mercredi 4 mars 2015

Encore une montée de lait!

Ce sont des jours plus durs où j'ai bien de la difficulté à contrôler mon humeur. Mes pensées, munie d'une soif de justice, n'ont de cesse vers un monde meilleur. Les solutions qui tourbillonnent dans ma tête depuis que j'ai seize ans m'assaillent! De voir que notre couillon veut augmenter nos ministres pour effacer les primes de transition, de voir le prix du litre d'essence qui continue de survoler le reste du monde. D'avoir eu aussi froid cet hiver, d'entendre les gens de météomédia qui nous disent que le printemps va tarder. Et puis tous les prix à la consommation qui explosent! Non mais je suis vraiment tanné! Devrais-je organiser une révolution ou m'exécuter par en dessous? Aucune idée. Mon esprit est en feu, la hargne m'habite. Travailler autant, constater que le gouvernement nous enlève autant d'argent sur notre paie que Castro en enlève aux cubains! Oui il y a des différences de salaire et de coût de la vie. Mais quand même, Castro réclame 50% des gains. Et nous? Une fois les taxes payées, les impôts? Du pareil au même! Ça fait du bien d'aller dans le sud, mais certains constats sont plus durs que d'autres à accepter.
JE continue d'écrire, de vider le «trop plein» d'information, les mécontentements engendrés se transforment en littérature d'opinion. Et je me fous complètement que des gens lisent ces textes, ce sont plutôt un exhutoire où je peux partager mes idées, mes opinions, sans écoeurer les gens avec ça. Mais à force de taper sur le clou, des fois il faudrait que mes textes soient lu à haute voix. J'ai la tête ailleurs, dans un gros party, où musique forte et danse seraient les invités d'honneur. MAis bon, est-ce que ça changerait quelque chose? Ce serait moins dommageable qu'une révolution, moins dur sur la santé qu'une brosse de trois jours! Mais je continue de taper sur le clou. Comme disait Claire de la ligue des contribuables, ça prend du temps, mais c'est quand même la meilleure façon. Si je tentais une entrée en politique, je me ferais manger tout rond, et je démissionnerais au lieu de subir la pression des lobbys. Mais ça fait du bien d'en parler!

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...