lundi 31 août 2020

Une nouvelle semaine

Lundi matin, il fait neuf degrés, quelle fin de semaine humide (mouillée) et froide! On se serait cru au mois d’octobre! Mais bon, nous sommes allés en vélo vendredi matin, aller retour les Chutes Montmorency! Bon pour soixante-deux kilomètres. Avec un vent très fort, il fallait pédaler solide pour revenir. Et nous sommes allés en décapotable faire un tour sur la rive sud en soirée, pour souligner l’anniversaire de Marilyne. Samedi, la journée déluge. Nous nous sommes tout de même bien amusés! Nous avons même pris un SPA sous la pluie! Quel déluge et quel vent! En soirée, un peu de cinéma maison, avec Avengers, End Game. Un vrai chef-d’œuvre! Et hier, nous avons pas mal finaliser le gazebo en installant l’électricité. Encore très venteux et froid. Dans la soirée, vers 19:30-20:00, le vent est tombé, nous sommes allés relaxer dehors, sous le gazebo, c’était très confortable! Et ça fait du bien de prendre des distances avec l’actualité! Il y a de quoi virer fou! Même sans le vouloir, le sujet revient souvent à toute cette incohérence, ce manque d’efficacité de la part des différents gouvernements. Je ne gâcherai pas mon lundi matin avec une montée de lait, il me reste encore du temps pour le faire plus tard! JOanne est partie pour la semaine à Drummondville, elle trouve ça lourd toutes les mesures, tout les procédures...Bonne semaine!

jeudi 27 août 2020

Fatigué dans ma tête.

Cinq degrés ce matin, ça commence à être froid en vélo. Hier, j’ai filé un mauvais coton. Je suis fatigué de vivre dans une société gérée par un système de marde. Un système tout croche qui invente des jobs pour ses amis. Un système complètement perdu, qui semble offrir plus de service qu’ailleurs, mais quand tu en as besoin, il faut vider son sac de patience plusieurs fois! Avant le lockdown, j’étais déjà vidé de m’endurer à évoluer dans cette société; depuis le confinement, je suis si triste, qu’il m’est difficile de faire mes journées. Je me perds dans mes pensées, j’ai de la difficulté à rester concentrer, ce qui me faisait «pomper» avant tout ça, continue de le faire, mais il y a eu plusieurs ajouts... Premièrement, s’humilier à demander de la PCU.... Ensuite, accepter de travailler avec une gaine pour plus de «confort» avec la blessure qui m’a fait sortir un hernie! Puis le prix d’à peu près tout a grimpé! Pourtant, en moyenne, tout était déjà trop cher! Le prix de l’essence qui est demeuré beaucoup trop cher par rapport à celui du marché! Toujours en attente pour un rendez-vous avec un orthopédiste, référé par mon médecin! Neuf mois d’attente jusqu’à présent. Sans oublier toutes les mesures sanitaires mises en place par nos dirigeants! Mesures obligatoires sous peine d’amendes! On dirait la loi martiale! Puis, toujours les deux clients qui continuent de me tirer du jus, pour avoir encore et encore plus d’argent! Phénomène incompréhensible de ma part. Pourquoi vouloir toujours plus d’argent? Encore et encore... Nom de dieu, qu’est-ce que ça donne? Et pourquoi écraser une personne comme moi, qui veut leur bien? Je dois les rayer de ma vie. Pour ma part, même si je voulais en faire plus, je ne sais pas comment. Mais je me demande pourquoi en avoir toujours plus? Ils ont déjà un train de vie tellement vite! Comme s’il fallait vivre la vie de tout le monde en une seule année! Bref, tout ça m’épuise tellement. Et je ne vous ai pas parlé de mes enfants. Pas sûr non plus que ça me tente. Bref, j’ai passé un bout de journée pas terrible. Mais je suis fier de mon dernier dessin. Il laisse passer la lumière au dessus du volcan! À plus!

mercredi 26 août 2020

S'aimer soi-même, pour toujours!

