lundi 31 décembre 2018

On change d’année!

Présentement je me sens bien, mais j’irais me recoucher. Moins dix degrés, en veille d’une nouvelle année et aussi d’une bordée de neige. En ce lundi 31 décembre 2018, on peut dire que l’année se termine très bientôt! Inutile de sortir tambours et clairons, je me suis levé pour arracher du lit mon plus jeune, car il travaille ce matin à 7:00. Que voulez-vous, il faut bien qu’il se fasse la main au monde des adultes! HIer soir, nous recevions des amis à souper, nous étions 10 pour souper et ce fut vraiment plaisant! Ce fut aussi notre soirée la plus tard, alors que nous nous sommes couchés vers une heure du matin. Donc jusqu’à maintenant nous avons réussi à être pas mal tranquille. Et je suis vraiment fier de ce fait. Difficile de ne pas dépasser les bornes quand le temps est à la fête, que nous passons du temps avec des gens qu’on aime!  Hier j’ai aussi fait un brin de mécanique sur la voiture de Chantal. La valise ne voulait plus ouvrir, les haut-parleurs arrière commençaient à être fatigués et il y avait un témoin lumineux d’allumé. En une heure et demi, j’ai réussi à passer au travers de tout ça. Ce fut très valorisant de le faire et ils étaient contents! J’ai aussi déglacé mes garages et pelleter pendant un bout. J’ai refait un «gasket» pour étancher le carburateur de ma souffleuse et, pour le moment, ça marche! Avoir une souffleuse et ne pas s’en servir, c’est vraiment frustrant. En attendant de me procurer un véritable joint d’étanchéité, il semble que ça fait l’affaire. Bref, il est 6:30, en attente pour aller porter mon petit bonhomme au travail. Ensuite un peu de sommeil. Ce sera une journée de repos avant la première journée de 2019! Année qu’on accueillera au champagne dans un peu moins de 18 heures! Ensuite nous irons chez mon père honorer une tradition qui dure et qui fait du bien! On s’en reparle en 2019.

dimanche 30 décembre 2018

Ça passe tellement vite.

Ouf! Déjà le 30 décembre! Après une journée comme hier, ça prend un peu de repos! D’abord en fat bike au Lac Delage pour un bon deux heures. Quelle expérience enrichissante! J’ai trouvé ça plus amusant et plus divertissant que la raquette! Ensuite un souper chez des amis à Donnacona. Bien des choses à se raconter! Il était temps de se coucher! Ce matin, au poste à 6:00 pour pouvoir aller porter le plus jeune à son travail. Un permis de conduire serait bienvenu, mais on ne peut pas forcer autant les choses. Déjà qu’il travaille le lendemain de son party, c’est merveilleux! Ce matin, il fait moins 19 degrés, nous avons quelques préparatifs pour le souper, alors que nous recevons des amis de longue date. Ce sera le genre de souper où le placotage prendra toute la place. Ensuite petit break le 31 dans la journée, car le premier jour de l’année nous invite chez mon père, en Beauce, pour aller déguster sa toutière! Ça va être bon! Ça fait du bien de casser la routine, mais ça fait du bien aussi de s’absenter un peu du travail. Mais je n’ai pas à me plaindre, je vais avoir une autre belle année! J’aimerais avoir le temps de faire d’autres bilans avant de recommencer à travailler. Ceci dit, je vais travailler les 3 et 4 janvier, mais dans l’atmosprère que c’est pour finir l’année en cours. Ça me semble étrange un peu, mais c’est comme ça que je le ressens. À plus.

vendredi 28 décembre 2018

L’année de travail est finie!

Dernière journée de travail en 2018! Les années passent, mais ne se ressemblent pas. Des fois les congés sont écourtés parce que la journée de Noël tombe un samedi. Cette année, elle fut un mardi. Donc en congé dès le vendredi pour au moins quatre jours. Je me souviens d’avoir travaillé le soir de Noël et aussi le soir du jour de l’an. Ce n’était pas tellement rose dans ma vie et c’était peut-être mieux ainsi. C’était il y a vingt-cinq ans! Cette année, les coffres sont particulièrement vides, mais nous sommes heureux! Ça c’est merveilleux! Il faut dire aussi que j’aime bien travailler et que, parfois j’ai préféré travailler que d’aller fêter avec une humeur maussade ou triste. Je regarde dehors ce matin, il neige à plein ciel et il fait moins dix degrés. Vendredi dernier, alors qu’il tombait des cordes et que le vent soufflait, je me suis rendu à St-Agapit pour terminer un travail. Ensuite nous avons gelé, avec un mercure qui n’a pas grimpé au dessus de moins dix degrés! Et sept jours plus tard, il neige, et les prédictions nous dirigent vers de la pluie pour la nuit qui vient! Ensuite nous allons geler! Vive la belle province et ses caprices météo! Mais je dois tout de même me rendre à Donnacona ce matin pour travailler sur une remorque. Ensuite ce dossier sera réglé. Je n’arrive pas à croire que l’année soit terminée. J’ai tellement travaillé pour en arriver à la fin avec rien dans mes poches! Mais les pronostics pour la prochaines année sont bons. J’ai même des projets qui sont annoncés! Alors je vais passer au travers de cette journée et fermer l’année en beauté dans mon cœur! Le reste, on verra l’an prochain. On se reparle bientôt!

jeudi 27 décembre 2018

Retour sur le camping.

Moins dix-neuf ce matin! Je me suis entraîné un peu, car je vais travailler une partie de la journée. Pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable? Encore du beau soleil, mais ce froid est coriace depuis quelques jours. Et je crois que l’hiver vient tout juste de commencer, alors il faut s’habituer! Je ne disais que je devais revenir sur notre saison de camping. Elle fut plus courte que l’an dernier à cause d’un printemps trop froid et trop mouillé. Commencer l’été à la Saint-Jean n’est jamais très amusant. Et pour couronner la saison chaude, car il a fait aussi très chaud, septembre fut absolument dégueux avec sa pluie et son froid digne de d’un mois de novembre. Pourtant, parlez-en à des gens autour de vous, nous avons eu un super été. Deux mois de chaleur incroyable, chaleur qui me rappelait mon enfance. Du temps chaud qui m’a fait rajeunir. La dernière sécheresse remonte à 2002, alors que la pluie s’est retenue de tomber de la la Saint-Jean jusqu’à la mi septembre! Tous les jours, il faisait chaud, très chaud! Mais cet été, la pluie fut au rendez-vous très souvent! Même qu’il était difficile de s’organiser des choses à l’extérieur, car il pleuvait de façon sporadique et souvent sans prévenir! Nous nous sommes dit qu’on serait mieux de s’en foutre et de s’amuser dehors, profiter de nos installations au camping et d’improviser! Avec notre immense roulotte, passer l’été juste nous deux m’a semblé un peu terne. D’accord nous étions en amoureux, mais du coup, notre «investissement» vers le plus grand nous a incommodé par son entretien et son prix. Et puis, trop grand pour rien. Nous avons beaucoup réfléchi sur le sujet. Et comme la saison fut très tardive, à la fête des pères, nous n’avions pas encore de robinet dans la cuisine de la roulotte. Malentendu avec le fournisseur... Le chauffage partait toute les nuits et les soirées se voulaient très courtes devant le feu, car il faisait trop froid. J’ai bricolé tout l’été pour améliorer les commodités extérieures, mais une fois le tout terminé, le froid s’est abattu comme la misère sur le pauvre monde... Bref j’en avais la nostalgie! J’aurais aimé profiter un peu plus de mes réalisations. Un été très venteux, mais très relaxant. Et avoir une laveuse sécheuse à même la roulotte apporte une touche de luxe qui fut très appréciée! Mais nous nous sommes beaucoup ennuyés de nos amis, étant dans un secteur très à part du camping, se voir devenait du déménagement! Et puis, il a fallu changer les batteries du kart. Un coup d’argent imprévu! Aussi s’offrir à Grand Prix un ensemble de robinetterie de luxe pour beaucoup plus de sous que prévu! Comme bien d’autres imprévus de l’année 2018... AU final, nous avons décidé de tout vendre et de peut-être recommencer à voyager, comme bon nous semble.

mercredi 26 décembre 2018

Premier bilan.

Journée du Boxing Day 2018! Pour une fois qu’on pouvait dormir, le plus jeune qu’il faut «arracher» du lit tous les jours s’est levé de lui-même à 7:00, puis il s’est recouché. Ensuite ce fut au tour du plus vieux de nous prouver qu’il est capable de grande chose, mais seulement de façon sélective! Et finalement, ma grande est revenue de chez son nouveau chum avec ses talons hauts... En passant, le nouveau chum fume, donc ma fille fume et sent.... Pour le reste je suis en congé de «party» aujourd’hui. La folie du Boxing Day ne m’intéresse jamais, mais nous devons aller faire quelques emplettes un peu plus tard. J’aimerais revenir sur certains événements marquants de cette année 2018 qui nous quitte doucement... Notre saison de vélo fut la meilleure de toute celle que nous avons vécue. Il faut dire que le camping nous a aidé. Il était facile de se fixer des objectifs et aussi de partir à l’aventure sans trop de balises urbaines. Il a beaucoup plu cet été, mais ces averses furent assez distancées pour nous permettre de pédaler. Trois grandes randonnées, soit le Cyclo-Défi Endbridge, le Gran Fondo et notre aller-retour vers Victoriaville par la piste cyclable! Vraiment merveilleux! Et je crois que nos vélos sont vraiment bien adaptés à nos besoins! Et d’avoir des amis à l’occasion n’est pas essentiel pour avoir vraiment du plaisir! Cette fabuleuse aventure en vélo nous a permis de tirer des conclusions sur ce que nous aimons faire dans un été. Beau temps, mauvais temps.  Bref nous avons aimé. Et nous parlons déjà de la prochaine saison! Mais pour l’instant, l’entraînement est intérieur depuis l’arrivée du mois de novembre, les basses températures et la neige nous ont chassé! On a reparlera de cet automne glacial et enneigé... À plus!

samedi 22 décembre 2018

En congé.

Eh bien! Il a vraiment plu hier! C’était difficile de circuler dans les rues sans foncer dans une mare! Mais il n’a pas fait aussi chaud que nos experts l’avaient prédit. Pas grave, la neige a moins fondu. Mais ce matin, il pleut encore à deux degrés. C’est vraiment humide et froid. Un peu de brouillard pour agrémenter! Mais je suis content de ma journée d’hier, j’ai atteint mes objectifs d’avant Noël! Et puis, la bière était bonne vers 17:00, l’heure où ma Bibi est arrivée! Nous étions en relaxation complète, avec de petits canapés, quand Vicky nous a appelé. En pleurs, elle était en panne dans la brettelle de sortie de l’autoroute, à deux kilomètres de la maison. Nous sommes allés l’aider! Je n’ai pas réussi à trouver ce que l’auto avait, mais je l’ai ramené à la maison, ainsi que Vicky. Je vais vérifier l’auto aujourd’hui, en espérant que le jour n’est pas encore arrivé pour la changer. Et puis, le timing n’est pas tellement bon, juste avant de traverser les fêtes. Nous avons besoin de deux voitures dès ce soir! Et pour les trois autres suivants! Solutions à venir bientôt. Par contre, la bonne nouvelle est que mon nouvel ordinateur est payé! Oui! J’ai reçu le paiement d’un client, paiement prévu pour rembourser le crédit que j’avais pris pour acheter l’ordinateur en ligne. Ça aide à ma bonne humeur! Et je prends cet événement comme inspiration fiancière pour 2019! Comme l’heure est bilan, je vais tenter de faire un résumé des trucs qui ont marqués l’année 2018 et ainsi garder un bon souvenir de cette année qui nous quitte dans quelques jours. Que de changements nous ferons en 2019, j’ai hâte! À plus!

vendredi 21 décembre 2018

Encore une!

Moins un degré ce matin, il pleut vraiment beaucoup! Je crois voir un peu de verglas à travers... C’est sûr que de la neige aurait mieux fait. Et j’aurais eu le temps de déneiger avant le réveillon du 24! Mais puisqu’on ne peut rien faire devant mère nature, on regarde et on s’adapte! Bref j’ai de la route à faire encore ce matin. J’espère que ça ira bien. Et j’ai une après-midi de production qui devrait s’avérer très bien remplie! Donc il ne reste plus qu’à réussir à se reposer un peu une fois cinq heure passé! Comme je le disais hier, un redoux la journée que l’hiver commence, bof! Surtout que le froid suivra dans pas long... J’aime mieux ramasser de la neige que de payer pour assumer le froid! Une autre arnaque sur laquelle le gouvernement se remplit les poches! Et puis, hier je suis aller virer à Ste-Anne-de-la-Pérade, où j’ai constaté que le prix du litre d’essence était cinq cents de moins qu’en ville... Cartels... Bref ça m’a fait chier pas mal. Plus le temps passe et plus j’ai l’impression que ça ne va pas s’améliorer. La paresse intellectuelle de nos dirigeants (syndicats, lobbys, médias) continue de ne voir plus loin que le bout de son nez! Prenons l’argent des citoyens! Ils se débrouilleront! Les campagnes de peur se suivent depuis des années, on dirait même que les gens ne réagissent plus du tout! Comme des bêtes dans un troupeau, qui suivent un «leader» quelconque qui ne sait pas plus où il s’en va; autour d’eux, les influenceurs en profitent pour donner des directions ramasser les dividendes! Il semble que nous sommes prisonniers dans ce marasme. Ces dernier jours, j’ai eu de la difficulté à trouver mes mots pour exprimer mon mécontentement face au nouveau gouvernement en place. D’ailleurs je croyais avoir certaines discussions avant les fêtes avec certains à ce sujet, mais il semble que le vent a tourné et qu’il n’en sera rien. Très déçu. Alors fonçons dans cette journée de travail où les occasions de se valoriser ne manqueront pas. On garde le sourire et regarde pas trop loin en avant, car les journées commenceront à rallonger!!! Bon temps des fêtes!

jeudi 20 décembre 2018

Deux jours...

