vendredi 30 octobre 2020

Nos propres solutions.

Contre toute attente, nous sommes toujours en confinement! La seule différence avec avril, c’est que nous pouvons aller travailler! Pour le reste, on ne peut même pas voir nos amis dehors, c’est proscrit! Il y a même une méthode pour passer l’Halloween! Franchement, à quand la méthode pour respirer avec trois masques d’épaisseur? Heureusement vendredi est arrivé! Je n’ai pas eu le courage d’aller pédaler dehors, moins cinq et un fort vent; vraiment trop froid. Et comme j’installe tout l’avant-midi, je ne veux pas avoir mal aux mains. Lorsque j’ai froid aux mains, ça me donne des douleurs par après. Hier je suis allé décoller du lettrage dehors, au vent, pour le remplacer par autre chose; isshh! J’ai eu mal aux mains toute la soirée, et encore un peu ce matin. Au moins Cameron s’est trouvé des amis pour passer l’Halloween. Depuis la fin du mois de mars, nous n’avons plus de vie, on se sent coupable de vouloir faire comme avant, nous sommes menacés d’amendes, pointés du doigt par la société! Un masque = peureux! Pas de masque = tu es un bizarre, une personne qui complote contre le bien commun! Ça suffit! Peut-on choisir ce qui est bien pour nous? Les médias peuvent-ils nous foutre la paix? Ce matin, je vais chercher le camion des Copines cuisinent pour finaliser son visuel. Ensuite on dîne et j’ai ma rencontre avec la psychologue. Vers quinze heures, Ginette viendra avec son auto et ses roues d’hiver. Je vais lui installer le tout. J’ai hâte de faire ma journée et ensuite me reposer un peu, car la fin de semaine sera bien remplie. Les toiles sur les garages, abriter les arbres, serrer différents trucs en vue de passer l’hiver sans tracas. Sans oublier nos pneus d’hiver! Ça n’en finit plus ces préparations! Imaginez : nous sommes le 30 octobre, la météo nous pousse dans le derrière! Il fait froid beaucoup trop tôt depuis trois années de file. Et ça fait chier! Comme si cette année, 2020, ne faisait pas assez chier d’avance! Je ne sais pas pour vous, mais moi je n’ai pas vraiment le goût que ce soit l’hiver. Hier soir, nous avons fait certaines commissions, et j’ai vu, encore, une file dehors pour la SAQ! Ça fait trop longtemps que ça dure! Que pouvons-nous faire d’autre? On dirait que le droit d’être heureux nous a été enlevé! Que pour l’être, il faut se bâtir un monde en parallèle, comme une rebellion! Franchement, je commence à trouver que le cirque a assez duré! Les points de presse, le manège de nos dirigeants, ça fait longtemps qu’on ne les écoute plus, préférant en lire les grandes lignes. D’ailleurs leur manque de respect quand ils s’adresseent à nous, leur ton condescendant, ça sonne baveux! Alors on cherche nos propres solutions pour retrouver le bonheur. Bon vendredi!

jeudi 29 octobre 2020

Bottez-vous le derrière!

Zéro degré ce matin, pas super chaud en vélo, surtout qu’il y a de la neige sur le bord du chemin. Et depuis que je m’entraîne, ce n’est pas arrivé souvent que je pédale avec de la neige  à mes côtés! Pendant que je pédalais, je réfléchissais à tout ça. Les bons moments, les tranches de vie que nous avons perdus à cause de toute cette panique! Et il ne sert à rien de gaspiller plus de temps à discourir sur le sujet, car nous en avons assez perdu avec tout ça. Je me sens tout de même privilégié de pouvoir survivre financièrement par moi-même, même si les inquiétudes sont omniprésentes! Rien ne sert de courir, nous allons tous, un jour, passer dans l’autre monde. Mais en attendant, pouvons-nous récupérer notre vie? Est-elle toujours à nous? Plus j’y pense, plus je me dis que non. À part notre respiration, qu’est-ce qui nous fais sentir libre? J’ai de la misère à trouver quelque chose, un moment, une circonstance, où je suis libre! Aidez-moi à en trouver! Et si on se fie au discours de certains ennuyants, il faudrait presqu’arrêter de respirer pour moins polluer... Avez-vous perdu la raison? Vous êtes-vous déjà interrogé sur les raisons pour lesquelles vous êtes sur la terre? Et si vous considérez que l’humain nuit trop à la survie de la terre, que l’homme est plus fort que la nature, eh bien déménagez de planète! Moi je veux vivre pleinement, sainement, ici, où j’ai grandi. Peut-être que je déménagerai à un moment donné, mais pour le moment, je veux simplement retrouver ma vie, mon travail, mes activités, ma sœur, mon père, mon frère et mes amis! Vos simagrées ne font qu’empirer les choses. Depuis quand se cacher d’un problème peut le régler? Si votre voisin vous fait chier, mais que vous n’avez pas le courage d’aller lui parler, il y a de fortes chances qu’il continue dans cette veine! Si vous avez une crevaison sur votre voiture, vous allez rester à la maison? Vous allez attendre que quelque chose arrive? Comme quoi? Si vous voulez une augmentation, et que vous vous cachez chaque fois que votre patron passe, il y a de fortes chances que vous ne serez pas augmenté; même que votre patron vous oublie! Franchement, vous me décevez! Bottez-vous le derrière! Faites comme nous! Et si vous préférez vous cacher, eh bien donnez votre place à quelqu’un qui fera autre chose que se cacher!

mercredi 28 octobre 2020

La vie va reprendre à un moment donné.

Incroyable tout de même, que depuis plus de dix ans, j’écris le matin. Pas tous les matins, mais aux alentours de deux cent matins par années. Car je ne m’oblige pas, je ne fais que sortir mes idées, ce je ne sais trop quoi qui vient chercher... Moins cinq degrés, vraiment froid, mais surtout enneigé. Difficile de passer à cette étape, celle du manteau blanc. Surtout quand on ne peut que constater tout ce que ça implique. Les adaptations que nous devons faire, que nous devons payer! Et depuis le mois de mars, il est surtout question de payer! Oui ça coûte cher, survivre à l’hiver dans la belle province, mais ça coûte encore plus cher, survivre aux mesures de guerre du gouvernement! Un ami m’a dit de m’informer au sujet des différents programmes en place, des fois que je serais admissible. Je dois absolument regarder ça. Il s’agit d’une subvention de 40 000$. Trente mille à rembourser, dix mille à garder! Je pourrais placer le trente mille et respirer un peu avec le dix mille. Je dois absolument vérifier tout ça. Je suis épuisé de cette pauvreté, de cette obligation de travailler pour survivre. D’accord, j’aime travailler, mais je suis aussi «pousser» par les paiements. Cela m’amène à penser à ce qui me reste à faire avant l’arrivée complété du manteau blanc. Les pneus d’hiver, les toiles de garages, les toiles sur le gazon (actuellement enneigé), et abriter les arbres. Ça fait encore pas mal de choses! C’est la troisième année de file que nous sommes bousculés de la sorte, très tôt en automne. Le froid, la neige, au moins pas de roulotte à m’occuper! Ce fut un soulagement d’avoir trouvé un moyen de vendre la roulotte et tout l’attirail qui venait avec! La vente du kart nous a permis d’élever un massif gazebo! Malgré les contraintes de disponibilités de matériel, nous sommes passés au travers! Dommage que je n’ai pas eu le temps, ni les moyens de construire mon cabanon avant la saison blanche. Je vais devoir me serrer encore un autre six mois, dans mon garage. Ça fait des années que c’est ainsi. Quatorze années, pour être précis! Mais je ne me décourage pas, je continue de voir le beau; je veux être heureux. Mais la contrainte de temps me fait vraiment capoter! Combien d’années me reste-t-il? J’attends toujours d’être opéré, ce sera quand? La situation, engrangée par nos dirigeants, nous a vraiment affecté. Nous vivons un déséquilibre profond. Plus de points de repères, plus de dates, rien ne nous indique que la vie va reprendre à un moment donné. Mais je peux compter sur moi, ma femme et mes amis pour rester positif! Rester concentré sur ce que je peux faire. On s’en reparle!

mardi 27 octobre 2020

Comment faire?