Est-ce que c’est mal de s’interroger sur les consignes IMPOSÉES par les dirigeants en place? A-t-on le droit de se demander s’il existe un autre chemin pour passer au travers du problème? Le vrai problème, c’est que certaines personnes pensent ou agissent pour plaire aux autres. Ainsi, ils pensent bien faire, et surtout se faire aimer! Ça finit par être lourd, pour soi-même, mais aussi pour les autres. Et puis, à quoi bon s’effacer pour se faire apprécier? Ils finissent par se rendre compte qu’ils ne s’aiment plus; qu’ils ne sont plus dignes d’eux-mêmes! Bien des drames sont causés par ça. Des petites chicanes aux tueries. Ce qu’on peut faire aux autres parce que l’on ne s’aime pas soi-même. La première déclaration que je veux vous faire, c’est: « Je m’aime ! » Mais avant, faudrait savoir ce que c’est, s’aimer. S’aimer vraiment. S’aimer, ce n’est pas penser qu’on est le meilleur. Qu’on est plus beau que les autres, plus fin que les autres, plus intelligent que les autres. S’aimer, ce n’est pas se servir en premier. Et ne penser qu’à soi. Ça, ce n’est pas s’aimer. C’est se mentir. Parce que si chaque personne pense qu’elle est meilleure que les autres, c’est que tout le monde se ment. Et se mentir, c’est le contraire de s’aimer. C’est nier sa vérité. C’est se cacher derrière nos cachettes! S’aimer, ce n’est pas avoir besoin de se mesurer aux autres pour apprécier qui l’on est. S’aimer, c’est réaliser qu’on est un mélange de nos parents, de notre famille, de notre société, de notre culture, de notre environnement, de nos amis, de nos lectures, de nos voyages, de notre isolement, de nos joies, de nos peines, de nos désirs, de nos présences et de nos absences. Toutes ces choses ont forgé notre personnalité, notre Amour propre! Personne n’a la même expérience! Nous sommes tous uniques! Donc incomparable. On n’est pas le meilleur des autres. On est le meilleur de soi. Si on s’aime! Parce que si on ne s’aime pas, on peut rapidement devenir le pire de soi. Et ça, c’est… S’aimer, c’est se dire à soi-même : « Écoute , on va passer la vie ensemble, on n’a pas tellement le choix, alors on va tout faire pour profiter de chaque instant. Parce que ça ne dure pas longtemps. » S’aimer, c’est embrasser sa réalité. Et ne jamais se laisser tomber. Une fois qu’on s’aime, on fait quoi ? On va vers les autres, pour que cet amour-là fasse des petits. Dans tous les sens du mot. Et on répand notre sourire, comme une pandémie! Admettons qu’on y arrive, qu’on réussit à s’aimer soi-même. Que tout s’éclaircit dans notre tête et dans notre cœur. Comment fait-on pour que les autres s’aiment eux-mêmes, aussi ? Parce que tant qu’ils en seront incapables, on risque d’en payer le prix. On fait quoi ? On les aime. On les aide. Et surtout, on leur sacre patience. Arrêtons de juger tout le temps ce dont l’autre a l’air, ce que l’autre fait ou ne fait pas. Arrêtons de se faire une idée de l’autre à partir de ce qu’il porte comme vêtements; comment peut-on juger la valeur de quelqu’un par rapport à ses études? C’est le jugement qui ferme les gens. Qui les fait pourrir par en dedans; des fois jusqu’à en développer un cancer! Et quand ça sort, ça fait mal. À tout le monde. Faut arrêter de mettre des gens dans des cases. Personne n’est bien dans une case. C’est trop étroit. C’est peut-être rassurant. Ça fait ordonné. Mais ça fausse toutes les données. Quand on joue au hockey, on a besoin de savoir qui fait partie de quelle équipe. Pas dans la vie. Dans la vie, on est tous dans la même équipe. Pas besoin de se catégoriser. De s’ajouter des préfixes. Ne laissez personne vous définir! Avant d’aimer l’autre, il faut le respecter! Pour dominer les peuples, rien de mieux que de leur faire croire que leur malheur est dû aux autres. À une race. À un sexe. À une classe. À un virus. En profiter pour se proclamer «sauveur», ça rassemble pendant un moment, et ça fait oublier la vraie nature du problème : ceux qui veulent dominer! Des gens qui ne s’aiment pas s’unissent avec des gens qui ne les aiment pas. Et ils veulent contrôler votre savoir, vos ambitions, et ils sont jaloux de votre sourire! On ne s’en sort pas. Des gens qui s’aiment s’unissent avec des gens qui les aiment. Il faut s’aimer. S’aimer à 1, à 2, à 100, à 1000, à 8 millions, à 8 milliards!!!

La belle province...?

Onze degrés ce matin, quel beau temps pour aller en vélo! Hier, nous avons eu droit à de la pluie, mais quelle averse! Heureusement que c’était court! Mais le plus triste, c’est d’avoir constater qu’en partageant une vidéo qui circule sur Facebook, il apparaît un avertissement! Pourtant, les gens publient et partagent des tas de choses, plus ou moins crédibles, Parfois, même des images très offensantes ou encore dégueulasses! Mais là, c’était une vidéo qui parlait du corona virus. Le message nous demandait si on voulait quand même partager étant donné qu’il contenait des infos non confirmées sur le corona virus. Et une fois partagée, la lien ne s’affiche pas. Donc c’est confirmé, les infos, ce que nous publions autant que ce qui circule sur Facebook est contrôlé! Là on parle de dictature! Vous pensez qu’en Chine, les gens ne sont pas libres? Pas besoin d’aller si loin pour constater ça, ici, au Québec, l’internet est surveillé et contrôlé! La liberté d’expression est morte! Il semble que de s’interroger sur les décisions que prend le gouvernement soit interdit. Car si vous dites tout haut ce que vous pensez tout bas, alors vous risquez des représailles, mais aussi votre job! Des mesures de guerre, mais aussi de l’intimidation! Il faudrait que ça arrête un jour. Je sens que les choses vont s’envenimer de plus en plus. Avoir la preuve que tout le contenu qui circule sur Facebook est contrôlé, comme sur Twitter et Instagram, imaginez le reste de votre vie! Vous pensez que vous êtes dans un pays libre, dans une démocratie...!? La situation ne peut continuer encore bien longtemps. Fuck la démocratie de la belle province, car c’est une supercherie! De toute façon, peu importe le parti au pouvoir, c’est toujours la même chose. Plus d’état, plus d’employés de l’état, plus de taxes, un coût de la vie qui monte tout le temps! Il faut se sortir de cette impasse! Même si ça fait des années que j’en parle, on dirait que les gens commencent à réaliser qu’ils se font fourrer, en plein jour, sans avoir donner la permission à qui que ce soit! Pour ma part, je tiens ce blogue depuis plus de dix ans, et je ne me souviens pas d’avoir été positif par rapport aux décisions et aux agissements des dirigeants en place! Alors il faut du changement, et vite! Sinon la vie pourrait devenir autre chose que ce qu’on connaît! À plus!

mardi 25 août 2020

Tellement tanné!

