jeudi 23 janvier 2014

Ça continue les menteries!

L'an dernier, j'avais emmené mon clavier bluetooth à Cuba. C'est la seule chose qui a bloquée aux douanes de Cuba. Mais je crois que je vais le ramener quand même, écrire fait beaucoup de bien. La journée d'hier est un bon exemple que faire ce qu'on aime peut nous mener très loin. Malgré bien de la fatigue! Et puis il y a  la volonté de vouloir finir. J'ai tellement commencer de choses dans ma vie que je n'ai pas terminées, aujourd'hui j'essaie de terminer les choses. DU côté de la castafiore, elle, elle essaie de terminer son règne sur le Québec. Hier, j'ai passé 12 heures chez un de mes clients, et les jeunes autant que les plus vieux se demandent qui l'a élue. Je sais qu'il y a des chiffres qui le prouvent, mais je ne connais encore personne qui a voté pour elle! Qui veut d'elle? Qui fait en sorte qu'elle peut faire passer des lois par décret? Car pour faire un décret, il faut avoir l'appui des plus hauts dirigeants et de passer au vote entres eux. Qui sont ces «eux»? Peu importe qui vous êtes, la chute de notre économie dépend de vous et même si vous ne revendiquez vos actes, nous, on va s'en souvenir! Et puis d'ailleurs, qu'est-ce que ça fait d'être la première femme à démolir le Québec? Qui est content de ça? Réussissez-vous à dormir madame la castafiore? Moi j'aurais de la misère à me regarder dans le miroir! Mais assez perdu de temps, si on veut vivre au Québec et être heureux, je dois retourner travailler et oublier toutes vos conneries! À plus!

mercredi 22 janvier 2014

Petite montée de lait!

Pour en revenir au modèle québécois, il y a des gens qui croient encore que tout est gratuit? Je ne pense pas. Mais ce modèle, à la fois socialiste et communiste, s'adresse à des gens que je ne connais pas. Du plus loin que je me souviens, je n'arrive pas à mettre le doigt sur un souvenir de quelqu'un qui était content de payer les fonds de pensions des autres. Je ne me rappelle pas avoir entendu quelqu'un dire qu'il était content que le gouvernement décide à sa place ce qu'il sera fait avec sa propre argent. Par contre, je me rappelle bien d'avoir entendu des gens demander de l'aide au gouvernement. C'est là que tout a commencé. À force de trop vouloir plaire à tout le monde, on ne plaît plus du tout, à personne! C'est beau les amis, les enveloppes, mais la coupe est pleine depuis déjà trop longtemps. Pourtant, dans le sondage d'hier matin, les chiffres ressemblaient à ceux de toujours, la castafiore en tête. Qui a répondu pour la castatfiore? Connaissez-vous quelqu'un? Bizarre qu'elle a toujours des chiffres. Mais personne ne l'aime. Arrêtez de me dire que je suis parano, c'est une menteuse avec les deux pieds dans la bouche, même en anglais! Au début, je me disais que les gens avaient fait des requêtes auprès du gouvernement, et que, pour toutes sortes de raisons, leurs idées avaient prévalues sur celles des autres. Mais là, je sais que ce n'est pas le cas. Le jupon dépasse, et il dépasse beaucoup. Tout le monde en parle, mais personne ne sait quoi faire. Mais le pire, c'est que les principaux concernés, eux, ne se retirent pas! Mais j'ai un bonne mémoire, très bonne. Alors un jour, le pendule reviendra de votre côté. Moi je ne dirai rien. Vous vous en souviendrez.

lundi 20 janvier 2014

Pas facile!