Donc il ne reste que deux jours de travail avant d’avoir un peu de congé? Pour vrai? Moi qui a une de ces misères avec le fait de devoir relaxer...! Mais quand il faut, il faut! J’ai encore bien des choses à faire avant Noël! Mais je vais tenter de prendre ça plus molo. Et puis, le fait que ça commence un samedi, ça ressemble à un début de fin de semaine. Pour les sous, on verra d’ici là! Ce matin, je dois me rendre à Ste-Anne-de-La-Pérade pour y lettrer un camion. Ça va me prendre plus de temps me rendre et revenir que de lettrer le camion! Mais bon, qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour son neveu! N’empêche que je vais devoir mettre de l’essence en revenant. Demain je dois aller à Saint-Agapit pour réparer de petits détails esthétiques sur des filtres à air de camion et porter des cadeaux chez un client! SI la tendance se maintient je vais travailler le 27 et 28 décembre. Pas des grosses journées, mais je vais faire mon possible pour que ce soit le plus court possible! Je me sens bien, tellement moins claqué qu’hier! Je me suis levé à 3:30, le temps de m’en rendre compte et de retourner me coucher! Puis, à 4:45, je me suis levé et j’ai commencé à pédaler! Je ne sais pas pour vous, mais ça va me faire le plus grand bien de quitter un peu le train-train quotidien! De plus, j’ai commencé la configuration de mon nouveau PC! Il devrait être prêt pour la nouvelle année de travail qui s’en vient! Mon genou est raide ce matin, alors que nous sommes en attente d’un redoux...Un redoux la première journée de l’hiver...! Quel climat impossible! Déjà tanné de l’hiver, car il est installé depuis plus d’un mois déjà. Pour ceux qui n’ont pas de neige, désolé. Ici nous en avons beaucoup malgré ce qui a fondu! Et avec la douche qui est supposé tomber demain, il devrait en rester encore pas mal. J’aimerais mieux que ce soit de la neige, et que le froid qui suivra soit moins intense! Anyway, on n’y peut rien! On se reparle demain!

mercredi 19 décembre 2018

On reste calme!

Ouch! Une autre journée qui s’est terminée tard! Ce matin je ressens mon âge! Oh je suis heureux, même très heureux! Mais il me manque certaines énergies...Moi qui voulait les partager avec le gouvernement provincial en place! Dommage, car il en aurait grand besoin! Certains sont accrochés à sa déclaration d’entrée sur le port de trucs religieux au travail, mais ont-il oublié si vite pour l’autre qui «nous montre» sa camisole et ses docks Martens? Nous sommes perdus dans cette société malade qui se cherche sans leader «profond». Par profond, j’entends leader de société qui incarne une sorte de modèle. On dirait que certains auraient besoin de se remettre à leur place! Quand j’étais petit, cette époque achevait, mais la religion prenait pas mal de place et les choses étaient plus simples. Bien sûr il y avait plus de choses qui étaient cachées, mais des gens qui se «déguisent» en chien et qui forment une communauté, ça n’avait pas sa place. Et puis les gens avaient une certaine crainte du clergé, et cela maintenait une sorte de respect. Aujourd’hui les valeurs sont disparues, les gens semblent perdus. L’entraide, l’hospitalité et le respect sont disparus. Il faudrait que quelqu’un s’empare d’une tribune et puisse se faire entendre! Dire aux gens qu’ils n’iront pas en enfer, que l’enfer, c’est ici! Maintenant! Que ce n’est pas en «payant» leur empreinte de carbone qu’ils sauveront la terre....Pourquoi un homme que j’ai vu faire du théâtre, qui fait de la mise en scène, peut dire dans les journaux que les produits de l’Alberta menace l’humanité? Y-t-il quelque chose là-bas qui est si dangereux? J’aimerais qu’il se rende sur place pour nous expliquer son point.  Une certaine concordance avec notre PM canadien.. Mais je crois que ce serait en vain, car cette mascarade est complètement ridicule! En ce mercredi 19 décembre, je ne peux que me rabattre sur mon travail pour tenter de garder ma bonne humeur! Et, à vivre en société, on se rend compte que certaines choses auraient du rester cachées... Bonne journée !

mardi 18 décembre 2018

On lâche pas!

Je me rends compte que ce sera mon dernier Noël avant la cinquantaine! Eh bien, autant en profiter au maximum! J’ai donné la claque rare hier, alors que je ne voulais pas trop courir pour le reste de la semaine. J’aime mieux en faire plus en début de semaine, et finir plus relax. Bien sûr, je ne suis jamais à l’abri d’imprévus, mais si la tendance se maintient, je serai dans les temps pour arrêter vendredi soir! Et c’est merveilleux! Alors que tout ça semblait très loin la semaine dernière, je dois dire que tout s’est passé très vite et que là, je l’ai en pleine face le stress des fêtes! Toujours pas de cadeau pour ma tendre épouse. Je ne trouve rien. Oh il y a bien cette montre Apple, mais je n’ai pas les moyens... À l’aube de mes cinquante ans, je n’ai pas encore cette «liberté» financière de pouvoir acheter quand bon me semble. Avec l’achat de mon nouveau PC de travail, j’aurai les coudes serrés encore pendant un bout. Mais nous sommes heureux, avec nos enfants! Et puis ce n’est pas comme si nous étions à la rue, ou encore dans le rouge avec des tas de comptes impayés. Mais il faut se rendre à l’évidence, le coût de la vie devient vraiment dur à affronter. Et quand tu entends les dirigeants dire qu’il faudra en donner encore plus pour l’année qui s’en vient...Ouin. Alors je continue de travailler, car c’est un privilège de pouvoir travailler. Mais aussi un réussite! Je me rends compte que je devrai aussi monter mes prix pour la nouvelle année, car mes coûts d’acquisition de matériel ont encore monté! Quelle tristesse! J’aimerais qu’il en soit autrement. Et je dois m’atteler sur la facturation, car les deux semaines qui suivront ne rapporteront pas grand chose! Bon assez de constats, allons plutôt travailler et préparer ce beau Noël qui s’en vient! Bonne journée!

lundi 17 décembre 2018

Dernière semaine de travail avant Noël!

Lundi matin, 17 décembre, il fait moins quatre degrés. Nous sommes rendus à cette dernière semaine de travail avant Noël. Semaine toujours enivrante et bien remplie au niveau du travail. Il semble que je serai occupé pas mal. Après une fin de semaine de décorations de Noël, ça m’a permis d’oublier un peu les tracas de la semaine et surtout de laisser un peu de place à l’esprit de Noël! Et puis, notre sapin de cette année a dix pieds et demi de haut et un beau gros six pieds de diamètre! Il est très impressionnant! Et puis ce fut magique avec les enfants. Parlant des enfants, ils travaillent de plus en plus, nous laissant du temps pour nous deux. Étrangement, ce temps que nous attendions, nous apparaît avec une soupçon de tristesse. Comme si, on s’ennuyait finalement! Vous me direz que c’est normal, après avoir vécu avec eux autant d’années, il est difficile de faire la coupure! Mais bon, ce temps nous fait du bien quand même; il nous permet de réfléchir un peu, de se parler de plein de choses, comme nous aimons tant le faire. Et puis cette flamme que nous avons entretenue, du mieux que nous l’avons pu, est toujours présente. Je suis tellement bien avec ma douce épouse! Ces congés qui arrivent seront bienvenus. Bien sûr, le fantôme qui me hante chaque fois que je prends congé reste bien vivant, mais j’ai appris à vivre avec. Congé égale aucune facturation! Mais je vais en profiter pour relaxer. Quelle grande phrase! Je ne sais pas trop comment cela va s’articuler cette année. Certains temps des fêtes furent vraiment réparateurs, tandis que d’autres furent pour le moins éreintants! À moi de gérer. Alors je vais prendre ça comme ça vient, comme le reste de ma vie! N’empêche qu’avoir du lousse un peu pendant deux semaines, ça va faire du bien! Alors je me crinque un peu ce matin, car ça va rocker toute la semaine! On se reparle demain!

samedi 15 décembre 2018

Fait chier en ta...!

Après une super semaine de production et d’installation, me voici rendu au samedi matin pendant lequel, hormis certaines responsabilités parentales, je peux laisser aller mon esprit vers certaines bassesses! Bin non! Je viens de lire un article qui parle des salaires chez notre fournisseur monopolistique d’électricité....Je me demande pourquoi nous continuons de payer... Après avoir perçu trop d’argent dans nos poches, apprendre que plus de 30 % de ses employés gagnent 100 000$ et plus. Ce ne sont sûrement pas tous des directeurs et\ou des cadres enterrés de responsabilités! D’ailleurs, qui, dans ce genre de business gouvernementale est responsable de quelque chose? Après avoir constater que le prix du litre d’essence a augmenté de huit cents en général, cette petite lecture m’a légèrement irrité. Comme je disais à un proche lors d’un dîner, comment les politiciens en place pourraient faire pour m’enlever le goût de partir d’ici? Pour l’instant, le nouveau gouvernement en place semble très loin de se soucier de cela! Je viens de compléter une semaine très valorisante, où j’ai constater que j’aimais ce que je faisais, que je voulais continuer encore longtemps. Mais quand je vais mettre de l’essence, mon sourire se raidit. Et si j’ai, sans faire attention, lu un peu trop sur l’actualité, alors mon sourire se transforme en pli dans le front! Je reste poli et métaphorique, mais heureusement que j’irai pelleter un peu pour me changer les idées! Oui parce qu’il est tombé plus ou moins 10 centimètres de neige très pesante! Ça je n’y peux rien. Mais le grand air me fera apprécier ce que j’ai, ce que je suis. Pour le reste, il reste une semaine de travail avant le congé des fêtes. À voir si le repos voudra bien de moi! Et puis, écrire ces quelques mots, tôt un samedi matin, j’espère que ça m’aidera à me relaxer. Bien content de vous avoir partager cette petite partie de mes pensées qui commençait à alourdir mon humeur!

vendredi 14 décembre 2018

Encore une petite montée de lait...

Yes! Nous sommes vendredi! Il semble que malgré les imprévus, j’ai réussi à atteindre les objectifs quand même! Savez-vous que ces objectifs ne sont jamais en fonction de l’argent? Jamais je n’ai planifié des entrées d’argent? Des fois je pense que je devrais. Ne serait-ce que pour savoir. SI je suis capable de travailler par moi-même, je dois être capable de faire ça! Mais tout est bien abstrait encore. J’aime prévoir des choses, organiser des choses, mais on dirait que dans certains cas, c’est plus flou. En tous cas, j’ai toujours l’intention de le faire à un moment donné. Dans le feu de l’action qui anime nos semaines, j’oublie souvent de facturer, imaginez fixer des objectifs financiers! Mais ils y en a qui sont payés de gros salaires pour le faire, et qui, ma foi, n’obtiennent pas vraiment de résultats extraordinaires... Quand je pense au ministre des finances, celui à qui revient le privilège de nous dire que nous sommes endettés jusqu’au cou, je n’arrive pas à comprendre! Avec tout l’argent qui sort de nos poches, y a-t-il moyen qu’un jour nous puissions atteindre un certains équilibre? Voir des profits pour l’amélioration de nos technologies, de notre économie? La somme que nous recevrons en compensation pour nos piètres résultats, y a de quoi être honteux...Je ne suis pas négatif, je suis réaliste. Et j’ai entendu des gens dire que c’était normal, qu’ils nous le devaient bien! À ces gens je leur dis : «Allez travailler, gagner votre vie!» Je suis épuisé, complètement désillusionné par rapport à tout l’argent que ça représente! Et puis, comment se sentir fier de payer la retraite des autres quand je n’ai pas les moyens de payer la mienne? Si au moins c’était moi qui décidait ce que je fais avec mon argent! Et ce n’est pas comme si ça venait de commencer. Si je retourne relire ce blogue en 2007, mon discours va dans le même sens! Rien n’a changé, ou plutôt oui, la dette a augmenté! C’est un drame! Jusqu’à maintenant nous avons payé très cher pour cette dette. En plus, j’ai l’impression de mendier aux autres de l’argent! Ce qui est très contraire à mes principes! Et malgré ce montant astronomique, j’en ai pas plus dans mes poches à la fin de l’année! Mais nous sommes vendredi, il fait moins huit degrés, enfin sorti du couloir polaire! Je ne parlerai pas du prix de l’essence qui à monté...

jeudi 13 décembre 2018

Le blitz avant les fêtes se poursuit!

