Une personne qui doit écrire ce qui déborde dans sa tête et dans son coeur. Car vivre au pays de la grande supercherie, devient, jour après jour, de plus en plus difficile...
lundi 28 novembre 2016
À n'importe quelle ville.
À entendre et lire certains médias, je dois dire que notre PM vit une aventure, mais il n'est pas connecté avec nous. Je ne célèbre pas le décès de quelqu'un, mais je n'encenserai pas non plus la vie et les actions d'un dictateur. Ici, à n'importe quelle ville, les gens pensent que les médias racontent la vérité. Mais ils travaillent pour conserver leur job, pour faire passer les idées des lobbys. On dirait qu"ils sont devenus des agence de publicités convergentes. Incapables de se contrôler, nous assistons à du délire jour après jour. Ils semblent possédées par un autre idéal que la vérité. À quoi bon rapporter des nouvelles «modifiées»? Ici, à n'importe quelle ville, c'est le «No fault», alors on peut écrire, dire et partir des rumeurs comme bon nous semble, à condition d'être dans le bon camp. Comment faire pour savoir si vous êtes dans le bon camp? Difficile à dire, car il s'agit d'un endoctrinement, une sorte de «syndicat» à lequel on peut adhérer moyennant différentes faveurs. Mais, pour d'obscures raison, vous pouvez être évincé subitement, juste parce que vous avez fait des risettes au mauvais moment. Il est même possible de revenir dans les rangs, moyennant je ne sais trop quoi, mais seulement lorsqu'on est sûr que les gens ont oublié. Car ici, à n'importe quelle ville, ce n'est pas grave de se contrarier, l'important c'est de payer. Comme la chanson disait dans le temps :«Pour être ton ami, il suffit de payer la cotisation...». Alors l'étau se resserre pour les payeurs de taxes. Chaque fois qu'une nouvelle personne rejoint les rangs du «bon camp», les taxes montent. Elles grimpent de différentes façons, soit au prix du litre d'essence, au prix plancher de tout ce qui est régit, par le biais de subventions ou encore sur vos immatriculations autos! Faire croire au monde que le gouvernement coupe dans les déjeuners des CPE, c'est un bon exemple d'informations modifiées. Le gouvernement dit aux dirigeants des CPE de couper dans leurs dépenses. Ce sont les dirigeants qui décident où couper... Et c'est comme ça partout, dans les commissions scolaires, dans les écoles, dans les différents palliers gouvernementaux. Le dernier au bas de l'échelle, le travailleur moyen, c'est lui qui paie. Et arrêtez de mèler les enfants à ça!
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Génial!
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