mercredi 30 novembre 2016

Milieu de semaine

On peut dire que le blitz d'avant les fêtes est bel et bien commencé. J'ai du travail jusqu'à Noël et ça semble parti pour continuer encore longtemps. Et je ne fais aucune publicité. Je m'applique pour chaque job et je suis honnête avec mes clients. Mais cette semaine, j'ai fait plus d'erreur que d'habitude et j'ai fait des gaucheries un peu tannantes. Je sais, je suis capable de me retourner sur un dix cents, mais l'énergie est très basse ces jours-ci et j'ai de la difficulté à prendre le dessus. Mais je me sens mieux qu'hier matin. Beaucoup de choses à faire ce matin avant d'aller chercher ma douce à l'aéroport. Ensuite un client vers 13:00. Je me demande ce que j'aurai le temps de faire après. Conférence sur l'économie dès 18:00. La journée va passer vite. Le casse-tête depuis des années, par où commencer? Je me laisse des notes un peu partout, j'essaie de ne rien oublier, mais c'est difficile. Parfois il faut se restreindre et j'ai l'intention de le faire plus souvent. Car je veux pouvoir continuer de servir mes gens encore longtemps. Les faire attendre ne donne rien. Ni pour eux, ni pour moi. N'empêche, être entrepreneur, père et mari nécessite bien des années de pratique et je ne crois pas que j'aurai assez pratiqué avant longtemps! Alors on s'amuse lorsqu'on le peut. À plus!

mardi 29 novembre 2016

Du repos s.v.p.

Ouf! Je suis raqué ce matin! J'ai eu de la difficulté à me lever. J'ai fini à 19:00 hier. Une grande journée pour un lundi. En espérant trouver un peu de repos dans le reste de la semaine. Ce n'est pas de travailler qui est dur, c'est de recommencer après avoir pris un temps d'arrêt. Mais ce temps d'arrêt est nécessaire. Trop fatigué, les décisions ne se prennent plus, où elle se prennent mal. Pourtant, je devrais m'en rappeler, j'ai beaucoup d'expérience dans ça. Mais une fois dans l'arène, je suis actif, prêt à donner tout ce que j'ai. Mais une fois arrêté, des fois je me rends compte que ça va pas mal vite. Que je commence à ralentir. Oh je crois que je dois prendre ça en considération. Pas de façon à tout arrêter, ni de tenter d'en faire plus sous prétexte d'orgueil mal placé. Non. Prendre un recul et établir des stratégies pour me ménager. Car comme je l'ai dit, une fois dans l'arène, j'attaque. Mais il faut trouver un équilibre. Quand je dis que les décisions se prennent mal, j'entends par là que le contexte présent d'un état de fatigue extrême, on n'a pas l'esprit assez clair pour prendre des décisions pour du moyen terme. Il vaut mieux prendre un peu de repos, visualiser l'ensemble de nos intérêts, de nos objectifs, et y réfléchir une fois l'esprit plus ouvert. Car une fois éprouvé, le corps et l'esprit se referment pour se protéger ou ils se retrouvent sans défense. Dans les deux cas, toute décision ne peut être constructive. Ça m'a pris pas mal de temps à comprendre tout ça. Mais je peux vous assurer que c'est la vérité. Sans défense, une personne sera facilement influençable, ses décisions auront tendance à suivre la première solution qui se présentera, peu importe laquelle. L'esprit recroquevillé, elle ne voudra pas avancer, aura peur de faire des choix. Du coup, elle devient une proie facile pour qui a besoin d'un bouc émissaire! À vous d'y penser!

lundi 28 novembre 2016

À n'importe quelle ville.

À entendre et lire certains médias, je dois dire que notre PM vit une aventure, mais il n'est pas connecté avec nous. Je ne célèbre pas le décès de quelqu'un, mais je n'encenserai pas non plus la vie et les actions d'un dictateur. Ici, à n'importe quelle ville, les gens pensent que les médias racontent la vérité. Mais ils travaillent pour conserver leur job, pour faire passer les idées des lobbys. On dirait qu"ils sont devenus des agence de publicités convergentes. Incapables de se contrôler, nous assistons à du délire jour après jour. Ils semblent possédées par un autre idéal que la vérité. À quoi bon rapporter des nouvelles «modifiées»? Ici, à n'importe quelle ville, c'est le «No fault», alors on peut écrire, dire et partir des rumeurs comme bon nous semble, à condition d'être dans le bon camp. Comment faire pour savoir si vous êtes dans le bon camp? Difficile à dire, car il s'agit d'un endoctrinement, une sorte de «syndicat» à lequel on peut adhérer moyennant différentes faveurs. Mais, pour d'obscures raison, vous pouvez être évincé subitement, juste parce que vous avez fait des risettes au mauvais moment. Il est même possible de revenir dans les rangs, moyennant je ne sais trop quoi, mais seulement lorsqu'on est sûr que les gens ont oublié. Car ici, à n'importe quelle ville, ce n'est pas grave de se contrarier, l'important c'est de payer. Comme la chanson disait dans le temps :«Pour être ton ami, il suffit de payer la cotisation...». Alors l'étau se resserre pour les payeurs de taxes. Chaque fois qu'une nouvelle personne rejoint les rangs du «bon camp», les taxes montent. Elles grimpent de différentes façons, soit au prix du litre d'essence, au prix plancher de tout ce qui est régit, par le biais de subventions ou encore sur vos immatriculations autos! Faire croire au monde que le gouvernement coupe dans les déjeuners des CPE, c'est un bon exemple d'informations modifiées. Le gouvernement dit aux dirigeants des CPE de couper dans leurs dépenses. Ce sont les dirigeants qui décident où couper... Et c'est comme ça partout, dans les commissions scolaires, dans les écoles, dans les différents palliers gouvernementaux. Le dernier au bas de l'échelle, le travailleur moyen, c'est lui qui paie. Et arrêtez de mèler les enfants à ça!

