mercredi 31 octobre 2018

Halloween!

Chaque saison ne se répète jamais. Ce matin, il moins deux degrés! Je suis allé en vélo! Un peu froid pour les mains, mais très content. Mais pour les enfants qui parcourront les rues, je me demande à quel point ça pourra l’être. Je viens de lire qu’il y a quelques années, il faisait quinze degrés. Comment prédire le temps qu’il fera? Vraiment difficile. Une chose est sûre, il faut prévoir pour soi-même un peu de temps tous les jours. Comme ça nous serons mieux parés pour les jours qui viendront. Froid ce matin, mais je suis confiant que le temps va se réchauffer un peu d’ici quelques jours. Le vortex polaire qui nous a fait geler l’hiver dernier n’est pas obligé de revenir cet année. La vie est assez dure, il faut se garder des instants pour apprécier ce que l’on a. Hier, vers seize heures, Le soleil s’est pointé; nous sommes sortis pour nous asseoir dehors, jaser un brin et profiter de ces rares rayons de vitamines. Car ça manque de lumière depuis un mois et demi. Aujourd’hui il annonce deux degrés avec de la neige. De quoi s’amuser! Je préfère me dire que ce sera une belle journée d’Halloween où les enfants profiteront d’un moment extraordinaire! J’ai des tas de souvenirs de cette journée! Des souvenirs que je passais de porte en porte. Des souvenirs que nous demeurions en campagne aussi, au fond d’un rang. Impossible de parcourir les rues, car il n’y en avait pas! SOuvenirs de partys, des soirées dansantes, bien du plaisir! Je vous souhaite d’en avoir autant que j’ai pu en avoir. Maintenant je dois retourner m’occuper de bien d’autres choses, mais la journée ne fait que commencer! Alors amusez-vous!

mardi 30 octobre 2018

Anxiété

J'aimerais me permettre une réflexion sur le problème que les gens vivent ces jours-ci. Un problème d'anxiété. Comme si nous, dans le passé, n'avions pas fait d'anxiété. Comme si, parce que nous nous sommes organisés du mieux qu'on le pouvait, on aurait mieux fait de baisser les bras, et laisser l'anxiété gagner! Je ne sais pas comment exprimer ce que je veux dire. Il fut un temps où nous étions laissés à nous-mêmes. Choisir de consulter, c'était choisir de faire rire de soi! Ne pas affronter la vie et ses aléas, c'était être lâche! Je ne sais pas trop comment le dire sans choquer les gens. Mais admettons que j'avais de la peine, que les événements en cours me bouleversaient au point de pleurer et d'avoir un comportement «différent» devant les autres, dans un cours, dans un lieu public, je m'exposais tout nu à la terre entière et je devais «dealer» avec ce que ça pouvait provoquer. J'ai beau essayer de me rappeler ce qu'on faisait pour passer au travers, la seule chose que je peux voir, c'est l'absence de réseaux sociaux. L'absence de l'aide individuelle «virtuelle», aujourd'hui dans les poches de tout le monde. En essayant de moins courir, d'aider nos jeunes à courir avec nous, nous avons créer une dépendance à cette aide. Les jeunes ne communiquent presque plus de vive voix, face à face. Ils ne vont plus «tater» le terrain, ils visualisent le tout d'avance, virtuellement, se font une idée et une fois le temps venu d'agir, ils ont peur! Tout se passe par textos, par les réseaux sociaux. Les gens ne savent plus parler, ne savent plus écrire. Ils utilisent des petits «autocollants» pour communiquer leurs émotions, leurs humeurs. Quand ils sont obligés de «sortir» dans la vraie vie, au travers du monde, rien ne va plus. J'essaie d'expliquer que ce choc, celui de s'ouvrir au monde, à la société, devient un problème. Ils ne savent pas comment communiquer de vive voix avec des étrangers. Ils préfèrent les communications avec délai. Être devant une autre personne, physiquement, ce n'est pas nécessaire. Pour revenir à mon époque, ou devrais-je dire ma vie, si je voulais parler à quelqu'un, je pouvais l'appeler avec un téléphone filaire. Mais je préférais me rendre chez lui si possible ou encore le voir à l'école ou à la messe... Pas sexy vous me direz, mais c'était comme ça que je pouvais dire des choses, partager mes maux! Sinon, je dessinais, j'écrivais! Ce que je fais encore, presque quotidiennement. Avec les années, mon besoin de partager mon opinion, mes idées, a grandi. Si je ne peux extérioriser tout ça, je serai désagréable pour mon milieu. Les gens n'aiment pas avoir quelqu'un qui donne son opinion, quelqu'un qui parle de choses bouleversantes, de vérités qui provoquent des émotions... Je pense vraiment que le problème, nous l'avons provoqué, de façon inconsciente, mais il s'agit d'un véritable problème. Je me demande maintenant comment négocier avec ce dernier.

Toujours en questionnement.

