon nom, mais j'aimerais arrêter de mettre du temps là-dessus! Nous verrons bien. Bon vendredi!

jeudi 5 mars 2015

Sais pas trop là...

Je ne sais pas si c'est ce froid qui nous mord ou encore l'absence chronique de soleil qui me rend un peu hasardeux dans mes humeurs, mais je sens que je n'ai pas tellement le goût de travailler cette semaine. Nous sommes déjà jeudi, de la mortalité en fin de semaine, bof... Mais le petit réchauffement d'hier m'a montré certains effets de ce froid. Nids de poule, crevasses, structures dénivelées, accumulation d'eau. Si la chaleur arrive d'un coup sec, ça pourrait être très instructif!
Mais c'est surtout le discours de plus en plus négatif, disons réaliste, des gens que je rencontre qui m'alerte. Essence trop chère, épicerie trop chère, taxes foncières trop chères, impôt trop élevé, système de santé trop lent, trop cher, pas assez efficace! Et ce discours a changé très vite. En 15 ans d'analyse, je ne me souviens pas que le discours ait changé si vite! Mais les gens sont tous au bout du rouleau, au bout de leurs moyens. Et il faudra un tournant très significatif pour améliorer le tout. Et le fossé est très grand à traverser! Je pense que je ne pourrai jouir d'un monde meilleur avant d'être trop âgé.
Et le premier ministre qui veut augmenter le salaire de ses effectifs... Il se prépare un quelque chose qui ne sera peut-être pas drôle.

mercredi 4 mars 2015

Encore une montée de lait!

Ce sont des jours plus durs où j'ai bien de la difficulté à contrôler mon humeur. Mes pensées, munie d'une soif de justice, n'ont de cesse vers un monde meilleur. Les solutions qui tourbillonnent dans ma tête depuis que j'ai seize ans m'assaillent! De voir que notre couillon veut augmenter nos ministres pour effacer les primes de transition, de voir le prix du litre d'essence qui continue de survoler le reste du monde. D'avoir eu aussi froid cet hiver, d'entendre les gens de météomédia qui nous disent que le printemps va tarder. Et puis tous les prix à la consommation qui explosent! Non mais je suis vraiment tanné! Devrais-je organiser une révolution ou m'exécuter par en dessous? Aucune idée. Mon esprit est en feu, la hargne m'habite. Travailler autant, constater que le gouvernement nous enlève autant d'argent sur notre paie que Castro en enlève aux cubains! Oui il y a des différences de salaire et de coût de la vie. Mais quand même, Castro réclame 50% des gains. Et nous? Une fois les taxes payées, les impôts? Du pareil au même! Ça fait du bien d'aller dans le sud, mais certains constats sont plus durs que d'autres à accepter.
JE continue d'écrire, de vider le «trop plein» d'information, les mécontentements engendrés se transforment en littérature d'opinion. Et je me fous complètement que des gens lisent ces textes, ce sont plutôt un exhutoire où je peux partager mes idées, mes opinions, sans écoeurer les gens avec ça. Mais à force de taper sur le clou, des fois il faudrait que mes textes soient lu à haute voix. J'ai la tête ailleurs, dans un gros party, où musique forte et danse seraient les invités d'honneur. MAis bon, est-ce que ça changerait quelque chose? Ce serait moins dommageable qu'une révolution, moins dur sur la santé qu'une brosse de trois jours! Mais je continue de taper sur le clou. Comme disait Claire de la ligue des contribuables, ça prend du temps, mais c'est quand même la meilleure façon. Si je tentais une entrée en politique, je me ferais manger tout rond, et je démissionnerais au lieu de subir la pression des lobbys. Mais ça fait du bien d'en parler!

mardi 3 mars 2015

Tout le temps d'la marde!

