jeudi 27 février 2020

Il neige!

Finalement, il s'est mis à neiger. Vers 8:00. Heureusement pas tellement, car les vents qui soufflent sont plus forts que tout! Comparable à ceux qui soufflaient le 1er novembre, heureusement que mes garages, même ancrés, sont retenus par de la glace, car ils se font aller! Il y a eu plein de mini coupures de courant, mais pour l'instant, ça tient. Petite pause vers 15:00 pour constater que le vent vient de diminuer d'intensité. Pourquoi? Parce que je vois les flocons! La psychologue de Cameron a annulé son rendez-vous. J'ai bien fait d'aller aux commissions hier! Il nous reste à aller à la pharmacie pour les doses à Cameron. Son dossier n'avance pas tellement vite. Il doit agir vite, car s'il perd l'«avantage» de notre assurance médicaments, il se peut qu'il trouve le temps plus long et encore plus dur. De mon côté je prends du mieux. J'espère faire le camion d'un client demain. J'espère aussi m'entrainer demain matin. Ce matin, j'avais de la misère à ne pas me sentir coupable, mais j'avais tellement le souffle court... Je toussais et je mouchais! Pas tellement d'énergie, mais je me sens mieux. Finalement nous irons sûrement faire l'épicerie ce soir. Et puis, je veux être en forme pour aller faire du Fatbike en fin de semaine avec les filleuls! Je suis sorti deux fois pour pelleter, le vent nous fermait les yeux! À plus tard!

Simonac...

Zéro degrés ce matin, finalement il n’a pas encore neigé. Ça fait plus de trois jours que qu’ils nous annoncent l’apocalypse! Beaucoup de vent, mais pas de précipitations. Mauvais signe, si la neige tombe en peu de temps, ça peut devenir compliqué très rapidement! Encore malade ce matin, pas facile de combattre la grippe, quel adversaire! J’ai du travail en masse pour m’occuper au bureau. Troisième journée à me «traîner» comme une larve ici et là. Ce matin, un peu plus de gaz, mais je mouche tellement! Mon nez est très sensible et mes lèvres commencent à «pètasser» ... Vraiment plate. Sirop Lambert dans de l’eau chaude comme décongestionnant, cocktail de pilules à des heures spécifiques pour résister à la fièvre. Ça ne me rend pas heureux. Je suis vraiment fier de moi, pour avoir travaillé autant lundi. Je me disais que ça serait peut-être une semaine de marde. Mais j’aurais aimé me tromper. Les jobs avancent très lentement, mais de pouvoir en faire un peu, cela aide mon moral! Maintenant, j’aimerais vous partager ma déception envers le parti pour lequel j’ai voté. Jusqu’à maintenant, une véritable insulte envers l’intelligence humaine! Et que dire de ma »connaissance», la personne avec qui je partageais certaines choses... Une vraie honte! Mais que voulez-vous? Présentement, la situation dans la belle province est vraiment risible. En plus, les activistes qui sévissent actuellement font en sorte de fermer l’économie complètement. Je me demande où est notre PM, un comptable, où est-il? Chaque journée qui passe nous rapproche d’une vie plus «communo-socialiste». C’est sûr, je suis incommodé par la grippe, mon jugement est faussé, mais si ça réussi à me troubler, c’est que c’est vraiment une situation irritante! Six heures trente, toujours pas de neige, les écoles sont toutes fermées! Content de ne plus être dépendant de ce phénomène! Un phénomène que j’ai réglé en 2008, en commençant à travailler directement de la maison. Bon, je vais y aller, je divague...

mercredi 26 février 2020

Ouf que c’est dur.

Moins six degrés ce matin, il semble que je sois prisonnier, pour l’instant, d’une grippe. Hier j’ai pris deux bains pour me refroidir, mais j’ai monté jusqu’à 39,48 degrés de fièvre! Ouch! Je ne la trouve pas drôle! Surtout que je dois travailler quand même. Travailleur autonome nécessite d’être en bonne santé, car l’outil de l’entreprise, c’est moi. La journée d’hier fut très pénible, en combat sans arrêt; j’ai tenté de faire deux siestes. Et puis, j’espère ne pas avoir contaminé des gens, car j’ai vu pas mal de monde. Mais les bons conseils d’Andréanne ont payé et la fièvre s’est tassée un peu. J’ai passé une très bonne nuit, ne serait-ce de notre vieux chien qui parfois nous réveille. Je cherche à comprendre ce qui arrive à notre société. Même dans un état fiévreux, cela me dérange de savoir qu’une firme voulant s’installer au pays, avec projet de créer de l’emploi pour les quarantes prochaines années, décide de se retirer, parce que les médias ont réussi à les écœurer assez! Imaginez, quel sera le sort des autres entreprises qui voudront s’installer? Plus personne ne voudra venir investir ici, ce sera le début d’une ère «vénézuélienne». Anyway, qu’est-ce que j’y peux? En attente d’une tempête, ça reste toujours à voir. Un genre de 30 centimètres semble obligatoire dans ce cas-ci. Nous verrons bien.

