jeudi 30 octobre 2014

Vivre au Québec

Hier je regardais un talon de paie avec ma femme. Et il était décourageant de voir à quel point l'impôt gruge son salaire. Mais il était tout aussi assomant de constater qu'elle faisait des heures pour pas tellement cher. Un système d'échelons dans les salaires. Quelle connerie encore! Pourquoi est-ce que ce n'est pas équitable pour tous? Un pourcentage égal! Si tu donne 10% à la fin de l'année, alors c'est égal. Pas de braquettes divisées! Pourquoi ? Qui a pensé à ça? Ceux qui sont au bas de leur braquette paie trop et ceux qui sont en haut ne paie pas assez! Un pourcentage! Que tu gagnes 5000$ par année ou 5 millions, tu donnes le même pourcentage! Pas dur à comprendre, égal pour tous le monde. Fini d'entendre les plus pauvres dire que les plus riches doivent payer plus. D'ailleurs, pourquoi devraient-ils le faire? Fini aussi d'entendre nos dirigeant dire qu'il n'y a pas assez de gens au Québec qui paient de l'impôt! À vos calculatrices, vite! Vous ne trouverez pas mieux!
  • le taux de 16 % s'applique à la tranche de revenu imposable inférieur ou égal à 41 495 $ (au lieu de 41 095 $);
  • le taux de 20 % s'applique à la tranche de revenu imposable supérieur à 41 495 $, mais inférieur ou égal à 82 985 $ (au lieu de 82 190 $);
  • le taux de 24 % s'applique à la tranche de revenu imposable supérieur à 82 985 $, mais inférieur ou égal à 100 970 $ (au lieu de 100 000 $);
  • le taux de 25,75 % s'applique au revenu imposable supérieur à100 970 $.
Extrait du site de Revenus Québec. Ensuite? Pourquoi faire simple quand ça peut être compliqué! Et regardez le taux! Incroyable!
 
Autre sujet, le prix de l'essence continue de baisser partout dans le monde. Ici, au Québec, il a descendu un peu trop vite cette semaine, ce n'est passurant. Toutes les fois où c'est arrivé, c'est le signal que ça va remonter! Je suis aux aguets. Nous sommes enfin sous les 1,25$ Ce n'est un exploit, mais ça permet de respirer un peu. Imaginez, cela fait plus de 3 ans que le prix est trop élevé au Québec. Et, ces jours-ci, le cartel n'a pas le choix de le baisser, nous sommes le seul endroit où le prix dépasse les 1,20$ Innacceptable! Alors pour ceux qui sont heureux que ça baisse, profitez-en!

mercredi 29 octobre 2014

Homme =hommerie!

Les gens parlent encore de l'attentat de la semaine dernière. J'ai tout entendu comme réflexion, comme réaction. Certains ont dit que c'était de la faute au premier ministre Harper. D'autres ont peur. Mais dans l'ensemble, la majorité semblent d'accord pour trouver ça dommage que le tireur fou soit un québécois! Sans oublier que cet homme a tué! Évidemment, je ne peux qu'avoir honte. Allez de par le monde raconter votre vie, essayer de faire du business. La minute qu'ils sauront que vous êtes québécois, ils auront une autre opinion de vous! Je suis tanné des médias. Ils dirigent nos informations et aussi celles des autres! En plus de ne pas pouvoir faire ce que je veux avec mon argent, je ne peux pas non plus avoir de ce que je suis! Le reste du Canada, le reste de l'Amérique doivent croire que nous sommes tous une bande de tarés! Que c'est nous qui retarde la croissance économique. Que c'est nous qui attisent certains conflit politiques intérieurs. Je veux dire par taré, des gens qui retardent l'évolution, qui nuisent au cheminement des autres. Et je suis content d'être moi-même, d'avoir un travail non subventionné. Je veux être moi à part entière.
Oui je pète des coches souvent, mais les écrire font du bien. Heureusement que je peux évacuer toutes ses idées, toutes ces pensées. Mes journées seraient plus longues.

mardi 28 octobre 2014

Société instantanée?

