mercredi 31 janvier 2018

Le Jack Fest 2018

Le temps file et il me semble que je devrais finir par arriver à rencontrer mes objectifs. Mercredi matin, encore un beau moins vingt degrés. Demain nous en serons à la moitié de l’hiver; hiver qui aura été vraiment difficile. Pourtant le début de l’automne fut merveilleux. Mais la fin fut froide et pénible. Et depuis décembre, on peut dire que tous les facteurs hivernaux se sont abattus sur nous. Ne serait-ce que des ces facteurs, la vie continuait et de toute façon, que pouvions-nous y faire? Mais avec un temps des fêtes entièrement congelé avec des journées entières sous la barre des moins quinze, ouch! Mais l’arrivée de la nouvelle année, avec les hausses hypocrites et lâches de nos gouvernements, il faut admettre que l’hiver est long. Et il va coûter très cher. Tellement que ça me donne le goût d’en faire le bilan. Rien n’est drôle, et encore une fois, que pouvons-nous y faire? Donc ce samedi, j’aurai le plaisir d’animer la troisième levée de fonds qui porte le nom de Jack Fest. Eh oui! Quoi de plus déprimant que de demander de l’argent aux gens? Avoir l’impression de leur en enlever encore un peu plus par dessus ce qu’ils donnent au gouvernement. Donc j’ai décidé de redonner aux gens en les invitant à venir fêter avec moi. Nous dégusterons pour la cause! Au lieu de sortir de l’argent de leur poche, de se payer une sortie plus ou moins dispendieuse, je convie les gens à une activité. Tout le monde en sort gagnant, même la recherche contre le cancer! Voilà qui est formidable! Ensuite, trois journées de travail et hop! Nous nous envolerons pour le sud. Des vacances bien méritées. EN attendant, je dois continuer à travailler et conserver ma discipline, j’ai une semaine à accomplir! Semaine qui se terminera samedi soir, après le Jack Fest! Bonne journée!

mardi 30 janvier 2018

On continue!

Hier, ce fut une longue, mais productive journée! Après un blitz d’installation au FixAuto de Beauport, une heure de dîner remplie d’imprévus, l’après-midi a passé vraiment vite! Et la Poignée de main annuelle de la chambre de commerce, la journée était finie! Ouf! Et on ne lâche pas! La vie n’attend pas! Le travail ne manque pas, c’est beaucoup de gestion, comme ça, avec le Jack Fest ce samedi et notre départ, dans la nuit de mercredi à jeudi prochain. Difficile de s’arrêter. Pourtant il le faudra bien, histoire de relaxer un brin avant notre départ dans le sud. Oublier mes soucis devant l’avenir que nous trace nos bouffons au pouvoir. Ce que je n’accepte pas, c’est leur totale mise de côté de leurs citoyens. En nous disant qu’ils s’occupent de nous, ils rajoutent des programmes coûteux et appauvrissent la classe moyenne. En pressant continuellement le citron, ils s’assurent que personne n’aura l’énergie nécessaire, et encore moins l’argent, pour changer quoi que ce soit. Voilà qui est triste. Donc il faut être prudent dans nos décisions. Penser vraiment à long terme et être stratégique. Voilà quelques temps déjà que j’ai mis de côté certaines choses que j’aurais aimé faire. Je n’aurai pas le temps, ni les moyens! Je me concentre sur la journée en cours et je donne mon maximum. Nous verrons la suite au fur et à mesure. Rien ne sert de courir pour se perdre, tout vient à point à qui sait attendre.

lundi 29 janvier 2018

Bon lundi!

Ouf! Quelle fin de semaine bien remplie! À peine quitté le congélateur de Capitolin, nous revoilà plongé de nouveau dans le froid sibérien de notre climat québécois... Nous avons continué les préparatifs d’aménagements pour le Jack Fest. Ça s’en vient très vite! Beaucoup de gens vont venir déguster pour la cause. Pas la même cause que Bell, mais celle du cancer. Rien ne semble arrêter ce fléau. Chaque année on se demande qu’est-ce qu’on ferait bien de plus pour aider. Cette année, j’aimerais qu’on parle de ceux qui restent. De ceux qui étaient là quand l’être cher est parti. Nous ramassons des sous pour la recherche, mais jamais pour ceux qui restent. C’est un sujet délicat. Perdre un être cher n’a rien de bon. On veut tous garder avec nous les gens qu’on aime. Mais il faut passer au travers, continuer à vivre, car la vie, continue. Je ne dis pas que c’est facile, mais je le dis. COmment faire pour vivre chaque jour en étant heureux? Chercher le moment, l’événement qui allume en nous un sourire. Chaque chose a son opposé, alors chaque moment triste peut se transformer en moment heureux. Ce n’est pas de la magie, c’est de la volonté. Une volonté d’être heureux. Une volonté de dire que je me choisis. Et je partage ce bonheur avec les autres. Si petit soit-il, il deviendra, avec tous les autres petits moments heureux, le véritable bonheur ! Donc, le 3 février 2018, ce sera le moment d’être heureux, de partager ce moment avec ceux qu’on aime et qui se battent contre le cancer. Bonne semaine!

vendredi 26 janvier 2018

Du blabla...

Enfin vendredi! Quelle semaine tout à fait mèlée! Tirant ici et là, propulsé par l’énergie de savoir que nous partirons dans le sud très bientôt. Animé aussi par le fait que le rhume m’a laissé tranquille, cinquième journée sans pilule. J’ai passé au travers jusqu’à maintenant. Installation ce matin, murale et lettres en 3D, deuxième d’une série de six, ce contrat me demande peu de temps, aucun inventaire et, de part sa diversité, se veut amusant et intéressant. Reste à savoir, combien j’y mettrai de temps. Et, comme nous sommes encore dans un congélateur ce matin, j’essaie de ne pas sentir mes efforts financiers me quitter dans le chauffage et l’électricité. Moins vingt-et-un ce matin, mais demain il annonce un degré! De quoi vous «badarsser» les tripes! Nous sommes loin de l’écart de 39 degrés que nous avons vécu la semaine dernière. Cet écart a provoqué une embâcle dans la rivière Saint-Charles, et des dizaines de gens ont tout perdu. Et plus de vivre un trauma incroyable, la maison inondée et - 25 dehors! Horrible! Et quand je relis ce que j’ai écrit concernant la température des dernières années, je constate que nous avons toujours plus ou moins ce genre de contraste. Oui, un climat de merde, un congélateur qui dégèle en été. La seule chose qui a changée, c’est le vent. Toujours selon mes observations, il me semble qu’il vente plus qu’avant. Mais comme nos souvenirs sont souvent reliés à un événement, un sentiment, une émotion, bien des choses nous échappent! Les années passent, le climat se répète, sans toutefois être tout-à fait identique. Évidemment, ce sont des phénomènes naturels, imprévisibles et souvent sournois! Alors vaut mieux sourire et demeurer émerveillé devant les créations de Dame Nature, sinon la dépression est toujours là pour nous accueillir! Bon vendredi!

jeudi 25 janvier 2018

On garde le sourire!

