jeudi 28 février 2019

Je commence à tirer de la patte...

Je suis complètement épuisé physiquement. Je suis en manque de soleil, de grand air. On dirait que l'hiver est interminable. Et comme mon châssis de bureau, derrière mon ordinateur de travail, est complètement obstrué. Hier j'ai monté pour la quatrième fois sur le toît de la maison. Mais j'ai aussi fait le constat que la ventilation du petit pignon derrière est insuffisante! Il y a de la condensation qui mouille un mur de la cuisine. Vraiment de la grosse marde. Et, avec l'aide de Martin, nous avons enlever une autre couche de neige. Je me demande pourquoi je me sens aussi fatigué! L'énergie autour de moi siphonne toute l'ardeur que je réussis à m'arracher. Arracher est un grand mot, mais ça ressemble un peu à ça. J'ai l'impression que ma volonté est beaucoup plus forte que ce que mon corps peut fournir. J'en suis à terminer la job de demain, en me disant que je vais ensuite sortir dehors pour terminer de ramasser la neige du toit qui continue de bloquer la zone arrière de la maison. Même s'il fait beau soleil, il est caché par la maison. Alors je me botte le derrière au fond! Les enfants sont en train de me faire vieillir de dix ans en six mois! J'aimerais que mes paroles mes actions servent de modèle! Je voudrais sentir un peu d'écoute! Tout ce que je dis, d'une façon ou d'une autre ne sert à rien.  Et il y a mon père qui  continue d'attendre pour se faire opérer à coeur ouvert. Hospitalisé depuis vendredi dernier, il semble que bien des gens sont plus mal en point que lui. On parle de lundi prochain; au début il était question qu'il soit opéré hier. Ensuite, c'était pour vendredi (demain). Maintenant il s'agit d'être patient. Il faut toujours être patient, mais payer le gros prix! Si je pouvais fermer mes oeillères un peu plus encore, pour réussir à faire taire tout ça... À suivre!

En feu ce matin!

Moins vingt-cinq degrés ce matin. Un des matins les plus froid jusqu’à maintenant cet hiver. Pas si froid la nuit, mais trop froid le jour! J’ai bien hâte qu’il fasse plus chaud! Le tonnerre gronde au sein du parti libéral, alors que notre PM est encore lié à une situation qui le met en conflit d’intérêts. Je ne sais pas jusqu’où tout ça ira, mais je crois que si le PM ne se retire pas, la confiance (si confiance il y a) que les gens lui accordent aura prit un coup de vieux! Mais je ne peux commenter plus en détails ce dossier que je ne connais pas tellement. Mais comme il y a eu des fuites de part et d’autres depuis un bon moment dans ce dossier, difficile de ne pas réagir! Un dossier à suivre. Mais hier, j’ai reçu un courriel du parti au pouvoir dans notre belle province, qui m’invitait à discuter d’économie verte! Pourrait-on s’occuper des dossiers en cours qui traînent depuis des années avant de parler d’économie verte! Tous ces services qui sont offerts au gens, sont-ils accessibles? Peut-on vraiment les utiliser? Mon expérience personnelle m’a démontré à plusieurs reprises que l’accès à différents services, comme ceux qu’on pourraient réclamer pour un enfant au statut particulier, ça ressemble à récupérer le formulaire A-38! Le fameux formulaire dans les douze travaux d’Astérix! Des formulaires à remplir, un protocole à suivre, des intervenants qui vont et qui viennent. Il est rare que «ça grouille» avant d’être complètement perdu et épuisé! Je crois que je m’énerve un peu! Économie verte... Parmi les choses qui nous font suer, il y a aussi le dossier de notre fournisseur unique d’énergie, qui se trouve depuis déjà trop longtemps dans l’eau chaude avec des preuves accablantes qui démontrent que nous fumes surchargés. Mais qui refuse de nous rembourser! SI c’était nous qui avions fait de même, non seulement nous serions obligés de rembourser, mais il y aurait des intérêts. Et l’autre cartel, celui de l’essence. Je sais que ça fait des années que j’en parle, que je me répète, mais quand est-ce que nous saurons ce que vous faites avec l’argent? Vous attendez que la vérité circule un peu partout, jusqu’à ce que les gens se débrouillent tout seul! Comme nous ne pouvons rien faire pour y changer quoi que ce soit, vous vous servez à la pompe et le gouvernement récolte l’argent des taxes...! Quand on prend un peu de recul, ça fait pas mal de choses qui inciteraient un honnête citoyen à sacrer son camp! Le climat, les cartels, les conflits d’intérêts, la lourdeur de l’état, etc. Mais tout ce merdier a provoqué un endettement chronique auprès de la majorité des citoyens qui courbent l’échine face à cette adversité sans cesse croissante! Donc quitter les lieux devient de plus en plus difficile! Mais bon, une journée à la fois!

mercredi 27 février 2019

Commencer le plus vite possible.

