Réussir à arrêter.

Chaque matin, je m'amuse à relire ce que j'ai posté par le passé sur Facebook. Eh bien, en 2011, il faisait 16 degrés! Comme quoi notre climat est toujours égal à lui-même et, surtout, imprévisible! Une petit tempête nous est tombée dessus hier, laissant plus ou moins trente centimètres. Ce matin, quand je regarde dehors, ça ressemble vraiment à l'hiver que nous connaissons tous. Hier, j'ai tenté de relaxer plus tôt, mais j'ai finalement fini de menus travaux dans la maison et cela nous a mené à l'heure du souper. Et finalement, après un délicieux repas, un petit ménage, nous sommes allés prendre un spa. Nous avons invités nos voisins d'en face, qui, depuis quelques temps, vivent des temps vraiment durs. Ce fut un bon moment.

Dernière véritable journée de travail de l'année. Oh je ne pense pas faire grand'chose, mais je dois m'assurer que tout est vraiment fin prêt pour la nouvelle année. Et puis, il y a un client qui vient de m'appeler, je vais aller lui donner un petit coup de main pour masquer les surfaces qu'il a à peindre. Et puis, j'espère bien prendre une bière ou deux en après-midi avec qui le veut bien. Après tout, je ne suis pas le seul qui finit aujourd'hui. J'ai hâte de faire un petit bilan. La vie me fait beaucoup de cadeaux, elle est un privilège formidable! On s'en reparle!

Que de leçons nous donne cette vie.

Encore une autre année qui se termine! Pour autant que je me souvienne, les années passent et ne se ressemblent pas. Et c'est tant mieux. Chaque année m'a donné du temps pour apprendre plein de choses. Plus les années passent et plus je suis riche de connaissances. Malgré tout, des fois j'ai l'impression de passer à côté de certaines choses. Trop occupé par la course quotidienne, il m'arrive d'en faire et d'en faire et de me rendre dompte que la journée est passée, la semaine ou l'année, et que, je n'ai pas fait ces petites choses dont j'avais envie. Ces petites choses, comme dessiner, écrire, chanter ou mettre de la nouvelle musique pour mes séances d'entraînement, sont vraiment importantes. Car c'est grâce à elles que je passe à travers ma vie. À dessiner toutes ces images qui me traversent l'esprit, à écrire tout ce qui me tiraille en dedans! Et je chante, des paroles qui me donne du courage ou qui me font pleurer de joie. Et la musique, partenaire de ma vie, ma réussite! Depuis que j'ai commencé à réfléchir sur la vie que je dis que l'évolution passe par de petites choses. Que c'est de petites choses qui, toutes ensemble, deviennent de grandes choses. Et la vie, est faite de grandes choses, qui au départ, étaient de bien petites choses. Il y a eu des années très dures où je n'ai fait que survivre, suivre les consignes du mieux que je le pouvais, et, finalement, passer au travers. Il y en a d'autres où j'ai tellement appris que j'en étais épuisé. Mais aujourd'hui, je peux dire avec certitude que je suis heureux. Je peux aussi affirmer que la fatigue accumulée mine le quotidien et finit par ruiner la joie de vivre. ALors il faut se reposer, le plus souvent possible. Je sais aussi que l'abus n'est jamais bon, trop, c'est toujours trop! Sur ces belles paroles, je vais aller travailler un peu, mais pas trop.

La vie est belle!

Ouf! On vient de passer un 3 jours très occupé! Recevoir la parenté, ensuite les amis. Mine de rien, ce fut trois jours qui ressemblaient à deux semaines. Et le froid ce matin, c'est à peine croyable! Des écarts de presque 30 degrés, vive le Québec! J'en reviens toujours à la même conclusion : sommes-nous toujours obligés de demeurer ici? Quels sont les véritables avantages? Ou encore, qu'est-ce qu'on a à gagner d'y rester? Climat de merde, économie surtaxée, politique sociale démocrate trop présente et d'une obésité mortelle! Climat social de plus en plus «chacun pour soi». Les gens sont nerveux, à la recherche d'un saint grââl introuvable. Mais, le soir, on peut encore sortir prendre une marche sans avoir peur. Je dis bien une marche, car une balade en voiture est trop chère. Aller faire des emplettes requiert d'avoir économiser auparavent la somme requise ou encore de choisir de mettre ça sur la carte de crédit! Et puis, pendant qu'on marche, force est de constater que les constructeurs ont encore beaucoup d'ambition. On constate aussi que nos taxes servent à autre chose que d'entretenir nos infrastructures! Même chose pour l'entretien et le déneigement de nos rues! Bref, la joie de vivre doit provenir de nos coeurs! Et j'encourage tout le monde à s'en servir! Bon entre-deux des fêtes!

L'heure est aux bilans

Un peu de luxe ce matin en me levant une heure plus tard. Ça ne m'a pas empêché de m'entraîner. Plus facile dans un contexte hivernal. Car en été, lorsque je sors dehors pédaler, après 6 hres, il y a trop de voitures. Il me reste une journée à travailler avant Noël. Cette journée sera merveilleuse! Je ne peux pas relâcher la qualité ni la cadence, mais je sais que ça finit aujourd'hui. Je crois même qu'à mon retour, je vais m'organiser pour ne plus conduire. j'attends du monde en après-midi. Il serait amusant de faire une sorte de bilan de l'année avec différents point de vue. Moi, seul, j'ai bien de la facilité à me faire mon propre bilan, et, j'en ai l'habitude. Mais de partager son opinion, ses idées, ses prédictions, avec d'autres, ça vaut de l'or! Et ça permet d'avancer! Pas comme quand nos dirigeants ont décidé de fusionner les villes. Seulement de la poudre aux yeux! Ce changement a coûté cher, avec promesse d'un futur meilleur et moins dispendieux! Même chose pour les eco-frais! Qui a voté pour ça? Nous a-t-on demandé notre avis? Les genres de conneries qui me font vraiment suer. Parce que chaque nouvel emploi «crée» au sein même de la machine, en entraîne un autre. Tous ces emplois, plus ou moins utiles coûtent de plus en plus cher. Avec cette mentalité, l'état se gruge lui-même en cachette et creuse sa tombe. Ça y est, je suis encore reparti! Bon, demain c'est la veille de Noël, alors pensons à des choses heureuses et planifions-nous une nouvelle année du tonnerre!!!

En attendant les vacances..

Les journées commencent à rallonger! Bin oui! Ça c'est un point positif! Et puis, je regardais mon calendrier de janvier et je me disais que ce serait bon que je me repose un brin pendant les fêtes. L'année 2016 s'annonce prometteuse, avec plein de projets plus diversifiés les uns que les autres. J'adore avoir à piloter des projets, en être le réalisateur! Être son propre patron me permet de saisir les moments essentiels dans la production. Lorsque je travaille sur un projet, à l'installation, souvent je me rends compte des lacunes qui peuvent arriver au moment de la conception. Chaque fois que je développe un projet, je le conçois en fonction de ce que j'aurai à faire avec. Il est important de penser que, ce qui sera coller sur un véhicule, ne sera pas vu de la même façon que sur un dépliant ou un billboard. Une remorque fermée n'est pas un document de 3 pages avec des données techniques. Il faut visualiser correctement le véhicule (remorque, camion, auto, bateau, etc.) avant d'y coller quoi que ce soit. Ceci dit, lorsque je ne fais qu'installer un visuel, je m'arrête avant de coller, tout en lavant la surface, pour bien visualiser les courbes, les angles. Je prends le temps de comprendre le visuel, de l'analyser. Des fois je vais appeler le client et \ou le graphiste pour donner mon opinion. Il ne faut rien laisser au hasard.

Bon vendredi!

Le dernier vendredi de l'année où je vais travailler. Et ce ne sera pas de refut de prendre des congés bientôt. Les dernières fins de semaine furent de véritables journées de travail avec toute cette peinture, cette tapisserie à enlever et aussi tous ces interrupteurs et prises à changer. Et les préparatifs d'hiver comme les garages, les trucs à rentrer ou à mettre à l'abri. Bref, j'ai hâte d'arrêter un peu. Et puis, ne plus voir d'images du trou d'eau, ça aiderait beaucoup. Véritable amuseur publique, il dépense comme personne, comme s'il avait peur qu'on ne l'aime plus! Je me suis dit que je devrais encore me garder un peu «gorlo» pour la période des fêtes. Comme j'aurai moins de misère à fermer mes oeillères! Des fois, c'est vraiment intéressant de comprendre ce qui se passe autour de nous. Mais des fois, c'est vraiment trop. Je ne sais pas si ces gens, là-haut dans les palliers gouvernementaux, savent encore apprécier ce qu'ils ont. En tous cas, moi je remercie tous les jours pour ce que j'ai et aussi pour être encore là pour en profiter. Bon vendredi!

Petit résumé

Ouf! Une chance que je peux écrire chaque matin! Ce petit congé que je m'accorde pour redevenir humain. Faire évaporer de moi toutes les toxines politiques et économiques. Mais je sens que les vacances s'en viennent. J'ai réservé ma place avec mon filleuil pour aller voir Star Wars ce samedi! C'est bien rare que je me gâte autant, mais de savoir que je vais relaxer m'aide à y arriver! Avec une installation qui fut cancellée, l'air devient plus respirable, j'ai l'impression que j'ai moins de poids sur les épaules et, par le fait même, sur le dos. Incroyable de savoir que certains parmi nous n'ont pas ce genre de problèmes. Ils préfèrent les donner aux autres. J'irais même jusqu'à dire qu'ils réussissent même à les convaincre que c'est pour leur bien! Je comprends qu'il faut s'entourer de gens qui vont nous aider, qu'il faut déléguer, mais la vérité a toujours sa place. Les médias ont cette façon de faire. Ils font peur au monde avec un petit rien du tout, puis ils veulent nous montrer comment vivre notre vie. Le jour où l'on comprend que chaque personne est unique, on se rend compte que le bonheur des uns fait le malheur des autres. Que notre liberté se termine où celle de l'autre commence. Ma mère me l'a souvent dit. C'est fou ce que mes parents ont pu m'apprendre. Grâce à eux, j'ai pu naître, grandir et choisir ma vie. Bien sûr, en tant que parents, on aimerait donc que nos enfants fassent d'autres choix, mais la vie nous apprend aussi que nos enfants s'appartiennent eux-mêmes. Qu'aussitôt qu'ils le peuvent, ils volent de leur propres ailes! Ils se fabriqueront à leur tour une famille bien à eux. Et ils deviendront peut-être parents. Ainsi va la vie.

Ouin...

Quelle journée encore une fois hier. Malgré une mécanique corporelle qui vacillait, j'ai réussi à atteindre mes objectifs. Et le petit 5 à 7 avec les gens d'affaires, fut, selon moi, un très bon moment. J'ai fait une blague avec le trou d'eau, on a bien ri, mais la blague nous coûte chère, trop chère. Déjà, on peut sentir que cet homme n'a pas connu la misère. Pour lui, l'argent gagné quotidiennement par les citoyens n'a aucune valeur. Pour lui, vivre avec l'argent des autres, c'est normal, il a toujours vécu ainsi. Mais pour l'instant, rien n'est moins triste que de le voir aller. Si ça continue, il va nous faire payer la fabrication de petites statuettes à son images. Moi, j'attendrais un peu. Dans la vie, avant de dire tout haut que tu es bon, vaut mieux attendre que les autres nous le disent. Alors, comme j'ai appris à le faire assez jeune, je tourne à la blague ce tourment que la vie nous a amené. Encore une épreuve dans laquelle nous aurons bien des choses à apprendre. Même si on dit que c'est un quatre ans à passer, la dette augmente, les craintes aussi. Et puis, quand la solution provient toujours d'une autre taxe...

Être à l'écoute

Wow! Hier fut un blitz vraiment innatendu! Moi qui pensais me reposer un peu. Moi qui pensais pouvoir avancer des choses. Mais la vie m'a indiqué un autre chemin. Tout ça m'a gardé en dehors des bla-blas du quotidien. Et je trouve que c'est une bonne chose. Non pas que je soies sauvage, mais de pas savoir, des fois ça fait du bien! Car la tournure des événements jusqu'à maintenant me donnerait du fil à retordre dans mes pensées. Car notre vie se veut un amalgame de petits événements qui peuvent changer notre humeur, le cour de notre vie. Alors je me dis que je dois continuer, faire ce que je crois être bon et m'inspirer des meilleurs. Je vois les gagnants depuis des années, s'entourer de personnes qui les épaulent dans ce qu'ils sont plus faibles. J'admire ces personnes pour plusieurs de leurs qualités. Persévérance, de bon nerfs, de l'énergie et une vivacité face à la vie incomparable. Il faut s'inspirer des meilleurs. Je me crinque moi-même à chaque jour. Chaque journée est un nouveau défi. Et je me dois de foncer tête première, sans jamais penser au lendemain.

On repart en neuf!