Hier en fin de journée, j’ai sauté un «gasket» en apprenant l’arrivée des «midibus». Non pas que l’idée n’est pas bonne, au contraire! Mais à quel prix? Pourquoi c’est toujours plus cher qu’ailleurs, ici, dans le congélateur? Avez-vous des bonnes raisons? La plupart du temps, impossible de savoir quoi que ce soit! Je continue de dire à mes enfants de quitter cet endroit, d’aller travailler ailleurs. Au rythme où vont les choses, il sera difficile de trouver des raisons de sourire dans ce bas monde! Car même si je décide de me retirer dans une résidence secondaire, avec moins de technos, moins d’électricité, le gouvernement va me suivre! Il va me faire payer quand même pour les autres, et pour ses coûts fixes! Donc il faut payer pour une communauté «engraissée», mais maintenant, les coûts fixes coûtent plus chers que la communauté! Je crois que la coupe déborde depuis trop d’années, je pense même qu’on a en rempli plusieurs sans qu’on nous le dise! Il n’y a rien de drôle dans tout ça! Cette réalité, je n’en veux pas! Les choses que je ne veux pas, j’essaie de les enlever de ma vie. Comment je fais pour enlever ça? Je devrai me pencher sur la question plus longuement! Alors il faudra bien se tenir, ne pas empiler de dettes, ne pas faire d’achats «inutiles», respirer le grand air et sourire! Vivre en parallèle de cette énergie, trop différente de la nôtre. D’ailleurs, à force de s’éloigner de cette masse contraire à mes idées, je me rends compte que ça me laisse plus de temps pour être heureux. Donc je continue de me mèler de mes affaires et tout ira pour le mieux. Je fais aussi attention à ce que j’écris sur les réseaux sociaux, on ne sais jamais...À plus!

mercredi 24 janvier 2018

Isshh!!!

Ça y est, je saute un plomb! Des minibus à 783 000$ la pièce! Des autobus format mini, qui arrivent d'Europe! Ah? Elles coûtent le même prix que nos autres bus standards...Wow! Est-ce le temps d'applaudir? Pourtant, ma fille doit prendre une voiture pour aller à l'école chaque matin! Et puis, qui a été consulté pour ces «minibus»? L'idée de faire plus petit est une bonne idée, mais le prix d'acquisition...aux frais des contribuables...! Et je dois l'admettre, c'est beaucoup mieux qu'un tramway, peu importe la saison. Mais est-ce que ça va désengorger Henri IV? Est-ce que ça va alléger les heures de pointe? Quand il y aura un accrochage sur le pont, est-ce que ce sera plus facile de traverser? Et si un de mes enfants veut aller au Walmart Duplessis, ou au Costco Sainte-Foy? Pour travailler ou autre, est-ce que ce sera possible? Peut-on arrêter de parler du structurant projet? J'ai moi-même suggéré ce genre d'autobus, mais le prix me tire par terre! Pourquoi est-ce toujours plus cher ici qu'ailleurs? Suis-je le seul à en arracher avec cette nouvelle? On s'en reparle!

Un jour à la fois.

Après une journée totalement bizarre en température, nous revoilà au travail. Les enfants n’avaient pas d’école, mon épouse était restée à la maison, une journée en famille. J’ai réussi à travailler un peu, mais aussi à avancer mon événement de financement, le Jack Fest. Les gens qui confirment leur présence s’accumulent, il reste quelques efforts à mettre du côté des commandites. Malgré tous nos efforts, il y a encore des tas de gens qui meurent du cancer. Toute sorte de traitement expérimentaux, des traitements à l’étranger, bref il me semble que ça n’avance pas si vite. Mais l’important, c’est d’y croire, Croire que nous avons droit à la vie, une vie en santé. Et ça commence par l’entretien de notre corps. Bin oui! Comment voulez-vous être en santé dans un corps qui ne l’est pas? Tout est une question d’équilibre! Les gens qui se trouvent chanceux ne le seront peut-être pas pour la vie. Et le contraire est tout aussi vrai. On ne peut échapper à son hérédité, mais on peut mettre toutes les chances possibles de notre bord! Ces jours-ci, alors que le manque chronique de soleil et de chaleur se fait sentir, je me questionne sur mon entraînement. Oui je m’entraîne régulièrement, mais est-ce assez? Pour mon alimentation, c’est assez aléatoire, mais j’essaie de diminuer mes excès. L’alcool, le sucre et je surveille les aliments qui irritent mes intestins. Sachant que j’ai le colon irritable, je fais attention et je me tiens loin des pilules. Si je veux me rendre le plus loin possible dans la vie, ce ne sont pas mes études, ni mes connaissances générales qui primeront, mais bien ma santé et mon corps. J’ai souvent joué dans mes limites étant plus jeune et ça paraît assez vite dans certaines circonstances. Alors je suis sur mes gardes et j’essaie de penser au lendemain le plus possible. Maintenant, c’est beau les discours, je dois aussi aller travailler! À plus!

mardi 23 janvier 2018

Tempête!

Encore un de ces matins où je suis sorti pelleter! Le vent est fort, la neige est fine, mèlée d’une sorte de grésil... Moins dix degrés, un peu frais. On écoute la radio, pour savoir les fermetures des écoles. Il y a déjà beaucoup d’écoles de fermer à 5:50. Les chemins sont glissants, ce sera une bonne journée au chaud à la maison. La neige est très tapée, à cause du vent, à cause aussi de sa composition. C’est la troisième tempête depuis le début de l’hiver. Il y a des hivers sans tempête. On ne le sait jamais d’avance! Ceux qui sont partis tôt se rendront comme il le faut au travail. La suite, on vous en reparlera. Et voilà, tout est fermé! La vie sera plus simple! Avoir moins de gens sur les routes, c’est plus facile. Mais les temps ont changé, les parents qui doivent aller travailler sont souvent sans recours pour faire garder leurs enfants. Avant, nos mères étaient à la maison. Les choses étaient plus simples. Pas de cellulaires, pas d’ordinateurs, juste du monde qui vivaient au rythme du temps. Aujourd’hui le temps ne va pas plus vite, mais les gens, eux, oui. Une folie hallucinante! ALors ce genre de journée est le bienvenue!!! Comme les journées de neige pour nos voisins du sud. Laissons le temps prendre le temps!

lundi 22 janvier 2018

Une nouvelle semaine!

