lundi 30 avril 2018

Encore un peu de gris.

Lundi matin, le 30 avril. Il fait 4 degrés. Après trois jours de grisaille intense, il fait vraiment très frais ce matin, et encore gris. Je me dis que de sera une semaine occupée, mais merveilleuse. Remplie de belles rencontres, de beaux projets. Hier, j’avais l’impression de revivre! La dernière semaine fut terriblement dure physiquement, et, j’avais hâte de revenir avec plus de force, plus de lucidité. J’ai eu conscience d’un attentat à Toronto, mais à part ça, je n’ai pu que me concentrer sur le travail. L’arrivée de ma Douce en avance, jeudi dernier, m’a donné un nouveau souffle. Il est rare que je pousse autant mes limites, mais je ne regrette pas. Ce que j’ai réussi à faire, bien c’est fait. Quand je regarde tout ça, je suis vraiment content et ça m’encourage pour la suite, soit les préparatifs pour la belle saison. Mais je n’ai pas pu aller au Salon de l’AutoSport, la fatigue me terrassait tellement, je crois que j’ai quand même bien fait de rester au bercail et me reposer. Ce que j’ai fait hier. J’ai aussi réussi à mettre de nouvelles couleurs au vélo de ma Bibi. ALors je vais me concentrer sur ce qui s’en vient et tenter de me ménager un peu. Bonne semaine!

vendredi 27 avril 2018

Fin de l’hiver.

Enfin vendredi! Je peux dire que je suis fier de ma semaine. Encore une grosse installation ce matin, ensuite je pourrai continuer la production au bureau. Car l’ouvrage rentre par la grande porte, et c’est merveilleux! Trois degrés avec des nuages, il ne pleut plus. Hier nous fumes l’hôte d’un déluge incroyable! Les cours d’eau ont vraiment monté en niveau. Et la neige a continué de fondre! Plus je vieillis, moins j’aime l’hiver. On dirait que ça ne me rend plus heureux. Je n’ai plus le temps de jouer dehors, ni le goût. Les enfants ont grandi et ne sortent plus dehors, donc je pellete tout seul. Mais je réussis à aimer utiliser ma souffleuse. Et puis pelleter m’apporte son lot de réflexions. Pour le reste, nous n’avons pas patiné de l’hiver, aucune randonnée en raquettes, pas de glissades non plus. L’hiver fut une course, mais aussi une suite de journées sombres, sans soleil. Nos factures de chauffage euthanasiraient quiconque n’habitant pas au Québec! Bref, l’arrivée du printemps sonne la fin de cette torture, un mal nécessaire, où les gens ont réussi, plus ou moins à s’adapter. Je ne dis pas cela pour être négatif, je ne fait que constater l’étendue des dégâts. Ça fait six mois aujourd’hui que j’ai pris possession de mon petit camion. Eh bien, depuis que je l’ai, j’ai fait fonctionner la chaufferette tous les jours... Six mois! Et ce n’est pas fini. C’est un constat difficile à avaler, mais réel! Donc l’hiver aura duré six mois. Imaginez comme les première chaleurs, les premières journées ensoleillées peuvent nous rendre fous! Quand des gens de l’extérieur viennent ici, ou encore quand nous parlons climat à des gens du sud, ils nous demandent tous si nous sommes obligés de rester dans cet endroit... Mais si ce n’était que du climat... J’arrête ici, je ne veux pas gâcher mon vendredi!

jeudi 26 avril 2018

Go-go-Go!!!

Dans la saga je suis vraiment dépassé par les événements, nous en sommes rendus à jeudi. J’ai terminé à 22:00 hier. Je commençais à être un peu grognon. Mais j’y suis arrivé! Ce matin, avec huit degrés dehors et de la pluie, il fut plus difficile de se lever. Mais mon entraînement est fait, je vais bien, quelques raideurs, mais sans plus. Bien entendu, j’ai encore une journée à faire, mais je me sauverais en courant tellement j’aimerais mieux rester à la maison. Les trois derniers jours m’ont particulièrement secoué, mais je vais en ressortir plus fort. Je vais tellement être bien en fin de semaine, ce sera merveilleux! Et je suis plus distant de l’actualité! Pour mon moral, c’est tout à fait merveilleux! J’ai beaucoup d’installation à faire aujourd’hui, et ma Bibi revient enfin! De quoi me mettre un beau sourire dans le visage! Je dois me motiver énormément, utiliser un peu de méditation pour calmer l’état de panique en moi et récupérer l’énergie positive qui traîne autour. Je m’empresse de le faire aussitôt que je termine ce texte, car il faudra encore pas mal d’énergie pour passer au travers de cette journée. Je tiens tout de même à donner toutes mes sympathies aux proches des victimes de l’attentat de Toronto. Encore un carnage inutile qui ne fait que mettre de l’huile sur le feu! On se reparle quand j’aurai un peu plus de temps.

mercredi 25 avril 2018

Vraiment dépassé...

