vendredi 9 octobre 2020

Seulement un degré ce matin, avec une crevaison spectaculaire, ma journée a débuté en trombe! Et le texte que je viens de lire me secoue comme un arbre confronté à de forts vents! Il s’agit d’un texte d’opinion, publié par l’Institut Économique, traduit de l’anglais, qui parle des différents régimes auxquels l’homme peut se coller. Il est question de totalitarisme, une façon «comme une autre» de diriger un peuple. Mais pour la première fois, on y décrit clairement de quelle façon ça peut fonctionner. En confinant les gens, en utilisant une sorte de «décret» appeler urgence sanitaire, les gouvernements ont réussi à contrecarrer l’habeas corpus. Et ainsi outrepasser tous nos droits, toute notre dignité en tant qu’humain sur cette terre. Donc il s’agit d’une forme de dictature, réécrite, mais encore plus contrôlante. Il y a des failles, mais aussi des «entourloupettes» bien cachées dans leur jeu. Bien sûr, je vais relire ce texte, l’analyser pour mieux le vulgariser, mais son contenu, tout à fait révélateur, ne doit jamais être compris clairement par la partie dirigeante. Et le peuple doit se soulever, et vite. Je ne veux pas de ce régime, je ne veux pas non plus vivre par le biais de toutes ces mesures. Je veux vivre ma vie par moi-même. En ce vendredi le 9 octobre, je déclare une chose, le droit de vivre, de respirer, de pouvoir conserver mon libre arbitre, et de ne pas être associé à aucun de ces régimes plus ou moins contrôlant. Souvenez-vous en, je l’ai écrit pour que ça reste. Quel merdier. Je ne peux m’en vouloir de comprendre les choses, mais je suis en état de garde, comme un gardien de nuit, veillant sur ma famille et ceux que j’aime, pour les protéger devant l’adversité de cette folie! Et pour les autres, ceux qui veulent être diriger, ceux qui veulent diriger, sans se poser de questions, aller donc faire un tour ailleurs! Bon vendredi!

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Génial!

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