Premier matin depuis au moins 9 jours sans symptôme agaçant de rhume. Ça fait du bien! Je me sens plus en forme, je ressens plus d’énergie! Et puis, du temps avec mon épouse, j’en veux toujours plus! Et, nous avons signé notre voyage dans le sud! Oui, en respectant notre budget, ce qui veut dire ne pas mettre un sou sur la carte de crédit! Voilà qui fait du bien! De savoir que, dans deux semaines environ, nous partons pour Varadero, nous deux, en amoureux! Nous fêterons vingt-et-un ans de mariage. Eh oui! Les deux dernières années, années charnières pour le nouveau travail de ma Bibi, nous ont empêché de prendre l’air du sud. Conflit d’horaire, trop court laps de temps entre les sessions de travail, etc. Mais je ne regrette rien. Elle aime son travail, apprend beaucoup de choses, et visite le nord de la province! D’accord il fait froid, mais elle ne va pas là pelleter, ni faire des expéditions de recherche polaires ou environnementales. Non, elle va y faire des mammographies. Le programme de dépistage du cancer du sein. SI le gouvernement envoie une équipe accomplir ce genre de clinique, traiter le cancer doit coûter une véritable fortune, car ce genre de clinique coûte vraiment cher! Ce pourquoi, depuis cinq ans déjà, je pédale pour la recherche, je pédale contre le cancer. Malgré tout ce que nous coûte notre fabuleux système de santé, la recherche n’y est pas incluse. En fait, pas tellement. Chaque année, j’aurai au moins rapporté 2500$ qui ont été directement injectés dans la recherche. Une folie ce financement. Mais j’ai l’impression de faire une différence, j’ai le sentiment accompli d’un gagnant! Cette année, ma douce a décidé de s’impliquer encore plus en pédalant avec moi et ramassant elle aussi, 2500$! En cinq ans, nous aurons donné 15 000$ à la recherche et aussi, nous aurons insufflé à nos vies une meilleure santé en pédalant! Et, pendant que je me concentre sur ce dossier, je ne pense pas aux taxes, ni aux impôts. J’oublie que des fois, je m’en irais loin...Il fait bon de se vider la tête de tous ces tracas, pas juste en écrivant! Bref, quel lundi matin! Je nous souhaite une belle semaine, riche en accomplissements de toutes sortes! Amusons-nous!!!

vendredi 19 janvier 2018

Quelle semaine!

En ce vendredi matin, 19 janvier, je dois admettre que le premier mois de l’année est en train de nous glisser entre les doigts! Commencer l’année de travail avec un rhume, je m’en serais passé! Les journées, si courtes soient-elles, sont plus dures et l’humeur en prend un coup! Maux de tête, manque d’énergie, sommeil troublé, etc. Mais le dernier jour de la semaine, ça nous confirme que la semaine est terminée, que nous sommes passés au travers! Avec d’excellentes nouvelles comme l’augmentation du salaire minimum à 12$ de l’heure et la hausse du taux directeur à 1,25%, ça va prendre pas mal de réjouissances à l’interne pour compenser ce que j’y comprends. Augmenter le salaire minimum de soixante-quinze cents, faut vraiment être lâche! Ne pas vouloir couper dans ses dépenses. Et surtout, ne pas voir plus loin que le bout de son nez. Avec une telle augmentation, tout ce que nous consommons verra son prix au détail augmenter. Certains perdront leur travail parce que leur employeur ne sera plus capable de les payer. Mais il y a aussi la réalité suivante: Est-ce que tous les autres travailleurs recevront aussi une telle augmentation? Conflit en vue... C’est vraiment une mauvaise nouvelle. Ensuite, la hausse du taux directeur. Chanceux d’avoir eu aussi longtemps un taux directeur aussi bas, cette hausse, la troisième en autant de trimestres, ne me rassure guère. À l’ère du crédit facile, nous ne sommes pas habitués à de soudaines augmentations de paiements. Et comme les biens à la consommation vont augmenter de prix aussi, surprise! Quand Martineau nous comparait à des citrons pressés, il avait raison. Mais quand le citron est vide, on fait quoi? Encore plus difficile de trouver des solutions quand le prix de tout fait obstruction à nos projets. Mais je vais tenter de me consoler en savourant le retour de ma tendre épouse! Après dix jours au froid de la Baie de James, elle est enfin parmi nous! Bon vendredi!

jeudi 18 janvier 2018

Un peu de répit?

Enfin une nuit moins froide, une nuit qui a coûté moins cher que toutes celles du dernier mois et demi. Alors que les mêmes continuent de marteler des propos haineux contre le président de nos voisins, ici, les choses ne tournent pas aussi rondement qu’ils le nous laissent entendre... Le taux directeur a encore monté. Les principaux «cartels» (gestion de l’offre) sont toujours actifs. Aller à l’urgence est quelque chose qu’il faut éviter. Mais au moins, le froid se pousse un peu. C’est la bonne nouvelle à laquelle il faut se raccrocher. Et, comme j’ai choisi d’être heureux, peu importe la vie et ses aléas, ma Bibi revient ce soir! Autre bonne nouvelle à laquelle je peux m’associer. Petite neige ce matin avec moins huit degrés, on se rapproche d’une petite journée à moins cinq, un soleil qui vous chauffe le visage, rechargeant vos batteries, en pleine grisaille hivernale. Eh oui! Il faut rêver un peu! Sinon, impossible de se sortir la tête au dessus des allégations sans cesse négatives des médias. Si tout va si bien dans notre modèle, pourquoi tout est tout croche? Il a neigé samedi passé, les routes sont encore glacées. Et puis, avez-vous plus d’argent dans vos poches au tournant de l’année? La période des impôts arrive, allez-vous fêter ça? Chaque année je ressens l’énergie des gens qui vacille. Car chaque année, on nous oblige à accepter qu’on se fait fourrer. Même si on prend une coupe de vin ou encore un shooter de Jack, les traces laissées dans notre budget ne mentent pas. Chaque année, peu importe les efforts que nous avons mis, le gouvernement réussit à nous en enlever un peu plus. N’ayant d’autre choix que de se résilier, les citoyens avalent la pilule et continuent de trimer dur. Mais je commence une réflexion, un sujet qui commence à m’inquiéter beaucoup. On s’en reparle, c’est un matin très animé, et j’ai de la difficulté à me concentrer. À plus!