Quel matin mouillé! Se lever avec une telle noirceur en août, avec des éclairs pour agrémenter, c’est un phénomène à vivre! Dix-neuf degrés, en route vers une descente de température qui sera remarquée... Je pense à mon cabanon qui n’est pas commencé, même pas un morceau de bois d’acheté... Je pense à la cuisine, celle qu’on doit rénover, alors que les armoires achetées sont toujours à St-Lazare... Le temps passe, il ne reviendra pas. Je me disais qu’en faisant du camping, le temps passait tellement vite, sans jamais revenir. Et à la fin de chaque saison, je me disais que ce que tous les travaux n’étaient que partie remise. Après un été sans vraiment de camping, mais aussi sans vraiment d’argent, les choses ont bougé. Mais elles doivent bouger encore plus! Joanne a recommencé à travailler à l’extérieur, j’ai du temps, par contre, j’ai moins de gaz. Depuis cette blessure, mon entraînement n’est plus ce qu’il était, et, je me fatigue plus vite. Des défaites? Peut-être, mais je souffre du diktat en place, je pleure de ne pouvoir faire ce que je voudrais faire. Et comme le suivi tardif sur ma santé mentale est une véritable farce, je dois me résoudre à continuer de bâtir mon monde parallèle. Je suis allé faire du vélo hier soir, car je me doutais bien que ce serait très mouillé ce matin. Mais je suis allé faire un peu de muscu, pour me permettre de continuer ma journée avec un sourire. Parlant de sourire, il est toujours caché en lieux publics fermés, et ça commence à être vraiment dur sur le moral. FIles d’attente, lavage de mains avec du produit trop liquide et douteux, distance aléatoire, et le sourire des travailleurs, toujours masqué... En plus d’avoir fermé l’économie, notre gouvernement, celui pour qui j’ai voté, continue d’imposer, oui, IMPOSER, des règles incohérentes, avec une attitude questionable! Mais il semble que les médias soient là pour l’épauler dans son régime de peur; et pour ceux qui veulent être heureux et continuer de gagner leur vie, eh bien, prenez un numéro! Il faut que ce soit épeurant, il faut que ce soit dramatique! Crions au loup! Pourtant, depuis juin, les chiffres nous montrent bien que tout cela est ridicule, que toutes ces mesures ne sont que de la poudre aux yeux! Car il n’y a plus de décès ou presque. Tout est plus dangereux que ce virus. Surtout les moyens entourant les façons de l’éradiquer! Vous détruisez notre vie de plus en plus! Et vous semblez ne pas réaliser tous les dommages encourus! Je ne pense pas que je pourrai oublier cette dictature de si tôt; depuis la fin du mois de mars, rien n’est plus comme avant, et on dirait que ça amuse certaines gens, puisque ça dure et ça dure... Pour moi, c’est le sentiment qu’on m’a enlevé du temps pour vivre, et ça, ça ne se remplace pas! Alors un jour, le retour du pendule arrivera... Bonne journée.

lundi 24 août 2020

Vivre avec des délais

Frais ce matin, quatorze degrés! J’ai l’impression de vivre sur une autre planète, ma Bibi est déjà partie vers une autre semaine à Drummondville. Accréditation de l’équipement pour les cliniques de cet hiver. Le temps file à vive allure, alors que le délire «covidien» se poursuit et gruge nos idées, nos projets. Autant cette folie nous aura permis de réaliser qu’il fallait vivre, elle nous aura aussi enlever du temps précieux! Loin de me douter des véritables retombées, je me disais que ce serait horrible; mais c’est plus subtil, plus hypocrite. Comme si notre société avait le diabète, une sorte de maladie qui la détruit doucement... Une chose est sûre, j’ai terminé les trois camion de bière, et c’est une très bonne chose. Ensuite, nous avons passé une formidable fin de semaine. À commencer par vendredi soir, où nous avons partagé du temps avec Alain et Ginette. Merveilleux temps partagé aussi avec René Lajoie. Ce fut merveilleux. Samedi matin, nous sommes allés en vélo; très musculaire, mais aussi cardio! Belle température, pas trop chaud. Et j’ai trouvé du bois pour terminer le gazebo! Je m’y suis attaqué solide, histoire de fermer enfin l’arrière de ce nouveau monument qui fait maintenant partie de nos moments de relaxation. Et comme il annonçait un dimanche plutôt pluvieux, nous avons fait fi de ces infos, et nous avons passé une formidable dimanche, qui nous a permis de compléter les rampes du patio. Un look industriel avec ces cables improvisés! Il me reste à déterminer de quelle façon je répartirai l’électricité qui se rend au gazebo. Car un nouveau projet m’attend, celui du cabanon. Mais comme l’automne arrivera, il faudra aussi penser aller chercher les armoires qui nous attendent en d’autres lieux. Autre projet qui se perd en délais à cause de ce que vous savez très bien. Juste prononcer les mots «corona» ou encore «covid» est devenu très irritant, comme si prononcer ces derniers allait pourrir notre journée en cours... Incroyable, car mes objectifs premiers pour 2020 étaient très clairs, soit faire descendre la marge de crédit. Rien n’est descendu vraiment, sinon le montant que je dois sur mon camion. Fin août, rien n’est perdu, la vie continue, je vais bien, en attente d’une chirurgie. Je n’hésite pas à prendre des initiatives qui pourraient faire que je serai en forme encore longtemps. Et j’entends bien continuer à travailler pour moi, question de garder un peu de liberté dans ma vie, car ce n’est pas notre société qui nous en donne! Bonne semaine!

vendredi 21 août 2020

Lamentable!