Après une fin de semaine tout en mode préparation des fêtes, rien de tel qu'un lundi matin pour vous remettre sur la bonne voie! Mais quelle fin de semaine ce fut! Pas grand temps pour se reposer. Peinture et échelle, sapin, décorations et échelle! Wow! Tout ça sans le moindre flocon de neige! Ce matin, c'est un peu plus triste. Il a tombé quelques flocons, mais actuellement, il tombe du gros sel et les rues ont l'air glissantes. Je me demande quelle genre d'hiver aurons-nous? Mais j'ai une belle semaine qui s'en vient, déjà remplie. Quels moments magnifiques de constater que la vie est si belle! Et, en ce lundi matin, quoi de mieux que des encouragements pour bien ouvrir une semaine de blitz avant les fêtes. J'ai besoin de vacances. Mon corps me le rappelle souvent. Mais j'ai l'esprit vif. Donc à moi d'essayer de tempérer mes ardeurs! Mais je suis heureux. Malgré toute la mornitude que les médias tentent de nous faire avaler, je me refuse d'avoir la baboune ou encore d'être marabout. Normalement, quand je suis aussi fatigué, je deviens trop légume pour réussir à me contrôler. Je vais devoir faire attention à l'alcool dans le temps des fêtes. TEmps des fêtes qui semble commencer bientôt, avec l'arrivée du sapin dans notre salon. Bonne semaine!

Un peu de méchant à sortir.

Je ne peux croire que le reste de mes jours au Québec sera une mutinerie économique constante. Mais, étant donné que mon degré de compréhension demeure élevé, je devrai continuer à me distraire pour trouver mon bonheur! Et je n'exagère en rien le degré d'infâmie que nos gouvernements nous imposent. Il est vraiment malheureux d'abuser ainsi des gens. Chaque vendredi, alors que je me dis que la journée sera merveilleuse et, que peu importe les événements, je vais garder le sourire, je me dois d'écrire un peu pour évacuer toute cette énergie négative qui vient me polluer le quotidien! N'empêche, savoir que chaque seconde passée au Québec, remplit les coffres de gens mesquins qui ne pensent qu'à eux, c'est difficile à accepter. Que ceux qui ne sont pas d'accord me démontre le contraire. Désolé, mais lorsque la fatigue d'une semaine de travail me terrasse un tant soit peu, j'ai bien de la difficulté à garder une certaine retenue. Mais je vous souhaite une belle journée, amusez-vous autant que possible!

Ouin...

Donc nous sommes nés pour être des payeurs de taxes? Sans blague? Qu'est-ce que nous avons de plus que les autres? Ou qu'avons-nous de moins, pour nous laisser faire ainsi? Alors que le baril de pétrole connait une descente de prix, nous, au Québec, battons des records de taxes sur le litre vendu! Non mais, le couillon, avait déjà ajouté une taxe en début d'année, parce que le prix du baril avait baissé. Et puis, il faut continuer à payer. Payer les CPE, payer les intérêts sur les emprunts des cultivateurs, payer plus cher pour le lait, payer plus cher pour le sirop d'érable, payer plus cher pour le fromage, payer plus cher pour la bière et les spiritueux, payer pour le transport en commun, payer... C'est plus facile d'énumérer les chose pour lesquelles on ne paie pas plus cher! AU fait, qu'est-ce qu'on paye le «vrai» prix? Je cherche, mais je ne trouve pas. Partout où je vais, au dépanneur, à l'épicerie, en payant mes factures, je ne fais que constater que je me fais avoir, que je paie aux autres ce que je ne peux me payer! Mais si j'ai besoin d'aller voir un médecin ou d'aller à l'hôpital, c'est encore pire! Nous payons aussi un supplément chaque année pour ça! Bon, j'arrête, je vais gâcher ma journée.

Bravo!

Ce matin, en ce mercredi 9 décembre, il y a grève encore dans les écoles. C'est bin pour dire, quand j'étais étudiant au primaire, un professeur avait de la notoriété. C'était une personne que les gens respectaient. Et, si tu étais l'un d'eux, c'est parce que tu avais étudié, et, que tu avais des aptitudes en pédagogie. Certains avaient la chance d'avoir des parents pour payer les études que ça prenait, d'autres avaient eu droit à une bourse pour l'excellence de leurs résultats. Aujourd'hui, ça ne ressemble plus du tout à ça. Premièrement, l'accès à l'éducation. Ayant élevé une charte des droits, les gens ont décidé que tous, sans exception, pouvaient faire des études de haut niveau. Déjà, les cartes se mèlaient... Mais la montée des syndicats, l'obligation d'en faire partie, une autre tare venait de naître... Si l'on s'en tient à ces deux faits, le système scolaire était déjà condamné! Mais le temps a fait son oeuvre. Ce n'est pas tout le monde qui peut aller au CEGEP. Ce n'est pas tout le monde qui peut compléter des études universitaires. Quand j'allais au pensionnat, il fallait 70% pour passer. Nous avions une dictée par jour. Chaque faute nous enlevait cinq points. L'enseignement de l'anglais commençait dès la première année. L'écriture en lettre attachée aussi. Mais le ministère a fait semblant d'égaliser les barêmes de l'enseignement publique avec ceux du privé. Mais il a nivelé par le bas. Les professeurs n'ont plus à faire de surveillance le midi ou après l'école. Ils n'ont plus à s'occuper d'un élève plus particulier. Ils ne savent plus écrire «ce français», si important au Québec! Ils n'ont plus le feu d'enseigner. La vocation est morte. Pas grave l'élève, on part dans le sud pendant une année scolaire, ça va faire travailler les autres. La force des syndicats a mis tout le monde «égal». Plus personne ne compte vraiment. Personne ne peut perdre son emploi, alors pourquoi se dépasser et devenir la référence? Comme dans beaucoup de secteurs au Québec, travailler n'est plus un privilège, c'est un dû! Au diable la notoriété, l'innovation. À quoi bon être le meilleur, on ne sera pas plus payé que celui qui est arrivé avant nous.

Prenez garde.

Après un lundi qui m'a semblé durer 3 jours, me revoilà, dans une autre journée, en train de faire mon horaire. Et puis je me disais que le Président des États-Unis a déclaré la guerre à l'état islamique. Je n'en ai pas parlé autour de moi, mais je sens que ça fait partie des énergies qui me chicotent depuis un moment. Et puis il y a notre premier ministre qui accuse déjà quelques ratés. Voyez-vous, il n'est jamais trop tard pour bien faire, mais je crois que ça se fera à plus petite échelle. Oui, plus près de gens qu'on aime. Pas avec de grands discours, ni une tribune officielle. À quoi bon s'énerver avec le trou d'eau? Laissons-le aller, on verra bien! Et pour la guerre, bien, je ne sais pas. Je ne suis pas pour la guerre. Mes idoles de jeunesse étant Mère Térèsa et Ghandi, je prêche bien plus la paix, le recueillement et l'Amour. Et comme le disait récemment Stephen Hawking, ces terroristes n'ont pas ce qu'il faut pour nous battre côté armement, ni technologie. Mais leur force réside dans des méthodes autres. Ils peuvent s'infilter parmi nous et nous faire peur. Ils peuvent aussi nous manipuler, nous monter les uns contre les autres et diviser nos forces. Alors il faut prendre les bonnes décisions. Qui sommes-nous pour juger des autres? Je ne sais pas. Mais personne ne voudrait se faire tuer pour une raison qui ne les concernent pas. Soyez prudents et pensez avant d'agir.

Lundi matin...

Comme quoi les lundis sont parfois une solution. Car il n'y a rien de plus bénéfique que d'être sans solution pour en trouver! Après une fin de semaine très remplie, il est dans mes habitudes de me prévoir un lundi plus relax. Mais ce n'est pas le cas pour aujourd'hui. Et ce ne le sera pas non plus demain. Alors je tiens à remercier la vie pour me donner toute cette énergie. L'Amour est ma plus grande force, mais dans notre société, il n'y a que la loi de la jungle qui régisse tout. Je ne sais pas pour vous, mais moi, je prendrais bien des vacances. Alors qu'à l'année longue, je paie avec les autres travailleurs, des congés à bien des gens, c'est un luxe que je ne peux m'offrir souvent. Car mes congés, je dois non seulement les planifier, mais aussi les payer en double. Car je dois fermer le bureau. Rien ne se fait et rien ne facture. Mais je peux voir ça autrement. Je travaille toujours à 100%, mais quand je décide d'arrêter un peu, bien je n'ai qu'à me reposer et penser à autre chose. Organiser mes délais en conséquences. Un CA ce matin avec les gens d'affaires, c'est raid un peu. Mais je suis heureux, non? Alors ça va bien aller. De retour demain pour d'autres pensées.

Joie du vendredi!

Eh bien, après sept ans et demi de travail à la maison, j'ai toujours hâte au vendredi soir! Non mais c'est tellement merveilleux! Hier, je suis allé installer de gros «morceaux de logos» de Bell dans un de leur centre administratif. Je suis resté surpris de tout ce que ça prenait comme personel pour faire virer ce bureau. Premièrement, il y a la sécurité. Je dois me présenter à une porte de garage, sonner, mentionner mon nom et ce que je viens faire. Je devais avoir au préalable appeler pour que mon contact puisse aviser la sécurité. Une fois mes choses à l'intérieur, je dois me trouver un stationnement. Ensuite je dois remplir un registre d'arrivée, le signer et ne pas oublier de le signer de nouveau à ma sortie. Maintenant, la logistique des déplacements. Les gens circulent en ascenseur. Pour les escabeaux, le matériel à coller, c'est le monte-charge. À l'intérieur, toutes les portes sont barrées. Il faut une carte. Impossible de changer de département sans carte. Il y a beaucoup de personnel, beaucoup de cubicules. Le premier local, on dirait un espace créatif, ou tous les gens se parlent, de tout et de rien. Ces gens partagent leur idées, leur travail. Ils se demandent leur avis. Une ambiance qui semble détendue, mais à la fois douteuse. Il y en a qui travaillent sur une interface télé. Il y en a qui travaillent sur une interface web. D'autres semblent faire du service technique via le téléphone. Mais ils travaillent sur différents projets, différentes business. Impressionnant. Mais ça doit tellement coûter cher, tout cet équipement technique, tout ce personnel. Et puis ils sont partis dîner à pas d'heure. Ils ont tous le sourire et semblent très communicatifs. Bref, cet endroit n'était pas stressant. Mais à des années lumières de ce que j'avais vu jusqu'à maintenant. Mais je me demande si ces gens ont hâtent au vendredi? À les voir, on dirait que c'est toujous vendredi. Peut-être qu'ils apprécient chaque journée après tout. On s'en reparle!

Une question d'équilibre.

Quelle semaine jusqu'à maintenant! Jeudi matin, plein de choses d'accomplies et encore deux jours de travail à rencontrer. Et dire qu'il y en a qui se force à ne rien faire! Ces gens devraient trouver un truc qui les passionne. Y rien comme payer quelqu'un à ne rien faire. Pourtant au Québec, c'est monnaie courante. Et les gens se laissent mourir pour garder leur salaire, leurs conditions. D'autres encore ont tout l'attirail pour le camping, le chalet; VTT, motoneige, moto, bateau, etc. Ils ont travaillé toute leur vie dans la fonction publique. Mais il n'aiment pas ça. Ils préfèrent les congés pour profiter de leurs bébelles! Mais ils font partie intégrante de notre système. Et je vois les jeunes, complètement submergés par la technologie, qui tente de se faire une vie. Leur vie sociale est souvent virtuelle. On recherche l'amusement. Ils sont tellement accros à tout ce qui se passe sur un écran, je regrette de leur avoir présenté la télévision. Mais nous sommes tellement loin de la télé! Même moi, qui écrivait sur du papier, maintenant j'écris devant un écran. Il y a tellement d'avantages. Pas de papier, pas de crayon, pas d'accumulation de matériel ici et là. Mais je ne regarde pas vraiment la télé. Je n'aime pas les jeux vidéos. Je n'aime pas texter. Je n'aime pas parler au téléphone. Mais j'ai appris et je maîtrise! Je préfère travailler, avec des journées plus infographiques, d'autres plus manuelles, plus physiques. L'équilibre est important. Ces jours-ci, ce que je ressens est difficile à interpréter, car l'énergie négative est très présente. Alors je travaille un peu plus, garde mes «oeillères» un peu plus fermées.

Drôle de matin.

Et voilà, ma blonde est repartie pour un autre 7 jours! On dirait que j'ai pas eu le temps de l'aimer assez. Mais elle sera là plus souvent pour les fêtes. La journée commence de drôle de façon; je suis supposé envelopper une auto aujourd'hui. Mais le véhicule en question n'est pas arrivé hier soir. Tout de même bizarre. Je vais devoir appeler, car cela va massacrer mon horaire déjà serré! Car c'est facilement 12 heures de travail, retirer le précédent wrap et en installer un autre. C'est quand même un beau problème d'avoir autant de travail. Et j'en suis fier. Hier fut une grosse journée, en préparation pour aller porter ma Bibi à la gare sans manquer de temps. Donc je vais récupérer ce temps tout au long de la semaine. C'est ça être travailleur autonome! Il faut se garder motivé. À plus tard, le devoir m'appelle!

Il faut choisir.