Alors que je me repose les idées de l'année que nous venons de quitter, des tas d'idées germent dans ma tête. Loin de me douter que ça arriverait, étant donné la fatigue qui m'accable. Mais je crois que ça fait partie de se reposer. Prendre le temps de réfléchir, de parvenir à certaines décisions, certains choix. Mais, ultimement, j'aimerais arriver à canalyser mes énergies vers la réussite de mon entreprise. Non pas que je soie en détresse, loin de là. Mais d'arriver à une autonomie financière, histoire de finir les dernières années de travail avec moins de stress. Ce qu'il y a de formidable, c'est de constater qu'après 5 ans, j'ai toujours travaillé à la maison, assembler les bons morceaux pour subvenir à mes besoins et nombreux autres de ma famille. De constater tout ça me rend heureux. J'ai l'impression de me mériter. J'aimerais en dire autant de notre province. Qu'elle soit autonome, à l'abri des contrecoups qui fulminent dans notre société jetable. Une façon que j'aurais d'injecter de la volonté et de l'esprit de réussite envers tous et chacun, qui, désillusionnés de notre économie, de notre politique, feraient des miracles juste à lever un petit doigt. Car, se débarasser de ces faux emplois subventionnés, de ces enveloppes de trop donnerait un coup de main. Avoir un peu moins de gouvernement dans notre quotidien nous ferait le plus grand bien. Laisser les investisseurs choisir, laisser les entrepreneurs bâtir! Alors que nous pourrions être exceptionnels par nos réussites, nous ne sommes que de petits rebels, qui ne font que se plaindre le ventre plein. Les dirigeants ne font que nous gaver d'illusions, espérant que nous goberont le plus possible leur charabia. Mais comme dans toute chose, il y a ceux qui font que l'exception confirme la rêgle! Alors ils y a des gens qui n'en peuvent plus de voir tout ce gâchis. Le ravage que la castafiore a fait depuis des années. Toutes les non initiatives du gouvernement Charest. Et puis le grand n'importe quoi du gouvernement libéral canadien. Qu'il y ait des enveloppes, soit, il y en a toujours eues. Mais de se faire mentir en pleine face, jour après jour, par un des personnes chargées de nous représenter, d'être à l'écoute des gens, ça ne peut plus passer! Si, en temps que gouvernement, vous voulez vous passer des enveloppes, faites-le, mais changez de camp!

vendredi 17 janvier 2014

Une vraie farce!

Le fait d'avoir mon épouse à la maison me laisse plus de temps pour écrire. Et aussi, plus de temps pour réfléchir. Récemment, j'ai eu droit à la salade suivante : Ici, au Québec, ça coûte cher, mais mes voisins n'ont pas de fusils dans leur maison. Nous n'avons pas d'ouragans, nous avons la carte soleil et c'est beau! C'en était assez pour me faire grimper! Ça coûte cher combien? Les services de la santé diminuent sans arrêt. Le fait de couper dans la restructuration des bâtiments, dans le nombre d'employés et d'obliger les gens à payer le régime publique n'a rien de drôle! Cela engorge les urgence et les soins de courte durée. LE fait d'avoir divisé les tâches au travers d'un syndicat a pour effet des hôpitaux sales. Et, en coupant sur l'immobilisation, les bâtisses et leur équipement vieillissent et, c'est plate, mais les soins demeurent très en dessous de ce qu'il y a ailleurs. JE parle de société urbaines, comme la nôtre. Et, si on veux aller dans le privé, la route est ouverte et même très bien pavée, mais à quel prix? Celui de continuer de payer le régime publique! Pourtant, au même type que l'assurance médicaments, il serait possible de séparer les deux. Un famille se prend un forfait famillial au privé, alors que d'autres, adhèrent au régime publique. Ceux qui restent au publique gardent leur carte soleil. Pour ce qui est de voyager à l'extérieur, ceux du publique devront s'assurer qu'ils sont couverts. Est-ce si dur? Et que dire des communications! On dirait que le gouvernement veut, à force de délais et d'attentes, faire une purge au niveau de la population. Les différents centres hospitaliers ne sont pas reliés en réseau, souvent, même les étages dans la même bâtisse ne se pas reliées ensemble! Imaginez la vitesse des correspondances! Pourtant, que je soie à Longueuil, Singapour ou encore Vancouver, je peux parler, envoyer des photos, des pièces jointes de toutes sortes, en autant que ce soit numérique, par le biais de Facebook, et c'est gratuit! Où est le problème?