Ce qui est dur à croire, que il y a même pas deux semaines, je suis allé en vélo à 5h00 du matin, il faisait 18 degrés! C'était insensé, mais agréable à vivre! CE matin, pas trop pire, 3 degrés, pas de vent, pas de pluie et pour le soleil, ça fait déjà 2 mois que je ne le vois plus. Il se lève bien trop tard! Mais les journées sont grises. Tellement grises! À croire que le soleil boude dans un coin. Comme on ne peut rien contre la température, à nous de trouver d'autres moyens de s'amuser, de rester de bonne humeur. Et, le fait d'écouter les médias ou encore les commentaires des gens n'est peut-être pas la solution ultime. Je n'ai pas écouté grand chose depuis un bon moment. Quelques films, sans plus. La télévision est un média qui nous hypnotise. Elle vit à notre place! Et comme je l'ai quitté depuis un bon moment, je ne souffre pas de ça. La télévision ne m'oblige en rien. J'aime mieux écouter de la musique. J'ai moins l'impression que quelqu'un décide à ma place. Encore faut-il que ce soit moi qui décide ce qui va jouer. Car écouter la radio au Québec, s'avère de plus en plus laborieux. Après 19h00, difficile d'écouter quelque chose qui sonne bien. Dans le jour, il faut choisir ses heures. Pour ma part, je me contente de la radio internet, anglophone. Pourtant, il y aurait moyen de faire mieux du côté des radios traditionnelles. Mais l'avènement des podcasts a tout changé. Il y a 25 ans, revoir un film qui nous avait marqué était un miracle. Pour écouter de la musique, il fallait se faire des cassettes et prier pour que rien ne brise. Aujourd'hui, tout est disponible, en tout temps. Est-ce mieux? Est-ce que les jeunes apprécient ce qu'ils ont? Ils ont de l'instantané! Il prennent une photo et la voit 5 secondes après. Il veulent écouter une chanson, You Tube et hop! Elle joue! Peuvent-ils apprécier ce qu'ils ont? Tout est accessible, en peu de temps. Je me souviens qu'il fallait travailler fort pour se payer une cassette. Parfois on l'achetait à deux, puis on se faisait des copies. On enregistrait la toune à la radio pour pouvoir l'écouter de nouveau. Les cassettes vieillissaient vite. J'adorais me faire des cassettes! C'était un moyen merveilleux de m'exprimer, de créer une ambiance. Tout était une occasion pour s'exprimer! Les jeunes sont beaucoup informés, mais pas tellement expérimentés. Et puis, ils choississent beaucoup leur quotidien. À suivre.

lundi 27 octobre 2014

Il approche!

Quelle belle fin de semaine! Ça fait drôle de dire ça quand une des deux journées fut très mouillée. Pourtant, les choses que nous avons accomplies ont de quoi rendre heureux! Chaque année, l'automne revient avec les incertitudes de l'hiver. On ne sait jamais ce que ça nous réserve! Et puis, selon les événements, les préparatifs pour accueillir le grand manteau blanc se font. Des fois en retard, des fois en avance, ou simplement en temps. Comme l'halloween approche, normalement la neige viendra nous avertir. Mais ce ne sont que des statistiques. La température est imprévisible. Dire que nous aurons un hiver très froid ou encore avec beaucoup de neige, totalement impossible à prévoir. Depuis l'hiver de 500 cm, je m'attends à tout. Et je suis tellement plus technique par rapport à l'hiver. Plus prudent aussi au niveau du pelletage! Ce phénomène qu'est l'hiver n'a pas que des beautés à nous offrir, il nous enseigne la prudence. Ça reste à voir. Pour l'instant, je continue mon vélo dehors chaque matin. À bientôt!

vendredi 24 octobre 2014

Aimer

Quelle semaine incroyable! J'ai tellement appris! Enseigner, quelle chose magnifique! Cette bouffée de joie que m'a donné cette semaine est un cadeau. J'adore voir des gens comme les frères Blancher. Et puis, j'aime aussi partager nos connaissances en installation. Et puis, installer du vinyle, quel plaisir! Il faut aimer ce que l'on fait. C'est le seul moyen de garder confiance en nous même. C'est une façon d'aimer la vie. Si les journées sont amusantes, si elles sont plaisantes, le temps passe vite, l'argent rentre et la confiance règne! Ce n'est pas cette semaine que j'ai amassé le plus de sous, mais j'ai appris à pas cher. Ça c'est génial! Bien sûr, il serait facile de laisser tomber, de se concentrer sur ma routine, mais si je veux être connu, reconnu, il me faut être là. Et il faut être là, au bon moment. Alors quand l'occasion se présente, être présent le plus souvent possible. Je ne dis pas d'oublier sa famille, ses amis pour faire avancer sa carrière. Je dis de faire valoir ses connaissances, s'organiser pour que les autres soient au courant. Et ça ne se fait pas en 2 ans, il faut prendre le temps de se bâtir une réputation, avoir de la notoriété. Je veux vieillir en beauté, en continuant d'aimer mon travail. Vive la vie, vive l'Amour!