Il m'apparaît plus facile de péter une coche ici, sur mon blog, que n'importe où ailleurs. Non pas que je serais gèné, au contraire, mais ici, au moins, je peux penser avant d'écrire, surveiller mes mots, interpréter ma pensée. Ce que j'ai bien de la difficulté à faire devant un public. Les gens me disent bien des choses. Je les écoute aussi beaucoup. Pour moi, les gens sont de l'énergie; une énergie qu'il faut récolter. Mais il faut la filtrer. Car il est facile de se laisser porter par cette énergie et s'oublier. Certaines gens ont bien du caractère et, ils rayyonnent beaucoup dans leur entourage. Ce genre de personnes, il en manque partout, à des endroits stratégiques. Des personnes qui, par leurs actes, par leur convictions et leur facilité à s'exprimer, seraient des leaders pour notre société. Une ultime façon de faire une différence. Car nous sommes pris dans un marasme ennuyant. Nous tournons en rond dans une sphère politique qui ne mène à rien. Ceux qui ont vraiment de l'influence, sont déconnectés de notre quotidien. Ils sont dans leur monde, avec leurs idées. Mais je suis bien tanné d'entendre parler de voiture électriques, de transport en commun, de taxe du carbone. Car tous ces discours nous coûtent cher, trop cher. À quoi bon travailler chaque jour, avec hardeur, si c'est pour donner aux autres? J'adore partager. Je donnerais tout ce que j'ai pour ceux que j'aime. Mais payer pour ceux qui ne sont pas prêts à faire leur maximum, non. Donc je reste travailleur autonome. La business ne monte pas trop, je n'ai pas à gérer les problèmes des autres, juste les miens. En voyant moins de choses, je me garde plus stable, plus concentré. Des fois je me dis que ça pourrait être plus, mais je ne suis pas sûr. Alors je continue à travailler, sourire dans mes journées, et je reste heureux. Je choisis mon bonheur et mes batailles.

S'aimer pour continuer.

La semaine passée, j'étais pas mal crinqué sur différents sujets. ET puis, je me sentais particulièrement  fort malgré la somme de travail à accomplir. Et cette semaine sera comme ça aussi. Déjà en ce lundi matin, je me dis que c'est un dossier à la fois. Peu importe le temps, la circonstance, rien ne sert de s'énerver. Parlant de s'énerver, je suis le champion dans ça. être sur les nerfs! Je n'ai pas à chercher longtemps. Le travail, le travail, les délais! Voilà où je performe vraiment! Sous la pression, je me sens vraiment plus efficace. Non pas que je soies paresseux ou «lent» en temps normal, mais avec de la pression, j'ai l'esprit vif, les idées qui gambadent, j'ai l'impression que rien ne peut m'arrêter! Des fois je me rends compte que je suis vraiment fatigué. Alors c'est là que le repos est de mise. Un autre mystère! À force de courir mes semaines, comme j'ai vu mon père le faire pendant des années, j'ai appris à travailler. Mais je n'ai pas appris à relaxer. Alors quand vient le temps de s'arrêter, je me dis que c'est pour mon bien. Wow! Juste d'y penser, c'est fantastique. Mais il me faut souvent une semaine de congé pour y arriver vraiment. Des fois, c'est plus facile que d'autres. Le fait de ne pas avoir les enfants donne un coup de main. Alléger le dossier des responsabilités. Depuis plus de 25 ans que je suis père. Que chaque matin, je me lève en passant à bien d'autres choses qu'à moi-même. Mais je suis heureux. Chaque jour qui commence est une joie que je veux partager avec les autres. À quoi ça sert de mettre la cause de nos malheurs sur le dos des autres et\ou de quelque chose. Rien n'est plus facile de rejeter la vérité si elle ne nous plaît pas. Et puis, prendre ses responsabilités, ce n'est pas toujours facile. Il faut trouver le beau et l'entretenir. Il faut apprendre à aimer et continuer!

Que des conneries!

Alors que les journalistes nous ont annoncé en grande pompe hier, que nous étions l'endroit en Amérique du Nord qui paie le plus de taxes sur le litre d'essence, eh bien nous avons eu droit à une petite hausse de 15 sous le litre! Quelle insulte à l'entendement humain! Comme c'est baveux! On dirait que c'est un coup de pratique pour voir jusqu'où vous allez réussir à nous faire chier! Non mais je l'ai déjà dit, au Québec, nous naissons tous avec une poignée dans le dos. Mais moi, je me l'ai fait enlever, c'était une Samsonite! Ça fait que chaque fois que vous remplissez vos citoyens comme des valises, bin moi ça marche pas! Pis faire ça pendant que je suis en train d'apposer des autocollants sur les pompes à essence, ça rend la tâche ardue! Les gens se demandent si je ne suis pas en train de monter le prix! Et, quand le «rush» arrive, que les gens se rendent compte que le prix monte, ils se bousculent pour aller faire le plein. Imaginez, je ne peux travailler sur les pompes pendant que quelqu'un s'affaire à remplir son auto. Bravo à ceux qui dirigent ce cartel! Il y aura toujours des enveloppes brunes, de la corruption, du favoritisme, mais essayez d'être plus discret. Imaginez tout l'argent qui rentre dans les coffres du gouvernement, juste en taxes, lorsque le prix du litre bondit de 15 cents! Faisons une moyenne. Le jeudi, comme hier, le travailleur moyen reçoit sa paye. Il en profite pour mettre de l'essence. En moyenne, 30 litres par travailleur. On fait un chiffre rond, 1000 travailleurs, 30 litres à 15 cents; quatre dollars et cinquante fois 1000. Ça fait 4500$ de plus à taxer. Seulement au Québec! Donc la réalité est difficile à avaler! Je ne suis qu'un travailleur moyen, mais je suis aussi celui qui vous fait vivre avec les autres! Pourriez-vous nous respecter un peu?

Restez alerte!

Hier j'ai perdu mon temps à déblatérer sur la commission Charbonneau. Heureusement, ma journée fut très heureuse. Même quand la fatigue nous terrasse, un moment de joie peut égayer notre journée et changer la donne. Alors si vous avez l'occasion d'être heureux, eh bien faites! Car la vie est trop courte pour vivre avec des regrets, du ressentiment. Et puis, ma Bibi est revenue, quelle énergie! Bref, la semaine passe vite, le mois de décembre arrive et toujours pas de neige! Mais il ne faut pas prendre ça à la légère. Au Québec, la température change vite et les surprises peuvent noircir nos journées.

Encore de l'argent de gaspillée...

Comme quoi la commission Charbonneau aura coûté chère en maudit pour distraire ceux qui avaient le temps de suivre. Encore un exemple que nous nous faisons fourrer! Arrêtez de demandez des études, des commissions, ça coûte cher et ça ne change rien. Non, ça change que ça nous coûte encore plus cher que la corruption! Si tout ce temps, payé par l'état, n'amène aucun changement, aussi bien laisser faire! Je ne sais pas où cela nous a mené. Cette commission nous a révélé encore plus de choses qui font mal, mais à quel prix? D'ailleurs, ce qu'on ne sait pas ne fait pas mal. En conclusion, qu'est-ce qui est mieux? Payer pour savoir qu'on se fait plus fourrer qu'on le pensait ou juste finir par trouver que ça coûte plus cher, encore et encore? Car avec cette commission, mis à part que certains ont trouvé ça intéressant, nos poches ont encore été vidées! Dites-vous une chose, des enveloppes brunes, il y en a toujours eues. Mais des fois, ça parait un peu trop. Alors il faudrait rajuster le tir. Pas établir une commission, échelonnée sur trois ans... Entre dirigeants des deux mondes, donnez-vous des lignes de conduite et respectez-vous! Comme ça, vous respecterez aussi ceux qui vous payent!

Vivre et laisser vivre!

Pour de vrai, à moins de revirements catastrophiques, qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse, dans mon quotidien, l'arrivée de migrants? Demain matin, pas grand chose. J'ai tellement à faire, ce sont eux qui devront s'adapter. Ici, la vie coûte chère! Très chère! C'est pourquoi il faut rester concentrer sur notre quotidien. De plus, le climat est très rude. Le Québec est un pays nordique. Il fait moins huit de matin. Mais il fera dix degrés vendredi! Ici, il y a une chose de vraie, si tu veux être heureux, tu t'organises pour l'être, sinon quelqu'un t'organisera et tu en vivras les conséquences. Quel bel adage ce matin. N'empêche que c'est vrai. La vie est un cadeau; un cadeau trop court pour le vivre avec du ressentiment. Trop beau pour être de mauvaise humeur. Une fois la vie commencée, rien ne peut l'arrêter. Alors il faut en profiter! Au diable les décisions «clownesques» du gouvernement, les programmes sociaux. Il faut vivre et être soi-même!

Encore une belle semaine!

Comme toujours, je suis très matinal. Mais cette nuit, j'ai été malade. Je ne sais pas ce que j'ai mangé qui m'a affecté à ce point. Mais ce matin, je vais mieux. Pas les gros chars, mais ça ira. Dommage, j'étais sur une vague hallucinante d'énergie! Nous verrons bien. Et puis je me dis que les choses vont s'arranger dans mon ventre et que la douleur va passer. Bref, ce sera une autre semaine pas comme les autres. Ma douce qui revient demain soir. Mon père qui vient coucher ce soir. Je vais aller le reconduire à l'aéroport demain matin. Coupe de cheveux mercredi et, cette année, il semble que j'apposerai les autocollants des essences d'hiver sans avoir trop froid. Car nous sommes chanceux d'avoir ce temps si doux. Moins quatre degrés ce matin, en baisse. Mais en remontée pour le reste de la semaine! Alors je verrai si je jase politique plus tard. La semaine est déjà remplie et c'est merveilleux.

Et voilà!

Les gens commencent à s'exprimer pas mal sur les réseaux sociaux. J'ai commencé à flusher certains. Mais ce matin, l'article dans la presse qui parle des CPE, c'est encore un maximum de conneries! Et des gens publient ça sur Facebook! Sachez que les CPE sont des inventions gouvernementales, entièrement payés par nos impôts. Ce sont des catastrophes financières dans lesquelles nous sommes enlisés. Je n'arrive pas à comprendre leur existence. Avant qu'apparaissent les premiers CPE, le gouvernement savaient que ce ne serait pas rentable, mais ils sont quand même apparu! Aujourd'hui, c'est encore un autre moyen par lequel les syndicats nous prennent en otage. Il ont fait de nos enfants un billet de lotterie et ils se sont organisés pour gagner. Lorsque c'est le temps de faire des coupures, ce sont automatiquement les enfants et\ou les parents qui sont pénalisés. Comme dans les écoles, où spécifiquement cette semaine, les parents peuvent aller rencontrer les enseignants, mais ne peuvent recevoir les bulletins! Un moyen de pression! Pouvez-vous m'expliquer le lien entre leurs conditions de travail qu'ils veulent négocier et la remise des bulletins? En tant que parents, nous, pouvons-nous faire la grève? Aujourd'hui, plus rien ne compte, tout est jetable! Avant, le réfrigérateur durait 25 ans. La télévision, au moins 15 ans. Les couples restaient ensemble, travaillaient ensemble pour avoir une plus belle vie. Maintenant, les gens n'ont plus de tolérance. AU moindre malaise, vite, médecin, pillules, burn out, divorce, etc. Pour m'être séparé à 22 ans, un enfant, encore aux études, je sais ce que de tels événements font dans une vie. Quelle merdier cela fait. Imaginez quand 30% des familles «cassent». Le carnage que ça fait dans une société. Ajoutez à ça les syndicats, un gouvernement gauchiste trop présent et trop gourmant. Laissez macérer, ensuite ajoutez de nouveaux arrivants... Ça va bien aller! Bon vendredi!

Assez pour ce matin

Hier je discutais avec ma belle-soeur à propos des migrants. Elle me disait que ces gens faisaient pitié, qu'il fallait être sans coeur pour ne pas vouloir les accueillir. Pourtant, à ma question piège, elle m'a dit qu'elle ne prendrait pas de risque pour rien. Elle me répétait que je devrais écouter les nouvelles. Quand j'ose porter attention «aux nouvelles», ce que je vois et\ou ce que j'entends est une façon détournée de diriger notre pensée. Mais je n'arrive pas à comprendre ce que ces gauchistes veulent. Ils veulent «préserver leur langue» à tout prix, mais veulent aussi accueillir 25 000 migrants! Une telle concentration de gens qui ne parlent pas français, c'est sûr que ça va diluer «leur langue». Au delà de la langue, s'il existait un risque pour votre famille, vos proches, est-ce que vous agiriez de la sorte? Prenons ça plus simple, si, pour une raison ou une autre, vous deviez vous rendre à 400 kilomètres de votre résidence, mais qu'un des pneus de votre voiture semble problématique. On voit l'usure très prononcée, il y a risque d'éclatement. Partiriez-vous , avec vos enfants derrière, sans vous occupez de ce problème potentiel? Imaginez : le gouvernement actuel n'est pas capable de démèler les personnes aptent à travailler de celles qui ne le sont pas. Il n'est pas capable non plus de s'occuper des vieilles personnes en perte d'autonomie. Il n'est pas capable non plus de mettre ses culottes devant les syndicats. Les urgences sont toujours problématiques. Pis il ceut accueillir 25 000 étrangers? Pensez-vous que ce sera facilitant pour nos problèmes actuels? Qui décide? Le gouvernement ou les citoyens?

Il y a deux ans...

