mardi 30 septembre 2014

Du changement...

Je n'arrive pas à comprendre certaines choses. Donc je me renseigne, je lis, j'en parle, cherche sur internet. Souvent je vais trouver des réponses. Mais lorsque le contenu est émotionnel, là c'est plus dur. Il n'y a rien comme vivre chaque journée, une à une pour acquérir de l'expérience. Certains ne semblent pas en vouloir. D'autres, au contraire, semblent vouloir vivre 3 heures en une! C'est ce qui fait la beauté du monde! Et puis, avec de l'expérience, il est possible de tirer des conclusions. Même que notre mémoire nous empêche de refaire certaines erreurs, certains mauvais choix. Mais ce système ne fonctionne pas pour tout le monde. SI je regarde autour de moi, surtout du côté des dirigeants, même si les fonds de pension ont vidé les coffres de la ville, il est important de renouveler ces conventions collectives et de les bonifier. Même si les fonctionnaires nous ont prouvé qu'ils ne sont pas efficaces, ils ont quand même eu une augmentation de salaire, plus généreuse que l'inflation! Et, comme citoyen ayant droit de voter, je n'ai pas eu un mot à dire là-dessus. Je ne suis pas jaloux, je constate que la mémoire corporative de notre politique et de notre économie n'acquiert pas d'expérience. Si les éoliennes ont besoin de subventions pour fonctionner, c'est que la volonté de faire de l'argent de façon autonome n'y est pas. Pourquoi leur accorder de nouveau de l'argent? Et que dire du chantier de la Davie? Vivre au gré des subventions, comme un artiste qui vit au gré des contrats, de son inspiration. Tout au dépens des autres. Et chaque intervenant en profite pour se graisser la patte. Pourquoi voler celui qui vous nourrit? L'argent du gouvernement, c'est la nôtre! Pourtant, il est si valorisant de s'autosuffire, de se sentir fort, productif et vivant! Il  serait temps de remettre les pendules à l'heure et de démèler ceux qui ont besoin d'aide pour vrai et ceux qui attendent de l'aide. Laissons les gens se développer d'eux-même. Ainsi viendra le changement.

lundi 29 septembre 2014

Comprendre

Un vent de bonheur ce matin. Une fin de semaine tout en chaleur, qui nous a permis de compléter des petits travaux sur la maison en prévision de la nouvelle couverture. Tellement content d'avoir eu ce beau temps pour être prêt. Quand tu sais que les travailleurs arriveront bientôt, y a rien de plus stressant. Pourtant, plein de gens n'ont pas cette ouverture. Se foutent complètement des autres, même d'eux-même. Le temps passe et est très facile à gaspiller. Je me dis que ça prend toutes sortes de gens pour faire un monde. Un monde où chaque chose a son contraire, où l'équilibre est assuré par son opposé. Difficile à croire? Je ne pense pas, car c'est un fait. S'il y a de l'eau, il y a du feu. Où sévit le voleur, survient l'honnête citoyen. Lorsqu'un déséquilibre se fait sentir, il y a toujours trop de quelque chose, un trop qui cause ce déséquilibre. Enfin, rien ne peut vraiment survivre sans son contraire. Un fois ce constat appliqué, il est plus facile de regarder autour de soi, d'accepter certains faits, certains événements. Il y a tellement de choses difficiles à comprendre, à accepter. Mieux vaut se donner un chance en ouvrant son esprit.

vendredi 26 septembre 2014

Ça va vite!