jeudi 23 octobre 2014

Horreur

Quel horreur hier au parlement d'Ottawa. Alors que personne ne savait vraiment ce qui s'était passé, la journée s'est terminée. Ce matin, tentant d'avoir des nouvelles, je n'ai rien trouvé de nouveau. Bref, en saurons-nous plus aujourd'hui. Était-ce un tireur fou sans revendication? Avait-il un but précis? Je me le demande. Cela porte à réfléchir. Comment a-t-il pu pénétrer dans l'enceinte du parlement? Est-ce que les gens qui y travaillent voudront retourner travailler? Ce n'est pas tellement clair. Mais le périmètre de sécurité autour du parlement est levé. À chacun son interprétation. Mais la mort fut présente et s'est manifestée. Très dommage. J'offre mes sympathies aux victimes.
Qu'est-ce qu'il faut retenir d'un événement semblable? La vie. La valeur de notre vie. Chaque jour est important. Il faut prendre le temps de vivre, de se parler. Parce qu'on ne sait jamais quand sera notre tour. C'est terrifiant de savoir que notre vie, avec tous les efforts que nous y avons mis, peut disparaître comme ça, sans prévenir! C'est même dur à imaginer! Bref je ne peux que continuer à vivre chaque journée comme si c'était la dernière! Et vous?

mercredi 22 octobre 2014

Être heureux

Mes deux récentes journées me font du bien. Exclus de l'actualité complètement, occupé à enseigner à de nouveaux installateurs, je n'ai pas le temps d'entendre les gens discuter, je n'écoute pas les médias ni le lis quelques nouvelles que ce soit. MAis ce sont de vraiment grosses journées! Remplies de défis, elles me poussent à partager mon savoir. Et j'adore ça. Les gens qui sont là pour apprendre, se demandent pourquoi à Québec, il n'y a pas d'installateurs certifiés 3M. Ne sachant pas quoi leur répondre, je constate que c'est bien trop vrai. Je leur témoigne aussi que notre société chacun pour soi en est une cause. Ici, au Québec, les gens se croient les meilleurs et veulent garder ce qu'ils ont déjà. Comme si c'était acquis! Comme si, après plusieurs années, plusieurs mois, un client leur appartenait! Comme si après plusieurs années, leur emploi était à eux! Rien n'est gagné d'avance, rien ne nous appartient. Du jour au lendemain, tout peut changer. À nous de faire en sorte de conserver la vie qu'on veut vivre. Se chicaner pour de l'argent? Bof! Gagner sa vie par soi-même, offrir un bon service et être heureux, voilà ce qui prime! Je suis toujours en questionnement par rapport à mon orientation future. Continuer de m'occuper des clients un à un ou bien installer pour d'autres quivont s'occuper des clients un à un. Difficile de trancher. Et le fait de travailler en général, directement de la maison, penche pas mal dans la balance. Ça reste à voir. Pour l'instant je suis heureux.

mardi 21 octobre 2014

Apprendre

Quelle journée hier! Une avant-midi enlevante, que je n'ai pas vu passer! Et l'après-midi de même, avec les gens de 3M. Un petit cours sur le «wrapping». Cours que j'ai pris 4 fois. Pourtant, ce cours évolue, il a toujours des nouveautés. Chaque fois j'apprends quelque chose de nouveau. Et que dire des explications que je donne à ceux qui y assistent. Ma soif d'apprendre, mon goût pour enseigner. Cela me rend heureux. Bien sûr ce fut agréable de pouvoir souper avec des gens que je n'avais pas vu depuis un certain temps. Mais j'étais content d'arriver à la maison. De plus, mon travail aussi, est à la maison. Non seulement c'est merveilleux de pouvoir être son patron, mais aussi, ce sont bien des frais de moins, bien des soucis! Je compte bien y retourner aujourd'hui. Qui n'a plus besoin d'apprendre?
Même une fois au pouvoir, les politiciens ont des tas de choses à apprendre. Mais aussi à comprendre. Mais il semble y avoir bien des choses qui nous sont cachées. Comme si, en arrivant au pouvoir, un monde s'ouvrait, parallèle au nôtre. Rempli de pots de vin, d'enveloppes brunes. Comme si, d'un seul claquement de doigt, les gens autour devenaient des mécréants, des mendiants, des acheteurs de promesses. Difficile à exprimer. Une chose est sûre, plus n'est pareil et ne le sera plus jamais. 