Encore un pouce de neige ce matin, très mouillé, avec zéro degré, mon équipement n’était pas prêt pour ce genre de surface, alors  j’ai pédalé à l’intérieur! Tout ça pour dire que l’hiver est arrivé hier. Semaine congélateur en cours, des maximums de 2 degrés, des nuits à moins huit! Qu’arrive-t-il? Où sont nos ennuyants greens qui font chier tout le monde avec leur îlots de chaleur? On gèle depuis la mi-août! Et là, deux pouces de neige le 26 octobre, des températures un peu trop froides... Mais il faut se réjouir, il y a trois ans, je prenais livraison de mon camion! Il ne faisait pas ce genre de température, et je n’en revenais pas d’avoir réussi cet exploit! Depuis je compte les jours où ce véhicule ne m’a pas rendu heureux! Car il est tellement pratique! Son seul défaut, s’il en est un, n’avoir que deux sièges! Pour le reste, rien à dire! Mais j’en ai encore à dire sur la gestion douteuse de notre système de santé! Quel merdier atomique! Quel désastre! Ça fait déjà quelques années que je peste envers ce système, que nous sommes obligés de payer! Je le répète, obligé! Pour les médicaments, il est possible de cotiser à un régime privé, sans être obligé de payer pour tout le monde! Mais pour les soins, non. Si vous utilisez le privé, vous devez tout de même payer pour les autres. Et si vous utilisez le système de santé publique, bien votre dossier sera traité de façon aléatoire, selon diverses raisons, saisons, semaine de relâche, etc. Car ce système ne peut fonctionner avec autant de ramifications! C’est impossible! J’en ai tellement plein mon cass!!!! Comment faire pour d’endurer dans ce monde où la vie, est interdite? Nous payons, payons, payons, mais n’avons droit au bonheur que quelques minutes par jour! Pourtant, nous payons pour être à l’hôtel cinq étoiles tous les jours! Oh que oui! Mais tout cet argent se perd en corruption, en confusion, en d’innombrables salaires, etc. Que peut-on faire? Pouvons-nous accepter tout ça encore longtemps? Je suis indigné depuis tellement longtemps, je n’arrive pas à me rappeler que c’était différent. Bien sûr, certains peuvent avoir passé bien des années à se demander pourquoi il n’arrivaient pas à trouver une façon de s’en sortir, mais là, ils se rendent bien compte que ce n’est pas entièrement de leur faute! Donnez-nous des chiffres, donnez-nous des faits, démontrez-nous précisément pourquoi est-ce que vous nous traitez ainsi! Le jupon dépasse trop, vous êtes ridicules, et vous passez pour des tyrans, des dictateurs sans scrupules, qui se foutent complètement de leurs citoyens, ceux qui les ont élus! J’attends!

lundi 26 octobre 2020

Froid.

Isshh! Moins un degrés ce matin en vélo. Au moins, l’asphalte était sèche! Et je trouve que mes vêtements étaient assez chaud. Bien sûr, ce n’est pas une compétition, mais plutôt un refuge. Car il fait vraiment bon de se retrouver seul, à pédaler dans les rues, cette sensation de liberté, de confiance en moi. Personne pour me dicter ce que je dois faire, pour me dire comment faire! Je pense que ça achève vraiment beaucoup, il annonce de la neige pour aujourd’hui. Pourtant, hier j’ai tondu et ça valait la peine, croyez-moi! Mais nous sommes dans un «pattern» arctique depuis la mi-août, alors c’est comme si nous étions à la fin de l’automne. On gèle depuis plus de deux mois, et ça ne fait que commencer! Moi j’ai hâte de refaire des expéditions de vélo, de bâtir mon cabanon, de me faire un jardin! Mais tout ça est reporté dans au moins six mois. Nouveauté pour la saison du manteau blanc, il n’y aura pas de Jack Fest cette année. Non pas que je ne veux plus contribuer à la recherche contre la cancer, mais je dois passer une année, réfléchir, et laisser le gouvernement se dépêtrer du marasme dans lequel il nous a foutu. Ça fait du bien de passer une fin de semaine sans trop penser à tout ça. Bien sûr, ça implique de ne pas ouvrir la radio, ni la télé. Car les publicités du gouvernement sont aliénantes! Et sur les réseaux sociaux, pour le moment, il y a plus de politique américaine que d’autre chose. Ça devient vraiment damnant... Pour en revenir au froid, cette semaine sera une semaine très congélée. Il annonce moins huit pour la nuit de mardi à mercredi. C’est déjà arrivé, à peu près dans les mêmes dates, il y a deux ans, alors que le SPA avait gelé avant que je puisse le vider entièrement. Les tuyaux avaient craqué... Mais qu’il fait bon de l’avoir fait réparer! Chaque soir, une détente s’impose! Je suis content de la semaine que j’ai accomplie, je me lance dans une autre, en espérant que l’ouvrage continuera de se manifester! Alors à bientôt!

samedi 24 octobre 2020

Fort face à l’adversité!

Samedi matin, il fait quatorze degrés. Météo de marde, il fait plus chaud la nuit que le jour! Et il pleut encore! Le nouveau bassin de rétention, derrière la maison, est tellement rempli d’eau, son niveau est plus haut que mon solage! Moi je n’aime pas ça du tout! Je regarde l’eau monter, ça me stresse un peu. Quelle méchante cochonnerie cet idée urbaine! Ça me fait capoter! Parlant de capoter, la sous première ministre avait un ton très condescendant! Comme si elle était une personne autoritaire, haut placée dans l’armée, qui s’adressait à un bataillon qui avait manqué sa mission! Quelle merde! Voulez-vous bien arrêter de nous traiter comme si nous étions coupables de quelques crimes... Si notre système de santé, celui que vous avez bâti, est si faible, ce n’est pas de notre faute! Ça fait des années que nous vous donnons des fortunes incroyables pour que vous puissiez vous en occuper! Au lieu de vous excuser, de constater votre échec, vous nous donnez une rince, vous nous confinez, vous nous imposez des mesures sanitaires qui ne changent rien! Prenez vos responsabilités, vous êtes tellement pathétiques! Je n’arrive pas à comprendre votre incohérence! Vivre dans l’incertitude, sans date pour nous guider, le stress rôde comme un fantôme, un prédateur invisible. Un prédateur qui joue avec notre conscience. Dans le monde parallèle où nous tentons de se réfugier, il n’y a pas grand chose, des gens qui tentent de comprendre ce qui se passe. Des personnes qui cherchent des solutions! Nous sommes soumis à une loi martiale, des mesures de guerre! Je commence à capoter, de vieux sentiments enfouis au fond de moi refont surface; je suis déjà «confiné» à l’année. Quand j’ai la chance de voir des gens, ça me fait le plus grand bien! Mais depuis plusieurs mois, leur loi me brime tellement! Bref, il faut continuer de faire notre bout de chemin, se rallier au lieu de se diviser, s’unir pour rester fort, face à l’adversité! À plus!

vendredi 23 octobre 2020

Recoller les morceaux...

Ça peut paraître redondant de le dire, mais enfin vendredi! Une grosse semaine de faite, sans oublier aujourd’hui! Je suis content que l’ouvrage reprenne. Ça me donne de l’espoir, ça me donne le goût de continuer. Après avoir agoniser pendant un gros mois, sans oublier le bris de l’imprimante, il fait bon de sentir son corps fatigué, mais fatigué d’avoir gagné sa vie. Encore une autre semaine de passée, prisonnier des mesures de guerre imposées par un gouvernement sans pitié qui oublie pourquoi il est au pouvoir. Il est au pouvoir pour faire avancer la société, mettre en branle les idées de cette dernière! Et non prendre les citoyens en otage, comme si nous étions des criminels de guerre! Comme si nous étions incapables de prendre soin de nous! À ce que je sache, vous nous laissez travailler; vous avez besoin de notre argent, qui arrive toute seule grâce à la TVQ! Mesquins! Vous ne voulez pas qu’on voit notre famille, nos amis, mais il faut aller travailler! Comprenez bien une chose, on dirait que nous sommes dans une royauté, que nous sommes vos sujets! Alors que dans notre «démocratie», ça devrait être tout le contraire! Vous êtes là pour nous représenter, représenter nos idées! Depuis votre élection, vous agissez comme si nous n’existions pas! Vous vous occupez de ceux qui vous ont «torché» pendant la campagne! Vous vous foutez éperdument de nous! Jamais je n’ai regretté autant un vote! Le trou d’eau est atroce, mais je n’ai pas voté pour lui! Par contre, monsieur le gros, vous êtes une catastrophe! Et il serait temps de remettre votre démission, ou du moins demander pardon, car vous avez «détruit» la province! C’est un véritable massacre! Avec la Castafiore, vous auriez sûrement bâti une dictature, dans lequel tous les gens travailleraient  pour vous. Moi qui pensait que c’était impossible d’être aussi désastreux que la Castafiore! Ouf! Désolé, mais j’aurai bien de la misère à vous pardonner tout ça. Personne ne mérite ce que vous nous imposer! Et d’avoir diviser les gens encore plus, est peut-être un avantage à court terme pour vous, mais vous devrez recoller les morceaux de cette société, brisée pour plusieurs années! C’est à vous les oreilles! Et dire qu’il y a des gens qui voteraient encore pour vous....

jeudi 22 octobre 2020

On garde le cap.