mardi 25 février 2020

Misère!

Malade! Voilà ce qui m’arrive! Pourtant, je l’ai été il y a un mois et demi! Hier, je sentais ça me monter dessus, comme un virus très puissant. Sans blague je n’ai pas réussi à souper en arrivant de ma journée. Je suis allé me coucher un peu, puis je suis revenu manger. Ce matin, aucune énergie, je commence à moucher et à tousser. Incroyable! Je ne suis jamais malade... j’espère que ce ne sera pas trop long. c’est vraiment dur de faire ses journées dans un état pareil. J’ai beau me dire que je peux me guérir, je dois avoir pogné tout une cochonnerie, parce qu’hier, j’ai fait de la fièvre! Pourtant, il y a vingt-quatre heures, je n’avais rien. Depuis l’automne, je sens que mon corps ne récupère pas aussi vite; je suis raqué pour des choses qu’avant, je n’en faisais pas de cas. et là, deux virus en deux mois... Que se passe-t-il? Quand j’ai senti ça m’attaquer, je me suis dit qu’il fallait que je fasse la job le plus tôt possible, car le reste de la semaine demeure un mystère! Pour le reste, je ne sais pas trop; j’ai mal aux poignets, au pieds droit. comme si quelqu’un me les avait sévèrement abîmés pendant mon sommeil. Je ne pense faire une aussi grosse journée qu’hier, et si possible, je ferai un sieste. Diminué, avec très peu de gaz à donner, je me sens vraiment «choqué» de ce fait. J'ai dit à mon plus jeune de se trouver un emploi qui permet d'être malade! Chose qui n'apparait pas dans mon futur! On s’en reparle!

lundi 24 février 2020

Lundi matin.

Ouf! Une fin de semaine de repos, mais aussi de ménage et déneigement de toit! Ce matin, il fait moins quatre degrés, ça fait du bien d’avoir un redoux. En fin de semaine, il a fait vraiment beau. Aucun lien avec la semaine dernière. Samedi soir, nous sommes allés en raquettes et nous avons fait un feu dehors. C’était magique. Hier, je suis monté sur le toit pour enlever un peu de neige. La toiture d’en avant s’est vidée pour une quatrième fois depuis l’arrivée du manteau blanc. Nous sommes allés au camping pour la première fois depuis la fin d’octobre. Que dire, tout était beau, vraiment pas beaucoup de neige sur la roulotte. Et puis, nous avons discuté avec des gens qui nous offrent un montant acceptable pour la roulotte et tout l’arsenal. Reste à faire approuver par le camping. Si tout se passe bien, la vente de la roulotte sera complétée avant que la saison 2020 débute officiellement. Nos prières sont exaucées. Nous passons à une autre étape. On planifie déjà un été de vélo, de petit camping avec mon camion. Vraiment polyvalent ce petit camion. Je voudrais aussi faire quelques rafraîchissements dans notre maison. Joanne est vraiment tannée des vieilles armoires, moi j’en ai plein mon cass des murs craqués, de la peinture qui semble éternelle... Bref, ce sera amusant. Et puis, si nous ne sommes pas au camping, nous avons l’intention de faire des feux plus souvent à la maison. Bien sûr, ça va dépendre de ce qui va se passer avec le boisé derrière. Il semblerait que cette zone de conservation serait «donnée» par la ville pour des immeubles de location. Je passe le reste de ce que je voudrais dire, parce que je suis déjà tanné d’en parler. Imaginez le trafic que ça ajoutera! Anyway, nous verrons bien, les lundis sont faits pour nous rappeler qu’il faut vivre un jour à la fois! J’aime mieux me rappeler que j’ai vendu mon imprimante laser de 12 ans et aussi l’exerciseur de vélo à Joanne, ça fait du bien au porte-feuilles et c’est valorisant de savoir qu’ils auront une seconde vie.

vendredi 21 février 2020

Fatigué...