lundi 20 octobre 2014

Attendre encore

Encore une semaine qui s'amorce, avec des objectifs précis. Le froid s'installe doucement. Les discours politiques nous envahissent. Mais l'automne est différent de l'an dernier. Moins gris. L'an passé, je vivais un crash informatique qui m'a pris de court. Je vivais une période sombre, remplie d'amertume. Et je ne me doutais pas de ce qui allait se passer, en me rendant jusqu'au fêtes. MAis j'ai passé au travers. Je me suis rendu! Même que je me suis surpris à être excellent. Excellent dans mon travail, excellent comme père de famille. Et je me suis rattrapé financièrement. Oh oui! Et j'en suis fier!
Maintenant, est-ce nos politiciens vont faire de même? Seront-ils à la hauteur? Depuis leur accès au pouvoir, il me semble que rien n'a changé. Comme prévu, le statu quo s'est emparé de la province. Les opposants s'opposent, mais à quoi? Rien ne bouge, rien n'avance! Des idées sont lancées, mais pas de vrais débats, pas d'énergie convergentes. Seulement des suppositions. Seulement une commission. Rien de concret, aucun changement. Et puis, avec le début de la saison de la LNH, les «fans» des nordiques revivent une saison de plus. Toujours le même discours, toujours les mêmes rengaines. Bref, il faut savoir s'amuser soi-même si le hockey ne nous intéresse pas. Je n'ai rien contre la venue d'une équipe, c'est plus pour les retombées que je m'interroge. Vous allez me dire qu'il n'y a rien comme d'être dans l'action pour trouver des solutions, mais les dernières dix années ne m'ont pas tellement convaincu. Bien sûr, le choix appartient à la majorité. Mais moi, je n'y suis pas. Je n'ai pas ce genre de rêve. Faire payer mes choses par les autres. Je crois que chacun doit payer ses choses. Que le gouvernement doit veiller, mais pas payer! Que les solutions utilisateur-payeur sont les meilleures. 

vendredi 17 octobre 2014

Vraiment?

Une histoire d'amour peut-être? Qu'est-ce qui fait que nous restons au Québec? Ok, nous n'avons pas d'ouragan, pas de tremblements de terre. Pas vraiment de virus dangereux. Pas vraiment de guerre. Mais il est plus facile de trouver ce que nous n'avons pas comme points positifs, que comme point négatif. Je suis peut-être trop réaliste, mais plus je vieillis, plus je comprends que la vie coûte cher et qu'il faut en faire toujours plus pour pouvoir arriver, se permettre de vivre un peu. Pourquoi n'y-t-il pas dans nos écoles, de la formation à ce sujet, notre avenir? J'ai séjourné pendant plus de 20 ans dans les écoles du Québec, mais je n'ai jamais été sensibilisé à mon avenir. Les échantillons de cours vers une possible carrière qui se donnaient au secondaire ne parlaient pas d'économie, ni de politique. Ce cours était une façon facile pour nos gouvernement de dire qu'ils s'occupaient de l'avenir de nos jeunes. Et au CEGEP, pas de danger d'avoir quelques éclaicissements! Plutôt des prêts étudiants, avec beaucoup d'intérêts! Question de bien commencer dans la vie. Ces prêts auraient dû être sans intérêt, car nous étions l'avenir du Québec! J'ai terminé l'université en 1993. J'ai terminé de payer mes prêts étudiants en 2011! Je dois les avoir payés au moins trois fois à cause des intérêts! Quelle façon formidable d'apprendre l'économie! Ensuite ils nous parlent de retraite, de REER. Avec quel argent? Je viens seulement de me clairer de mes dettes d'études! Alors que j'aurais eu la forme, la force et pas trop d'engagements, je ne pouvais m'en aller. Criblé de dettes, je peinais chaque jour qu'il m'était donné de vivre! Sans un sou, impossible de sortir du pays! Et puis, l'épuisement qui se faisait sentir jour après jour... Bref, aujourd'hui, plus à l'aise, je ne peux pas quitté ma situation. Ce n'est pas une histoire d'amour avec le Québec, c'est une histoire d'amour avec ma femme, mes enfants et mon travail! Car cet Amour n'a pas de lien avec ma localisation...

jeudi 16 octobre 2014

Déséquilibre

Ma foi les gens commencent à réaliser qu'ils ne sont pas maîtres de leur argent! Si demain je devais acheter ma propre maison, je ne pourrais pas. Si je voulais racheter une auto neuve, je ne pourrais pas. Pourtant, encore trop de monde achètent leur maison au complet en finançant! Ils donnent le minimum comme sur une première maison, et se retrouvent avec une hypothèque de 300 000$! Sans compter les cartes de crédit, les compte chez Tanguay, Brick, Léon, etc. Et, récemment, les taux directeurs semblent vouloir monter, pour contrer l'inflation. L'inflation, ce mystère fascinant! L'inflation, c'est comme une spéculation niaiseuse. Comme si la valeur de certaines choses augmentait par influence de d'autres. Ou par rapport à l'offre et la demande. Ou parce que ceux qui fabriquent, ont augmenté leurs coûts de production. Je trouve que l'inflation n'est pas mathématique. C'est plus une intuition, non, une malédiction! Bref, c'est difficile à expliquer. Et puis, quand même que je gagnerais plus d'un million de dollars l'heure, si j'ai besoin de un milliard par trimestre pour arriver, quelle différence avec aujourd'hui? Le salaire minimum est trop haut par rapport au marché. Les personnes sur l'aide sociale ont trop d'inclus, comme les soins dentaires, les lunettes, etc. Celui qui a le coeur d'aller travailler est désavantagé par rapport à celui qui, apte à travailler, reçoit un chèque chaque fin de mois. Au dire de certains grands, c'est une question de dignité! J'en parlerais bien de dignité, mais ce serait trop long. Je tiens par contre à dire que ces derniers qui invoquent la dignité galvaude ce terme. Ils ne savent pas vraiment ce que ça veut dire. Équité, dignité, droits acquis! Des mots très à la mode, très utilisés par les centrales syndicales. Continuez de nous prendre pour des nouilles unilingues! Le changement viendra tout de même.

mercredi 15 octobre 2014

Est-ce vraiment la vérité?