Jeudi le 13 décembre, ce fut la nuit la plus froide de l’automne 2018. Quoi qu’en dise les gens, on ne peut rien changer à ça. N’empêche que c’est froid en mautadine! Dur sur l’humain, dur sur les véhicules, dur pour les infrastructures, etc. Et ça coûte cher de chauffage! On passe notre vie à tenter de s’améliorer, mais aussi six mois par année à se protéger de cette froideur qui est unique à notre climat. Au diable les génies qui nous font la leçon avec un discours incohérent dans le but de nous faire payer encore un peu plus, le temps froid coûte plus cher ici que le temps chaud! Pour la simple et bonne raison qu’il fait froid bien plus longtemps qu’il peut faire chaud! Combien d’été avons-nous attendu que la chaleur se manifeste? Les gens oublient tout. Le temps qu’il a fait, les événements marquants, tout! Pour ma part, je prends énormément de notes, j’écris pas mal de textes, laissant des points de repère ici et là. Cela me permet de me remémorer certaines choses, surtout quand elles se sont «effacées» prématurément pour diverses raisons. Rien à foutre de ce que peuvent nous radoter les minorités qui ont la tribune, à nous de trouver notre bonheur et à nous aussi de donner un sens à notre vie. Et puis, quand on cherche un peu, on découvre que ces personnes aux grands discours seraient peut-être mieux de rester muets. Quand on devient une personnalité publique de nos jours, les réseaux sociaux ont tôt fait de révéler votre vie en entier à qui veut le savoir. Le tribunal populaire fait beaucoup plus de dommages que notre système judiciaire! Que ce qu’on raconte sur vous soit vrai ou non. Alors tenez-le vous pour dit! La journée d’hier fut vraiment bien remplie et sur le coup de cinq heures, j’en ressentais pleinement les effets! Encore une autre aujourd’hui qui le sera autant, comme celle de demain; alors je me garde un peu d’énergie pour me rendre jusque là. À plus tard!

mercredi 12 décembre 2018

Ça avance!

Encore une journée de travail qui commence. Je pourrai dire que j’en ai travaillé quelques unes! Et je pourrai aussi dire que j’ai aimé ça! Encore un petit peu de neige de tombée, moins quatorze degrés. Ce couloir polaire commence à être long. Mais les journées vont bien, j’en suis vraiment content. Hier soir nous sommes allés au concert de Noël de notre plus jeune. Toujours très bon d’entendre ces jeunes jouer de la musique. Et de voir leur sourire! J’adorais participer à ce genre de trucs quand j’allais au secondaire, cela me coupait des cours, des idiots du village, des comparaisons douteuses, etc. Et ça me valorisait énormément! Car je ne performais pas vraiment en éducation physique et les gars me le faisaient savoir. Mais ce fut une époque d’apprentissage parmi tant d’autres. Il faut vivre la vie pour pouvoir l’apprécier. Des fois une situation nous indispose et, le simple fait de se remémorer des vieilles expériences nous permet d’apprécier un peu plus le moment présent! Je ne dis pas que c’est facile, ni qu’après cinq années de secondaire, la vie n’a plus rien à nous apprendre; au contraire, il faut prendre le temps de vivre tous ces moments pour apprendre. Bien sûr quand on est jeune, on a hâte de «vieillir», de devenir un adulte et de faire ses propres choix. Le temps ne passe jamais assez vite! Et plus le temps passe, plus on trouve que ça va vite, que les journées sont plus courtes. Et on finit par se demander qu’est-ce qui pouvait presser autant... Donc on continue de se concentrer sur le moment présent, tout en prenant soin d’apprécier ce que l’on a! Hier j’ai reçu mon ordinateur neuf de travail. Bin oui! L’autre a déjà cinq ans! Et dans le monde informatique, cinq ans, c’est long. Surtout pour une machine qui travaille jusqu’à sept heures par jour. Donc après avoir magasiné pendant trois mois, j’ai enfin trouvé la bête qu’il me fallait. Le temps de penser à comment je vais faire pour la payer, ensuite commander. Je vais profiter du temps des fêtes pour installer tout ça. Changer de système d’exploitation, mettre à jour certains logiciels, toujours un défi intéressant. Mais pour ne pas faire comme en 2013, en pleine production, vivre un mois de transition très pénible et très peu payant! Difficile de trouver une machine aussi bonne que celle qui vient de faire cinq ans sans problème. Quelle chance à prendre. Mais j’ai bien hâte de commencer cette nouvelle étape! Je vous laisse, je dois aller gagner des sous!

mardi 11 décembre 2018

Ouin...

En plein blitz avant les fêtes, la quantité de neige au sol est impressionnante! On se croirait à la fin de janvier! Que voulez-vous, nous sommes au Québec, mais aussi à Québec. Climat «tempéré». Bof! J’aime mieux de la neige que du froid; et c’est ce que nous avons encore pour quelques jours. Moins dix degrés en plein jour, plusieurs journées de file, avant le le 20 décembre, j’espère ne pas revivre ça. Maintenant que nous y sommes bien pris, autant s’armer la conscience pour passer au travers! Je discutais avec un ami hier soir, il était facile de déraper sur la température, mais aussi sur l’économie! Quelle farce jusqu’à maintenant. Depuis le changement de gouvernement, nous sommes «attaqués» de beaucoup de façons par des gens sans scrupule, qui croient que la vraie vie, c’est se payer du luxe et payer en argent son empreinte de carbone! Ou encore, essayer par tous les moyens de montrer aux autres comment respirer! J’en ai ma claque! Non seulement ils sont enragés, mais ils semblent croire ce qu’ils avancent! Si c’est le cas, ils me font pitié. Sinon, les manoeuvres pour faire passer leur «message» relèvent du ridicule. En quoi vous sauver quelque chose en «payant» votre pollution en argent? Qu’est-ce que vous changer en mieux pour la «terre»? Vous pensez que vous vous allégez la conscience, tout en essayant d’embarquer les gens de votre côté! Vos démarches ne sont qu’une tactique pour instaurer un autre moyen de taxer les gens. Aimez-vous voir ce qui se passe en France? Les gens sont épuisés, complètement impuissants devant votre tyrannie! Remballez votre rengaine et allez travailler! Laissez les gens se débrouiller par eux-mêmes! De toute façon, le système actuel arrive à sa fin, il devra tomber un jour, car personne ne voudra donner plus de 50% de ce que qu’il gagne encore longtemps. Car il y a une limite à faire payer le monde. Comme je l’ai déjà dit, c’était sûrement une bonne idée en 1970, cette façon de faire ne faisait pas trop augmenter le coût de la vie, mais aujourd’hui, avec la multiplication des emplois «gouvernementaux», ce n’est rien de possible, la machine se gruge elle-même! Et personne ne semble s’en rendre compte! Et puis, chaque gouvernement propose des coupes dans les services, coupes qui se font toujours au bout de la chaîne: ce sont les enfants et les personnes âgées qui en écopent! Ça tourne en rond et ça semble impossible de s’en sortir. Ce sont toujours les mêmes qui font les sacrifices. On s’en reparle je dois aller travailler pour payer la retraite des autres!

lundi 10 décembre 2018

On repart la machine!

Étrangement, le mercure est monté à moins 6 degrés hier soir vers 20:00. Bizarre de temps depuis un mois, trop froid, trop de neige, dur de croire que nous sommes le 10 décembre! Encore dix centimètres de neige ont tombé hier dans la journée. Je regarde les toitures et je trouve que ça monte vite! Très vite! Je me fais les bras à pelleter! Toute cette température imprévue ne laisse personne indifférent; pour ma part, avec les récentes allégations de nos dirigeants qui refusent de nous rembourser le trop payé à notre fournisseur de courant et la sortie sur le fait que nous avons payé l’essence trop chère... Pourtant pas une rue de bloquée, aucune sortie des citoyens sur les réseaux sociaux...On dirait qu’il n’y a pas que les prix qui sont «manipulés», l’information aussi! Rien à faire avec ces médias qui «déguisent» les faits, ajoutent de l’environnement partout! Mais pour en revenir au trop payés, qu’avez-vous fait avec cet argent? Comment se fait-il qu’hier après-midi, l’autoroute était une patinoire? Pourquoi est-ce que mon fils n’a pas plus d’aide de la part des différents «bureaux» associés à son statut particulier? À quoi sert vraiment tout l’argent qui nous est sous-tiré? Vous devriez avoir honte d’essayer de nous montrer comment vivre! De nous dire de d’économiser l’électricité! D’essayer de nous culpabiliser avec l’environnement! Que celui qui n’a pas polluer commence à crier haut et fort aux autres de faire de même! Quand vous «remboursez» votre luxe en «carbone», vous ne faites que vous imposer une nouvelle taxe! Vous ne réglez rien du tout! Vous voulez en payer plus, allez-y! Mais laissez-nous tranquille avec ça! Je vous souhaite un bon temps des fêtes avec ceux qui vous aiment!

dimanche 9 décembre 2018

Un matin froid...

Moins 21 degrés en ce dimanche matin de décembre. Nous sommes le 9 décembre, il est rare que nous ayons autant de neige à cette date. Hier nous sommes allés à Sainte-Rose chercher 131 pâtés, préparés par mon père, pour des réserves festives! Il faisait - 20, se rendre sur place nous a semblé un exploit digne d’un voyage au Pôle Nord! Le soleil brillait, dévoilant un halo autour de lui qui formait par moment un arc-en-ciel! Très apprécié ce rare et très aveuglant soleil, absent de nos vies depuis la fin de septembre. N’empêche que c’était très plaisant de passer du temps avec mon père. Du haut de ses 76 années, plein de vie, il nous aurait donner sa chemise tellement il était content de nous voir. SI ce n’était pas si loin, j’irais le voir plus souvent. Mais une heure quinze de route pour aller prendre un café, ça fait loin et un bon trou dans mon horaire hebdomadaire. Du temps de qualité, c’est ce que nous avons eu, mon épouse et moi. Cette nuit, mon plus jeune travaillait. Il était nerveux, avait peur d’être fatigué, etc. Mais quand je suis allé le chercher ce matin, vers sept heures, il était souriant, me racontant un peu sa première nuit de travail! Il m’a dit que c’était l’fun de pouvoir chanter en travaillant, car l’absence de client le permet. Et comme je suis levé et plein d’énergie, j’en profite pour écrire quelques mots. J’ai décidé aussi de prendre en note les pensées que j’ai écrites sur Facebook depuis toutes ces années. Chaque jour, je suis friand de les relire dans mes souvenirs, alors je vais les prendre en note quelque part. Avant, quand j’écrivais «à la main» sur du papier, quand je voulais retranscrire un de mes textes, il fallait que je le recopie en entier. Même chose pour mes dessins. Maintenant je peux «copier-coller» mes textes, numériser mes dessins, ou simplement les prendre en photo avec mon téléphone intelligent! Malgré que j’affectionne encore pas mal dessiner sur du papier, je dois dire que le saut complet en numérique me tente. Conserver tous ces dessins prend de la place et, fini par devenir «de trop» quelque part sur une tablette ou dans un classeur. Dessiner représente une partie de ma vie pour laquelle je dois bien du respect. Cette forme d’expression m’a permis de survivre bien souvent à tous mes maux. En vieillissant, stress, responsabilités et enfants m’ont obligé à prendre un virage plus important vers l’écriture. Mais c’est pour moi le même genre d’exutoire. Je constate que si toute cette «production» était sur papier, ça prendrait vraiment trop de place... La magie de mettre sur papier quelque chose, une histoire, une idée, un personnage, une situation! Cela oriente mes pensées vers autre chose, et ça coûte moins cher que d’aller faire une activité quelconque comme jouer aux quilles, jouer aux darts, ou peu importe. Mais ça ne me fait pas vraiment rencontrer des gens. Je dois admettre que j’en rencontre beaucoup par le biais de mon travail et aussi la chambre de commerce. Alors ça me convient encore, cette façon de «ventiler» ce que mon âme veut bien me partager. Bonne journée!

vendredi 7 décembre 2018

Ça sent la fin de semaine.

Enfin vendredi! Je suis sorti pelleter de nouveau, encore un cinq centimètres de plus! Et dire que nous entrons dans un cycle polaire! Nous sommes le 7 décembre et on se croirait à la fin de janvier! Désolé pour ceux qui n’ont pas de neige et qui en veulent, nous on en a assez pour le reste de l’hiver qui n’est même pas commencé encore! C’est très beau ce blanc, mais c’est un mois de neige de plus que d’habitude! Gratter autant ça garde la forme! Et puis, qu’est-ce qu’on peut y changer? Hier soir nous sommes allés faire un peu d’épicerie; nous avons constaté que le prix des aliments continue son ascension; ascension, ça veut dire vers le haut! Simonac! Ma chérie me faisait remarquer qu’à part des œufs, le reste commence à être du gros luxe! Elle m’a dit aussi que je devrai m’habituer à ces prix hors du commun, des prix sous le dôme. Je ne pense pas que je vais m’habituer. Il va falloir changer nos habitudes. Surveiller encore plus les spéciaux. Quand elle me dit des choses comme ça, je me remets en question, jusqu’à regretter mes récents achats, même s’il sont pour la business! Que voulez-vous, je ne peux me raisonner à payer aussi cher pour survivre! Car manger fait partie de notre survie. Je connais des gens qui n’ont pas ce genre de réflexion, mais ils en ont sûrement d’autres! C’est là que je songe à mon travail, avec autant d’augmentations, le prix que je charge à mes clients est tout à fait indécent! J’ai peur de me tanner de leur charger aussi cher. Mais pour le moment, concentrons-nous sur l’essentiel, être heureux! Et comme nous sommes vendredi, il n’y a aucune raison d’avoir la baboune! Le mantra du jour : «Sourire!» Je vous souhaite à tous un bon vendredi!

jeudi 6 décembre 2018

Que ça va vite...!