En tant que personne humaine, il est impératif d'avoir des loisirs. Moi je combine les loisirs avec mon travail. Chaque journée, je tente de m'amuser dans mon travail. Comme ça les semaines sont moins longues et plus productives. Des fois je capote un peu parce que je me suis embourbé un peu trop. Mais je tente de m'améliorer chaque jour. Si je regarde notre société, cette façon de faire qu'ont nos dirigeants, la vie ne peut s'améliorer. À force de refiler la facture aux autres (nous autres), c'est comme si nous étions au temps des chevaliers. Le peuple donne tout ce qu'il a pour le roi. Mais nous avons trop de rois. Les rois ont trop d'amis. Les amis abusent des autres, aussi des rois. Les ménestrels ne paient rien et vivent au crochet de la société. Mais les ménestrels se promènent en BMW. Ça vaudrait la peine d'en écrire un livre, d'en faire un film. Sans compter que les moyens de faire de l'argent sont de plus en plus subtils. Car pendant que vous trouvez que le gouvernement exagère avec ses taxes et ses impôts, lui, fouille ailleurs pour continuer de remplir les coffres. Aux dires des médias, les dirigeants n'ont plus d'argent, mais nous en voyons tous les jours, et beaucoup. Et puis, ces mêmes médias sont assoiffés de mauvaises nouvelles et recherchent les scandales. 
Mais dans tout ça, il faut tout de même rester humain. C'est vendredi, prenons un peu de bonheur. Partageons avec nos amis. Il fait bon de ventiler un peu chaque jour. Place à l'amélioration! Ce n'est pas en relatant des faits que le changement viendra, mais bien en se retroussant les manches. Je préfère être mon propre patron et dépendre le moins possible du gouvernement. Parfois il faudrait s'isoler pour mieux réfléchir, s'éloigner du bruit. Même ici, dans cette petite ville, on se croit parfois dans une grande ville avec tous ces travaux, tout ce trafic.
Il faut gagner en autonomie, de toutes les façons possible. Quand j'avais 15 ans, je me disais que j'avais hâte de partir de la maison, vivre ma vie et être libre. Aujourd'hui, je veux rester à la maison, ne pas trop prendre de liberté, car ça coûte cher et ça demande du temps pas mal. Libre, quel beau rêve! Depuis que je suis parti de chez mes parents, que les responsalilités sont arrivées, je n'ai jamais eu autant l'impression d'être enchaîné, d'avoir tellement de choses à faire. Enterré par des responsabilités, des choix faits par le passé. Aujourd'hui, alors que je vois poindre un peu de répit à l'horizon, je vois aussi que probablement la moitié de ma vie est déjà passée. Alors les choix sont importants, les amis aussi. Donc, pas trop de liberté, juste un peu.

jeudi 25 septembre 2014

Prendre du recul

Comme c'est merveilleux de pouvoir écrire chaque jour que j'en ai besoin. Ces mots, que je laisse aller, ne me hantent plus. Ils sont écrits, pour laisser de la place dans mon esprit. Pour aussi me permettre de les réviser, de les relire avec du recul. Des fois je suis vraiment irrité et ça fait du bien de pouvoir en parler. Mais ça peut devenir redondant, même très lourd à la longue, pour les autres. Mais de savoir que nos dirigeants veulent nous enlever encore un peu plus sur notre paye, ça c'est plus que lourd et c'est vraiment redondant. La seule façon pour eux de résoudre un problème, c'est d'injecter de l'argent pour que quelqu'un s'en occupe. Quel argent? La nôtre! Y a t-il quelqu'un qui est d'accord avec ça? Pour ceux qui n'ont pas le même réalité que nous, peut-être. Les gens qui ont des postes au gouvernement, qui sont payés, peu importe ce qui arrive. Qu'ils soient malades, que les dossiers n'avancent pas, que l'économie fluctue, ça ne change rien, ils sont payés. Et ils ont des augmentations! À première vue, ça peut paraître merveilleux, mais ces «emplois» font partie de ce qui gruge notre économie. C'est vraiment trop. Il serait temps de regarder tout ça avec du recul. Comprendre que ces belles années ont assez duré. Personne ne veux abandonner l'abondance quand elle est là. Mais se faire vivre par les autres impliquent que les autres soient d'accord. Moi je ne suis pas!

mercredi 24 septembre 2014

Aimer

À force de vouloir, de se donner, les choses finissent par s'arranger. Des fois c'est tellement long qu'on oublie notre vouloir et on se dit que c'est le temps qui arrange les choses! Pour vrai, rien n'est si laissé au hasard. Une chose est sûre, la vie ne fait pas de cadeau, mais elle est aussi un privilège. Une chance pour chacun de grandir, de devenir plus. Rien n'est plus beau que de s'aimer. Ce qui est dommage, c'est d'avoir voulu rendre notre société laÏque. En même temps, les valeurs importantes de notre société semblent avoir disparues. Comme si être aimable faisait partie de la religion. Comme si l'entraide, l'amour, l'altruïsme, le sourire, faisaient partie intégrante de la religion. Même si nos parents furent éprouvés par ce mouvement du clergé, cette pression, combien d'années avant de retrouver un peu d'Amour? Un peu de gentillesse. Aimer son prochain, aider les autres, l'hospitalité! Juste à faire un tour sur Henri IV vers 16h30 et vous comprendrez que tout ça n'existe pas! Juste à aller magasiner au Costco le jeudi soir ou le samedi matin. Regardez autour de vous, ce n'est pas mieux que la pression du clergé! Bah! Je me dis que je dois éviter les heures d'affluence le plus possible et souhaiter que ça s'améliore. De toute façon, la vie est un privilège, pas un achat. Les valeurs ne s'achète pas et il n'existe aucun moyen de les vivre par le biais d'un montant d'argent, par le biais d'un lobby quelconque. Alors prenez donc votre temps. Ressentez la vie autour de vous, soyez attentif à l'Amour qui flotte autour de vous comme des bulles de savon soufflées par un enfant. 

mardi 23 septembre 2014

Franchement!

