samedi 6 janvier 2018

Froid glacial

Je suis obligé de dire que je n’ai pas une grosse moyenne en janvier jusqu’à maintenant. C’est mon deuxième texte et je dois avouer qu’il m’aurait fallu en écrire au moins deux avant celui-ci. Après un court répit du froid, environ douze heure, et quelques centimètres de neige, nous revoilà plongés dans le congélateur pour au moins deux autres journées. En bonus, il y a un de ces vents... Hier, je ramassais un peu de neige, car j’avais déjà perdu le dessus, les mains me gelaient! Inutile de dire que ça m’écoeurait en mautadine! Peu importe les gants que je porte, avec le vent, mes doigts gèlent. J’ai eu mal aux mains le reste de la journée! Une autre semaine vient de passer, plus ou moins en congé. Mes tentatives de relaxation se sont avérées peu efficaces. Et il me semble que j’avais bien de choses à faire avant de recommencer à travailler, choses qui ne sont pas faites. Plein de ménage, de classement de toute sorte, histoire de commencer l’année en beauté. Mais le froid m’a vraiment contredit et je me suis laissé emporter par la vague. Comme plein de gens que j’ai écouté, qui se racontaient le «Bye-Bye». À les entendre, c’était mourant! J’ai trouvé que Marc Labrèche était vraiment un bon acteur. Les autres étaient vraiment bons aussi. Mais concernant le chapitre sur Céline Dion, je n’ai rien compris. Et le délire incessant sur le président de nos voisins m’a semblé trop long et de trop. Le résumé sur le trou d’eau peu convaincant, pas assez «chien». Pour ce qui est de la chire sur le premier de la série des dénoncés, à la limite, entre gars, possible d’en rire, mais j’aurais mis du temps sur d’autres dossiers. Et, comme d’habitude, ça tirait dans tous les sens... Mais bon, quand on regarde d’un œil extérieur, il est facile de critiquer. Mais après une autre année de politique peu efficace de la part des libéraux, autant provinciaux que fédéraux, je suis resté sur ma faim. Si au moins on pouvait Trouver une façon de s’amuser dans ce froid, ce marasme économique, j’en aurais moins à écrire. Et, comme je n’ai pas écrit assez, cela a paru un peu sur mon humeur. Je vais tenter de faire mieux.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...