Ouf! Ces jours-ci, il y a beaucoup de décès dans mon entourage proche et cela m'attriste profondément. Non pas que je soies affaibli, mais ça fait pas mal de personnes à faire sourire. Si mes dossiers peuvent avancer, alors je serai plus apte pour plus de développement, plus de sourire. Mais nous sommes vraiment gâtés depuis le début de 2015. Avec toutes les nouvelles «conneries» que notre couillon national fait, c'est difficile de se remonter le moral. J'aimerais tout de même vous vanter mon insatisfaction par rapport au dernier remaniement ministériel. Que de bla-bla pour aucun changement. Que de pèteuterie! Je sais que naître au Québec oblige une poignée dans le dos, mais je crois que je l'ai perdu à un moment donné! C'est assez de nous exploiter! Les gens sont désabusés. Certains croient pour vrai à ce que raconte ce couillon. D'autres s'opposent systématiquement à tout ce qu'il dit, peu importe ce qu'eux-même pensent. Et les autres clowns à l'opposition tirent dans tous les sens! Et que dire du «bourrage» de crâne intensif contre les conservateurs! Tous se pilent dessus, tentent de se remonter en calant les autres. Absolument misérable, tellement primitif! Et  je passe droit sur les élucubrations du Maaîîîttrrre.... Mais ce qui écoeure le plus. c'est de voir des solutions évidentes, mais de rien pouvoir faire! Les gens s'endettent à force de vouloir un peu plus de gâteries. Ils sont malheureux de leur sort, tournent en rond sans solution. Et que peuvent-ils? Taper sur le clou? Pas évident, pas rapide. Dans notre société, jetable, véloce et égocentrique, rien n'est évident. Il faut prendre le temps de vivre, prendre du recul et voir autour de soi. Moins courir pour se reposer. À quoi bon se défoncer toute le semaine, si, une fois en congé, on n'a plus la force de sourire! Qu'est-ce que ça donne de partir en camping, avec les gros équipements, si une fois en place, nous sommes épuisés d'avoir tout préparé à la hâte? Des choses simples, pas trop dures à gérer. Dans le sud, j'ai vu des tas de jeunes parents avec leurs enfants, complètement épuisés! Quelles belles vacances! J'ai vu aussi la même chose qu'ici, au Québec, des enfants laisser à eux-mêmes. Errant un peu n'importe où sur le site. Jouant sur le stage pendant le spectacle! Pas grave le show, mon enfant joue sur le stage pis je ne suis pas au courant! Prenez-vous en main, redevenez des gens de coeur.

lundi 2 mars 2015

Constat triste.

De retour après une semaine de répit. Disons que ça fait du bien. Je me sens regaillardi. Un peu de soleil et de chaleur, personne ne refuse ça. Aussi, voir des gens aussi pauvres, ça ouvre l'esprit à d'autres horizons. Quel voyage magnifique! Plein de nouvelles choses apprises, plein d'histoires à raconter. Je me disais que je pourrais en parler, pis que ce serait l'fun! Déjà le retour au travail. Et ce sera le bonheur! La valorisation d'une semaine accomplie! Des tas de projets, des tas d'idées! Et puis ce matin, moins dix au mercure, ça fait du bien! Bref, je me sens moins gelé qu'avant de partir. C'est sûr que de travailler dehors sous les moins 15, avec le vent, ce n'est rien de joyeux. Mais j'ai vu pire. Alors je vais m'en remettre.
À ma grande surprise, le prix de l'essence avait encore remonté. Fauut croire qu'ici, au Québec, le litre vaut plus cher. Il est plus raffiné, plus économique dans nos moteurs et a sûrement une odeur et un couleur typiquement québécoise! Que c'est l'fun de se sentir chez soi pour de bonnes raisons! Autre constat, hier, je faisais quelques courses et j'ai allumé sur un fait : il y avait beaucoup de monde dans les épiceries, comme à chaque début de mois. Mais ces gens du début de mois fument tellement! Le gouvernement finance plein de chose à partir de l'argent récolté par les fumeurs! Donc, si je comprends bien, il se finance lui-même en nourrissant les personnes sur l'aide sociale? Il se tire dans le pied, consciemment? Fabuleux! QUe c'est l'fun de se sentir chez soi, québécois!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...