jeudi 22 octobre 2020

On garde le cap.

Ouf! Que de pluie diluvienne nous avons eu hier! Un déluge incroyable! J’ai pu aller en vélo hier matin, et aussi ce matin; tout était trempé, mais parfaitement «pédalable». Manquant un peu de courage, mon fatigomètre affichant qu’il ferait bon d’être vendredi déjà, je me suis botté le derrière pour m’habiller et y aller! Je ne sais pas quoi vous dire, d’où provient cette volonté d’y arriver, coûte que coûte. Je me dois de faire de mon mieux, de faire en sorte de pouvoir «survivre» à cette crise mondiale, une crise étrange, qui dure depuis plus de six mois! Une crise qui détruit nos vies. Dire que certains ont déjà commencé à nous marteler les oreilles avec leurs histoires de climat, de réchauffement, d’empreinte de carbone...Y a-t-il moyen de s’en sortir? De vivre en paix, sans toute cette folie? Je ne veux pas de ces mesures «envahissantes», je ne veux pas non plus adhérer à une théorie que l’homme peut être plus fort que la terre! Je veux simplement être heureux, libre de marcher dans la rue sans me sentir regarder, je veux pouvoir donner mon opinion sans avoir peur de me faire ramasser sur les réseaux sociaux. Réseaux que j’aspire d’ailleurs à quitter le plus possible, car ils sont «pollués» de choses qui ne m’intéressent vraiment pas. Autant j’ai aimé avoir des nouvelles des gens qui ont fait partie de ma vie, de près ou de loin, maintenant j’ai en horreur toute l’évolution de ces «tribunes» populaires, où les gens viennent «domper» leur diahrrée sociale, leur fond de pensée pas plus évolué que celle d’un homme des cavernes! Les gens que j’aime suivre, pour leur implication sociale, pour leur art graphique, toutes ces personnes qui sont devenues des activistes du climat, ou encore des spécialistes d’une quelconque diète keto! Ou encore qui se porte volontaire pour casser du sucre sur le président américain, alors que leur propre PM national est sans cesse en conflit d’intérêts! Je ne veux plus de ça! Ça me rend malade. Donc je poursuis mon abstinence journalière de Facebook, je quitte doucement Instagram, je masque de plus en plus de gens sur Twitter. Je m’isole de plus en plus. Et comme nous ne pouvons pas voir vraiment les gens qu’on aime, il devient très désagréable au quotidien de se sentir seul. Car il est clair que j’ai dû me retirer dans mes quartiers avec les années, en travaillant seul, directement de chez moi. Depuis quelques mois, ce n’est pas tellement drôle. C’est plutôt aliénant. Alors on garde le cap, sur ce qui compte le plus, comme le ferait notre organisme, en pleine hypothermie! Ouin....

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