Il y a deux ans aujourd'hui, j'apprenais que ma mère allait mourir. Les images que j'ai vues sur l'écran du médecin, ses yeux bouffis par la tristesse, sont des images que je n'ai pas réussi à oublier. Alors que l'année 2013 achevait, une année qui avait été jusqu'ici tellement dure, cette nouvelle me jetait au sol. Et de voir mon père s'effondrer, être complètement sonné me tiraillait les entrailles. Ma mère accèdait aux soins palliatifs, et allait avoir de la radiothérapie. Cinq traitements ayant pour but de diminuer les masses qui comprimaient sa colonne. Le temps d'une réunion dans le bureau du médecin, la vie venait de prendre un virage étrange. Ma relation avec ma mère était, avec le temps, devenue une sorte de marasme. J'avais pris mes distances, n'étant plus capable de supporter son discours «hypocondriaque». Mais cette nouvelle m'a vraiment pris de court. J'avais du temps à reprendre, des discussions urgentes à avoir avec ma mère.

Aujourd'hui, je me sens un peu seul parfois, lorsque j'ai besoin de me rappeler certaines choses ou encore lorsque je m'interroge sur certains détails de nottre quotidien. Ma mère était une véritable encyclopédie. Mais depuis bientôt deux ans, il manque des dates sur les photos, il en manque aussi dans mes souvenirs. Maman était là pour me les rappeler... Je continue ma route. Je surveille Papa. Je surveille aussi ma soeur et mon frère. Je sais que tu es là, quelque part, à veiller sur nous. Merci!

Vivre pour aujourd'hui.

Quelle journée hier! Un début de semaine en force! Je suis content. Et puis, malgré cette journée très consistante, j'ai réussi à prendre du mieux. La fin de semaine fut très physique avec la peinture du salon. Intéressanr de peintre un plafond de type «grange» avec une élévation de 8 pieds à 11 pieds. Mais il y a aussi les poutres de bois, travaillées; lesquelles nous obligent à faire le tour. Et les meubles à tasser! Monte l'échelle, descend l'échelle. Il y a pire, vraiment pire. Une de mes forces, qui parfois se retourne contre moi, je ne me soucie pas du lendemain. Malgré l'effort, je n'anticipe pas le lendemain. Je ne me soucie pas de mon état. Bref, j'essaie de vivre le moment présent. Construire à partir de ce que j'ai appris hier, pour être mieux demain. Et s"il n'y a pas de demain, tant pis! Finalement, mon client est arrivé juste avant le dîner. J'ai commencé l'enveloppement du véhicule vers 13:00. Hier, à 17:20, j'étais satisfait de ce que j'avais accompli. Ce matin, je poursuis. Objectif, finir d'envelopper. Car j'ai bien d'autres choses en attente. Bonne journée!

Aimez-vous!

Encore un coup pour l'humanité. Depuis 2 jours, ça tire à boulets rouges sur Facebook et les médias sociaux. Les gens sont-ils aveugles? Tous ces gens que je vois qui vivent leur vie à toute vitesse. Qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez! Ils sont émotifs. Mais ils ne comprennent rien. Aimez-vous, aimez ceux qui vous sont proches. Priez pour ceux qui vous font du mal. Mais arrêtez vos grandes voltiges sur les réseaux sociaux! Ne laissez pas les médias vous embarquer dans leur jeu. Il ne sert à rien de partir en peur avec ces tristes événements qui se sont produits en France. Redoublez votre Amour pour la vie. Prenez le temps de vivre chaque journée comme si c'était la dernière. Pour moi, la religion est une adaptation, une interprétation de l'homme. Une chose est sûre, enlever la vie des gens n'est pas un geste d'Amour. Je ne parle pas du débat sur le droit de mourir avec dignité. Je parle des gens qui organisent des fusillades. Je parle des gens qui, pour une raison ou une autre, décident d'enlever la vie à leurs semblables. Qui sont-ils pour juger du droit à la vie? Personne n'a demandé à venir au monde, mais personne ne demande à mourir. Je sais, il y  a des exceptions. Le jugement dernier n'est pas un acte humain, mais divin. Que celui qui n'a jamais fait de mal se lève et revendique la paix! L'Amour! La vie, ce cadeau, ce privilège, n'a pas son égal. Aucun territoire, aucune religion, aucune opinion ne vaut une vie! La sélection naturelle s'occupe déjà de ça. Le potentiel d'autodestruction de l'homme est difficile à jauger. Mais parlez d'Amour. Ne parlez pas de vengeance. Restez positifs.

Encore une autre réflexion...

Wow! Que de travail d'accompli! Encore une semaine qui aura été productive et payante. Mais j'y pense, puis-je dire «payante» ou bien je vais passer pour un crosseur? Parce que seuls les députés méritent une si grosse augmentation. À force de nous faire chier, ils sont fatigués et en veulent toujours plus! Est-ce que les gens sont si aveugles? Je sais que la plupart n'en ont rien à foutre, mais compter donc un peu. Même avec avec un tarif privilège (Bi-énergie), comme ils disent, j'ai quand même eu deux comptes d'Hydro cet été de plus de 200$. Donc en tarif régulier, ce serait le double! Donc près de 1000$ pour cinq mois? Cinq mois de température «chaude». Mais c'est une horreur! Je me demande ce que les autres disent quand ils paient pour le tarif régulier. Et qu'est-ce que ce sera cet hiver? Et puis, le prix de l'essence, qui nous donne une pause; ce prix est tout de même exorbitant. Même avec un taux de change défavorable et une douane calculée de façon fictive, nous sommes tellement perdants! Et, depuis déjà quatre ans, nous payons un montant supplémentaire à chaque année, en même temps que les impôts. Ce montant va à la santé. Est-ce que les hôpitaux sont plus propres? Est-ce que les équipements sont plus modernes? Est-ce que l'attente dans le urgences est moins longue? Est-ce cela «l'hôpital gratis»? Sans compter le coût des stationnements et de toutes ces petites choses qu'il faut payer à part... J'entends parler et je lis sur l'austérité. Qui se plaint d'austérité? Ceux qui ont les meilleures conditions! Tout le monde veut du changement, une meilleure économie, moins de taxes, moins d'impôts. Mais personne n'est prêt à couper quelque part. Donc personne ne veut vraiment! Il faut privatiser Hydro-Québec, les hôpitaux et le RTC à Québec. Déjà, ce serait mieux. Mais un phénomène m'inquiète : Depuis que le litre d'essence a atteint 1,49$, mes livraisons me coûtent un supplément à chaque livraison. Mais maintenant que le litre a redescendu, ce supplément, je continue de le payer! Est-ce que c'est ça qui va se produire si nous tentons des changements? Le manque de transparence devient vraiment un problème. Mais bon, assez, nous sommes vendredi, nous avons droit d'être heureux et nous le serons par nous-mêmes!!

Choisir ses combats!

C'est l'fun quand tu reste avec de l'énergie d'un événement. Comme les vacances de cet été. On dirait que ce souvenir, sorte de boule d'énergie, reste accroché dans mon coeur. Ça m'aide à être heureux! Hier, j'ai écouté et chanté les chansons du spectacle de mardi soir. J'adore ça! Avoir un passé qui te rend heureux. QUi me fait sourire! Pas grand temps ce matin, l'horaire est très chargé. Mais je n'ai pas à me soucier que les enfants n'ont pas d'école en pleine semaine! Congé forcé par les syndicats. J'aime mieux ne pas commencer là-dessus ce matin et continuer d'être heureux. Il faut choisir ses combats!

Un bon show!

Hier soir, je suis allé voir le spectacle de Three Days Grace au Capitole. Ça fait bizarre d'assister à un show assis, pas de boucane de cigarette, les cheveux courts. Service de vestiaire, pas de fouille à l'entrée! Un show heavy metal! La première partie était l'oeuvre d'un band peu connu (HaleStorm). Difficile de dire s'ils sont agréable à écouter dans leur version studio. Mais en «live», sacrement! la chanteuse, Lizzy, une présence incroyable, du talent avec les instruments et une voix, disons très forte! Le batteur est très amusant à regarder. Moi qui croyait être hyperactif... C'est sûr que je vais aller sur You Tube pour visionner, mais surtout entendre ce band. Vraiment surprenant! Mais il faut être prêt à se faire brasser!! Ensuite, ce fut le spectacle dont les billets étaient achetés depuis le mois de mars. Que dire à propos d'un band que j'ai adoré écouter il y a 15 ans. En premier lieu, le chanteur n'était pas là. Depuis quelques années, c'est un nouveau. Il a beaucoup d'énergie, beaucoup de présence. Il anime facilement la foule. Vocalement, il en manque. Le visuel de la scène très lumineux, yeux sensibles s'abstenir! Ils nous ont offert deux heures de bonne musique. Que de souvenirs, mais aussi de bonnes nouveautés. Je pense à la toune d'ouverture, «I am machine». Vraiment bon. Ils ont donné un rappel. La dernière pièce fut «Riot». La foule en délire du début jusqu'à la fin. Comme c'était admission générale, nous étions assis, très à l'aise, avec vue sur les gens qui sautaient dans le parterre! J'aurais aimé être plus réveillé, mais j'ai bien aimé. Les articles promotionnels étaient toujours aussi chers, mais pas autant que la bière! Et puis, bien moins cher au total qu'un seul billet au Centre Vide! Et nous étions deux! Ma fille et moi! Ça donne le goût d'aller en voir un autre!

Ouf!

Là c'est bien vrai. Ma douce est partie pour deux semaines! Pis la semaine commence sur les chapeaux de roues. Des projets de peinture, de nombreuses idées et bien des sous. Encore une fois, je me rends compte que nous nous faisons fourrer... Alors que les médias s'alimentent de la pseudo austérité, je me rends compte encore que ce sont ceux qui ont le ventre plein qui chiâlent encore. Les profs, qui ont oublié ce que c'était d'enseigner, de partager ses connaissances! Ce don de soi merveilleux qui transmet de génération en génération le savoir. Plus rien ne compte, à part les avantages sociaux, la retraite, les voyages dans le sud, et tout le tralala! J'ai beau me dire que quand le temps de grève sera passé, tout ira mieux, je n'en suis pas convaincu. J'ai trop entendu de choses qui m'ont scandalisé. Pour moi, devenir professeur signifiait être un modèle, une personne sur qui compter. Une personne ressource avec laquelle je passe plus de temps qu'avec mes parents. Une personne essentielle qui m'aide à faire mon entrée dans la vie. Regardez autour de vous, voyez-vous ce genre de personne? Peut-être que c'est moi qui est fou. Peut-être que je suis dépassé. Une chose est sûre, si tel est le cas, alors j'aimerais que mes enfants n'apprennent pas ce genre de choses. J'aimerais que mes enfants puissent quitter ces lieux. Car ils apprennent que tout se négocie, au dépens de leur éducation, de leur vie. Une vie n'a pas de prix et ne peut se négocier. SI vous voulez négocier, faites-le sans impliquer les enfants. Arrêtez de nous faire à croire que vous faites ça pour nos enfants. Si c'était le cas, vous ne prendriez pas deux semaines de vacances pendant une étape scolaire. Vous seriez disponibles pour vos élèves. La vie a changé. Avant on pouvait se fier sur un professeur. Maintenant, le professeur n'a plus d'autorité. La nature même de sa profession vacille. Tout comme les autres professions, agents de la paix, travailleurs de la santé, etc. Et qu'est-ce qui a détruit tout ça? Principalement les syndicats. Si vous voulez avoir le profit de votre employeur, alors partez-vous une entreprise! Mettez-vous au front, mettez votre argent en jeu! Et si votre salaire provient des fonds publiques, pensez-y avant de vous lancer dans de hautes voltiges syndicales. Ce n'est pas l'argent de votre employeur, c'est l'argent de ceux qui vous entourent, et aussi votre argent! Et laissez nos enfants en dehors de tout ça.

Être heureux pour vrai.

Y a rien comme une fin de semaine pour se remettre d'une grosse semaine. Mais il faut savoir doser! Déjà le 9 novembre, assez incroyable. Le temps passe trop vite. Il faut vraiment se tenir debout, et faire de notre vie une réussite. Sinon, il serait dangereux de vivre avec des regrets. Aussi je me dis que je dois moi-même profiter de ces jours qui me restent. Car personne ne sait combien il en faut. Donc vendredi soir, nous sommes allés, ma douce et moi, voir le nouveau James Bond. Contrairement aux critiques, j'ai particulièrement aimé. Beaucoup d'action, bien des retournements. Bref, à la sauce Daniel Craig. Les images du film sont à couper le souffle. Bien sûr, quelqu'un qui a beaucoup voyagé est peut-être un peu blasé devant toutes ces belles images. Moi j'ai beaucoup aimé. Pas aussi super que son prédécesseur «Skyfall», mais vraiment dans le ton. Il y a une sorte de décousu qui règne dans le dernière demi-heure, comme si nous passions un peu à côté. Comme si le méchant n'était pas assez «top niveau». Comme si le personnage devenait, de par son manque d'intelligence et de jugement, un désagrément au film. Pour le reste, quel bon divertissement. Il fait bon de se divertir, à nos frais. S'amuser avec notre propre argent, pas celle des autres!

Tous de trous du c...!