Je ne peux pas laisser passer ça sans en parler, sans l'écrire! Je viens de terminer mon entretien avec un dénommé Michael Mercier. J'ai été référé pour un suivi psychologique suite aux propos discutés avec mon médecin de famille. Lesquels sont mon écoeurite aigüe face à toutes les incohérences de notre société, toutes les aberrations que nous vivons depuis l'arrivée de la covid. MOi j'étais content d'avoir enfin du suivi! Mais l'intervenant de ce matin m'a lui aussi référé en psychologie au CLSC. Il m'a dit que ça allait prendre minimum trois mois avant que quelqu'un m'appelle pour continuer le suivi... Et il m'a demandé si ces mesures me convenaient. Je lui ai dit que je trouvais ça lamentable, comme tout le système du Québec en entier! Après une pause, il m'a aussi dit que j'étais mal pris, entretemps, que je pouvais aller au privé! Wow! Ça mériterait un trophée! Tout un champion, comme les autres qui s'occupent de mes enfants! Y a-t-il vraiment une solution à toute cette merde? J'en ai plus qu'assez! Attachez-moi quelqu'un, je ne serais plus capable de répondre de moi-même! Je pense que c'est la goutte qui fait déborder le vase...

jeudi 20 août 2020

Inconfort.

Dix degrés ce matin, ça se refroidit en vélo le matin. J’y suis allé aussi hier soir, à la brunante, la vitesse à laquelle l’air se refroidit est impressionnante! Par contre, la façon dont les gens comprennent et assimilent ce qui se passe autour d’eux, c’est aussi surprenant par la lenteur dont tout ça se produit. Une chose est sûre, le climat de peur, je ne le ressens pas; par contre, la grogne générale est palpable! Et comme je n’écoute plus rien à propos des mesures gouvernementales, je suis toujours surpris de constater qu’il y a une certaine progression; pas vraiment vers quelque chose de meilleur, mais il y a des modifications. Et comme nul ne peut se soustraire à la loi, nous voilà bien avancé! Une chose est sûre, ma patience est très sollicitée, mais surtout, l’incohérence de tout ça ne cesse de me harceler. Il n’y a pas résilience dans tout ça, juste des aberrations! Comment faire pour survivre à tant de non sens? Pourquoi garder la population en otage, ainsi que son économie? Vous aurez besoin des fonds publics pour continuer, mais vous les dilapidez! On dirait que vous êtes en train de tester l’humeur des gens; jusqu’où vous pourrez leur soutirer du bien! J’ai beau chercher la logique, une explication à toutes vos balivernes, il n’y en a pas. Certaines ont tellement peur qu’ils ne font qu’écouter et suivre. D’autres ne veulent pas être responsable de quoi que ce soit, alors ils emboîtent le pas. Mais pour d’autres, comme moi, il n’y a rien de simple. Déjà depuis des années, mon inconfort à vivre écrasé par un système qui vient vous enlever tout votre argent et toute votre bonne humeur, ne faisait que croître. Mais depuis quatre mois, l’état de guerre instauré par nos représentants déconnectés est une véritable plaie! Hier, j’ai discuté pas mal avec des gens qui composent à leur façon avec tout ça, et ça m’a fait du bien! Les jobs décalent, ça rallonge la semaine, et ça met de la distance entre les factures... Mais bon, ma Bibi revient ce soir, c’est toujours ça. À plus!

mercredi 19 août 2020

Ça refroidit.

Dix degrés ce matin! Très brumeux! J’ai dû m’habiller plus chaudement pour aller pédaler. On dirait que la saison chaude prend un virage. Ça ne me le dit pas tellement, surtout que les bons moments dehors, c’est ça qui est revitalisant. Revitalisant dans un monde où les gens ont plié, où les gens ont accepté de se laisser mené. Essayez de courir à plat ventre! Vous allez finir par réaliser que ce n’est pas comme ça que avance! Et je souffre de savoir que des gens se foutent carrément de l’être humain. Pour eux, tout s’achète. sinon il travailleront d’arrache-pied jusqu’à leur mort pour pouvoir l’acheter! Pouvez-vous m’expliquer comment se fait-il que certaines gens n’ont jamais assez d’argent? Le but ultime dans leur vie, avoir encore plus d’argent. Bien sûr, ils ont souvent un train de vie incroyable, insoutenable! Pour moi, c’est vraiment une corvée de côtoyer ces derniers. Ils n’ont pas les mêmes valeurs que moi, ils sont sur une autre planète. Je n’ai rien contre, mais que c’est dur de passer du temps avec ce type de personnes. Pour eux, la vie des autres semble une perte de temps. Ils n’ont pas les mêmes préoccupations. Ils sont à un autre stade dans leur vie. Ils performent leurs journées, chaque seconde se doit d’être une réussite. L’esprit de compétition doit tout vaincre sur son passage. Et le plus remarquable, c’est qu’ils ne semblent pas s’en rendre compte. ALors je ne sais pas comment faire autrement que de prendre mes distances avec eux. Comme j’ai bien de la misère à «dealer» avec les mesures de guerre imposées en place depuis trop longtemps, mes journées deviennent vite un endroit où je n’ai pas le goût de voir du monde. Pourtant, je m’ennuie, je voudrais sortir au grand jour, confier au ciel toutes mes idées, tous mes projets! Bien que je sois comblé côté énergie, je sens une certaine lassitude devant un quotidien qui ne m’inspire rien d’autre que l’incertitude. J’ai beau me dire que je dois continuer en suivant les objectifs que je me suis fixé, on dirait que la hantise d’un futur masqué et rempli de restrictions me fait peur. Je suis allé acheté du bois, hier soir, quelle ne fut pas ma surprise de voir à quel prix c’était rendu! Cela ne m’enchante guerre devant mon projet de gazebo qui n’est pas encore terminé, mais aussi devant celui d’un cabanon qui me conviendrait enfin! Mais restons positif, je pense avoir survécu à pire. Dans ma tête, un peu de démence, illustrée hier sur papier Canson... On s’en reparle...