Eh bien, alors que le reste du pays paie 10 cents de moins le litre d'essence, ici les différents «green» se scadalisent que le prix pourrait encore baisser. Ils prônent la voiture électrique! L'essence est déjà trop chère, une auto neuve n'est pas envisageable, et le prix de l'électricité ne fait que monter. Alors l'achat d'une voiture électrique n'est pas une option. Ensuite, la recharge n'est gratuite! Arrêtez vos conneries, personne ne veut une voiture électrique! Premièrement, c'est trop cher. Deuxièmement, ici, au Québec, c'est l'hiver! Même les voitures hybrides ne sont pas économiques comme prévues. Et puis, qui a les moyens de changer d'auto? Moi j'ai très hâte que le prix de l'essence baisse. Mais j'y pense, je dois aller travailler pour payer vos salaires, messieurs les «green»...

lundi 22 septembre 2014

Prendre le temps de vivre.

Eh bien. Des nuits à 17 degrés, on peut les compter dans un été. Et ce fut la première nuit d'automne. Quel climat ce Québec. Alors que l'automne s'installe, les filles ont déjà leur première journée pédagogique. Non mais pourquoi? Est-ce une stratégie quelconque que je n'ai pas compris? Mes enfants sont toujours en congé. Ont-ils besoin de tous ces congés? Est-ce un entraînement pour leur futur emploi? Des fois je prends une petite demi-heure et je me sens coupable! Imaginez! Ce fut une splendide fin de semaine, grise, mais douce. Pas vraiment de pluie incommodante. Balade en décapotable samedi et souper fondue avec des gens qui sont extraordinaires. Ils sont éprouvés, la moitié de leur couple est en attente d'un diagnostique final. Cancer, mais jusqu'où? Une fois le diagnostique prononcé, on entre dans les procédures. Elle a 46 ans. Je pleure un peu chaque jour, en priant. Je me dis qu'on ne choisit pas sa mort, mais quand même. Ensuite reste le conjoint. Ces personnes qui se sont aimées pendant 20, 30, 40 ans! Une nouvelle vie commence. Que faut-il faire? Comme si la fin du monde arrivait... continuer son chemin. Je ne sais pas trop. Mais je ne veux pas m'attarder trop sur ce sujet un peu lourd. C'est un fait, plus je franchirai d'années, plus je me rapprocherai de cette étape. Certains disent que c'est pour ceux qui restent que c'est dur. Sûrement. Mais si je repense à ma mère, se faire confirmer qu'elle doit partir; se sentir faiblir, se sentir partir... Ses projets, ses idées, son Amour. Ça doit être très dur. N'empêche que je dois penser plus positivement, avec plus de recul. Me recueillir et repartir. Encore une autre belle semaine qui commence, avec plein de nouveaux défis. Prenez le temps de vivre, car une fois parti vers l'au-delà, il sera tard pour regretter. Bonne semaine!

vendredi 19 septembre 2014

C'est assez!

Toujours crinqué le vendredi, je le suis encore aujourd'hui. Je me dis que si je suis assez heureux, assez en vie et que je le partage, c'est déjà ça! Le changement viendra par les citoyens. La barre est trop dure à tourner, les dirigeants sont trop bien dans leur tour d'ivoire. Que reste-t-il comme solution? Faire des changements par en dessous. La commission Charbonneau ralentit les choses, mais ne règle rien. Tous mes clients se plaignent que cette commission étouffe les chantiers. Les gens ont peur de se faire vérifier, ils ont peur que ça tourne mal avec les syndicats. Les entrepreneur ont dèjà assez de casse-tête avec la CCQ, la RBQ, la CSN et les autres. Cette commission doit cesser! Elle est pire que tout. Dons c'est à nous de trouver de nouvelles façons de faire. Je ne sais pas encore comment, mais j'y songe. En ce vendredi, j'arrête de faire de l'esprit et je déconnecte!

jeudi 18 septembre 2014

Se prendre en main.