jeudi 16 janvier 2014

Apprendre

Tout en continuant mon analyse, j'aimerais retourner dans le passé. Revisionner certains événements qui m'ont marqué. Prendre en considération de petits détails et en apprendre quelque chose. La vie est si courte et de voir toutes cette connaissance s'envoler en fumée, c'est dur à accepter. De plus, en vieillissant, j'ai l'impression d'être moins vite sur certaines déductions, certaines lignes de pensées. Je me dis que si nous pouvions retirer plus de connaissances de nos expériences, notre apprentissage serait non seulement meilleur, mais aussi plus durable. Car lorsqu'on apprend quelque chose par coeur, pour un examen par exemple, on oublie presque tout par la suite. Mais avec ce genre d'apprentissage, par les évévnements, la connaissance resterait ancrée plus fortement dans notre cerveau. L'exemple des gens qui nous témoigne leur passé est une preuve. Bien sûr, il y aurait des gens meilleurs que d'autres, mais ma foi, si tous pouvaient s'améliorer, ce serait merveilleux. Et notre vie serait plus valorisante! Dans notre société, où tout est jetable, dur de se faire une idée précise de nos expériences. Chaque journée est une course, remplie d'obstacles. Nous courons, évitons les obstacles, évitons en même temps beaucoup de connaissances. Je crois que l'expérience des travailleurs, est une richesse qui s'éteint. Plus le temps passe, plus les gens sont remplacés par des ordinateurs, des robots automatisés. Mais à force de pleurer sur son sort, l'homme se déresponsabilise, aidé par nos gouvernements, et, se rend compte trop tard qu'il est dépassé. Quelqu'un ou quelque chose l'a remplacé. Alors, tant qu'à faire quelque chose, aussi bien y accorder toute son attention. Améliorer la façon, la technique. Prendre le temps d'aimer ce qu'on fait et garder en tête le privilège d'être quelqu'un.

mercredi 15 janvier 2014

Attention!

C'est avec bien des regrets que parfois j'ose reculer dans le passé. Je me remémore bien des choses et, faute de mémoire trop effilée, je n'arrive pas à les oublier. Heureusement, ma mémoire est capable encore d'en prendre! Mais cette mémoire semble s'user un peu. des fois, je dois chercher longtemps avant de me rappeler. On dit qu'on a la réponse sur le bout de la langue. Eh bien, le bout de cette langue est très long! Mais pas besoin de fouiller dans ma tête pour me rappeler bien des épisodes tristes ou encore heureux. On dirait que ces derniers sont dans un coffre à part, à l'abri de l'effritement du temps. Là où est le problème, c'est dans la mémoire à court terme. Depuis l'accident en ski-doo, qui remonte au CEGEP, la commotion cérébrale semble avoir fausser la donne. Cette mémoire est souvent mèlée dans le temps. Même que souvent, j'oublie tellement de choses que c'est déprimant. Au secondaire, je ne prenais jamais mes devoirs en notes, je ne faisais jamais de liste pour me rappeler  quelque chose. MAis depuis cet accident, rien n'est simple du côté de se rappeler.  Quelqu'un appelle, me dit de le rappeler, ou encore me dit de faire le message à ma femme de la rappeler... Et voilà, j'ai oublié. Mais si je m'adonne à y repenser, je m'en rappelle! L'événement se stocke quand même dans mon cerveau, mais n'est plus utile. J'aimerais qu'il en soit différent. Pour le reste, je dois dire que le concerta m'est d'un bon secours dans l'administration de mes affaires. Bien sûr, je dois rester vigilant, ce n'est un médicament qui ne va pas me guérir, mais simplement un narcotique qui me permet de pouvoir me concentrer un peu et de rester éveillé le jour, endormi la nuit. Mais la fatigue est la chose la plus dure à gérer. Ce phénomène de plus en plus courant dans notre société prend de l'ampleur. Les gens se boostent avec des boissons énergisantes, des protéines, toutes sorte de choses, histoire de pouvoir en faire encore plus avec 24 heures! Le problème réside au niveau de l'humain. plus tu es fatigué, plus tu es dangereux. Les stimulants, peu importe lequel, ne font qu'accélérer les capacités. Elles ne reposent en rien l'esprit, ni le corps. Alors les décisions, les choix de chacun, le jugement en sont affectés. Je ne parle pas de dommages sur la santé, mais des observations extérieures que j'ai faites. Si, sous l'influence de stimulants comme le café ou autre chose, vous avez un réflexe très nerveux, il sera amplifié! De même pour les réactions face à une émotion. Ces événements, de plus en plus fréquents dans notre monde de course, se révèlent très périlleux. Et les conséquences auront un effet domino dans la vie de tous les jours. Et comme nous vivons en société, les comportements des uns auront de l'influence sur celui des autres. Et ainsi de suite! Alors, les stimulants de toutes sortes, à prendre avec considérations, car la vie est si fragile...