Quelle joie de pouvoir aller en vélo à cinq heures du matin, 18 degrés, un 15 octobre. Rare sont les matins d'été où il fait aussi chaud! Et là, en plein automne, ça commence bien une journée. Je me dis que je suis privilégié, et je saisis l'occasion! Plein de belles choses m'arrivent et je veux absolument être là pour les vivre. Donc bonne humeur et repos doivent être au rendez-vous! Il faut prendre soin de soi. Des fois je me gâterais un peu plus, mais faute d'argent, je me retiens.
C'est ça le problème, quand tu sais qu'ailleurs le litre d'essence est sous la barre du un dollar, tu te dis que la livraison coûte trop cher au Québec, tout ce qui est livré aussi et surtout le litre d'essence. Donc moins de sous dans nos poches à la fin de chaque mois. Qui en profite de cet argent? Je ne pourrais le dire exactement. Mais une chose est sûre, c'est bien nous qui le fournissons! Bien au delà de ce que je suis capable d'imaginer,  il se passe des choses bizarres dans les palliers administratifs de notre belle province. J'aimerais qu'un jour, nous ayons un peu de répit dans les paiements. À chacun sa vie, ses batailles, ses victoires. Je veux bien, mais il doit y avoir moyen d'en avoir un peu plus. Je ne demande rien, je veux juste garder mon argent. Mes calculs me prouvent que je suis un donateur incroyable! Cela a assez duré, les médias gardent le population endormie, ignorante, inconsciente. Moi je ne demande pas mieux que de savoir la vérité, même si ça ferait mal. Car autant d'argent donné pour les autres, il me semble que ça devrait paraître quelque part! Mais comme je suis un honnête payeur de taxes, je n'ai pas le droit de savoir. Curieux quand même. Dans mon entreprise, tout mes revenus sont publics. Ce que je fais avec mon argent est public. Par contre, au gouvernement, impossible de savoir. Comme s'il y avait des choses à cacher. Rire ou pleurer?

mardi 14 octobre 2014

À vivre

Quel retour merveilleux parmi les hommes. Comme prévu, je peux vous faire la nomenclature des prix, très près d'ici, à 500 km. Premièrement, l'essence, qui se détaille à 88 cents le litre. La caisse de 30 canettes de bière, peu importe la sorte est à 20 dollars. Curieusement au même prix que l'an passé. Ici, non seulement c'est du vol, mais le prix a vraiment augmenté depuis un an. Tous les vins sont moitié prix ou mieux. Le lait aussi, le 2 litres en plastique est à 2$. Le pain est moins cher, le café. Les routes sont tellement belles, à croire qu'ils n'ont pas d'hiver! Pourtant, la situation géographique me confirme qu'ils ont bel et bien un hiver! La nature est belle, les endroits publiques sont propres, très bien entretenus. Et puis, les gens sont courtois. Pendant que nous magasinions, il fallait parfois traverser la rue, les automobilistes s'empressent de vous céder le passage. Ils sont accueillants, prêts à répondre à nos questions.
On se rend compte à quel point nos dirigeants trouvent important de nous garder unilingue. On comprend pourquoi les médias sont poignassés. Parce qu'avoir su plus jeune toutes ses merveilles, nous, la génération «X», serions partis. Car, il n'y a aucune raison d'avoir autant de différence dans les prix. Ce n'est pas la valeur du dollar qui justifie ça. En nous gardant «enfermés» par la langue, nos dirigeants s'assurent de nous garder ici. Et les américains, malgré tout ce que je peux entendre, ont l'air de bien vivre, très bien vivre. 
Pour en revenir à cette région de New York, Lake Georges, je tiens à mentionner que l'endroit est vraiment enchanteur. La touche «irish» y est pour quelque chose. Mais il y a une chaleur qui n'a rien à voir avec la température. Il fait bon y installer sa roulotte, prendre le temps de respirer. Laisser le temps nous dicter ses secrets. Ceux qui pensent que c'est un sacrilège, devraient l'essayer. Entrer dans un Walmart, où vous pouvez faire votre épicerie en entier. Entrez dans un liquor store, constater les prix, l'ambiance chaleureuse qui y règne. Allez échanger vos bouteilles et canettes à un dépôt pour voir; rien à voir avec nos gobe-canettes toujours «jammés». Regardez autour de vous, sentez l'air pur. Ouvrez grand vos yeux et comprenez qu'il n'y a pas seulement au Québec qu'il y a du bois! Des forêts immenses, sans fin. C'est une expérience extraordinaire. Bien sûr, je suis facile à émouvoir, mais quand même. Ça fait du bien de se comparer. À bientôt!

jeudi 9 octobre 2014

Du respect.