mercredi 17 janvier 2018

Prise de conscience

Des fois je me demande si je fais fausse route. Chaque année depuis cinq ans, je ramasse des sous, de façon bénévole, en y mettant du temps, du cœur, cherchant toujours des nouveautés pour ne pas tanner les gens que je sollicite! Mais au fond de moi, il y a quelque chose qui crie, qui hurle! Tout ce que je paie en double et en triple pour des services que je ne me servirai jamais! Tout l’argent que le gouvernement m’oblige à donner pour financer une taxe du carbone, qui, ma foi, ne changera rien au climat et qui sert à financer quoi? Une cimenterie polluante? Je donne du temps aussi, avec les gens d’affaires de mon quartier, soutenant l’achat local tant que possible, mais en restant réaliste. La compétition extérieure est sauvage, il ne faut jamais oublier que bien des propriétaires d’entreprises ont étudié le marché dans lequel il évolue; ils ont constaté que des fois, envoyer le matériel à l’extérieur, le faire «usiner», payer pour qu’il revienne, ça revient moins cher que de payer ses employés pour la même chose... Atroce vous me direz? Il faut en tirer des leçons! Je ne veux pas parler des autres pays, ni des gens là-bas et leurs conditions, je veux juste soulever le fait que la main d’oeuvre coûte vraiment cher ici. Et savez-vous quoi? EN plus de coûter cher, cette main d’oeuvre est taxable! Impossible de s’en sortir! Pourquoi faire de l’exclusivité quand on peut faire de l’argent à moindre coût? En bonus, il va rester du temps pour en faire des exclusivités! Je ne déconne pas! Louer un local commercial, y payer les taxes, payer le ou les permis d’exploitation, payer pour l’entretien extérieur, le déneigement, le chauffage, l’électricité, etc! Tout ça est évidemment taxable. Vous n’avez pas encore payer un seul employé! Bientôt, la main d’oeuvre sera un problème quotidien. Elle se raréfie, coûte de plus en plus cher, mais on peut se la faire voler! Bin oui! AIlleurs, un ouvrier acceptera un salaire moindre si il est moins imposé et moins taxé... Triste réalité directement réactionnelle au coût de la vie, ici, dans notre terre congélée... Soyez conscient du privilège que vous avez chaque jour. À plus!

mardi 16 janvier 2018

On fait quoi?

Depuis le début de 2018, le DG de notre fournisseur «unique» d’électricité commence à nous annoncer qu’il va devoir augmenter nos tarifs, même si nous travaillons d’arrache-pied depuis des années pour économiser l’électricité! Ayant des frais fixes hors du commun, cette société nous obligera à payer autre chose que du courant, parce qu’elle ne pourra faire autrement. Donc nous sommes obligés à eux? En plus de ne pouvoir prendre une certaine autonomie par rapport au coûts reliés à cet unique fournisseur, nous devrons payer ses frais fixes! Hier, j’en ai discuté avec mes enfants, et je leur ai recommandé d’aller travailler ailleurs. Ailleurs que dans cette dictature, ailleurs où vous pourrez devenir quelqu’un sans donner la moitié de ce que vous gagnez pour des services inefficaces, trop dispendieux et surtout, qui nous enragent, jour après jour! L’un semble prêt et convaincu qu’il ira travailler ailleurs, l’autre, en plein blitz d’études professionnelles, semble trouver ça vraiment dramatique. Pour ma part, après le scandale de 1,4 milliards, je me demande où est-ce qu’on s’en va avec cette société? Imaginez ça, ils nous ont «prélevé» de l’argent en trop, et ce, à notre insu, ensuite, ils nous annoncent que nous seront obligés de les payer à vie, peu importe si nous consommons leur électricité ou non. Car après lecture, ce que je comprends, c’est que moins nous consommerons, plus il nous en coutera cher. L’inverse du monde entier, l’inverse de l’offre et la demande. Que pouvons-nous faire? Il y a déjà un recours collectif pour le «prélévement» secret, mais ensuite, sommes-nous liés d’une quelconque façon à cette société? Reste à voir. On s’en reparle sûrement.

lundi 15 janvier 2018

Ouf!

Encore moins 29 degrés ce matin, je ne sais pas trop quand est-ce que ce temps froid va nous quitter pour de bon. Enrhumé encore ce matin, je n’ai pas eu le courage de sortir dehors, comme je le fais toujours, pour savoir ce que ça fait et bien prévenir mes enfants pour leur départ à l’école. Hier fut une journée splendide, j’ai terminé l’impression d’une commande, j’en ai imprimé une autre. J’ai pris deux marches, par ce froid plus glacial que celui de la Sibérie. J’ai aussi pris un bon SPA. Jamais je n’ai vu le froid être aussi agressif depuis que nous avons ce bain chaud. La glace qui empêche les roulettes pour l’air de tourner, nos verres de boissons qui gèlent, les boutons de la radio qui sont raides. À coup sûr, le redoux très violent que nous avons eu vendredi dernier n’a pas aidé. Onze degrés en après-midi, et trente-six heures après, quarante degrés de moins, soit moins 28 !!! QUi peut faire pire? Y a pas de quoi être fier! QUel touriste veut vivre ça? Ça fait plus de quarante ans que je résiste à ce climat, mais je ne m’y suis jamais habitué... Pourtant, je me suis habitué à bien des choses. La seule chose qui est étrange dans tout ça, c’est que je n’ai jamais songé à partir avant l’âge de trente ans. Pourtant, personne ne voudrait demeurer ici, à moins d’une obligation majeure. Pensez-y, le plus haut taux de taxation, l’endroit le plus imposé, et le climat le plus sévère en zone habitable! Je continue de dire à mes enfants de partir d’ici, ils ne le regretteront jamais! Samedi matin, alors que tout était enterré de neige, les surfaces avaient une fine couche de glace qui les recouvrait! C’était indescriptible. Mais surtout triste. On sentait l’air se refroidir, le vent qui soufflait comme un prédateur qui veut nous enlever notre vie... Mais je vous souhaite tout de même une bonne semaine.