Quelle fin d'été obscure! Le froid hâtif, la pluie. Rien pour nous aider. Mais certains adorent l'automne et sont ravis. Pour ma part, j'aurais bien gardé un peu de l'été. Cette année de repos que nous nous sommes promis, ma femme et moi. Année 2014. Jusqu'à maintenant, je suis quand même content de mes réalisations. Je suis content aussi d'être en bonne forme, de réussir à me stimuler, jour après jour, pour m'entraîner. Les matins sont frais en vélo, mais mon habillement fait très bien l'affaire. Au diable les autres qui me disent que je suis fou, qu'il fait trop froid. À eux de voir, de se prendre en main. Se prendre en main, voilà. Ici, les gens ne se prennent pas en main. Peut-être n'ont-ils pas eu assez d'épreuves dans leur vie? Ils aiment écouter des téléromans dans lesquels ça se chicane, ça se déchire. Des émissions sur des gens en prison. Je ne sais pas quoi penser. Toutes ces actions sont le reflet de notre économie. Certains sont allumés, d'autres pas. Ils y a ceux qui sont à l'affût, prêts à faire de l'argent et ceux qui dorment, suivant le cour des événements. Mais pour arriver à remonter l'économie, réduire la dette, baisser les impôts, baisser les taxes, il va falloir se prendre en main. Les gens se plaignent de ceux qui font de l'argent parce qu'ils n'en font pas. C'est là que se situe le problème. Suivre le gouvernement ou se faire sa propre ligne. Pour ça, il faut une dose d'initiative. Je me dis que ce serait plaisant de voir les gens avec un sourire, de sentir que notre province progresse. Ne plus entendre les journalistes cracher sur le reste du Canada. Ne plus entendre les artistes se lamenter contre tout. Avoir sa propre identité, riche et en santé. Ce n'est pas en écrasant les autres qu'il faut se remonter, mais bien en agissant! En réalisant des choses. Faire mal paraître les autres pour mieux paraître. Aucun progrès, juste le statu quo. À suivre.

mercredi 17 septembre 2014

Ouais...

Quelle fraîcheur hâtive que ce mois de septembre nous amène! Frais la nuit, peut-être un peu de gel, mais 12 ou 14 degrés le jour, c'est innaceptable! Ce sont des températures d'automne, deux semaines à l'avance. Et puis, l'été s'est vraiment fait attendre, il aurait pu étirer sa présence encore un peu. Mais personne ne contrôle ça! Quoi qu'en pense les «greens». Parlant de vert, depuis que la loi nous interdit les pesticides et aussi les insecticides, les poux, les puces de lits, les fourmis, les vers céréaliers, les perce-oreilles et autres sont retour. On dirait un cartel avec les compagnies d'extermination et les compagnies d'entretien de pelouse! Peut-être que je paranoye, mais avec les dirigeants que nous avons au Québec, il n'y a rien d'étonnant aujourd'hui! D'Ailleurs, l'unilinguisme fait en sorte que la majorité de la population ne sait pas ce qui se passe ailleurs. Donc ils ignorent qu'ailleurs, l'économie se relève grâce aux gaz de schistes. Que les voitures hybrides ne sont pas vraiment un succès. En passant, y a-t-il quelqu'un qui va comprendre que le Québec, c'est l'hiver? Que l'économie d"essence avec une voiture hybride, c'est de la science fiction! Mon frère a ce genre de véhicule et est constamment déçu de la consommation, surtout l'hiver! Et parlons-en de cet hiver de merde. Je sauterais bien quelques années! Comme l'hiver 2006-2007. À écouter nos «greeners», le réchauffement s'effectue! Selon moi, nous allons tranquillement vers une ère glaciaire. Ce qui est inévitable. C'est un cycle. Nous ne connaîtrons pas cette ère, mais c'est la vérité. Et si on parlait des vraies choses, les vrais problèmes. Arrêtez de vous cacher! Je sais que vous vous cachez, vous n'allez pas voter! Et qusnd vous le faites, on dirait que le statu quo vous rend heureux! En tous cas, plus je vis, plus je veux une vie simple. Qui m'aime me suive!

mardi 16 septembre 2014

Triste

Pour en revenir à l'affaire Turcotte. Il semble y avoir des trous dans notre système judiciaire, du même type que ceux qu'il y a dans notre système de santé et aussi dans notre système économique. Récemment, il y eu pas mal d'irrégularités un peu partout. Mais lorsque ça touche des enfants, les gens ont beaucoup plus d'émotions. Non pas que je soie d'accord avec ce merdier, loin de là! Ma seule consolation, les enfants qui furent victimes ne sont pas les miens. Car je serais déjà en prison. Je n'arrive pas à trouver comment la justice a fait pour remettre cet homme en liberté. J'ai beau regarder ça de toutes les facettes, il me faudrait jaser avec un avocat ou un juge. Mais quand même, après avoir parler avec plein de gens, personne ne comprend, personne n'accepte. Qui, même avec les facultés affaiblies, s'en prendrait à ses propres enfants? Problèmes psychologiques? Je ne sais pas. Il est proche aidant pour son oncle. Il y a un mystère, et la population a un malaise avec ça. Et ce n'est pas à cause de l'argent. Où sont passées nos valeurs? Dans mon livre à moi, cet homme, reconnu non criminellement responsable, a quand même tuer ses propres enfants. Aucun parent ne devrait enterrer ses propres enfants! Avoir des enfants est l'essence même de la vie. Avoir des enfants, c'est un cadeau que l'on fait à la vie. La poursuite de l'humanité à travers le temps. Difficile à comprendre, difficile à accepter. La réflexion et la prière sont de mise dans ce dossier. Dans chaque être humain réside une âme. Cette âme guide l'humain. Mais qui sommes-nous pour juger?

lundi 15 septembre 2014

Méchant lundi matin!