mardi 14 janvier 2014

On se comprend-tu?

Il faut écrire pour bien sentir la portée de nos pensées. Se rendre compte que toutes ces idées ne sont  pas que du vent. Des idées bien réelles! Avec des mots qui se suivent, faciles à lire. Pourtant, lorsque je consulte un document gouvernemental officiel, ce n'est pas le cas. Premièrement, à force de vouloir des documents dans les 2 langues, force est d'admettre que la traduction est souvent poche. Mais le plus horrible, c'est l'égarement dans certaines tournures de phrases. Un syntaxe inutilement compliquée, des mots que nous n'utilisons jamais, tout pour se perdre et laisser place aux crosseurs de manipuler la loi. Pourtant, des mots, des vrais. Ceux qu'on utilise chaque jour, ceux-là feraient amplement l'affaire. Ça sert à quoi d'être révolté. Il faut comprendre ce qui se dit et ce qui est écrit. Dorénavant, place aux phrases comprenables! À quoi bon utiliser des mots trop lourds, ou encore trop léger? Pour se faire croire qu'on est bon? Pour être bon, il faut le prouver sur le terrain, et non dans des écrits. À part si vous êtes écrivains. La législature est une vraie farce dans sa forme actuelle. Et puis trop de mots pour dire la même chose amène beaucoup trop de confusion. Et puis, trop de points de loi ne fait que contradiction. Il y a des gens payés pour ça, trouver des failles dans tous ces textes. Alors prenez le temps de vivre et, surtout, arrêtez de vous endetter.

lundi 13 janvier 2014

Histoire de bilans. Je me rends compte que de faire des bilans, ça raconte pas mal une vie. De plus, ça me permet de prendre du recul. À force de travailler tout le temps, on ne voit plus rien. Bref, c'est comme ça qu'on se rend compte qu'on se néglige. C'est bien beau dire que son voisin est gros ou encore malade et qu'il devrait s'aider, mais moi, est-ce que je m'aide? Est-ce que je prends soin de moi? J'ai des amis, de la parenté, un frère, un soeur. Est-ce qu'ils prennent soin d'eux? Bien sûr, je suis porté à prendre le poids des autres un peu sur mon dos, mais je travaille tous les jours là-dessus. Je voudrais que cette énergie serve à quelque chose de plus constructif. L'empathie est un sentiment si fort qu'il peut guérir. Mais il y a toujours des limites.
Dans un autre ordre d'idées, je pense à cette nouvelle année qui débute. Bientôt nous serons de nouveau en fusil après la castafiore. Elle veut sonder les gens avec sa charte. Pourquoi dépenser notre argent pour se faire dire non? Parce que les chiffres, elles sait les manipuler? Sûrement, puisqu'elle a été élue. Je ne connais personne qui veut de cette charte. Tous en ont mal au coeur! Ce n'est pas ça prendre soin de la province. Ce n'est pas en la divisant de l'intérieur qu'elle va revivre! Dis-moi comment est-ce que tu entretiens ta province et je te dirai comment tu mènes ta vie! J'ai beaucoup d'arguments, beaucoup de potentielles solutions, mais je suis toujours seul avec mes idées. Un peu comme un hors-la-loi. Je navigue en parallèle de la société tout en y demeurant. Mais n'allez pas croire que je suis malhonnête. Je suis plutôt du genre trop gentil, trop franc. Les gens se confient à moi, mais profitent aussi de moi. Car en business, il n'y a pas d'amis! Chose qui me prend bien du temps à comprendre, car je n'y arrive pas. Je fais confiance à tous, jusqu'à preuve du contraire! Assez parlé, bonne semaine!