Ouf! Que de pluie diluvienne nous avons eu hier! Un déluge incroyable! J’ai pu aller en vélo hier matin, et aussi ce matin; tout était trempé, mais parfaitement «pédalable». Manquant un peu de courage, mon fatigomètre affichant qu’il ferait bon d’être vendredi déjà, je me suis botté le derrière pour m’habiller et y aller! Je ne sais pas quoi vous dire, d’où provient cette volonté d’y arriver, coûte que coûte. Je me dois de faire de mon mieux, de faire en sorte de pouvoir «survivre» à cette crise mondiale, une crise étrange, qui dure depuis plus de six mois! Une crise qui détruit nos vies. Dire que certains ont déjà commencé à nous marteler les oreilles avec leurs histoires de climat, de réchauffement, d’empreinte de carbone...Y a-t-il moyen de s’en sortir? De vivre en paix, sans toute cette folie? Je ne veux pas de ces mesures «envahissantes», je ne veux pas non plus adhérer à une théorie que l’homme peut être plus fort que la terre! Je veux simplement être heureux, libre de marcher dans la rue sans me sentir regarder, je veux pouvoir donner mon opinion sans avoir peur de me faire ramasser sur les réseaux sociaux. Réseaux que j’aspire d’ailleurs à quitter le plus possible, car ils sont «pollués» de choses qui ne m’intéressent vraiment pas. Autant j’ai aimé avoir des nouvelles des gens qui ont fait partie de ma vie, de près ou de loin, maintenant j’ai en horreur toute l’évolution de ces «tribunes» populaires, où les gens viennent «domper» leur diahrrée sociale, leur fond de pensée pas plus évolué que celle d’un homme des cavernes! Les gens que j’aime suivre, pour leur implication sociale, pour leur art graphique, toutes ces personnes qui sont devenues des activistes du climat, ou encore des spécialistes d’une quelconque diète keto! Ou encore qui se porte volontaire pour casser du sucre sur le président américain, alors que leur propre PM national est sans cesse en conflit d’intérêts! Je ne veux plus de ça! Ça me rend malade. Donc je poursuis mon abstinence journalière de Facebook, je quitte doucement Instagram, je masque de plus en plus de gens sur Twitter. Je m’isole de plus en plus. Et comme nous ne pouvons pas voir vraiment les gens qu’on aime, il devient très désagréable au quotidien de se sentir seul. Car il est clair que j’ai dû me retirer dans mes quartiers avec les années, en travaillant seul, directement de chez moi. Depuis quelques mois, ce n’est pas tellement drôle. C’est plutôt aliénant. Alors on garde le cap, sur ce qui compte le plus, comme le ferait notre organisme, en pleine hypothermie! Ouin....

mercredi 21 octobre 2020

Une épée de Damoclès...

Un autre matin de vélo très paisible. Je n’ai pas rencontré une seule voiture! Il faisait deux degrés, pas vraiment de vent, la paix! Dire que ces moments achèvent, ça m’attriste quelque peu. Je me dis que j’ai mon autre vélo, le gros «Surly», avec lequel j’entends bien passer quelques moments durant la période du manteau blanc. Pour le reste, il va y avoir du vélo intérieur aussi. Mais pour le moment, continuons de savourer ces doux moments, seul, dehors, avec aucune contrariété, le volume à «LOW»; Très tranquille. Très loin des soucis, des inquiétudes, des sources de stress quotidiennes qui m’écrasent! Je cherche une façon de vivre en parallèle de tout ça. Mais je ne suis pas capable de me faire à l’idée. Aller au Canac, mettre un masque et avoir des consignes à l’entrée et aux caisses. Aller à l’épicerie, mettre un masque, subir le surveillant à l’entrée, se détremper les mains avec leur produit douteux, voir les flèches de direction au sol, faire la file aux caisses, attendre le signal d’un commis pour enfin vider son panier, payer et s’en aller! Avoir peur de rencontrer des gens en dehors d’un contexte de travail, amendes qui rôdent, comme une épée de Damoclès qui attend le moment opportun... S’abstenir d’aller sur Facebook dans le jour, parce que c’est trop toxique, trop décevant. Voir des gens complètement «névrosés» par les événements, qui portent un masque dans leur voiture, seul. Qui portent un masque en prenant une marche, seul. Des gens qui «espionnent» les autres, et qui peuvent appeler pour «stooler»...! Pas de films en salle, pas de restaurants ou s’asseoir, laisser les gens venir vous offrir leur menu et passer une belle soirée! Pas d’activités extérieurs, pas de rassemblements familiaux, pas de vendredis soirs entre amis pour bien finir la semaine! Des écoles à plusieurs vitesses, avec des consignes aléatoires, allant du port et du retrait du masque, selon le groupe bulle; et une journée sur deux de présence à l’école, histoire d’être encore plus mèlé! Et puis, des services encore plus «dilués», par manque de personnel, par surplus de consignes sanitaires, il est difficile de s’y retrouver! Et puis, on sent bien que les gens commencent à grogner, ils se sentent lésés, bafoués par le gouvernement et ses sous couches actives... Sans compter que tout ça provoque une récession, un manque de matériaux dans tous les secteurs! Les livraisons ne sont plus garanties! Il y a des manques partout! Et il faut réussir à vivre tout de même. By the way, je suis toujours en attente de me faire opérer, mon fils est toujours une personne anxieuse à temps plein, incapable de se trouver une place dans la société! Mon autre fils «attend» toujours des réponses du CRDI! Ma douce épouse commence à craquer, et moi, je suis en thérapie, mon entreprise est ruinée, et je suis inquiet pour le futur.

mardi 20 octobre 2020

Ça doit cesser immédiatement!

Beaucoup de pluie ce matin, neuf degrés. Ça fait deux mois qu’il pleut vraiment souvent, que nous vivons des températures vraiment froides en comparaison avec les normales saisonnières. Mais les gens me disent : «On a eu un bel été!» Donc rien ne sert d’en parler plus. Mais je me rends bien compte que les gens oublient tout à mesure, n’ont pas beaucoup de mémoire des événements. Mais la quantité d’informations que les médias nous dilapident à longueur de journée n’aide pas tellement. Par contre, il est vrai que nous avons eu deux mois plus chaud, deux mois de température qui faisait «été». Jamais nous n’avons entendu parler que ces chaleurs avaient fait mourir des personnes âgées! Cette année, depuis mars, tous sont décédés de la covid! Maintenant, il faudrait penser à ceux qui meurent pour vrai, tous ceux qui, pour une autre raison que la covid, sont tombés au combat. Des personnes qui sont laissés seuls dans des hôpitaux; leur famille ne peut même pas aller les voir, à cause de la covid! Mais toute notre vie est maintenant «gérée» par cette dernière; les livraisons ne sont plus garanties, l’approvisionnement en matériaux de toutes sortes, non plus! Les commerces fonctionnent au gré des humeurs de nos dirigeants, plus rien ne compte vraiment, sauf «l’éradication» de la covid. Pourtant, si on prend la peine de regarder autour de nous, à part des gens en beau criss, il n’y a pas signe de pandémie, même pas d’épidémie! Juste du narratif, poussé sans arrêt par les médias. Juste vouloir améliorer notre sort tient de la fiction. On dirait que nous sommes «prisonniers» d’un régime totalitaire, lequel nous enlève tous nos droits, mais aussi tout désir de changement! Je ne connais personne qui souhaite que ça demeure ainsi. Les gens veulent retrouver leur vie! Ils veulent sourire de nouveau! Ils veulent être libre d’aller où bon leur semble, ils veulent retrouver leur dignité en tant qu’être humain! Ce régime de peur doit cesser immédiatement! Et je ne parle pas de ceux qui ne veulent plus vivre... Et juste pour être honnête, monsieur le gros, donnez votre démission et allez prendre des vacances!