Ce matin, on dirait que qu’il y a un redémarrage, une sorte de «reset». Mais je n’arrive pas à identifier ce qui a pu provoquer ça. D’habitude je sais plus facilement où je m’en vais, ce matin je suis un peu perdu. Heureusement il y a ma routine qui me guide, me montre le chemin. Mais je me sens vraiment comme si on m’avait garoché là. Je crois que la semaine, malgré une vitesse de croisière un peu plus stable que les précédentes, commence à me tirer du jus. Surtout que, jusqu’à maintenant, j’ai dépensé pas mal. On va dire que j’ai investi dans l’avenir et le bon fonctionnement de mon entreprise. Voilà tout. Mais comme le sujet revient souvent, celui de «tout coûte plus cher», alors je me dois de resserrer mes barêmes d’achats. Pourtant j’ai l’impression que je fais ça depuis tellement longtemps. Comme on dit souvent, si ça allait au mérite, les choses seraient bien différentes. Mais ça ne sert à rien de rêver trop longtemps, mieux se réveiller et aller réaliser ses rêves! Attendre après les autres n’apporte pas grand chose; je dis ça parce que des fois, c’est vrai que ça rapporte, mais se fier au destin les doigts croisés...pas sûr! Alors que notre trou d’eau continue ses élucubrations ici et là, prenant soin de bien nourrir ses amis et autres contacts inconnus de ses citoyens, on continue de payer pour ça. Ça fait des années que je m’interroge sur le fait de donner plus aux bien être des autres qu’au mien. J’aime mieux quand c’est moi qui décide. Qui décide à qui je donne, combien je donne et qu’est-ce que je donne! Moins onze degrés sur cette belle terre blanchie par l’arrivée précoce de la saison blanche et froide. Ce sera une belle journée, remplie de bons apprentissages et de sourires! On s’en reparle.

mercredi 5 décembre 2018

Petite montée de lait...

Moins treize degrés ce matin, le ciel semble dégagé. Ce serait bien plaisant d’avoir un peu de soleil. Ces jours-ci, alors que nos salaires n’augmentent pas, le coût de la vie, lui, continue sa montée! Je me demande même si notre façon de faire l’épicerie ne va pas changer complètement. Depuis trois ans, je me dis que c’est peut-être moi qui capote; mais à bien y penser, je me rends bien compte que c’est une réalité qui commence à frapper fort! Déjà, il y a des aliments que nous n’achetons presque plus parce que trop chers, comme des champignons, du céleri. Il y a eu aussi eu une pause dans la viande hachée, dont le prix au kilo dépassait le bon sens. Bref ce sont de biens petits exemples, mais ils sont la preuve que certaines choses qui ne sont pas essentielles vont disparaître de notre quotidien! Je ne dis pas ça pour être négatif, mais bien pour continuer de voir clair dans le jeu de nos politiciens qui s’amusent avec une gestion de l’offre. J’ai eu une période de silence sur cette brebis galeuse qui détruit notre économie, car je me disais que ceux qui m’entendaient commençaient sûrement à trouver que j’hallucinais bin net! Alors sont arrivés les comiques qui croient qu’en «achetant» leur empreinte de carbone, ils devenaient meilleurs. En quoi cela règle-t-il le problème dont ils parlent? Si vous voulez faire une vraie différence, commencez par donner l’exemple en diminuant votre propre empreinte! La propagande à laquelle vous jouez actuellement risque de briser encore plus notre économie! Et surtout, épargnez-nous vos discours environnementaux! Vous vivez déjà de notre labeur, vous pourriez au moins avoir le respect de ne pas nous dire comment vivre! Je suis fessé à chaque fois que quelqu’un sort dans les médias pour nous dire comment respirer, comment vivre notre vie. À chacun de ceux-là, je vous invite à venir partager mon quotidien. Vous verrez, chez moi, c’est l’hospitalité. Les gens s’aiment plus que tout et les journées se gagnent à coup de sourire, mais aussi, parfois, à chaudes larmes. Pensez à l’homme avant la terre... Vos élucubrations finiront par nous ruiner. Nous sommes déjà taxés jusqu’au plus profond de notre vie, alors arrêtez de vous lamenter et appréciez ce que vous avez!

mardi 4 décembre 2018

Une autre belle journée !

Encore une autre belle journée qui s’amorce! Bin oui, des fois c’est plus dur que d’autres, mais il faut balancer le tout, comme on balance certaines fin de mois! Difficile de trouver un juste milieu dans une journée où il y a tant à faire. Je ne me décourage pas, j’essaie de rendre hommage à mes idées, ne pas procrastiner, être efficient! Dans ce délire incontrôlable du rush d’avant les fêtes, il y a suffisamment à faire! Comme les cadeaux seront plus petits cette année, j’espère tout de même que l’Amour, lui, sera plus grand. J’espère aussi que les gens se rassemblent pour de bonnes raisons, et non par obligation! Je me souviens très bien des préparatifs de notre mariage, alors que certains étaient offusqués qu’on n’invite pas toute la grande famille au complet! Nous on se demandait pourquoi inviter des gens qu’on ne voit jamais? D’ailleurs on ne les a pas vu plus souvent en bientôt 22 ans! Eh oui, ça va faire 22 ans que nous sommes mariés! Jamais je n’ai trouvé ça forçant. Ma grande amie et épouse me le rend bien. Nous avons tissé des liens et nous continuons d’en tisser encore. Rien d’acquis, tout à gagner. La vie est trop courte pour s’emmerder, alors on s’aime! Bien vivant ce matin avec le goût de travailler, je remercie pour cette belle énergie! Il y a bien des choses que je ne comprends pas, d’autres que je ne contrôle pas, mais mon sourire et ma volonté, ça je le peux! Au delà de cet hiver qui s’est installé un mois trop tôt, il survit une volonté de faire encore mieux, d’être heureux comme jamais! On peut toujours rêver, mais on peut aussi accomplir! Bonne journée!

lundi 3 décembre 2018

Il s’en vient!

Y a rien de mieux que le retour de sa conjointe après 10 jours d’absence! Bien sûr, la vie a continué son cour, mais quand tu es en Amour depuis bientôt 25 ans, tu t’ennuie de ton amie quand elle n’est pas là. Lundi matin, il a neigé toute la journée d’hier, avec des ingrédients comme du verglas et du grésil! Moins un degré, il fait gris avec de la brume, sous alerte de pluie vergalçante. Alors il faudra le créer notre sourire pour agrémenter ce lundi. Un lundi qui marque le début de la course vers Noël. Déjà le 3 décembre, je me sens rempli d’une énergie douce et chaleureuse, et je me dis que je devrai faire attention pour ne pas donner tout ce que j’ai! Car c’est chaque année comme ça, la frénésie des fêtes, le visage des enfants, les décorations qui illuminent nos maisons, une sorte de magie organisée par nos pensées! Traditions qui se perpétuent, différentes de famille en famille, où l’esprit des fêtes vient nous ralentir quelque part dans notre course. Moi j’y vois une occasion de me recueillir et de penser à tous ceux que j’aime et tous ceux aussi qui sont partis pour l’autre monde... Bien sûr, un brin de nostalgie s’installe souvent en même temps, mais parfois on s’inspire de nos bons moments pour en créer d’autres. Et c’est ce que j’entends faire dans le prochain mois. Vivement la vie avec un sourire! Bonne semaine!

samedi 1 décembre 2018

Samedi matin, le 1er décembre.

Content d’être là ce matin, en train d’écrire un peu. Me disant que j’ai réussi ma semaine, que Joanne revient ce soir, que la vie est merveilleuse! N’empêche que je ne me suis pas trouvé d’ordinateur pendant le Black Friday. Comme mon PC de travail a eu cinq ans, je commence à trouver qu’il est vieux. Non pas qu’il est lent ou dépassé, mais bien qu’il est usagé. Cinq ans pour un ordi qui travaille sept heures par jour, ça commence à faire long. Je ne dis pas ça négativement, mais la dernière fois qu’un PC m’a fait faux bon, ce fut une crise qui dura un mois. Et cela a eu des effets collatéraux. Donc on continue de chercher la perle rare pendant un temps, mais bientôt je devrai me résigner et arrêter de tourner autour du pot et acheter. Pourtant, ça doit être possible de trouver une tour de travail, avec des caractéristiques à jour pour environ mille dollars! Je sais que je ne devrais pas m’en faire avec ça, j’en ai besoin pour travailler, mais comme le budget familial a empiété lourdement sur le reste, je dois me restreindre le plus possible. Étonnant comme je réussis à me retenir d’acheter. Comme quoi, je me contente plus souvent qu’autrement d’assez peu pour faire le maximum! Je sais aussi que c’est une source de stress que je dois gérer adéquatement. Je pense bien magasiner encore jusqu’au fêtes, après je n’aurai d’autre choix que de dépenser. Anyway, on s’en reparlera. Tout ça pour dire que je n’ai jamais cette aisance de dire : «J’en ai besoin, j’achète!» Bien au contraire, plus le temps passe, plus je m’interroge sur cette question. Car je suis vraiment bien à faire ce que je fais, mais comme les coûts de production ne font que monter, je trouve difficile de toujours justifier ça aux clients et à moi-même! Je trouve cela aberrant que mon matériel ait pratiquement doublé de prix depuis 10 ou 12 ans! Mine de rien, je dois me botter un peu le derrière si je veux prendre le temps de faire un peu de ménage pour l’arrivée de mon Amour. À plus!

vendredi 30 novembre 2018

Comme je suis content!

Bien que je me sois levé un peu mèlé, la journée d’hier fut une réussite. Tout s’est bien passé.  Mais je ne suis plus fait pour ce genre de vie. Avoir trois événements en soirée dans la même semaine, ça fait beaucoup! Surtout quand ma Bibi est partie! Mais cette semaine achève, nous sommes vendredi, et, je suis optimiste de pouvoir vivre cette journée intensément! Hier c’était notre souper de Noël au Cercle de la Garnison. Quel endroit majestueux! Juste le privilège d’y être, ressentir l’empreinte des années, le halo des gens qui y sont passés... Nous étions sept personnes à discuter. Nous avons eu notre réunion mensuelle, pendant laquelle nous avons beaucoup discuté du concours «achat local» qui venait de se terminer. Un bon bilan encore une fois. Il y a toujours place à certaines améliorations, mais comme nous sommes tous bénévoles, je trouve que tous font un travail merveilleux! Nous avons aussi parlé de la «poignée de main annuelle» qui se fera chez Atomik Nutrition pour le début de 2019. Déjà le tournant de l’année, l’heure est au bilan. Et après avoir remercier chacun, nous nous sommes dirigés vers notre souper, pour relaxer et s’amuser un peu! Pas de danse, mais bien du plaisir! Il est agréable de se parler d’autre chose que d’habitude. Car au quotidien, nous sommes tous très occupés par nos vies. Certains sont entrepreneurs, d’autres ont une vie sur la route, et «débarquer» de la routine un jeudi soir, c’est relaxant! Encore une autre année au sein de cette organisation où j’ai appris tellement de choses. Un privilège de travailler avec des gens absolument merveilleux! Et puis, comme président, je trouve que ça me sort de ma routine, de mon travail souvent en solitaire. Et comme j’adore donner mon temps, participer au bonheur des autres, je pense que je ferai encore une autre année, si les autres sont d’accord. Récemment, j’ai eu une longue réflexion sur ma carrière, allant d’alller travailler pour quelqu’un, en passant par engager quelqu’un et aussi songer à changer de métier. Au sortir de cette réflexion, j’ai réussi à chasser certains «fantômes» qui me hantaient. Pas facile d’accepter que malgré un travail assidû, une meilleure gestion de mon temps, j’en arrive à être aussi tourmenté par des questions d’argent. Puis, avec du recul, j’ai fini par mettre un bémol là-dessus, retrouver ma joie d’être en vie, de pouvoir faire autant de choses que j’aime. Parfois il faut arrêter, prendre une pause et regarder autour de soi; une petite pause pour mieux voir les choses. Laisser son cœur d’enfant en avant plan et repartir! Ce sera une belle journée, merci!

jeudi 29 novembre 2018

Que c’est beau la vie!