Eh bien, j’espère que ma journée sera moins dure que les deux dernières! J’ai moins mal aux mains pour écrire, mais j’ai mal à peu près partout. Je ne suis pas habitué de me sentir ainsi. Il faut croire que j’ai outre passé mes limites physiques. Alors je vais tenter de faire une journée un peu moins dure, tout en rencontrant mes objectifs. Lesquels seront respectés, comme hier. Mais j’ai vraiment hâte que la semaine soit finie. On est seulement mercredi matin, mais on dirait que j’ai fait mon 40 heures! Et c’est comme si j’avais creusé un tunnel au pic et à la pelle pendant ces 40 heures. Une chose est sûre, ce genre de journée garde le volcan intérieur plus tranquille une fois la journée terminée. Je me suis endormi et c’est mon cadran qui m’a réveillé. Rare sont les fois où ça arrive. Mon sourire, je le sens vieux. Mais je continue, je veux terminer ces engagements. Ce soir, j’ai un camion à lettrer pour le Salon de l’AutoSport. Sans oublier que ma sœur vient en PM pour un peu de comptabilité et la fermeture du premier trimestre, déjà! On dirait que je n’ai pas vu les trois derniers mois. Que se passe-t-il? Le temps me rattrape drôlement, je commence à croire que je ralentis. Mon entraînement de ce matin m’a demandé énormément de jus, je me sentais vidé. Pourtant, ça m’a aidé à me réveiller, à me dégourdir. Car à mon réveil, j’avais certaines parties de mon corps qui semblaient ankilosées. Je ne dis pas que je n’arrivais pas à les bouger, mais disons qu’il eut été facile de me dire de laisser faire! Mais comme mon entraînement quotidien fait partie de mes loisirs, alors je me suis dis que personne n’allait m’empêcher d’atteindre cette plénitude et je me suis dirigé vers mon vélo. Encore pas mal sombre dehors, mais ça s’en vient. J’ai bien hâte de pédaler dehors. Encore quelques préparatifs dans ma routine et je serai prêt. Le Cyclo-Défi est dans deux mois et demi. Incroyable quand on y pense, à voir la neige partout, et la chaleur qui ne fait que commencer à montrer le bout de son nez. Mais tout arrivera en temps, car les saisons se suivent, mais ne se ressemblent jamais. Assez divagué, le travail m’attend!

mardi 24 avril 2018

Je tire un peu de la patte

Des fois il faut se botter le derrière et se dire qu’une fois parti, ça va aller. Comme la journée s’annonce aussi bien remplie que celle d’hier, j’ai commencé à me botter tout de suite, me disant qu’une fois la journée enclenchée, tout ira bien. Je tape sur les touches de mon clavier et ça me fait mal aux mains! Je dois encore finaliser un tas de choses aujourd’hui, ils sont tous livrables cette semaine. Quatre pour demain, un pour jeudi et un autre pour vendredi. Nom de dieu, je ne suis pas prêt. Alors je vais mettre les bouchées doubles. Et puis il y a ce temps que je dois mettre sur les voitures avec l’arrivée soudaine du printemps. Pneus et roues d’été, essuie-glaces neufs, tapis de saison. Hier, j’ai mélangé le tout pour pouvoir y arriver, mais ce matin, je ressens que j’ai exagéré pas mal. Je laisse la journée suivre son cour, on verra bien. Une chose à la fois, de toute façon, je vais passer au travers. Et les enfants ont de l’école, cela va moins me distraire. Ce n’est pas une défaite, car je suis capable de me distraire tout seul. N’empêche que j’ai hâte de me reposer un peu, laisser le temps filer un peu, le laisser prendre un peu d’avance... Ensuite je reviendrai en force. Mais je suis content de ma journée d’hier, j’ai vraiment été efficace! On s’en reparle pour voir si j’en ferai autant aujourd’hui!

lundi 23 avril 2018

Encore une autre semaine.

Déjà lundi! Moins deux degrés, il fait clair dès 5:30. Hier nous avons eu une superbe journée ensoleillée. C’était presqu’un miracle! J’en ai profité pour enfin m’occuper de ma soeur un peu. Alors que mon épouse est partie très tôt pour une clinique à Témiscaming, j’ai pris le temps d’installer les pneus d’été sur la voiture de ma soeur, nettoyer ses freins, poser du pare-pierres sur les marche-pieds, changer un essuie-glaces, et quelques autres détails. Ensuite j’ai entrepris de décrasser un peu mon camion. QUelle joie de s’asseoir au soleil et de trouver que ça me chauffe le visage. J’espère qu’il fera aussi beau aujourd’hui! En fin de journée, hier, j’en étais à poser mes propres pneus d’hiver, livrés par François. Dès la première roue, j’ai dû abandonner, ayant brisé deux «studs». Mais le plus dur fut de retirer la roue qui était retenue par un seul écrou. Une fois la corvée terminée, j’ai tout ramassé et je me suis dit que demain irait mieux. Un bon SPA, un peu de télé et au dodo! Quelle belle journée ce fut! Aujourd’hui, je vais devoir reprendre le boulot où je l’ai laissé vendredi. Mais je me promets de sortir dehors, de faire encore des choses pour moi. Les enfants ont une pédagogique, Joanne est partie pour la semaine, à moi de finaliser certains trucs. Et puis, le salon de l’Autosport, c’est en fin de semaine. Je me motive à atteindre tous mes objectifs, ensuite on verra! Des fois, après un seul appel, la semaine devient un tout autre challenge! On se reparle!