Je me souviens, il y a déjà longtemps, que je bougonnais parce que je n’avais pas le temps de m’entraîner. À force de m’entendre et d’en discuter avec les autres, je me suis rendu compte que je manquais de cohérence et que je n’avais que des bonnes raisons pour ne pas le faire! Et j’ai commencé à m’entraîner! Je me rappelle très bien avoir installé un vélo stationnaire devant la télé et commencer à pédaler ailleurs que dehors. Je me souviens aussi avoir fait des poids en même temps que je pédalais. Et je faisais tout ça le soir venu. Comme le temps passait, je trouvais que les résultats escomptés n’arrivaient pas vite. Alors j’ai fait le grand saut pour m’entraîner le matin. Bien sûr, il fallait que je réussisse à me coucher plus tôt. Et les années ont passées. Quand nous avons aménagé ici, au Capitolin, j’ai beaucoup travaillé sur la maison, du printemps jusqu’à l’automne. Ensuite, satisfait des résultats, je me suis remis à l’entraînement. J’avais même «nolisé» un espace dans le garage pour le gym! Ça fait plus de douze ans que je m’entraîne pratiquement tous les matins de semaine. Je ne vois pas comment je pourrais faire autrement! Des fois je trouve ça dur de me lever, mais jamais comme il y a quinze ans, alors que les nuits étaient dures et incomplètes à cause des enfants. Et je sais qu’une fois cette étape de la journée passée, le reste est beaucoup plus facile, avec plus d’énergie! Depuis ce jour, celui où j’ai commencé à prendre soin de moi, j’ai essayé de garder le cap vers l’avant. Si on veut des résultats, il faut commencer le plus vite possible. Je ne m’entraîne pas pour sculpter mon corps, ni pour rester mince; je m’entraîne pour faciliter mes journées. Bonne journée!

mardi 26 février 2019

Agir.

Bon matin! Moins vingt degrés avec un vent démentiel, encore un de ces matins qui nous craque la face quand on sort dehors! Ce vortex polaire qui semble affecter toute la planète commence à ralentir les ardeurs fortement. Il fera sûrement soleil, mais sans plus. Une clarté glaciale qui vient nous rappeler que le froid, ça coûte extrêmement cher! De quoi vouloir changer tout ça au plus vite! Parmi les solutions que j’ai analysées, il y a la réorientation de carrière. Pourquoi? Tanné de courir après les sous, tanné de faire des soumissions, tanné de compter, de convaincre mes clients, qui souvent, n’en ont rien à foutre de ce que j’ai à leur dire. Et puis, aller travailler pour une compagnie qui oeuvre dans mon domaine ne m’intéresse pas. Je n’arrive pas à y voir assez de positif et me faire dire quoi faire à la journée longue risque de me rendre un peu aigre... Mais changer de métier, explorer de nouvelles avenues, faire quelque chose que les gens ne peuvent faire. Avoir un métier reconnu, pas un travail que ceux qui n’ont pas réussi utilisent comme solution. Ça m’attriste de voir des gens qui n’ont pas plus d’un secondaire cinq faire le même métier que moi, et qui font plus d’argent que moi. Je ne suis pas jaloux, mais comme je travaille de chez moi, les gens pensent que je suis un «Jack of all trade». Que je suis un genre de quelqu’un qui fait ça chez lui, qui ne chargera pas cher, etc. Tanné de me sentir au bas de l’échelle, de ne pas réussir à me valoriser pleinement dans ce que je fais. On dirait que je suis trop en dessous de mes capacités. Bref, ça commence à miner mes journées. Je me suis inscrit à une école de codage, mais je ne commence qu’en septembre. En attendant, je donne mon maximum, car tout ça est un grand défi. Je vous teins au courant!

lundi 25 février 2019

Des solutions, vite!

Lundi matin avec au moins trente centimètres de nouvelle neige! Un des mois de février le plus neigeux que je me souviennes en quarante ans! Bien qu’en 2008, il se passait quelque chose de semblable, en 1998 aussi, y a rien comme être dedans pour «apprécier» le tout. J’ai passé toute la fin de semaine dernière à pelleter et souffler, dégager du mieux possible les recoins importants pour mon usage hebdomadaire. J’ai aussi rafraîchi le tout jeudi dernier, alors qu’un dix centimètres nous avait été livré en cadeau! Et je devrai recommencer aussitôt que possible, car demain nous revenons en zone congelée! Pas si froid la nuit, mais froid le jour! Beaucoup trop de journées sous la barre des moins dix degrés... Bref, la météo est devenue le sujet quotidien, même en faisant abstraction du délire des médias qui se forcent pour trouver de nouvelle façons de nous taxer. En tous cas, que ferait-on cet hiver sans autre apport énergétique que l’électricité? (Voiture, cellulaires, wi-fi, etc.) En plus des rapports qui prouvent que notre fournisseur monopolistique nous surcharge depuis des années! Continuez de diffuser vos sornettes, votre incohérence n’a d’égal nulle part, et vous en faites pitié! Nous sommes les victimes de cette machine «monstre» qui gère l’état; machine que nous avons créée avec le temps. Maintenant qu’elle est incontrôlable, personne ne se sent capable de l’arrêter. Et pour cause! Il y a tellement de gens dont la vie «dépend» de ce système que personne ne veut changer quoi que ce soit! Les syndicats prennent dans les poches des travailleurs, (syndicat=gouvernement) pour engraisser leurs membres; cela crée une tare dans l’économie, qui s’effrite tranquillement. Une fois que les travailleurs seront tous à sec, ou partis vers d’autres avenues, que fera-t-on? Qu’y a-t-il de si dur à comprendre? Plus je réfléchis, moins je trouve de solutions douces. Pourtant, la castafiore faisait ce qu’elle voulait par décret! Elle n’avait pas besoin de l’appui, et encore moins de l’accord, des citoyens! AIdez-moi à comprendre! Le Maîîttrre aussi semble faire ce qu’il veut, même se faire élire sans intention pour ensuite «voler» le projet de ses adversaires et tenter de les mettre en branle! Pourvu que l’état paye! Il faut arrêter ce délire, je suis à bout de souffle, je me sens comme un patron comptable qui essaie de limiter les dépenses de sa famille, voyant que le PIB de cette dernière n’arrive pas à couvrir ses frais qui ne cessent d’augmenter! L’os dans tout ça, c’est que les dépenses en volume n’ont pas augmentées, c’est le prix de d’acquisition de ces dernières qui ne cesse de croître! Alors que je suis épuisé à chercher des solutions, je me penche vers des solutions sacrifices, comme une réorientation de carrière, dans un domaine très en demande. Réussir à faire ce que la majorité ne sait pas! On s’en reparle!