samedi 26 novembre 2016

Encore un petit peu.

Hier, dans un grand moment de constatation, j'ai sorti les pelles. Il a tellement neigé! Difficile de réaliser que ça s'en vient. Gratter, s'habiller plus chaudement, mettre les pneus d'hiver, sortir la souffleuse. Vider les toiles de garages, tasser les chars pour le déneigement. Pour ce qui est des garages, il reste la toile de celui du SPA. Une chance, le «frame» est monté et ses ancrages fixés. Si tout va bien, j'installerai la toile demain. J'aimerais aussi installer les fils chauffants sur le toît du solarium et au dessus de la vitrine du salon. Pour l'instant, je me prépare à aller donner un autre petit coup. Je m'en vais chez mon client à St-Agapit, pour commencer une série de recouvrement de tanks. Je crois que j'ai onze camions qui souffrent de ce déficit esthétique. Depuis que TransDiff Peterbilt m'ont essayé, ils me donnent pas mal d'ouvrage et je n'ai pas à me plaindre. Plus le temps passe et plus je dois choisir ce que je fais et ce que je ne fais pas. Une chose est sûre, je profite ce matin que ma douce n'y est pas pour aller de l'avant avec ce travail de samedi matin. Il reste tellement de choses à faire avant de dire que je suis prêt pour l'hiver. Car une fois chose faite, j'ai déjà d'autres trucs à préparer pour le retour de la belle saison. Sans toutefois rêver, ou faire des projets à long terme, je constate une certaine ambition de ma part et je dois avouer que j'aime ça. Avoir des projet garde en vie, donne le goût de vouloir aller plus loin, de se dépasser encore une fois! Aller, encore un effort, il faut bien commencer si on veut y arriver!

vendredi 25 novembre 2016

Enfin vendredi!

Comme toute bonne chose à une fin, nous sommes vendredi et j'ai l'intention de me donner à 100% encore toute la journée! Je n'ai que de bonnes intentions, chaque matin. Je me fais un horaire et je m'en ligne là-dessus. Mais le téléphone et les clients surprises ont tôt fait d'apporter des modifications à tout ça! Comme si chaque jour devenait une course contre la montre. Excité par l'ampleur que cela apporte, on dirait que j'en perds les pédales. Il s'en suit d'une suite de tâches effreinées, alimentées par la pression, et...pop! La journée est terminée, je suis vidé complètement! Simple historique pas tellement difficile à comprendre. Des fois je trouve que j'exagère un peu. Il faudrait que j'apprenne à me limiter. Sinon, parfois je me blesse ou encore je fais des erreurs. Voilà ce qui arrive. Alors je m'entraîne chaque jour, pour réussir à supporter l'effort physique que je m'impose. Il n'y a pas beaucoup de solution dans notre société de consommation où nous avons choisi de vivre à toute allure, sans trop penser au lendemain. C'est bien beau, mais ça coûte souvent un gros montant! Sans compter la fatigue accumulée! Alors je m'efforce de garder conscience pendant l'action, histoire de ne pas me laisser emporter par la vague! Souvent, le vendredi soir, une fois l'esprit dégourdi, les muscles au ralenti après une bière et un bon whisky, je réalise assez vite que je n'ai plus l'énergie d'il y a vingt ans. Je n'ai plus la force de continuer sans me reposer un peu. Il y a quelques années, je me souviens très bien que j'étais impossible à vivre avec un verre dans le nez le vendredi soir. Une fusée, qui parle sans arrêt, dans tous les sens! Maintenant, je suis plus calme et j'aime mieux ça. Les samedis matins sont moins lourds, et j'ai l'impression de vivre ma fin de semaine en entier. Bon vendredi!

jeudi 24 novembre 2016

Il n'en tient qu'à soi-même!