Je viens de passer une fin de semaine tellement productive. Mais aussi remplie d'Amour. Nous avons fait tellement de choses en famille, que de beaux moments! Mais ce sont des moments où il faut fermer les yeux lorsqu'il est temps de mettre de l'essence. Il faut aussi être diligent au volant et surveiller les autres. Car être aussi heureux, c'est précieux! Mais c'est fragile, et tout peut arriver quand même. Rien ne sert de paniquer, simplement apprécier la vie, apprécier ce que nous avons. Pour le reste, la vie s'en charge. Je me sens bien avec ma vie, jour après jour, rien ne sert de courir. Et puis laissez aller vos pulsions colériques, prenez une grande inspiration et laissez aller! Sinon il est difficile d'être heureux. Il est difficile de rester calme. Le prix de l'essence demeure haut, dix cents de plus que le reste du Cananda. Même à dix cents de moins, c'est tellement trop cher! Et puis, que pensez-vous lorsque quelqu'un vous parle de retraite? Être heureux? Oui si vous continuez à travailler. Car mettre dix pourcent de que nous gagnons chacun par année, ça me semble impossible. Et avoir su avant, je ne crois pas que j'aurais mis autant d'argent de côté. Si je meurs demain, à quoi servira cet argent? À moi pour ma retraite? Ha! Vivre ou ne pas vivre, là est la question. Avoir une décapotable l'été pour vibrer dans le vent ou se dire qu'on serait mieux de mettre de l'argent de côté? Avoir un chalet pour s'évader la fin de semaine ou faire un budget serré pour nos vieux jours? À chacun ses choix. Je me dis que c'est un choix personnel. Un chalet qu'il faut entretenir, autant que la maison? Ou qu'il faut payer pour faire entretenir. Je ne sais pas. Une roulotte pour s'évader? Ça coûte cher d'essence, ça coûte cher de roulotte. Mais si la famille suit, alors c'est le bonheur! Mais c'est encore de l'entretien. Au Québec, le gens sont désabusés. À chaque paye, regarder son talon est une réalité difficile à accepter. Je n'ai pas eu de talon de paye depuis Mars 2000. Mais chaque trimestre, je remets un chèque aux Gouvernement, et à chaque année aussi. Je peux vous dire que c'est une réalité très dure. Pourquoi payer des taxes pour ensuite les redonner au Gouvernement? Pourquoi faire un rapport d'impôt, quand le gouvernement le refait pour nous? Et puis, le propriétaire d'un dépanneur, lorsqu'il achète ses produits, il paie des taxes. Ces taxes vont au gouvernement. Quand il vent ses produits, le client paie des taxes. Ces taxes vont au gouvernement! Donc le même truc rapporte vraiment beaucoup de taxes! Quand j'achète un rouleau de vinyle, je paie des taxes. Mon fournisseur l'a aussi acheté et a payé des taxes. Quand j'imprime sur ce vinyle et que je vends ce vinyle, je charge des taxes qui vont aussi au gouvernement. Petit calcul, rouleau de vinyle payé chez 3M 100$. Vendu 117$ au distributeur. J'achète ce rouleau, 125$ + taxes + livraison + taxes.  17$ + 30$ + 7$. Ensuite, admettons que ce rouleau, une fois utilisé me rapporte 300$. Après l'avoir transformé, il rapporte 51$ de taxes encore au gouvernement. Imaginez! 106$. Plus cher que la valeur du rouleau! À revoir bientôt!

vendredi 12 septembre 2014

Quoi faire?

Comme la pluie a mouillé, qu'est-ce que le spasme de payer? Nelligan serait très malheureux dans sa poésie. Ne l'était-il pas déjà? Il me semblait plus dans la lune que triste.  Peut-être que c'est lui qui avait la solution, être dans la lune la majorité du temps. Comme ça, nous n'aurions pas à sentir que les dirigeants se foutent de nous. Nous n'aurions pas à pleurer que plus le temps passe et plus nos poches se vident à chaque année. Les taxes, l'impôt, la santé, l'électricité, les immatriculations, les prix «planchers», le prix du litre d'essence et j'en oublie tellement, ne finissent plus d'augmenter! QUe nous reste-t-il? La vie coûte tellement chère, jour après jour, un essoufflement se fait sentir. Il ne faudrait pas que les taux d'intérêts montent, je pense que les gémissements de certains nous empêcheraient de dormir. Pourtant, des solutions simples sont apparues avec le temps, mais personne n'est prêt à faire de sacrifices ou de changements. Où il ya des hommes, il y a de l'hommerie! De par sa nature, il est tenté d'en avoir toujours plus. À un moment donné, il ne reste plus rien dans nos poches. Mais semble-t-il qu'il faudra encore en trouver. Je ne sais où. Faire payer les citoyens n'avance en rien. L'épuisement général n'amènera que des baisses au niveau du PIB. Car les maladies professionnelles, les «burnout», les faillites ne feront que coûter plus cher au système. Sans parler de la population qui ne cesse de vieillir. Et ce n'est pas toutes ces augmentations qui favoriseront l'augmentation des naissances. C'est comme si, petit à petit, les décideurs coupaient la branche sur laquelle ils sont assis. Toutes leurs décisions sont vouées à un échec. Et le mécontentement général commence à miner l'humeur des travailleurs. Bon vendredi!