Moins vingt-sept ce matin! Isshh! Vraiment, c’est trop froid. Pas pour chiauler, mais pour le dire. Il semble que le retour à des températures plus douces arrive dès ce soir. Mais ce soir, nous allons en visite! Je ne veux jamais aller en visite le vendredi soir. En plus, ça fait longtemps que je n’ai pas eu de congé. La fin de semaine dernière, c’était le Jack Fest, j’ai travaillé toute la semaine, je veux rester à la maison pour relaxer. Mais ces jours-ci, je ne décide rien. Ma Bibi ne fait que me mettre en situation de conflit. Si tu ne veux pas venir, tu n’as qu’à rester à la maison! Bin tanné de ça. Aller de reculon à quelque part, je commence à être vraiment tanné de ça. Je ne peux que me réfugier dans ce blogue ou dans mes dessins. Le reste, on repassera. Les histoires de famille, j’en ai plein mon cass! Je veux être tranquille, près des gens avec qui j’ai le goût d’être. Mais nous sommes vendredi, à moi de trouver le beau dans tout ça. On s’en reparle.

jeudi 20 février 2020

Froid.

Moins vingt-trois ce matin, pas mal sec comme air! Je n’ai pas réussi à écrire hier, mais ma journée fut un succès. Considérant que depuis le Jack Fest, je n’ai fait que du rattrapage, je sens que je commence à être plus à jour. Je me sens pas si pire, chaque jour est une meilleure journée que dimanche. Le lendemain du Jack Fest est toujours une montagne à gravir! Mais je récupère bien. Hier j’ai terminé mon camion aux alentours de 15:45. Aujourd’hui j’entends demeurer au bureau le plus longtemps possible, histoire de finir des choses et de me reposer le corps un petit peu. La journée d’hier a débuté en mode urgence travail, alors que je me suis rendu compte que j’avais découpé des trucs dans le mauvais matériel. Pas une habitude, mais quand ça m’arrive, ce n’est jamais drôle. Je n’ai pas trouvé de temps pour m’entraîner, ni pour écrire, et encore moins pour dessiner! Et le ramassage de neige n’est pas fait. Je dois encore une fois vider le patio, vider mes garages et souffler mes allées. Mais cela est plus une sorte de passe-temps qu’une corvée. Hier je me suis interrogé par rapport à ma vie. QU’est-ce que j’attends pour vivre? Absolument rien, je vis déjà! À moi de choisir, selon une certaine logique, ce que j’ai le goût de vivre! Je suis encore sous l’effet du Jack Fest. Cette dose d’énergie que les gens nous amènent est quelque chose de grand. COmment en profiter pleinement, c’est autre chose. Puisque j’anime cet événement, il m’est difficile de bien m’accorder avec tous et chacun. Et puis, comme la température hivernale nous sort de notre confort, il est intéressant de ressentir tout ça. Je dois m’accorder plus de temps, plus de grand air. Courir, c’est bien beau, mais ça fait en sorte que je m’oublie souvent. Donc il faut s’amuser en travaillant et réussir à trouver le beau dans chacune de nos journée. N’est-ce pas fantastique? J’ai hâte de commencer ma journée de travail. Avant je dois prendre du temps pour moi. Ce mystère, «du temps pour soi», demeure la chose la plus fascinante qui soit. À moi de conjuguer avec tout ça. À plus!

mardi 18 février 2020

Que c’est vite, la vie...