Hier je n'arrivais pas à me calmer. La fatigue! Pour me concentrer, il fallait que je mette toutes les chances de mon côté. La radio parlée me distrayait trop. Même l'opinion des autres! Mais j'ai réussi ma journée. Ce matin, c'est le retour de cette journée de lutte contre moi-même. Je n'ai pas une si grosse journée que ça au programme, mais des fois, ça déboule tellement vite! Reste à voir ou plutôt, à vivre! Car la vie, ça se vit! J'ai mal partout ce matin, comme si je ne m'entraînais pas assez. Je crois que l'humidité aide beaucoup dans ce dossier. Mais je dois vous dire que j'ai hâte que les médias arrêtent leur diarrhée sur le futur président des États-Unis. Moi qui croyait qu'une fois l'élection passée, nous aurions un peu la paix. il faut croire que non. Par contre, force est d'admettre que les prédictions hasardeuses des médias ne se réalisent pas. Et c'est tant mieux! Dommage, beaucoup de gens accordent tellement d'importance à tout ce charabia! Et, suivant une rumeur ou encore sur le coup d'une rengaine, il se pourrait que les gens paniquent; là, il serait dangereux d'avoir de véritables problèmes! Et qui en serait tenu responsable? Le futur président! Même que c'est devenu une sorte de crédo, peu importe votre malheur, il sera attribué à cette même personne! Trop facile! Retroussez-vous les manches et agissez pour vous, pour votre communauté! Cessez de chercher un coupable, foncez droit vers vos objectifs! Bonne journée!

mercredi 23 novembre 2016

En avant toute!

Bon bin me v'là seul pour un bout. Ma douce est partie hier pour la Floride. Une semaine au condo avec sa sœur et sa mère. Ça me rappelle l'année 2013, alors qu'elle partait dans les mêmes dates, prendre du repos après une fin d'été houleuse et un automne particulièrement agité. Elle va se reposer un peu. Je n'arrive pas à cerner ce qui la stresse autant.
 J'aimerais en faire autant, mais je profite d'un automne bien rempli au niveau du travail et je trouve cela merveilleux. L'énergie que je ressens ces jours-ci est difficile à jauger. D'une part, il y a une sorte de stress qui gravite au dessus de nos têtes. Un inquiétude généralisée. C'est un peu lourd à porter. D'un autre côté, il y a mon énergie, jointe à celle des gagnants. Une bouffée d'air frais qui me donne la force de foncer à travers la grisaille automnale. Grisaille qui perdure depuis un mois. Et, malgré un début de semaine vraiment occupé, je suis en forme ce matin. Levé depuis 3:00 cette nuit, je devais aller porter ma belle-maman à l'aéroport. Elle va rejoindre ses filles, pour passer du temps au soleil. J'avais des clients hier soir, jusqu'à 20:00. Et ce soir, mes filles ne viennent pas souper. Elles sont occupées. L'une a son atelier de théâtre hebdomadaire, l'autre a un souper. Pour ma part, une grosse journée m'attend. J'ai de la facturation en retard et des installations. Ça me garde occupé, bien entraîné pour installer! Je me demande à quel moment je sentirai le temps des fêtes arriver. Chaque année, on dirait que c'est un miracle que je réussisse à tout faire en temps. Anyway, je vais faire mon possible. C'est sûr que ce soir, je vais sentir le besoin d'arrêter un peu. À plus!

mardi 22 novembre 2016

Go!

Encore une journée sans soleil. Je sais qu'il se cache derrière les nuages, mais il nous fait tellement de bien! Difficile de convaincre les autres d'être de bonne humeur lorsque ça l'est pour soi-même! Mais une fois la journée bien entamée, il est plus facile de s'orienter, de comprendre les choses, d'articuler un sourire. Ça semble bien lourd comme nomenclature explicative, mais j'ai le privilège de pouvoir l'écrire, alors j'en profite. D'autres aussi devraient en profiter pour exprimer ce qu'ils ressentent. Pour ma part, j'ai toujours eu une sorte de trop plein qui s'évadait n'importe quand, surtout quand ce n'était pas le temps. Je ne dis pas ça pour me faire complaindre, mais je remarque que ces journées où je n'avais pas eu le loisir de pouvoir aller dehors crier, courir, pédaler, il m'était plus difficile de contrôler ce flux d'énergie qui bouillonnait et qui bouillonne toujours. Oh il n'a pas la même force, mais il est toujours là! Je dois toujours être sur mes gardes, des fois qu'un débordement surviendrait. Je n'ai pas la science infuse, mais je n'aime pas faire du hockey de rattrapage! Quand tu commences une job et que tu perds trois à zéro, c'est toujours plus difficile. J'aurais des tonnes d'exemples à vous citer, mais je vais vous en faire grâce! Mieux vaut être heureux chaque jour, retenir les solutions trouvées dans le passé et en tirer profit pour le futur.

lundi 21 novembre 2016

Ça part bien!