dimanche 22 avril 2018

Ouf!

Au sortir d’un quatrième événement de financement pour le Cyclo-Défi Endbridge, je commence à trouver que c’est assez. Il est facile de dire que les gens passent leur temps à «quêter» de l’argent, mais le problème reste entier : où va notre argent, celui qui est injecté dans le «système» de santé? La recherche passe par les dons, par des levées de fonds, par la volonté des gens! Et tout l’argent que ces gens ramassent, eh bien, elle sert pour financer des projets de recherche. Donc les milliards que nous «investissons» chaque année dans la santé, servent à autre chose? Des salaires? Des tables luxueuses? Quoi d’autre? Nous on donne par le biais de nos impôts, par le biais d’innombrables taxes, mais il faut aussi donner par d’autres moyens comme des fondations! Des argents ramassés au compte-gouttes, par du monde qui croient qu’on peut faire une différence. Hier, après une journée entière de financement, où 40 bénévoles ont travaillé sans relâche, où 16 équipes de hockey ont joué pendant 12 heures, et secondée par un encan chinois et un souper spaghetti, nous avons accompli un miracle. Vers 21:00, un montant de 19 000$ fut annoncé! Imaginez la corvée! Des gens se sont investis pleinement à organiser cette journée, et je leur lève mon chapeau! Quel accomplissement! TOus les sous iront pour la recherche contre le cancer. Complètement génial! Bien sûr, nous sommes une équipe de quinze cyclistes, qui pédalera de Montréal vers Québec, les 7 et 8 juillet 2018, mais nous sommes avant tout des gens qui veulent montrer au monde qu’il est possible de faire une différence! La lutte contre le cancer, c’est un combat qui doit se terminer le plus tôt possible! Toutes les personnes que je côtoie connaissent ou encore, sont victimes de ce fléau! Ensemble, sans prétention autre que le don de soi, nous pouvons y arriver! Aidez-nous à enrayer ce monstre latent, qui surprend des milliers de gens chaque jour! Montrons-lui que nous sommes les plus forts!

vendredi 20 avril 2018

Oui monsieur!

Vendredi matin! Alors que je me suis demandé toute la semaine comment j’allais faire pour arriver dans les temps, nous voilà rendu à l’échéance de cette semaine, et, ma foi, je sens que je vais y arriver! Comptable ce matin, il commençait à être le temps! Ensuite quelques clients à voir sur la rive sud. Je reviens dîner et je continue en production au maximum jusqu’à 17:00. En même temps, je termine les préparatifs pour le Défi-Hockey de demain. Une pure journée de travail, qui ne demande qu’à être complétée! Reste à fouiller dans les réserves pour y trouver suffisamment de gaz... Parlant de gaz, son prix ne redescend pas vite. À croire que ce sera l’été de l’écoeurite. Comme un certain été, dans le bout de 2005, alors que le gouvernement avait fixé un prix plancher très haut, soit 77,2 cents le litre. J’ai bougonné tout l’été! À presque le double après treize ans, y a des raisons de se demander où on s’en va avec ces stratégies. Car rien ne justifie un tel prix. À part un cartel! Et comme nous sommes sous dictature douce, il n’y a rien à faire! Autant penser à des choses plus joyeuses comme nos accomplissements. Car inutile de regarder combien nous réussirons à faire d’argent, les dirigeants se servent à mesure dans nos poches, sans crier gare! Donc aussi bien rester calme, se déboucher un relaxant musculaire et oublier tout ça par moments. Ce sera meilleur pour notre santé mentale, et cela rallongera notre espérance de vie! Enfin, je l’espère! Car vivre avec cette éternelle pression de la part de nos dirigeants impose un stress destructeur. Avoir des absences de temps en temps ne peut qu’être curatif! Comme nous sommes vendredi, ce soir sera un moment d’ignorance des taxes et de la gestion de l’offre...! Bon vendredi!

jeudi 19 avril 2018

Un peu étourdi...