Deux degrés ce matin, très mouillé. Je garde espoir de pouvoir retourner dehors en vélo avant la grande fermeture. Faire du vélo avec le derrière mouillé, est très désagréable et me cause parfois des surprises plus tard. Alors on pédale à l’intérieur. C’est aujourd’hui que revient ma Bibi. J’ai bien hâte.  La journée d’hier s’est bien déroulée malgré la fatigue des derniers jours. Et puis, prendre ça un peu plus lentement ne m’a pas fait de torts. Tout en songeant à mon avenir, vous avez bien lu, j’ai fait une demande d’inscription à CodeBoxx. Je ne sais pas où ça va me mener, mais je dois savoir. J’ai beau me dire que je vais continuer à travailler jusqu’à la fin, je ne sais pas si je pourrai toujours fournir autant d’efforts. Des fois je me mets à penser à mon âge et ça me fait un peu peur. Cinquante coups l’an prochain, qui l’eut cru? J’ai toujours eu la foi, mais je me demande si je dois accélérer la cadence. Il fut un temps où je me sentais prêt. Prêt pour le grand saut. Mais plus récemment, je me sens prêt à vivre autre chose. Autre chose que travailler. Autre chose que payer. Ça fait des années que je paie pour les autres. Chaque année, je refais un bilan et je constate que ceux pour qui je paie s’en tirent parfois mieux que moi. De le savoir me rend un peu hargneux. De sentir leur énergie m’a souvent dérangé, à un point tel que je me suis demandé si je devais arrêter. Arrêter de payer, m’en aller là où je n’ai pas à me soucier de ces gens là. Dans un endroit où je ne me sens pas comme un extra-terrestre, un illuminé qui ressent, un bon samaritain qui donne son temps parce qu’il croit en la vie. Un bizarre qui aime les gens autant que la vie. Un quelqu’un qui sait que la vie est un cadeau, que de vivre est un privilège! Souvent je ne me sens pas à ma place dans cette société. Parfois je ne sais plus si je dois m’isoler ou me faire discret. Et puis, ça me passe, comme un rhume, ça vient, ça passe, ça revient ! En attendant, je continue d’espérer! Bonne journée!

lundi 29 octobre 2018

Un autre lundi.

Ouh, méchante fin de semaine! Après avoir préparé toutes les autos pour l’hiver, incluant celle de ma sœur, je me sens un brin moulu. Dire que la semaine commence ce matin. J’étais réveillé et je me demandais si je me levais; je ne voulais pas me lever! J’avais peur! Il y a bien longtemps qu’un pareil sentiment m’est arrivé! Mais je me suis levé. J’ai une journée à faire, encore d’autres préparatifs pour l’hiver aussi. Bien sûr, ils seront faits, et si jamais dame nature nous donne un break en novembre,  ce sera tant mieux! Pour l’instant, nous sommes lundi, et j’ai des tas de trucs à faire. Je suis vraiment content de ma fin de semaine, mais je me sens tellement épuisé. Il y a eu beaucoup de lundis qui ont ressemblé à ça dans ma vie, et je n’ai jamais regretté. La magie dans tout ça, c’est que j’ai travaillé toute la fin de semaine sans jamais me soucier du lendemain. Je trouve que les lendemains sont de plus en plus vides d’énergie. En discutant avec Laurent vendredi soir, nous constations que c’est vrai que l’âge commence à faire sentir sa présence. Non pas que nous ne sommes plus capables, mais il faut apprendre à ralentir. Chose difficile à faire une fois dans le feu de l’action! Il fait un degré ce matin, comme il a fait toute la journée d’hier. Nous avons eu du verglas, de la pluie, du grisil et de la neige. Mais j’ai un garage de monté en entier, le Volks y est rangé pour la saison blanche ainsi que le golf cart. Très content. Reste à savoir quel genre de saison aurons-nous. Il n’y a rien de plus improbable que le temps qu’il fera. L’Halloween sera mercredi. Ensuite ce sera le blitz vers le temps des fêtes! Eh oui, la course aux cadeaux, aux ajustements d’horaire, aux visites de temps des fêtes! En attendant, finissons ce mois d’octobre glacial, en espérant que ça ne se reproduise plus! Bonne semaine!

dimanche 28 octobre 2018

Ça change les idées.

Dimanche matin. Comme je dois reconduire un de mes enfants au travail pour sept heures, j’en profite pour écrire un peu, car je suis déjà debout. Hier fut une journée de préparation à l’hiver. Ma sœur est venue avec son auto, nous avons installé ses pneus d’hiver, nettoyer ses freins en même temps. J’ai remplacé un essuie-glace qui semblait un peu trop estival et nous avons mis du silicone sur les caoutchoucs des portières. Un bon début. Ce fut très agréable de passé du temps avec ma sœur. Il faut saisir les occasions de passer du temps en famille, c’est très précieux. La même chose pour ma plus vieille, essuie-glace saisonniers, vérification de l’antigel, du liquide lave-glace. J’ai «rafraîchi» ses roues d’hiver avec un petit sablage et une couche de peinture antirouille. Nettoyage des freins, installation des tapis d’hiver, silicone sur les caoutchoucs, etc. Il faut suivre de près cette bagnole de seize ans! J’ai aussi râclé des feuilles, installé la toile sur le garage mono-pente. Une fois bien fixée, j’ai stationné le décapotable à sa place pour un gros dodo, en compagnie du cart de golf. Il était déjà 17:00. Je suis rentré pour qu’on soupe, mon fils et moi. Petit film et pas trop tard. Ce matin, alors que les gens de la météo annonçaient «l’apocalyspe» pour la nuit, il y a un fort vent, je pense que prendre une marche serait désagréable, mais pas vraiment de neige, ni de pluie. Si la tâche ne m’incomble Pas trop, je vais tenter d’installer les pneus d’hiver sur l’auto à ma Bibi, et aussi sur mon petit camion. On s’en reparle. Bon dimanche!

vendredi 26 octobre 2018

Ça continue...