lundi 19 octobre 2020

Tanné de vos sornettes

Un beau matin de vélo avec neuf degrés. Nuageux ou non, impossible à dire, il fait toujours noir. Mais pour vrai, il n’y avait pas d’étoiles, alors... Bref, j’en suis venu à la conclusion suivante, si je paie mes impôts, mes taxes, que je vais voter, je suis un honnête citoyen. Ça me donne le droit à mon opinion, et à la partager! Donc je ne suis pas une personne qui fait dans les complots! Il faut arrêter de faire peur au monde, de diviser les gens! Mais surtout, il faut que vous commenciez à avoir du respect pour ceux qui vous ont élu! Moi je n’arrive pas à comprendre votre mépris. Vous nous parlez comme si nous étions des enfants. Vous nous proposez des mesures plus ou moins claires, dans le but de diviser l’opinion des gens; comme ça vous êtes sûrs qu’ils ne s’uniront pas pour vous «challenger» sur votre façon de faire. Et pouvez-vous arrêter d’utiliser des mots à outrance, comme «sécuritaire» au lieu de sanitaire. Et aussi, distanciation «sociale», devrait être distanciation physique! Votre narratif tue, autant que vos mesures! Je suis vraiment tanné de vos sornettes. Et puis, arrêtez d’étendre votre fiel sur Twitter, en vous bombant le torse d’avoir lu des livres québécois! On s’en câlisse de ce que vous lisez! Franchement, rendez-nous notre vie, avec compensation pour tous les bons moments en famille et/ou entre amis que vous nous avez enlevés! Vous faites le malin, mais pour vrai, vous n’en valez pas la peine. Un jour nous trouverons un moyen de vous foutre à la porte, une façon de pouvoir contrer vos méthodes «sauvages». Ce jour-là, préparez vos valises...

samedi 17 octobre 2020

Une autre étape.

Samedi matin, sept degrés avec de la pluie. On pourra dire que depuis la mi-août, il a plu! Autant nous avons eu des températures sèches au début de l’été, maintenant nous avons eu l’équivalent en temps de pluie! Il y a toujours un équilibre quelque part, une sorte de compensation. Mais personnellement, j’ai encore le goût de faire du vélo à l’extérieur; mais si je me fie à mes statistiques personnelles depuis une douzaine d’années, il me reste environ deux semaines de vélo de route dehors, tôt le matin. Le temps est venu de monter les abris d’autos, d’abrier les arbres, de préparer notre petit monde pour l’arrivée du manteau blanc. Puis ce sera les pneus d’hiver, les tapis d’hiver, les essuie-glaces d’hiver, etc. Puis ce sera notre premier hiver avec une absence de forêt quasi complète derrière la maison. Ces arbres qui veillaient sur nous, nous protégeaient contre bien des vents, bien des méfaits. Maintenant, les gens voient très bien derrière la maison, ils peuvent même passer à pieds juste derrière! Il y a une clôture, mais il n’y a plus d’arbres... Une autre étape dans notre vie au Capitolin. On s’en reparle, bonne fin de semaine!

vendredi 16 octobre 2020

Arrêtez de faire la sourde oreille!

Pluie ce matin avec un dix degrés. Comme je me suis gâté pas mal hier en vélo, je me tiens plus tranquille ce matin. Je dois installer du vinyle au Centre des Congrès aujourd’hui, alors ce sera assez physique pour moi, en ce vendredi où ma Bibi sera de retour après quatorze jours à l’extérieur! Hier nous fumes témoins d’un manque flagrant de respect de la part de monsieur Legros; en écoutant sa réponse au journaliste d’une certaine radio, il a perdu soudainement son habitude d’être courtois dans ses réponses, comme si la question n’était pas prévue. Dans sa réponse, sur un ton condescendant, il semblait vouloir dire que cette radio ne disait pas aux gens de suivre ses directives. Il semblait irrité au maximum! Pourtant, ce n’était pas une question piège, seulement une question! Mais quand il s’agit de s’occuper de ses électeurs, on peut dire que c’est raté. Depuis le début, notre premier ministre s’occupe de ceux qui ne l’ont pas élu, de ceux qui «demandent» sans arrêt, de ceux qui sont pour «une économie verte». J’aimerais bien vous voir évoluer pour vrai dans la réalisation de vos demandes, plus farfelues les unes que les autres! Pour en revenir à notre PM, il semble à côté de la plaque, perdu. Où s,en va-t-il avec son panier bleu? Que fera-t-il de concret pour relancer l’économie qu’il a détruite? Il n’arrive même pas à dissimuler ses émotions face à une question toute simple! Je suis pour le respect des autres, de la terre, mais je suis avant tout pour l’Amour! Alors arrêtez de diviser la province, arrêtez de faire la sourde oreille face aux inquiétudes de vos citoyens! Il faut l’admettre, si nous étions privés d’informations, à vivre tous les jours, il serait difficile de voir, de constater qu’il se passe quelque chose. C’est sûr qu’avec vos décorations, vous forcez la note; difficile de manquer vos affiches de port du «couvre-visage», vos affiches de 2 mètres de distanciation. Difficile aussi de manquer le fait qu’il faut obligatoirement porter un masque à peu près partout. Vous avez semé le doute un peu partout avec vos mesures, par manque de transparence, par manque de clarté. Vous vous contredites tellement souvent, vous jouez avec les mots, mais surtout, vous n’êtes pas à l’écoute des gens, ceux qui vous ont élus. Il y a toujours un retour du pendule, toujours. Alors bon vendredi!

La ride que je voulais faire.

Laissez-moi vous parler de ma randonnée en vélo d’hier après-midi! Il faisait vraiment beau, seize degrés, soleil et nuages, je suis parti avec mon gros «Pugsley» pour une escapade qui s’annoçait pour le moins excitante! Depuis un bout, j’avais le goût d’aller faire la trail qui se trouve entre Pie XI et de l’Aéroport, celle qui se trouve sous la ligne de transmission. Dans ma tête, il y aurait du sable, de la terre, un peu de vase, et bien du plaisir! Une fois sur place, je me rends compte que la piste est affaissée un peu partout, alors il faut redoubler d’ardeur, mais aussi s’ouvrir les yeux. Plus je montais, car ça monte en sacrament, plus la piste était maganée! Avoir eu une GoPro, je pense que j’aurais aimé filmer tout ça. Une piste complètement défoncée, de l’eau, de la boue, des roches, incroyable! Et ça ne fait que monter! À mi-course, je m’arrête à un endroit où le sol était enfin sec. Ma respiration était galopante, il fallait que je me repose un peu! Puis j’ai réalisé que je ne m’étais pas amené d’eau! Mais le défi m’appelait, je devais repartir pour me rendre en haut! La piste ne s’est jamais améliorée, que de bonheur, seul dans ma bulle, essayant de ne pas tomber, ni mettre les pieds au sol, car c’était vraiment vaseux... Mission accomplie! Je pourrai dire que je l’ai fait! Et je pourrais y retourner! Il y a en cet endroit un potentiel de pratique hors route incroyable! Et ce n’est pas un «sentier» droit, ce ne sont que méandres, roches et obstacles! Voilà! Ça m’a permis de lâcher mon fou, peut-être même un peu trop! Mais je ne regrette rien, ça non! J’y retournerais, mieux préparé et avec de l’eau, aussitôt que possible. Je me disais, une chance que je montais, car en descendant, je crois que je me serais planter...!

jeudi 15 octobre 2020

Le reste viendra.

Trois degrés ce matin, très froid en vélo, surtout pour les mains. J’ai installé mes moufles sur mes poignées, car ce n’est plus acceptable de geler autant des mains. Pour le reste, malgré le froid, quelle paix. Et comme pédaler sur mon rouleau fait vraiment plus de bruit, alors on continue à l’extérieur aussi longtemps que possible! Hier, on aurait dit que la vie reprenait dans mes bureaux alors que l’ouvrage reprend doucement, suite à un creux, inhabituel, depuis un mois. On aurait dit que «c’était le bon temps» pour que mon imprimante brise! Ça fait drôle à dire, étant donné qu’il n’y a pas vraiment de moment pour que notre équipement de travail brise. Mais cela me rend heureux de pouvoir imprimer. Je me sens revivre, mais aussi, je sens que je dois me reprendre en main, ne pas laisser la noirceur s’emparer de moi. Je ne veux pas croire que nous serons obligés de se faire chier encore longtemps avec l’urgence sanitaire, une sorte de fable, que nos dirigeants essaient de nous faire avaler. Vivre parallèlement à cette doctrine, surveiller ses arrières, et prendre soin les uns des autres. Continuer de garder contact avec les amis, les vrais. Laisser de côté les parures et leurs adeptes. Garder confiance en l’humain, celui caché au fond de chacun de nous. Le reste viendra. Alors on s’accroche à la vie, comme les feuilles aux arbres, refusant l’automne, et autant l’hiver et son manteau blanc. À plus!

mercredi 14 octobre 2020

Ce n’est plus vivable.