Plus la semaine avance, plus je suis fatigué pas mal trop. J’ai peur de faire des erreurs et je suis tanné de me faire dire comment penser et comment respirer... Ma journée d’hier fut merveilleuse, l’accomplissement d’un travail unique, achevé sur une voiture unique. Cette voiture ira au Salon de l’auto sport, la semaine prochaine. J’aimerais que mes journées ressemblent plus souvent à ça. Mes délais se rapprochent vraiment pour ce qui reste à faire, et je me sens distrait et peu enclin à optimiser mon énergie. Parlant d’énergie, ces jours-ci, je la cherche. Est-ce le manque de soleil? Je me sens étourdi, traînant de la patte. Je souhaite de revoir le soleil bientôt, car dans mes réserves, il n’y a pas grand chose et ça parait dans mon visage, malgré un sourire, que je suis au ralenti. Je cherche des solutions, comme la méditation, pendant laquelle je peux aller «chercher» une autre énergie qui me permettrait de finir la semaine en beauté. SI l’organisation du Défi-Hockey peut arrêter de m’en rajouter, le stress arrêterait de m’asticoter! Quelle organisation de dernière minute! De plus, comme c’est une activité de financement, menée par des bénévoles, il est difficile de dire quoi que ce soit. Et, cette activité est en collaboration avec des membres de la famille, alors il faut bien jauger notre discours. Mais pour l’instant, je dois m’y mettre dans ce jeudi, parce que ce matin, je vais installer dans une résidence de personnes âgées. Ce que j’ai à installer est vraiment en dehors de ma zone de confort. Des plexiglass avec «spacers» et des appliqués transparents, que je dois coller avec du «jus». Des choses que je ne fais jamais. Je vais prendre ça une minute à la fois...

mercredi 18 avril 2018

Milieu de semaine

Ouf! Mercredi matin, ça fait deux jours qu’il neige, mouille, verglasse et\ou tombe quelque chose. Un degré au compteur, je me sens comme un vendredi soir, d’une semaine où j’ai tout donné... Mercredi matin! Ouin, va falloir se botter le cul. Je me disais qu’une fois certaines jobs terminées, les choses se passeraient bien mieux, que ça serait moins pesant, moins comme une hantise... Mais il y en a d’autres qui arrivent. Mais il y a aussi de beaux projets qui se matérialisent tranquillement. L’autre jour, alors que je discutait avec Gaetan, il me faisait part de ce fait: combien d’années vas-tu encore travailler autant? Quand tu n’es pas au bureau, ce dernier est fermé. Les délais te courent après, jour après jour! Une pression qui se manifeste un peu partout dans ton corps, dans ton humeur. Penses-tu à une solution autre pour tes jours plus vieux? À vrai dire, je commence à ressentir que je n’ai plus la même énergie qu’avant. Que je ne récupère plus aussi vite. Que mon entraînement ne me rapporte plus autant. Mais il y a aussi un manque de soleil chronique. Nous vivons depuis des mois sous un ciel nuageux. Ça finit par être vraiment épuisant. J’ai hâte de me «recharger», de ressentir les bienfaits de la lumière! Ça fait deux soir en ligne que je travaille jusqu’à 20:00. J’espère que les choses vont ralentir un peu d’ici samedi. Car samedi se veut une grosse journée, à laquelle je suis impliquée. Un autre événement de financement au profit de la recherche contre le cancer. Et dimanche matin, ma douce part pour une semaine à l’extérieur. Et aussi le fait que tout le monde sauf moi a  le rhume dans la maison. J’en ai plein mon cass! Anyway, je dois continuer à travailler, c’est bon pour la santé et le moral!

mardi 17 avril 2018

Pensez bien avant d’agir.

Bizarre de journée hier. Une avant-midi où je me cherchais, entièrement contrarié...Ensuite, le reste de la journée fut trop court. Dîner avec JP, production, débouchage du drain avec Martin et installation après le souper. Et quel vent hier! Conduire devenait stressant. Arrêté à une lumière, je me demandais si mon véhicule n’allait pas virer sur le côté! Et puis, la journée s’est terminée avec une bonne jasette avec Michel. Me revoilà reparti en grande, prêt à abattre de l’ouvrage. Le Salon de l’auto sport commence à me donner un peu de stress. Et les contrats printaniers arrivent. Ce sera encore une belle année. Incroyable quand même de constater que les gens continuent de courir, de poursuivre leurs objectifs. Pourtant le climat économique est très difficile. Peut-être aussi que c’est une façon de dire à nos dirigeants qu’ils n’en ont rien à foutre de leur façon de «diriger». Taxons, retaxons et taxons encore! Il y a des taxes dont nous n’avons pas idée de leur existence! Par contre, eux, le savent très bien et récoltent! Le prix de l’essence les arrange vraiment beaucoup, plus il est haut, plus il rapporte des taxes! On nage dans les taxes! C’est la façon de faire de l’économie au Québec! Quand j’étais petit, la devise était «La belle province». Les gens étaient fiers de leur province, ils en prenaient soin. En tenant compte de leurs connaissances de l’environnement. À la fin de l’année, ils leur restaient de l’argent pour accomplir certaines choses. Aujourd’hui la devise est «je me souviens». Je me souviens que c’était agréable de rester ici. L’entraide et l’hospitalité ont disparu des valeurs fondamentales des gens. Maintenant, c’est chacun pour soi, quitte à poursuivre l’autre pour y arriver! Le tribunal populaire est très actif sur les réseaux sociaux et il ne faut pas marcher trop en diagonal, car devenir le «condamné» est plus facile que de demander de l’aide! Alors prenez gare, vous ne voulez pas être trop «populaire» sur Facebook, le vent tourne très rapidement... À bientôt!