dimanche 14 janvier 2018

Encore du froid

Il fait moins 28 degrés! Même MétéoMédia, qui aime en rajouter, n’annonçait pas aussi froid! Quel congélateur! Il me semblait que nous avions eu suffisamment de froid depuis le dernier mois! Mais non, encore trois jours de congélateur! Misère! Encore enrhumé ce matin, je mouche un peu. Pas souvent malade, je me défends bien devant cette adversité. Mais ça ne donne pas d’énergie supplémentaire. Mais le soleil est très présent, comme c’est très souvent le cas quand nous congelons! Je vais tenter d’aller prendre une marche et aussi un SPA. Le mercure ne grimpera pas tellement au dessus de moins 18. Et la prochaine nuit sera aussi très frette! Je trouve ça tellement dur. Et puis, les mécaniques en arrachent. Ça me fait plus de soucis malgré moi. Hier j’ai déneigé pendant au moins deux heures après le dîner! Le froid s’installait... Je suis ensuite rentré me préparer pour le «souper» de Noël chez Patrice et Mélanie. Peu d’énergie, enrhumé, nous nous sommes rendus à Donnacona. Un bon souper, en famille. Très agréable. Mais il manquait ma Bibliothèque. Et vers 22:30, le sommeil m’appelait, comme il appelait aussi mon nouveau fils. Alors nous sommes revenus à la maison. Ce matin, à table avec les enfants, c’est un bon petit moment. Les enfants ont beaucoup d’énergie! Ils ont projets d’aller aux Galeries! Ils sont courageux! Je vais tenter de trouver un peu de repos dans cette journée. J’aurais bien des choses à faire, mais je crois que je vais simplement réfléchir. Mon plus vieux m’a envoyé un texto cette nuit, me disant qu’il allait chez le dentiste lundi. À 3:27 du matin, je trouve qu’il exagère un peu. Je n’ai pas répondu, mais je suis devenu pensif un brin... Il ira chez le dentiste autant qu’il le veut, il va falloir qu’il réalise que la vie coûte chère, qu’il faut utiliser de la volonté pour arriver à ses fins. Il devient impératif qu’il travaille, sinon la secte de l’aide sociale viendra le chercher! En résumé, quand on fait des enfants, on ne sait pas dans quoi on s’embarque! Une chose est sûre, je n’engraisserai pas encore cette année! Tellement de chose à faire, à penser, à planifier! Je tiens beaucoup à mon entraînement, mais je dois me trouver d’autre échappatoires, du temps pour moi. Écrire sur ce blogue est merveilleux, mais ça ne demande pas tellement d’efforts physiques. Depuis la fin de novembre, j’avoue que j’ai pelleté beaucoup, ça aide. Mais je pense à des choses plus personnelles, plus valorisantes. Des fois, même souvent, je visualise des murales, que je dessinerais. Comme l’inspiration arrive un peu n’importe quand, je visualise beaucoup ce qu’elle m’apporte. J’ai souvent le goût d’illustrer des choses. J’ai aussi le besoin de faire passer des messages, par rapport aux valeurs humaines. Mais la fatigue a aussi son mot à dire dans tout ça, et je me sens coincé. Autant je réussis à trouver de l’énergie, autant des fois, je n’en ai pas. Presque inquiet. Mais je chasse ces idées bizarres en m’occupant de toutes les façons possibles. On s’en reparle.

samedi 13 janvier 2018

Bon texte de Richard Martineau qui parle des québécois, ce peuple de citrons pressés qui n’a plu de jus à donner. Tout ce qui est dit dans son texte est vrai, triste, mais n’amène pas plus de solutions au problème. Ça fait des années que je cogne sur le clou, que j’écris chaque matin pour faire sortir la rage, mais je n’ai aucun moyen concret de changer quoi que ce soit! Quand c’est rendu que je me demande à quoi ça me sert de voter! Peu importe qui est au pouvoir, c’est du pareil au même! Il faut réduire la taille de l’état, réduire les dépense, laisser de l’argent aux citoyens et faire de la place aux entrepreneurs! C’est la base. Pas de travail payant, pas d’économie. Depuis des années, les dirigeants nous agenouillent malgré nous avec une chiée de taxes, de permis et d’augmentations de toutes sortes. Ceux qui réussissent à rentrer dans la fonction publique ne font qu’aggraver le problème! Car leur travail enlève de l’argent aux citoyens, et surtout, leur emploi est trop «dilué» pour aider de quelque façon notre société. Je dis diluer pour tenter d’expliquer que celui qui obtient une «permanence» n’aura pas d’impact dans l’amélioration du panier de services offerts. Il ne fera que vider les poches des contribuables. Le système est depuis longtemps engorgé, étouffé par la lourdeur administrative; celui qui veut y changer quoi que ce soit n’a pas l’autorité, ni les bras assez long pour changer quelque chose. Il faudrait effacer, et recommencer en neuf. Je ne crois pas que ce sera possible, du moins de mon vivant. Alors je vais retourner pelleter un peu. Après une journée de pluie et 10 degrés au mercure, de la neige et -12, de quoi s’amuser un peu.

vendredi 12 janvier 2018

Description d’un vendredi.