On dit qu'il faut cogner sur le clou pour arriver à des résultats. Moi j'aime bien cogner, mais je finis par être impatient. Répéter tout le temps la même chose, constater qu'encore une fois, nous nous faisons fourrer. Pis n'avoir aucun autre choix que d'en parler, dénoncer ces actes. D'aussi loin que je me souvienne, il n'y a rien qui a changé. AU contraire, les choses se sont empirées. Et là, avec notre nouveau premier ministre, nous allons être gâtés. L'image, le bien paraître, au diable les dépenses, il faut s'amuser. C'est ce que je dis à tout le monde. Mais je m'amuse avec mon argent. Pas celui des autres. Quand le prix du litre d'essence monte de 15 cents, sans raison évidente, il y a un problème. Mais la transparence de ces coûts demeure un secret. Mais dites-vous une chose, les taxes sur 15 cents, multipliées par le nombre de litres qui se vend chaque jour, y a quelqu'un qui s'en met plein les poches. D'ailleurs, il ne semble pas gèné du tout par ce fait. Même qu'il a annoncé cette hausse dans le journal 2 jours avant. Amusons-nous! Je croyais avoir assez investi dans les toitures cette semaine. Faudra bien que je me refasse un peu bientôt. Nous sommes vendredi, alors finissons-en! Une grosse semaine, de beaux projets en perspective, que dire de plus? Pourquoi chiâler?

Plus dur ces jours-ci!

À la météo, ils parlent d'été des indiens. À Montréal, peut-être. Ici, c'est plutôt humide et très frais. On n'a pas envie d'enlever son manteau. Ils ont même concocté un bulletin spécial pour dire que demain, un front froid viendra mettre fin au temps doux de cette semaine. Quel temps doux? 9 degrés? Hier, au beau soleil, très rare ces jours-ci, il a fait onze. Mais à Toronto, il a fait 22 degrés. Ville de Québec et son climat... J'ai fini par me calmer suite à ma crise d'hier sur les garanties. J'ai fait les téléphones que je devais faire et je me suis pris en main. J'ai fait ma journée. Le soleil me manque beaucoup, surtout depuis un mois. Ayant passé trois semaine aux États-Unis, j'ai eu droit à des vacances ensoleillées. Mais malgré un mercure assez stable, les journées sont humides et fraîches. Et depuis le changement d'heure, il fait noir tellement de bonne heure... Je me sens fatigué, en manque d'énergie. Je dois aller voir des clients aujourd'hui et ça me le tente pas. Pourtant j'adore les gens, j'adore la vie. Mais présentement, j'ai peine à faire mes journées. Il reste aujourd'hui et demain. Ensuite, continuer nos préparatifs pour l'hiver. Alors je garde le sourire.

Assez de ces conneries!

Hier soir, en revenant de Sainte-Marie (grosse journée), j'ai appelé quelqu'un pour lui chanter des bêtises. Je me suis senti insulté. Quand les gens sont venus réparer la toiture, il fallait un chèque à leur départ. Mais la veille, je leur avais dit que je ne serais pas là. Alors je me suis emporté. Il fallait que je fasse sortir mon mécontentement. Alors méfiez-vous quand vus faites faire des  travaux. Car chaque corps de métier n'est pas responsable de l'autre. Alors si votre job est garantie, ce qu'il y a en dessous, à côté, dessus, ne l'est pas! SI vous faites vos travaux vous-mêmes, vous êtes responsables à vie. Si vous les faites faire par un expert, il est responsable pendant 5 ans. Mais bien lire le contrat, car au final, il se peut que rien ne soit garanti. Je m'explique. Sous mon toit, il y avait un trou de sept pouces par dix pouces où l'isolation manquait. Cela a annulé la garantie. Dans le contrat, le contracteur se libérait des problèmes liés à l'isolation. J'ai une photo qui le prouve. Mais le dur dans tout ça, c'est que ça prenait un chéque immédiatement! Moi j'ai attendu 9 mois pour les réparations. Je me demande pourquoi personne n'a vérifié cette éventualité avant d'installer une toiture de ce prix et de la garantir. On s'en reparle.

Quand té pas dû...

T'sais quand tu décides l'horaire de ta semaine, un plan ferme, où tout fonctionnera. Bin là, je suis contrarié. Un matin pluvieux, ils viendront réparer ma toiture! Et je ne serai pas là! Mercredi et jeudi, il fera beau et chaud. Mais non, ce sera aujourd'hui. J'ai hâte de voir. D'ailleurs il faudra des photos et des explications claires concernant les entrées d'eau. Car le discours du patron de cette entreprise m'est pour le moins antipathique. Il semble que nous nous sommes perdus en conjonctures. Je ne dis pas que ces gens sont malhonnêtes, mais quand c'est garanti à vie, ce n'est pas normal que l'eau rentre après trois mois. Et ce n'est pas normal que les réparations se fassent un an après l'installation. Et puis, avant de garantir pour aussi longtemps, aussibien s'assurer que ça tiendra le coup. Alors il est farfelu que la journée qu'ils choisissent soit celle que je suis absent! On aura tout vu! Bref, je suis un peu tendu. D'ailleurs, je me vois mal de sacrifier ma journée pour assister aux travaux. Je voudrais savoir pour vrai ce qui s'est réellement passé. Je le saurai bien assez vite. Alors je vais tenter de faire ma journée quand même, comme prévue! On s'en reparle.

Go-go, c'est lundi!

Après une fin de semaine couronnée d'un party pour l'Halloween, rien de mieux que de retourner au travail. Revoir sa routine, prendre des notes, essayer de ne rien oublier. La semaine dernière fut à répertorier parmi les grosse semaine. Mais dans ma tête, plus tranquille depuis un bout de temps. Je dirais même que depuis les élections, ça se passe plutôt bien. Rien ne sert de paniquer tant qu'il n'y pas matière à l'être! Aussi, je crois que c'est peut-être le froid de la dernière semaine qui a engourdi les ardeurs de tous. Les médias emballés par tellement de bullshit, TVA qui faisait une revue du PQ dans la série «Les grands reportages». C'était du délire. Qu'est-ce que ça change? Rien. L'idéalogie du PQ. Un pays autonome, des idées de droite. Tout ça n'existe plus. Les péquistes se sont embourgeoisés, ils se sont assis sur leurs idées. Puis, appuyés et ralentis par les syndicats, ils ne sont plus qu'un pâle souvenir dans l'histoire du Québec. Québec fondée en 1608. Quatre cent annés. Lâchez-moi le PQ! Regardez d'un oeil neuf la vie! Osez évoluer aux côtés des meilleurs. Ne laissez pas votre orgueil mener le reste de votre vie. Moi je préfère être indépendant, autonome. Le moins de gouvernement possible, le moins d'interventions possible de la part de l'état. Et amusez-vous! N'attendez pas d'être autonome financièrement pour vivre. La vie, le bonheur, c'est maintenant!

Un peu déçu et fatigué

Quelle semaine active! Beaucoup de travail, l'arrivée de l'Halloween, les enfants ne se contiennent plus! Voilà ce qui se passe! Pour ma part, je suis fatigué ce matin, je serais resté couché! Halloween tente de me garder en vie, mais je ne sais pas trop. Moi je me souviens tout ce que j'ai entendu dans les médias cette semaine. Les profs et leur grève, ce que les profs ont dit à mes enfants. Pas tellement justifié et incohérent avec l'éducation. Se servir des enfants pour essayer de bourrer les gens. Se servir des enfants pour s'adresser au premier ministre. C'est fou ce que les syndicats peuvent faire à une société! Parfois ils se disent rassembleurs, mais c'est bien le contraire! Ils divisent la société et surtout, ils créent un tare qui semble impossible à combler. Bref, il faut y mettre du sien pour garder le sourire! J'essaie de rester le plus objectif possible, garder mon jugement clair. Vraiment compliqué dans un quotidien où l'on se doit de vivre en société. La vie nous offre le choix d'être heureux, alors je choisis d'être heureux! Bon vendredi à tous!

Un peu de recul

Quelle journée encore, hier. Des fois il faut savoir donner une claque pour faire avancer les choses. Je me dis que ce serait formidable d'avoir l'énergie que j'avais il y a 30 ans. Je dis 30, car ça nous mène à mes 16 ans. À pareille date, je suivais mon cours de conduite. Mes souvenirs sont si précis, je peux me rappeller certains dessins que j'ai faits à ce moment-là. Tous mes souvenirs sont liés à un dessin, une chanson, une photo. Ce sont des points de repère, comme dans un système d'exploitation. Il y a une note de prise. Quand il est temps de retrouver un document, la note est  là pour ça. Mais nous sommes bien en 2015, j'ai 46 ans, et je fais avec moi-même. Je me garde en forme, du mieux que je le peux. Je crois que je m'habituerais à faire des semaines d'installation complètes, mais il me faudrait des temps d'arrêt. Un temps me reposer, mais aussi pour y penser. En vieillissant, j'ai encore besoin d'apprendre, d'être stimulé. J'ai l'habitude de prendre les formations qui sont requises pour continuer. Mais j'ai l'esprit ouvert à toutes sortes de choses. La différence avec le temps, c'est que je suis plus sélectif. J'aime mieux en laisser de côté, me garder de la place pour l'essentiel et quelques nouveautés. Alors j'ai choisi ma vie : marié, 3 enfants, un travail que j'adore, une maison assez grande pour recevoir mes installations, assez de vouloir pour faire en sorte que le tout se synchronise. Voilà!

Foutaise!!

Hier, j'ai été dégouté par un certain monsieur Graton, qui s'est servi de son fils pour tenter de passer un message au Premier Ministre couillon. Ce fut un mauvais choix. Quand les profs sortent dans la rue, ils manifestent toutes sortes de choses, mais malheureusement, ils ne veulent qu'augmenter leur salaire et leurs avantages sociaux. Quand j'étais petit, au primaire, les profs surveillaient dans la cour, le midi. Ils restaient disponibles en tout temps pour des questions. Puis, quand mes enfants ont commencé l'école, il fallait payer pour qu'ils restent à l'école le midi. Leur disponibilité n'a fait que diminuer, leur bonne humeur aussi! Des profs qui sont passionnés, il n'y en a plus beaucoup. Ils ne parlent que de salaires, de fatigue, de tâches qui ne font pas partie de leur définition de tâches de travail. Et, ils disent ne pas prendre les élèves et\ou les parents en otages? Vous avez créés tout ça! À force de vous crinquer avec les syndicats! Dire que je devais être professeur! Aujourd'hui, je serais bien embêté! Continuez, ce sont les élèves qui sont pénalisés, ensuite les parents. Quand mes filles me disent qu'elles doivent payer pour utiliser le micro-ondes...

Savoir apprécier

Je suis vraiment tanné d'entendre tout de sorte de chose à propos de notre nouveau premier Ministre. Mais j'ai hâte de l'entendre, de le voir. Il me semble qu'il est muet comme une carpe. Mais je vais peut-être me mordre les doigts quand il va dire ses premières phrases! Je ne sais pas trop quoi penser. Mais j'ai tellement à faire, cela occupe mes pensées! J'ai tellement bien occupé mon temps que dans ma tête, il s'est peut-être passé un mois depuis le retour des vacances. Mais en réalité, ça fait deux mois. Le plus dur à croire, c'est le climat. Autant il a pu faire beau, chaud. Maintenant, c'est glacial. Vive ce Québec, avec ses hauts et ses bas. Des hauts politiques, mais aussi des bas. Mais je suis allé voter, alors je me suis réservé le droit de chiauler! Les gens sont euphoriques par rapport à plein d'événements, menés de main de maître par les médias. Ils sont comme des spectateurs devant un chanteur très charismatique. Ils en veulent encore! Ils oublient tout à mesure. Ils consomment l'information comme des cannettes de RedBull. Pour ma part, je savoure ce que j'ai. Je suis émerveillé devant un oiseau, un écureuil. J'aime partager cet émerveillement avec qui le veut bien. Alors je continue ma route, et je souris.

Début de semaine

Encore une semaine qui va passer comme un coup de vent. Beaucoup de travail, ça fera bien des sous. Et Dieu sait qu'il en faudra. L'Halloween arrive à grands pas, une fois cette dernière passée, le temps des fêtes arrivera très vite. Aussi je crois que je devrai réussir à trouver du repos quelque part. Je me couche plus tôt un peu, la fin de semaine, nous tentons de ne pas exagérer en rien. On dirait que le choc de l'automne est plus dur que d'habitude. Il faut se tenir comme il faut au fil du temps. La vie nous offre du temps, un endroit pour vivre, des gens à côtoyer. Mais tout cela peut sembler très abstrait une fois que notre équilibre quotidien est brisé. Bref, il faut être vigilant. Plus jeune, j'avais tendance à ne pas m'en faire. Je me disais que tout allait s'arranger. Mais j'ai dû me rendre à l'évidence que ce n'était pas le cas... Il a fallu que je me retrousse les manches pas à peu près! Maintenant que je me suis pris en main, que je me suis prouvé que j'étais capable, je recherche du temps pour me reposer. Je cherche des moyens pour accomplir mes journées avec plus de style, moins de défis musculaires. J'y travaille, jour après jour, pour conserver cet équilibre dans ma vie. Bonne semaine.