lundi 16 avril 2018

En questionnement.

Des fois, il faut plus que des encouragements pour arriver à nos fins. Il faut plus que des coups de pieds au derrière. Des fois, il faut se remettre en question, se demander pourquoi on est sur cette terre et à quoi on sert! Je ne dis pas que c’est tous les jours comme ça. Mais il y a des journées plus difficiles que d’autres. Il y a des moments où on n’en peut plus de vivre cette vie, cette course contre la mort, où chacun se mesure contre une base! QUelle base? QUelle mesure? Dans un sens, ça conserve une certaine volonté d’agir, mais surtout, ça use prématurément son homme. Et puis, à quoi bon arriver le premier dans son cercueil? À quoi bon être le plus riche du cimetière? Donc il faut prendre le temps de vivre, prendre le temps de s’aimer! Arrêter de vouloir toujours en faire plus. Je ne parle pas de ceux qui ne font rien de leurs journées, je parle de tous ceux qui ont le cœur de se lever chaque jour pour accomplir quelque chose. Je parle de ceux qui sont coincés dans cette société de plus en plus taxée. Je parle des gens que les dirigeants pressent comme de citrons. Si le cœur vous en dit, chantez, dansez, mais ne lâchez pas! Bon lundi!

vendredi 13 avril 2018

Allez, on se concentre!

Enfin vendredi! Les semaine grossissent et je commence à trouver que ça va être une autre année magnifique. Fatigué ce matin, mais heureux. Heureux que la semaine finisse, heureux de voir que ma blonde se sépare de son rhume, heureux d’être content! Avec un doux matin nuageux, le silence me dorlote tranquillement  avec une tasse de café. Je parcours les touches de mon clavier en me disant que je n’ai qu’à suivre mon plan de match de la journée. Il y’a trois possibilités, selon la vitesse que je réussirai à avoir. Cela dépend de la circulation, de mon état en général, de bien des facteurs! Mais le plus beau dans tout ça, c’est que je vais être content pareil! Content et fier de moi. Hier soir, en revenant de l’épicerie, quel affront ce fut de voir encore une fois, les Couche-Tard instiguer une augmentation du prix de l’essence! Un dollar et trente-six sous le litre! Comme ça, comme si cela ne changeait rien à nos vies. Pourtant, chaque fois que ça arrive, le gouvernement reprend encore plus d’argent dans nos poches, les livraisons augmentent, le prix des aliments augmente, tout ce qui est transporté augmente! Tous les produits qui sont indirectement reliés par leur production au pétrole augmentent! ALors j’ai pris sur moi, avec de longues respirations, comprenant encore une fois que je n’y pouvais rien. Continuez de nous presser comme des citrons, vous ne gagnerez pas. Mes enfants vont partir d’ici. Vous nous aurez bien eu, nous les «X», mais votre dictature prendra fin un jour. Malheureusement je n’ai pas ce qu’il faut pour changer quoi que ce soit. ALors je vous souhaite un bon vendredi, il faut voir le beau dans tout!!!

jeudi 12 avril 2018

Que faire?

J’en suis à cette réflexion: Fermer mes œillères au maximum, mettre de côté l’actualité et la politique, me refermer un peu sur mes objectifs, prendre plus de temps pour moi. Ceci dit, ce serait de grands changements dans ma vie. Car la course des derniers jours m’a épuisé et j’aimerais ralentir un brin. Il reste encore pas mal de choses à accomplir avant l’arrivée de l’été et je ne vois pas le bout. Étouffé par les responsabilités familiales, je ne sais plus trop où donner de la tête. Par dessus tout ça, les engagements personnels comme la chambre de commerce, la recherche contre le cancer, j’en ai plein les bras. Je voudrais prendre du temps pour m’entraîner d’avantage, prendre soin de moi un peu. Je me sens en pleine effervescence, mais incapable de libérer cette énergie. Trop de trucs à terminer, trop besoin de concentration, je n’arrive pas à me libérer la tête. Pourtant je n’ai pas changer grand chose dans mes habitudes. Mais la vitesse change constamment. Je me demande quand tout cela va ralentir. Je me souviens avoir eu une conversation là-dessus dans le passé, qui date d’au moins quinze ans; à savoir combien de temps la société continuera de courir ainsi. Courir pour tout faire, courir pour arriver à la fin du mois, courir parce que trop de chose à l’horaire, pour arriver en même temps que les autres à Noël! Et puis quoi d’autre? Des contrariétés sans cesse, dans lesquelles je recherche et trouve de bons moments pour réussir à continuer encore et toujours! Aujourd’hui c’est la fête à mon plus jeune, seize ans! Je ne le verrai pas tellement, école et théâtre ce soir, je vais l’arracher de son lit comme à chaque matin, et il va se coucher en revenant de son activité, brûlé raide. Et on continue de courir. Je ne sais plus quoi faire, mais ce sentiment d’être coincé me ralenti, m’irrite au point de n’être plus capable d’avancer aussi vite qu’avant. Je continue ma réflexion!