Ouf! Je suis vraiment fatigué musculairement ce matin! Il fait moins trois degrés, il me reste cette installation à Donnacona aujourd’hui. J’ai des choses à préparer pour la semaine prochaine aussi. Mais vivement la fin de semaine! Hier, je suis allé installer dans des bureaux deux phrases. L’une de Walt Disney, l’autre pour stimuler les troupes. La première, si tu rêves, tu peux y arriver. La seconde, les gagnants trouvent des solutions, les perdants trouvent des excuses. J’ai bien aimé. En après-midi, les choses se sont corsées. J’avais comme mandat d’envelopper le toît d’un Ford Explorer. Rainures et rack m’ont donné du fil à retordre et j’ai perdu le peu de guérison que j’avais réussi à recueillir pour mon genou. Hier soir, je n’étais pas si pire, mais j’aurais bien aimé être en meilleure situation. Mais bon, je me reposerai en fin de semaine. Pour les pneus d’hiver, j’utiliserai ce petit banc à roulettes, car la position accroupie est plus dure ces jours-ci. Mais il y en a qui sont plus à plaindre: Le directeur de la nouvelle société d’état a donné sa démission. Il a eu une prime de départ de 419 000$. Depuis quand récolte-t-on une prime en laissant les autres dans le jus? À ce poste depuis le printemps, il n’a pu ramasser un si gros quatre pourcent! Bref, c’est encore nous qui paient! Il va falloir que ça change. Ces primes de départ, encore du vol à même nos poches! Je suis tellement dégoûter... Comme je n’ai pas encore de solutions possibles, je dois rester ici. Mais je commence à être vraiment exaspéré. Il m’est difficile parfois de continuer mes journées en souriant. Je dois me concentrer, ne pas baisser ma garde. Mais quand tu fais une grosse semaine, que tu as le sentiment d’avoir tout donné, même d’avoir dépassé les limites à cause des imprévus, et que tu constates de pareilles aberrations....Bon vendredi!

jeudi 25 octobre 2018

Vérités ou mensonges?

Encore un délicieux matin où il fut bon d’aller en vélo dehors. Il semble bien que ce fut un autre mois plus froid que les normales. Donc deux mois plus chaud, suivis de deux mois plus froid. Comme la température n’est rien de prévisible, c’est toujours intéressant de constater ce qui s’enchaîne jour après jour. Mis à part une certaine contrariété, la journée d’hier fut une réussite. J’ai choisi d’être heureux, alors voilà. Je n’ai pas non plus écouter les mêmes actualités que d’ordinaire. Certains médias nous racontent bien des sornettes, mais d’autres préfèrent nous faire penser à autre chose. Ces médias remportent un certain succès, car ils nous font du bien. Difficile de choisir entre des vérités qui font mal et qui choquent ou des mensonges réconfortants! Mais il y a ce genre de médias, qui se glissent entre les deux, en ne parlant pas beaucoup, et laissant de côté les trucs d’opinion et les nouvelles plus ou moins convergentes des autres joueurs. Alors si je n’ai pas le goût de rester «éveillé», prêt à faire fi d’une journée qui semble devenir un merdier, je peux me réfugier dans ce «mood» pour préserver mon sourire. Alors je me lance dans une autre journée, qui s’annonce intéressante. Chaque journée a son lot d’apprentissage. Ces derniers jours, j’ai oublié que j’étais heureux. J’ai aussi partagé la peine de mon plus jeune sans toutefois savoir pourquoi. Être très parent requiert des aptitudes qui sont parfois recueillies dans l’air autour, alors il faut rester vigilant et à l’écoute de nos jeunes, car on ne sait jamais. Pour ce qui est de l’anxiété, on en reparlera bientôt.

mercredi 24 octobre 2018

Ayoye!

Bon matin! Un degré ce matin, avec un petit couvert de neige qui semble très mouillé. Une véritable catastrophe pour ce qui est des jobs qu’il me reste à faire dehors. Je pense que je devrai utiliser la manière forte pour les compléter. Je suis très embêté par rapport à tout ça. Rien n’indique un certain «adoucissement» des températures. Bref, c’est un véritable merdier. Tout l’été, les «réchauffistes» nous ont cassé les oreilles avec les canicules à répétition, alors qu’il mouillait presqu’au deux jours. Et, depuis l’arrivée de septembre, on gèle! Je ne dis pas que ça ne se peut pas, j’ai déjà vu un mois de septembre aussi froid. Il a déjà tombé un dix centimètres avant l’Halloween. Mais je suis vraiment tanné de me faire casser les oreilles avec le discours des médias sur la météo. Je suis doublement tanné de me faire dire que je devrais faire attention encore plus à la nature, que je devrais payer encore plus cher pour protéger la terre! Pis nous autres, qu’est-ce qui nous protège? Nous sommes vulnérables face à la taxe du carbone, face aux «éco-frais» sur tout ce que nous achetons. Je suis vraiment tanné d’avoir tout le temps à écouter le délire des illuminés qui nous disent comment vivre, comment respirer! Si vous pensez que la terre a besoin d’aide, faites des gestes qui comptent pour vous! Moi j’ai vu nos parents se foutrent complétement de l’environnement. Comme dans bien des dossiers, nous payons pour ces derniers, nous sommes les citrons du moment qui se font presser. Je n’ai plus de motivation pour ça. Je n’y crois plus. Ça fait longtemps que je suis tanné d’être l’esclave de ceux qui ne peuvent pas. Je suis désabusé de ce système socialiste, aux tendances dictatoriales! Je rêve de m’en aller loin, dans un coin de pays où je pourrais subvenir à mes besoins, pas ceux des autres. Je suis tellement fatigué de toutes ces menteries. Mais je dois y aller, alors à plus, j’aurai eu le temps de réfléchir...

mardi 23 octobre 2018

Ah....