Visite

Bon, mon fils est à la maison. Il déblatère au sujet de la politique, la religion. Il est complètement déconnecté, ses points de repères sont plus nombreux que d'habitude, mais son discours est très teinté de sujets autres, très loin de ce qui devrait être ses priorités. Il n'arrête pas de dire qu'il manque de temps, mais, comme avant, il déblatère sans arrêt sur des sujets complètement hors études. Ses finances sont à zéro, mais il semble confiants de ses démarches, tellement longues, je crois que si c'est moi qui s'occupait de lui, je me serais pendu. Donc on essait de l'aider «autrement» en le laissant avec ses «idées», en lui demandant ce qui l'aiderait dans son quotidien. Il vient souper à la maison, prend l'auto pour aller se faire couper les cheveux. Nous payons le gaz, la coupe de cheveux. Et s'il a besoin de jus, de lait ou autres trucs alimentaires, si possible, nous lui donnons ces choses. Et il repart. Nous essayons de ne pas nous en faire trop. En vieillissant, ses fixations, son trouble du spectre de l'autisme devient plus clair, plus facile à cerner. Il peut m'expliquer le fonctionnement de sa cafetière ou remarquer toutes les fonctions du grille-pain et m'en faire part. Il a encore ses tics, ses petits mouvements particuliers, assez discrets qui le caractérise encore plus. Si l'on s'arrête pour y penser, ça peut être troublant! On s'en reparle!

On continue!

Deux degrés ce matin, pluie. Pas un bon timing de vélo! Depuis que je suis mon propre patron, je me discipline au maximum. Mais je n'oublie jamais ma famille. Ma femme, mes enfants. Il faut dire que c'est très dur de changer de chapeau! Mais c'est quand même, jusqu'à maintenant, le choix le plus heureux que j'ai fait dans ma carrière. Depuis mai 2008, je suis le chef de mon entreprise, je suis le phare qui guide mes intérêts. Je travaille directement de chez moi. Il s'en est passé des choses depuis. Plus de sept années se sont écoulées et j'en redemande! Voilà qui est merveilleux! Une fois bien rodé, ma formule fonctionne à merveilles! J'ai réussi à être heureux, trouver une façon de faire propre à moi. Diviser les tâches, arrondir les corvées. Et surtout, aimer ça! Alors il s'agit de rester concentré. Le défi le plus dur jusqu'à maintenant. J'y travaille à chaque instant de la journée.

On se remet.

Je remets tranquillement des mes émotions d'hier. Perdu dans mes pensées, j'ai fini par me dire que le temps que je perdais à «pester» contre ces nouveautés, je ne l'avais plus pour continuer ma vie. Rencontrer mes objectifs et devenir meilleur. Donc restons calme. Il ne faut pas fermer les yeux, mais il faut d'abord s'en tenir à soi-même et ceux qu'on aime. Le reste viendra plus tard. Alors je recommence ma semaine, heureux, fier de ce que j'accomplis. De toute façon, ce n'est pas demain que ça va changer. Et puis au Québec, les dégâts de la castafiore sont encore très palpables. Et ils le seront encore pendant un bon moment. À nous de refléter nos idées dans ce trou d'eau qui nous promet tant de choses! Bonne journée!

Très déçu

Ce matin, je suis déçu. Je vous ai dit qu'on s'en reparlerait, alors on en reparle. Il y a de ces journées où il faut se la fermer, eh bien c'en est une! Lorsque je regarde la carte du Canada, avec les couleurs des partis, je suis profondément déçu. Déçu de voir que la Colombie Britannique a donné libéral. Déçu de voir que le bloc de ciment a quand même élu des députés. Déçu de voir l'Alberta voter conservateur au fédéral alors qu'ils ont élu au provincial un leader NPD. Déçu de lire que certains de mes amis Facebook sont tristes pour les résultats de Duceppe. Déçu de voir que les gens préfèrent la facilité, l'endettement et le paraître. Mais surtout déçu de voir qu'au Québec, les gens ont oublié les ravages causés par les libéraux. Pourtant, ils ne font que chiauler contre le couillon, mais ils en élisent un autre au fédéral! Je crois qu'il y en a un qui fournit les joints pour endormir le troupeau! ALors que je me disais que ça faisait bien que la chaleur tombe un peu, que les soirées soient plus fraîches. Ça enlève un certains goût pour les apérôts. Mais avec de tels résultats, les apérôts seront bienvenus! Il faudra se garder bien «gorlots» pour subir ce qui s'en vient. Même mon propre fils a voté contre les conservateurs. Il ne s'en cachait même pas sur facebook! Parlant de Facebook, certains vont devoir ne plus être dans ma liste d'amis. Mon discours, cousu d'Amour, ne peut endurer les élucubrations péquistes. C'est d'un ridicule quasi insalubre. Quand on parle de gens déconnectés, c'est un bon exemple. Les médias ont gagné encore une fois les élections. Ils ont martelé contre les conservateurs toute la campagne durant! Ils veulent notre argent pour conserver leurs jobs! Et les gens les ont écoutés! Je me demande bien ce qu'il y a de drôle. Le sourire du jeune trou d'eau doit être un peu jaune. Mais bon, je suis un bon mauvais perdant, je suis habitué de me retrousser les manches! Et, près de chez moi, les gens ont voté pour les Blue Jays, alors il y a une certaine consolation. Elle est bien mince, mais il s'agit d'un cycle, alors tout reste à voir.

Anxieux

C'est aujourd'hui le jour magique. Enfin, pas vraiment magique, mais le jour des élections. Certains penseront qu'ils sont invités au ComicCon, tellement plein de gens arrivent sur place avec un déguisement. Je ne sais pas quoi en penser, les temps sont durs et les gens sont tannés de tout. Mais ils n'ont pas de mémoire, ni de souvenirs. Ils oublient tout. Et leurs souvenirs ne se transmettent pas entre les générations. Je ne comprends pas les gens de vouloir s'endetter encore plus. Je ne comprends pas les gens de vouloir que les gens puissent voter le visage voilé. Je ne comprends pas les gens de vouloir rester unilingue. Ils se contredisent sans cesse, mais ne semblent pas en prendre conscience. À coup sûr, les médias guident probablement 25% de la population. Un autre 25% ne sont pas au courant de la situation. Le reste, bien ce sont des gens qui travaillent, qui manquent de temps. Leur vote sera peut-être irréfléchi. Où pour eux, voter est inutile. D'autre encore feront ce que leur père a toujours fait, sans se soucier du résultat. Et, d'autres encore, voteront en pleine conscience des résultats. Une chose est sûre, les sondages ne sont qu'une mauvaise influence, comme les médias. Perdre les conservateurs dans un moment de crise aussi fort, c'est vouloir atteindre le fond au plus vite. Toute l'économie est intimement reliée, province entre province, pour former un pays. C'est drôle de dire que nous sommes les gaulois qui résistent à l'envahisseur, mais ce n'est pas une analogie très réaliste. La seule résistance que nous exerçons, c'est celle de demeurer en arrière! Et puis, qu'est-ce que ça nous donne au final? Pas grand chose. Les restants des autres. Si ce n'est pas des dettes. Bref, aller voter. Je n'ai pas l'impression qu'on peut faire quelque chose de plus, du moins aujourd'hui.

On garde le cap!

Juste une semaine de quatre jours et on dirait que ça fait dix jours que je travaille sans arrêt. Et ce vendredi ne fera pas exception! Pas mal d'installations ce matin, ensuite une après-midi de production qui ne devrait pas être facile. Cent petites pancartes à neige, la répétition, me demande bien de la concentration. Et pour finir, la collecte de sang à l'école de mes filles. Le Jack sera bien mérité! Et demain sera jour de fête pour ma plus vieille, elle aura seize ans! Bien de la visite de prévue. Il faudra prendre ça à la demi-heure près. Les semaines passent si vite, je me sens encore, dans mon coeur, comme si je revenais de mes vacances. Mais ça fait déjà deux mois et demi! Mais mon corps me dit autre chose. Il faut croire que les sentiments sont bons. Ils doivent le demeurer, car la vie se compose de toutes sortes d'aventures dans lesquelles nous devons rester le patron!

Ouf!

La campagne s'étire, les détracteurs de Harper et des conservateurs semblent avoir épuisés leur réserve d'insultes et trucs ennuyants. Mais le mal est fait! Je n'ai plus d'attentes. Mais on pourra dire que les médias ont vraiment beaucoup d'influence. Dommage! Il eut été si facile de se donner la main pour réussir. Tout est une question d'argent, de pouvoir. Le reste est très secondaire. Alors je continuerai à donner de mon temps, rendre les autres heureux. D'ailleurs c'était dans mes projets depuis bien longtemps. Et puis rien n'est plus valorisant que de se faire dire merci! Ou de sentir que ton prochain est heureux. Écraser l'autre, le salir, juste pour prendre sa place, quel acte vicieux! Il faut gagner ses épaulettes, les mériter! Rabaisser les autres pour qu'on vous remarque, quelle fausseté! Est-ce qu'écraser l'autre revient à tricher? Dans une jungle d'entrepreneur, y a-t-il des règles? Sûrement, mais je ne l'ai pas encore consultées. On s'en reparle le 20 octobre au matin. J'y serai, comptez sur moi.

Relaxant

Dimanche, nous sommes allés voir un film. Il pleuvait tellement. Un bon film. À mon avis, c'est l'origine de Peter pan. Un film magique, rempli de belles images! Un film incroyable où les bateaux volent! Barbe noir est en quête d'éternité, mais semble aussi être un peu désabusé. J'ai vraiment aimé. Bien sûr, il fallait «embarquer». Se laisser partir avec le petit Peter. Et puis, il est plus frileux, moins fendant que le Peter pan que nous avons connu. Et cette production n'était pas de Disney. La salle était bondée de jeunes enfants. Je ne pourrais dire s'ils y ont trouvé quelque chose pour eux. Mais moi, j'y ai trouvé une relaxation, une façon de me reposer l'esprit! Le pays des fées, l'île du peuple indigène, la mine de Barbe noire, tout était beau. Tellement étrange, sombre comme un film de Tim Burton, mais magique comme Disney! Pas obligé d'y aller avec les enfants! Mais tout est relatif. Un baume dans ma tête, en cette fin de campagne électorale, trop longue, trop anti-Harper...

Je suis heureux

Ma douce est revenue hier soir. Que de joie! Savoir que quelqu'un avec qui on partage sa vie revient après 7 jours d'absence! Fantastique! Parlant de bonheur, j'en ai profité pour aller voter samedi soir. C'était tranquille. Reste à attendre le jour fatidique, le 19 octobre. Une chose est sûre, je ne serai pas choqué que ce soit terminé. Mon devoir de citoyen étant fait, je n'ai plus d'autres alternatives avant le jour J. Bref, la vie repart en neuf, mais avec ma Bibi. Comme c'était congé hier, je devrai faire 5 jours en quatre. Je commence à aimer ça. J'ai réussi à relaxer pas mal en fin de semaine et j'ai dessiné pour la treizième édition de Face à l'automne. En nouveauté cette année, Vicky, ma plus vieille, est venue dessiner avec moi. Quel moment magique, aidé par dame nature qui nous a offert un 20 degrés. En décapotable, même pas de manteau! Absolument génial. Alors je dois reprendre les rennes ce matin et  retourner m'amuser dans mon bureau. J'en aurai sûrement plus à dire dans les jours qui viendront. Pour l'instant, je dois aller travailler. Pas de travail, pas d'argent.

Méchante chire pour un vendredi!

Je pense bien aller voter en fin de semaine, par anticipation. Mon idée était faite le jour que la campagne a débuté. Ce n'est pas une semaine qui va changer quelque chose. En ces temps plus mous dans notre économie, mieux vaut se tenir tranquille, ne pas trop faire de changements. Continuer à avancer doucement. Mieux vaut faire de petits pas sûrs que de grands pas et tomber! Je ne dis pas d'être frileux, je dis seulement que certains ont démontré leur visage un peu trop à mon goût; ils me laissent sans mots. Est-ce leurs vraies idées ou est-ce seulement pour dire le contraire des conservateurs? Peu convaincant... À croire que personne ne s'en rend compte. Mais je n'ai pas tellement discuté avec les gens. Ils semblent très silencieux, comme des gens qui doutent. Et ça, c'est inquiètant! Je le suis, inquiet, depuis le début de la campagne. J'espère que certains auront appris de la situation en Alberta. Il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. C'est pourquoi, dans un accord de libre-échange, nous pourrons diversifier notre production à exporter. Se limiter à un seul produit, cela peut facilement nous entraîner vers une catastrophe. CE n'était pas une raison pour élire des NPD à la tête de l'Alberta. Cette ligne de parti aime bien emprunter de l'argent pour continuer les projets. Les libéraux ont toujours fait ça! Vivre au dessus de leurs moyens. Il faut commencer à s'ouvrir les yeux. Ensuite rejoindre les autres, courir à leurs côtés et si possible, les dépasser! Au lieu de jouer à la vierge offensée, opprimée, il aurait fallu se retrousser les manches, apprendre l'anglais et assurer l'avenir de notre province de façon prospère. Mais non, ce qu'ils ont assuré, nous le vivons actuellement. Province de fonctionnaires, qui tire son argent à même ses revenus internes. Pas besoin de chercher de midi à quatorze heures pour comprendre qu'à un moment donné, il faudra arrêter tout ça et recommencer autrement. Je voyais, hier, en ralentissant sur de la Capitale, des gens qui plantaient des arbres, dans un fossé. Et là, j'ai fait un constat. Avant, ces arbres auraient été planté par l'employé de l'entrepreneur engagé par la ville et\ou le gouvernement. Maintenant, ce sont des spécialistes, engagés pour planter des arbres exclusivement. Et c'est comme ça à la grandeur de la fonction publique. Et comme ces gens sont tous syndiqués, impossible de les mettre à pied. Cela crée des doublons un peu partout. Ce surplus d'employés, sans cesse relocalisés finit par nous coûter très cher. Et ce n'est qu'un exemple. On pourrait s'en reparler plus tard, je dois aller travailler!!!