Encore une autre semaine qui passera comme un coup de vent! Hier soir, alors que nous revenions d'un souper à Donnacona, la pluie et le vent faisaient rage! Il faisait 8 degrés! Et ce matin, petit tapis blanc et 0 degré. Comme on le dit souvent, c'est ça le Québec! Si la température était le seul irritant, la vie deviendrait plus simple. En fin de semaine, je réfléchissais à notre société, comme je le fais depuis bien des années. Je me disais que, il y a 25-30 ans, un policier, ça impressionnait. Son uniforme, sa prestance, sa façon de parler. Une infirmière, c'était notre référence une fois rendu à l'hôpital. Elle était la personne clé, le modèle à suivre! Elle prenait soin de tout le monde avec un sourire et nous avions du respect pour elle. Que dire des médecins, ils étaient maîtres de la santé, rien ne pouvait détrôner leur avis. Quand on parlait d'un médecin, nous savions que ce qu'il nous avait dit, on pouvait s'y fier. Un menuisier savait comment bâtir des choses, un ingénieur savait lire des plans, un pilote d'avion avait les commandes du ciel. Un professeur était celui qui enseignait, qui nous ouvrait les portes vers le marché du travail. Il n'y avait personne de parfait, mais chaque métier avait son prestige, sa couleur. Et le gens se respectaient entre eux, s'entraidaient. Aujourd'hui, ces métiers sont cachés par un syndicat, par un protocole, par une loi. Même si ces derniers voudraient faire avancer les choses, ils sont coincés par la régie de quelque chose. Ils ne peuvent exercer leur métier à cause d'une charte, etc. Tout ça pour dire que les cartes sont toutes mélées, personne n'ose plus agir de peur de représailles, de campagne de salissage sur les réseaux sociaux. Tout fonctionne par pots de vin, par lobby, par clique, appelez ça comme vous voulez! Et c'est dommage, car nous payons beaucoup plus cher que dans ce temps-là, mais pour beaucoup moins. Avoir des services, ce n'est plus vraiment possible. Il faut faire une demande, attendre, attendre et attendre encore. Aujourd'hui, dans notre société aseptisée, difficile de se sentir à l'aise. La police est partout, mais pas la vraie police, la police des lois! Tu veux une prescription pour voir un spécialiste ou encore pour des médicaments? As-tu un médecin de famille? Sinon il va falloir être patient! Peu importe votre besoin, si vous avez besoin d'un service régie par l'état, il faudra y penser d'avance ou réussir à s'organiser autrement. Ouin...

vendredi 18 novembre 2016

Bonne journée!

Hier j'ai discuté avec quelqu'un. Il m'a dit qu'il avait appris une chose. Les aptitudes acquises avec le temps ne sont pas acquises pour la vie. Suite à un AVC, il vit des séquelles difficiles. Il a dû faire le deuil sur son métier. Un travail d'analyste informatique. Il a dû réapprendre à parler sans bégayer. Il n'est plus capable de faire de longues élocutions. Depuis le mois de mai, il réapprend à vivre. C'est difficile de rester indifférent à son discours. C'est le genre de truc qui n'arrive pas souvent, pour lesquels il y a peu de ressources. Heureusement j'ai vu de la joie de vivre dans ses yeux, de l'espoir. Mais je l'ai connu plus illuminé. Quand il me parlait, je ne pouvais détourner mon attention, je me devais de l'écouter. Je lui donné un peu d'énergie. Cette énergie, gratuite, renouvelable, est en chacun de nous. Facile de la partager, facile de la recevoir, elle fait partie de mon quotidien. Quand je suis vraiment exténué, je m'arrête pour me concentrer et la recevoir. C'est plus facile en pensant à des choses qui nous rendent heureux. Cette énergie qui nous fait du bien, c'est celle qui nous fait sourire quand nous sommes avec des gens qu'on aime, des gens avec qui nous avons une relation réciproque. Quand on a hâte de revoir quelqu'un et que lui aussi, a hâte. Il faut l'accepter, comme un cadeau. Car il est facile de la perdre, comme quand on se blesse et qu'on perd du sang. Il faut apprendre à la canaliser. Les blessures de l'âme saignent aussi, mais elles perdent de l'énergie. À nous de la partager, de la donner; sans compter, car elle revient toujours. Vivez chaque journée avec intensité, et surtout, entretenez votre corps, votre véhicule pour parcourir la vie.

jeudi 17 novembre 2016

Une chose à la fois.

Quelle journée encore hier. Finalement, j'aurai passé 7 heures pour enlever un enveloppement. Cette œuvre d'art fut réalisé par une firme dont je ne mentionnerai pas le nom. Mais je peux confirmer que les matériaux utilisés n'étaient pas adéquats. 5 heures pour retirer la pellicule et 2 heures pour nettoyer la colle. Après 4 ans, il me semble que ce fut vraiment trop dur à faire. Depuis lundi, j'essaie de me reposer, mon dos me faisant de moins en moins souffrir. Mais la portion de travail reste quand même là. Ce matin, alors que je pédalais vers une destination virtuelle, je m'endormais litérallement. J'essayais de me concentrer sur ma journée à venir, mais ça ne venait pas. Et puis, une fois l'entraînement terminé, j'étais fier de moi, je vais passer au travers de cette semaine. Depuis le départ de Maman, je vis un jour à la fois, comme ça je n'ai pas d'attentes. Des fois je suis tellement fatigué, comme hier soir, cela m'empêche de m'endormir. Lundi, j'avais moins de fatigue physique, alors je supportais mieux la faiblesse de mon dos. Mais ce matin, même si je prends du mieux, la fatigue musculaire se fait sentir et je peine à me concentrer. Mais bon, un jour à la fois, une heure à la fois.

mercredi 16 novembre 2016

Une chance que je peux écrire encore!