Enfin, il ne tombe plus rien du ciel! Hier, sans toutefois parler d’accumulations, il a tombé un peu de pluie, de neige, ou peu importe, mais toute la journée! Des températures normales pour la saison, avec un deux degrés, aucune trace du soleil. Il se fait très rare depuis au moins deux mois. Il n’en annonce pas non plus pour aujourd’hui. Je commence à sentir que la semaine est vraiment bien remplie. Hier soir, je suis allé voir, en compagnie de Bernard, un spectacle à La Scène Lebourgneuf! Premièrement, quel son! La salle sonne bien! Et le band, quelle surprise! Music Groove Motion! Quelle prestance! Dix personne sur scène! Un band avec beaucoup d’énergie, généreux d’eux-mêmes, je ne regrette pas, même si ça fait drôle de sortir en pleine semaine. Question d’habitude vous me direz et je vous crois. Ces jours-ci, je tente de reprendre un peu de repos dans cette tourmente imprévue de l’hiver en avance d’un mois. Ce n’est pas tout le monde qui a plus de 18 pouces de neige sur son terrain, mais ici, à Val-Bélair, c’est une réalité inhabituelle. Mais je tente de m’en tenir au plan initial, à l’horaire que je me suis prévu, sinon je suis tenté d’en faire plus et là, je me retrouve très fatigué... Mais pour en revenir à ma soirée, c’était un spectacle dont les profits allaient à la recherche contre la sclérose en plaques. Il faut dire que je ne pourrais faire ce genre de sortie souvent. Quarante dollars du billet. Les consommations à part. Pour dix dollars de plus, j’organise une soirée dehors au feu, en rendant les gens heureux et en remettant les profits à la recherche contre le cancer. Je peux vous dire que c’est beaucoup d’organisation, et plus d’une fois par année, ouf! Chaque fois que je m’implique de façon bénévole, je donne sans penser à demain. Comme quand je travaille sur un contrat à but non lucratif, je ne regarde pas à mon temps. Mais quand je travaille pour gagner ma vie, je commence à penser que je devrais toujours évaluer les coûts avant de commencer, histoire de me garder un peu d’énergie pour le lendemain. Chose que j’ai bien de la difficulté à faire. Comme un enfant qui s’investit innocemment, je donne tout mon temps, tout mon être, comme on donne un bisou! cela m’a permis d’apprendre beaucoup sur les gens, mais aussi sur moi. Je ne sais pas pour vous, mais je trouve plus difficile d’apprendre sur moi-même que sur les autres. Malgré ma capacité à comprendre, il m’arrive d’être si émerveillé que j’en oublie ce que j’ai appris! Des fois, malheureusement, ça laisse des traces... On change de sujet, car une grande journée m’attend! À bientôt!

mercredi 28 novembre 2018

Encore de la neige.

Un degré ce matin. J’arrive de pelleter un bon vingt minutes. Pourtant hier, j’ai pelleté au moins quatre fois vingt minutes. Il tombe un mélange de neige et de pluie. La toiture s’est vidée cette nuit, quel vacarme! Et bien sûr, la voirie est passée aux alentours d’une heure trente, en ne faisant aucun bruit... Mais il me reste encore des places à pelleter! Le patio n’est pas vidé, ni le couvert du SPA et son espace autour. Incroyable le choc météo du mois de novembre 2018! La première semaine, alors qu’on gelait, j’ai réussi à aller faire du vélo dehors, me disant que ce serait l’fun si au moins il ne tombait pas de neige! Mais ce fut un choc à la fin de cette première semaine, alors que nous avons reçu huit pouces de neige! En tant qu’humain optimiste, je me disais que tout cela allait fondre, mais nous avons eu des températures sous les moins douze, et aussi d’autre neige. Il y a même eu deux épisodes de verglas! Si bien qu’aujourd’hui, en ce 28 novembre, nous en sommes déjà à faire de la place pour la neige qui s’en vient. Hier, j’ai été obligé de déneiger un côté de mon garage de toile, car la neige ne voulait plus descendre. Elle collait sur le côté. Et comme il a plu cette nuit, la neige a pris encore un peu plus de poids. Un peu plus lourde à déplacer. Mais au moins, je suis heureux, en bonne forme, prêt à d’autres éventualités que dame nature pourrait nous proposer. Mais je m’ennuie de partir en vélo, faire un cinquante kilomètres de bonheur. Pédaler au grand air, oubliant tous mes soucis. Pédaler parce qu’il fait bon de se donner un peu physiquement, ça m’aide à me concentrer! C’est ce que je me dis quand je gratte la neige dehors. Mes idées s’étalent, je prends le temps de les regarder avec du recul, de prendre certaines décisions. Et quand je termine, il fait bon revenir à travailler dans ses choses. Tout ce bla-bla parce que je suis allé pelleter, dur à croire. Mais le simple fait de l’écrire me fait du bien, me donne la chance de penser à autre chose. Et quand je viens de m’entraîner, je suis bien réchauffé et je peux me donner à fond avec la pelle! Bonne journée!

mardi 27 novembre 2018

Encore un peu de neige!

Je viens à peine de terminer de pelleter, ce matin il neige encore! Incroyable. Ça va faire trois semaines vendredi que la neige nous a envahi. Et ça n’arrête pas. Au moins il ne fait pas trop froid! Moins un degré, je suis sorti pour pelleter les marches et la neige était très mouillée. Hormis ce détail, la soirée d’hier fut très réussie. Voir les gens venir chercher leur prix, c’est toujours gratifiant. Et je trouve que j’ai fait une job paspire. Une autre édition du concours «Achat Local» de complétée! On pourra dire qu’en trois ans de présidence, nous en avons accomplis des activités. Des fois c’est plus difficile, mais au moins, on apprend des choses et on fraternise avec les gens. Et l’ambiance au St-Hubert était bonne. Avec les décorations de Noël, on se serait cru le 15 de décembre! Mais cette température me contrarie un peu dans mon travail. J’aurais besoin de sortir la voiture de ma belle-mère du garage, mais je n’ose pas la mettre dehors sous la neige et faire disparaître tous les efforts que j’ai mis pour la remettre à neuf. Donc ça ira sûrement à demain. Je l’ai recouverte de couvertures, histoire de ne pas l’accrocher ou encore d’envoyer du «clear» dessus. Aujourd’hui je dois me concentrer sur le reste de la production des deux projets de la semaine. Une fourgonnette et une enseigne de 4 pieds par 8 pieds que j’irai installer à Donnacona. Pour le reste, il y a toujours plein de petites choses à continuer et je dois avancer les préparatifs de mon Jack Fest. Ces jours-ci, mon temps libre passe du côté du pelletage... Ça devrait se corriger d’ici avril 2019. Trève de conneries, je dois faire avancer ce dossier un peu plus vite, car on ne sait pas ce que la vie nous réserve! Alors à vos pelles et bonne journée!

lundi 26 novembre 2018

Bon lundi!

De retour à la routine ce matin. Pas trop pire ce moins un degré, mais si je regarde comme il faut dehors, on dirait que nous sommes le 25 décembre. Tellement de neige! J’ai pris une photo, pour m’en rappeler. Car quand je relis ou je regarde des photos des années précédentes, il n’y a pas de neige. Ou celle qui était tombée a fondu. Plus d’un pied de neige au sol, une couche de verglas par dessus, le plein hiver! Mais la saison ne change que dans un mois... Je trouve cela triste, j’aurais aimé étirer un peu la période sans neige. Ne pas avoir à gérer le déneigement aussi de bonne heure. Bref, je trouve que c’est trop. Maintenant que c’est dit, je n’ai d’autre choix que de faire avec. Et comme cette nouvelle semaine sera bien remplie, profitons-en pour se motiver un peu. Le prix du litre d’essence est descendu à 1,10$, chose qui n’était pas arrivée depuis bien longtemps. Et puis, j’ai du travail en masse pour m’amuser jusqu’aux fêtes! C’est toujours ça! Ma Bibi vit des jours heureux en Floride en ce moment, c’est merveilleux. Qu’elle se repose un peu. Pour ma part, je sens des choses bien qui s’en viennent. J’ai le goût de ça, j’ai le cœur qui s’anime pour partager du bonheur! Et puis, malgré ce temps étrange qui nous bouscule depuis deux mois, je sens que je vais faire de grandes choses. Je me sens prêt à être encore heureux longtemps. Qu’importe si nos dirigeants font les clowns, qu’importe si certaines gens continuent de nous dire quoi faire, j’ai le goût d’être heureux et de partager ça. Et je trouve que c’est fantastique. Alors bonne semaine à tous!

dimanche 25 novembre 2018

La musique...

La journée d’hier fut quand même bien, malgré les funérailles de la mère d’un ami. J’avais certaines responsabilités parentales, mais j’ai quand même atteint les objectifs que je ne m’étais pas vraiment fixés. Disons que la fin de semaine doit avant tout être du temps qui me permettra de me reposer. Avec un peu de soleil et moins deux degrés, ce fut une journée de repos pour le corps et le moral. Ce matin, avec moins un et une petite couverture de verglas, on peut dire que c’est moins drôle. Le verglas est comme une brebis galeuse dans un troupeau. Source d’accident sur les routes, d’accidents pour les piétons, d’imprévus de toutes sortes, cette «glace» qui se forme partout n’a aucun avantage. C’est un ulcère après lequel on doit attendre la guérison. Je dis ça comme ça, on dirait que c’est moins pire que de sacrer! Et ce phénomène est venu nous hanter au moins cinq fois l’hiver dernier. Malgré qu’il se manifeste à des températures avoisinant le zéro degré, nous fumes tout de même affligés d’un cinq semaines consécutives sous les moins douze degrés, ce même dernier hiver! En cette automne, jusqu’à maintenant très ordinaire, ça fait déjà deux fois que du verglas nous subissons. En souhaitant que ce temps doux amènera autre chose. À défaut de soleil, il y a toujours la musique pour agrémenter nos journées. Et heureusement qu’elle est là! Et j’ai su communiquer cette façon de faire à mes enfants. Une façon d’utiliser les émotions à un autre niveau. Un moyen de se sentir moins seul dans ce monde. Une solution face à l’anxiété et la mélancolie, de continuer à avancer, comme un guerrier dans la tourmente. Et quelle joie de pouvoir apprécier toutes les subtilités de la musique, de la voix de l’humain! Même à quarante-neuf ans, j’apprécie encore,mais surtout, j’utilise encore la musique pour avancer. Alors il y aura de la musique aujourd’hui.

samedi 24 novembre 2018

Un peu de repos.

Drôle de samedi matin. J’ai vraiment bien dormi, même que je me demande pourquoi je devrais faire quelque chose aujourd’hui. Bizarre dans mon cas, parce que normalement, je deviens vraiment nerveux quand je ne trouve rien à faire. Moins sept degrés ce matin, ça fait du bien d’avoir une pause de temps froid. Après tout, nous ne sommes que le 24 novembre! Je suis content de la semaine que je viens de terminer. C’est rare que mon horaire se maintient autant, que je n’ai pas à le refaire chaque jour. Mais ce n’est pas moins fatiguant. L’important, c’est que je suis content de moi. Une petite pause avant la suivante, car elle sera vraiment occupé. Lundi soir, dévoilement de gagnants du concours «Achat local» au St-Hubert. Mercredi soir, spectacle à la Scène Lebourgneuf. Jeudi soir, souper de Noël avec les gens du CA, ce sera super! Tantôt,  je dois allez voir mon ami Gary, car sa même nous a quitté l’autre jour. Depuis que ma mère nous a quitté, je trouve difficile d’aller à ces hommages. J’essaie de penser à ceux qui restent. Bon ensuite je dois aussi faire un lift à mon plus jeune à son travail. Ensuite j’entends bien commencer à travailler sur la voiture de ma belle-mère. Une fois par année, une remise à neuf, ça fait du bien! Ensuite je pense bien relaxer un peu. Et puis je suis en train de regarder une série sur Netflix, bin oui! Je ne suis pas un grand amateur de télé, mais je suis quand même amateur de super héros! Donc ça me détend un peu. Ma Bibi est en Floride jusqu’à samedi prochain, alors je me tiens tout de même occupé. Je pense que le départ du froid me fera le plus grand bien! À plus!

vendredi 23 novembre 2018

Prise de conscience.

À force de se faire dire qu’on est pas comme les autres, on finit par y croire un peu. Puis, un fois adulte, coincé dans une routine de responsabilités, engagé dans une course avec d’autres autour qui courent aussi, cela devient moins évident. On finit même par oublier cette rengaine. Mais en temps et lieu, cette affirmation qui nous a hanté pendant des années, revient soudainement, lorsqu’on ne s’y attend pas! Tellement occupé avec ma situation, avec ma famille, j’avais presque l’impression d’être un peu comme tout le monde. Mais cette entrevue que j’ai donnée à la radio m’a fait prendre conscience que je n’étais pas comme les autres. Que j’avais une force intérieure qui m’animait, me permettait de passer au travers de bien des expériences difficiles. Tellement que des fois, j’en arrive à être mal à l’aise quand ça va vraiment bien. Car cela crée une sorte de vide en moi, comme si le fait d’avoir fait ma journée sans embûche me faisait douter de moi. Eh oui! Dur à croire, mais pourtant c’est ce que j’expérimente souvent. Des années à travailler dur, à me relever d’événements imprévus, à composer avec des circonstances pour le moins atténuantes; tout ça finit par devenir le quotidien. De là une sorte de malaise quand tout va bien. Est-ce possible? Je travaille à apprécier ces moments, je les appelle tous les jours en remerciant pour ce que j’ai accompli. Offrir ma gratitude pour ce cadeau qu’est la vie. Je tente de laisser mon cœur d’enfant au premier plan, pour continuer d’être émerveillé devant les beautés de la vie! Et puis, être conscient de tout ça, ça aide à se pardonner. Ça facilite la compréhension face aux autres qui se demandent pourquoi. C’est vendredi, il fait moins quinze! Ce sera une belle journée!

jeudi 22 novembre 2018

Frette en mausus...!