mercredi 11 avril 2018

Dépassé...

Ce matin, alors que je n’ai pas vraiment de temps, je veux tout de même écrire. Écrire sur la vie. Avec mes trois enfants, le plus vieux est asperger, celle du milieu est TDAH et le dernier est transgenre. La vie ne manque jamais d’action! Tellement que, des fois, ça en fait trop. Et puis, j’ai le bonheur de partager ces trois enfants avec une épouse merveilleuse! Il faut savoir que dans mon enfance, il n’y avait pas d’enfants avec des diagnostics, il y avait les «bolés», les enfants à problèmes, les turbulents et les abusés. Quand vous décidez d’avoir des enfants, vous n’avez aucun moyen de savoir quel sera leur parcours. Pas plus que vous n’avez pour savoir la météo! Vous continuez d’évoluer, car oui, même si des fois vous pensez que vous n’êtes rien d’autre que des parents, au fond de vous demeure la personne que vous êtes! Et cette personne a des objectifs précis de carrière, des buts à atteindre. Et quand la cavalerie infantile arrive, il se peut que tout ça soit chambardé! Certaines gens semblent peu affectés par ce phénomène, d’autres un peu trop. Comme je le répète souvent, il faut trouver l’équilibre. Et ceux qui croient qu’il y a une conciliation «parents\travail», eh bien oubliez ça tout de suite, c’est un expression inventée pour vous faire croire qu’il y a un équilibre entre le travail et la vie familiale! Parfois, il faut se tenir droit dans cette gestion du chaos! Ces jours-ci, alors que j’ai des objectifs précis, je me sens complètement dépassé par cette tempête et je rendrais les armes volontiers. Je n’ai plus tellement de patience, plus tellement d’énergie. AU travail, j’ai perdu en vitesse, mais le rendu est encore bon. J’essaie de calmer, de me dire que je vais y arriver, mais le retard continue de me suivre et je dois trouver une solution, et vite! Alors je dois retourner chercher des solutions, on se reparle bientôt.

mardi 10 avril 2018

Difficile de trouver l’équilibre.

Bin tanné d’avoir des personnes malades à la maison. Rhume débile qui fait tousser la nuit, symptômes de grippe sans fièvre, la plus vieille qui manque l’école, etc. Comme je suis mon propre patron, je suis très sollicité ces jours-ci. Le téléphone «dégèle» pas mal aussi, c’est merveilleux, mais ça ne me donne pas plus de temps. Bref, je cherche des solutions pour m’endurer et passer au travers! Aujourd’hui, il fait encore moins treize degrés, je dois me concentrer sur le «wrap» du véhicule que j’ai préparé hier. Il sera beau et j’ai très hâte de commencer. Vendredi dernier, je me suis épuisé à compléter ma journée, pendant laquelle j’ai «wrappé» un camion. Le manque de place autour du véhicule, le fait que les employés ouvrait souvent la porte, tout ça m’a donné du fil à retordre. SI bien que ça m’a pris une heure et demi de trop. De quoi me faire réaliser encore plus que l’environnement de travail, la préparation du véhicule, la température ambiante, sont des facteurs primordiaux à une réussite dans ce type de projet. Et hier, la journée fut très bien remplie; j’ai terminé à 20:00. Avec tous ces appels, je n’ai pas réussi à rencontrer mes objectifs. Mais ce fut tout de même une réussite. Je pense avoir fait le maximum, malgré une certaine tension qui me tiraillait. Donc on repart, avec une nouvelle journée, de nouveaux objectifs. Histoire d’une semaine qui passera vite en mautadine. En fin de semaine, nous fêtons le plus jeune, ce sera un samedi bien garni. J’ai fait exprès de ne pas trop me renseigner sur l’économie et la politique, comme ça j’ai pu me garder un d’énergie «extrême» pour passer au travers de ma semaine. À bien y penser, tout est une question d’équilibre, et j’ai du progrès à faire encore de ce côté là. Vive la musique, vive la vie!

lundi 9 avril 2018

Lundi matin.