mardi 18 août 2020

Clarifions les choses!

Je voudrais exprimer un sentiment que j'éprouve présentement. Quand je fais du vélo, je porte un casque, car je suis convaincu que cela peut me protéger. Je fais pas mal de vélo dans une année, les chemins ne sont pas bien entretenus, et je ne suis pas seul sur la route! Mais personne n'est obligé de porter un casque, c'est un choix personnel. Et jamais je n'écris un article sur le port du casque en vélo. Jamais je ne vais tanné quelqu'un avec ça. Alors je me demande pourquoi je suis obligé de porter un masque? Si des gens veulent en porter un, parce qu'ils sont convaincus que cela peut les protéger, alors qu'ils en portent un! Mais laissez-nous tranquille avec ça! Ça devrait rester un choix personnel. Comme je l'ai déjà mentionné, vous nous enlevez déjà tout notre argent, laissez-nous au moins le droit de décider de quelle façon nous allons respirer!

Assumez vos choix!

J’arrive d’une belle ride en vélo. Il faisait vraiment sombre, mais c’était cool. Maintenant, j’ai des petites lumières devant et derrière, pour bien signaler ma position aux autres! Quinze degrés, pas si mal. Le sol était mouillé, mais il ne pleuvait pas. Comme j’étais allé me promener en «gros vélo» hier soir, ça me faisait drôle de retourner sur mon vélo de route. Hier soir, au lieu de prendre une marche, j’ai pris mon «Surly» pour aller reconnaître d’autres endroits. En passant au travers d’un boisé, j’ai dû faire un peu de portage, mais somme toute, ce fut très amusant, et intéressant musculairement parlant! Pour le reste, ce fut un lundi bien rempli, alors que l’ouvrage continue de rentrer. Rien n’est plus comme avant, mais je vois une sorte de progression. Par contre, je dois dire qu’une certaine grogne commence à se faire sentir chez les gens. Il y a ceux qui ont peur, mais il y a plus de gens qui sont tannés des mesures de guerre! Après avoir installer une peur pandémique, on dirait que nos dirigeants ne savent plus quoi trouver d’autre pour nous garder prisonniers. Certains attendent d’autres mesures, d’autres n’attendent que d’avoir la paix. Je suis de ceux qui veulent la paix; ceux qui sont tannés de se faire dire comment agir. Quand un gouvernement te dit que tu dois identifier ta vaisselle lors de tes soupers entre amis, qu’il te dit aussi le nombre d’amis que peux inviter... Y’a toujours des estis de limites!!! Pour ce qui est du port du masque, je crois que c’est un choix personnel. SI vous pensez que vous devez porter un masque, alors portez-en un! Mais que ce soit une mesure obligatoire, il ne faudrait pas charrier! La farce a assez duré! Rendez-nous nos vies! Et comme je le disais avant tout ça, laissez-nous décider pour nous mêmes! Ça fait des années que vous ne nous laisser pas d’argent, comment voulez-vous qu’on fasse quoi que ce soit? En plus, vous voulez mettre la faute sur les autres? Allô! Prenez vos responsabilités! Vous avez créé les CHSLD, à vous de régler le problème! Comme vous avez créé les garderies subventionnées pour tous! Comme vous avez laissé les syndicats implanter des règles qui ont ni queues, ni têtes! Quel modèle de société lâche et sous productif! Ce n’est jamais la faute de personne, et nous sommes les meilleurs! Il faudrait commencer par faire quelque chose pour pouvoir être les meilleurs! Et ceux qui ont merdé, eh bien subissez les conséquences de vos choix et de vos actes!

lundi 17 août 2020

Où est passé notre vie?