Quelle journée difficile hier! Tellement épuisé, on dirait que j’en n’ai oublié des bouts. Je commençais à me sentir pas si pire en fin de journée. Moins vingt degrés ce matin, difficile à croire. Nous passons des températures extrêmes ces jours-ci, c’est dur sur le corps. Et comme il est tombé six pouces de neige en trois fois cette fin de semaine, hier soir, j’ai passé la souffleuse. Ce fut divertissant et amusant. Un autre système s’annonce pour cet après-midi. Ce système pourrait contrecarrer mes plans pour le reste de la semaine, car je suis supposé aller à Donnacona demain toute la journée. On verra bien. On dirait bien que le jour se lève. Eh oui, un peu de clarté aux alentours de six heures quinze! Wow! Ça fait du bien! Ce matin, ma Bibi était complètement dépassée par le temps, incapable de suivre son horaire. C’est ce que j’avais l’impression, moi aussi, hier toute la journée! Et ce matin, force est d’admettre que nous n’avons pas pris d’avance côté ménage, vaisselle et lavage. Je me dis que tout ça va nous attendre, mais il faut quand même procéder à un moment donné. plus d’énergie qu’hier, ça fait du bien! J’espère que je suffirai à la tâche, car la journée sera bien remplie. Je n’ai pas réussi à compléter un seul dessin dans ma tablette depuis mon retour du sud. Oui j’en ai fait dans ma tablette numérique, mais je n’ai pas réussi à prendre le dessus encore, et cela empiète sur mon temps de dessin. Ça ne devrait pas exister, des limitations de temps pour dessiner. TOut ça nous mène à un autre constat, celui de la course, jour après jour, pour réussir à se faire une vie. Et d’aventure en aventure, nous traversons le temps, cherchant à tirer notre épingle du jeu. Des fois je me demande ce que je cherche. Puis je me ramène en me disant que je l’ai déjà. Il me suffit de continuer. Juste faire ce que je fais. À plus!

lundi 17 février 2020

Le Jack Fest!

Quelle fin de semaine encore une fois! Que du Jack Fest! J’ai tellement pelleté de travail par en avant, c’est dur à croire. Mais ce matin débute une nouvelle semaine, ce sera très corsé! Mais puisque j’ai dit pelleté, j’ai vraiment pelleté pour arriver à établir un endroit de rêve pour accueillir les gens au jack Fest. Tellement de travail pour arriver à ce résultat. Des fois je pense que je suis un malade mental! Et puis, je commence à me sentir dépasser par tout ça. Et au final, ne pas avoir d’attentes, car le montant ramassé ne reflète pas les efforts qui furent mis pour y arriver! J’aimerais vous en parler plus, vous exprimer ma gratitude, car inviter des gens à venir passer six heures dehors, en plein mois de février, leur demander 50$, leur faire acheter des billets pour des tirages, ça n’en finit plus! Et au final, après avoir goûté à du Jack Daniel’s une fois chaque heure, avoir goûter des plats aromatisés au Jack Daniel’s entre chaque shooter, les gens repartent avec le sourire, ayant le souvenir d’avoir passé une belle soirée, et n’ont jamais eu l’impression de s’être fait solliciter pour une cause. Et c’est ça le but. Ramasser des sous pour la cause, mais en laissant les gens libres de participer, libres de faire ce qu’ils veulent. Et puis, les sous vont pour le Cyclo-Défi Endbridge, qui s’assure que tous nos dons vont pour la recherche contre le cancer. Durant l’activité, je me donne à fond, en essayant de ne rien oublier. Vous savez, je mets plus de quarante heures à préparer cet événement; Et en matériel, je ne compte jamais tout ce que je peux dépenser! Mais j’y crois! Et ça, c’est merveilleux! Ça, c’est magique. Par contre, je commence à trouver que le Jack Fest a fait son temps, que si j’en faisais un autre, ça deviendrait redondant. Que de travail pour préparer tout ça; que de temps pour installer tout ça; encore beaucoup de temps pour ramasser et nettoyer tout ça, car ça se passe chez moi! Un samedi. Lundi matin, je travaille et mes bureaux sont chez moi! Alors tout se doit d’être ramasser et l’endroit doit être fonctionnel pour commencer la semaine. Donc tout n’est pas ramassé à 100%, mais tout est fonctionnel. J’espère avoir le temps d’installer mon imprimante neuve aujourd’hui. Je voudrais vendre l’autre le plus tôt possible! Ça va faire une semaine demain que je l’ai reçue, il commencerait à être temps de l’essayer pour voir si elle fonctionne bien! Bonne semaine, on se reparle demain!

vendredi 14 février 2020

Très froid.