Quelle pluie ce matin! Et que dire du vent! Je dois admettre que je suis plus tranquille face à ce genre de température depuis le Cyclo-Défi 2016. Et puis, les vents de vendredi dernier ont causé des dégâts que j'ai dû réparer. Et j'en souffre encore! Mais je vais mieux. N'empêche, je dois faire plus attention à moi. Je suis l'outil principal de ma business. Ça ne sert à rien de paniquer, mais je veille à ma guérison en essayant de ne pas en faire trop. Difficile de m'arrêter. J'adore le son de la pluie sur la toiture de tôle. Une mélodie qui berce, qui sécurise et qui tient au courant. Au courant de l'intensité de la pluie, du vent. Et puis, avec les nouvelles goûttières, je suis plus tranquille concernant certain bloquage dûs aux feuilles. Que de dépenses pour entretenir notre bonheur, notre chez soi. Mais c'est comme ça que ça marche. La vie est ainsi faite. Si tu n'entretiens pas ton couple, il périra. Même chose pour ta voiture. Même chose pour ton corps. Dans un système comme le nôtre, c'est tout à fait égoïste de se laisser aller en se disant que ce n'est pas grave, l'état va payer! L'état, c'est notre argent, c'est notre travail. Même si je ne suis pas en accord avec la façon dont notre système fonctionne, je ne fais pas exprès pour aller à l'encontre de ce dernier. Trop de lois, trop de droits. Depuis quarante ans au moins, le gouvernement s'est infiltré un peu partout, légiférant ici et là; résultat, il y a tellement de lois, difficile de respirer un grand coup sans se faire remarquer ou avoir une amende. D'un autre côté, tous revendiquent leurs droits. À force de revendications, les gens ont tellement le droit de tout que c'est impossible à gérer avec toutes les lois. Bref, plus on analyse ce modèle (québécois), plus on se rend compte qu'il ne peut fonctionner.

mardi 15 novembre 2016

On se calme!

Alors que la semaine est bien commencée, il faut se botter le derrière pour se lever et accomplir les journées. Hier après-midi j'ai Installé dehors, c'était magnifique! Et le presque soleil faisait du bien. J'entends en profiter encore un peu aujourd'hui. Mes prouesses d'en fin de semaine me font encore souffrir. Je dois me rappeler que je ne suis plus Superman! Mais je sais que c'était exagéré de ma part de fournir autant d'efforts. Ma douce est partie hier soir pour trois jours. Je l'aurais bien gardée avec moi. J'ai des tas de choses à faire avant le grand manteau blanc, mais mon dos semble en désaccord. Même ma bonne humeur en souffre. Et puis j'ai hâte d'entendre autre chose au niveau de la politique que les dernières élections aux États-Unis. Éteignez les médias, est-ce que votre vie a changé? Avez-vous essuyé de graves pertes? Est-ce que vos placements sont en train de vous mettre en faillite? D'un autre angle, est-ce que l'état des routes au Québec s'est amélioré? Y a-t-il moins de problèmes aux urgences? Les producteurs de sirop d'érable peuvent-ils vendre leur sirop à qui ils le veulent? Bon. Il vaudrait mieux s'occuper de choses plus importantes, comme l'implantation forcée d'un «moyen de transport urbain» à Québec. À quoi bon s'évertuer pour garder notre bonne humeur, si nos dirigeants s'amusent à nous «barrouetter» avec des projets dispendieux qui «faisaient partie» du plan triennal d'immobilisation et de développement à long terme de la ville! C'est immanquable, je ne dois pas prononcer ces mots, je m'enflamme immédiatement! On s'en reparle bientôt.

lundi 14 novembre 2016

Bon matin!

Une fin de semaine vraiment extraordinaire avec des températures douces. J'en ai profité pour faire un tas de trucs. Et puis j'ai aussi abusé en soulevant le gazébo du camping. Mais c'était cela ou mettre deux mille dollars à la poubelle! Personne ne veut mettre un montant pareil aux vidanges. Alors, dans ce temps-là, il faut mettre les mains à la pâte. Voilà ce qu'il faut faire au Québec. Arrêter de cracher sur  les autres, se retrousser les manches et arrêter de gaspiller. Gaspiller quoi? L'argent des autres, les efforts de plein de gens qui travaillent chaque jour pour gagner leur vie! Gagner leur vie signifie payer ce que ça prend pour vivre, pour être heureux! Mais les temps changent. Alors que la vie va de plus en plus vite, nous, au Québec, sommes ralentis par le statu quo de notre économie, une véritable farce! Je ne suis pas un expert en chiffres et je n'ai aucune prétention dans ce domaine, mais il y a toujours des limites à ce qu'un homme (femme) peut endurer. Si nous savions réellement ce que l'état fait de notre argent, peut-être que bien des gens s'en iraient ou déciderait d'arrêter de travailler. Ne riez pas, à quoi bon se défoncer chaque jour, si en bout de ligne, il n'en reste pas! Et que, chemin faisant, à travers nos semaines, on constate que notre argent paie la retraite des autres... Que nos efforts ont servi à élire quelqu'un qui se fout complétement de nous autres... Qu'à chaque fois qu'on rentre dans un poste d'essence, on constate que tous les prix sont gérés par une loi... Qu'à chaque fin de trimestre, on fait le même constat; les profits vont au gouvernement. Alors je dois rester optimiste, énergique devant les journées qui passent. Je dois vivre chaque instant à plein régime. Faire de chaque journée une réussite! Et surtout, ne pas me laisser influencer par les médias.