Que de discussions hier sur la vie. Parfois la vie nous surprend en nous amenant de la visite qui nous fait du bien. Une visite qui attendrit certaines choses. Et puis, il fait bon de revivre de vieilles choses qui nous ont réunis. Boire, chanter, danser! Comme je l'ai souvent dit, des fois ce serait mieux de rester toujours un brin sur l'effet de l'alcool. Certaines nouvelles seraient moins dures à digérer, tandis que les excellentes nous assureraient une joie de vivre! Vivre et être heureux. Croire aux autres et croire en ses prières. Laisser la vie nous donner la chance d'être soi-même. Comme d'autres le font.
Il est facile de juger celui qui soulève les foules. Celui dont l'opinion dérange. Celui qui dit tout haut ses idées. Mais il faut aussi du courage. Là où c'est étrange, c'est au moment où, une fois sur la tribune, certaines personnes agissent selon leurs intérêts, comme si les gens autour et eux ne formaient qu'un. Paradoxalement, ce n'est que rarement le cas. Dans notre société «chacun pour soi», personne n'est prêt à se laisser tenir la main gratuitement. Par contre, avec un peu de monnaie ou de belles promesses, certains les suivront jusqu'en enfer! D'autres ne se préoccupent pas de tout ça et sont les premiers à se plaindre. Qui ne dit rien consent! Ça vous dérange les discours politiques, parlons-en! Sinon, taisez-vous. En tant que citoyen, n'oubliez pas que le premier ministre est aussi un citoyen, ses opposants aussi. Donc parlons à voix égales. Parlons ensembles de nos différents, unissons nos forces pour trouver des solutions économiques durables. Ensembles, apprenons à nous respecter. Ce n'est pas toujours facile, mais selon moi, c'est la clé du succès. Aimons-nous!

mercredi 8 octobre 2014

Les habitudes

Être devant une feuille blanche ne m'a jamais angoissé. Si je ne dessine pas, alors j'écris. De toute façon, j'ai toujours quelque chose à dire. Et puis, depuis le plus loin que je me souvienne, j'ai toujours eu un opinion sur tout. Certaines gens trouvent que je parle vraiment beaucoup. Même que parfois, ils sont inquiets lorsque je ne parle pas beaucoup dans une conversation. Moi je trouve que ça va bien. Avec le temps, j'ai appris à mieux écouter les autres, même que certains m'ont dit que j'avais l'air de les écouter. C'est vraiment merveilleux de constater que l'être humain peut évoluer tout au long de sa vie. Peu importe les circonstances, peu importe son âge. Vu sur cet angle, on dirait que je me mets à dos pas mal de personnes. Tous ceux qui m'ont dit qu'ils étaient trop vieux pour changer. Jamais je ne les ai crus. À force de s'entêter, à coup sûr, on s'empêtre dans nos habitudes. Les habitudes sont typiquement humaines. Mais force est d'admettre qu'une habitude qui ne mène à rien doit être changée. Encore plus une habitude qui éloigne nos amis, nos connaissances! 
Et si notre politique était une habitude, alors il faudrait changer ses habitudes. Car avec la politique, viennent les pots de vin, les enveloppes brunes, le copinage, etc. Je ne suis pas contre, mais cela doit faire avancer les choses! Souvent, les jaloux vont se plaindre que ce sont toujours les mêmes qui ramassent la manne. Ce n'est pas en restant là, les bras croisés, la yeule ouverte, que les choses vont changer. Elles ne peuvent que ralentir, s'emmèler. À quoi bon jalouser les autres. Il faut agir dans notre intérêt. Cela inclut les gens qui nous aident. La personne qui vole son patron n'a rien compris. J'entends par voler, prendre des journées de maladie sans être malade de façon abusive. Fournir son cercle d'amis de toutes sortes de choses disponibles à son travail. Voter des conditions de travail qui indisposent son patron; c'est lui qui paie votre salaire! J'en aurais des tas d'exemples, mais ça prendrait pas mal trop de place. D'accord, où il y a des hommes, il y a de l'hommerie, mais trop, c'est toujours trop.  Prenez le temps de vivre, ne vous cassez pas la tête avec des projets qui, pour le moment, sont inaccessibles. Quand la pluie arrivera, on trouvera bien un moyen d'être à l'abri.

mardi 7 octobre 2014

Apprécier.