Hier j’étais mélancolique, on peut dire ça aussi ce matin, ici, en Sibérie du sud alors qu’il fait moins 18 degrés! Quel automne de marde! Je veux bien croire que nous avons eu de la chaleur deux mois cet été, mais ce n’est pas une raison pour s’emporter, Dame Nature! Nous sommes un petit peuple surtaxé qui croule sous le poids d’un système obsolète qui s’embourbe jour après jour, dans un sable mouvant qui prône son éternité! Oh je ne me décourage pas! Mais je sais qu’avec ce froid, mes poches se vident encore plus vite! Je viens d’aller porter ma douce épouse à l’aéroport pour un voyage de 9 jours en Floride. Là-bas, il fait chaud. Une moyenne de 27 degrés. Une tradition qui continue depuis 2013. Une sorte de «pélérinage» qu’elle et ses sœurs font avec leur mère depuis le départ du grand chef. Et je les encourage à continuer tant que la belle-mère en sera capable! Cela m’amène à parler des gens qui vont passer l’hiver en Floride. Ces derniers ont vite compris que ça coûtait moins cher de rester au chaud l’hiver. Une fois qu’ils ont «réglé» la place où rester, il ne reste qu’à savourer! Pourquoi feraient-ils autrement? Même en continuant leurs paiements de frais fixes ici, pour le dôme, ça coûte moins cher de vivre au chaud! J’en connais qui paient même un «loyer» dans le sud, et ça leur coûte quand même moins cher que de passer l’hiver ici. Pas de pneus d’hiver, pas de déneigeurs, pas trop de vêtements d’hiver. Manger coûte moins cher, s’habiller coûte moins cher, l’essence coûte moins cher, etc. Malgré un taux de change désavantageux! À un moment donné, je me suis mis à compter, pour voir si ces gens me racontaient des histoires; puis j’ai vite compris qu’ils avaient raison. Pourquoi s’énerver autant? Je ne suis pas jaloux, mais cela prouve que demeurer sous le dôme, c’est payer pour les autres! Des exemples? Aller magasiner une maison chez nos voisins du sud pour voir! Regardez en même temps pour une auto... Les prix que nous payons sont surréels! Le coût de la vie est celui d’une autre société! Je peine à croire que rien ne va changer jusqu’à mon départ pour l’autre monde. Mais ce n’est pas en tapant sur le clou que je vais changer quoi que ce soit! Rigueur et simplicité sont deux choses à respecter. Le trou d’eau continue d’endetter le pays, et pour l’instant, les nouveaux élus sont plutôt évasifs dans leurs intentions. Alors je prends mon mal en patience et je continue de prendre soin de ma famille du mieux que je le peux. Bon jeudi froid!

mercredi 21 novembre 2018

Mélancolie.

Il semble qu’il soit tombé un cinq centimètres de plus cette nuit. Hier, il a neigé toute la journée, une petite neige fine qui rentre absolument partout. Et ce matin, il me presse d’aller pelleter cette neige qui rend les marches glissantes. Je ne sais pas trop pourquoi, mais j’ai plus ou moins dormi. Ma plus vieille se cherche ces jours-ci après avoir lâché son cours. Elle est inquiète, ne sait pas trop ce qu’elle veut faire. Mais en revenant de travailler, vers 22:20, elle a fait du bruit jusqu’à deux heures du matin, Ensuite, elle est partie faire un tour. Aucune idée si elle est revenue, mais cela m’à laissé perplexe. J’ai beaucoup réfléchi au lieu de dormir. Chose que j’ai beaucoup fait dans ma vie. Et je me demande de quelle façon se passera le temps des fêtes. Joanne part demain matin très tôt. À son retour, nous serons en décembre. Le temps froid et la neige sont déjà bien installés, les décorations commencent à apparaître un peu partout. Ouf! Il me semble que c’est tôt. L’été s’est terminé abruptement, laissant place à un automne merdique qui est devenu l’hiver un mois en avance. Pas de soleil vraiment depuis deux mois, ça va prendre des congés bientôt. Mais il est là le problème, quand je prends des congés, je ne facture pas. Et l’ouvrage n’avance pas! Bref, je dois vivre avec ce fait. Donc je demeure fidèle à mes objectifs et surtout, je prends ça un jour à la fois! Et c’est ainsi depuis la fin de l’année 2013. Année où ma mère nous a quitté. On s’en reparle...

mardi 20 novembre 2018

Tanné d’attendre.

En dehors de nos vies «privées», il semble que nous soyons tous soumis à l’ingérence de nos politiciens. Peu importe de quoi on réussit à leur parler, ils ne peuvent rien faire, ils sont pris dans une sorte de cercle vicieux qui se resserre de plus en plus. Un peu comme certains représentants le sont avec leur compagnie. Ils font du «micro management». Leurs déplacements, leurs ventes, leurs dépenses, sont analysés à fond pour optimiser les ventes. Au détriment du service à la clientèle... Je le sais, car je le vis. Étant travailleur autonome, situé dans un secteur résidentiel, je suis celui qui n’achète pas beaucoup, qui cause des problèmes de livraison. Je suis celui qui ne rapporte pas tellement. Donc les analystes doivent planifier moins de temps sur mon dossier. J’ai de moins bonnes escomptes, j’ai moins de support à la clientèle, mes requêtes sont moins «importantes». Cela nous rapproche du modèle de société dans lequel nous évoluons. Plus de paperasses à remplir, moins d’accès aux services, et surtout moins de temps! Tout ça provoque une tare quelque part et il devient impossible de prendre le dessus. Donc si tu as un enfant avec un statu particulier, tu dois passer par la montagne de papiers à remplir, les délais provoqués par l’envoi, la réception et l’analyse des dits papiers. Suite à la réponse du système, le dossier suit son cours, par en avant ou fait du surplace à cause qu’il faut remplir d’autres papiers! Je ne sais pas pour vous, mais moi je suis épuisé de tout ce bordel; je voudrais tellement que ça avance plus vite! J’aimerais mettre tout ces «obstacles» dans une boîte et continuer mon chemin. Juste de savoir que je devrai encore remplir des formulaires, attendre après le «processus» d’analyse, eurk! Pendant tout ce temps, le temps, lui, continue de passer, nos corps vieillissent! En ce mardi 20 novembre, il fait moins sept degrés, je dois me concentrer sur les objectifs de la journée et avancer le plus possible. Un jour à la fois pour être mieux «ancré» en cas de surprises. On s’en reparle!

lundi 19 novembre 2018

Économies ou simplicités?

Commencer une nouvelle semaine relève d’une certaine volonté. On casse notre routine pendant deux jours, et paf! On y replonge! Je ne dis pas que c’est si dur, mais des fois, un peu de repos, de nouveauté, ça fait du bien. Surtout ces jours-ci, alors que les médias tentent de nous distraire des vraies affaires. Combinant les politiques «évasives» du trou d’eau avec le discours vert des artistes, il y a un bon mélange communiste qui frappe à nos portes! Je suis vraiment irrité de cette façon de faire. Chaque jour nous rappelle que nous sommes les plus taxés, les plus imposés, pourquoi en rajouter avec des histoires environnementales? Pourquoi vouloir sauver la terre, quand nous avons tout juste les moyens de rester en vie? Sur quelle terre est-ce que vous vivez? Je comprends que vous avez besoin d’un public, mais quand même, protestez pour les bonnes affaires! Quand vous obtenez une aide financière, est-ce pour sauver la planète ou vous permettre de continuer à vivre? Bah! Anyway, vous êtes assez grands pour penser ce que vous voulez, mais vos paroles vertes ne viennent pas m’attendrir du tout. Et quand je me mets à penser à tout ça, je me trouve pas si pire par rapport à l’environnement. Je suis celui qui répare tout. Celui qui garde ses véhicule au moins dix ans. Celui qui réutilise les vieilles choses pour économiser! Je suis fils de boomers qui n’ont pas été chanceux. Et mon début de vie en tant qu’adulte n’a pas été tellement facile, alors j’ai appris à ne pas trop dépenser, garder mes choses le plus longtemps possible! Que ce soit mes vêtements, les électroménagers, la literie, etc. Pour moi, le gaspillage n’a pas sa place! Aliments, biens matériels, je vois à ce que ma famille utilise au maximum ce que nous consommons. Donc je n’ai pas besoin de me faire donner des leçons par les autres. Des fois ma femme trouve que j’exagère dans mes «longévités» volontaires, mais je trouve que ce je réussis à sauver, je n’ai pas besoin d’en racheter. Pour ce qui est d’être économe, je n’ai pas réussi encore à gagner assez de sous pour en réaliser de bonnes. Avec mes enfants, j’ai gagné à la loterie, et des fois, ça coûte vraiment cher. Heureusement que je n’exagère en rien. En tous cas, on s’en reparle!

vendredi 16 novembre 2018

J’en arrache.

Avec l’hiver qui s’est pointé un mois à l’avance, la semaine fut froide et épuisante. De plus, l’humeur des troupes en arrache. Le constat de voir que le prix de ce qu’il y a tout autour de nous n’a cessé d’augmenter depuis les cinq dernières années n’a pu que consolider le marasme économique dans lequel nous sommes plongés. Il y a de ces semaines, où l’on aimerait passer go et réclamer son dû; ce serait assez! Mais je crois que c’est un sentiment normal qui s’est développé tout seul, dans notre société qui évolue. Mais les temps sont durs. Comprenez qu’il n’y a pas si longtemps, on n’était pas toujours sûr de la fin du mois. On ne savait pas si on allait se marier un jour. Mais on pouvait être sûr d’une chose, il y avait des hommes et des femmes. Aujourd’hui ce n’est même plus une certitude! La fin du mois non plus. Se marier est devenu une façon de sauver de l’argent où d’en dépenser, c’est selon! Bref il faut s’adapter, se dire que c’est comme les tatous, on va s’habituer d’en voir. Mais avec le stress supplémentaire que ce changement subit et trop tôt de saison ajoute, je me sens vidé, on dirait que le camion qui me passe dessus de temps à autre, vient de décider de passer plus souvent. Vague métaphore pour exprimer mon désarroi face à l’adversité que me propose la vie. Pourtant, la vie, c’est le cadeau, le privilège! Je tente de saisir cette chance chaque jour, ne laissant pas la torpeur prendre le dessus. Mon entrevue de mercredi passé m’a ramené un peu trop fort dans la réalité linéaire! J’aime mieux être un peu moins conscient de ce qui m’est arrivé, comme ça j’arrive plus facilement à me convaincre que j’ai la forme, que je me sens reposé, prêt pour une autre belle journée. En résumé, je travaille fort pour continuer à cultiver mon bonheur et celui de ma famille. Le reste, on verra. Beaucoup d’efforts j’ai mis dans le bénévolat encore cette année, je songe à diminuer tranquillement. J’adore ça, mais je dois me raisonner à trouver un peu plus de repos. Et comme nous sommes vendredi, je me promets une belle journée remplie de sourires! Bonne fin de semaine!

jeudi 15 novembre 2018

On gèle!!!