Bon matin! Quel lever bizarre ce matin, alors que mon fils m’appelle à 4:15 pour me demander d’aller le chercher. Avec plaisir, mais pour quelles raisons? Il y a vraiment pire, surtout que ma nuit s’est avérée un peu agitée. Le sommeil me quittait souvent et je me demandais si je serais mieux de me lever pour écrire un peu ou encore dessiner. Donc après un bref entraînement, la pluie me reléguant à l’intérieur, je me suis concentré sur mon vélo d’hiver, mon vieux LOOK. Gonfler les pneus, ajuster le siège, pédaler un brin pour vérifier les vitesses, l’état de la chaîne, etc. Pour un vieux vélo de vingt-cinq ans, il se porte bien. Sept degrés, avec une bruine, c’est très mouillé dehors. Mais nous sommes déjà mercredi et le reste de la semaine commence à se remplir. Et c’est aujourd’hui que je vais pouvoir utiliser mon imprimante en grand! En attente d’une cartouche de solvant, je ne peux prendre de chance d’abîmer les conduits ou quoi que ce soit; après 3200$ de réparations, difficile d’être audacieux! Alors je ne m’excite pas, je veux seulement revenir à la «normale». Travailler de chez moi, je le fais depuis plus de douze ans. Mais ne pas aller voir les gens que j’aime, je suis vraiment tanné. M’obliger à porter un masque dans une salle où je suis seul, en train de lettrer un camion, à quoi ça sert? Avoir une diminution de 75% de mon chiffre d’affaires depuis un mois, je suis vraiment inquiet pour les mois à venir. Les dîners d’affaires n’existent plus. Les réunions avec les membres du comité administratif de l’association des gens d’affaires sont suspendues jusqu’à nouvel ordre. Ensuite, impossible d’écouter un média sans se faire casser les oreilles avec des publicités «avertissement»; ce n’est plus vivable. Et puis, les irritants habituels, comme les préparatifs pour l’arrivée du manteau blanc, commencent! Et de lire que plusieurs chirurgies seront retardées encore, je me sens pris en otage avec mon hernie. Je dois discuter avec mon médecin à ce sujet, ce matin. Ma Bibi revient ce vendredi, ce sera un moment de joie; quatorze jours au loin, dans l’espoir de ramasser des sous un peu, et de se sentir utile. Et voir autre chose que notre «confinement hypocrite»...

mardi 13 octobre 2020

Je reviens.

Déjà de retour après une fin de semaine de trois jours. Elle fut belle, malgré le manque de chaleur. Disons que samedi, la température est montée à vingt degrés, nous avons pu profiter du décapotable. Mais ce fut un privilège de courte durée. Rendu au souper, il est tombé un orage mémorable! De très longue durée, avec tonnerre et éclairs, tellement d’eau, encore une fois. Sion, nous avons gelé bin dur dimanche et lundi. Par contre les doux rayons du soleil nous accompagnaient. Hier fut une journée sans pareil, alors que mon imprimante fit un retour à la vie! Moyennant 3200$, me revoici capable d’imprimer! Capable de faire bien des choses! Bien sûr, à moi de faire en sorte que tout cela continue de fonctionner à merveille. Peut-être que la machine avait déjà des antécédents au niveau de la tête d’impression, étant donné que c’est la seule pièce qui n’avait pas été changée lors de sa remise à neuf, en 2017. Anyway, quel sera le marché d’ici là? Puis-je être optimiste pour le temps des fêtes? Est-ce que l’ouvrage va reprendre un peu? Les entrepreneurs sont en mode panique, essayant de se remplumer le plus possible pour fermer leur année. Car l’Halloween s’en vient très vite, et qu’est-ce qui suit cette fête de très près? Noël!!! Eh oui! Normalement, une fois le mois d’octobre terminé, ça déboule tellement vite! Inutile de dire que cette année, ce sera la magie de Noël qui viendra nous réchauffer le coeur! Car les cadeaux sont déjà donnés... Je pense imprimer des posters pour tout le monde... J’ai une imprimante à rentabiliser! Alors on va de l’avant avec un optimisme hors du commun! En selle pour cette semaine de quatre jours. Dans ma tête, rien ne peut surmonter ce traumatisme, cet événement surnaturel, qui dure depuis plus de six mois! Certains s’en foutent, d’autres ne pensent vraiment pas à long terme. Pour ma part, je tente de me botter ultimement le derrière, regagner de l’énergie et revenir en gagnant de toute cette crise. Mais que sera-t-il de nos dirigeants? Vont-ils continuer de nous mettre les bâtons dans les roues? Pourra-t-on revenir à la normale, un semblant de comme avant? Vingt-huit jours mon œil, bande de tout croche, qui ne pense qu’à eux. En tous cas, vous feriez bien de vous reprendre, car les gens seront sans pitié. Vous êtes avertis!

lundi 12 octobre 2020

Profiter des petits moments

Dans le contexte actuel, voir des gens qu’on aime devient un réconfort immédiat. De savoir qu’ils vont bien, que leur vie continue au mieux qu’ils le peuvent; juste de le savoir, de savoir un petit bout de leur vie, peu importe si c’est de la joie ou de la peine, les accompagner en même temps qu’ils nous accompagnent! Tout ça, c’est la vraie vie! On dirait que les gens vont finir par se rallier, faire équipe devant l’adversité du gouvernement en place. Arrêter de jeter la faute chez le voisin, de chercher un coupable absolument et de leur régler son compte sur les réseaux sociaux avec le tribunal populaire! Quelle sauvage façon de faire! Quel manque de respect! Il faut se tenir tranquille, penser à ce qu’on veut dire, sinon quitter toute forme de réseau social! Plus que jamais, les gens ont perdu la notion de respect, la façon d’aimer! Cela m’attriste énormément! J’ai de la difficulté à vivre avec ça. Et j’ai aussi de la misère à taper ce matin, ayant geler des doigts tout l’après-midi hier. Mais ce fut un moment de gloire! Dessiner sur le bord du fleuve, en bonne compagnie. Jef était content de me voir. Cameron est venu déguster de moment avec nous. De le voir jouer de la flûte, de le voir s’exprimer à sa façon, quel privilège. Entre nos deux mondes, il y a parfois des fenêtres qui s’ouvrent; il faut être attentif à leur ouverture et entrer! Sinon les doux moments, ceux qui font du bien, deviennent vite un souvenir! Et on pleure de pouvoir partager d’autres moments avec lui. Quelle belle journée, hier, malgré le froid. Soleil et couleurs d’automne. Pas de roulotte à hiverner! Mon père est venu faire un tour, nous avons réussi à bien rire avec le gilet que je lui ai fait. Et que dire de la visite très tardive, mais combien appréciée de la famille Prémont-Marin! De venir me rejoindre au feu que je m’étais allumé. Le froid nous tiraillait vraiment, mais quel bonheur, quelle joie de se sentir apprécié! Il faut prendre soin de ceux qu’on aime et qui nous aime. Il est si facile de tout perdre. Si la tendance se maintient, mon imprimante reprendra vie aujourd’hui. Ce sera un nouveau départ, une nouvelle vie. Depuis plus d’un mois que je ne peux imprimer. Tout reste à voir. Et en après-midi, j’aimerais aller faire un tour de vélo et aller chanter avec Alain. C’est bien d’avoir des rêves, surtout en ces temps de restrictions. D’ailleurs, les restrictions sont toujours là, même si bien des gens, comme moi, comme mes enfants, comme ma femme, se demandent bien où est-ce qu’on s’en va avec ça? Pourquoi refaire l’économie de cette façon? Pourquoi punir tout le monde pour vos erreurs du passé? Si vous avez des regrets, pardonnez-vous en redonnant aux gens leur vie! Et commencez dès aujourd’hui à rebâtir l’économie avec innovation et un désir de prospérité! Cessez de faire les autruches, montrez-nous le meilleur de vous-mèmes! On s’en reparle!

dimanche 11 octobre 2020

On manque d’air!