Avec un moins six degrés ce matin, difficile d’imaginer que nous soyons le 23 octobre. Les journées ne montent pas au dessus de 5 degrés depuis deux semaines. Le froid s’installe, à croire que l’Halloween sera glacial et enneigé! Je ne sais pas pour vous, mais moi je n’ai pas besoin de ça tout de suite! Je me trouve assez muet sur la récente légalisation «organisée» par notre PM, et je crois que je vais le rester. Rien ne sert de dénoncer un truc qui ne m’atteint pas pour le moment. Là où je suis plus inquiet, c’est que l’hiver arrive tellement vite...Hier après-midi, vers seize heure, j’ai bien vu qu’il faisait beau soleil, trois degrés. Je suis sorti pour commencer à assembler un des garages. Je me suis dit que j’allais travailler cette heure que j’ai prise après le souper. Puis, n’ayant pas reçu de courriel pour pouvoir commencer le projet «urgent» de vendredi, j’ai tout fermé et je suis allé relaxer. Difficile de relaxer, alors j’ai écouté 2 épisodes de Flash. Ça fait du bien. Puis je suis allé me coucher. Hier je suis allé faire un tour à Donnacona, pour voir en personne un local qui a besoin de quelques interventions graphiques pour son ouverture, prévue ce vendredi! Bref, très peu de délai. Je me suis fait organisé encore une fois, je dois trouvé une façon de détecter ce genre de situation dans lesquelles  je ne me sens pas du tout à l’aise! Donc j’ai un stress par rapport à ce projet, qui, ne remettra pas en question ma carrière, mais qui me gruge en dedans. Difficile à expliquer, les gens qui m’engagent veulent aider malgré lui le propriétaire. Pauvre diable qui semble dépassé par les événements. Alors je me sens «obligé» d’ouvrir les valves sur un projet qui ne me tente pas, qui a déjà un budget d’établi par des gens qui pensent que l’argent règle tout. Bref, ça me fend quelque part. Donc je vais m’occuper de faire ce qu’il faut pour que tout ça soit paspire et vite passé! À plus!

lundi 22 octobre 2018

Bon lundi!

Moins deux ce matin, je suis allé en vélo. Très confortable. Le mois d’octobre aura été très froid et très pluvieux. Un peu à l’image du mois de septembre. Quand les gens m’en parlent, ils me disent tous qu’on a eu un bel été. Parce que nous avons eu de la chaleur. Un été comme certains étés de mon enfance. Et ce fut bien. Hier nous sommes allés chercher le cart au camping, il est maintenant rendu à la maison. Nous avons fermé l’électricité au camping, la saison est maintenant terminée pour de bon. Sur place, il ventait tellement, c’était un peu terrifiant...et il faisait froid...Ish! Puis je suis allé au ComicCon. J’étais en compagnie de Pat qui, s’était attriqué en Dart Vader! Son costume était magique! Tout le monde voulait se faire prendre en photo avec lui! Pour ce qui est de l’événement, j’étais un peu surpris de ne pas voir de bandes dessinées. Il y avait beaucoup de figurines, beaucoup de costumes, beaucoup d’artifices, beaucoup de gens qui illustraient, et bien sûr, du manga! Les jeunes, dont mon plus jeune, semblaient s’éclater au fond. Et il semblait y avoir une sorte d’escalade, à savoir qui a le plus beau costume, le plus original. Donc pour un amateur de B.D. comme je le suis, je me suis rendu compte que j’étais un amateur et que les choses avaient bien changées! Mais de voir tous ces gens qui s’étaient forcés pour exprimer quelque chose, de voir tous ces dessins, toutes ces toiles, ça m’a donné le goût de dessiner. Ça m’a aussi donné le goût de me déguiser pour l’Halloween. D’ailleurs, ça s’en vient très vite le trente et un, ensuite, le temps des fêtes arrivera en courant, avec tout ses charmes! Nouvelle semaine qui s’amorce, ma douce part pour Baie Comeau ce matin, ce sera une longue période. On s’en reparle.

vendredi 19 octobre 2018

Enfin vendredi!

Il m’arrive parfois de ne plus savoir où j’en suis. Comme cette semaine, alors que je suis complètement claqué. J’en perds des bouts. On dirait que je suis un robot qui effectue un programme. Une intelligence embarquée ne retient rien, elle ne fait qu’avoir accès aux données. Je sais que j’ai fait ce que j’avais à faire, mais je ne m’en rappelle pas toujours. Mais nous sommes vendredi, j’entends bien me reposer un peu en fin de semaine! Je dis ça chaque vendredi, mais souvent les fins de semaine ont leur lot d’imprévus. Donc un jour à la fois. Ma semaine fut édulcorée d’une douleur au genou gauche. Douleur que je n’avais pas ressentie depuis au moins une dizaine d’années... Je crois que je me suis fait mal quelque part, mais je devais être très réchauffé musculairement, car je ne m’en suis pas rendu compte. Mais je dois admettre que c’est vraiment tannant. Peut-être un peu de surménage aussi, mais comment y rémédier? Nous sommes allés à une réunion pour un voyage d’échange, en collaboration avec le club Rotary. Mais je crois que c’est vraiment surréaliste pour nous d’y arriver. Trop d’étapes et trop de contraintes par rapport à la démarche entreprise par le principal intéressé. Quel casse-tête! Le même soir, nous sommes allés souper pour la fête à Vicky. Belle ambiance, mais trop vite passé! Ce matin, je vais installer des décalques sur une remorque du CAA. Après je pensais aller installer un visuel chez un barbier. Mais comme c’est dans les hauteurs et que ça me prendrait plusieurs bras, ce plan est à réviser. Vu l’état de mon genou, il est peut-être hasardeux de procéder. Et bien sûr, comme dame nature nous a refroidi les hardeurs en avance, difficile de prévoir ce genre de jobs, très extérieures! Comme j’ai couru toute la semaine, je n’ai pas pu suivre la présentation du conseil des ministres du nouveau gouvernement provincial. Espérons que tout ira pour le mieux. COmme nous sommes vendredi, je me promets un bon Jack ce soir. On s’en reparle!

jeudi 18 octobre 2018

Plus vite, plus vite!