vendredi 22 février 2019

L’importance de rester concentré

Même si j’essaye de me retenir dans mes pensées, je n’arrête pas de vouloir en savoir plus! Je cherche des solutions, mais je perds aussi bien du temps à y réfléchir. Perdu dans un monde bien à moi. Tout au long de cette semaine de travail, je me suis demandé si je devais continuer ainsi ou revoir mes positions. Car se nourrir ses pensées à plusieurs places fini par créer une confusion. Et cette confusion empêche la progression; je dirais même qu’elle crée de la procrastination. Comme je me fais un devoir d’écrire chaque matin un débordement d’idées pour mieux réaliser mes journées, éclaircir mes pensées, je continue de croire que cela m’est bénéfique. Pour le reste, je ne sais pas trop. Mais les vendredis continuent de me rendre heureux. Car la confusion créée m’oblige à m’arrêter, à prendre du recul, comme quand je ne sais plus où je m’en vais pendant que je dessine. Par contre, ce que je fais dans une journée ne s’efface pas comme du graphite! Donc je tente de choisir adéquatement ce que je fais. Une chose est sûre, je m’impose une routine formelle à laquelle j’ajoute les différentes opérations pour mener à bon port mes journées. Et je me rends compte vite que la semaine est terminée. Il en de même pour les mois et les années; je me rends compte de temps en temps que je vieillis et ça commence à me titiller quelque part. Hier mon père est allé à l’hôpital pour des examens en urgence. Il semble qu’il fait de l’angine de poitrine. Il est resté sur place pour la nuit. D’autres examens à venir aujourd’hui pour savoir s’il devra subir un ou des pontages. Il a 76 ans, en forme, mais il arrive que parfois, ça nous rattrape. Alors il faut prendre soin de soi. Chaque jour! Ne pas remettre à plus tard ce qu’on peut faire maintenant! Et si le cœur vous en dit, trouvez-vous une raison de vous mettre en forme, autre que vous-même, des fois que ça aiderait! EN ce vendredi matin à moins douze degrés, amusons-nous un peu en travaillant!

jeudi 21 février 2019

Pause dans ma tête.

Je me sens en dessous de mes capacités, incapable de m'extraire de cette impasse. On dirait que je n'ai pas d'autres solutions que de travailler sur des projets en parallèle, mais cela ne réussit pas à éteindre le feu qui me consume. Et si je tente de me reposer, certaines choses me rattrapent et je suis forcé de rester concentré sur les objectifs primaires. Donc je continue de m'accrocher et de donner mon maximum. Mais vivre dans un monde parallèle finit par faire baisser la puissance de mes batteries. Et comme à chaque mois de février, il semble que le soleil soit absent depuis trop longtemps. Ce sont des jours pour moi plus difficiles, des jours plus durs pour une réalité quotidienne. Donc je dois redoubler d'ardeur pour compléter mes journées sans me perdre. J'ai l'air de divaguer, mais c'est juste que je veux prendre le temps de prendre quelques notes, prendre le temps de laisser des traces de ce qui se passe dans ma tête. En attente d'une nouvelle formation en codage, je me lance à cinquante ans dans une nouvelle aventure, laquelle pourrait me permettre de sortir de ce marasme économique dans lequel je suis coincé depuis trop longtemps. Je suis encore heureux, même si je sais que je me fais «avoir» partout où je vais. J'ai beaucoup de difficultés à m'endurer, à endurer les autres. Je dois souvent me raisonner pour rester sur la bonne voie!

S’en foutre ou non?

Encore un peu de neige ce matin. Ça ne m’intéresse pas de battre des records, car dans ce cas-ci, il s’agit de frais supplémentaires! Mais comme on ne peut rien faire, aussi bien en rire un peu. Moins neuf degrés, la température s’est réchauffée durant la nuit, ça fait toujours drôle. Peut-être de la pluie à Montréal. Parfois, il y a jusqu’à dix degrés de différence entre la grande ville et ici! En tous cas, avec la quantité de neige qui occupe nos terrains, ça vaut quand même mieux que de la pluie! Une fonte précipitée pourrait être hasardeux... Mais parlons plutôt de notre professeur de théâtre. Toujours en pleine galère avec son conflit d’intérêts dans le dossier épineux d’une firme qui a eu des passe-droits. Je ne peux que constater que c’est une épine de plus pour le reste du pays par rapport à nous. Notre belle province s’effrite, il n’y a que délire et mensonges. Avec tout l’accès que nous avons à l’information, erronée ou non, la confusion règne et certains en profitent pour agir. C’est là que c’est plus dur. ALors que tout le monde semble se foutre complètement que leur PM soit un menteur et surtout un imposteur, il y a quand même matière à réfléchir dans tout ça. Perception? Tout n’est qu’image! The grand illusion! C’est ce que nous vivons! Ce que les gens vont penser, ce qu’ils vont voir! Le reste, pas trop important. Les valeurs profondes, les bonnes gens, les bonnes idées, balayées comme des moussons qu’on trouve sous un lit. Tout est éphémère! Et c’est plate. Ça ramène tout au même plan. Et notre culture du no fault contribue à faire croître ce «je m’en foutisme» général. Un petit exemple, quelqu’un dans notre rue a laissé son auto deux semaines, à demi «sortie» de son entrée. SI bien qu’il était impossible de rencontrer un autre automobiliste. Il fallait attendre pour passer que la voie soit libre! Deux semaines! Après plusieurs chutes de neige totalisant au moins 30 pouces, le dossier commençait à devenir très achalant! Puis la ville a dû sévir et ramener l’ordre hier. Ce n’est qu’un cas isolé. Le pire, c’est que la voiture fonctionnait, elle était juste prise dans la neige! À suivre. La bêtise humaine ne semble pas avoir de limites. Et comme on préfère niveler par le bas, les choses deviennent de plus en plus longues. Mais la journée d’hier fut très productive de mon côté, alors que je suis allé finaliser le kiosque de Thibodeau et père au salon Expo-Habitat. Ça vaut un visite. Et je reprends le contrôle de mon bureau ce matin. Alors en selle pour de nouvelles aventures!