Dimanche matin. Hier nous avons eu droit à toutes les températures, comme c’est le cas, quelques fois par années, dans notre climat tempéré! Un début de journée très frais, des vents titanesques, une ballade en décapotable après le dîner, un orage électrique très violent sur l’heure du souper, et un rapide refroidissement par la suite! Ce matin, avec un mince deux degrés, le soleil semble de retour. La grogne sur les médias sociaux continue de monter; le gouvernement semble au dessus de tout ça, en parlant de maladie mentale «possibles», en soulignant que c’était la journée mondiale des maladies mentales. Il devrait commencer à réagir, si je suis en thérapie, je ne suis pas le seul! Et puis, il y a cette attitude, ce je ne sais quoi que les médias attisent fortement; leur discours, leur attitude, qui ne ressemblent en rien à ce qu’on vit au quotidien. Les gens se demandent pourquoi tout ça; ils se demandent ce qu’ils ont fait; ils cherchent à comprendre! Et pour cause! AU début de cette endémie, il fallait protéger les personnes âgées, ceux qui ont des «prédispositions»; mais tout ça est devenu une mascarade absolument farfelue le 18 juillet. Et ceux qui brassent le tas de fumier pour que ça sente, ce sont les médias! Et maintenant, tout le monde en punition pour sauver l’incompétence de notre système! Ca fait quarante ans que je le paie, votre système! Ça fait aussi au moins vingt-cinq ans que je le dénonce, que je le subis! Un système trop densifié, avec trop de ramifications. Un système trop lourd, avec des personnes clés qui ne peuvent travailler efficacement à cause de tous les paliers qu’il faut «traverser» pour faire une différence! Sans compter les quelques incapables et aussi ceux qui sont là pour les mauvaises raisons; ceux-là aussi embourbent le terrain déjà presqu’impossible à perforer! Occupez-vous des problèmes déjà existants! Je le répète depuis des années! On dirait que vous avez fait exprès pour faire fausse route, pour camoufler votre incapacité à gérer quoi que ce soit! Par contre, votre déni face à votre échec commence à prendre des proportions pour le moins risquées. Car votre acharnement à vouloir démontrer au monde que ce n’est pas votre faute finit par démontrer le contraire! Vos mesures de guerre démolissent la santé mentale des gens, mais aussi leur ambition. Sans oublier que vous avez mis en péril toute l’économie! Même si votre compétence est remise en doute, il est toujours temps de vous excuser, de remettre les choses en place et de vous asseoir avec vos concitoyens pour discuter et trouver des solutions pour recoller tous les morceaux ensemble! Au lieu de diviser les gens, commencez à les ressembler, pour assurer un meilleur avenir! Allez, vous avez la tribune pour le faire, et vous devez le faire! Ne laissez pas les médias vous dire quoi faire! Retroussez vos manches, comme nous le faisons tous depuis des années! Mais de grâce, dépêchez-vous, on manque d’air...

vendredi 9 octobre 2020

Seulement un degré ce matin, avec une crevaison spectaculaire, ma journée a débuté en trombe! Et le texte que je viens de lire me secoue comme un arbre confronté à de forts vents! Il s’agit d’un texte d’opinion, publié par l’Institut Économique, traduit de l’anglais, qui parle des différents régimes auxquels l’homme peut se coller. Il est question de totalitarisme, une façon «comme une autre» de diriger un peuple. Mais pour la première fois, on y décrit clairement de quelle façon ça peut fonctionner. En confinant les gens, en utilisant une sorte de «décret» appeler urgence sanitaire, les gouvernements ont réussi à contrecarrer l’habeas corpus. Et ainsi outrepasser tous nos droits, toute notre dignité en tant qu’humain sur cette terre. Donc il s’agit d’une forme de dictature, réécrite, mais encore plus contrôlante. Il y a des failles, mais aussi des «entourloupettes» bien cachées dans leur jeu. Bien sûr, je vais relire ce texte, l’analyser pour mieux le vulgariser, mais son contenu, tout à fait révélateur, ne doit jamais être compris clairement par la partie dirigeante. Et le peuple doit se soulever, et vite. Je ne veux pas de ce régime, je ne veux pas non plus vivre par le biais de toutes ces mesures. Je veux vivre ma vie par moi-même. En ce vendredi le 9 octobre, je déclare une chose, le droit de vivre, de respirer, de pouvoir conserver mon libre arbitre, et de ne pas être associé à aucun de ces régimes plus ou moins contrôlant. Souvenez-vous en, je l’ai écrit pour que ça reste. Quel merdier. Je ne peux m’en vouloir de comprendre les choses, mais je suis en état de garde, comme un gardien de nuit, veillant sur ma famille et ceux que j’aime, pour les protéger devant l’adversité de cette folie! Et pour les autres, ceux qui veulent être diriger, ceux qui veulent diriger, sans se poser de questions, aller donc faire un tour ailleurs! Bon vendredi!

jeudi 8 octobre 2020

Criss de marde...

Premièrement, parlons de vraies choses, ce matin, cinq degrés avec un vent qui arrache tout! Comme le dit ma Bibi, le monde se divise et ça fait peur. Ça sent la guerre civile, sans exagération. Quand c’est rendu que tu bloques une de tes tantes, car ses propos ne font que nous donner des leçons! Ce serait l’fun de pouvoir passer à autre chose, rebâtir nos vies, se refaire les poches! Car nous n’avons plus rien. Le gouvernement nous a pris tout notre argent, il nous tient confinés, on ne peut rien faire! Même si chaque matin, je me crinque pour continuer, trouver la volonté de travailler, les miettes qui restent. Car sans imprimante, avec à peu près vingt-cinq pourcent du chiffre d’affaires de d’habitude, je me laisserais choir sur le divan, à bailler aux corneilles! C’est vraiment pas drôle! Avec toutes les singeries que nos dirigeants nous imposent, il n’y a rien pour nous stimuler, absolument rien! Dans mon coeur, je suis toujours en Amour, mais pas avec ces mesures de guerre, une véritable dictature! Qu’arrive-t-il ? Quelle est cette vie? Je n’en veux pas. Je me sens perdu, complètement écarté! Au sommet de leur tribune, ils nous martèlent de faire des efforts, de se ressaisir! De quoi parle-t-il? Imaginez, je ne dors pas plus qu’avant, dans ma tête, les hamsters sont déchaînés! Que pouvons-nous faire? Une histoire qui semble sans fin, sans joie, sans personne pour se réunir et en discuter. Refaire le monde, comme depuis des années, devant une bonne bière. Vraiment une guenille de vie... Je suis fini, dans ma tête, la tornade me décrisse, elle m’enlève toutes mes envies de sourire, de partager! Il faudrait que ça s’arrête bientôt; même qu’il commence à être un peu trop tard...Il y a déjà beaucoup de mal de fait.

mercredi 7 octobre 2020

Garder la tête haute.

Ce matin, j’ai fait le constat suivant : Il pleuvait pas mal pendant ma ride de vélo, mais en comparaison avec le climat de vie quotidien actuel, c’était merveilleux! La quiétude, la paix d’esprit. Oui j’avais le derrière trempé, oui mon vélo est vraiment «beurré», comme mes vêtements, car il y avait tellement de sable et terre au sol, mais j’avais la paix! Même si j’avais l’impression de peser un bon 25 livres de trop, avec des pneus mous, dans ma tête, la vie était belle! Il n’y avait personne pour me dire quoi faire, comment respirer! La pluie tombait, mais je me suis rappelé pour qui je pédalais : moi. Je m’aime et je suis fier de moi! Je me sens bien de penser à moi, de savoir que je suis en santé, un peu endommagé, mais fonctionnel pas si pire. Hier matin, j’ai eu un peu la frousse, je me sentais «fessé raide», perdu. Pourtant, quand la nouvelle est arrivée, ce fut vraiment dur; pas d’imprimante avant la semaine prochaine... La fille du technicien a testé positif! Encore des dommages collatéraux de la covid!!! J’ai dessiné, j’ai parlé à du monde, ça m’a fait du bien. Et ma sœur est venu travaillé un peu. La remise de taxes sera complétée aujourd’hui. Bin oui, je vais remettre un beau chèque au gouvernement! Incroyable! La machine a faim, ne donne aucun répit. Je me demande quel sera mon chiffre d’affaires de 2020, combien de temps ça va me prendre pour revenir à des chiffres viables. Car si mon entreprise était incorporée, j’aurais déjà mis la clé dans la porte. Alors je sens en moi que tout ça va revenir. Alors je reste concentré sur ce que je peux, gardant la tête le plus haut possible. Tout reste à voir. Mais comment peuvent-ils nous garder enchainés ainsi, sans avoir de remords? Et comment se fait-il que des gens suivent la parade comme si de rien n’était. Je me sens oublié, tombé dans un «craque» du système. À bientôt.

mardi 6 octobre 2020

Un peu frustré.