Je viens de regarder mes écrits de l’an dernier. Il faisait vraiment plus beau, et plus chaud! Ce matin, moins un avec une petite neige, le vent vient décorer le tout, c’est vraiment le pire automne depuis longtemps! J’ai déneigé la voiture de ma douce avant qu’elle parte! Oh il n’y a pas de quoi paniquer avec les pneus d’hiver, mais on voit qu’il va falloir agir très bientôt. Je me demande bien où nous mènera tout ça. J’ai souvent dit dans le passé que ce serait l’fun si nos dirigeants nous donnaient un petit break avec les taxes et les impôts, étant donné que nous sommes victimes de ce climat débile! Mais ils ne sont pas des nôtres, ils vivent dans un monde parallèle, qui n’a rien en commun avec nous. Du haut de leur clocher, ils contemplent le bout de leur nez et se disent que tout va bien. Pourtant, il y a de quoi mettre la main à la pâte! Je ne sais plus quoi faire pour me remonter le moral! Je vous dirais bien que c’est le statut quo, mais ce n’est pas ça. C’est une dictature, de moins en moins douce. Loin d’une démocratie, ça je vous l’assure! Une fois au pouvoir, les élus se foutent éperdument des gens! L’hiver arrive, il va falloir trouver une façon de se réchauffer le cœur entre amis, car le reste sent la corruption, le copinage et les cartels! Un peu crinqué ce matin, mais la semaine commence à être lourde en responsabilités et je dois quand même tirer mon épingle du jeu. Dans ma grande réflexion, il y a toujours cette hantise d’aller travailler pour quelqu’un. Je me dis que je devrais revoir toute ma vie avant d’en arriver là. Je dois me «zigailler» le dedans pour réussir à me garder «éveillé» et ne rien oublier dans ma course quotidienne. On reprend ça un autre tantôt!

mercredi 17 octobre 2018

La course.

Eh bien, même après 19 années de travail dans ce métier, hier fut une journée difficile à rencontrer! J’avais à retirer un gros décalque situé à l’avant d’une roulotte de type «fifth wheel». Cela m’a pris quatre heure pour enlever le vinyle du dit décalque; mais aussi trois heures pour en nettoyer la colle! J’ai même eu recours à l’acétone! Cela a bousculé ma semaine au grand complet. Et ça m’a bousculé le corps aussi! Je commence à avoir hâte que Le soleil revienne, que l’humidité nous lâche! Bref, je me sens démoli. Le reste de la semaine devrait me paraître un peu moins dur. Je n’arrive pas à croire que je sois aussi fatigué physiquement. C’est sûr que la journée de dimanche au camping fut vraiment longue et demandante. Celles de jeudi et vendredi derniers le furent aussi. Bref j’ai les genoux qui manquent d’huile et il me semble avoir moins d’entrain que d’ordinaire. Avoir aussi mal au genoux remonte à des lustres, alors que je ne m’entraînais pas. Tout ça pour dire que j’ai encore trois jours à faire cette semaine et qu’il me manque un peu de temps. Je vais devoir m’ajuster encore un peu! Ce soir, un petit souper pour souligner les 19 ans de ma plus vieille, suivi d’une réunion au Rotary centre-ville pour mon plus jeune. Il me semble que ce soit serré. Comme le reste je suppose... Bonne journée!

lundi 15 octobre 2018

Ça se poursuit!

Lundi matin, 6 degrés, un peu gris, mais confortable à vélo. Je dois continuer de profiter de ces matins dehors, car une fois «encabanné», c’est la fin. Après un été de vélo extraordinaire, je pourrai dire que j’ai aussi profité de mon automne. Parlant d’automne, quelle journée ce fut hier. Nous sommes allés fermer la roulotte. Que de détails à ne pas négliger. Retirer les bananes de sous l’auvent, enlever les poteaux qui soutiennent l’auvent, rebrancher la moteur. Souffler toute la tuyauterie, y mettre de l’antigel. J’ai même entreposer mon «baril» qui nous sert de lavabo extérieur. J’ai tondu le gazon, nous avons mis des boules à mites un peu partout, des feuilles d’assouplissant au travers des vêtements. Fermer les extensions, enlever la batterie. Il reste à ramener le cart et enlever le fil électrique qui alimente la roulotte. Hier soir, nous étions passablement amortis! Encore une fin de semaine qui m’a permis de décrocher! De me sentir en dehors du train-train quotidien. Samedi soir, nous sommes allés à l’anniversaire de Stephane, qui se déroulait au Rascal. Une belle soirée, remplie d’amour, à la manière de Stephane. Une soirée agréable, où nous avons pu jaser avec plein de gens. Et il y eu la danse. Ça me tentait de danser, mais je me sentais un peu fatigué. Mais ça valait la peine! Samedi matin, tout le contraire avec un dernier hommage au père à Denis. Vraiment triste. Entre les deux événements, j’en ai profité pour tondre la gazon final avant que le manteau blanc s’installe pour de bon. Les préparatifs pour l’hiver sont commencés, il suffit de rester calme. Une autre semaine qui commence, elle aura cinq jours celle-là. Mais je dois me reposer un peu, ce sera sûrement aujourd’hui que je vais commencer. J’ai des mesures à aller prendre ce matin, ensuite, pas mal de comptabilité à faire. Quelques appels et la journée sera déjà avancée. À plus!

vendredi 12 octobre 2018

Enfin vendredi?