jeudi 11 septembre 2014

Comme la météo.

Depuis le plus loin que je me rappelle, l'argent a toujours été, pour moi, comme la température. S'il fait beau, alors c'est merveilleux. S'il pleut, arrangeons-nous pour s'amuser quand même! Et si je n'ai pas d'argent, je vais trouver un moyen de m'amuser aussi! Quel crédo incroyable! Cela m'a permis de survivre à de dures épreuves. De garder la tête froide pendant de longues heures. Et puis, quel autre moyen plus efficace peut vous apprendre à aimer la vie, à apprécier ce que vous avez? Bien sûr, cela demande de la volonté. Avec le temps, j'ai cru comprendre que chaque personne est différente et que la vie ne fait toujours des cadeaux, mais c'est en trouvant le beau que la vie devient belle! C'est en voulant être heureux qu'on devient heureux. Rien ne sert de courir, sauf pendant une course. La vie va déjà assez vite comme ça. Avoir une urgence de vivre, c'est vouloir atteindre de nouveaux objectifs ou encore rapprocher de vieilles volontés, avant qu'il ne soit trop tard. Alors souriez, la vie est belle!

mercredi 10 septembre 2014

Vive la vie!

HIer en fin de journée, j'étais effervescent. De voir que Apple avait enfin sorti une montre, génial! J'adore les montres! Pourtant, ce n'est rien de si particulier, mais j'aime les montres, j'en aurais une pour chaque journée de la semaine! Et puis je trouve que ça concorde bien avec les modifications que j'ai faites sur mon iMac. Je me disais qu'il fallait que je soie prêt. Prêt à accueillir encore de la nouveauté. Dernièrement, j'ai eu tellement d'action dans mes journées, je me sentais enfin un peu plus stable dans mes émotions et je ne m'en plaignais pas. Et, un système informatique qui va bien, qui ne change pas trop me plaisait aussi. Mais il fallait passer à plus vite. Alors j'avais mis en place un plan pour augmenter les performances de mon milieu de travail. Comme je ne suis pas un surhomme et que je n'ai pas pris de sérum de super soldat, je dois compenser par la technologie ou les autres. Alors j'ai opté d'optimiser l'ordinateur de bord. En octobre dernier, un accident informatique m'avait obligé à acheter un nouveau PC pour faire fonctionner ma découpeuse et aussi mon imprimante. Moyennant aussi pas mal de sous. Et, en janvier, le plan c'était de me gâter en changeant mon iMac 2009 pour un beau 2014, 27 pouces! Mais avec le décès de ma mère, les plans ont pas mal changé. Alors je me suis mis à réfléchir, à étudier le dossier. De plus, l'année 2014 fut l'hôte d'une nouvelle suite Adobe, la Creative Cloud. Encore une autre affaire qui fait tirer de la patte mon iMac. Alors j'ai échafaudé mon plan et je suis passé à l'action. J'ai rassemblé les pièces necessaires, tranquillement, sans que ce soit un gros paiement. Au total, environ 250$. J'ai réussi à monter mon ordinateur avec un disque dur SSD. Avec ça, j'ai la même vitesse de lecture qu'un iMac monté en Fusion drive! Mais je n'ai pas payé 3000$. Et mon plaisir chaque matin de constaté que le temps d'attacher mes outils à ma ceinture, le «labo» de travail est déjà prêt! Et le temps que je sauve dans une journée... Facilement un demi-heure. Et cette demi-heure a déjà couvert les frais de ma petite dépense! Comme je suis heureux. Ce fut facile, enrichissant et la fierté d'avoir réussi! Il faut savoir se renouveler, garder son quotidien dans le feu de l'action. Comme ça, les journées sont moins longues, plus intéressantes. Et puis, maintenant, amenez ce nouveau système d'exploitation «Yosemite», mon iMac est prêt! Merci!

mardi 9 septembre 2014

Êtes-vous prêts?