Lundi matin, il fait seize degrés, nuageux. Une fin de semaine très bien. Mais une nuit plus ou moins, à cause du plus jeune qui s’est cru à l’hôtel! Promenade dans le corridor, du bruit constant, et surprise en me levant, des maillots dans la salle de bain, des serviettes, des gens de plus qui sont restés à coucher! Je regarde l’eau du SPA...à changer! Nous avons passé la soirée à cuisiner et nettoyer, pour partir la semaine du bon côté! Joanne part pour la semaine et je serai obligé de faire de la discipline! Vraiment pas intéressant! Comment se sentir pratiquement gèné d’être chez soi! Hier, nous avons reçu la visite de Mamour et aussi d’Alain et Ginette. J’ai aussi avancé mes travaux en recyclant notre vieux bois, car se trouver du bois devient de plus en plus de la science fiction. Tous les prix commencent à monter! La gestion de marde de notre gouvernement commence à se faire sentir! Pourra-t-on s’en sortir? Que faut-il faire pour être mieux? Pour cesser de s’inquiéter pour l’avenir très rapproché? Je ne sais pas. Ce que je sais, ce n’est pas grand chose. Je perds du terrain dans ma compréhension. Il me semble que ce serait temps de nous foutre la paix avec tout ça. Que des sornettes, il faut que ça cesse! Où est passé notre vie? Que devons-nous devant cette adversité soutenue des médias et des dirigeants? Que se passe-t-il avec ceux que nous avons nommé pour représenter nos intérêts? Vraiment, il semble qu’une bataille s’amorce, et, je n’en veux pas! Je veux ravoir ma vie! Je veux pouvoir continuer de voir le sourire des gens! Et je crois que je dois me tenir très solidement à ce qu'il me reste. Et j'espère pouvoir conserver ce que j'ai, car il semble que ce soit aussi problématique! Un exemple, chaque jeudi soir depuis au moins 25 ans, nous allions souper tous les deux et ensuite, nous allions faire l'épicerie. C'était notre moment à nous. Maintenant, tout ça n'existe plus. ON s'en reparle.

samedi 15 août 2020

Samedi matin.

Quelle grosse semaine de quatre jours! Hier j’avais ma consultation en chirurgie. Alors c’est confirmé, je vais être opéré; pas avant le mois de décembre... Mais ça pourrait être pire! Une belle journée avec ma Bibi. Il faut en profiter, elle recommence les cliniques lundi! Je vais recommencer mes journées seules. Mais pour revenir à ma semaine, j’ai réussi à abaisser d’une heure mon temps de pose sur un camion de bière! Et je suis moins fatigué physiquement. Hier, en après-midi, nous avons eu une discussion sur nos carrières, Ce fut très profitable! Et malgré tous nos efforts de ne pas diriger nos paroles vers les dégâts collatéraux de la covid, il semble que ce soit impossible. Peu importe le sujet, ça finit par tourner autour d’une conséquence du lockdown! Et les choses ne s’améliorent pas en terme de mesures incohérentes, de part et d’autre de la province! Mais nous avons fait un feu hier soir, avec des amis, Laurent et Tatie. On a jasé, on a bu et on s’est fait des toasts! C’était très relaxant. Aujourd’hui nous avons la visite de Nicolas et Catherine, avec leurs enfants. Un autre moment que nous essayerons de vivre intensément! QUelques nuages ce matin, il fait seize degrés, je pense que ce sera une belle journée!

jeudi 13 août 2020

C’est ma fête.

Toujours en questionnement par rapport à ce qui va nous arriver cet automne. Bien sûr, le début de cette saison est toujours «rapproché» par les médias et la rentrée scolaire, car son début officiel n’est que le 20 septembre, donc dans plus d’un mois. Les pronostics sont pour le moins inquiétants côté économie. Les petites entreprises souffrent d’un manque de main-d’oeuvre, mais aussi d’un manque de commandes! Quand j’ai sauté un gasket en mars concernant la fermeture de la construction, je ne me doutais même pas que tout ça deviendrait aussi ridicule! Alors qu’une peur pandémique circule autour de nous, les gens sont beaucoup plus anxieux par rapport à leur avenir financier, qu’il peuvent avoir peur de «pogné» la covid! Seize degrés ce matin, j’ai 51 ans aujourd’hui. Je me dis que c’est mieux d’aller travailler que d’être confiné et sans revenu. Encore une grosse journée d’installation qui m’attend! Je ne suis pas allé en vélo, considérant qu’il serait meilleur pour ma condition physique de me reposer le corps! Demain, c’est la journée où j’ai enfin une consultation pour mon hernie. Pas inquiet de ce que le chirurgien me dira, mais plutôt nerveux de quand je serai opéré! De ce que les gens m’ont dit, cette intervention est souffrante et un peu délicate en convalescence. Comme je me dois d’être en bonne forme tous les jours pour continuer à gagner ma vie, je ne peux me permettre de rester mon steak un mois. Alors je dois me préparer une liste de questions à cet effet. Le devoir m’appelle, à bientôt.

mercredi 12 août 2020

Un peu coincé

ALors ce sera une journée chaude, remplie de défis, comme celui de commencer à envelopper un autre camion de livraison de bière. Celui que j’ai fait avant les vacances fut une véritable corvée! Vingt-cinq heures de labeur, de sueur et de contraintes! Alors j’ai mis des efforts pour faire retirer les poignées qui «étirent» la job d’au moins quatre heures, mais en vain! Elles semblent soudées en place. Vingt degrés ce matin, c’est très humide, malgré une «rince» gigantesque encore une fois, hier soir. Depuis la mi-juillet, on peut dire que nous sommes gâtés avec l’eau. Hier les travaux ont commencé derrière chez nous. Une machine qui fait un bruit mortel, s’est promenée en déchiquetant tout sur son passage. Les gens sur place m’ont dit que cela allait durer trois jours. Quand nous avons eu la rencontre sur ce projet, les travaux devaient commencer le 17 août, mais il semble que tout va bon train et que le projet avance bien. Nous avons transplanté trois sapins, des fois que ça marcherait. Alors que bien des gens sont à fleur de peau, rien n’arrête les médias dans leur campagne de peur. Cherchant à tout pris à faire mal paraître les autres pour essayer de se remonter, et surtout de faire peur aux gens! Je dois me concentrer sur ma journée, essayer de faire un côté en entier aujourd’hui. Parcourir la surface de ce monstre de 34 pieds, avec toutes les interstices que ça comprend, il faut être patient et de bonne humeur, sinon ça risque de faire chier longtemps... Alors je dois y aller, pour arriver le plus tôt possible sur place. À plus.

mardi 11 août 2020

Prendre ses responsabilités.