Vendredi! Nous sommes de retour à ce vendredi, celui qui précède le samedi du Jack Fest! Ce sera une journée mémorable! Je dois faire un plan de match pour être sûr de ne rien oublier. Tout va bien aller, il suffit de prendre une chose à la fois. Ma Bibi est revenue hier soir; la joie de son arrivée fut un peu ralentie par l’attitude de Cameron, qui perçoit de la pression partout. Il craignait son retour, car il prend les conseils de sa mère pour des reproches! Bref, ce fut une soirée un peu plate. Mais bon, la fatigue nous a aidé à bien s’éteindre au lit. Mais ma blonde n’a pas tellement bien dormi, elle pensait au Jack Fest. Imaginez : j’organise un événement et c’est elle qui ne dort pas, qui veut que je n’oublie rien, qui stresse, qui essaie de ne pas prendre les commandes, etc. Aujourd’hui, jour de la Saint-Valentin, il fait moins vingt-cinq au compteur, j’espère qu’il fera soleil un peu. Le petit vent fait vraiment chier. J’ai toute la journée devant moi pour finaliser certains dossiers de Lado Lettrage, et continuer les préparations de cet événement magique, le Jack Fest! J’aimerais vous en dire plus, mais je ne veux pas me pourrir l’humeur, j’en ai besoin pour rester heureux. Car autour de nous surgit plein de choses qui ne font réaliser que nous sommes prisonniers de ce système. Un système qui nous coûte une fortune, mais dans lequel il faut ramasser de l’argent pour la recherche, par le biais de fondations. Un système corrompu, rempli de cartels, où la liberté n’existe que sur papier! On s’en reparle!

jeudi 13 février 2020

On lâche pas!

Tout un matin! Je viens de me rendre compte que je n’ai pas encore écrit un seul mot de la journée! Moins quatre degrés, nuageux avec quelques flocons. Il semble inévitable que nous serons frappés par une vague de froid jusqu’à Dimanche! Froid pour le Jack Fest, alors qu’hier, le bar a fondu un peu! Je suis en fort questionnement sur le déroulement de ma journée. J’ai différentes choses à faire, autant pour la maison, que le Jack Fest que pour Lado Lettrage. Difficile de prioriser. Et un rendez-vous avec Cameron tantôt à neuf heures, chez le psychologue. Écoeuré en mautadine de me promener, et de constater avec quelle lenteur les progrès se font sentir. Hier j’ai vendu son clavier, que je lui avais acheté pour compenser une grosse peine. Nous avons récupéré 60$. Je lui ai dit que c’était le prix d’une passe d’autobus; il m’a parlé d’un événement de «cosplay» qui s’en vient. Il m’a aussi dit qu’il avait hâte de se trouver une job. Mais il ne veut pas faire n’importe quoi. Il a peur de tout. Peur de parler trop fort, peur de ses décisions, peur de nous décevoir, etc. Je n’en peux plus de tout ça. En plus des médicaments, des hormones, des bloqueurs d’hormones... Des frais qui n’arrêtent jamais. Quand je constate que le gouvernement consent à augmenter encore tout pour des raisons de consigne, je ne sais quoi penser. Je cherche activement à tirer mon épingle du jeux, mais je suis fatigué. Et cette semaine, celle qui précède l’événement en question, me rend fou. Je veux ralentir, mais je ne vois pas encore quand. Hier j’ai eu la visite d’Alain, le mari de ma cousine Chantal. Ce fut un moment extra! Il faut prendre le temps de recevoir les doses d’Amour quand elles passent! Je veux dessiner un peu plus. Mais depuis le retour au travail après les fêtes, même avec une semaine à Cuba, l’ouvrage entre par la grande porte et je dois dire que c’est inespéré. Je me sens heureux de tout ça, même si je sens mon corps fléchir un petit brin. En tous cas, on se reparle bientôt!

mercredi 12 février 2020

Merquedi!