vendredi 11 novembre 2016

Un vendredi

Enfin vendredi. Prendre ma journée en congé, à mes frais, me permet de relaxer. Pourquoi je stresserais? Mon imprimante est brisée, je vais passer la journée en voiture à discuter avec mon amour! Et puis, c'est moi qui décide si je peux. Ces dernières semaines furent très bien remplies. Et, hier fut une journée de course qui s'est terminée par un bris sur l'équipement qui va peut-être me faire passer à une autre étape. Enfin vendredi. Une journée de repos bienvenue juste avant le blitz des fêtes. Comme les années passent et finissent par se ressembler. Je sais que je vais devoir travailler dur d'ici le 23 décembre. Et mon implication au niveau de la chambre de commerce comble les petits recoins dans mon horaire que j'aurais pu oublier. Tout ça pour dire que ce sera une journée de repos. Filtrer les appels n'est pas mon fort, mais je commence à y prendre goût. Je suis heureux et je veux le rester. Alors je dois faire des concessions ici et là. La conciliation travail-parent n'existe que dans les conventions. Pour vrai, avoir des enfants est un choix. C'est un choix à long terme dans lequel on s'engage. Avec les années, nous transmettons une somme de connaissances, l'ensemble d'une vie à nos enfants et ce sont eux, qui continueront à suivre la route. Depuis des années, j'essaie de ne rien manquer. Depuis une couple d'années, il m'est de plus en plus difficile de suivre. Ils vivent dans l'instantané. Réseaux sociaux, textos, photos en tout temps, communication 24\24. Rien n'est plus vite. Je me disais qu'à un moment donné, nous ne serions plus capables d'aller encore plus vite, mais ce n'est pas le cas encore. Alors je prends une journée de congé, un temps d'arrêt.

jeudi 10 novembre 2016

On fonce!

Je constate ce matin que personne n'est mort, qu'il n'y a pas eu de manifestation, que la terre tourne toujours. L'énergie autour de moi est la même. Alors nous allons survivre aux résultats des élections américaines. Ma journée d'hier fut une corvée énorme, alors que je devais retirer une pellicule installée depuis quatre ans sur un véhicule. Un enveloppement complet. Quel cauchemar ce fut! Non seulement la partie laminage se séparait du vinyle imprimé, mais il y avait différentes sortes de vinyle. Même avec de la vapeur, je n'ai plus de peau sur les doigts! Difficile de me servir de mes mains ce matin. J'ai une installation à faire ce matin, ça va bien aller. De toute façon, ai-je d'autres choix? Je suis l'outil de mon entreprise, je dois parfois composer avec ce genre de choses. Cette tâche était la porte d'entrée pour un contrat. Treize véhicules. Un seul avec un enveloppement. Les autres sont plus simples, une petite heure pour installer 28 autocollants. Deux problématiques, le climat et la disponibilité des chauffeurs. On dirait une compensation pour la job habituelle des essences d'hiver. AU moins je ne gelais pas. Le dessus de mes jointures est usé à vif. J'ai quelque morceaux de peau qui ont disparu, suite à trop de solicitation combinée à la vapeur. Fermer le poing représente un petit défi, car ça fait mal et les blessures craquent. Mais je guéris vite. En route pour une autre belle journée.

mercredi 9 novembre 2016

Il reste à voir!

Eh bien, comme quoi les médias ne peuvent pas tout changer! Au sortir d'une campagne pour le moins sale, les gens se sont rebellés contre la masse médiatique. Difficile de dire si cela aura un impact rapide sur l'Amérique, mais une chose est sûre, les américains ont voté pour celui qu'ils trouvaient le moins pire. Étrangement, la tendance s'est inversée en deux semaines, comme pour notre PM. Mais ce sont les gens qui ont mené. Bien content que ce soit terminé. Par contre, je doute que ce soit une tâche facile pour le nouveau président. La masse médiatique, remplies d'intentions collectives, socialistes, je ne crois pas que la partie sera facile. ALors que certains prévoient la fin du monde depuis le début, nous verrons avec le temps ce que ça donnera. Il n'y aura pas d'apocalypse, ni de mouvement dans les plaques tectoniques! Les gens ont-ils peur pour vrai? Peur de quoi? Regardez autour de vous! Certains parlent d'abolition du libre-échange, quel libre-échange? Personne ne va venir chez vous pour vous attaquer! Surveillez simplement vos arrières, il ressemble étrangement  au Maîîttrrre! Sa façon de dire les choses, la façon dont il a grimpé dans les intentions de vote. À long terme, est-ce que ce sera bon pour l'économie? Ça reste à voir!

mardi 8 novembre 2016

J'ai hâte!