Je suis vraiment content de ma journée d’hier! Malgré une température plus que moche et une panne d’électricité au bureau, mon temps d’installation pour les deux véhicules chez le concessionnaire, et le résultat! Yes! Ce matin avec un maigre 6 degrés, ce fut confortable en vélo,  habillé en conséquences! Il y avait le facteur du derrière tout trempé, mais bon, on peut pas tout avoir! Malgré une concentration très forte sur mes objectifs, la force des médias, des réseaux sociaux, finissent par pénétrer mon champ de force! Rien à faire, je «reçois» des images, des textes parlant du lait américain, des propos «racistes» du nouveau gouvernement en place. Simonac que c’est dur de rester concentrer! Je veux me contenter de ce que j’ai, je n’envie pas les autres, je veux être heureux. Et s’il le faut, je prendrai des moyens pour me soustraire de tous ces trucs, que dis-je, ces diarrhées infinies qui ne font que ralentir la progression de l’homme! Pourquoi chercher à côté le bonheur? Il n’est pas chez le voisin, ni dans les poches des contribuables! Il est dans votre cœur! Comme je dois ouvrir pas mal la machine aujourd’hui, je devrai me contenter de ces quelques mots pour le moment, mais je vais revenir en discuter plus tard. Et comme la fin de semaine est beaucoup trop remplie, je ne veux pas terminer trop tard, la fin de semaine, c’est tellement court! Bon vendredi!

jeudi 11 octobre 2018

On se prépare à hiberner!

Ouf! Quatre degrés ce matin avec un bon vent! La pluie continue de tomber. Sortir faire du vélo le matin, on dirait que ça achève! Quelle semaine grise jusqu’à maintenant. Je pense bien partir le chauffage central aujourd’hui puisque les températures annoncées ne semblent pas inclurent de soleil avant dix jours. Comme les maximums quotidiens ne dépassent pas les dix degrés, impossible de garder la maison au chaud. Mais c’est toujours une décision dispendieuse, que de partir le chauffage pour de bon. Les tarifs d’électricité sont tellement indigestes, il faut vraiment y penser avant de consommer plus de courant que d’habitude. Pas drôle... Je ne sais pas trop quoi dire que je n’ai pas déjà dit ou dénoncé à ce sujet. Le fournisseur qui détient le monopole en production, distribution et tarification d’électricité semble être une gigantesque levée de fond pour le gouvernement. Une levée de fonds taxable! Impossible d’y changer quoi que ce soit. Alors je prie pour que l’hiver ne soit pas aussi froid que le dernier, car ça coûte cher. Et ça coûte cher partout. Je jasais avec ma sœur hier, elle me faisait part qu’elle aussi trouvait que ça commençait à paraître au quotidien, la montée des prix au détail. Quand tu ne réussis pas à remarquer quand tu magasines que les prix montent, mais que tu le constates dans ton budget, ça, ça fait mal. Sans changer ton train de vie, tu te rends compte que tu ne peux plus payer comme avant. Donc il faut couper quelque part. Depuis des années, je le dis, je le constate, les prix montent, les quantités diminuent. Je n’arrive pas à comprendre que certaines gens soient contents que le prix du litre d’essence monte! Je suis subjugué de constater que certaines personnes ne comprennent pas que si on impose des taxes au magasinage en ligne, au service de «streaming», c’est aux citoyens qu’on impose de nouvelles taxes! Des fois, les gens me disent qu’en étant travailleur autonome, je ne paie pas beaucoup d’impôts. Malgré un montant imposable assez bas, je dois tout de même payer un montant au gouvernement que je dois diviser en cinq paiements! Car ce montant, je ne peux l’assumer d’un seul coût. Jusqu’où cela va-t-il nous mener? Je sens que nous devrons couper encore plus bientôt. À voir!

mercredi 10 octobre 2018

Ouin...

Wow! Hier quand je me suis couché, il faisait 20 degrés. Je me suis relevé deux heures plus tard, il faisait 10 degrés! CE matin il fait 9 degrés, à Montréal, 21 ! QUel drôle de climat ce Québec! Je suis parti en vélo, entre deux averses. Mais la pluie commençait à me détremper à mon retour; rien d’agréable sous les 15 degrés! Je suis perdu dans mes pensées, à me demander ce que je pourrais bien faire pour améliorer ma carrière. Et je me dis que je suis chanceux d’être mon propre patron! Et que je devrais être fier de moi, fier de ce que j’ai accompli avec les années. Oui, l’écrire m’aide à synthétiser le tout. La vie est douce depuis quelques temps, malgré bien des émotions, malgré cette évolution des mœurs, malgré la vitesse à laquelle la technologie évolue! Hier soir je me sentais dépassé et j’avais comme une sorte de panique. Mais dormir m’a fait du bien. Puis, en m’entraînant, je me suis rassuré, je me suis dit que la vie était douce, que je devais continuer de croire en l’homme, de croire en sa volonté! Mais avec ces jours gris qui sévissent ces jours-ci, ces jours de réflexion pendant lesquels je me pose tellement de questions, des fois je ne le sais plus... Alors je me ressaisis pour continuer à être cette personne qui aime la vie, qui aime le monde. Je me demande aussi pourquoi mes enfants ont plus peur que moi d’affronter leur vie. S’absenter d’un cours au lieu d’y aller. Quel mystère... Je suis peut-être trop stimuler pour eux, mais moi, des fois je trouve qu’il m’en manque un peu. Que je pourrais faire mieux. Mais le temps nous le dira. À plus.

mardi 9 octobre 2018

Ça s’en vient!