Moins dix-sept ce matin, je trouve que c’est vraiment dur sur le moral. Comment avoir le goût de se lever, de faire sa journée? Et puis, impossible d’ouvrir un poste de radio sans se rappeler que nous sommes un peuple qui est complètement soumis. Impossible non plus d’aller faire quelques commissions que ce soit sans se rendre compte que les prix ne cessent de monter! Plus les prix montent, plus les taxes montent! Et ainsi de suite chaque jour. Bref, difficile de se sentir bien dans cet automne trop froid et neigeux! J’ai beau me dire que ça va passer, on dirait que ça empire! Il nous reste notre petit bonheur à cultiver, chaque jour qu’il nous est donné de vivre. Car si notre sourire dépend à cent pourcent des autres, notre humeur risque de couler à pic! Les enfants ont coûté cher depuis quelques mois et je vois le jour de m’en remettre. Je regarde les comptes et je deviens complètement amorphe. Je me sens comme une police qui vérifie et avertit de faire attention aux dépenses. Je suis celui qui dit : «On en achètera plus tard.» Bref je suis celui qui casse le party. Mais je me sens obligé de le faire, car sinon j’en viens qu’à mal dormir, je deviens plus maussade. À quoi bon travailler tous les jours, si le vendredi soir, on ne vaut plus une risette? Bien sûr, il faut demeurer réaliste, mais parfois mon degré de compréhension me bouleverse complètement! J’aimerais ne pas savoir, ne pas comprendre! EN même temps, je suis tellement curieux, j’adore apprendre, j’aime comprendre comment ça marche! Je veux faire mieux. Je regarde le jour se lever et je constate que la rue n’a pas encore été ramassée. La météo nous dit que nous aurons encore dix centimètres demain, aussi bien attendre après ça. Je dois y aller, il ne reste que deux jour à cette semaine glaciale et je dois resserrer mon horaire!

mercredi 14 novembre 2018

J’ai déjà vécu des 14 novembre plus chaud! Il semble que l’hiver s’est installé pour de bon. Quand je regarde dehors, on se croirait le 14 janvier. Moins quatorze degrés, le vent souffle, ce sera une journée un peu désagréable une fois dehors. Même chose pour demain. Il faut parfois faire abstraction de ces choses qu’on ne peut contrôler. N’empêche que toute cette neige, et ce froid, ça aurait pu attendre encore au moins deux semaines! La photo date de samedi, mais ça donne une bonne idée. Car il y a quinze centimètres de plus de tombé jusqu’à maintenant. Je crois que je n’étais pas encore prêt pour affronter tout ça! Comme nous sommes déjà très éprouvés par tout le contexte économique de notre province et «son modèle», quand la température s’en mèle, ça devient vraiment lourd! AU lieu de commencer à préparer mon Jack Fest, j’ai passé du temps à déneiger! Déjà deux fois la souffleuse! Le contrat de neige débute le premier décembre! Mais le contracteur a déjà passé au moins 8 fois. J’ai vidé le toit des mes garages et j’ai déjà des plaques de glaces qui seront difficiles à déloger! Il y a autant de neige qu’en février 2016. Il n’en tomberait plus, ça ferait l’affaire. Depuis l’hiver 2007-08, j’ai de la difficulté à aimer l’hiver. Les 530 centimètres qui sont tombés m’ont vraiment achever. Alors je dois respirer un bon coup et laisser le temps m’amadouer un peu. À plus!

mardi 13 novembre 2018

Toujours la grande illusion...

Moins deux degrés en ce mardi matin. Je me demande où sont passé les mois d’octobre et novembre; On se croirait au mois de janvier! Il neige et nous subirons un refroidissement intense cette nuit! Quel automne difficile pour le moral et dur en général! Quand je m’arrête pour respirer un peu, je me prends à lire un peu d’actualité... À croire que des gens croient vraiment ce que racontent nos médias! Le nouveau prêtre vert s’adresse à la nation en disant que nous sommes les propres artisans de notre perte! Au lieu de crier partout ce genre de théorie endormante, il devrait utiliser le privilège qu’il a, soit une tribune, pour réveiller nos dirigeants par rapport aux différents problèmes qui semblent immuables dans notre société! À quoi bon sauver la terre si on n’arrive pas à soigner le cancer? À quoi bon sauver la terre si on n’arrive pas à sensibiliser les gens sur leur propre santé? Sauver l’homme avant la terre! Elle nous survivra! Et si jamais l’humain réussit à la détruire, alors c’est qu’on ne la méritait pas! Laisser autant de presse à ce genre d’illuminé, c’est encore gaspiller l’argent des contribuables! Aller dire que bâtir un pont, ça tue des gens... Aller dire qu’agrandir une autoroute ferait augmenter le nombres de véhicules... Leur vision apocalyptique frise le ridicule. Même en essayant très fort de se rentrer dans la tête leurs mantras, il y a quelque chose qui cloche, qui dépeint une intention cachée, quelque chose qui n’a rien à voir avec la terre. Des exemples plutôt incohérents comme aller passer 72 heures à Paris et en revenant, aller «payer» le trop d’empreinte de carbone en argent! En quoi cela a-t-il changé quelque chose à l’environnement? Ça ressemble plus à de futures taxes cachées.  Faites ce que vous voulez avec votre argent (notre argent?), mais de grâce, arrêtez de nous faire la leçon! Essayez plutôt de nous distraire par votre talent, nous faire oublier, le temps d’une pièce de théâtre, nos propres lacunes sociales. Laissez les gens qui travaillent pour l’environnement mériter leur paie et organisez-vous pour être excellents dans votre métier! Les gens ne vont pas vous dire comment chanter, animer ou encore acter! Alors foutez-nous la paix avec vos histoires vertes! Vous voulez signer un papier pour vous «alléger» la conscience, eh bien faites-le! Mais gardez-ça pour vous! Dans votre grande illusion, continuez de rêver, mais laissez-nous choisir d’être heureux par nous mêmes!

lundi 12 novembre 2018

On fonce!

Lundi matin, moins douze degrés. Après 25 centimètres de neige, un bon coup de froid... Ouf! Pas facile. Qui l’eut cru que nous aurions autant de neige? Après deux mois de température sous les normales, je me serais attendu à un petit break de Dame Nature. Mais faut croire que ce ne sera pas pour tout de suite. Pour ma part, mon genou prend du mieux, la fatigue se tasse un peu. J’ai vu un bon film la semaine dernière, j’en suis encore enjoué. Il y a longtemps qu’une trame sonore ne m’a pas autant accrochée. Depuis que nous sommes ressortis de la salle que nous écoutons les chansons. Ça fait du bien de «tripper» sur quelque chose, d’avoir une distraction du quotidien. Hier je suis allé rencontrer une amie du CÉGEP qui exposait à Loretteville. Elle en avait beaucoup à dire. J’y suis allé avec Bernard, histoire de lui changer les idées. Ce fut très agréable, mais je suis obligé de dire que nous, derniers «X» de cette génération, sommes dans une société qui aura connu toute sorte de choses. Des histoires abracadabrantes, des aventures de vie incroyables; il aura fallu que nous nous débattions toute une vie pour arriver à quelque chose. La vie, c’est comme installer du vinyle, si tu contres un pli créé par une tension, au début d’un enveloppement d’une grande surface, cette tension continuera de vouloir former un pli jusqu’au bout. Donc j’en déduis la même chose avec nous : venant de parent moins «chanceux», victimes de circonstances dures de la vie, difficile pour les enfants de passer au travers de cet état de «victime». SI tes parents se sont débattus toute leur vie pour les fins de mois, ils vont t’aider du mieux qu’ils le peuvent, mais ils sont fatigués, peu fortunés. Avant de sortir de ce «mood», il faudra au moins deux générations. Au contraire, si tes parents ont plutôt bien réussi, ont vécu une vie moins stressée, ils vont transmettre ce genre de vie, de vision à leurs descendants. Je ne dis pas qu’il n’y a pas d’exception, mais je peux le constater par les gens que j’ai côtoyés et que je côtoie. Simple théorie, mais cela peut faire une différence. Tout ça pour dire qu’il faut se garder, pour réussir à transmettre ces bonnes choses que nous avons apprises. AU delà des différentes circonstances économiques et politiques, réussir à transmettre à nos enfants une attitude positive, leur donner un sourire chaque jour. Maintenant je dois retourner dans la vraie vie, si je veux l’écrire un peu plus tard.

vendredi 9 novembre 2018

Ne pas lâcher!

Encore des émotions hier alors qu’un énorme caillou s’est abattu sur le pare-brise de mon camion. Le bruit de l’impact, ainsi que la nouvelle vision crée devant moi ont failli me faire perdre contrôle! Voyant que ce serait impossible de le faire «réparer», j’ai appelé immédiatement pour savoir quand est-ce qu’il serait possible de le changer, car le froid arrive et aussi pour savoir combien il m’en coûtera! Vers 16:45, je récupérais mon camion, avec un nouveau pare-brise et quelques quatre cents dollars en moins dans mes poches. Il ne faut pas lâcher comme dirait Al Rider. Ça aurait pu être pire, ça aurait pu être mieux, ce fut un accident et je n’ai pas eu besoin d’appeler mon assureur. Triste de constater que nous sommes assurés, mais juste quand c’est vraiment grave. Un peu comme notre système bien aimé de la belle province... À moins d’être vraiment dans le vrai trouble, difficile d’avoir de l’aide! Pour les assurances, à moins d’un sinistre vraiment important, ou que ce dernier oblige un paiement exhorbitant, vaut mieux oublier ça, car la prime augmentera de façon significative. Peu importe à qui la faute, si on réclame quelque chose, nous devrons le repayer. Heureusement que les assurances ne sont pas gérées par le gouvernement! Où en serait-on? Mais j’ai quand même réussi à faire une excellente journée, et je suis fier de ce que j’ai accompli. Chaque journée est un apprentissage, et cela réussit toujours à me rendre heureux. Exactement! Il faut, dans des moments plus durs, chercher le beau et garder l’expérience comme un apprentissage. Il reste encore aujourd’hui, un vendredi. Souvent les vendredis sont spéciaux, le genre de journée qui peut s’étirer à cause de petits détails. Comme j’en ai beaucoup à m’occuper, ce sera sûrement le cas aujourd’hui. Moins deux degrés ce matin, il fait gris. Il fait gris depuis deux mois. Et la météo nous annonce actuellement une période de froid intense pour au moins sept jours; le tout précédé d’une «bombe météo» qui nous amènera de la neige en grande quantité et de forts vents! On s’en reparle! Bon vendredi!

jeudi 8 novembre 2018

Ressentir la vie

Hier fut la journée des garages et autres trucs qui partent au vent. Considérant ce fait, mon garage, ancré par le milieu, a plié. Le vent l’a fait plié du devant. J’ai dû passer au moins une heure à sécuriser le tout avant de continuer ma journée. Ensuite venait mon entrevue à la radio. J’ai bien aimé ce que ça donné. Ce fut dur, mais je crois avoir livré un message clair aux gens qui écoutaient. Dur dans le sens de me contenir, de retenir les larmes, de retenir la fureur qui sommeille en dessous des souvenirs. EN même temps, me rappeler tout ce chemin que nous avons fait, ma Bibi et moi, ça m’a secoué; chaque jour je remercie la vie que nous soyons toujours ensemble après toutes ces épreuves. Je crois que les liens que nous avons tissés, jour après jour, font de nous une bonne équipe face aux aléas de la vie. Parfois je ne réalise plus que j’ai des enfants «particuliers», je ressens au fond de moi de l’Amour; je suis fier de mes enfants et je donnerais tout ce que j’ai, même ce que je n’ai pas pour eux. Ce fut un moment unique, une chance d’avoir une tribune autre, où j’ai eu l’impression que les gens m’écoutaient. EN sortant de là, je m’en allais chez un client pour installer son lettrage dans ses vitres arrières de camion. Dehors. Il ventait encore beaucoup, et il mouillait un peu. Mais ça s’est bien passé. Mais je peux vous assurer que ça ne me tentait pas. J’étais dans un état de réflexion, j’analysais ce qui venait de se passer. Et après le souper nous sommes allés en famille voir le film «A star is born» avec Bradley Cooper et Lady Gaga. Quel beau film, sans fla-fla. Des émotions de toutes sortes, cela valait le déplacement! Après j’étais vidé... Je vous souhaite une belle journée.

mercredi 7 novembre 2018

La gestion du chaos.

Curieux que mon application pour écrire sur mon blogue ne fait que «bogger» ces jours-ci. Pourtant je l’ai achetée sur l’AppStore. Il n’y a pas de mise à jour de disponible. Je contourne un peu la façon de faire et je peux continuer à écrire, mais c’est curieux quand même. Neuf degrés ce matin, mouillé. Je me lance pour une randonnée en vélo! Malgré le sol qui mouillé, pas de pluie, très confortable. Mais à mi-chemin, la pluie s’en mèle. Comme ça ne sert à rien que je m’en retourne promptement, je continue. À mon arrivée, la pluie avait cessé. Plaisant de réussir à pédaler dehors, sans avoir froid, un matin gris et noir de novembre. Aujourd’hui j’ai une journée spéciale; j’ai une réunion ce matin avec le CA des gens d’affaires. J’ai une entrevue à la radio ce midi et nous allons au cinéma ce soir. Bien sûr je vais travailler au travers. Mais c’est le genre de journée qui m’inspire. Et puis, donner mon opinion ailleurs que sur ce blogue, ça me semble intéressant. Je suis encore vraiment satisfait de ma journée de lundi. J’en sens encore la fierté! Hier j’ai retourné mes appels et j’ai réussi à produire pas mal de trucs. Je crois bien que je reprends le dessus, que je me sens à nouveau assez fort pour continuer. Depuis la fin abrupte de la saison chaude, on dirait que le temps gris m’avait retiré toute l’énergie que j’y avais recueillie. Je ne me plains pas, mais avouez que le soleil se fait plutôt rare depuis deux mois. Températures froides, ciel nuageux et beaucoup de pluie! Même de la neige! Tout ça est possible et je ne cherche pas à trouver pourquoi. Car au fond de moi, je sais très bien que ça ne changera rien. Je me concentre sur ma famille, mon travail, mes objectifs. Dans la foulée d’une journée sous le dôme, les choses peuvent devenir compliquées on a besoin du «système», alors il vaut mieux se débrouiller seul si possible. Quand je dis seul, je veux dire par mes propres moyens. DOmmage de payer pour les autres quand tu ne te sers pas des services. Tu travailles toute ta vie, tu prends soin de te garder en forme le plus possible, pour te rendre compte que c’est toi qui paie pour les autres qui n’ont pas pris soin d’eux! Juste d’y penser, je dois prendre un grand respire et changer de sujet. Vite un peu de musique! On s’en reparle! Bonne journée!

mardi 6 novembre 2018

Encore un peu de gris.