Je sais que je n'en ai pas parlé, mais que voulez-vous, je suis tellement tanné d'entendre les gens divaguer à ce sujet. J'ai hâte que ce soit terminé. Peu importe le résultat, je crois que ce sera une élection médiocre. SI l'un rentre, les médias feront tout pour l'empêcher d'agir. Si l'une rentre, alors le statu quo se perpétuera, et l'hypocrisie aussi. La transparence n'est pas de ce monde! Alors je suis prêt en arrêter d'en entendre parler! Bizarre que, quand c'est important, ici, au Canada, personne n'ose en parler. Seul une poignée de gauchistes mènent la parade! Même dans notre propre ville, les gens n'osent point parler, donner une opinion! Serait-ce qu'ils ont peur? Bref, tant qu'à dire n'importe quoi qui ne changera rien, concentrez-vous sur notre pays, notre province. Imaginez une vie avec moins de gouvernement, moins de syndicats. Certains sont très heureux de laisser les autres décider. Pour eux, prendre l'initiative, c'est abstrait. Pour ma part, je suis enclin à faire les choses par moi-même. J'ai une compréhension rapide de beaucoup de choses et souvent, j'ai l'impression de perdre mon temps à attendre que ça bouge. C'est pourquoi je reste dans mes affaires, comme ça je ne dérange personne.

lundi 7 novembre 2016

Ça va vite!

Une fin de semaine de course avec un spectacle vendredi soir, à l'Impérial de Québec. Un souper dans la Beauce pour l'anniversaire de mon père et du soleil hier, un dimanche de corvée d'automne qui s'est terminé chez des amis. Le spectacle était bon, si l'on fait abstraction de la première partie. Un Band de «death métal» dans lequel le chanteur ne fait que «japper» avec un fond de gorge encrassée. Une approche théâtrale peu recherchée, pour ceux qui aime la noirceur de la vie. Par contre, le spectacle du groupe Epica, quel magnifique prestation! La chanteuse, Simone, un ange sur la scène, accompagnée de musiciens qui s'amusaient, souriaient. Malgré un son beaucoup trop fort, il était possible d'apprécier les harmonies et la voix de SImone. Bien sûr, nous étions debouts, trois heures durant, difficile de se concentrer par moments. Même avec vingt ans de moins, cette soirée aurait été un peu longue. Dispendieuse du fait qu'une de mes filles commençait un nouveau travail. Un billet de gaspillé. Mais il ne fallait pas gâcher la soirée pour ça. Samedi matin, je livrais un projet de fond, le design graphique et l'enveloppe ment d'un masque de gardien. Quand le client est content, c'est merveilleux. Après nous sommes allés voir mon filleuil jouer au hockey. UN bon divertissement. À notre retour, des invités pour dîner, mon garçon, la belle-mère et madame Lise. Le temps passe vite en faisant des hot dogs vapeur. Ensuite, le temps de faire une mise à jour avec mon fils, nous partions pour la Beauce. Souper copieux et délicieux, comme toujours chez mon père. Mon frère y était, mais bon. Et hier, fortifié du soleil qui s'est montré le bout du nez pour la première fois depuis deux semaines, je me suis enflammé dans les corvées d'automne. Finir de laver les vitres, finir de râcler les feuilles, tondre une dernière fois, hiverniser la tondeuse, et j'en passe! Bref, nous étions vidés! Et nous sommes allés souper chez des amis qui nous avaient invités pour déguster de la pizza. Retour au bercail vers 20hres, ouf! Le changement d'heure se faisait sentir! C'est ce qu'on appelle une fin de semaine bien remplie! Sur ce, je dois y aller, si je veux payer ce train de vie. Bonne semaine!

vendredi 4 novembre 2016

Bon vendredi!

Des fois on se demande vraiment où avions-nous la tête devant les décisions prises. Ce soir je vais voir un spectacle de classique métal avec des amis et une de mes filles. Franchement, dans l'état où je suis ce matin, difficile de trouver un terrain d'entente dans ma tête. Contrarié au maximum, je n'arrive pas à me faire à l'idée. Heureusement, le fait d'être vendredi devrait faire pencher dans la balance. Pour le show de ce soir, je vous en reparlerai. En attendant, concentrons-nous sur nos intérêts de travailleurs. Nous sommes dirigés par des gens qui se foutent complètement de ce que leur citoyen pensent, ces derniers vivent une vie de pachas, ils dépensent notre argent et il faut réussir à être heureux? C'est là que les vendredis soir interviennent. Oui on travaille fort la semaine, mais on se fait mitrailler par les médias, sur des sujets plus ou moins intéressants, bombarder d'infos plus ou moins poignassées, convergeant vers où les médias veulent bien nous mener... Forts de leur regroupement, ils semblent que leurs sources soient difficiles à divulguer. La transparence, comme dans bien d'autres secteurs, n'est pas à l'ordre du jour. Et il faudrait les croire? Non mais pensez-y, ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer, ni demain. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été capable de me faire une idée sur ce qui m'entoure, je n'ai jamais eu besoin de personne pour ça. Et quand j'aurais eu besoin que quelqu'un me montre le chemin, les volontaires se cachaient quelque part, car je ne les ai jamais trouvés. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais me laisser dire quoi faire ou quoi penser. Depuis que j'ai pris conscience du monde qui m'entoure, j'ai constaté des variations. Ces variations ont amené une masse administrative beaucoup trop importante dans notre société. Et les syndicats ont pris des proportions inadmissibles pour le bien-être et l'évolution d'une société qui se respecte. Ces éléments empêchent les gens d'évoluer, ils mettent un frein à l'économie, à l'avancement «socio-technologique». Paspire pour un vendredi matin!

jeudi 3 novembre 2016

Un temps d'arrêt.