Quel froid encore ce matin! Pourtant l'été n'est pas encore parti! Mais ces matins nous rappellent que nous sommes au Québec. Encore des erreurs dans mes commandes, je prends la peine de les écrire, pour être sur que tout soit OK. Cela bouscule mes semaines, et ça finit par être irritant. Ces erreurs et-ou ces retards, finissent par me mèler et j'en oublie des bouts! Et la vie qui passe si vite. Si vite que déjà, y a plein de choses que je ne ferai jamais. Non pas que je regrette, mais que je constate. au moins les objectifs premiers sont atteints. Ce que je vis, c'est du bonus. Oh mais j'ai d'autres objectifs. Comme m'occuper de ma famille, faire progresser mon entreprise. Mais j'ai certains irritants comme des taxes trop élevées, un litre d'essence sur-évalué, des impôts à payer qui sont bien trop chers et aussi de l'électricité onéreuse et un système de santé qui nous siphonne par le fond. Bref, il serait intéressant de faire la différence avec une économie renouvelée, des programmes diminués, laissant plus de place au citoyen pour décider de ce qu'il fait avec son argent. Il tient du miracle de faire comprendre ça à la moyenne des ours, gavée par les envoûtements des médias. Et une fois la prise de conscience faite, il faut se décider. Actuellement, ceux qui sont conscients que tout s'en va tout croche, préfèrent mettre la faute sur les autres. Ou encore, ils sont conscients qu'il faut faire quelque chose, mais ce ne sont pas eux qui feront quoi que ce soit. Personne n'est prêt à couper, à faire des changements. Et pendant ce temps, le problème rempire. Les dettes s'accumulent. À plus.

lundi 8 septembre 2014

Se concentrer sur des choses auxquelles nous croyons.

À force de se faire dire toujours la même chose, ça finit par rentrer dans la tête. Depuis des années, les journalistes nous racontent que l'avenir des voitures est à l'électricité. Mais, en discutant avec ceux qui ont des voitures hybrides, je me rend bien compte que l'hiver n'est pas l'ami des batteries. Au contraire, l'économie n'y est pas et rentabiliser cet achat tient de la science fiction. Et puis de voir la petite Mitsubishi en panne, plusieurs fois pendant l'hiver, gelée sur le côté de la rue n'a rien de rassurant. À force de se faire dire que nous sommes privilégiés avec nos tarifs d'électricité, certaines gens pensent qu'ailleurs, il serait trop dur de payer son compte d"électricité! Pourtant, mon compte d'électricité, comme le vôtre, n'est pas moins cher qu'ailleurs, et, en bonus, n'est pas déchiffrable! Et je pourrais continuer encore longtemps comme ça, mais ce serait mal commencer ma semaine. Je préfère me concentrer sur de vraies valeurs, celles comme le travail et la famille. Ça c'est valorisant et constructif. Courir tous les jours pour se demander quand est-ce que nous verrons le bout finit par être hallucinant! Et puis, des nouvelles comme j'ai eues vendredi soir dernier, ça vous secoue vraiment trop. Si ma voisine de 46 ans a déjà le cancer, peut-être inopérable, la vie presse vraiment d'être vécue. Pas à la course, au contraire, à la journée. Savourer chaque moment, prendre le temps d'apprécier chaque chose que nous avons. Et ce n'est pas en ventilant sur Facebook que cela fera avancer les choses. Je préfère me concentrer sur des trucs comme le cyclo-défi ou la Boucle, et, ramasser le plus d'argent possible pour la recherche. Allez, bonne semaine et n'oubliez pas de sourire!

vendredi 5 septembre 2014

Vivre

Déjà vendredi! Quelle grosse semaine de 4 jours! Je me suis amusé beaucoup en me creusant la tête pour les solutions. Loin de moi l'idée d'arrêter de chercher, mais au moins, la fin de semaine, je peux relaxer un brin. Aussi, je peux ouvrir une bière et me dire que c'est une belle récompense. Alors je le ferai, comme je continuerai de m'amuser! Vive la vie! A quoi bon toujours avoir des montées de lait si je ne peux pas décanter de temps en temps. Et puis, n'ai-je pas dit un jour : «Plus tard est arrivé!»
Bref. l'effervescence du vendredi! Cette énergie à part, une sorte de réserve secrète, comme un bon vin gardé pour une occasion. Chaque vendredi devrait être considéré comme une occasion spéciale! Je me dis qu'il faut profiter maintenant. Le reste qui s'en vient, on ne le connait pas, et il n'existe aucun moyen de le savoir. Alors qu'attendez-vous? Vivez!! 