Être parent, c’est la responsabilité d’une vie. Alors cette nuit, il a fallu s’inquiéter un peu; ce qui a eu comme résultat de laisser mon cadran me réveiller. J’étais de mauvaise humeur. Et comme je recommence à travailler cette semaine après deux semaines de vacances, inutile que je suis crevé. C’est un choix vous me direz, d’être parent, mais aussi de prendre seulement deux semaines de vacances, mais c’est tout ce que je peux me payer. Le retour au travail, bien que ce soit à seulement dix marches de distances, m’a vite rappelé à quel point nous sommes muselés. Pourtant, hier, j’ai décrit une situation critique qui nécessite une attention urgente, mais comme chaque fois que je m’emporte sur les différentes facettes incompréhensibles de la vie, je me suis rendu compte que je ne suis pas avec une grosse gang avec cette façon de penser. Et je suis aussi une exception à devoir exprimer mes émotions pour survivre! Je trouve ça dur de ne pas savoir ce qui m’attend; et je combats l’angoisse d’une vie, à cause de mes enfants, à cause des gens qui m’entourent, ceux qui ont besoin d’être mené par quelque chose. Pour preuve, les gens ont échangé la religion contre un gouvernement! Et ce dernier, nous coûte vraiment plus cher que la religion. Par contre, il ne nous aide pas à devenir plus, à grandir spirituellement. Bien au contraire, il nous divise, nous enrage! Le gros et son barracuda forme une équipe extraordinaire. Ils ont pris les commandes, comme si c’était leur mandat! Les gens que nous avons élus se foutent complètement des intérêts de leurs citoyens. Ils veulent leur dicter quoi faire et de quelle façon le faire! Mais continuez de payer des gens à ne rien faire, vous aurez une cohorte de moutons très dociles, mais inutilisable pour rentabiliser une société! Eurk! Je ne veux pas vivre dans cet endroit. Je suis en recherche constante de quelque chose de mieux. La situation actuelle me déchire, m’enlève mon air! J’ai besoin de sourire pour vivre; autant ceux des autres que le mien! QUe se passe-t-il donc? Est-ce vraiment un choix de société? Les gens ne veulent plus travailler, nos enfants non plus. Oui il y en a qui continuent, par choix ou par survie, mais il y a une réalité triste, très triste, c’est de voir chez le quincailler, le manque de matériaux, mais aussi le manque d’employés... Chez Matériaux untel, seulement des jeunes de 14 ans et des gens à la retraite! La chaîne de production est brisée, du début à la fin. Du secteur primaire au secteur tertiaire, il y a des ratés, d’énormes ratés! Et puis, tous ces gens qui n’ont pas recommencé à travailler? Mais qui sont encore payés? Que se passe-t-il ? Pensez-vous que vous serez payés éternellement? Ne vous faites pas d’idées, leur plan n’est pas éternel! Quand il n’y aura plus d’argent, vous serez acculés au pied du mur, avec la seule option de continuer d’écouter votre gouvernement! Réveillez-vous! Prenez vos responsabilités!

lundi 10 août 2020

J’ai des doutes.

Lundi matin, dix-huit degrés, il fait bon de pédaler! La noirceur revient très rapidement, alors que nous avons perdu au moins une heure de clarté le matin. Avec le couvert nuageux, difficile de trouver un peu de lumière. Mais j’ai mis en fonction ma petite lampe témoin, histoire de bien me faire voir par les automobilistes. Déjà de retour au poste après deux semaines de vacances. Je vais passer la journée à répondre à des courriels et à me demander si je vais avoir le temps de tout faire. Mais je crois que ce sera quand même une belle semaine. J’ai enfin une consultation ce vendredi pour l’hernie qui me pourrit la vie depuis la fin mars. Après plus de quatre mois d’attente, ça m’apparaît comme une pure fiction! Normalement, je vais me lancer sur l’enveloppement du deuxième camion de bière; je vais tenter de faire démonter les poignées, huit de chaque côté, pour me ménager un peu. Quelle suée en ce moment, on pourra dire que l’été nous aura amené des températures intéressantes, digne d’une saison qu’on appelle l’été. Bien que nous fumes très arrosés depuis les deux dernières semaines, il est quand même agréable de sentir un peu de chaleur. Nous avons fait progresser notre projet de patio et gazebo pendant les vacances, n’hésitant pas à continuer malgré la pluie, mais surtout malgré le manque gènant de matériaux... De toute façon, ce n’était rien en comparaison avec différentes expériences que nous avons vécues dans des milieux publics. Inutile d’en parler, on dirait que les autorités en place cherchent de nouvelles façons de nous faire encore plus chier! Prix de l’essence tellement trop cher depuis au moins cinq mois, mascarade dans tous les lieux publics, système de santé encore plus lent que d’habitude, aucune réparations routières mineures, lavage de cerveau diffusé en continu dans tous les médias traditionnels, etc. Quel merdier! Sans oublier de mentionner que bien des entrepreneurs ferment leurs portes, de façon volontaire, car leur modèle d’affaire ne peut fonctionner en de pareilles conditions; ou malheureusement, ils ferment leur portes, complètement ruinés... En aucun cas je ne peux baisser ma garde, car je devrai moi aussi tirer la plug... Je ne sais pas où tout ça nous mènera, mais ça fait déjà beaucoup trop longtemps que ça dure...

dimanche 9 août 2020

En questionnement.