Votons!

Il faut l'avouer, pendant les campagnes électorales, beaucoup de gens sont créatifs! Il est amusant de lire tout ce qu'ils peuvent manipuler comme informations pour arriver à nous dépeindre une réalité plus ou moins tordue. Et ces manifestations sont moins coûteuses que toutes les pancartes qui tapissent notre quotidien. En fin de semaine, nous pourrons voter par anticipation. Ce sera vraiment extra d'accomplir son devoir de citoyen. Car c'est bien beau de rire un peu ici, crier un peu là. Mais il faut voter! Si une personne ne vote pas, alors elle n'a pas le droit de chiauler! Aussi simple que ça! À quoi bon sermonner les gens, faire ressortir des côtés plus sombres d'un parti, faire chier son entourage avec des discours vides, si au bout du compte, on ne vote pas? Comme c'est la seule façon que nous avons de faire quelque chose, alors nous votons! Jusqu'à maintenant, en 28 années de vote, je pourrai dire que les votes sont vraiment divisés au Québec. Mais surtout, que les québécois, ceux qui votent, sont émotifs et ont peu de mémoire. Alors reste à voir. N'oubliez pas d'aller voter!

Fumisterie

Le sommeil n'était fort ce matin. Un dossier qui me gruge du jus depuis hier midi. Des fois on n'évalue pas assez l'étendue d'une tâche et c'est là qu'on paye. J'ai hâte de finir ça. Depuis 2 semaines, j'ai des dossiers interminables. Il y a tout le temps un petit quelque chose qui cloche. Et cela me draine en énergie. D'autres n'ont pas ces problèmes-là : Madame Thibeault continue de nous faire dépenser de l'argent. Comme si c'était plaisant de tirer notre argent durement gagné aux poubelles...

Mais il y a pire, les élections! En pleine montée, les libéraux navigue avec un capitaine qui n'a pas l'étoffe d'un dirigeant, encore moins les convictions! Je sais qu'il a plus de carisme que le premier ministre actuel, mais l'habit ne fait pas le moine! Son discours incohérent me rend fou. Mais tout n'est pas joué d'ici le 19 octobre. Cette date se rapproche. Ça va faire du bien de parler de autre chose. HIer je suis allé dans un Walmart récemment modifié en «super centre». Agréable de voir tous ces nouveaux produits alimentaires. Mais le lait est au même prix qu'ailleurs, contrôlé par le gouvernement. Alors que les producteurs se laissent diriger par les autres, ils croient que l'entente de libre échange les fera fermer. Comme je l'ai dit la semaine dernière à un collègue, il faut s'efforcer de suivre le troupeau pour en faire partie! Et garder comme objectif d'être parmi les meilleurs! Comme beaucoup de gens au Québec, ils profitent d'un cartel légal. Mais ce «cartel» est payé par nous! Alors que l'ensemble des provinces du Canada profiteront d'une baisse des prix, nous, au Québec, paieront encore plus de taxes pour garder en vie «nos cartels», même si on n'en veut pas. Vive le Québec libre!

Se perfectionner

La semaine a commencé sur les chapeaux de roues. Mais je ne sais pas si elle va ralentir, car j'ai trouvé la journée d'hier vraiment longue et dure. Mais j'ai vécu tellement pire, c'est jusque d'en parler, ça diminue l'impact dans ma semaine. Hier fut une grande journée, un accord de libre-échange entre plus de 50 pays a été signé. J'espère que cette entente sera profitable à tous! Car des frais de douanes, des frais d'importation, ça ralentit bien des ardeurs. J'ai hâte de voir, à long terme, quels seront les avantages que je pourrai en tirer. Pour l'instant, à la fin d'une campagne électorale, je suis plus inquiet du bilan final des élections. Avec toutes les absurdités qui ont circulé pendant cette campagne, j'ai tellement hâte que ça finisse. Mais en même temps, je ne veux pas d'un gouvernement qui veut encore monter les impôts et\ou nous endetter. Bref, il est temps de passer à autre chose, comme faire de l'argent, perfectionner nos compétences et aspirer à devenir les meilleurs!

Un nouveau départ

Encore une autre semaine qui s'amorce. Mais cette fois, je suis allé conduire ma douce moitié à l'aéroport. Elle sera absente pour 7 jours. Ça fait partie des nouvelles choses de ma vie. Et puis, il y aura la grande fin de semaine (Grande pour vrai?) de l'Action de Grâce. Ça fait un grand congé sans ma tendre moitié. Et je vais tuer le temps en commençant certains travaux sur la maison. Comme la vie est belle, remplie de défis de toutes sortes. Ce matin, je vais terminer une installation chez Desjardins qui, jusqu'à maintenant, semble vouloir s'éterniser. Une job de 3 heures qui devient une série de trois visites. Il faudra facturer en conséquence! Alors je me dis que la semaine se devrait d'être un brin plus petite que celle de la semaine dernière. Mais je vais m'adapter. Et puis, la visite d'André en fin de semaine me rappelle bien tous les détours que j'ai pris pour arriver à aujourd'hui. La vie se faisait comme un trésor unique, à chaque fois. Mais les choses ont bien changé. Maintenant, j'ai mon entreprise, je suis mon patron, et je dois me démener avec moi-même! Alors bonne semaine!

Gérer son ressourcement

Avec du recul, on voit bien que vendredi est une journée à part. Que du bien. Il faut cibler ces moments où, la vie nous ouvre ses portes pour une superbe journée. Donc le mot d'ordre serait de s'amuser le plus possible. Personne ne devrait être malheureux à son travail un vendredi. Le secret, garder sa conscience légère. Souriez à tout le monde, préparez votre humeur pour l'arrivée de cinq heures!! Et puis, qu'y a-t-il de plus merveilleux que de travailler un vendredi? Demain c'est congé! Voilà! Un congé, ce n'est pas necessairement un temps d'arrêt complet. C'est plutôt une pause dans la routine, le train-train quotidien. Et ce sont des pauses obligatoires. Votre semaine pourrait durer 28 jours, mais il faudrait la pause pour clore le cycle. Nous ne sommes pas des machines. Nous sommes des humains qui se renouvellent sans cesse. Des hommes et des femmes en pleine évolution. À nous d'y voir.

Encore!

Ce matin, je constatais avec un brin d'amertume que le prix du litre d'essence avait encore monté. Un petit dix cents de plus, le jour de la paye! Du plus loin que je puisse me rappeler, les gens ont toujours chiauler sur le prix de l'essence. Maintenant, croyez-vous que nos dirigeants nous écoutent? Pensez-vous vraiment que quelqu'un, là-haut, dans la stratosphère des politiciens, se gruge les sens avec le prix de l'essence? Pensez-vous que quelqu'un pensent à nous? À nos besoins? Ha!! Quand ils pensent à nous, c'est pour trouver un autre moyen de nous sous-tirer de l'argent. Pour le reste, nous sommes un numéro de 9 chiffres. Donc, si vous n'êtes pas heureux présentement, il faudrait commencer à y penser! Car ce bonheur viendra de vous. Qui risque rien n'a rien. AU pire, vous serez heureux d'avoir essayer, mais vous serez heureux! Mettez de côté ce que vous racontent les médias et vivez votre vie.

Regarder derrière pour avancer!

Ce matin je vais donner de la formation à Victoriaville. J'adore partager mes connaissances. À la base, j'étais supposé être enseignant. Je voulais être professeur d'arts. Comme mon professeur Micheline Faucher. Elle connaissait sa matière, semblait immunisée contre toute les conneries des élèves et, du contenu, elle en avait! Bref, j'aurais bien aimé suivre ses traces. Mais aujourd'hui, en prenant du recul, je me dis que c'est mieux ainsi. Je suis mon propre patron, c'est moi qui décide. Et, si y a des problèmes, alors je sais à qui en parler. Oui il faut être déterminé, discipliné, mais aussi, prêt à foncer! La vie ne nous fait pas vraiment de cadeau, elle est un privilège à saisir. Alors j'ai appris très tôt que je ne voulais pas dépendre des autres. Mais je ne me doutais pas qu'il faudrait un jour que je continue de payer pour les autres. Même en étant travailleur autonome! Alors je me dois d'être encore plus discipliné, plus concentré. Ne pas me laisser distraire par tous ces desseins malveillants. Très jeune, j'étais déjà très allumé. Un portrait de vie utopique, c'est ce que je projetais. Puis en vieillissant, j'ai commencé à voir, à comprendre l'univers autour de moi. Ma foi m'a guidé, mais aussi la musique. Et j'ai cheminé, pas à pas, ayant un don particulier pour mettre mes pieds dans les plats. Et un jour, ayant laissé la vie me montrer des tas de choses, il a fallu que je me retrousse les manches. Alors, parfois, il faut se retrousser les manches, même si on les a retroussé la semaine dernière! N'ayez pas peur du changement, ce sera pour le mieux!

Perte de temps

Pendant que certains se disputent à propos de visages voilés, d'autres en profitent pour faire ce qu'ils ont à faire sans qu'on le sache! Quelle campagne longue, sans vraiment de saveur. Un débat très nul sur le port du voile ou non. Mais est-ce que ça va améliorer notre économie? Est-ce que le prix de l'essence va baisser? Est-ce que, lorsque j'irai magasiner, j'aurai l'impression de moins me faire fourrer? On tourne en rond, ne réglant rien, ne changeant rien. En tous cas, je n'ai pas vraiment suivi la campagne de près. J'ai perdu mon temps à lire un peu partout ce qui se passait, mais j'y ai perdu mon temps. Le plus dommage dans tout ça, c'est de voir encore ce même individu à la tête d'un parti mort, qui nous coûte tellement cher... Comme d'habitude, vaut mieux mettre nos oeillères et continuer notre route. Nos intentions seront plus profitables! Pour le reste, je continue de dire que les changements s'opèrent par le bas.

Être heureux

Encore une fin de semaine qui aura passé à une vitesse fulgurante! Pas la plus reposante, mais qui rend heureux. Prendre du temps avec sa famille pour bâtir notre prochaine saison de camping. Et la semaine qui recommence encore sur les chapeaux de roues! C'est vraiment extraordinaire! Et je remercie chaque jour pour être aussi privilégié. Je suis content de vivre ma vie, de faire plein de choses que j'aime. D'avoir une épouse exceptionnelle et des enfants qui en sont tout autant! Il faut choisir son bonheur, la vie en vaut la peine. Mais il faut y croire. La vie n'a pas de prix, et c'est en la vivant qu'on s'en rend compte!

Hier soir, sous un ciel dégagé, j'ai eu la chance d'admirer la lune se faire «cacher» par l'ombre de notre terre. Quel spectacle magnifique! Dans des moments comme ceux-là, il faut admettre que nous sommes vraiment petits. Et quoi de plus beau un dimanche soir, 17 degrés un 27 septembre à 21:15? Vraiment génial! C'est ça être heureux! Dans des choses simples! Vraiment, nous avons un beau début d'automne. Moi j'en prendrais encore un mois sans problème! L'hiver viendra quand même.

Projet

Curieusement, c'est vendredi, mais j'ai tellement de choses à faire en fin de semaine... La fin de semaine sera ce soir! Demain je veux aller au camping pour continuer le terrain. Objectif, installer le drain et amener d'autres roches. Je veux que ça reste simple. Je ne veux pas d'un endroit qui, une fois aménagé, me demandera trop de temps! Il semble que je dois m'imposer un peu dans le dossier, car je tiens à ce que cette idée, de rester tout l'été sur place soit une source de repos, de relaxation. Certaines gens sur place sont bien excités de notre arrivée. Ils sont drôles à voir. Et puis, je veux rendre mes vacances payantes. Autant sur le plan moral et physique que sur le plan financier. Reste à voir. Si je peux amener la roulotte, ensuite revenir avec le trailer pour les roches et peut-être la tondeuse. Car la tourbe prend du mieux. Mais j'ai hâte de voir, il n'a pas plu depuis une semaine. N'empêche, j'ai été obligé de tondre ici. Mais pour l'instant, il est seulement 6h45, alors le travail m'appelle. Ensuite, je verrai. À plus!

Mon opinion.

Enfin le maîîtrre a parlé dans le dossier des migrants. Je crois que ça va aider certains à se faire une idée. De grâce, épargnez-nous vos discours! Vous voulez conserver votre langue, vos racines, mais ils faut des accomodements pour les migrants? Bin non! Il n'y a pas matière à violence ou discours haineux, la logique parle par elle-même : quand on va à Rome, on vit comme les romains.