CE matin, presque content de retourner travailler tellement la fin de semaine fut courte et bien remplie. Impossible de se reposer vraiment avec tout l’action qui s’est passé! Mais je suis content des résultats. Des enfants heureux, une levée de fonds exemplaire, une cour bien déneigée, de bonnes discussions avec des amis, et du temps avec ma Bibi! Mais tout ça demande une certaine dose d’énergie. Et c’est aujourd’hui que je refais le plein. Si j’ai l’occasion d’aller au soleil, je ne demande pas mieux! Moins treize degrés ce matin, j’ai vraiment hâte d’aller faire du vélo dehors. L’air frais, la tranquilité, la paix. Accueillir la vie chaque matin en écoutant les oiseaux, en se concentrant sur l’essentiel! Oui ça prend de la volonté pour le faire, chaque matin, mais j’en ai besoin. Je trouve que ça commence bien une journée de travail. D’ailleurs, une fois en congé, je ne me lève pas si tôt, je ne pars pas en vélo aussi tôt. Je préfère me lever vers 7:30, prendre le temps d’un petit déjeuner, et me préparer doucement. Ensuite je suis prêt pour 30 à 50 kilomètres de bonheur. N’empêche, le fantôme du lundi matin est toujours là. Il nous attend avec sa routine. Il sait que nous nous efforçons de se départir de cette dernière pendant deux jour ou plus. Il sait que parfois, ça nous contredit de se lever, commencer une nouvelle semaine. Il sait aussi que nous aurions prit une journée de plus de congé. Mais une fois qu’on l’a rencontré, une fois que la glace est cassée entre nous deux, ça va déjà mieux. Il suffit de se botter un peu le derrière et la routine revient par elle-même. Ensuite c’est plus rassurant, plus libérateur de continuer sa journée. Mais ce lundi-ci est un peu différent avec une réunion à 7:45. Les gens d’affaires de Val-Bélair ont besoin de nouveaux membres et de gens prêts à nous aider sur le comité administratif. Comme je suis encore président, je veille à ce que ça marche pas tout croche. Je m’intéresse à ce que les autres font, à ce qu’ils ont à me montrer. Depuis que j’ai fondé, avec 12 autres personnes, cette association, j’ai appris beaucoup de choses. Et il est bonifiant d’apprendre des autres, de leurs expériences. Y a rien comme apprendre, savoir que la vie n’est pas finie. QU’il nous reste encore des trucs à voir, des choses à faire! Recevoir un apprentissage des autres et partager ses connaissances avec les autres, voilà qui est merveilleux! On s’en reparle.

vendredi 6 avril 2018

Un bon vendredi.

Moins quinze en ce vendredi matin, le 6 avril. Un peu trop frette à mon goût! Je dirais même que c’est atroce! Méchante température de bouffon. Enfin vendredi dans notre blitz de 5 jours en quatre. Ça va faire du bien d’arrêter un peu. J’essaie de ne pas trop courir, mais il y a toujours des limites à attendre. Toutefois, bien se calmer un vendredi soir, ça m’apparait une bonne idée. Comment y arriver? S’assurer de ne pas conduire, et prendre des relaxants musculaires...Tout ce qui ralentit le système est le bienvenu! Le vendredi, même si le jour suivant sera bien rempli, est comme un panneau de signalisation qui nous demande d’arrêter. Appuyer sur les freins et se permettre une pause. Parfois, les semaines sont plus longues et le stress vient nous pièger! Ce sont des vendredis plus durs. Des fois, je sens que je devrais me coucher avant le souper! Une petite bière et «pop!», bonne nuit! On est fait plus dur que ça vous me direz, mais des fois la réalité nous rattrape. Il faut faire attention à soi. En faire un peu moins, courir au ralenti. Je dis ça et je suis le premier à en faire beaucoup, souvent un peu trop. Mais à force d’en parler, d’écrire, de dessiner, certaines émotions qui nous tiraillent finissent par s’en aller. L’entraînement aussi donne une chance, laissant peu de place au surplus d’énergie négative qui parfois ruine nos journées! Aujourd’hui je vais envelopper un véhicule chez le client. Le genre de job qui calme son homme. J’ai hâte de commencer. J’en ai un autre la semaine prochaine, ça va permettre aux coffres de se regarnir. À plus!

jeudi 5 avril 2018

Encore!