En vacances depuis deux semaines déjà, je constate que c’est toujours la même chose. On dirait que de relaxer, c’est un accomplissement tellement difficile, disons une démarche longue! Donc de retour demain au travail, il me semble que je me sens prêt pour relaxer enfin. Alors je vais composer avec tout ça. Mais je sens que, tranquillement, je vais devoir, ultimement, ralentir mes ardeurs sur mon travail d’installateur; ce que ça me demande physiquement, c’est vraiment dur. Mais je ne m’avoue pas encore accoté dans les câbles, au contraire, je fait de sentir que je dois ralentir me challenge vers de nouvelles méthodes. J’apprends chaque jour à me ménager un peu plus. Le plus dur, réussir à rester concentré; faire de ma routine une façon de réussir. Dans notre quête de bonheur quotidien, malgré toutes les sornettes contrariantes qui nous sont imposées depuis des mois, il est important de prendre conscience que ce bonheur est toujours en chacun de nous, plus ou moins caché par nos diverses émotions. Hier, nous avons eu une super journée ensoleillée, où nous avons partagé ce bonheur avec nos amis. Un trio de décapotables, en route vers une poutine dans le bout de Sante-Claire! Avec un retour panoramique très agréable. Et une petite soirée au feu, jasettes et réflexions sur la vie, que demander de plus? Je sens une certaines aversion pour demain, alors que je devrai me remettre sur les rails, repartir la machine. Ça fait vingt ans que je me paye mes vacances! Déjà vingt ans que je suis travailleur autonome. J’en suis fier. Tout ce que j’ai accompli, tout ce que j’ai appris... Par contre, les années m’ont aussi démontré à quel point notre société est remplie d’incohérence, de non sens. Et cela crée toutes sortes d’injustices, des tonnes de conflits. Et de payer des gens à rien faire n’a jamais amélioré les choses. Et toutes le données recueillies depuis des années démontrent très bien que de payer des gens à ne rien faire ou presque, ça finit toujours mal. Je me demande, avec une pointe d’angoisse, où nous serons rendus en décembre. La mascarade, la rentrée scolaire, l’Halloween, l’Action de graisse, le temps des fêtes, etc. Car c’est là que nous nous dirigeons, une fois les vacances passées. Oh que oui, ça va aller très vite! Et je me demande quels autres sapins nous nous serons faits passer pendant l’été. Anyway, il semble que nous n’ayons pas ou très peu de contrôle sur tout ça, alors mieux vaut passer du temps sur ce qui est possible, le reste viendra bien assez vite.

mardi 4 août 2020

En vacances!

Deuxième semaine de vacances. Incroyable d’entendre des gens se plaindre qu’il fait trop chaud. Et je peux constater que depuis la semaine dernière, il pleut beaucoup plus qu’il peut faire beau. Mais je suis en vacances, des vacances que je me paie, alors je relaxe le plus possible. Je m’ennuie de faire du vélo, mais je passe du temps de qualité avec ma Bibi. Mardi matin, le temps est gris, il fait seize degrés. Les nuits étaient plus chaudes depuis un moment, mais je crois que c’est tout à fait normal. Là où la situation continue de se détériorer, c’est au niveau des différents paliers gouvernementaux. Avec leur étirement sanitaire, les gens commencent à trouver ça de plus en plus difficile de sourire. Il y a les prestataires de la PCU, ils y a les commerçants qui veulent plus de clients, mais aussi plus d’employés. Ils y a les commerçants qui se demandent s’ils devraient fermer tout de suite ou attendre. Ils y a les gens qui sont tannés de toutes les sornettes à propos d’une certaines «pandémie» qui aurait eu lieu... Et les frontières qui demeurent fermées, comme notre économie! Je suis en vacances, mais je ne suis pas capable d’aller m’acheter du bois librement pour bricoler dans ma cour. Je ne suis pas non plus capable d’aller dans un lieu public avec un toit, peu importe lequel, sans porter un masque! Pourtant, il n’y a plus de décès, que des cas «asymptomatiques», donc pas de vrais cas. Pas moyen d’écouter notre radio préférée sans entendre la propagande de peur du gouvernement, ni la multitude de publicité sur les «bienfaits» du port du masque, ou encore sur l’importance de se protéger, comme en identifiant notre vaisselle quand nous avons de la visite... Non mais, il faudrait bien qu’un jour on puisse en revenir! Nous sommes allés en camping, il fallait endurer l’endoctrinement du gouvernement par le biais du «bavard communautaire»! Au-delà des droits et libertés, il y a le respect! Moi je suis pour qu’on s’aime, qu’on vive ensemble dans le respect! Pas besoin d’une mascarade pour ça. Le gouvernement veut créer une société à son image, masquée, pour ne pas qu’on devine ses intentions. Pourtant, personne ou presque ne porte un masque pour se protéger ou protéger les autres; les gens portent un masque pour aider les commerçants. Pour ne pas avoir de contravention! Quelle dictature! Bande de crosseurs! Ça fait du bien d’en parler, car ça noicit des vacances de ne pas voir de sourires....

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...