Comme certains matins d'automne, je suis allé dehors ce matin en vélo. Pas si chaud, mais il ne pleuvait pas. La semaine dernière, il neigeait chaque matin. Cette semaine, pluie ou froid. Mais à six degrés, facile d'enfiler mes vêtements et d'aller en profiter. Surtout que ça fait deux jours déjà que j'aurais aimé que ce soit vendredi. Heureusement que j'aime mon travail. Je suis allé voir mon comptable hier, il m'a dit que ce serait important d'augmenter mon chiffre d'affaires de 30 % par année. Wow! Je pensais que 5 % était une estimation réaliste! Avec tout l'impôt que j'ai donné, plus les remises de taxes, difficile de sortir un pourcentage plus grand que ça. Mais c'est bon de l'entendre de la bouche du comptable. Il s'occupe de 285 clients réguliers. Je ne parle pas des rapports d'impôts, je parle de la tenue de livres. Je suis content de voir que sa santé se maintient. Nous avons jasé pour le plaisir, faisant ensemble un petit bilan économique de ce qui se passe autour de nous. Il semble apprécier ma compagnie, au delà des finances. Bref, je suis content. Les temps sont plus durs qu'ils ne l'ont été depuis que je travaille de façon autonome. Donc depuis le printemps 2008. En huit ans, le prix de mon matériel a facilement monté de 35%. Ai-je suivi cette vague dans mes prix? À vérifier. Une chose est sûre, je vis au jour le jour, laissant mon coeur me guider. Je vois ça comme si je travaillais pour quelqu'un, mais ce quelqu'un, c'est moi. Je devrais me demander une augmentation. Mais j'essaie d'éloigner les dettes. Je sais que je devrai changer mon imprimante sous peu, éventuellement vendre mon camion. Mais pour l'instant, je continue de vivre au gré des choses qui me rendent heureux : ma famille, mon travail, mes amis, la vie! Ces jours-ci, je prendrais volontiers des vacances. Est-ce possible dans ma tête, comme un soin thérapeutique ? On s'en reparle!

mercredi 2 novembre 2016

Merci d'être là!

Hier j'ai dîné en compagnie de mon ami le remorqueur. Il est toujours aussi énergique, rempli de bonnes intentions. Il a sa façon à lui de voir la vie. Il a aussi son mot à dire partout où il va. Et dieu sait qu'il se promène vraiment beaucoup. Il a un discours coloré qui lui sied à merveille. Nourri par les infos de tous et chacun, il sait en prendre et en laisser. Il arrive toujours comme une bombe, prêt à tout pour arriver à donner vie à ses projets. La plupart du temps, son projet est un véhicule vintage. Il adore les classiques de toutes sortes. Mais la musique et les voitures sont l'histoire de sa vie. Il ferait n'importe quoi pour voir les gens autour de lui sourire. Il mène sa vie comme un artiste. Son inspiration le mène vers toutes les avenues possibles, parfois même impossible. Il a ce je ne sais quoi qui plaît, un charisme différent des autres. Comme un chanteur qui a une voix différente de la masse. Pour lui, l'important, c'est de vivre au jour le jour. Respecter ses racines, la famille et les amis. Il se donne beaucoup pour des causes en donnant des spectacles bénéfices, où il excelle avec des baguettes et une batterie! Il vit, intensément et le plus librement possible. Les contraintes quotidiennes l'ennuient et il sait les amoindrir. Il a cette façon de vous sourire, de vous transmettre son message. De plus, il est loyal. Des fois le temps passe beaucoup, mais dans son coeur, les choses demeurent intactes. Il faut le rencontrer, ne serait-ce que quelques minutes pour saisir sa passion de vivre. Chaque rencontre est épique! Longue vie à mon ami Cazes.

mardi 1 novembre 2016

Bien content

Voilà! La fête de l'Halloween est passée! Maintenant un blitz vers les fêtes s'amorce, tel une météorite fonçant sur la terre. Rien ne pourra jamais arrêter le temps. Journée vraiment froide hier, avec une sorte d'accalmie vers le milieu de l'après-midi. Mais quand tu es excité d'un 5 degrés avec du soleil, c'est qu'on est loin du beau temps. Mais les enfants ont bien aimé, encore cette année, passer dans les rues pour récolter des bonbons. Il faisait un maigre deux degrés, mais ils ont marché environ deux heures. Autant certaines gens ont rapporté bien plus que cent enfants, nous n'en avons eu que huit. Mais ils étaient très mignons. Toujours intéressant de voir leurs costumes. De voir aussi qu'ils sont parfois gènés, ou complètement illuminés! J'aimais bien l'Halloween. Maintenant, je l'aime toujours, mais c'est un temps de l'année où je suis souvent très occupé par le travail, le temps passe vite et je n'arrive pas à y consacrer tout le temps voulu. Et avec tout ça, je me retrouve fatigué, et après avoir participé au bon fonctionnement de cette fête pour mes enfants, il me reste très peu d'énergie pour m'impliquer davantage. Hier soir, après avoir fait souper une gang de petits ogres, j'ai fait la vaisselle et l'énergie n'y était plus. Mais je suis content tout de même d'avoir pu permettre à mes enfants de vivre un moment heureux encore cette année avec cette fête.

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...