Mardi matin, 7 degrés, comme tous les jours depuis vendredi. Quelle fin de semaine extraordinaire! Nous sommes allés voir un film vendredi soir: Venom! Amateur de ce personnage, je dois dire que j’ai eu beaucoup de plaisir! Et samedi matin, nous sommes allés en randonnée de vélo. Vongt-deux kilomètres de bonheur! Ensuite nous sommes partis au camping. Il faisait vraiment froid et il bruinait sans arrêt. Un souper avec les nains, un repas d’Action de Grâces très apprécié! Dimanche nous avons pris une grande marche sur le terrain, histoire de voir à quelle vitesse les gens «hivernaient» leur «set up». Contrairement aux dernières années, les gens ferment au moins deux semaines plus tôt. Le froid et la pluie les repoussent. Nous avons commencé nous aussi, à se ramasser pour la saison froide. Saison qui coûte cher, saison qui dure trop longtemps! Et hier, à notre retour, nous sommes repartis en vélo pour 39 kilomètres! C’était froid, nuageux et un peu mouillé vers la fin. Mais c’était magique! Des fins de semaine comme ça, loin de l’actualité, ça fait du bien! Retour à la réalité ce matin, produire l’équivalent de cinq jours en quatre, je commence à m’y faire! J’ai hâte de recommencer! Une petite réunion ce matin pour la chambre de commerce, ensuite on reprend le gouvernail. Pas tellement de retard, mais certains dossiers commencent à traîner. Le genre de dossier où il y a trop d’intermédiaires. Parfois ça s’étire... Mais je suis crinqué pour me préparer à affronter la saison froide. Une fois l’Halloween passée, le temps des fêtes arrive en courant, que dis-je, en galopant avec tous  ses artifices! Quelle folie! Il faut se rentrer dans la tête que ça s’en vient, les garages de toiles, les pneus d’hiver, le déneigement, les vêtements adaptés, la souffleuse, etc. Isshh! Tout reste à voir, chaque hiver a son lot d’imprévus. Pour ma part, je veux un hiver moins froid. L’an dernier fut vraiment trop dur et trop froid. Mais on aura le temps d’en reparler plus longuement en temps et lieu! Bonne semaine!

vendredi 5 octobre 2018

Une petite pause.

Hier je suis allé à Montréal de ville, le temps d’un 5 à 7 pour recevoir un prix. Celui de l’équipe ayant  eu la meilleure lever de fonds dans sa catégorie, et ce, pour une deuxième année consécutive! Mine de rien, je suis monté avec Martin. Ça nous a enlevé au moins six heures de nos vies, pour le temps que nous y sommes restés...Mais ce fut un moment magique à jaser avec un homme authentique qui veut le bien des autres autant que le sien. Sur place, une rencontre un peu mondaine, une sorte de remerciement très protocolaire. Il fallait y croire pour se rendre là. À ma grande surprise, très peu de gens pour recevoir leur prix. Autant d’efforts pour ramasser tout cet argent, après cinq années consécutives, je sais de quoi je parle. Et puis, il faisait bon de se sentir apprécié  par les gens sur place! Pendant notre retour, je baillais tellement, j’aurais pu avaler Martin! Mais ce matin, je suis optimiste pour les jours qui viennent! Nous sommes vendredi, il fera beau malgré un zéro degré ce matin. J’ai plein de choses à faire, des dossiers à régler. Ensuite on se repose! Bon vendredi les amis!

jeudi 4 octobre 2018

Petite montée de lait.

Je commence à trouver que les gens sont vraiment trop bavards sur Facebook. Depuis «l'entente» entre le Canada et les USA, les gens se lancent en politique sur les réseaux sociaux, brandissant le bâton du berger, comme s'ils pouvait changer quelque chose! Premièrement, personne au Quebec ne sera gagnant dans cette histoire d'entente décousue. Notre PM, le trou d'eau, semble s'en foutre complètement. N'empêche, vouloir s'occuper encore plus d'une province qui siphonne le pays chaque année, comme un parasite, ce n'est sûrement pas une priorité. Et comme je reconnais les gens qui crient, ils défendent leur famille et/ou des amis qui ont une ferme laitière. Ou bien ils sont atteint du syndrome «me too». Bref, ce délire commence à me tomber sérieusement sur les cailloux. En tant que président des gens d'affaires de mon quartier, je suis pour l'achat local. Mais pas quand c'est pour me faire fourrer. Dans mon quartier, il n'y a pas de ferme laitière. Mais nous nous encourageons entre commerçants. Protéger une fausse économie, c'est comme couver ses enfants, à un moment donné, ils seront confrontés à la vraie vie; c'est là que ça complique. Laissez les gens se débrouiller par eux-mêmes. Laissez l'humain être inventif, dynamique et performant! Ce genre de phénomène commence à m'agacer énormément, et je sens qu'il fera en sorte que je quitterai un jour les réseaux sociaux. À plus!

L’imprévisible.

Bon matin! 9 degrés, avec une brume très mouillée. Tellement que de faire dix kilomètres de vélo m’ont détrempé complètement. Finalement il pleuvait! Tout le long, je me demandais si je faisais demi tour. Mais je me disais que ce n’était pas si pire, que le vent n’était pas si fort, etc. Et j’ai passé à travers. Heureusement que mon imperméable est véritablement étanche! Mes bras, mon c... , mes jambes et mes pieds sont vraiment trempés! La journée d’hier est à mettre dans les imprévus. Une fois sur place, la camion n’était pas à l’intérieur, il était tellement sale...Et pour en rajouter, le design, imprimé sur du vinyle transparent, ne pouvait donner quelque chose de beau sur cette surface abîmée, pleine de «fantômes» d’un ancien lettrage. Bref je suis revenu au bureau pour faire un compte-rendu et replanifié ma semaine. Donc environ une demi journée de perdue. Situation contraignante, étant donné que tout ce temps-là, je ne peux que facturer le temps passé pour constater que ça ne peut pas marcher pour ce véhicule, pour l’instant. Mais je ne peux dire que je me suis égaré, au contraire, j’ai bien rattrapé le temps, redivisé les jobs, comme je le fais souvent. Avec le temps, je me rends compte que je suis vraiment bon pour me revirer de bord. Et je suis débrouillard face à plein de situations. Mais au niveau de la facturation, on dirait que j’oublie assez vite que je devrais facturer toutes ces précieuses minutes que je «perds» dans une journée. ALors je dois m’améliorer! Compiler complètement ce temps que je «donne» à tout le monde. Sans toutefois devenir comme un notaire ou un avocat, ces gens qui nous facture à la minute.... Donc je continue d’essayer d’être meilleur.

mercredi 3 octobre 2018

Un défi...