Finalement, après avoir ramasser toute cette neige tombée du toit, j’avais complèté mon entraînement. Sept degrés ce matin, difficile à croire. Le plus difficile à croire, par contre, c’est que nous retournerons aux normales de saison! Je vais sûrement sauter un «gasket». Enrhumé un peu, j’ai encore la gorge qui grafigne et un manque d’énergie en général. Mais comme nous sommes vendredi, ça redonne des couleurs à mes ambitions. J’avais une palissade de 16 pieds x 4 pieds à installer ce matin, mais ce fut cancellé. Pas choqué. On dirait que j’ai besoin de congé pas mal. Deux jours me feront du bien, en autant que je réussisse à relaxer un peu. Ce retour au travail fut merveilleux. Progressif, avenant, je n’ai pas rencontré tous les objectifs, mais je demeure optimiste. Que demander de plus? Alors qu’hier j’ai réussi à garder la forme jusqu’au souper, ce matin, il me faudra lutter un peu pour y arriver! Toute cette eau qui tombe, qui va ensuite geler... Il ne faut pas s’en faire. Les beaux jours reviendront. Après un hiver vraiment «chien», nous seront tous fous lorsque les premiers jours de «chaleur» se pointeront. Année après année, nous éprouvons cette «fièvre du printemps», une sorte de buzz qui nous pousse à changer de char, de maison, à faire des rénos, à faire des changements! Mais le meilleur changement, ça serait de quitter ces lieux. Aller vivre dans un endroit où le climat est plus tolérable, où les dirigeants en place ont de l’ambition. Un endroit riche en innovations, en nouvelles idées, où les gens ne te jalousent pas! Un endroit d’entraide, où la réussite passe par la collaboration. Un endroit où les politiciens créent de la vraie richesse, pas en montant et\ou en créant de nouvelles taxes! J’ai l’air sur une virée utopique, mais au fond de moi, je le pense vraiment. Après avoir démarré mon entreprise, je me disais que je ne pédalais pas dans le bon sens, mais avec le temps, je me rends compte que je pédale dans le sens que je veux! À force de pédaler, je sens que mes idées, mes ambitions se heurtent à d’autres entrepreneurs qui, dans leur façon de faire, sont à des kilomètres de la mienne. À moi de m’adapter, de trouver d’autres solutions. Si pour eux, le service, le bon travail, le dévouement, et tous les «gâteries» qu’impliquent le fait que je les aime ne compte plus, (peut-être que ça n’a jamais compté!), alors je vais m’adapter. Adapter signifie parfois de changer de direction. Mais une chose est sûre, je ne changerai pas l’Amour que j’ai pour mon travail et pour les gens!

jeudi 11 janvier 2018

Comment faire?

Enrhumé ce matin. Après avoir survécu au froid des derniers jours, me voici avec la gorge qui pîque et des sécrétions. Une installation ce matin, en espérant que je vais conserver mon état général actuel. Je n’ai pas trop poussé à l’entraînement, quitte à reprendre ça samedi matin. Bref, après avoir pris une tasse d’eau chaude au sirop Lambert et une nuit de sommeil somme toute pas si mal, me voilà en train d’écrire. Quoi de plus rassurant que de reprendre sa routine, de remettre ses pantoufles. Plus jeune, je ne voulais pas de routine, ni d’habitude, je voulais que chaque journée soit unique par sa composition, ses événements. Quelle folie! Mais aussi que de fatigue! J’ai survécu comme j’ai pu, m’en tenant aux règles établies par la vie. Malheureusement, il y a beaucoup de gens qui ne sont pas prêt à faire des sacrifices ou encore des concessions. Pour eux, ce qu’ils ont eu, et\ou ce qu’ils ont est un acquis. Pas question d’en perdre un iota! Pourtant, rien ne nous appartient, et plus la vie passe, plus c’est évident! Il faut se botter le cul chaque jour, pour accomplir des choses merveilleuses. Car tout le monde est merveilleux! Chaque personne a quelque chose d’unique, de magique! Chaque personne est une pièce du casse-tête de notre société! Ça peut paraître utopique d’affirmer de telles choses, mais j’y crois. Seul, je peux faire plein de choses, mais nous avons besoin les uns des autres! Et, de nos jours, on dirait que nos dirigeants poussent les gens au contraire! Être un leader, ça veut dire qu’il faut rassembler les gens, pour en tirer le meilleur! Avec leur régime de taxes, de subventions, de syndicat, les gens se divisent, se méfient les uns des autres! Il serait temps que les entrepreneurs dénoncent ces pratiques. On dirait un royaume mené par un roi égoïste. Un roi qui ne pense qu’à lui. Comme le Duc de Nottingham, ou n’importe lequel des leaders tyranniques qui ont «règné» un jour sur cette terre! Il y a toujours eu une révolution, un renversement! Mais il faut trouver un équilibre et de vraies solutions avant de renverser les autorités en place. Je comprends quand mon comptable me dit d’embarquer dans le système, mais je comprends aussi que cela embourbe l’économie. Il faut sortir de ce marasme, redonner l’argent aux citoyens! Faire cesser la dictature douce...

mercredi 10 janvier 2018

Milieu de semaine

Déjà le troisième jour de la semaine, je me sens pas en super forme, mais on dirait que ça revient. La routine s’installe tranquillement. Ça fait vraiment du bien d’avoir une petite pause du froid. Ce matin, moins treize, mieux qu’espéré, ça aide à partir sa journée! J’ai hâte de revoir ma Bibi. Mais elle ne revient que jeudi le 18 janvier. Pluie et verglas en perspective, ça ne me dit rien qui vaille! L’école est recommencée, il faut rester vigilant avec les horaires. Et je commence à stresser avec le Jack Fest. Il me faut vendre des billets et trouver le maximum de commanditaires! J’ai de la difficulté à rester concentré, à garder mes idées sur ce que je dois faire. Mais tout va pour le mieux. J’ai envoyé des états de compte, je fais un suivi sur d’autres trucs qui traînent et j’essaie de faire un maximum de ménage. Le ménage, quelle chose extraordinaire! Quand tu ne t’en occupes pas, il finit par te déranger! Et si tu n’as pas le temps de t’en occuper, il t’attend! Alors il faut trouver l’équilibre. C’est toujours la chose à atteindre, l’équilibre! Parce que chaque chose à son contraire, il faut nécessairement trouver l’équilibre entre les deux. Trop, c’est toujours trop et pas assez, ça le dit, ce n’est pas assez! Comme je suis le premier à en faire un peu trop, je dois trouver une façon d’équilibrer mes journées. Des fois, en essayant de ralentir, je me perds dans mes pensées, butinant ici et là; finalement, je me retrouve avec une journée peu productive avec plein de choses de commencées, et du retard dans mon horaire! Alors je me fais une réunion au sommet, avec mes hamsters, essayant d’établir des règles précises, avec une marche à suivre et de la rigueur! Malgré tout cela, j’arrive parfois à me perdre. Comme quoi, le concerta, c’est une bonne paire de lunettes, mais ça n’efface pas l’hyperactivité, ni le déficit d’atention! Alors on fait avec! Il faut s’en reparler!

mardi 9 janvier 2018

On se calme!