Une fois de plus, nos dirigeants ont sévit avec de nouvelles mesures pour nous empêcher de vivre. Des masques pour les enfants et les ados! Nous, on en met pas dehors, alors peut-être que ça va arriver! Et puis, arrêt des sports d’équipes, fermeture des gyms, comme si il fallait arrêter les gens de vivre, mais aussi de se garder en forme. Même de leur empêcher de faire sortir leur méchant... Anyway, ça sert à rien de perdre notre sang froid en pensant à ça, mais il y a de quoi se poser des questions... Même si ceux qui se posent des questions se font catégoriser par les médias, je crois qu’il faut continuer de s’en poser. Ça fait des années que je remets en question tout ce système de marde, je ne vais pas arrêter parce que des personnes me traitent de noms! On se croirait dans la cour d’école... Franchement, il y a sûrement une autre façon de faire! D’ailleurs, c’est votre entêtement qui prend le dessus, votre côté «Nous sommes les meilleurs» ou encore «Ce n’est pas fait au Quebec..» Il faut que vous vous preniez en main, que vous trouviez des solutions, et autre chose que de faire peur aux gens! Les gens n’ont pas peur du virus, ils ont peur de vos tickets! Pensez-y trente secondes, vous «sucez» vos citoyens à longueur d’année, en leur prélevant à la source un bon 50% de leur salaire, et, par la suite, un autre 25% par le biais de différentes taxes. Et vous avez l’audace de menacer ces derniers? J’en rajoute : hier j’ai reçu une lettre de la CAQ! Une lettre qui parle de la crise comme si venions de la terminer, et aussi pour vanter combien notre député fut présent pour nous.... J’ai failli rire, mais finalement, je ne l’ai pas trouvé drôle. Non mais, quel culot! Et dans l’enveloppe, un formulaire de renouvellement de membership.... Franchement, il faut être effronté! Je suis allé faire du vélo hier soir aussi, question de faire sortir un peu de méchant. Il faisait douze degrés, c’était très confortable. Ce matin aussi avec un huit degrés, c’était pas si mal. J’ai commencé à écrire ce qui me fait de la peine chaque jour, ça fait partie de ma thérapie. Ce ne sera pas tellement dur. Ensuite on verra. À plus!

lundi 5 octobre 2020

Je veux vivre.

Je continue de m'interroger sur toute cette situation. J'aimerais pouvoir donner mes impressions en public. Juste pour clarifier que nous sommes encerclés par l'ennemi. Ennemi? Par définition, Personne qui s'oppose à, qui a de l'aversion pour quelque chose. Donc si on se pose des questions, nos dirigeants et les médias sont contre nous! Ils nous catégorisent, cherchent à nous faire taire. Je me sens comme si c'était moi l'ennemi! Alors que c'est moi et les autres qui paient de l'impôt et des taxes pour faire vivre ce gouvernement et les médias! Donc qui est l'ennemi? Tabarnak! Se poser des questions, c'est bon pour l'esprit, ça garde éveillé! Qui se donne le droit de nous définir? Depuis mars, les différentes manoeuvres des dirigeants, dirigées par les médias, ne font que détruire tout. Tout? Oui! L'ensemble des choses qui nous entourent! L'économie, la paix sociale, la paix d'esprit, la santé mentale, la vie en générale! Pourquoi? Dans quel but? Je cherche une histoire d'amour à laquelle m'accrocher! J'ai beau croire en l'humain, ça semble assez abstrait en ce moment. Après avoir laisser les commerçants s'endetter pour continuer, les revoilà en cage, derrière des barreaux. Certains se demandent pourquoi n'ont-ils pas fermé les livres pour de bon en mars? Pour ma part, je suis ruiné. J'ai de la difficulté à faire mes paiements, les dettes s'accumulent, je me demande si un jour je prendrai le dessus. Sans avoir réussi à prendre le dessus à travers les années, pour différentes raisons, me voilà devant le fait accompli : Je serai endetté jusqu'à ma mort. J'ai beau lire, me documenter sur ce qui se passe, le narratif va à l'encontre du data! Il n'y a rien à comprendre. Cette incohérence, omniprésente, fatigue tout le monde. Par ailleurs, elle divise les gens, pousse l'humain dans ses derniers retranchements. Au diable le virus, la vie doit se vivre, redevenir un peu plus libre. Car nous ne sommes tellement pas libre! Le mot liberté est devenu une véritable risée. J'ai commencé une thérapie vendredi dernier, peut-être que ça va m'aider! Utiliser les mots, la recherche au lieu de prendre des pillules! Je ne me souviens pas avoir eu de l'argent de côté, parce que j'ai trop souvent joué de malchance, de naïveté. J'ai eu confiance en des personnes qui ont abusé de ma bonne foi. Et, par amour de la vie, j'ai eu des enfants! Des enfants merveilleux! Ils ne sont pas meilleurs que les autres, ma femme et moi avons tout sacrifié pour leur bien-être. Nous n'avons pas lésiné sur les détails, aller payer du privé s'il le faut, mais rester concentrés sur leurs besoins, leur détresse. Pris dans un dédale de formulaires, de rendez-vous, nous naviguons en eaux troubles depuis tellement longtemps. Et avec la situation actuelle, je sens mon échine baisser; je sens que je mets un genou à terre... Je pleure souvent, en silence, seul dans mon bureau, pendant que je bricole. Et j'aimerais soulever des montagnes, donner tout ce que j'ai comme énergie vitale pour donner la claque dans l'ouvrage, mais je me suis blessé... Alors je souffre en silence, attendant une chirurgie qui continue de s'éloigner, situation sociale prenant priorité sur tout. Toutes les maladies, les chirurgies peuvent attendre! Mais je suis épuisé, ruiné. Même si je me laisse flotter en surface, en cherchant au plus profond de mon être, je n'arrive pas à voir le soleil, la lumière au bout du tunnel! Je voudrais me laisser flotter encore, juste pour voir si ça pourrait me reposer. Car continuer comme ça, je pense que je n'y arriverai pas.

En attente.

Lundi matin, le périple commence pour vrai, deux semaines entières sans ma Bibi. Après une fin de semaine très remplie, surtout de travaux en rapport avec la cuisine, il fera du bien de revenir dans ses pénates. Mais tout n’est pas joué, alors que nous devrons affronter encore plus de contrariétés, encore moins de liberté, pour une période indéterminée. Je dois vous parler un peu de ma fin de semaine. J’ai tondu le gazon, j’ai sorti je ne sais combien de tablettes, et des côtés d’armoires, histoire de dégager un peu mon garage. J’ai continuer d’installer des portes et des tablettes dans nos nouvelles armoires. Je sais que ce n’est pas grand chose, mais après la semaine dernière, l’épuisement me harcelait tellement. Nous avons classé des plats de plastique, essayer de trouver des solutions innovantes concernant du rangement. J’ai démonté le vieil îlot central, vivre avec deux îlots, c’est vraiment trop dur. Je veux aussi m’attaquer à ce qui reste à faire, soit fixer l’énorme armoire à gauche du poêle, et classer ce qui reste de caissons et de portes! Je pense bien récupérer tout ça pour la construction de mon cabanon, mais il semble que je devrai passer l’hiver avec tout ça dans le garage... Ce qui est moins tentant. Des fois je voudrais commencer à le construire, mais j’ai peur de manquer de temps. D’autres fois, je me dis que j’ai amplement de temps. Lorsque je sens le mal qui sévit au bas de mon dos ce matin, je me dis que je n’aurai pas le temps. Sinon, je me sens d’attaque. Il n’y a que le toit qui me fatigue. C’est beaucoup de hauteur, mais c’est aussi beaucoup d’étirements. Ma condition, avec l’hernie, me fait craindre un peu sur mes moyens. La semaine dernière, je me suis senti très affaibli par rapport à d’habitude, en grande partie à cause de cette blessure. Ça reste à voir, car j’attendais que les travaux se terminent derrière la maison, travaux commencés le 10 août! Ça s’étire tellement! Car je ne veux pas m’enfarger dans l’histoire d’un permis, ni d’une inspection, etc. Alors à suivre pour ce dossier. Et comme il y a lueur d’espoir pour mon imprimante cette semaine, je le coeur rempli d’énergie positive! Après vingt jours ouvrables sans avoir pu imprimer... On s’en reparle!

dimanche 4 octobre 2020

Laisser des indices.