Ralentir un brin

La panique est encore prise avec la mise à jour du nouvel OS d'Apple. Les gens en veulent toujours plus! Même chose avec les subventions! De même avec leur train de vie. Peut-être suis-je mal fait, mais moi je songe à ralentir mon train de vie. Réussir à prendre encore un peu plus mon temps. Apprécier ce que j'ai tous les jours. Oui j'ai des objectifs, mais je veux vivre ces accomplissements! Prendre le temps de les savourer! À entendre les gens autour de moi, c'est de la faute des autres, c'est d'la faute du gouvernement! Retroussez-vous les manches et travaillez! Je suis toujours en train de vivre en fonction des autres. C'est devenu un automatisme! Dans mon quotidien, en conduisant, en faisant l'épicerie, en allant voir des clients! Y a plus un seul moment où je réussis à relaxer. Sauf en camping. Maintenant, reste à savoir si je vais aimer notre nouvelle formule. Nous avons pris un terrain pour l'an prochain, Est-ce que ce sera relaxant? Y a rien comme le vivre pour le découvrir. Mais pour l'instant, y a du travail qui m'attend, alors à plus!

Petit bobo.

C'est étrange comment un seul événement peut débalancer votre journée. Un seul, pas tellement gros, réussit à manipuler votre humeur. Ce fut mon cas hier, et j'ai eu bien de la misère à passer au travers. Mais je me suis promis de faire mieux aujourd'hui. C'est ce qui arrive lorsque tu travailles seul et que, en un instant, l'horaire vient d'être décalé. Mais décalé pour la semaine. Depuis le mois de mai, mon horaire est très rempli. Un seul imprévu peut changer le déroulement de la semaine en cours. Tout ça, malgré bien de l'expérience, est difficile à gérer. Mais c'est mieux quand même que si j'avais un boss au dessus de moi qui tirerait les ficelles. J'ai ce privilège d'être mon propre boss. Certains me disent qu'ils ne seraient pas capables de se discipliner. Moi je préfère être mon propre patron. COmme ça, si je me plante, c'est moi qui sait exactement ce qui s'est passé et, aussi, ce qu'il faut faire pour rectifier le tout. Quand je regarde nos politiciens, je me dis qu'ils ne peuvent pas faire bien des choses pour nous aider rapidement. Le temps d'être au courant de ce qui se passe, réagir et prendre une décision, il y a souvent trois à six mois de passés. Mais je dois dire que ces derniers sont vraiment loin de la réalité, de notre quotidien.

L'automne

Récemment, je trouvais que le temps passait trop vite. Chaque jour est une fraction plus petite de ma vie. Et je ne peux rien y faire. Mais je dois rêver à d'autres cieux! Ceux qui me rendent heureux chaque jour. Mordre à pleines dents dans cette vie qui m'est servie comme un cadeau. Et puis, je ne laisserai pas les nuages gâcher mes journées. Je corrigerai la trajectoire si la pluie se présente. Donc, c'est merveilleux. Et je suis en grande forme! Rien ne peut m'arrêter à part moi. Je ne dis pas ça pour me croire invincible, mais plutôt pour alimenter mes journées. C'est moi qui décide si j'arrête de travailler. Et non les autres! Les enfants ont congé aujourd'hui, vraiment bizarre. Nous, ça ira à l'Action de Grâces. Encore 3 semaines certain. Joanne aura débuté son nouveau travail. Tout reste à voir! Et maintenant que j'y pense, j'aurai un automne bien rempli et amusant. Eh oui, l'automne commence aujourd'hui. Quelle belle moitié d'été! Merci pour ces belles journées! MErci pour nous avoir donné la santé de vivre tout ça! Maintenant, nous travaillons sur notre nouveau projet, le terrain de camping. Nous essayons d'avoir plus de temps à nous. Je vous en reparlerai quand ce sera commencé.

Encore une belle journée!

Wow! Encore une journée de septembre qui passera le cap des 25 degrés! Joie dans ma journée qui se veut d'être un vendredi! Comme la vie est belle! Il semble que pour tous, ce beau temps est le bienvenu. Inutile de le dire, le climat que nous oblige le Québec nous force souvent à s'interroger sur la pertinence d'y demeurer. Bref, ce beau temps est merveilleux! Il va m'aider à passer une super journée où je travaillerai dehors! À moi de recharger mes batteries, de sentir l'allégresse de vivre! Alors j'ai hâte de commencer! Je  repenserai à la politique, à l'amphithéâtre  et à l'économie lundi!

Délire profond!

Quel beau jeudi matin! 7 degrés à 5:00! Tout un privilège! Je  suis content d'avoir pu aller en vélo. Ce sera une superbe journée. Danns ces moments-là, j'oublie les frustrations quotidiennes que peuvent m'apporter les médias. J'oublie que certaines gens se lèvent le matin avec comme objectif de nous faire chier. Je me sens bien, malgré un mal de dos hypocrite. Malgré certains soucis latents concernant mon fils. Et j'en profite pour travailler dehors le plus possible. Sentir la chaleur du soleil, recharger mes batteries avant le grand manteau blanc. Mais il n'est pas là encore, il me reste du temps pour y réfléchir, pour planifier les préparatifs. Cette saison demande bien du temps, bien de l'argent. Je pourrais me perdre en nomenclature à ce sujet, mais restons positifs, cette saison amène aussi bien du travail au Québec. Beaucoup de mes clients aiment aussi l'hiver pour la motoneige. Assez! Le travail m'appelle! Bonne journée!

L'été achève...

Le temps passe vite, j'ai l'impression de faire une sorte de petite crise de la quarantaine. Comme si j'allais manquer de temps. Un sentiment vraiment plate. Je pense que je vais en parler à mon père, voir ce qu'il en pense. Je dois arrêter de penser à ça et vivre ma vie. Continuer de sourire. Même si des fois je voudrais que ça avance plus vite, je me parle, j'essaie de me calmer, de me rappeler que c'est merveilleux. Que le moment présent est un privilège. En thérapie, je me souviens, on me disait de mettre mes oeillères. De regarder plus en avant. Ça m'apparaît difficile parfois. Je viens de m'acheter un nouvel ordinateur, histoire de perdre moins de temps dans une journée. Je dois réussir à me calmer, trouver les moyens d'optimiser mes journées, comme je l'ai toujours fait. Et m'améliorer constamment. J'ai comme un besoin de m'exprimer, de dessiner, de chanter! À force de toujours chercher des solutions, dans ma tête, on dirait que ça se fatigue. J'ai besoin de changements. Hier je crois avoir réussi à compléter les réglages sur le nouvel ordi. Ça devrait me donner un peu de temps libre pour trouver de nouvelles solutions. Je trouve que je suis fatigué, que je manque d'initiative. J'ai besoin de me dépasser encore un peu. Mais ce matin, mon dos me dit vraiment le contraire. Ça va me prendre un rendez-vous avec mon chiro.

N'empêche qu'il fait vraiment beau ce matin, en ce 16 septembre. 15 degrés à 5:00, encore une belle ride de vélo! Seul avec la nature, je me rends compte qu'il fait de plus en plus noir. Qui dit noirceur, dit froideur. Ça s'en vient. Cette froideur, qui l'hiver dernier m'a complètement traumatisé. Les météorologues parlent d'un hiver influencé par «El Nino». Espérons-le, il fera moins froid. J'aurai l'occasion de vous en reparler! Bonne journée.

Continuer à être heureux.

Hier j'ai reçu mon nouveau iMac pour le travail. Le mien datait de janvier 2010. Il fonctionne à merveille, mais ne suffit plus à la tâche. Pas assez de mémoire cache, pas assez de mémoire vive. Mais il est encore fringant pour quelqu'un qui s'en servirait pour faire ses courriels, classer ses photos ou encore travailler dans Office. Pour un étudiant, c'est la machine. Bref j'ai profité de la journée événement d'Apple pour saisir une occasion en or. Et il faut saisir le plus possible ces occasions. La vie est trop courte, et le sera toujours. Alors pourquoi attendre? Bien sûr, il y a moyen de doser le tout, mais dans un juste milieu. Comme dans toute chose, trop c'est trop. Et, au contraire, qui ne risque rien, n'a rien. Alors il faut trouver l'équilibre. La façon de faire qui saura agrémenter nos vies, rien de moins. Chaque jour qu'il m'est donné de vivre, je me donne le mandat d'être heureux. Et non l'inverse. Même si des fois, ça rallonge un peu ma journée. Ce cadeau d'être en vie, de pouvoir ressentir de l'Amour, des émotions. De savoir qu'on peut servir  à quelque chose, à quelqu'un. Travailler chaque jour, pour soi, pour quelqu'un, être utile dans une société, une communauté! Il n'est pas question de se vautrer dans un coin, à ne rien faire, se lamenter et se plaindre. Il faut agir, être vivant! Go!

Désolé!

Alors qu'en fin de semaine, ce fut le premier match de hockey au nouvel amphithéâtre, certains ne se pouvaient plus! Ils semblaient vraiment heureux avec leurs selfies sur Facebook et Twitter! par contre, moi, ça ne m'a pas vraiment fait quelque chose. De savoir que ce Centre vide videra mes poches jusqu'à ma mort, non. Arrêtez d'en rajouter, la coupe est pleine depuis déjà trop longtemps! Elle a même débordé au point de se vider complètement! Mais elle est toujours pleine! Seul un miracle pourrait changer les choses. Pour  ce qui est d'appeler à Sainte-Anne-de-Beaupré, je l'ai déjà fait. Ils m'ont qu'ils étaient tannés que j'appelle depuis les 10 dernières années et aussi, qu'ils ne faisaient plus de miracles depuis au moins 15 ans! Pas assez payant qu'ils m'ont dit! Alors je ne peux que m'en remettre à moi-même pour continuer à sourire! Désolé, je n'ai pas d'argent à mettre sur ça. SI l'occasion se présente, j'irai. Mais cela ne m'excitera pas plus que d'aller à l'autre colisée. Pour ce qui est des autres qui sont heureux, je suis content pour eux autres, rire est contagieux et il en manque toujours, des sourires!

Pu capable!

Quand c'est rendu que les clients te parlent qu'ils sont tannés d'entendre la démolition du parti conservateur, c'est que ça commence à être tellement trop! À croire qu'il n'y a rien à faire pour contrer ça. Comme je le disais hier, il faudra bien que ça se termine. Je ne suis plus capable!! Ce que j'aimerais, que les gens réalisent que tout ce salissage n'est que fumisterie. Qu'ils soient assez écoeurés pour abandonner ces faux jetons et qu'ils votent pour les conservateurs. Jusqu'à maintenant, c'est le seul parti qui a réussi à améliorer le sort du pays et aussi à le maintenir. Même mon propre fils se sert de Facebook pour parler contre Harper. Je n'ose pas lui en glisser mot, cela dégénèrerait trop vite. Bref, nous sommes vendredi et j'entends bien respecter mes traditions et lever un verre de Jack en bonne compagnie ce soir! Amusez-vous!

Un peu d'air s.v.p.

Ouf! Difficile d'aller à la pharmacie! J'y suis allé 3 fois en 2 jours : La télévision est ouverte ou l'on attend pour nos prescriptions. C'est toujours Radio-Canada ou RDI. Un lavage de cerveau constant. Je suis heureux de ne pas ressentir le besoin de regarder la télévision ou encore d'écouter les nouvelles. Tout ça est un tissu de conneries. Difficile de passer au travers. J'ai tellement hâte que ce soit fini, cette campagne électorale, sans queue ni tête. Une campagne axée sur l'obligation de «tasser» les conservateurs. Quelle folie! Je ne crois pas qu'au lendemain des élections, j'en sentirai les effets, mais après un an... Au Québec, la castafiore a laissé de douloureuses cicatrices! Et le budget Couillard, sorte d'ajustement, du mois de janvier dernier commence à se faire sentir. Justement, je dois payer mes immatriculations. J'ai 164 dollars de droits supplémentaires à payer pour mon camion. Étant donné que je paie déjà plus à la pompe, plus pour les assurances, je dois aussi payer encore plus pour la taxe du carbone! Ça n'en finit plus. Hier nous sommes allés faire quelques commissions; chaque endroit me rappelait à quel point je me fais fourrer. Dommage! Notre quotidien pourrait fonctionner quand même sans que nous soyons obligés de payer celui des autres! Voilà pour ce matin. Ça fait longtemps que je n'ai pas parlé de solutions, mais ça va venir! Une vie au service des autres, ça finit par se sentir!

Inquiet

Ces temps-ci sont durs pour le premier ministre en place. Deux trimestres d'affilée sous zéro, le feu de paille avec le chef de cabinet qui a remit de l'ordre et le dossier immigration. Je dois dire que les gens oublient très vite, mais le décompte vers les élections continuent. Les médias martèlent sans arrêt sur Harper, la première chaine d'infos, radio-canada, que nous payons, ne fait pas mieux. Ce que je me demande, c'est pourquoi Harper ne réagit pas. Il a peut-être une carte cachée d'ici là, mais pour l'instant, rien ne va plus. Pour ma part, il est clair que je ne changerai pas mon fusil d'épaule, mais je ne veux pas d'un gouvernement NPD! Voilà ce qui me chicotte! Je veux une ascension de l'économie, une façon plus «dynamique» d'avancer. Chaque jour je reçois des messages qui parlent contre les autres. Parlez-nous de ce que vous allez faire pour renforcer l'économie du Canada. Montrez-nous comment faire pour que notre avenir soit en santé financièrement. Pour l'instant, le nuage orange ne me satisfait pas du tout, même qu'il m'horripile depuis trop longtemps. Mais je ferais mieux de retourner travailler, des fois qu'il faudrait éponger le lendemain des élections et si je me tourne les pouces, je serai pris de cour! À plus!