Ouf! J’ai fini tard hier! Avec une journée qui comprenait un demi «wrap», j’ai travaillé deux heures après le souper sur l’aménagement de la cour, en vue du Jack Fest. Ce matin, mon cadran m’a levé, je suis un peu coma, des douleurs au dos... Mais bon, il fait moins six degrés, la vie semble toujours aussi fascinante, le soleil brillera dans mon coeur! Dommage que tous les modèles de météo semblent s’entendre pour une fin de semaine de froid. À ce que je vois, ce serait la journée la plus froide de l’hiver, cette journée du Jack Fest. Ça reste à voir! Et comme nous serons là pour la cause, aussi bien en profiter pour s’amuser et rire un peu! Car si on attend après les autres, on risque d’attendre longtemps, même d’être déçu! Notre gouvernement va augmenter encore un peu le prix de certaines choses, sous prétexte de consigne, Encore des taxes déguisées! Quand est-ce que ça va arrêter? Sommes-nous voués à une sorte de dictature? À un moment donné, même ceux qui ont un bon salaire, avance de bonnes conditions et une retraite bien garnie vont finir par trouver que c’est trop! Depuis plusieurs semaines, j’essaie de ne pas commenter, de ne pas donner mon opinion, mais je crois que des fois, j’explose! J’aime mieux exploser sur mon blogue que «live» devant quelqu’un. J’en ai tellement plein mon cass d’entendre parler que le chef de nos voisins est un ci, pis un ça. Regardez dans votre cour, vous verrez qu’il y a pas mal de clowns qui dérangent, qui détruisent notre économie! On dirait que nos dirigeants voguent au gré du vent, peu importe ou cela nous mènera, peu importe ce que ça coûtera... Des fois je me demande ce qui pourrait me faire du bien pour vrai. J’arrive de Cuba, le pesos convertible est une véritable arnaque. Le taux de change est plus élevé qu’avec le dollar américain. Il faut se fermer les yeux et se dire que nous sommes en vacances. Trève de lamentations, j’ai du travail qui m’attend, alors je dois y aller. À plus!

mardi 11 février 2020

À fond la caisse!!!

Le décompte se poursuit vers le Jack Fest. La semaine avant cet événement me rend pratiquement fou! HIer soir, j’ai arrosé le bar de glace, étant donné qu’il annonçait moins douze. Mais ce matin, à cinq heures, il faisait moins six! Mais les jobs continuent d’affluer et je sens cette angoisse monter. J’ai de la difficulté à me concentrer sur mon travail; tant que le Jack Fest ne sera pas passé, je crois qu’il en sera ainsi. Alors je le répète, l’an prochain, si vous me voyez en train de vouloir remettre ça, ayant toutes les meilleures intentions du monde, venez me rappeler que cela me trouble, me rend très nerveux et ça me retarde tellement! Il ne s’agit pas seulement de courir la veille et la journée même, il y a tellement à faire! Je sais que c’est pour la bonne cause, mais des fois, je sens que ce serait mon tour. Un client vient juste de me texter! Il est six heures cinq! Décidément je dois respirer un peu. Ces gens ont perdu la notion du respect, mais aussi la valeur de l’être humain. Je me demande parfois, très sérieusement, si je devrais arrêter tout ça, aller travailler pour quelqu’un. Puis, quand je me retrouve dans mon bureau, dans mes affaires, en train de «mener» ma journée, je reviens sur la terre! Je jasais avec mon ami Denis hier et nous parlions du temps qu’il nous reste à travailler à temps plein. Étrangement, nous avions un peu le même vision d’un vingt ans encore. Cela me mène à 70 ans! J’espère être encore aussi en forme, encore rempli d’énergie! Le temps passe devant moi et des fois, je sens les larmes me monter; ça va trop vite! Qu’aurais-je le temps de faire? Est-ce bien ça la vie? Un cadeau qu’il faut saisir pour en faire ce qu’on veut? Dans cette société où nous sommes enchainés? J’adore mon monde parallèle. Mais je dois m’arranger pour continuer de l’aimer et ne laisser personne me l’enlever! On s’en reparle!

lundi 10 février 2020

Grosse semaine qui débute!

Bon matin en ce lundi dix février! Il fait moins dix, nous sortons d’une fin de semaine très froide, et d’un vendredi de tempête. Nous avons eu au moins un pied de neige. Et nous avons passé pas mal de temps à déneiger samedi. Et nous avons dégrossi l’espace pour la tenue du Jack Fest 2020. Que de préparatifs! Il me reste une semaine pour terminer le tout. Les commandites sont pas mal réglées. Je pense que nous aurons beaucoup de monde. J’ai aussi un encan de démarré sur un gilets autographié de Martin Brodeur. J’ai déjà des mises dessus. Nous verrons à quel point cela sera rentable. Ensuite je dois m’assurer que les plats qui seront servis seront prêts en temps. Il semble bien que ma stratégie pour essayer d’avoir une journée mons froide s’avère peu utile, mais il y aura du nouveau monde. Cinq ans déjà que je fais cette activité. Ça demande beaucoup de travail, beaucoup de planification, mais j’apprends vraiment beaucoup de choses! Surtout de ne pas boire avant, ni durant l’événement! J’ai besoin de toutes mes facultés pour y arriver. Ma Bibi part ce matin pour quatre jours, elle est stressée avec cet activité. Pour elle, les levée de fonds, on dirait que ce n’est pas fait pour elle. Je dis ça, mais pour ma part, ça fait deux ans que je voudrais arrêter. Mais je crois que ce sera la dernière édition. C’est vraiment merveilleux de donner pour la recherche, mais c’est aussi beaucoup de temps. Et ce temps, plus je vieillis, plus je trouve que j’en ai besoin pour moi. Alors on s’en reparle lundi prochain, une fois le Jack Fest passé, que les sous seront compilés. Pour le reste, la semaine s’annonce bien remplie. SI je peux recevoir mon matériel, je vais pouvoir avancer mes jobs. À plus!