dimanche 12 janvier 2014

Toujours en réflexion!

Bien avant de savoir que je pouvais être heureux, j'avais l'impression que je pouvais l'être. Petit, alors que je n'avais pas conscience de la vie, je m'amusais des heures de temps, inconscient de tout. Seul mon jeu m'intéressait! J'arrivais à jouer, ne rien faire d'autre. Mon cerveau d'enfant n'avait pas à stresser des tâches quotidiennes. Je n'avais aucun soucis, sauf si le moment présent m'amenait ce sentiment. Bien sûr, parfois, j'avais de la peine. J'étais angoissé. Mais sinon, j'arrivais toujours à être heureux. Aujourd'hui je choisis d'être heureux et, je veux que ça redevienne un réflexe. Comme celui que j'avais à huit ans. Mais j'ai aussi recommencé à dessiner. Lorsque je dessine, je me sens bien. On dirait que la vie passe par mes doigts. On dirait que toute mon âme se confesse, se confesse d'être une personne parfois égoïste, parfois colérique. Quelle libération. Difficile de faire la part des choses quand dans une conversation, tu sens que ça ne plane pas tellement haut côté connaissances, côté conscient intellectuel. Faut dire que des fois, depuis que je prends du concerta, je dois me calmer. Je dois ralentir mon activité cerébrale, laisser venir à moi la conversation des autres. Les laisser me parler. Sentir leur énergie, les laisser se confier. Parfois je réussis à les ressentir et mieux les accueillir. Cela fait parti des moyens que j'ai de mieux comprendre mon environnement, de mieux l'accepter. J'aimerais que la passion l'emporte encore plus. Cela me laisserait vivre plus longtemps, plus heureux!
À bientôt!

vendredi 10 janvier 2014

Constat plate!

Complètement en feu, je me fais un devoir d'écrire chaque jour. Dans mon blog, dans mon roman, sur Facebook, je n'ai de cesse dans mes élucubrations! Cela me fait un bien immense. Et d'avoir un congé de la castafiore, ça redonne du souffle. Mais de savoir que nous payerons encore plus de taxes municipales et que nos services vont encore diminuer, ça c'est plus difficile à avaler. Je n'ai qu'à regarder l'hiver que nous avons : les journées de précipitations, il semble que les employés de la ville soient au ralenti. Par contre, le jour de Noël et au Jour de l'An, j'ai vu des souffleuses, des graders et des charrues travailler! Il faisait beau, leur travail était de l'entretien préventif comme élargir un peu Henri IV ou encore un espèce de déglaçage sur un viaduc, mais sur les côtés, rien qui pénalisait notre conduite. Aller donc savoir! Et puis l'état des rues, des trottoirs. Lamentables. Nous avons eu une semaine sans neige, mais je n'ai vu personne! Au moins je peux écrire dans mon blog, cela me défoule. Sinon, je garde tout ça en dedans et je fini par être grognon! Et ça, c'est mauvais pour l'ambiance à la maison. Mais nous venos de réserver notre voyage d'anniversaire de mariage. 11 jours dans le sud, loin des tracas, loin des irritants. Ce sera notre troisième année consécutive dans le sud et je suis obligé de constater que c'est moins cher que de voyager au Québec. Vraiment lamentable de la part de notre province! Imaginez, nous nous faisions un devoir d'aller au Québec! Une fin de semaine de 4 jours à Tremblant, plus la route, plus l'essence, plus la fatigue : 2000$ pour deux personnes. Une semaine à Cuba, tout inclus, 998$ par personne. Faites le décompte, et nous revenons reposés, pas stressés d'avoir conduit sur nos routes pleines de cratères, mal déneigées. Eh oui! C'est comme ça! Qu'est-ce qu'il a de si attrayant le nord? La moyenne de température sur une période d'un an, à Québec, c'est -5 degrés. Et cette année ne sera pas différente des autres. Et le coût pour vivre ici ne fait qu'augmenter! Mais pas pour améliorer le fait qu'au Québec, c'est l'hiver. Pas pour nous faire prendre ça un peu plus cool. Il semble que ce soit pour nous écoeurer avec le prix de l'essence, les éco-frais, le système de la santé, les commissions scolaires, etc. 

