mercredi 26 février 2020

Ouf que c’est dur.

Moins six degrés ce matin, il semble que je sois prisonnier, pour l’instant, d’une grippe. Hier j’ai pris deux bains pour me refroidir, mais j’ai monté jusqu’à 39,48 degrés de fièvre! Ouch! Je ne la trouve pas drôle! Surtout que je dois travailler quand même. Travailleur autonome nécessite d’être en bonne santé, car l’outil de l’entreprise, c’est moi. La journée d’hier fut très pénible, en combat sans arrêt; j’ai tenté de faire deux siestes. Et puis, j’espère ne pas avoir contaminé des gens, car j’ai vu pas mal de monde. Mais les bons conseils d’Andréanne ont payé et la fièvre s’est tassée un peu. J’ai passé une très bonne nuit, ne serait-ce de notre vieux chien qui parfois nous réveille. Je cherche à comprendre ce qui arrive à notre société. Même dans un état fiévreux, cela me dérange de savoir qu’une firme voulant s’installer au pays, avec projet de créer de l’emploi pour les quarantes prochaines années, décide de se retirer, parce que les médias ont réussi à les écœurer assez! Imaginez, quel sera le sort des autres entreprises qui voudront s’installer? Plus personne ne voudra venir investir ici, ce sera le début d’une ère «vénézuélienne». Anyway, qu’est-ce que j’y peux? En attente d’une tempête, ça reste toujours à voir. Un genre de 30 centimètres semble obligatoire dans ce cas-ci. Nous verrons bien.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...