mercredi 20 février 2019

25 ans.

Alors encore un matin sous les moins vingt! Quel climat impossible! Si on ne gèle pas, alors il neige ou il pleut! Mais cet hiver, même quand il neige, il fait froid! Pas si froid la nuit, mais très froid le jour. À l’approche d’autre neige, faut-il s’alarmer avec nos toitures? Ça fait déjà trois fois que je monte là-haut pour en enlever! Si la tendance se maintient, je devrai y retourner encore. Bien sûr, je ne l’enlève pas toute, je ne veux pas abîmer le revêtement de tôle si cher payé. Mais pour un autre hiver encore, rien ne se vide! Les épisodes de verglas ont réussi à faire coller comme il faut tout ça! Je me souviens de ce vendeur avec lequel je me suis disputé, je me souviens de ce chef d’entreprise avec qui je me suis engueulé. Mais ma toiture ne se vide presque jamais. La pente n’est pas assez prononcée. Et avec la combinaison de la météo de cet hiver, le résultat est une écoeuranterie. Mais nous allons encore survivre. Mais nous aurions pu mettre l’argent de cet amas de tôle ailleurs. Mais comme je n’y peux rien, ça fait juste un peu de bien d’en parler. Comme quand je dis que je m’ennuie de la tente roulotte, ça me gronde à la bonne place! Mais je ne veux pas non plus me racheter un véhicule de tire. Tant de sacrifices pour la famille et mon travail m’ont coûté une fortune et aussi m’ont demandé des efforts physiques que je ne pourrais refaire. Mais de tout ça, je ne regrette rien. Je préfère avoir de bons souvenirs, garder mon sourire et le partager! Hier, nous fêtions 25 ans d’Amour! Et oui, vingt-cinq ans de fréquentations! Et je dois vous avouer que je craque encore pour elle! Partager ma vie avec elle me rend heureux, et, je choisis d’être heureux! COmme nous ne sommes que des humains, nous avons fait des erreurs, nous avons expérimenté des tas de choses, mais nous l’avons toujours fait ensemble! Et ça, c’est merveilleux! En ce milieu de semaine, je constate que je dois appuyer un peu sur la pédale, histoire de ne pas perdre la cadence! Et puis, je veux continuer d’avancer et réussir à reprendre le dessus sur ma situation financière. L’hiver se termine chaque printemps, mais l’impôt, ça ne se termine jamais! Au travail!

mardi 19 février 2019

Vivre sans arrêt.

Je me sens un peu triste ce matin, en regardant le thermomètre qui indique moins vingt-deux. Je me dis que c’est encore un hiver qui me coutera la peau des fesses en chauffage! Et comme nous sommes gâtés, cet hiver-ci nous aura permis de s’entraîner à la pelle! Neige, froid, pluie et verglas, tout ça avec de forts vents... Et je ne vois pas le bout, alors que d’autre précipitations sont prévues jeudi. La neige a atteint une hauteur assez considérable et toute chute de neige devient problématique. Si la pluie de décembre n’avait pas fait fondre un pied de cette blanche traîtresse, ce serait encore plus dur à affronter. Mais cette pluie nous cause d’autres problèmes pour nos toitures, mais aussi quand il sera temps que tout ça fonde! Et puis, même si hier, le soleil fut vraiment très beau, sa chaleur timide avec moins dix degrés ne m’a pas tellement convaincu. Une journée semblable nous attend aujourd’hui, alors que les impressions pour le Salon Expo-Habitat avancent bon train. J’ai rencontré mon ami le ministre hier, il faisait bon de discuter un peu. Bizarre que ce parcours lui impose des sorties accompagnées. Mais bon, je vais m’habituer! Et puis, j’en apprends tous les jours, et ça me garde allumé; sinon je trouverais la vie un peu fade. Je me demande pourquoi ma fille veut absolument partir de la maison. J’ai l’impression qu’elle a besoin de vivre un peu de misère! Pourtant, ce n’est pas ce qui a manqué depuis plusieurs années. Misère à trouver de l’aide, à trouver des ressources! Des nuits sans dormir, comme si c’était bon pour la santé! Mais ne jamais lâcher, car la vie n’arrête jamais son compteur; pour certains, il indique le temps qui passe, pour d’autres, il indique le temps qu’il reste. Mais une chose est sûre, le temps passe sans arrêt et toutes les minutes sont importantes! Au sortir de trois années à la présidence de la chambre de commerce, je dois avouer que j’ai adoré ça. Tous les gens que j’ai rencontrés, toutes les choses que j’ai apprises, toutes les portes qui se sont ouvertes! Bref, il faut se garder en forme pour résister à cette «érosion» humaine! Alors on se tient au courant.