Huit degrés ce matin, nous sommes dans une période grise d’automne. Confortable en vélo, j’y trouve cette solitude, ce calme dont j’ai besoin chaque matin de semaine. Hier, j’ai fait pas mal de production, prenant le temps de diriger ma semaine vers certains objectifs. Aujourd’hui je vais installer un visuel sur un véhicule de compagnie dont les formes (ailes arrières) sont particulièrement proéminentes. Je m’interroge depuis deux semaines à savoir comment je pourrai procéder pour obtenir un résultat intéressant techniquement, mais aussi visuellement. Bref, depuis que j’ai reçu le matériel, je n’ai pas cessé de me questionner sur la façon dont j’arriverai à installer adéquatement ce visuel. Le tout est imprimé sur du matériel transparent, ayant les qualités du 180 CV3, mais avec du micro-comply. Où je m’interroge le plus, c’est sur la capacité d’étirement. Il aurait été plus prudent d’imprimer sur du 380. Mais il y avait la problématique de la couleur de fond, un blanc qui ne se mariait pas avec le blanc du vinyle. Ça ressemble à un caprice de graphisme. En tous cas, je serai sur place à 9:00 ce matin pour manipuler le tout. Ce sera une journée super, car j’adore installer. J’aime encore plus depuis que j’ai fait l’acquisition de mon petit camion dans lequel je trimballe l’ensemble des choses que j’ai besoin. Plus besoin de me casser la tête avec des trucs que je pourrais oublier. Et puis, c’est le genre de journée où je suis vraiment dans ma bulle, laissant la créativité prendre le dessus. Alors j’y vais, j’ai pas mal de choses à régler avant de commencer. Bonne journée!

mardi 2 octobre 2018

Lendemain d’une journée peu ordinaire.

Au sortir d’une élection vraiment pas ordinaire, je demeure en questionnement face à ceux qui ont voté pour un parti communiste.... Sept degrés ce matin, la terre tourne toujours, une balade en vélo m’a fait le plus grand bien. Ma journée d’hier fut une réussite. J’ai installé une murale de 170 pieds carrés sur un mur de blocs de béton. Ensuite j’ai «roulé» à plus de 1000 degrés toute la surface, pour m’assurer de l’adhésion du matériel! Quel défi! Mais je suis très content! Le résultat est très beau et techniquement satisfaisant! J’aimerais parler un peu plus des élections, mais je ne me sens pas prêt. J’ai besoin d’y réfléchir encore un peu. Et comme j’ai commencé la semaine en lion, sans avoir pu préparer mon horaire hebdomadaire, je m’y attaque ce matin. Je crois aussi que c’est merveilleux d’avoir fait une si grosse journée au début de la semaine. Le reste devrait me paraître un peu plus facile. Mais rien ne sert de se perdre en conjonctures, les imprévus sont si vite arrivés... Alors on se reparle un peu plus tard.

lundi 1 octobre 2018

Lundi matin.

Une autre semaine qui s’amorce avec un changement de mois. Premier octobre, il fait 3 degrés. SI ça continue ainsi, je vais devoir partir le chauffage central. L’incorfort des matins est difficile à vivre. Et puis, avoir le nez froid ou les mains gelées à longueur de journée, ça finit par être dur à endurer. Pourtant, je me souviens avoir fermé le chauffage très tard le printemps dernier. Même si l’été fut chaud, il fut de courte durée. En fin de semaine, j’ai lu dans mes notes que la chaleur avait commencé le premier juillet. Donc deux mois. Pourtant une saison compte trois mois. Mais il faut rester optimiste, dame nature nous aime sûrement plus qu’on peut l’imaginer...! Mais aujourd’hui, c’est jour officiel des élections provinciales. Pas de panique, mais espérons tout de même que nous seront plus chanceux que les dernière années. Des changements radicaux, sûrement pas, mais si les calculs peuvent être meilleurs, si une progression peut s’orchestrer tranquillement... C’est bien de rêver, ça donne parfois des ailes, un petit coup de main pour continuer. De toute façon, on s’en reparle demain de ces résultats, car j’ai bien hâte de savoir quelle est la «vérité» dans tout ça. Mes réflexions ne font que continuer. Ma visite à Lac Etchemin vendredi dernier m’a fait vraiment réfléchir. Voir des gens aussi généreux, ayant travaillé toute leur vie, être aussi diminués par la maladie... Quel dur moment. Je ne sais plus si je dois continuer comme ça, ou bien si je dois revoir ma formule en entier. Peut-être rafraîchir quelques aspects de mon travail, pour me permettre d’évoluer encore un peu. Tous ces songes me tirent pas mal de jus, le temps, lui, n’arrête pas. Bien sûr, le privilège, c’est d’être en vie, de réussir à se valoriser dans quelque chose, mais quand tu commences à te questionner, il y a peut-être quelque chose à faire de plus. Je dois y aller, la semaine commence!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...