Donc certaines gens ont vu en cette personne un discours de présidence? Il faut être vraiment être parti dans la boucane pour halluciner autant! Il y a plein de gens qui savent parler en public! Ça ne fait instantanément de bons politiciens, ou de bons économistes! Plus jeune, je ne vivais que par mes émotions, laissant mes pulsions me mener par le bout du nez! À vingt-trois ans, j’avais un enfant, un diplôme, une pension à payer, une montagne de dettes, mais je n’avais pas de travail, encore moins un avenir. Ça m’a pris du temps démèler tout ça. Comprendre que la vie n’était pas toujours un oeuvre d’art. Qu’il fallait prévoir un peu d’avance. Que malgré tous mes efforts, tout mon travail, toute ma volonté, il y avait un lendemain à tout. En tous cas, il y en a un depuis au moins 48 ans! Donc, les envolées en charisme de certains orateurs, les grandes idées énoncées en public, doivent être fondées, doivent mener à une progression! À quoi bon faire lever les foules, si cela ne mène à rien! Si cela ne vous fait pas avancer? Continuez de faire valoir vos droits, mais n’oubliez pas que ça implique du travail et des responsabilités. Vouloir, c’est pouvoir! Au départ, vos parents vous ont donné la vie. Donc vous êtes nés. Vos parents vous ont donné le privilège de vivre, vous ont enseigné plus ou moins de choses. Par le fait même, cela vous a protégé du monde extérieur! Mais vous devez voler de vos propres ailes! Pour y arriver, il vous faudra travailler, mettre du temps, de l’énergie! Vous n’avez pas tous les droits! Vous avez la vie! Aimez et partagez!

lundi 8 janvier 2018

Travailler...

Savez-vous ce qui fait du bien? Travailler! Travailler et ne pas s'arrêter à toutes sortes de choses qui nous bouffent de l'énergie! Je n'ai même pas le temps de penser à l'actualité, ni à la politique!Tout ça me tiraille tellement, ça me rend malade. De savoir que tant de gens se moquent de nous. De savoir que tellement de gens n'ont pas un vrai travail, mais un job qui dépend d'un programme quelconque! Que si la communauté ne payait pas, ils n'auraient pas de travail! Et personne ne semblent s'en soucier! Moi je continue de travailler, de créer mon travail, de faire ma vie. De ne pas dépendre des autres. Ça aussi, ça fait du bien! Et puis, ce qu'il y a de triste, c'est que les gens qui ont ces emplois, sont souvent innefficaces. Pour preuve, j'ai besoin d'aide pour mon fils asperger. Depuis bientôt quatre ans que nous faisons des démarches. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien qui bouge! Aucun progrès notable! Tellement aucun! Mais ces gens sont quand même payés! À la fin du mois, ils ont une paye! Moi, si je n'améliore pas mes performances, si je n'abats pas de boulot, si je n'atteinds pas un certain taux de satisfaction, je ne fais pas d'argent, je travaille sans arrêt et surtout, je m'épuise! Quelle grande illusion qu'est cette vie au Québec! Je pense que la vie vaut la peine d'être vécue, mais il faudrait qu'elle soit plus vivante, plus vraie. Que les gens soient plus autonomes, qu'ils soient utilisateurs-payeurs! Comme ça, nous cesserions de payer pour les autres. Vieille mentalité socialiste dépassée et obsolète! Comment évoluer, comment avancer si l'on traîne les autres? Il y a des années que je traîne les autres et je suis terriblement fatigué. J'ai le goût de changer, de vivre un peu plus pour moi. Alors je commence par dire non aux solicitudes de toutes sortes. Ensuite, les clients qui sont trop long à payer, je les évite. On verra!

Bof!

C’est plutôt rare que j’écris le soir. J’aime mieux me laisser aller dans mes pensées, ou écouter un épisode d’une série sur Netflix. Beaucoup de neige de tomber et enfin, il fait moins froid! Ça fait du bien d’avoir un peu de répit! La nouvelle année commence en grand chez LADO Lettrage. Déjà, les contrats rentrent. Depuis que je suis installateur certifié 3M (3M Preferred installer), je n’ai qu’à ouvrir mes courriels ou répondre au téléphone. Malgré tout, j’ai pelleté pas mal. J’ai même soufflé un peu. Mais il me fallait changer la bougie, car le moteur avait tendance à caler. J’en ai trouvé une enfin. Mais comme il se faisait tard, je me suis dit que demain, j’aurais le temps de la changer et de continuer mon déneigement. Et puis, j’ai eu une belle journée. Les choses vont s’enfiler tout seul. J’ai aussi travailler sur le Jack Fest! Le trois février, ce sera magique! Il me faut vendre des billets et trouver des commanditaires. Je suis très optimiste. Mais rien n’égale de pédaler pour la cause, sur la vieille route 138. Mais pour ce faire, il me faut ramasser des sous! Beaucoup d’appels à faire, de rencontres, et surtout, d’énergie à y mettre encore. Quand on veut, on peut! J’ai bien hâte à demain, pour continuer ce que j’ai commencé aujourd’hui! Pourtant, ce matin, je me sentais tellement pas dedans... Le retour à la routine après le délire complet du temps des fêtes. Et puis, de la neige à ramasser et on ne gèle plus...!

On repart!

Tranquille ce matin, après un entraînement sympathique et une demi-heure de pelletage. Joanne est partie pour dix jours dans le nord. Encore pas mal froid ce matin, avec un -17. J’ai pelleté un peu, histoire de me garder la main... Je pense à tout ce que j’ai à faire aujourd’hui, au fait que les enfants recommencent l’école demain. Je pense à l’année qui vient de se terminer, mes bilans personnels. Tout le contenu émotif imbriqué par le fait d’un enfant transgenre. Mes inquiétudes par rapport à mon plus vieux qui, doit se trouver un travail entre deux sessions. Dix années de CÉGEP, pas encore terminé. Est-ce que cet arrêt sera profitable, ou cela mettra-t-il un terme à ses études? Il doit toujours cinq mois de loyer, continue de dépenser dans le crédit. Il a 27 ans, rien devant lui, aucune conscience du futur, pas grand chose du passé. Ma plus vieille va bien, le temps des fêtes lui a permis de travailler un peu. Elle reprend les études demain matin. La neige aura fini de tomber. Moins de soucis pour moi. Si les étoiles s’enlignent, nous irons nous reposer dans le sud. J’en ai bien besoin. Les deux dernières années furent compliquées avec les horaires changeants de ma Bibi, et nous n’avons pu y aller. Mais je vois des photos de ma cousine et ses enfants à Disney; les enfants ont leur manteau d’hiver, tuque et mitaines... J’espère que qu’ils vivent tout de même des moments de joie, car ils sont dispendieux...! Et puis, je suis inquiet, face à cette autre année, qui sera «gérée» par le Maîttrre, le couillon et le trou d’eau. Rien ne va plus dans cette formule. Peut-être d’un regard extérieur, il peut sembler fascinant de voir des écriteaux partout, où l’on peut lire «nous embauchons». Mais la vérité, c’est que personne ne veut travailler au salaire minimum. C’est la façon d’être pauvre, ici, dans notre congélateur. Congé de maternité, chômage, et salaire minimum, trois situation dans lesquelles vous ne devez pas vous retrouver pour le moment. Alors continuez vos efforts vers le futur. Car nous aurons besoin de tout le monde pour rebâtir notre économie, notre vie en communauté, ici, dans ce trou à neige. À demain!