lundi 18 février 2019

Fabriquer son bonheur

Vous allez me dire que je suis redondant avec ça, mais discrètement, pendant qu’on rageait après les routes mal déneigées et aussi le froid qui revenait immédiatement après cette extraordinaire semaine enneigée, le prix du litre d’essence a grimpé de 10 cents! Bin oui! Dix cents, comme ça! Il n’y a aucune raison valable, il devait y avoir quelqu’un qui voulait plus d’argent dans ses poches, alors on monte le prix du litre d’essence! Pas grave! Par dessus ce que ça va nous couter en chauffage pour cet hiver riche en neige, en pluie, en verglas et en froid! Il viendra le changement, j’en suis sûr. La date? Pas certain, mais je continue de croire que j’y serai point quelque chose. Je ne suis pas capable d’attendre après les autres, encore moins après tous les personnages qui ont une tribune et un certain pouvoir sur les citoyens. Le changement devra d’orchestrer doucement, par les citoyens. Je me demande si nous serons capable de vivre en parallèle de la société longtemps. Payer de nos poches le gigantesque système, tout en faisant notre vie avec ce qu’il reste. Il me semblait que notre nouveau PM devait travailler sur le rapatriement des entreprises québécoises qui investissent ailleurs parce que sous le dôme, ils sont trop imposées? Et puis, a-t-il l’intention de rencontrer ceux qui ont voté pour lui un jour? Depuis que j’ai atteint la majorité et que j’ai le droit de voter, quels furent les interventions bénéfiques pour nous? Économiquement et socialement? Je ne vois qu’un système de plus en plus gros, de plus en plus difficile à gérer\contrôler. Et nous avons le Maîîttrrre, qui continue de nous imposer sa dictature; tel un roi, élu sur des menteries, sur le dos des autres, il navigue où bon lui semble avec l’argent des citoyens. Il faut dire les vraies choses pendant qu’on a encore le droit de penser. Sur une note moins dure, il fait moins vingt-deux degrés ce matin, il semble que le soleil sera au rendez-vous pour la deuxième journée consécutive. À nous de bâtir notre bonheur, notre joie de vivre! Une journée à la fois. Mine de rien, il tombé vingt-huit pouces de neige en trois jours, de quoi ramollir certaines toitures... Bonne semaine.

vendredi 15 février 2019

Enfin vendredi finalement.

En ce vendredi 15 février, il faut avouer que ça commence à ressembler à 2008. Je vais devoir monter sur la toiture pour une troisième fois, j’ai «condamné» certaines zones autour de la maison, et mon trailer devient inaccessible pour le reste de l’hiver. La neige a atteint une certaine limite de hauteur. Impossible d’en mettre plus en avant de la maison; du côté de mon garage de toile, la neige est aussi haute que le garage, donc aussi haute que mon camion! Là où je vide mon patio, le niveau de la neige est aussi plus haut que le patio lui-même! L’accès au dessous du patio a officiellement disparu. Et la glace derrière la maison est plus haut que le pied de la porte, faute de verglas intensif... Bref, le neige attendue pour aujourd’hui devient plus problématique et il faudra être créatif! Mais le pire, c’est le froid qui reviendra encore. Ça finit par coûter cher de chauffer autant! Je ne sais pas trop quoi penser, sinon qu’on est vendredi, il faut sourire et se dire que nous avons bien travaillé, nous sommes fiers du travail accompli! Certains sont plus occupés à tenter de maquiller certains détails de leur vie, que de chercher où mettre la neige. Et pour ce qui est de la ville, elle devrait arrêter de se casser le bicycle avec la neige et la tirer dans le fleuve. Pas pire que de vider les égoûts, que de vider les camions de recyclage dans l’incinérateur! Arrêtez de faire semblant, arrêtez aussi de nous prendre pour des valises! Les choix que vous avez faits, à vous de trouver des solutions constructives pour VOUS en sortir! Je le sais bien, vous aimez mieux monter les taxes pour payer tout, mais la charge par citoyen commence à peser pas mal trop lourd! C’est facile de rejeter la faute sur les autres, mais à un moment donné, ça revient! Restons-en là pour tout de suite, car je veux garder mon sourire. Et comme ça fait plus d’une semaine que la laveuse n’a pas fonctionné, le réparateur vient ce matin pour changer la pièce. Nous pourrons laver notre linge et se dire que c’est mieux que d’avoir acheter deux électros neufs! On s’en reparle bientôt!

jeudi 14 février 2019

Blanc, très blanc!

Un autre matin blanc! Moins dix degrés, il tombe une petite neige. Réussir à se payer un déneigeur, c’est s’accorder plus de temps pour vivre! N’empêche qu’il nous est tombé encore un bon trente centimètres de neige, réparti avec le vent. Je vais devoir monter sur le toit pour en enlever encore un peu. Et je vais sortir ma souffleuse pour éclaircir mes allées, car impossible d’aller dans le cabanon avec autant de neige. Pourtant, j’ai passé l’hiver à les garder libre! Et si la tendance se maintient, il retombera demain. Alors il faut s’armer de courage, car il est rendu difficile de trouver où mettre cette neige. Tout commence à être enterré de façon significative! Et puis l’état de notre rue est inadmissible! Pour ce que ça nous coûte de taxes, c’est lamentable. Un documentaire sur la dictature douce, relatant jusqu’où il est possible d’abuser des gens! Je ne sais pas pour vous, mais moi, je trouve tout à fait farfelu que la ville continue de souffler sur les terrains, car la neige retombe dans la rue. Et comme le ramassage ne s’est jamais complété depuis la première neige, soit le 10 novembre 2018, il est désolant de voir une telle désolation autour de soi. Circuler à pied ou en auto, est une expérience unique. Pour les gens de l’extérieur, rester chez vous, vous ne manquez rien! Et les routes en ville doivent être vraiment dégueulasses ce matin. Nous sommes le 14 février, jour des amoureux! Donc il reste encore pas mal de neige à tomber et du temps froid. Mais comme chaque hiver est unique, on ne peut pas vraiment le savoir. Et comme aucune personne ne peut nous aider du côté de ceux qui nous dirigent et qui s’occupent des services offerts, et bien on doit attendre! Malgré une liste exhaustive de services offerts, en bénéficier est une toute autre affaire! Je me dis que le printemps arrivera à un moment donné, il suffit d’être patient et créatif! Je ne sais pas pourquoi je ne prends pas de photos pour faire une sorte de montage de trucs incroyables! Des choses qui explique bien ce que c’est que de vivre sous un couvert de glace! Bonne journée!