jeudi 6 février 2020

Réflexion

À force de vouloir, de se pousser dans le derrière, on finit par faire quelque chose, à obtenir un résultat! Pourtant, quand je regarde mes enfants, je me dis que des fois, c’est plus long. Pas d’autre façon de voir ça positivement! Et puis, je regarde d’un œil entre ouvert vers l’avenir et je le referme tout de suite... À l’âge de Vicky, Samuel arrivait dans ma vie. Cette dernière venait de changer pour toujours. Mes projets, si humbles ou fous pouvaient-ils être, avaient choisis une autre route que la mienne. Il me restait à trouver des solutions. Ce que je fais encore aujourd’hui. Imaginez comment il serait facile de fermer les yeux, de refuser d’évoluer, de dire que les événements m’ont trop fouetté, que c’est la faute de la vie! Mais je n’y crois pas. Quand mon premier enfant est venu me rejoindre au quotidien, je ne savais pas que ce serait si dur. Quand mon deuxième enfant s’est joint à nos rangs, je croyais au miracles et je rajoutais le père noël à mes croyances. Et puis, lorsque notre famille fut au compte de cinq, je me disais que nous serions un noyau solide pour vivre en Amour. Après bientôt 30 ans de paternité, je me questionne sur tout ça, remettant en question mon efficacité, mes choix. Et puis je me dis que c’est la vie le cadeau, le privilège. Que toutes ces inquiétudes sont normales. N’empêche que je ne sais pas trop comment composer avec tout ça. Souvent je doute de moi. Je suis angoissé. Puis je me secoue, comme un chien sait si bien le faire. Je me lance dans la mèlée pour évoluer du mieux que je peux, un jour à la fois. Sans savoir pourquoi, je réussis souvent à passer au travers, avec toutes les contradictions  que cela comporte. Je ne sais pas où ça va me mener, mais tant que j’y croirai... Je discutais avec mon père, qui, même à 77 ans, n’a toujours pas trouver toutes les solutions. Il veut vivre, du plus fort de son être, le plus intensément qu’il le peut. Aujourd’hui il effectue un retour au travail, dans le département de la boucherie, dans une épicerie. Il va voir s’il aime ça. Je prie souvent pour lui, comme pour tous ceux qui font partie de ma vie. On se reparle bientôt!

mercredi 5 février 2020

Ça va bien!

Donc nous sommes le 5 février, il fait moins douze degrés. En plein rush de retour au travail, je me suis senti déphasé toute la journée d’hier! Comme si je n’étais pas sur le bon fuseau horaire! Et comme j’ai du pain sur la planche autant pour LADO Lettrage que pour mes préparatifs du Jack Fest, difficile de ne me pas me sentir poussé dans le derrière! Et puis, avec l’annonce que mon père déménage à la fin de mars...! Une chose est sûre, s’il fallait que j’écoute les médias traditionnels, ce serait vraiment une entrave dans ma vie! Mon séjour à Cuba m’a fait du bien côté moral, alors que là-bas, les choses sont bien différentes. Ils n’ont pas les mêmes moyens que nous et sont plus «encagés» que nous. Et côté climat, ils souffrent souvent de la chaleur, alors que nous, nous y allons pour y trouver un peu de chaleur, et du soleil! Passer sept jours sans faire de vélo, sans écrire, ça me montre que je peux vivre sans toujours avoir à me «vider» de toutes ces pensées, toutes ces analyses, qui me tracassent au quotidien. Par contre, j’ai dessiné; j’ai aussi lu un roman de 480 pages! J’ai amené ma tablette Remarkable. Je l’ai vraiment appréciée! Avoir ses livres, mais aussi sa tablette à dessins dans une même plate-forme! J’ai trouvé ça fantastique. Et côté durabilité de la pile, j’ai chargée en arrivant, puis le matin de la dernière journée, alors c’est un dix sur dix! Il faut apprécier ce qu’on a. Quand j’ai acheté cette tablette, j’ai pris une chance, car c’était un «start up»; mais je ne regrette rien, au contraire, je suis vraiment content. Parlant de choses qu’on achète, j’en suis rendu à m’acheter une nouvelle imprimante laser. La mienne, une merveille qui fut très satisfaisante, a besoin d’un drum neuf. Quand je vérifie ce que ça coûte de changer ce dernier, c’est plus que la moitié du prix d’une neuve. Comme mes besoins ont beaucoup changé, j’aimerais en avoir une plus petite! Donc je magasine ça un peu. Je dois y aller, une grosse journée m’attend! À plus!