mercredi 8 janvier 2014

Les moments qui m'ont rendu heureux en 2013

les moments forts que j'ai aimé en 2013 sont ceux qui, par leur facilité à me faire sourire ou encore par leur difficulté d'accomplissement, m'ont séduits. Oui, ces moments où j'ai eu l'impression que la vie me montrait quelque chose, où je me sentais grandir en dedans.
LE premier que je retiens, c'est mon voyage à Cuba avec Joanne. Chaque année, nous fêtons notre anniversaire de mariage. Nous allions toujours faire un séjour au Québec. Quelques jours, histoire de se retrouver, de prendre de l'air nouveau, en dehors du train-train quotidien. Ce fut un voyage merveilleux. Le deuxième, faire l'enveloppement du premier véhicule Sandals. Premier d'une série de dix véhicules. Une expérience enrichissante, remplie de défis. J'ai prix le temps de montrer à Stéphane les bases de ce métier que j'adore. Et puis, il y a eu les victoires de ma petite Chloé. Elle fut championne régionale et provinciale dans sa discipline de Yoseikan Budo. Des moments magiques auxquels j'ai participés avec elle. Ensuite, le contrat en Gaspésie. Une semaine avec Stéphane à New Richmond. Nous avons installé des visuels réalisés par la firme de graphiste Morelli. Nous avons installé les visuel du train L'Amiral. Le train touristique de la Gaspésie. Très dur physiquement, ce contrat demandait de la volonté, beaucoup de volonté. Une expérience inoubliable! Il y a eu les olympiades au camping Domaine de la Chute. Moment de réflexion qui nous amené vers notre roulotte neuve. Ce fut du grand repos. J'étais loin de m'imaginer ce qui s'en venait. Au mois d'août, juste après le décès de mon beau-père, il y a eu un répit au camping Plage Lac-St-Joseph. Une petite fin de semaine où j'ai ri, en compagnie de mon neveu Félix. Et puis il y a eu l'anniversaire de joanne. Journée magique, partagée avec des amis. De cette façon, je voulais lui rendre hommage. 40 années de bonne personne; 40 années de belle personne, ça se fête! Et puis il y a eu le camping à Lake Georges. Idée nous venant de Sylvain Germain. Malgré un terrain pas tellement moderne, avec peu de service, nous nous sommes amusés! Nous avons oublié nos tracas et ça, ça n'a pas de prix! Le jour où j'ai réussi à faire foctionner ma vieille découpeuse Roland. Après 3 semaines de bullshit informatique, doutant de mes capacités, tanné de sortir de l'argent, à force de me creuser les méninges, j'ai réussi! LE reste de l'année fut plus difficile. Le 20 novembre, j'apprenais avec horreur que ma mère était décomptée. Cet après-midi là, j'en ai profité pour discuter avec elle. Je lui ai parlé plus que dans le 5 dernières années. Ce moment me rend encore heureux. Ensuite, je crois que lorsque je suis allé la voir à l'hôpital avec mes enfants, le jour où je lui ai acheté le chat dansant. Son sourire de voir ses petits enfants... Et le 24 décembre, jour triste, mais encore une fois le sourire sur le visage de maman. Elle m'a dit qu'elle était contente. Même pas capable de se tourner dans son lit toute seule, mais contente d'avoir goûter nos petits plats. Contente de nous voir, contente d'avoir des décorations de Noël dans sa chambre et d'écouter des cantiques...Et je crois qu'un certains SPA avec mon beau-frère Patrice, au chalet à Stoneham.