dimanche 7 janvier 2018

Conneries!

En lisant tranquillement ce matin, à défaut d’aller marcher dehors à -27 degrés, je me pompais devant un article qui parle de taxer la viande. Comme si c’était un nouveau fléau à combattre afin de préserver l’environnement! Pour vrai? Que la production de viande dégage plus de méthane que le dioxyde de carbone de nos voitures? On gèle ici au Québec! Depuis la fin de novembre, nous sommes largement sous les moyennes saisonnières! C’est l’ère de glace! Trouver des façons d’économiser de l’énergie, pas de taxer encore les citoyens! Si ce malheur arrive, les ventes de viande vont baisser. L’économie aussi. Les producteurs de viande vont crier, auront peut-être droit à une gestion de l’offre eux-aussi! On continue de s’enfoncer dans une méthode qui ne fonctionne pas. Une méthode qui écœure tout le monde. J’hallucine des bulles solide! On réussit à parler de réchauffement encore, à parler de mettre plus de taxes encore! Après un deux semaines de «congés» glacés qui nous a coûté une fortune de chauffage? Oui il y a des changements climatiques, ils sont cycliques. Mais arrêtez de délirer sur un autre moyen de nous sous-tirer de l’argent! Je suis plus que dégoûté par vos histoires mirobolantes, mégalomanes et complètement déconnectées de la vraie vie! On s’en reparle!

samedi 6 janvier 2018

Froid glacial

Je suis obligé de dire que je n’ai pas une grosse moyenne en janvier jusqu’à maintenant. C’est mon deuxième texte et je dois avouer qu’il m’aurait fallu en écrire au moins deux avant celui-ci. Après un court répit du froid, environ douze heure, et quelques centimètres de neige, nous revoilà plongés dans le congélateur pour au moins deux autres journées. En bonus, il y a un de ces vents... Hier, je ramassais un peu de neige, car j’avais déjà perdu le dessus, les mains me gelaient! Inutile de dire que ça m’écoeurait en mautadine! Peu importe les gants que je porte, avec le vent, mes doigts gèlent. J’ai eu mal aux mains le reste de la journée! Une autre semaine vient de passer, plus ou moins en congé. Mes tentatives de relaxation se sont avérées peu efficaces. Et il me semble que j’avais bien de choses à faire avant de recommencer à travailler, choses qui ne sont pas faites. Plein de ménage, de classement de toute sorte, histoire de commencer l’année en beauté. Mais le froid m’a vraiment contredit et je me suis laissé emporter par la vague. Comme plein de gens que j’ai écouté, qui se racontaient le «Bye-Bye». À les entendre, c’était mourant! J’ai trouvé que Marc Labrèche était vraiment un bon acteur. Les autres étaient vraiment bons aussi. Mais concernant le chapitre sur Céline Dion, je n’ai rien compris. Et le délire incessant sur le président de nos voisins m’a semblé trop long et de trop. Le résumé sur le trou d’eau peu convaincant, pas assez «chien». Pour ce qui est de la chire sur le premier de la série des dénoncés, à la limite, entre gars, possible d’en rire, mais j’aurais mis du temps sur d’autres dossiers. Et, comme d’habitude, ça tirait dans tous les sens... Mais bon, quand on regarde d’un œil extérieur, il est facile de critiquer. Mais après une autre année de politique peu efficace de la part des libéraux, autant provinciaux que fédéraux, je suis resté sur ma faim. Si au moins on pouvait Trouver une façon de s’amuser dans ce froid, ce marasme économique, j’en aurais moins à écrire. Et, comme je n’ai pas écrit assez, cela a paru un peu sur mon humeur. Je vais tenter de faire mieux.

mercredi 3 janvier 2018

Ça commence!

Bienvenue en 2018! Après 9 jours de congélation intense, le froid lève un peu ce matin. On s’entend, il faisait -24 degrés ce matin. Mais ça réchauffe avec une petite neige. Actuellement -19 degrés, je suis allé brancher mon camion, histoire de ménager un peu la mécanique! Commencer l’année doucement m’apparait tout à fait étrange. J’ai tellement de chose à faire aujourd’hui, je vous assure que je vais sauter quelques étapes. Mais tout d’abord, finir ce qui traîne depuis avant Noël. Et, malgré tout ce que j’ai dépensé depuis les 10 derniers jours, j’ai des commissions à faire! Avec la neige qui tombe, le froid, les routes glacées, une simple sortie devient un peu une corvée. Oui, pratiquer les sports de glisse est toujours intéressant, mais conduire pour les autres demande plus d’efforts et de bonne humeur. Les gens sont habitués au «no fault», et se foutent absolument de tout. Donc, quand ils conduisent, c’est la même chose. Et, avec l’excellent cadeau de Noël de nos dirigeants, soit dix sous de plus le litre d’essence, prix qui est déjà surévalué depuis au moins cinq ans, ça ajoutait tellement à la température absolument sibérienne des derniers jours... Inutile de dire que c’est vraiment de la marde! Je me suis accroché toute l’année au fait que le température, ça finissait toujours par revenir, mais 9 jours consécutifs sous les moins vingt, difficile de s’en remettre! Comme j’en profite pour ne pas trop travailler, donc moins facturer. Moins d’argent pour plus de dépenses. Donc pour en revenir à ce que j’ai à faire, disons que la pression que je me pousse n’est vraiment pas cool. J’en ai presque mal au cœur! Bon assez déconner, il faut se botter le cul et avancer! Bonne année!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...