Dans ma quête de sens, qui continue de me hanter, je me concentre sur un peu sur ma santé mentale, qui en mange un coup depuis le mois de mars. Je dessine, j’écris pour «expulser» tout ce charabia qui met de la buée dans mes pensées. Du brouillard dans mes pensées, comme si je n’arrivais pas à «réchauffer» mon âme, en extraire la condensation, toute la confusion, qui, par moment m’amène des larmes, mais aussi beaucoup d’anxiété. Un frein dans ma vie, pendant lequel je deviens «toxique» pour ceux qui m’entourent. Comme si le fait d’être intelligent me nuisait en quelque sorte! C’est peut dire dans le contexte actuel, mais c’est aussi une façon de banaliser ce que je ressens! Dans une situation sociale, où le gouvernement a réussi à diviser les gens, il est vraiment difficile de pouvoir compter les uns sur les autres. Difficile de croire en quelque chose de solide, difficile de faire confiance à son prochain. Dans la tourmente, car c’est vraiment une tempête qui s’abat sur nous, une crise civile qui pourrait dégénérer d’une façon ou d’une autre. Je n’ai pas de contrôle, pas de points de repère, ni d’itinéraire à suivre; je ne sais pas comment faire. Avec un possibilité que mon imprimante pourrait repartir cette semaine, une lueur de vie pourrait venir changer la donne; mais il faut aussi payer pour tout ça. Alors je dois rester calme, retenir le volcan, celui qui veut sortir au grand jour, prendre la première tribune et parler, dire haut et fort ce que je ressens, ce qui me chicote. Alors je dois masquer mes envies, laisser les indices flotter quelque part. On s’en reparlera, à plus!

samedi 3 octobre 2020

Coucou!

Il fait soleil ce matin, je pense bien aller pédaler un peu, malgré un petit modeste cinq degrés. Comme il n’a pas fait soleil depuis cinq jours, il serait bin de recharger les batteries de mon sourire. Rencontre avec une psychologue hier, ça s’est bien passé, je crois pouvoir améliorer mon sort. Bien sûr je vais devoir y mettre un peu du mien! Mais faute de pouvoir s’exprimer en public, de pouvoir donner mon opinion, faire valoir mon point, etc, cela va peut-être me permettre de faire sortir certaines choses qui m’angoissent. Joanne est rendue à Blanc Sablon, en attente des résultats de son test de covid... Que de conneries entourant toute cette mascarade! En lockdown hypocrite jusqu’au 28 octobre, les mesures continuent de changer constamment, la population interprète de différentes façons tout ça, ce qui divise encore plus les gens. ALors je vais continuer de chercher mon petit bonheur, un jour à la fois et rester dans mon monde parallèle. À plus!

vendredi 2 octobre 2020

Paix intérieure recherchée.

Vendredi matin, je viens d’aller porter ma douce à l’aéroport. Elle se fera tester à son arrivée, histoire d’étirer le suspense encore un peu. Il me reste qu’à bâtir une routine nouvelle pendant quatorze jours. Je suis épuisé, les différents éléments discordants de la semaine qui vient de s’écouler m’ont arraché une bonne dose d’énergie. J’ai un rendez-vous ce matin en psychologie. Et j’ai eu des nouvelles concernant une certaine livraison de pièces pour mon imprimante. Je sais que je devrais m’inquiéter peut-être un peu plus, mais je peux vous assurer que je vais bien, que j’en ai assez à gérer côté stress, alors une chose à la fois! Je me demande à quelle vitesse ça va repartir, une fois l’imprimante en fonction. Nous sommes en confinement, rien de mieux qu’en avril, sauf que la construction n’est pas fermée. Ce qui aurait dû ëtre circonstanciel aussi lors du premier lockdown! Alors je me sens un peu fébrile. Mais pour l’instant, je sens que j’ai besoin de relaxer. Comme il est difficile pour moi de trouver la paix intérieure depuis un bon moment, je sens que je vais devoir faire du vélo en fin de semaine, mais aussi utiliser le SPA. Les travaux achèvent derrière la maison, un beau bassin de rétention tout neuf! Pour l’intimité à laquelle nous étions habitués, on peut dire que cette époque est révolue! Je dois me concentrer du mieux que je le peux, m’en tenir aux dossiers sur lesquels j’ai du contrôle. Je voudrais aller chanter avec Alain, mais les règles en place semblent nous enlever toute liberté. N’empêche que nous pouvons encore aller pisser tranquille, dans notre maison. Je me souhaite un bon vendredi, plein de bonnes nouvelles! À plus!

jeudi 1 octobre 2020

Quoi faire?

Comme je ne sais plus à quoi croire et/ou à quoi m'accrocher! Je me sens tiraillé, contrarié, mais surtout fatigué. Ça fait deux jours que je ne me suis pas entraîné, je me sens comme un esti de couille molle. Perdu dans la pensée d'un avenir différent, une vie molestée par un gouvernement qui se cherche, qui semble fonctionner par essai/erreur. Vraiment dur pour le moral. Comme je n'ai aucun autre choix que de me concentrer, rester alerte à ce qui se passe et demeurer prêt à toute éventualité. Éventualité qui pourrait s'avérer être une ligne directrice pour donner un nouveau souffle à ma vie. Alors les journées se comptent en heures, une à la fois. Comme mon entreprise n'est pas incorporée, je n'ai aucun gain à fermer mes bureaux, même que cela mettrait ma famille en péril. Alors j'envisage de travailler, très bientôt, pour quelqu'un d'autre. Je n'ai pas fait ça depuis au moins quinze ans. Et quelles seront les retombées l'an prochain, dans mes impôts? Toutes des interrogations auxquelles je ne sais pas trop, comme bien d'autres choses en ce moment. Bref, je ne suis pas paniqué, mais les points de repères sont durs à trouver. Je me sens mal, un peu toxique pour mes proches. Il me faudrait plus d'écoute. Quoi faire?

On tourne en rond.

Deux matins de file sans aller faire du vélo. On dirait que je suis démoli. J’ai mal partout, je n’ai plus le goût de travailler, j’aimerais m’enterrer et ressortir seulement quand la situation se sera améliorée! Et la cuisine qui est dans un état de chantier rend notre quotidien très difficile à vivre. Quand l’endroit où l’on vit le plus en commun est tout mèlé, le frigo au milieu, pas de comptoir ni d’évier; ça finit par être lourd. Hier, même si j’étais dans un état second, j’ai accompli certaines choses comme changer la cartouche du robinet mitigeur de la douche. Ça n’a pas été sans peine. Mais je me souviens comment j’ai fait. Et je suis allé installer les pellicules protectrices sur la Camaro à David. Un résultat pas si mal, mais il faudrait que j’en pose plus souvent. Toujours pas d’imprimante, rien ne va plus dans mon entreprise; et avec la zone rouge du compteur, l’ouvrage ne va pas s’amplifier. On dirait que nous sommes en guerre, que c’est la loi martiale. Le gouvernement nous écrase en se servant de l’urgence sanitaire, ce qui lui donne tous les droits. Je ne sais pas pour vous, mais moi j’en ai plein mon cass, je ne me sens vraiment pas bien; on dirait que quelqu’un m’a enlevé le goût de travailler, le goût de sourire... Dix degrés ce matin, très nuageux; il a tellement mouillé hier, sans parler du vent! J’ai l’impression de tourner en rond, mais ce n’est qu’une illusion. Aujourd’hui je vais envoyer mes impressions chez Turgeon. D’ailleurs il faudrait que je les paye pour la dernière fois. Les comptes recevables continuent de rentrer, pas comme l’argent. Et le chantier continue dans la maison, alors ce sera une autre journée un peu bizarre. Et demain, si tout reste stable, ma Bibi part pour quatorze jours à Blanc Sablon. Il me restera qu’à m’endurer et travailler. Avec les nouvelles règles, personnes ne peut se côtoyer, ni faire quoi que ce soit qui ne rapporte pas à la machine. Alors je ne comprends vraiment plus. Si je ne peux que travailler, si travail il y a, pour nourrir le gouvernement, alors je suis un esclave? Human lives matter! On tourne en rond...

Je continue de vivre au jour le jour.

Il faisait 3 degrés en vélo, mais j'avais l'impression qu,il faisait plutôt zéro! C'était cru! Mais une fois parti, l'excita...