mardi 7 janvier 2014

Début d'année

Comme je le disais avant le tournant de l'année, il fait bon de tourner la page sur 2013. Année parcimonieuse, remplie d'embûches, de détours et de douleurs! Rien comme toute l'actualité politique pour vous donner le goût de vomir! Et puis que dire de l'économie, vol gratuit en enfer où seul les plus vifs ne seront pas reconduits vers le bas. Récemment, j'ai été éprouvé par la perte d'un être cher et, au travers de mes réflexions, j'ai compris encore plus ce prendre le temps de vivre voulait dire. Car voyager près de 300 kilomètres par jour, sans faire un sou, ça devient vite étrange. Quand, à longueur de semaine, tu travailles d'arrache-pied pour arriver à tout payer et ne pas être inquiet, il finit par être stressant de dépenser, dépenser et ne rien ramasser! C'est là que l'énergie devient malsaine! Mais à plus grande échelle, c'est catastrophique! Alors pouvez-vous m'expliquer pourquoi certains de nos dirigeants, élus, n'arrivent à rien, ne font que dépenser notre argent, et que, personne ne fait rien? Si tu n'es pas capable d'au moins rembourser tes dépenses, vite, donne ta place! Bin non, ça se promène, le nez en l'air, injuriant les uns, distant une conduite aux autres. Sur quelle planète sommes-nous? Pouvez-vous me le dire? Je n'ai peut-être pas le pif pour faire de bonnes affaires, mais je ne suis pas ignorant au point de me laisser faire comme ça, jusqu'à la fin de mes jours!

samedi 4 janvier 2014

J'ai eu le temps de faire quelques bilans depuis un mois et force est d'admettre que ce fut une année coriace, remplie d'embûches! Et j'aurais aimé en faire beaucoup plus côté business. Mes objectifs furent atteints très tôt et je crois, que ce fut une bonne chose. Déçu de ne pouvoir en faire plus, mais heureux d'avoir accompli tout ce boulot. Car le dernier mois, décembre, fut d'une lourdeur... La perte de 2 être chers, comme nos parents nous a rendu la vie plus noire, plus difficile à comprendre. Bien au-delà de mon contrôle, j'ai tenu la barque. J'ai fait des choix, même si je ne voulais pas en faire. Et, je me promets de continuer de tenir la barque en 2014. De faire de mon mieux et plus! Mais je veux prendre plus de temps pour moi. Plus de temps avec mon épouse. Je suis fatigué, épuisé. Et puis, de voir sa mère souffrir, souffrir encore, alors qu'on peut soulager nos animaux de souffrances beaucoup moindre?! Qu'est-ce que la spasme de vivre? Je ne sais trop quoi dire. Le simple fait de pouvoir vivre est un miracle, mais de mourir... Je ne sais plus. Je m'arrête ce soir pour regarder derrière et, je constate que le temps des fêtes est terminé. Je ne l'ai pas vu passer! Maman nous a quitté le 31 décembre et le retour à la réalité est très dur. Il me semble que j'en aurais pris des congés. Je me serais organisé un peu de repos. Mais ce soir, c'est plus dur. Ça fait chier! Il y a tout l'amertume de cette descente aux enfers qui mine mon humeur. Tout le tumulte des événements qui racontent mon épuisement! Que me réserve 2014? Une année de sauvetage, un moment de répis. À bientôt!

Au revoir, Jacques…

6 degrés ce matin! Rendu en haut de la côte de l'aéroport, il s'est mis à pleuvoir! Mais c'était tout de même une fantastique ri...