Eh bien! Comme l’an passé, il a neigé hier! Une vraie tempête avec du vent! Au moins neuf pouces de neige et un vent glacial ce matin! Il fait moins onze degrés, pas vraiment de soleil. Issh! Incroyable comme contraste encore une fois! Mardi soir, j’étais dehors, quatre degrés, pas de vent, il faisait beau. C’est le climat du Québec! En 1975, c’était la tempête du siècle! Les viaducs bouchés, rien n’allait plus! Imprévisible cette dame nature! N’empêche, on était bien, la neige disparaissait de plus en plus vite. Mais il ne faisait pas si chaud, pas de journée à dix degrés. Ce matin, c’est un matin d’hiver! Je viens de mesurer le tout, neuf pouces de nouvelle neige! Elle ne va pas fondre, car il annonce froid jusqu’à lundi prochain! Et la journée d’hier, sabotée par une partition d’un système Macintosh qui a foiré. J’ai hâte de voir aujourd’hui si je vais apprécier ce que j’ai réussi à reconstruire. Bref, il faudra se concentrer sur les objectifs à atteindre, car la saison douce va retarder encore un peu! La bière sera bonne demain soir! EN interrogation sur ma journée de demain. J’ai un wrap complet à faire, moins quatorze en commençant. Il faudra que le client accepte de laisser le véhicule à l’intérieur, le contraste sera trop intense! Je me serais passé du froid; la neige, ça peut aller, mais encore du froid, je croyais avoir donné suffisamment cet hiver! Et puis, les factures de chauffage... Au moins j’aurai évacué tout mon chiaulage ce matin! Maintenant, convaincre les enfants de s’habiller chaudement, car hier, ce fut une journée de congé forcée. Et le temps qu’il fait dehors en ce moment n’a rien à voir avec hier, et encore moins avec mardi! Bon je ne veux pas être précipité, mais le devoir m’appelle, à plus!

mercredi 4 avril 2018

Yes!

Tsé quand tu te demande si ta journée de la veille, c’était pas deux jours? Ouin... Pourtant, pas si pire en forme ce matin, prêt à attaquer cette journée de tempête de neige. Il fait moins quatre degrés, la visibilité dans le rond-point est faible, m’étonnerait pas que les écoles soient fermées! Il fait plus froid que prévu, je ne crois pas qu’il va mouiller. Hier soir, nous avons discuté, quelques entrepreneurs et moi avec M. Caire, notre député de La Peltrie. Difficile pour un politicien, de nos jours, de nous convaincre qu’il va y avoir du changement, alors que les quarante dernières années nous ont démontré le contraire. Et ce fut bien plaisant. Chacun avait son mot à dire. Chacun avait sa façon de parler. Et tout se faisait dans le calme, il était possible de se parler sans crier. Petit souper à la Cage, aucune pression. Certains avaient amené des notes, en avaient gros sur le cœur... Mais tous s’entendaient pour les mêmes choses. Je ne suis pas le seul à avoir des interrogations; je ne suis pas le seul à être outré. Je ne suis pas le seul à se demander pourquoi il ne me reste jamais d’argent à la fin d’une année! Ça fait du bien de ne pas se sentir comme un extraterrestre! Au sortir d’une petite soirée comme ça, il faisait bon d’avoir un sentiment d’être compris. De savoir que d’autres personnes aussi, se posent des questions, en ont plus qu’assez des aberrations gouvernementales. Tannés d’être malmené par le Maîîttrrre, à bout de souffle des taxes libérales. Peut-on vivre sans devoir se cacher? Cacher qu’on est heureux, parce que les dirigeants, voyant notre sourire, se demanderont s’il nous reste de l’argent! S’ils ne nous ont pas oublié dans leur session de pressage!!! Bref, rencontrer des gens qui sont encore sensibles face à la vie en société et ce que ça implique! Des gens qui, comme moi, doivent savoir qu’est-ce qui se passe dans leur entreprise pour assurer sa survie! On s’en reparle!

mardi 3 avril 2018

On reste aux aguets

Alors que nous nous dirigeons tous vers une autre campagne électorale, rien ne va plus! On dirait que tous les élus en place ne savent plus de quoi ils parlent! Les libéraux saupoudrent partout, certains applaudissent, d’autres sont en furie! Et il y a les habitués jamais contents qui ne seront jamais contents! N’empêche que nous ne sommes pas sortis de l’auberge! Quel beau spectacle! Chaque parti continue de casser du sucre sur le dos des autres au lieu de nous proposer des nouveautés, des solutions concrètes! Il n’y a pas vraiment de bon choix. Pas de solutions avantageuse à court et moyen terme non plus! Dommage! Ce n’est pas en parlant contre son adversaire qu’on devient meilleur. Les médias peuvent maquiller tout ça et en faire une réussite, mais comme ce n’est que de la fumée, rien ne changera... DIfficile de prendre parti, difficile de savoir qu’est-ce qui est le mieux pour l’instant, que faire? Je vais continuer de me concentrer sur ce que j’ai à faire, ensuite on verra. Mais la porte reste ouvertes aux négociations, il n’est jamais trop tard pour faire une bonne action, apporter aux citoyens une bonne nouvelle! Redonner aux gens le goût de vivre en leur redonnant leur argent! Assez de ces taxes! Soyez imaginatifs, pour qu’enfin, notre province redevienne «La belle province». Bonne semaine!

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...