mercredi 13 février 2019

On passe à autre chose.

Un matin enneigé avec un bon vingt centimètres de neige de tombé! Il fait moins huit, il vente et ça continue de tomber! Je crois bien que les écoles seront fermées. Hier ne fut pas la journée escomptée, mais elle fut tout de même profitable. Chacun des dossiers qu’on réussit à faire avancer est une réussite! Aussi bien en faire le plus possible, anyway, ce qui doit être fait, nous devrons le faire quand même! C’était une journée froide, avec encore un petit vent qui vous glace... Mais ce froid s’est tassé pour laisser la place à beaucoup de neige, trop de neige! Comme je suis installé à la maison, je pourrai travailler comme bon il me semble, dans la tranquilité de mon bureau. Et si l’Institut de la Santé est fermé, Joanne restera avec moi. Hier soir nous avons mis en vente notre petit coin de paradis, au Domaine de la Chute. Déjà ce matin, certains nous expriment leur émotions par rapport à ça. Mais pour nous, c’est un une autre étape de fait. Nous l’avons essayé, et ça ne correspond pas à nos besoins de loisirs. Et je trouve que c’est plus difficile de m’occuper de tout. La maison et le petit coin de paradis. Je crois aussi que ça devient hors prix. Chaque année le prix augmente, sans compter que nous n’avons pas la même vision, Joanne et moi, de passer du temps au camping. Joanne aimerait séjourner toute la saison chaude là-bas. Moi je n’arrive pas à me faire à l’idée de revenir chaque matin à la maison pour travailler. J’ai tellement voyagé les enfants chaque matin, pour ensuite traverser sur la rive sud. Faire ma journée pour ensuite retraverser sur la rive nord pour aller chercher les enfants! Recommencer ce manège pour passer l’été sur place? Je perds trop de temps dans ma journée et ça me coûterait plus cher! Et comme les enfants ne sont pas venus de l’été dernier pour diverses raisons, notre nouvelle acquisition, absolument merveilleuse, est tellement trop grande et dispendieuse... Voilà! Alors attaquons cette journée de tempête avec un beau sourire! On se reparle!

mardi 12 février 2019

Des changements pour le mieux.

Moins vingt-et-un ce matin! Il semble que ce soit normal pour un 12 février. Mais il fait froid depuis un bon moment. Et nous sommes en veille d’une tempête, annoncée sur tous les réseaux de météo! Alors à vos pelles, on va continuer de se faire les bras! Cameron est au Domaine Forget, Vicky semble partie pour un moment et Joanne est déjà partie au spinning! Donc je suis seul depuis six heures ce matin. Je me sens de mieux en mieux, le manque de soleil se faisant sentir, il faut piger dans certaines réserves pour y trouver le sourire! Nous allons mettre en vente officiellement notre roulotte et tout notre aménagement cette semaine. Ça me fait quelque chose, mais je crois que cette décision est bien réfléchie; nous y pensons depuis l’été 2017. Je ne sais pas pour vous, mais du camping sans les enfants, sans découvrir de nouveaux endroits, c’est étrange! Et d’avoir à s’occuper de deux places de vie, je n’y arrive pas vraiment. Et comme les dernières années furent plus dures financièrement, c’est sûr que de vendre le tout aiderait vraiment beaucoup le budget. Pour en revenir à la tempête, je me demande bien où je mettrai la neige à certains endroits. Et ça va m’obliger à remonter sur la toiture pour en enlever une autre couche. Et je pense que je vais aller faire un tour au camping pour faire des vérifications de base. Mais si cette «bordée» peut chasser le vortex polaire pour un moment, je ne m’en plaindrais pas! Tellement tanné de payer du chauffage! Tanné aussi de déneiger, de déglacer! Un hiver de toutes les précipitations! Neige abondante, verglas, grisil et pluie! Et puis nos routes en souffrent. Traverser le pont Laporte est une sorte de slalom entre les trous, prédateurs de nos suspensions et pneus... Je n’ose pas embarquer dans ce virage qui gâcherait ma journée! Donc on continue de rester positif dans cette grande période où lumière du soleil veut dire «on gèle». Bonne journée!

lundi 11 février 2019

Lundi matin.