jeudi 4 septembre 2014

Trouver sa voie

Depuis une semaine, il a plu tout les jours. Mais il a fait chaud. Plusieurs étés, ce fut la chaleur qui nous a manqué. Aussi, la pluie, le temps gris, sont des facteurs qui influencent l'humeur générale des gens. Mais ce sont des facteurs «obligatoires», auxquels on ne peut rien changer. Les reste des irritants, comme l'économie, la politique, c'est plus concret. Mais peut-on vraiment changer quelque chose? Peut-on vraiment y mettre du nôtre? Ma femme me dit toujours d'arrêter de m'en faire, d'arrêter de chercher des solutions. La vie est assez courte, et tellement dure à gagner, je devrais arrêter de chercher des solutions et passer à autre chose. Mais quoi? Je regarde autour de moi, me demandant ce que les autres font. Me demandant comment ils font. Et, chemin faisant, les journées passent, sans que je manque aucune d'elles. Mais à travers tout cet apprentissage, je n'ai toujours pas trouvé la réponse. Mais je sens que je m'y approche, que je «brûle». En discutant avec ma soeur hier, j'ai pu constater aussi certaines lacunes encore, qui font provoquent des vagues dans mon entreprise. Il faut que je réussisse à me concentrer. Chose avec laquelle je ne suis pas né. Comme être gèné, quand le camion de gène est passé, je n'ai pas embarqué. Et je continue de chercher, jour après jour, la clé, la façon de faire. J'espère de tout mon coeur que je trouverai bientôt. J'ai encore des tas de projets!

mercredi 3 septembre 2014

Les routes...

Hier je me suis pas mal promené et, j'ai constaté, par moi-même, l'état des routes après un été de travaux. On dirait qu'il n'y a rien de fait. Peut-être moins de nids de poule, mais pas plus reposant pour la suspension. Et puis, prendre la 20 est en sortant des ponts, ça tient du délire! Depuis combien de temps ça dure? Et puis l'automne s'amène bientôt, il va falloir que les choses changent! Il n'y a rien de drôle dans ce dédale de détours, qui s'en vont dans tous les sens! Bien content de ne pas passer par là avec la roulotte. Il y a bien des choses qui me rendent heureux. Même que je ne suis pas tellement difficile à rendre heureux. Mais je suis aussi très éveillé par rapport à mon entourage et cela me purge de voir toutes ces incohérences, tout cet argent gaspillé. Pourtant, écouter les oiseaux me fait du bien. Le bruit du vent dans les arbres m'appaise. Pas celui de que mon auto fait quand je me promène dans nos rues. Même pendant que je pédalais cet été, de Montréal vers Québec, j'ai pu constater à quel point les rues étaient dans un état pitoyable. À la quantité de taxes que nous payons, à la tonne d'impôts que nous donnons, comment se fait-il que ce soit ainsi? Pour les même raisons que nous poursuivons l'ex-lieutenant gourverneur? Parce que l'argent ne va pas à la bonne place? Où va-t-il alors? Où va tout cet argent? Je n'ai rien d'autre à ajouter. Même si vivre au Québec est merveilleux, il y a de l'abus et c'est tellement trop! Arrêtez de vivre dans le passé, avec des commissions et dépêchez-vous de trouver des solutions pour le présent et le futur de nos enfants.

mardi 2 septembre 2014

La loi, c'est la loi.

Après une fin de semaine de trois jours, inondé par dame nature, il fait bon de revenir au boulot. Mais quelle bonne façon de se retrouver comme être humain. Se débrouiller avec les moyens du bord. S'entraider, se donner un coup de main. Ça ne donne rien de s'en aller, alors que nous avons tous l'équipement pour être bien, poue être complètement à l'abri. Esiste-t-il de pareil équipements pour être à l'abri du système? Je ne parle pas d'abri fiscaux, je parle de façon de vivre plus simple, plus humaine. Chaque fois que surgit un obstacle, il faut demander au gouvernement de s'en mèler! Quel merdier ensuite. Car plus le système grossit, plus il est difficile à faire bouger. Chaque demande est de plus en plus longue. Et, la tendance se maintient, le système inclut toujours tous le monde dans sa démarche. Alors ça coûte plus cher et c'est encore plus long. Poutant, je ne veux pas d'assurances médicaments, je veux payer ce que j'utilise. Je ne veux pas payer pour un système de santé accessible à tous, avec ses surplus annuels qu'il faut aussi payer, je veux cotiser à mon régime d'assurance, personnalisé, adapté à mes besoins. Je ne suis pas jaloux des autres, mais je veux payer le même impôt que les autres, un pourcentage égal. S'il le faut, je vais fabriquer moi-même mon système électrique, adapté à mes besoins. Mais je ne pourrai pas le dire à personne, car il semble que je n'ai pas le droit. Sinon, je dois accepter le système actuel. Car si je n'ai pas voter pour ça, la loi, c'est la loi. Continuons de sourire!

Au revoir, Jacques…

6 degrés ce matin! Rendu en haut de la côte de l'aéroport, il s'est mis à pleuvoir! Mais c'était tout de même une fantastique ri...