Chanceux ce matin, quel beau temps! Je me disais qu'avec la pluie, ce serait poche, mais il ne mouillait pas encore. Depuis que je fais du vélo tôt le matin, je peux dire que je suis chanceux là dessus. Souvent, les grosses journées de pluie n'ont pas commencé encore à 5:00. Et c'est vrai. Rare sont les saisons qui m'ont gardé à l'intérieur à cause de la pluie. Pourtant, il en a mouillé un coup! Et puis, ça me permet d'apprécier pleinement mon vélo. Et il faut apprécier ce qu'on vit. Chaque journée, chaque aventure. Et puis, vivre de nouvelles choses, c'est passionnant. Aussi, c'est amusant à partager. 
J'aimerais en dire autant lorsque je parle de politique au Québec. Raconter à quel point le discours fut enlevant, à quel point cette façon de penser me crinque pour continuer de plus belle à travailler. Mais ce n'est pas le cas. Souvent, il faut vraiment penser à autre chose, mettre de la bonne musique, chanter, faire du bruit! Histoire de bien faire taire notre esprit par rapport au contexte. Mais je ne regrette pas d'avoir vécu ici. Au contraire, j'ai appris tellement de choses. J'ai appris à me débrouiller avec rien. Mais j'ai surtout appris à apprécier ce que j'ai. Ce que j'ai accompli, Ce que j'ai gagné. Même si, au sortir de nos rapports d'impôts, on voit bien que c'est très peu. Alors il faut continuer de bien travailler, de faire de son mieux. Sinon, comment se valoriser ensuite? Je sens que d'étranges nouvelles s'en viennent avec les élections; j'ai hâte, mais aussi pas tant que ça. A plus!

lundi 6 octobre 2014

Bonne semaine!

Non  mais quelle belle fin de semaine encore une fois! Un peu moins éreintante que la dernière, mais tout aussi valorisante. Et il le fallait! Ça m'a prit la semaine pour m'en remettre. Et ne pas prendre de nouvelles de l'actualité pendant 2 jours, ça fait toujours du bien. Ne pas facturer, ne pas faire ses comptes, bref, relaxer un brin! Et oui, cette semaine sera spéciale, blitz de 4 jours avant notre départ pour Lake George. Oui ce sera merveilleux, peu importe la température. Et puis, de l'autre côté, tout est moins cher. Autant la nourriture que l'essence. Pas besoin de s'amener de grosses réserves, ni de bois, car il est impossible de les passer au douanes. Je vous reparlerai de ce voyage dès mardi prochain. En attendant, continuons notre vie au Québec, capitale nationale des fonctionnaires, de l'unilinguisme et des centrales syndicales! Rien n'est plus vrai! D'ailleurs, plus je vieillis, plus je me rends compte que cette recette à laquelle nous avons tous songée un jour, soit une job à la ville ou au gouvernement; retraite garnie et fond de pension. La majorité qui arrivent à leur retraite se sont tellement gâtés, qu'ils ne font pas long après. Une vie de mauvaise nutrition, d'absence d'exercice physique. Leur corps ayant toujours fait la même chose depuis 30-35 ans, la retraite est un trop gros traumatisme, souvent, ils ne s'en remettent pas. Depuis plusieurs années dèjà, je m'entraîne, si possible 5 fois par semaine. Et j'y trouve de l'énergie, du courage, de la volonté et surtout de la résistance. Car je ne crois pas que je pourrai prendre une retraite sans travailler. D'ailleurs, qu'est-ce que ce serait, une vie sans travailler? Une vie sans gagner sa croûte? Tout ça me semble bizarre. Bien sûr il faudra ralentir un de ces jours, mais quand? Une journée à la fois. Prendre le temps de bien vivre au présent. Le reste, on verra.

vendredi 3 octobre 2014

Respirer un peu.

Ouf! Encore une semaine qui s'achève, non pas sans fatigue! Mais ce fut productif! Que dire, même extraordinaire! Et, cette fin de semaine-ci, je ne bricole pas sur le toît! Oh non! Les gens qui se partent une entreprise en parallèle, comment font-ils pour se reposer. Quand est-ce qu'ils voient leur famille? Des fois je me dis que je ferais pareil si je n'avais pas de famille. Pour le reste, j'Aime mieux être avec ma douce épouse et mes enfants. Prendre un peu de temps. La vie passe si vite, on ne sait jamais quand elle arrêtera. Je ne suis pas pessimiste, mais un brin de réalité nous ramène souvent au constat suivant : vivre! Difficile par les temps qui courent. Se lever chaque jour pour travailler, gagner sa croûte. Et constater que le gouvernement nous en enlève 50%. Je dis 50%, mais au final, c'est peut-être 65%. Et de garder le sourire, jour après jour. Un brin de folie, pour agrémenter. Ce grain de folie, est l'arme ultime contre la déprime et certaines réalités. Alors gardez le sourire ou rapprochez-vous de gens qui sont des bout en train.

jeudi 2 octobre 2014

De la frime!