Ouf! Voir une photo de ce personnage de théâtre à l’assemblée nationale, c’est comme si je voyais les taxes monter encore un peu. Non mais on s’est fait fourrer pas à peu près aux dernières élections! Un gouvernement qui ne s’occupe en aucun cas des personnes qui l’ont élu! On dirait un remake des élections municipales! Pourquoi nous faire ça? COmbien de temps pensez-vous que l’élastique va continuer de s’étirer? Je ne sais pas pour vous, mais ke mien commence à perdre de sa souplesse. On dirait que ça commence à affecter ma santé mentale. J’essaie de comprendre ce qui arrive, de vraiment rester debout et affronter tout ça, mais j’ai bien plus le goût de partir. Laissez-nous tranquille avec vos rêveries qui nous coûteront encore plus cher! Vous êtes insatiables! Vous êtes comme les autres qui veulent syndiquer la terre entière! Vous avez oublié pourquoi vous êtes là! Vous avez mis de côté la vraie raison pour laquelle vous fûtes formés à la base! Je pense que les artistes veulent retourner dans le temps, alors que les meilleurs «séducteurs» vivaient à la cour du roi. Maintenant ils vivent dans le cercle des dirigeants. Les autres, ceux qui recrutent et signent des conventions, vous outre-passez l’entendement humain, vous vous foutez complètement de vos membres, seul les argents récoltés vous intéresse! Et c’est désolant! Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, je ne vois aucune porte de sortie, seulement des façons «d’adoucir» ce mal. On dirait que nous avons une maladie incurable, à laquelle on ne peut qu’avoir un certain soulagement. Impossible de s’en sortir. EN tant que président de la chambre de commerce de mon milieu, je ne peux que me sentir mal. Voir ces gens, payer pour nous fourrer! Ils prennent notre argent pour nous étouffer! En œuvrant dans un milieu bénévole, je veille à ce que notre groupe ne gaspille en rien l’argent de nos membres. Je m’assure de redonner au maximum pour valoriser et bien représenter les commerçants. Ceux qui se mettent la tête sur le billot. Alors on s’en reparle le plus tôt possible, bon lundi matin, moins dix-huit degrés!

vendredi 8 février 2019

Donner du temps.

Vendredi matin, il fait zéro degré. Encore une autre couche de glace! Ça fait du bien d’en parler, de ventiler un peu. Mais nous sommes vendredi, et rien ne peut gâcher un vendredi. Justement, vendredi dernier, je me demandais donc si tout irait bien pour le Jack Fest. Quelle serait la température. J’ai réussi à faire le service sans mettre de gants! J’ai parlé très fort sans micro tout l’événement, si bien que le lendemain je n’avais plus de voix. Mais la joie qui m’habitait, la gratitude que j’éprouvais, ça donne des ailes! Des ailes en pensées au moins, car ça m’a prit trois jours avant de me sentir un peu moins fatigué. La prochaine fois, nous prendrons nos vacances après le Jack Fest! N’empêche, je suis vraiment fier de ce que nous avons accompli! Même si des fois je m’arrêterais pour reprendre mon souffle, pour réfléchir un peu plus longtemps, le simple fait d’avoir ce sentiment d’avoir aidé... Quand il ne reste qu’à aimer! Ce matin je vais sur la Rive-Sud travailler sur un camion. Enveloppement des tanks, lettrage pour un bon gars, une personne qu’il faut apprendre à connaître. Il y en a tellement des gens qu’il faut apprivoiser, leur laisser le temps. Du temps pour s’exprimer, pour s’ouvrir. Bien sûr, il faut être patient, savoir écouter et sourire. Sans sourire, c’est comme commencer une partie de baseball avec deux prises. Et puis, le sourire est le plus beau vêtement que vous pouvez vous offrir! Alors même si je ne suis pas aussi en feu qu’hier, ne vous en faites pas, ça va aller. De toute façon, le temps passe quand même, aussi bien être efficace et heureux!

jeudi 7 février 2019

En feu!

Ce matin, stimulé au maximum par le fait de prendre du mieux, de me sentir plus reposé, de m’être levé sans mon cadran, je vire comme une abeille dans la cuisine, et je me lance dans une brassée de lavage lorsque... Ouch! La laveuse est en train de nous lâcher! Elle fait un de ces bruits...impossible de se parler tellement c’est intense! Donc une dépense de plus. Mais ce ne sera pas assez pour rabaisser mon enthousiasme! Même si la journée de mardi est à oublier, je tiens à mes valeurs, et je recueille l’énergie que les gens m’ont laissée samedi dernier, pendant le Jack Fest. Je dois prendre sur moi, contenir le volcan, respirer régulièrement et continuer de me concentrer sur le possible. Et les choses que je ne «sens» pas, alors on les laisse passer. Bref, j’ai le goût d’être heureux. Ne pas laisser les autres, ni quoi que ce soit venir ternir ma joie de vivre! Et j’ai le sentiment de vouloir vivre, vivre le privilège d’être en vie, le cœur rempli d’amour à partager. Au diable les éteignoirs, ceux qui nous «disent» comment respirer, comment agir! À moi de rester positif, de répandre mon ardeur, ma ferveur! Je me dis que je vais trouver des solutions à mes maux, comme je l’ai toujours fait. Je sais que des fois, je suis un brin trop heureux ou trop tannant, mais sans cette énergie, je n’aurais jamais passé au travers! Survécu aux tempêtes de la vie! Voilà où j’en suis ce matin. Plein de vigueur, plein d’amour, prêt à partager! Merci de me donner tout ça!

mercredi 6 février 2019

Je suis l’artisan de mon bonheur.