Quelle journée extraordinaire hier, alors que j’ai installé toute la journée! Un vrai défi! J’ai utilisé plusieurs de mes connaissances pour arriver à un résultat dont je suis vraiment satisfait! Un défi aussi physiquement, car j’avais à appliquer du vinyle à différentes hauteurs, par le biais d’un escabeau ou deux. Travailler accroupi, etc. Par contre, en partant, j’ai constaté qu’il neigeait à plein ciel... Pourtant, les gens de MétéoMédia n’annonçait pas de précipitations! Toujours la même chose! Difficile de s’y fier. Et ce matin, deux degrés avec de la grisaille. Un peu de soleil, ça aiderait! J’ai mis un garage à vendre sur Marketplace, c’est la folie complète! Comme je n’ai pas eu le temps de m’occuper de ça hier, j’ai au moins 35 messages de personnes intéressées. Je vais démèler ça aujourd’hui. Quand je m’absente une journée entière du bureau, les choses continuent de rouler! Mais je suis quand même en forme ce matin, j’ai hâte d’attaquer cette journée! Et il y a ces gens de radio pirate qui veulent me parler au sujet de mes enfants. Quand j’ai écouté leur discussion au sujet de l’accès aux services, l’accès à l’aide pour les parents qui ont des enfants «spéciaux». Il semble que ma Bibi et moi, avons 3 enfants «spéciaux». Le but de l’entrevue, parler du système dômien qui a vraiment beaucoup de ratés, mais qui nous coûte la peau des fesses... Et Dieu sait que j’en ai à dire là-dessus! Je dois me préparer. Pas trop dérangé par le changement d’heure, mais je m’interroge sur la pertinence de revenir à l’heure «normale». Il fait noir tellement de bonne heure, ce n’est vraiment pas drôle. Surtout avec l’automne gris que nous vivons présentement. Bon, assez memèré, j’ai une journée à faire!

lundi 5 novembre 2018

En novembre...

Lundi matin, moins trois degrés. Encore des nuages. Hier il y a eu des percées faibles de soleil, je pensais que j’allais pleurer de joie! Nous avons ramassé des feuilles, monté le «frame» du deuxième garage, couper les arbustes secs qui reviendront l’an prochain. Ça commence à sentir l’hiver. J’ai du travail en masse pour m’occuper, je sens que ce sera la plénitude. Mais je ne sais pas trop où on s’en va avec l’économie. Je vois bien que les gens courent, que les gens manquent d’air au sein de cette dictature, camouflée sous un dôme. Autant nous étions pas si mal sous une égide unilingue et ignorante dans le passé, autant nous sentons la pression de ce même type de gouvernement une fois «renseigné» de façon moins convergente. Mais les choses ont changé, le coût de la vie est plus haut que ce que nous gagnons, le niveau d’imposition aussi. Et les taxes, car il y en a deux, sont étouffantes et omniprésentes partout. Impossible de rentrer quelque part sans se rendre compte qu’on se fait bouffer par le système. Jour après jour, je sens que l’étau se resserre, que la marge de manœuvre diminue. Que peut-on faire de plus? Ou devrais-je dire de moins? Car sans adopter une attitude  «décroissante», il faut trouver une façon d’être heureux avec moins. Quand on lit dans les journaux qu’il serait mieux de ne pas avoir d’enfants pour sauver la terre, dois-je me sentir coupable avec mes 3 enfants? Pourquoi sauver la terre au détriment de l’homme? Vous n’êtes pas heureux? Vous n’êtes pas fiers d’être en vie? C’est sûr, être fier d’un endroit aussi taxé, d’un endroit qui fait son budget avec des taxes et des impôts, c’est dur. Mais de là à abandonner la race humaine au profit de la terre, je ne comprends pas. Ici, c’est l’hiver! La moyenne de température annuelle en degrés Celsius est de moins cinq degrés! Lâchez-nous avec les voitures électriques. Une solution hybride est plus logique. Lâchez-nous avec l’empreinte de carbone, tout est fait de carbone!  Laissez un peu plus de liberté aux gens pour qu’ils puissent respirer, autant financièrement que dans la cour chez eux. Arrêtez de vouloir nous dire comment respirer, comment on devrait agir. Et puis occupez-vous des problèmes déjà existants avant d’en créer des nouveaux pour justifier vos revendications!

vendredi 2 novembre 2018

Enfin vendredi!

Comme il pleut ce matin. Deux degrés, encore un matin où je serais sorti en vélo, mais la pluie froide me repousse vraiment beaucoup! Loin de me décourager, j’ai pédalé à l’intérieur. J’y prends même un certain plaisir. Le froid des dernières semaines m’a assagi et j’aime avoir un peu chaud quand je pédale. Mais le manque optique de soleil, des semaines sans soleil, ça commence à être vraiment long. Enfin vendredi, quelle semaine étrange. Mais je suis content de ce que j’ai accompli, surtout d’avoir terminé un contrat dehors, qui commençait à me chicoter vraiment. Mais c’est chose du passé, je peux libérer cet espace dans ma tête pour d’autres projets. Maintenant que l’Halloween est passé, on entre rapidement dans une période de travail plus rush où je dois augmenter mes aptitudes en logistique. Chaque job sur un véhicule se doit d’être réfléchie en fonction du climat. Et ce, jusqu’en mars! Cinq mois de création, de recherches pour optimiser mon travail. J’entends la pluie fracasser la toiture, ça me rappelle mon adolescence, alors que j’habitais chez mes parents. La vieille maison à Sainte-Rose avait une toiture de tôle, le son de la pluie me rassurait. Parlant de Sainte-Rose, nous y allons demain. Il fera bon de réunir la famille pour souligner l’anniversaire de mon père (76), ma sœur (47) et aussi celui de Nicole, l’amie de mon père. J’aime ces moments où je peux mettre mon cerveau à «OFF» du travail. J’aurais aimé m’y rendre plus tôt, mais comme il faut attendre que Cameron ait terminé de travailler, nous partirons vers 15:30. Comme je suis toujours la même personne, peu importe l’endroit ou le moment, j’adore discuter avec mon père de la vie. Prendre une bière et savourer le temps comme il se doit. Et comme la fin de semaine passée fut très bien remplie par les préparatifs automobiles pour l’hiver, ça va faire du bien de relaxer un brin. Mais tout n’est pas fini pour autant, il reste un garage à monter, un abri à faire sur l’érable en avant, essayer de «patenter» une sorte de protection pour le SPA, car pour la première fois, il ne fonctionnera pas cet hiver. Et ramasser quelques feuilles, si la température nous le permet. Bref, il reste du temps encore un peu.

jeudi 1 novembre 2018

Toujours en réflexion.

Bilan du mois d’octobre 2018, il fut froid et pluvieux! Un peu de neige, mais rien n’est resté au sol. Très froid même, en dessous des normales presque tous les jours. Un peu désagréable, mais il faut trouver des façons autres de sourire. Mais ce n’est pas le Maîîttrrre qui réussira à nous faire sourire. Il est un dictateur qui manipule les mots, il a cette façon de convaincre les gens, mais je crois que son règne achève. Dans sa panique, il dit n’importe quoi. Salir les autres pour paraître plus propre, ce n’est qu’illusion. À force de cracher en l’air, ça finit par retomber! Qui suis-je pour donner mon opinion? Un citoyen qui, comme beaucoup d’autres, est tanné d’être pris dans une cage à homards. Prisonnier d’un système hybride, qui possède son propre tribunal publique. Un système qui met des bâtons dans les roues de ceux qui veulent avancer dans la vie, sans l’aide de l’état. Un système trop gourmand qui ne cesse d’en vouloir encore et toujours plus. Je ne sais pas pour vous, mais moi je suis déçu, désabusé, et je ne vois pas comment me sortir de cette vision. À l’aube de mes 50 ans, je constate que je suis peiné, incapable de changer quoi que ce soit à cette situation économique et sociale. Plus j’y pense et plus je sens que je devrai décrocher, me soustraire volontairement de tout ça. Non pas que ça ne m’intéresse plus, mais bien parce que tout ça m’est toxique. Alors mon degré de compréhension m’affecte, il m’empêche parfois d’être heureux. Donc je me réfugie dans le dessin, dans le travail, dans le bénévolat et dans la cause, contre le cancer. Car prendre des relaxants musculaires liquides chaque fin de semaine, mon corps me donne des indices que je dois encore diminuer ma consommation. Alors on continue de choisir d’être heureux au maximum en trouvant de nouvelles façons de le faire. Je vous recommande la même chose.

mercredi 31 octobre 2018

Halloween!

Chaque saison ne se répète jamais. Ce matin, il moins deux degrés! Je suis allé en vélo! Un peu froid pour les mains, mais très content. Mais pour les enfants qui parcourront les rues, je me demande à quel point ça pourra l’être. Je viens de lire qu’il y a quelques années, il faisait quinze degrés. Comment prédire le temps qu’il fera? Vraiment difficile. Une chose est sûre, il faut prévoir pour soi-même un peu de temps tous les jours. Comme ça nous serons mieux parés pour les jours qui viendront. Froid ce matin, mais je suis confiant que le temps va se réchauffer un peu d’ici quelques jours. Le vortex polaire qui nous a fait geler l’hiver dernier n’est pas obligé de revenir cet année. La vie est assez dure, il faut se garder des instants pour apprécier ce que l’on a. Hier, vers seize heures, Le soleil s’est pointé; nous sommes sortis pour nous asseoir dehors, jaser un brin et profiter de ces rares rayons de vitamines. Car ça manque de lumière depuis un mois et demi. Aujourd’hui il annonce deux degrés avec de la neige. De quoi s’amuser! Je préfère me dire que ce sera une belle journée d’Halloween où les enfants profiteront d’un moment extraordinaire! J’ai des tas de souvenirs de cette journée! Des souvenirs que je passais de porte en porte. Des souvenirs que nous demeurions en campagne aussi, au fond d’un rang. Impossible de parcourir les rues, car il n’y en avait pas! SOuvenirs de partys, des soirées dansantes, bien du plaisir! Je vous souhaite d’en avoir autant que j’ai pu en avoir. Maintenant je dois retourner m’occuper de bien d’autres choses, mais la journée ne fait que commencer! Alors amusez-vous!

mardi 30 octobre 2018

Anxiété

J'aimerais me permettre une réflexion sur le problème que les gens vivent ces jours-ci. Un problème d'anxiété. Comme si nous, dans le passé, n'avions pas fait d'anxiété. Comme si, parce que nous nous sommes organisés du mieux qu'on le pouvait, on aurait mieux fait de baisser les bras, et laisser l'anxiété gagner! Je ne sais pas comment exprimer ce que je veux dire. Il fut un temps où nous étions laissés à nous-mêmes. Choisir de consulter, c'était choisir de faire rire de soi! Ne pas affronter la vie et ses aléas, c'était être lâche! Je ne sais pas trop comment le dire sans choquer les gens. Mais admettons que j'avais de la peine, que les événements en cours me bouleversaient au point de pleurer et d'avoir un comportement «différent» devant les autres, dans un cours, dans un lieu public, je m'exposais tout nu à la terre entière et je devais «dealer» avec ce que ça pouvait provoquer. J'ai beau essayer de me rappeler ce qu'on faisait pour passer au travers, la seule chose que je peux voir, c'est l'absence de réseaux sociaux. L'absence de l'aide individuelle «virtuelle», aujourd'hui dans les poches de tout le monde. En essayant de moins courir, d'aider nos jeunes à courir avec nous, nous avons créer une dépendance à cette aide. Les jeunes ne communiquent presque plus de vive voix, face à face. Ils ne vont plus «tater» le terrain, ils visualisent le tout d'avance, virtuellement, se font une idée et une fois le temps venu d'agir, ils ont peur! Tout se passe par textos, par les réseaux sociaux. Les gens ne savent plus parler, ne savent plus écrire. Ils utilisent des petits «autocollants» pour communiquer leurs émotions, leurs humeurs. Quand ils sont obligés de «sortir» dans la vraie vie, au travers du monde, rien ne va plus. J'essaie d'expliquer que ce choc, celui de s'ouvrir au monde, à la société, devient un problème. Ils ne savent pas comment communiquer de vive voix avec des étrangers. Ils préfèrent les communications avec délai. Être devant une autre personne, physiquement, ce n'est pas nécessaire. Pour revenir à mon époque, ou devrais-je dire ma vie, si je voulais parler à quelqu'un, je pouvais l'appeler avec un téléphone filaire. Mais je préférais me rendre chez lui si possible ou encore le voir à l'école ou à la messe... Pas sexy vous me direz, mais c'était comme ça que je pouvais dire des choses, partager mes maux! Sinon, je dessinais, j'écrivais! Ce que je fais encore, presque quotidiennement. Avec les années, mon besoin de partager mon opinion, mes idées, a grandi. Si je ne peux extérioriser tout ça, je serai désagréable pour mon milieu. Les gens n'aiment pas avoir quelqu'un qui donne son opinion, quelqu'un qui parle de choses bouleversantes, de vérités qui provoquent des émotions... Je pense vraiment que le problème, nous l'avons provoqué, de façon inconsciente, mais il s'agit d'un véritable problème. Je me demande maintenant comment négocier avec ce dernier.

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...