vendredi 19 janvier 2018

Quelle semaine!

En ce vendredi matin, 19 janvier, je dois admettre que le premier mois de l’année est en train de nous glisser entre les doigts! Commencer l’année de travail avec un rhume, je m’en serais passé! Les journées, si courtes soient-elles, sont plus dures et l’humeur en prend un coup! Maux de tête, manque d’énergie, sommeil troublé, etc. Mais le dernier jour de la semaine, ça nous confirme que la semaine est terminée, que nous sommes passés au travers! Avec d’excellentes nouvelles comme l’augmentation du salaire minimum à 12$ de l’heure et la hausse du taux directeur à 1,25%, ça va prendre pas mal de réjouissances à l’interne pour compenser ce que j’y comprends. Augmenter le salaire minimum de soixante-quinze cents, faut vraiment être lâche! Ne pas vouloir couper dans ses dépenses. Et surtout, ne pas voir plus loin que le bout de son nez. Avec une telle augmentation, tout ce que nous consommons verra son prix au détail augmenter. Certains perdront leur travail parce que leur employeur ne sera plus capable de les payer. Mais il y a aussi la réalité suivante: Est-ce que tous les autres travailleurs recevront aussi une telle augmentation? Conflit en vue... C’est vraiment une mauvaise nouvelle. Ensuite, la hausse du taux directeur. Chanceux d’avoir eu aussi longtemps un taux directeur aussi bas, cette hausse, la troisième en autant de trimestres, ne me rassure guère. À l’ère du crédit facile, nous ne sommes pas habitués à de soudaines augmentations de paiements. Et comme les biens à la consommation vont augmenter de prix aussi, surprise! Quand Martineau nous comparait à des citrons pressés, il avait raison. Mais quand le citron est vide, on fait quoi? Encore plus difficile de trouver des solutions quand le prix de tout fait obstruction à nos projets. Mais je vais tenter de me consoler en savourant le retour de ma tendre épouse! Après dix jours au froid de la Baie de James, elle est enfin parmi nous! Bon vendredi!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...