Hier ne fut pas ma meilleure journée. Rempli de bonnes intentions, quelqu’un a frappé sur une vieille blessure, et on aurait dit qu’elle n’avait jamais guérie! Le reste de la journée fut très dur. J’ai finalement passé au travers, me disant que je me devais d’être fier de moi, de ce que j’accomplis. Si je laisse les autres briser mon bonheur, c’est que je leur laisse toucher mon cœur! Alors je dois apprendre à fermer mon cœur, utiliser mon bouclier, celui qui me protège depuis toujours! Ce matin, mis à part le fait que je me sentais tellement vide d’énergie, embarquer sur mon vélo m’a fait le plus grand bien. Y a rien comme un peu vélo pour se remettre en marche. J’en connais qui devraient se trouver eux aussi une façon de faire passer le méchant, de s’extérioriser autrement que sur le dos des autres (nous les citoyens). Lire que la SAQ paiera pour nettoyer les vitrines de leurs succursales, c’est rire du monde pas mal. Déjà que nous payons leur augmentation de salaire, il faut aussi payer pour leur vandalisme! Ya-t-il un endroit au pays où il est possible de ne pas tout donner ce que nous gagnons? Y a-t-il moyen de vivre simplement, dans un endroit où l’on a pas l’impression de se faire avoir? Quand je broie du noir comme hier, on dirait que je perds l’étincelle qui guide mon sourire. Aujourd’hui, j’ai l’intention de me reprendre, de vouloir encore un peu plus et faire de ma journée une réussite! Et puis je dois apprendre à dire non, à suivre mes propres idées. Même si les enfants sont tellement contrariants, je dois continuer de les aimer, de les aider. Mais je suis le seul artisan de mon bonheur, alors je me dois de le protéger! On se reparle.

mardi 5 février 2019

Simonac!

Encore un matin de verglas! Au moins le Jack Fest est derrière nous! Mais tout de même, encore des chemins glacés, encore de la glace partout! Je me demande comment ça va pour les écoles, car cet hiver, les écoles sont restées ouvertes, même l’autobus n’a pas réussi à se rendre! Je viens d’entendre que l’école de Cameron sera fermée. Il avait une reprise d’examen. Encore des choses de remis à plus tard! C’est un hiver qui commence à faire chier royalement! Dommage, c’est rien pour m’aider à aimer cette saison! Ça va geler fort par la suite, mais ça va dégeler pour refroidir à nouveau! Ouin, il faut s’atteler de courage pour garder le moral en ce mois de février. Des fois je pense que je devrais m’enterrer et continuer de penser à des solutions. Mais ça laisserait la voie libre à ceux qui s’amusent à définir tout autour d’eux! Comme je tiens à mes idées, je dois garder le cap et me concentrer sur ce que je peux faire, ce qui est possible pour moi. Le reste devient fiction! Sans exagérer, je vais en profiter pour continuer à faire du ménage. Je vais aussi apprendre de nouvelles choses sur la vie, comme chaque jour qu’il m’est donné de vivre sur cette boule qui nous accueille depuis longtemps! Et en tout modestie, je me demande si tout le monde est conscient de ce privilège, celui de vivre! Bon je vais devoir y aller, il faut avancer!

lundi 4 février 2019

On repart!

Enfin de retour à la réalité! Non pas que cet épisode de vie fut ennuyant ou encore trop dur, mais quand on sort autant de sa routine, il devient impératif de revenir à un moment donné dans ses pantoufles! Bref je viens de faire une heure de ménage des suites du Jack Fest. Nous en avions fait déjà beaucoup depuis hier matin, mais certaines choses demeureraient en suspens, et il en reste encore à faire! Mais que dire de plus que «MERCI!» de m’avoir accorder encore la force de réaliser cet événement pour le moins unique et rassembleur. Réunir des gens pour la cause dehors, en début février, pour boire et déguster des produits Jack Daniel’s. Convaincre des gens de payer un certain montant pour venir s’amuser à un événement haut en couleur, rempli de surprises, à des températures souvent trop froides. Se réchauffer auprès du feu en réseautant avec d’autres gens. Se permettre de donner plus de force à la recherche contre le cancer. Et repartir avec des prix, de bons souvenirs et ne pas avoir l’impression que quelqu’un est venu me solliciter, encore une fois! Une bulle au cerveau qui fait du chemin! Tellement fier encore une fois de cet accomplissement! Plus de 3000$ dollars pour la cause! DOnc c’est officiel, Joanne et moi faisons partie de Team Thibodeau - LADO. Nous allons pédaler encore une autre fois le Cyclo-Défi Endbridge et aussi le défi vélo Parkinson! Nous allons pédaler pour la cause, ensemble! Encore fatigué de tout ce déploiement d’énergie, je me retrouve en ce lundi matin, rempli de gratitude. Le corps encore endolori, un peu frileux, d’avoir passé autant de temps dehors à des températures sous les moins dix depuis trop longtemps, je trouve que ce matin, avec moins huit degrés, c’est plus raisonnable! En écoutant le Super Bowl, je me disais que c’était le repos du guerrier. Et ce matin, après avoir fait encore un peu de ménage, il fallait bien reprendre mes esprits, revenir à la réalité, celle de travailler, de parcourir la vie et toutes ses aventures! J’aimerais bien faire une sorte de bilan de cette édition 2019 que fut le dernier Jack Fest. À peine revenu du temps des fêtes, occupé à pelleter et déglacer depuis trop longtemps déjà, il fait bon de savoir que cette portion de l’hiver est derrière moi. Derrière nous, ma Douce moitié et moi. Je suis vraiment comblé par la vie et je sens que ça va continuer. Alors fonçons dans cette première semaine de février, en souhaitant que dame nature nous épargnera un peu plus que durant les trois derniers mois!

Au revoir, Jacques…

6 degrés ce matin! Rendu en haut de la côte de l'aéroport, il s'est mis à pleuvoir! Mais c'était tout de même une fantastique ri...