Il y a des gens qui ne donnent jamais de nouvelles. Pis, une bonne journée, se pointe! Il leur est arrivé toutes sortes de choses, la vie va vite et ils repartent. Comme s'ils n'avaient jamais existé. C'est comme beaucoup d'idées, très bonnes, pour relancer l'économie, pour économiser au quotidien. Bien des gens sont arrivés avec d'excellentes idées, mais ils ont disparu. On n'entend plus parler d'eux. Dommage, car ils auraient pu nous aider. Je sais que ce phénomène arrive souvent, mais les médias dirigent très bien l'information. Même qu'ils peuvent le romancer ou la «modifier» s'il le faut pour dévier notre attention. Mais changer les écolo-bus pour des autobus hybrides, ce n'est pas une bonne idées. Personne ne va économiser, même que tout le monde va payer encore plus cher. Pourtant, la leçon donnée par les minibus électriques semblait claire. Qui décide à notre place que nous allons payer pour ça?  Et puis, de nouveaux bus articulés au coût de 1,3 millions l'unité? Qui décide pour ces achats? A-t-on besoin de cela à Québec? J'ai beau chercher à quoi serviront ces véhicules, je ne trouve pas. À quand un réseau de transport en commun privé? Ce sont des dépenses astronomiques, exagérées, payés par ceux qui ne prennent pas le bus. Je l'ai pris le bus, jusqu'à ce que ce ne soit plus possible. Et puis, essayez-donc de livrer des pancartes en autobus. Essayez d'aller chercher vos trois enfants, à trois place différentes en autobus! Le réseau est mal développé, favorise les chauffeurs et les employés. Mais il devrait favoriser les utilisateurs et être payé par ces derniers. Pourquoi depuis des années, je paie une partie sur mes immatriculation? Pourquoi chaque fois que je fais le plein, un cent du litre va au RTC? Qui a voté pour ça? Vous appelez ça un choix de société? Quelle société? Nous sommes à Québec. Privatisez le RTC pour voir, vous constaterez que ce n'est pas rentable, pas du tout. Même si vous en avez besoin. Une entreprise qui ne fait pas d'argent, qui est déficitaire à chaque trimestre depuis nombre d'années, n'a pas à rester en place! À moins qu'elle soit maintenue en vie par des bailleurs de fond. Comme nous!

mercredi 1 octobre 2014

J'ai hâte!

Vivre et laisser vivre. Quel grand dicton! Pendant que tu trouves que la semaine est grosse pis qu'on est seulement mercredi, tu constates que le gouvernement lui, préfère te grossir encore un peu plus ta semaine et s'assurer qu'il va t'en rester encore un peu moins sur ta paye! Disons que le prix du litre d'essence est trop élevé, tellement trop élevé, c'est plus que ridicule. Depuis que le gouvernement a instauré un prix «plancher», nous sommes à la merci de ce même gouvernement. Jouer au «yo-yo» avec le prix, ramasser le plus de taxes possible. Plus jamais de guerre de prix. Où est passé le temps où l'on cherchait le poste à gaz sympathique qui baissait son prix? C'était amusant. Ça ajoutait du sourire à nos journées! Maintenant, juste penser d'aller faire le plein, m'irrite tellement. J'ai beau essayer de ne pas y penser, lorsque c'est le temps de payer, je m'en rappelle que c'est trop cher. C'est sûr que depuis le paiement par carte, directement à la pompe, mon temps à la pompe diminue et je souffre moins. Et le spectacle du Costco est toujours très amusant. Car certains n'aiment pas le paiement à la pompe! De les voir se chercher a quelque chose de rafraîchissant. Pourtant ce n'est pas si compliqué. Mais ça explique bien des choses. Eux qui veulent économiser se déplace pour mettre de l'essence au lieu de coordonner ça avec leur parcours hebdomadaire. Aucune économie! Ensuite, ils sont tellement habituer de ne pas s'occuper du paiement, prendre avec service à la pompe ou payer à l'intérieur, que de manipuler la ou les cartes à la pompe est très compliqué! Voilà pourquoi ils ont choisi de laisser le gouvernement s'occuper de tout! Quelle erreur! Quel mauvais choix à long terme. Mais c'est nous, les «X» qui sont pris avec ce gouvernement envahissant qui nous empêche d'évoluer. Qui nous empêche de décider ce qu'on veut faire avec notre argent : il la prend toute! Il faut corriger le tir. Bien des choses bougent sur le net. Et ça va bouger encore. Reste à s'impliquer du mieux possible. Car il est impossible de faire venir d'outre-mer sans payer de taxes! Encore plus dur faire venir des États-Unis : vivre le libre-échange! Le changement s'en vient.

Au revoir, Jacques…

6 degrés ce matin! Rendu en haut de la côte de l'aéroport, il s'est mis à pleuvoir! Mais c'était tout de même une fantastique ri...