mardi 4 février 2020

Un beau voyage!

De retour après un séjour à Cuba que nous avons vraiment aimé! Au menu, que du beau temps! Nous avons pris des couleurs, nous avons relaxé et surtout, nous nous sommes aimés! Nous avons célébré 23 ans de mariage, avec un souper très sympathique et une petite soirée improvisée où nous nous sommes beaucoup amusés! Des gens, les employés cubains, très souriants, très accueillants, capables de nous faire sourire tous les jours par de petits gestes. Il fallait choisir les endroits et les bons moments pour circuler dans le lobby; certaines gens y ont passé leur séjour en entier, jouant aux cartes et fumant... D’autres ont occupé leur temps de vacances sur leur téléphone; j’avais pris soin de laisser le mien à la maison! Imaginez ça, des gens sur la plage, téléphone en main, semblant ignorer le privilège d’être à cet endroit si magnifique! Difficile à imaginer, mais nous l’avons vu! Incroyable! Nous avons loué un scooter pour aller porter des médicaments à la clinique médicale, et aussi, pour aller voir la plage Pilar. Nous sommes restés en panne avec le scooter! Heureusement qu’il y avait une agence de location au «Gran Muthu», la même qu’à notre Hôtel! Nous sommes revenus avec un autre scooter! Soixante-quinze kilomètres à un maximum de 45 km\h, de quoi pouvoir regarder autour de nous, pour voir du pays. Traverser de Cayo Coco vers Cayo Guillermo, une petite route «créée» sur un fond d’eau peu profonde, une aventure incroyable! Après nos déboires avec notre moyen de transport, il ne nous restait que peu de temps pour voir la plage Pilar. Nous avons eu 15 minutes! Après, les lieux fermaient. Très beau comme endroit, avec du sable qui se compare à de la farine! Distance pour revenir à notre Hôtel, trente kilomètres. Quelle belle journée! Nous avons marché sur la plage vers l’aéroport Jardines Del Rey pendant environ quatre kilomètres pour découvrir une section au panorama merveilleux! Dommage que nous avions oublié d’amener l’appareil photo. Mais ces images sont enregistrées dans ma tête! J’ai vu une grue, un oiseau, aussi grande que moi! Des chevaux en excursion sur la plage, traversant des sections inondées, c’était de toute beauté! La ballade en valait la peine! Une autre marche sur la plage, mais vers Cayo Guillermo nous a permis de voir ce que le dernier ouragan, IRMA, a fait comme ravage. Parler à notre pilote de catamaran, qui nous racontait à quel point ce fut dur de recommencer à travailler après le passage de l’ouragan; rebâtir, s’entraider malgré la destruction des lieux. Constater que les gens qui travaillent sur place ne vivent pas aux alentours, mais bien ailleurs, à une heure de route au moins. Ils travaillent six jours sur sept. Et que dire des spectacles, tous les soirs aux alentours de vingt-et-une heure. Des gens qui se donnent pour nous divertir. Malgré certains détails comme une porte patio très difficile à ouvrir, qui ne fermait plus complètement, de l’eau pour se doucher tempérée, et des découvertes alimentaires qui nous ont fait vraiment rire, tout était en place pour nous permettre de se sentir dépaysé, dans un autre monde, nous permettant d’oublier complètement notre quotidien! Nous avons beaucoup aimé!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...